[ProA - J3] SLUC Nancy 92 (33) - (41) 85 Besançon BCD

lolo a écrit:

Pour en revenir à la défense de zone...Certes elle nous pose des problèmes mais je ne pense pas que ce soit la raison majeure de notre defaite à Hyères. Après tout c'est plutôt notre défense ou plutôt l'absence de défense qui nous a tué , on les as laissé nous canarder sans faire l'effort de défendre sur leur shooteur .

Et c'est là que j'émets un doute sur la motivation du groupe en championnat , ok peut être Besac va s'en prendre une bonne demain mais la manière lors des 2 premiers matchs me laisse un goût amer .Ce qui me laisse penser ça ? Les joueurs recrutés(hormis Wilson) ont annoncé qu'ils venaient un an pour se montrer en EL pour mieux se vendre l'an prochain .Résultats, les Cox, Tchi, Morandais sur le premier match ne se sont pas montré très concernés par le resultat du match, Benson c'est autre chose. Tous, sauf Wilson, étrange coincidence, non?.
J'attends donc un réveil demain soir et voir un groupe concentré du début à la fin du match,l'EL est le dessert, mais avant de pouvoir le gouter, il faut bien manger sa soupe ...

Ben si les joueurs pensent que se mettre en valeur, c'est chier le championnat pour briller (et encore on attend de voir) en EL, faut qu'il arrêtent le basket direct

Va falloir voir si ils n'en gardent pas un peu sous la semelle en championnat le WE, mais pour ça je fais confiance à JLM

perso vu comment on avait déjà galéré en début de saison l'an passé ( a cette époque comment que je maudissais amagou ) je pense que c'est plus un problème de réglage, des petits retards en défense qui font que pour le moment c'est pas top mais chaque joueur ( ou presque ) a déjà sorti un bon match, avec le temps ça devrait s'améliorer sérieusement vu que l'équipe est ( enfin ) au complet!!!

Puisses tu avoir raison

ben on aura peut être un début de réponse demain mais dit pas que tu te souviens pasde la galère pour battre le HTV l'an passé et puis le très faible PL ou on a eu beaucoup beaucoup de mal en début de saison...

Sans compter le "magnifique" derby contre la SIG à Gentilly... Pour ne parler que de ce match contre la SIG...

C'est évident qu'il reste des réglages, et c'est normal. Regarde Le Mans ce soir. Le tout est de bien préparer l'entrée en EL, tout comme notre raquette.

JC a écrit:

Sans compter le "magnifique" derby contre la SIG à Gentilly... Pour ne parler que de ce match contre la SIG...

C'est évident qu'il reste des réglages, et c'est normal. Regarde Le Mans ce soir. Le tout est de bien préparer l'entrée en EL, tout comme notre raquette.

Le MANS 3 victoires et en cours de réglage ..Pas mal et quand ils vont carburer....

Pro A - SLUC - Besançon, ce soir (20h), à Gentilly

Ça mérite une mise au point !


Les Nancéiens jurent avoir retenu la leçon de l'impensable claque reçue à Toulon. Face au promu bisontin, ils devront rendre une copie corrigée.






