[CdF - Finale] SLUC Nancy 65 (26) - (40) 79 Le Mans SB

Supporter Couguars a écrit:

Qui a les tarifs des places pour le 17 mai ?

=> http://www.bercy.fr/billetterie/ticketnet/1080/Finales_de_la_Coupe_de_France_de_Basket_2009

je vous signale que sur le forum du MSB, les forumeurs s'en donnent à coeur joie contre le SLUC.
J'ai bien essayé de les contredire, mais les modos manceaux ont trouvé que j'étais provocateur et ils ont supprimé mon post (qui,entre nous, n'était pas méchant en affirmant que 2000 nancéens suffisaient pour surpasser 3500 manceaux)

Je ne pense pas que ce soit la priorité du forum pour le moment attends mercredi

Bactere a écrit:

Supporter Couguars a écrit:

Qui a les tarifs des places pour le 17 mai ?

=> http://www.bercy.fr/billetterie/ticketnet/1080/Finales_de_la_Coupe_de_France_de_Basket_2009

Merci!

Très beau T-Shirt du MSB pour cette finale !

Reebok le t-shirt, converse à la chorale...c'est sur que ça change du traditionnel t-shirt blanc airness avec un logo qui sert de pyjama ...

Clair

Perso, c'est le genre de T-Shirt (même celui du titre) que t'es un peu tout honteux de sortir avec dehors ^^

James a écrit:

Reebok le t-shirt, converse à la chorale...c'est sur que ça change du traditionnel t-shirt blanc airness avec un logo qui sert de pyjama ...

Perso j'ai 4 pyjamas Airness taille XL ....

Idem mais en L, et 3 Cora

pfff pareil

Quoi, vous les gardez même pas accroché au mur...?? ou dans une armoire...??

sont pourtant magnifique...

Le mieux : celui de pour le match contre sienne ! (parce que y'a le logo de l'EL dessus...)

C'est le geste qui compte on va dire

celui de sienne je crois c'est le pire !!!!! il est mega fin...donc super transparent!!!!

The warrior on peut etre forcement envie de regarder

L'asvel aussi a des tee - shirts pourri!
http://www.asvel.com/news.php?n=1623

bacou a écrit:

Idem mais en L, et 3 Cora

ah le comble de l'horreur, avec un énorme logo cora dessus, ça c'est du T-shirt collector!!!

James a écrit:

Reebok le t-shirt, converse à la chorale...c'est sur que ça change du traditionnel t-shirt blanc airness avec un logo qui sert de pyjama ...

Et nous? A quand le sponsoring by Nike ?

Un ballon spécial pour la finale





•CHANGEMENT. Il y avait déjà des ballons spéciaux pour les play-offs de Pro A, il y a désormais un ballon spécial pour la finale de la Coupe. Alors que les tours précédents se sont disputés avec des ballons identiques à ceux utilisés en saison régulière, la FFBB a décidé de faire jouer les finales avec le modèle utilisé en play-offs. Un nouveau ballon avec lequel les Nancéiens s'entraînent depuis hier. Loin d'être superflu quand on sait que chaque marque a ses spécificités.
•PACKS. Le déplacement qu'organise le SLUC pour Bercy marche fort. Le club a déjà vendu 1.500 packs. Rappelons qu'il en propose deux, à 40 € ou 50 € en fonction de la catégorie des places, avec dans les deux cas le transport en bus, un t-shirt collector, un tap-tap... Les réservations sont encore possibles aujourd'hui au palais des Sports de Gentilly de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h.
•ENTRAINEMENT. Revenus de Villeurbanne dans la nuit, les Nancéiens avaient rendez-vous à Gentilly dans l'après-midi. Au menu, séance vidéo sur Le Mans, puis entraînement collectif. Cet après-midi, tout le monde sera de nouveau sur le pont pour le même programme.
•CRÉNEAU. La FFBB a communiqué les créneaux d'entraînement des équipes pour les finales. Le SLUC s'entraînera demain à 19 h avant de laisser sa place aux Manceaux à partir de 20 h 15.
•LE MANS. L'équipe de JD Jackson n'a pas dû beaucoup s'employer, mercredi, face à une équipe de Rouen qui avait déjà la tête aux vacances. Elle s'est imposée de 40 pts (105-65) et le coach sarthois a pu faire tourner l'effectif. Jérémy Leloup a ainsi joué 21 minutes alors que les jeunots Antoine Gomis et Pierre-Etienne Drouault ont aussi eu droit à quelques minutes.




15/05/09


Est republicain

Basket-ball : Alain, JD et Maleye l'ont déjà gagnée !


Soulever la Coupe de France devant les siens, la banane jusqu'aux oreilles,les Koffi, N'Doye et Jackson l'ont déjà fait dans le brouhaha de Bercy. Rétro...

- N'Doye avec Dijon (2006)

Ah s'il n'y avait pas eu les 20 points et 11 rebonds d'un certain TJ Lux, ce bon Maleye, l'un des cadres de la JDA Dijon 2005-2006, aurait été le MVP de la finale remportée devant Orléans (66-58). Car avec 17 points, 3 rebonds, 2 interceptions et un contre en... 39 minutes de jeu, le longiligne Sénégalais a eu tout le loisir d'apprécier l'évènement. « Parfois, je me repasse le CD souvenir. En revoyant les images, je n'ai qu'une envie. Revivre la même chose. »

Sortant d'une victoire à l'Asvel, une JDA remaniée a le vent en poupe. Les Sciarra, « Vato » et autre TJ Lux dirigés de main de maître par Jacques Monclar, « qui m'avait offert beaucoup de responsabilités en fin de saison », prennent l'ascendant au 2e quart-temps (17-9). Pour ne plus jamais lâcher les commandes.

- Koffi avec Le Mans (2004)

« Quand Alain a gagné la Coupe de France, il avait encore la marque du pot sur les fesses. » Si l'exagération de son président Christophe Le Bouille fait sourire, Koffi a encore tout d'un jeune ado du basket en cette fin mai 2004. Pas encore 21 ans sur le CV et des yeux forcément écarquillés au moment de se lancer dans l'arène. « Mon premier Bercy, ma première finale. Quand tu entends ton nom hurlé par le speaker, t'as des frissons partout. »

Une finale qu'il goûtera du bout des lèvres (11 minutes). Un trophée qu'il embrassera à pleine bouche. Car s'il s'agit cette année-là de la victoire des cadres (Price, Nicevic, Turner, Jackson, Sy), la jeune garde mancelle s'abreuve des quelques minutes passées sur le prestigieux parquet du POPB. « J'ai joué une dizaine de minutes mais j'avais quand même apporté. » Plutôt oui. Huit points (3/4 aux tirs) et trois rebonds. Peu et énorme à la fois quand on se souvient du score final (83-80).


- Jackson avec Le Mans (2004)

Quand on a participé aux Mondiaux 1990 en Argentine et 1994 au Canada et défié Michaël Jordan sur le terrain, on peut appréhender assez sereinement une finale de Coupe de France. Même la première. Même face au grand Pau-Orthez des Pietrus, Foirest, Lukovski, Archibong, Julian et Foirest.

Alors Jackson fait du JD. Chaque point compte dans cette finale au couteau (9/9 aux lancers). Le Mans assène la première claque (22-14). Pau lui rend une sacrée gifle (14-26). À toi, à moi. Puis le tournant... selon Jackson. « Après un panier de Turner, j'ai chipé le ballon de contre-attaque palois et Nicevic a marqué. On venait d'inscrire quatre points de suite, j'ai senti à la tête des Palois à ce moment-là qu'on pouvait les battre. » Bingo. Avec un joli symbole au final. Ce soir-là, Jackson avait inscrit 14 points. Déjà son chiffre porte-bonheur...


• Trois Nancéiens aussi. Si Nancy n'a jamais remporté la coupe de france, plusieurs Nancéiens actuels ont eu cette chance. Lamayn Wilson (Asvel) en est même l'un des tenants du titre.

Avant lui, Ricardo Greer avait décroché le pompon avec Pau-Orthez (2007). Sans oublier Cyril Julian, victorieux en 2003 avec Pau-Orthez.

Ouest-France

bacou a écrit:

Un ballon spécial pour la finale





•CHANGEMENT. Il y avait déjà des ballons spéciaux pour les play-offs de Pro A, il y a désormais un ballon spécial pour la finale de la Coupe. Alors que les tours précédents se sont disputés avec des ballons identiques à ceux utilisés en saison régulière, la FFBB a décidé de faire jouer les finales avec le modèle utilisé en play-offs. Un nouveau ballon avec lequel les Nancéiens s'entraînent depuis hier. Loin d'être superflu quand on sait que chaque marque a ses spécificités.

Est republicain

Ah y avait longtemps!!!

Enfin une vraie décision prise qui fait avancer le basket Français
Si avec ça le basket français n'arrive pas à sortir de sa crise, c'est à désespérer
Après tu comprends pourquoi ils n'ont pas le temps de faire des réglements bien ficelés qui tiennent la route, y a des priorités!!
Et ils ont réussi à faire plus hideux que ceux des Play Off niveau couleurs? On a des images?