NANCY._ Samedi dernier, au moment où le SLUC perdait pieds en rade de Toulon, Ricardo Greer, en capitaine dévoué, aurait voulu être là, au milieu des siens. Blessé au visage quatre jours plus tôt dans un violent choc frontal avec Michel Morandais, Ricardo avait été invité à rester en Lorraine ce jour-là.
Et évidemment, l'aîné des frangins Greer a suivi la débâcle via internet : « J'étais en train de dîner en famille. Quand j'ai vu que l'équipe menait de 25 points, j'ai éteint mon ordinateur. Je l'ai rallumé plus tard dans la soirée pour voir de combien de points nous avions gagné... Je n'en revenais pas ! Lorsque j'ai revu mes coéquipiers, ils étaient tous très déçus. Je pense que cette expérience va servir de leçon. Dorénavant, il faudra être plus concentré, même lorsqu'on a vingt-cinq points d'avance ».
S'il y a effectivement une leçon à retenir de ce que l'on est en droit de qualifier de faute professionnelle, on espère en effet que les Nancéiens en ont pris acte. On est à peu près certain que Ricardo Greer a, dès lundi, rappelé ses coéquipiers à leurs devoirs de champions de France.
Et on ne doute pas une seconde que cet... accident a été resservi en boucle par Jean-Luc Monschau pendant la semaine.
Dans la colonne des certitudes, on est également convaincu que le travail sur la défense de zone et le dialogue avec les meneurs ont servi de fil rouge ces derniers jours.
Que le SLUC, si bien armé soit-il, s'incline à Toulon lors de la deuxième journée n'a rien de foncièrement scandaleux. On peut même parier sans prendre trop de risques qu'il en perdra d'autres. En revanche, le scénario laisse de glace.
Du coup, comment ne pas imaginer que ce groupe piqué dans son orgueil ne soit pas animé d'un profond sentiment de revanche à l'heure d'accueillir Besançon dans un palais des sports de Gentilly où, rappelons-le, le SLUC tourne à 87% de victoires depuis quatre saisons ?
« Si nous sommes vexés de nous être fait marcher dessus à Toulon, tant mieux ! Cela me paraît normal de l'être », estime Jean-Luc Monschau, « La remise en question était évidente. Il faut maintenant qu'elle soit suivie d'actes sur le terrain ».

« Besançon en position idéale »


Et pendant ce temps-là, John Ford et ses copains bisontins se frottent les mains. Pour l'anecdote, ils vont se présenter sur le paillasson du champion de France en leaders invaincus de Pro A. Voilà pour la forme. Car dans le fond, le promu qui affiche l'avant-dernière masse salariale de Pro A aura si peu à perdre.
Chez les pronostiqueurs, on accorde à Besançon autant de chance de gagner à Nancy ce soir que de se maintenir en Pro A à la fin de la saison.
Le coach nancéien s'engouffre évidemment dans la brèche : « Comme chaque année, les pronostics placent les promus dans les deux derniers. Et comme chaque année, les promus s'accrochent, déploient une énergie extraordinaire et un véritable esprit de conquête. Nous devrons avoir beaucoup de respect pour cette équipe de Besançon qui présente des qualités individuelles et collectives, des qualités d'organisation et d'envie. Dans le prolongement de ses deux victoires (Ndlr : à Pau et contre Le Havre), Besançon arrive dans une position idéale ».
Du respect pour Besançon ? C'est effectivement la moindre des choses. Reste que le SLUC a d'autres moyens et d'autres ambitions que Pau et Le Havre, les deux premières victimes de l'équipe franc-comtoise.
De même que Besançon n'est pas Barcelone. Alors à quelques jours de recevoir un monument du basket européen (jeudi), il serait de bon ton de ne pas se prendre les pieds dans le tapis face au champion de Pro B.
•Espoirs : SLUC (7e, 3 points) - Besançon (16e, 2 points), aujourd'hui à 17h15.

Thomas SIMON


Est republicain

L'invité : Sylvain Lautié

« Le SLUC favori à 80 % mais... »


Il a gagné la Coupe Korac avec le SLUC en 2002, il est devenu champion de France de Pro B avec Besançon. Sylvain pèse le pour et le contre.