P.S.: En plus, les joueuers et coachs les détestent ces ballons spéciaux si je ne me trompent

...si je ne me trompe [désolé, c'est honteux]

oui c'est detestable car le grip d'un ballon neuf est complétement différent d'un qui est bien usé d'ou les critiques récurrentes des joueurs sur les (nouveaux ) ballons spéciaux... on l'avait vu l'an passé en playoffs avec un pourcentage d'adresse globale au niveau des équipes qui était en baisse...
mais c'est clair qu'un ballon c'est plus important que des réglements qui tiennent la route pour sortir le basket français de l'ornière

La magie de Bercy


Plus de 14.000 places et une sensation d'espace hors norme. Le POPB a de quoi impressionner. Mais pratiquement tous les Nancéiens ont déjà joué dans ce bel écrin. Témoignages.




NANCY._ A chaque fois, c'est le même rituel. Quand un basketteur pénètre dans le Palais Omnisports de Paris-Bercy, il lève systématiquement les yeux pour balayer du regard la salle. Et même les plus blasés, même ceux qui ont déjà joué dans des grosses enceintes ne peuvent rester insensibles à la magie de Bercy.
Mais si les Nancéiens auront forcément des étincelles dans les yeux quand ils prendront leurs marques dans la salle parisienne, ce soir, pour leur séance d'entraînement, la quasi-totalité d'entre eux sera en terrain de connaissance.
Eh oui, à l'exception d'Akin Akingbala et Michel Morandais, tous les autres ont déjà humé l'air du POPB, ont déjà connu le parfum d'un match disputé dans cette enceinte énorme de plus de 14.000 places en configuration basket. « Je l'ai découverte il y a deux ans, quand j'ai participé au All-Star Game », se souvient John Cox. « C'est vraiment une belle salle et c'est très excitant de jouer dans une enceinte comme ça. J'en garde un très bon souvenir. »

« Un effet d'optique »


Même si, forcément, l'ancien Havrais avait eu besoin d'un petit temps d'adaptation pour se familiariser avec les spécificités d'une salle qui ne correspond pas vraiment aux standards basket. « Comme c'est une salle de spectacles, les repères sont assez particuliers », analyse Cyril Julian, un habitué de Bercy où il a joué de nombreuses fois avec le SLUC, Pau-Orthez ou dans le cadre du All-Star Game. Des repères particuliers, mais en quoi ? « Ce qui frappe », souligne Steed Tchicamboud, qui jouera son quatrième match à Bercy après la finale du championnat de Pro B 2006 avec Châlons, le All-Star Game 2007 et la finale de la coupe 2008 avec Cholet, « c'est que les arceaux sont très éloignés du public. Il y a un effet d'optique ».
Pas forcément évident de régler la mire dans ces conditions. D'autant que l'éclairage n'est pas non plus tout à fait le même que celui qu'on retrouve dans les salles de Pro A à longueur d'année. « Les projecteurs ne sont pas forcément orientés pour des compétitions comme celle-ci », reprend Cyril Julian. « Parfois, on peut se retrouver proche de l'arceau, relever la tête pour prendre un rebond et se prendre un flash important dans les yeux. C'est pour ça que l'entraînement de la veille est primordial et que les équipes demandent souvent aux techniciens s'ils peuvent mettre l'éclairage match dès l'entraînement. »
Repères différents, éclairage particulier, sensation d'espace hors norme, Bercy est un écrin magnifique qu'il faut un peu de temps pour apprivoiser. Mais de là à trouver la salle parisienne déstabilisante, il y a un pas... que ne franchissent pas les Nancéiens. « Déstabilisant ? Non, non... », lâche TJ Parker, qui y a disputé la finale 2008 avec le SLUC et deux rencontres avec le Paris BR. « Cela reste un terrain de basket avec deux paniers. C'est sûr que c'est plus grand, mais cela ne change pas grand-chose non plus. »
Et le fait de jouer devant près de 14.000 spectateurs (si tant est que la salle soit pleine demain) ? « C'est vrai que ça peut mettre une certaine pression », avoue Stephen Brun, qui a déjà joué dans cette salle la finale du championnat de Pro B en 2005 et un Paris BR - Gravelines sous le maillot nordiste. « Mais je trouve cela motivant. Et puis, honnêtement, c'est pour vivre des matches comme ça, pour connaître des ambiances comme ça qu'on fait du basket. »
Et c'est pour cela que Bercy fait toujours naître cette petite étincelle dans les yeux des basketteurs.

Anthony GUILLE


Est republicain

C'était la première finale


En 1997, le SLUC créait la surprise en atteignant la finale de la Coupe. Voyage dans le temps avec l'entraîneur de l'époque Olivier Veyrat.