NANCY._ Avec Margot son épouse et le petit Ritchie, Il a pris le « p'tit déj' » hier matin au soleil, au bord de la piscine. Tranquille et heureux comme Sylvain, aujourd'hui basé à Montpellier qui avoue dans un grand éclat de rire : « Je n'ai jamais été aussi détendu même si le petit a eu beaucoup de mal à faire des nuits. Maintenant, c'est réglé... ».
Mais n'allez pas croire que Sylvain Lautié est en semi-retraite. Il gère bon nombre d'activités, s'occupe de la préparation physique notamment des boxeurs Khedafi Djelkhir ou Daouda Sow(tous deux finalistes olympiques à Pékin), travaille sur un centre de formation d'été pour joueurs professionnels ou futurs pros âgés de 18 à 24 ans.
Bref, à 40 ans (il les a eus en juin dernier), une coupe Korac avec Nancy, un titre de champion de France Pro B avec Besançon, Sylvain Lautié profite un peu plus de la vie tout en suivant évidemment de son oeil d'expert tous les matchs de Pro A à la télévision, sur internet ou du bord du terrain : « Je suis allé voir Pau-Besançon parce que j'étais d'abord venu faire une bise à ma soeur et mon ''beauf'' qui est kiné à l'Elan Béarnais. J'ai vu une belle équipe de Besançon, bien équilibrée avec une stratégie bien définie. Besançon avait deux matchs à sa portée pour débuter le championnat. Elle possède déjà deux victoires. Il reste neuf matchs à gagner pour se sauver. Rien de tel que la confiance pour une équipe qui monte. Et lorsqu'elle est en confiance, c'est une équipe qui peut être redoutable à l'image de son trio d'Américain : Ford-Hawkins-Gunn ».
- Cette équipe de Besançon peut-elle donc inquiéter le champion de France à Gentilly qui n'a perdu que dix matchs (saison régulière + play-offs) dans sa salle depuis septembre 2004 ?
- N'allez surtout pas dire ce que je n'ai pas dit. A une semaine de l'Euroligue, Nancy est favori à 80 %. Mais il faut que le collectif de Nancy trouve un équilibre, que les joueurs trouvent leurs marques dans cette équipe. Mais, ce soir à Gentilly, Ricardo (Greer) sera là. Et avec Ricardo, le SLUC est une drôle de machine de guerre.
- Vous connaissez Steed Tchicamboud qui est venu vous rendre visite à votre stage à Montpellier. Etes-vous surpris qu'il soit confronté à des problèmes d'adaptation ?
- Steed, c'est un bon gamin, un très bon gamin. Beaucoup de talent dans le drive. Il a le profil d'un Ismaïla Sy. Seulement, il est monté assez vite dans le basket français : Saint-Quentin, Châlons, Cholet et l'équipe de France. A Nancy, dans l'équipe championne de France, il n'est plus à Cholet. Il doit laisser son ego de côté...

Propos recueillis par Gilles GAIHIER


Est republicain

Arbitre

Première pour Freddy









NANCY._ Pour les basketteurs lorrains, le visage de l'un des trois arbitres du match de ce soir devrait être familier. En effet, pour la toute première fois de sa carrière (qui a débuté en 1999 à haut niveau), Freddy Lepercq a été désigné pour arbitrer le SLUC. Une première peu banale pour ce Lorrain d'origine qui a notamment usé ses shorts du côté des Cheminots, puis Houdemont, club dans lequel il est d'ailleurs toujours licencié. Or, depuis deux ans, la règle qui interdisait à un arbitre de siffler une équipe du même département que le club dans lequel il est licencié n'existe plus. Arbitre de Pro A depuis 2004, Freddy Lepercq aura donc le plaisir d'officier à Gentilly ce soir.
« Il est certain que je connais beaucoup de monde du côté de Gentilly », sourit-il,« Mais pour moi, ça reste un match à arbitrer. La seule différence c'est que, pour la première fois en match officiel, mes parents qui habitent à Dombasle seront dans la salle ». Depuis deux ans, Freddy Lepercq a quitté la Lorraine pour s'installer du côté de Lyon. Au sein de la fédération française, il occupe le poste de responsable technique de la zone Est en matière d'arbitrage, ainsi que la fonction de formateur des formateurs et responsable de la filière espoirs.

Arbitres : MM. Castano, Mortz et Lepercq.

T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

Vestiaires

Le SLUC se raconte









NANCY._ L'initiative est d'autant mieux venue que l'objet manquait cruellement dans la bibliothèque du club. Les quarante bougies soufflées l'année dernière et le titre remporté à Bercy ont décidé le SLUC à passer à l'acte. Il se raconte dans un ouvrage de cent pages jalonnées de photos, de textes, de statistiques, retraçant quarante années de performances individuelles, d'exploits collectifs et de trophées. Un ouvrage qui fait la part belle aux chiffres, mais aussi aux hommes qui ont laissé leur trace d'une manière ou d'une autre dans l'histoire du club. Ce guide sera en vente au palais des sports, ce soir, au prix de 10 euros. A consommer sans modération...
•EUROLIGUE. La location pour le premier match d'Euroligue, SLUC - Barcelone (jeudi, 20h30, à Gentilly) est disponible sur le site du SLUC, ainsi que dans les galeries commerciales Cora et Auchan jusqu'au jeudi 15h. La location au palais des sports débutera lundi (de 9h à 12h et de 14h à 18h). Elle se poursuivra les mardi et mercredi aux mêmes horaires, puis le jeudi de 9h à 12h et aux guichets à partir de 18h.
Est republicain