NANCY._ A cette époque, le SLUC ne tutoyait pas encore les sommets et n'était pas une des plus grosses cylindrées du championnat. En 1997, le club nancéien n'avait que trois ans de Pro A dans le rétroviseur et des ambitions bien plus modestes qu'aujourd'hui.
Alors, vous imaginez que la qualification pour la finale de la Coupe avait fait l'effet d'une petite bombe dans le milieu de la balle orange. « Surtout qu'en demi, on avait quand même battu Pau-Orthez à Gentilly, dans une ambiance de feu... », se souvient Olivier Veyrat.
Coach du SLUC de 1993 à 1999, l'actuel manager général de Besançon n'a rien oublié de cette première finale nancéienne à Paris. C'était le 27 avril 1997.
La finale ne se jouait pas encore à Bercy, mais à Coubertin. Et en face, se dressait une équipe de l'ASVEL coachée par Gregor Beugnot et emmenée par le génial Delaney Rudd. Un adversaire aux allures d'épouvantail. «Villeurbanne revenait juste du Final Four de l'Euroligue », reprend Olivier Veyrat. « Ils étaient privés de Jim Bilba, qui s'était blessé en quart de finale de la coupe d'Europe, mais ils avaient une belle armada. »
Avec Delaney Rudd, Ronnie Smith, Georgy Adams, Alain Digbeu, Brian Howard et on en passe, l'ASVEL partait largement favori face aux « petits » Couguars.

Un « bon souvenir » et des regrets


Mais dans un Coubertin où 1.200 supporters nancéiens avaient pris place, le SLUC a longtemps tenu la dragée haute à l'ASVEL (40-41, 30') dans le sillage notamment d'un excellent Pat Durham (18 pts à 8/12, 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions) avant de craquer dans ce fameux « money-time » pour s'incliner de 9 pts (58-67). Avec des regrets.
« A la mi-temps, je me rappelle que nos Français avaient marqué zéro point », se remémore Olivier Veyrat. « Et sur cette finale, le seul Français qui avait joué à son niveau est Cyril Julian. ». Si le « warrior » compila 9 pts à 4/6, Eric Cérase et Christophe Lion ont terminé ainsi avec zéro point et 0/10 aux shoots à eux deux. Y'a des jours comme ça...
« Je ne l'avais pas vu venir, mais je crois que certains joueurs avaient déjà joué le match la veille dans leur tête », glisse encore Olivier Veyrat. « Mais c'était notre première finale, et peut-être fallait-il en avoir joué d'autres avant pour en gagner une. Après tout, le SLUC a bien dû perdre quelques finales avant d'être sacré champion de France... »
Douze ans plus tard, Olivier Veyrat garde tout de même un « très bon souvenir » de cette finale. Une finale qui aura permis d'ouvrir le compteur nancéien. Depuis, Nancy l'a fait joliment fructifier.
Demain, il disputera sa... huitième finale officielle (1). Qu'il a bien grandi, le SLUC, depuis cette finale de coupe de France 1997.
Coupe de France 1995 et 2009, Coupe Korac 2002, Semaine des As 2005, finale du championnat 2005, 2006, 2007, 2008.

A.G. (1) :


Est republicain

Le Mans en rogne






•BALLONS. Pas content, le président manceau Christophe Le Bouille. Alors que le SLUC Nancy s'entraîne depuis jeudi avec les ballons spéciaux qui seront utilisés pour la finale et qui sont d'une autre marque que ceux avec lesquels s'est déroulée la saison régulière (ER d'hier), son club n'a pas reçu ce nouveau jeu de ballons, faute, semble-t-il, d'en avoir fait la demande formelle à la FFBB. Le MSB s'est donc entraîné avec ses ballons habituels.
•PLACES. Alors que le SLUC devrait avoir près de 1.800 supporters demain, Le Mans devrait faire encore mieux. Le club manceau avait vendu 2.500 places, hier, et tablait sur près de 2.700 supporters sarthois dans la salle.
•PLÉBISCITE. Invités par le site officiel du MSB à répondre à la question « Qui va remporter la finale de la coupe ? », près de 95 % des internautes avaient voté pour Le Mans hier soir !
•PROGRAMME. Après-midi studieux pour le SLUC qui, après une séance vidéo, a sué pendant plus d'une heure quarante-cinq sur le parquet avant de finir par des lancers-francs. Aujourd'hui, le SLUC met le cap sur Bercy en début d'après-midi en bus et s'entraînera au POPB à partir de 19 h.




16/05/09


Est republicain