L'adversaire

Au grand complet









NANCY._ Au même titre que le SLUC qui récupérera Ricardo Greer ce soir, le BBCD se présentera à Gentilly au complet, comme lors du match précédent face au Havre.
Cette semaine, seul Simon Darnauzan a été ménagé en raison d'une douleur à l'épaule. Il tiendra cependant sa place contre Nancy.
Fort de ses deux premiers succès obtenus aux dépens de Pau et du Havre, l'équipe d'Alain Thinet pointe après deux journées au deuxième rang du classement des interceptions (12,5 par matche) et également en deuxième position en ce qui concerne l'adresse aux lancers-francs (80,6%).
Est republicain

Le BBCD a tout à gagner


Après avoir lancé de la meilleure des manières leur saison, les Bisontins se déplacent à Nancy, chez le champion de France en titre, sans pression. Pour que le rêve continue...






BESANÇON. _ C'est un peu pompeux, on vous l'accorde, mais Nancy-Besançon, c'est... le match des champions. Celui opposant deux clubs qui ont gravé le 15 juin 2008 comme une date historique. Ce jour-là, dans l'enceinte de Paris-Bercy, le SLUC avait décroché le premier titre de Pro A de son histoire tandis que, deux heures plus tard, le BBCD ramenait, dans la capitale comtoise, la bannière de champion de France Pro B. Accession à la clé.
Depuis ce beau jour de juin, quatre mois ont passé. Les Nancéiens s'apprêtent à découvrir l'Euroleague et ses sommets dans quelques heures face au FC Barcelone de la « Bomba » Juan Carlos Navarro.
Les Bisontins, eux, se sont installés en tête du championnat de France Pro A, après deux journées, aux côtés d'Orléans, Le Mans et Hyères-Toulon.
Cette étiquette de leader ne fait, pour autant, pas du BBCD un favori à l'heure de s'attaquer à une montagne.
« Il ne faut pas croire que l'on est arrivé », martèle Alain Thinet. Car si les rôles sont inversés, si Besançon devance Nancy après deux journées, tout cela ne tient évidemment qu'à un fil.
Pourtant, la défaite concédée à Hyères-Toulon (73-81), certes sans Ricardo Greer, a eu le don d'effriter le roc lorrain.
Classé hors catégorie avant le début du championnat eu égard au recrutement effectué (Cox, Wilson, Morandais, Tchicamboud), le col nancéien ne paraît plus aussi infranchissable depuis que les joueurs de Jean-Luc Monschau se sont pris les pieds dans le tapis varois.
Menant de 25 points (31-56, 24e), les coéquipiers de l'ex-Villeurbannais Lamayn Wilson avaient laissé filer la fin de match, concédant un 50-17 au cours des seize dernières minutes. « Nancy a fait une erreur monumentale à Hyères. L'effet de surprise est annihilé », concède Alain Thinet, sûr que le SLUC ne pourra se permettre de prendre le match par-dessus la jambe.

« Pas d'impasse à faire »


« Mais on l'a dit, on n'a pas de calcul ni d'impasse à faire. On va essayer de jouer les yeux dans les yeux avec Nancy », souffle encore Thinet, rassuré sur le niveau de son équipe après les deux victoires convaincantes à Pau (80-67) puis face au Havre (80-65).
Et l'entraîneur bisontin de prédire : « Si on est rigoureux, on restera dans le match. On doit éviter de tomber dans le ''hourra basket'' ». Une référence peut-être aux dernières secondes du match contre Le Havre au cours desquelles Ahmed Fellah et ses copains étaient tombés dans la facilité. Les Bisontins savent que tout péché de cet ordre sera, cette fois, prohibé.
Il est aussi à souhaiter pour le BBCD, où Darnauzan a été ménagé une partie de la semaine (épaule), que le SLUC ne retrouve pas trop vite cette adresse extérieure qui le fuit depuis le début de saison (16/49 à trois points) et qui avait poussé ses deux précédents adversaires à user et abuser de la défense de zone. Pour palier les carences, Nancy a encore travaillé cet aspect du jeu. Dans une partie de poker menteur, Alain Thinet concède cependant : « La zone ? On la garde en réserve, au cas où... » Info ou intox ? L'équipe : Fellah, Darnauzan, Schmieder, Gunn, Hawkins, Hoard, Doellman, Ford, Diéne, Giaimo. Entr. : Alain Thinet.
Coup d'envoi ce soir (20 h). Espoirs à 17 h 15.

Bastien GORMOND


Est republicain

L'ancien entraîneur de Nancy est sorti de sa retraite ardennaise pour professionnaliser Besançon à tousles niveaux. Le tour des parquets avec Olivier Veyrat, personnage incontournable du basket hexagonal.
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On se demande ce que vous n'avez pas fait dans le basket : joueur, coach, directeur sportif, administratif, consultant TV, émissaire de la Fédération. «Je n'ai jamais joué pivot, seulement arrière ou ailier ! Et je n'ai jamais été officiellement arbitre.»

On oubliait, vous avez été aussi agent, non ? «Recruteur. C'est différent ! Pour des clubs qui me mandataient. Je leur trouvais même les agents des joueurs qui les intéressaient.»
Cette fonction d'agent est la chose que vous détestez dans votre discipline ? «Je préfère m'impliquer dans la construction d'une équipe ou d'un club. Je n'ai pas besoin de ce rapport à l'argent. La motivation financière n'a jamais été mon moteur et il se trouve qu'elle est plus forte qu'ailleurs dans cette fonction.»
Ce que vous avez aimé le plus dans votre carrière ? «Ah, on ne peut pas poser la question comme ça. Mes changements correspondaient à l'âge. Quand je jouais, je ne voulais que jouer, quand j'entraînais, idem. Maintenant, je ne me verrais plus coach. Mais c'est variable pour tout le monde. Quand j'entraînais Nancy, j'ai bataillé avec Jean Galles, soixante ans qui était encore compétent, créatif, dynamique, alerte. Et à cinquante-sept ans, on ne peut pas dire que Jean-Luc Monschau (mentor du SLUC) ne soit pas performant.»
Il y a une place à prendre en équipe de France. «Non, vraiment pas. C'est un poste à réserver pour quelqu'un qui le mérite.»
En voyez-vous en France ? «Oui. Et ils ont la légitimité de la Pro A : Vincent Collet (Villeurbanne), Jacques Monclar, Greg Beugnot (Chalon), Eric Girard.»
Des regrets d'avoir quitté Nancy quand vous voyez où en est arrivé le club ? «Aucun. Nancy a bien grandi, bravo. Je suis content d'y revenir de temps à autre car le SLUC fait partie des endroits particuliers que j'apprécie. Certes, la Lorraine a été un moment important mais, vous savez, on ne fait que passer dans un club comme sur la terre. Je me dis seulement que j'ai apporté ma part : je suis arrivé en Pro B, j'ai quitté le SLUC européen. En six ans.»
Faites-vous du SLUC votre favori pour le titre ? «Il faut que l'équipe se mette en place, ce sera peut-être ce soir contre Besançon ! On risque d'en recevoir une sévère, d'autant que le SLUC va préparer Barcelone (Euroligue, jeudi) ! Sinon, en n°1, je mets Nancy et Le Mans. Ensuite, je vois Orléans, Villeurbanne, Roanne sachant qu'il y a toujours un intrus qui vient d'en-bas et un favori qui se loupe.»
Que vous inspire la nouvelle hiérarchie ? «Voici une anecdote : pour les six matches de gala à Besançon, on a choisi les quatre demi-finalistes 2008 (Nancy, Roanne, ASVEL, Le Mans) et les deux derbys Dijon et Chalon. On n'a même pas Pau ! Or, l'Elan béarnais était dans le top dix européen voici deux ans.»
SLUC - Besançon, l'énième version de l'ogre et du Petit Poucet ? «Oui, David et Goliath, etc. L'ironie est totale : on est leader, Nancy est cinquième! Je suis sûr que le SLUC n'est pas d'accord ! Nous, on cite ce proverbe : ce qui est au chaud ne craint pas la gelée !»Alain THIÉBAUT.

Publié le 18/10/2008
Republicain lorrain

Merci BACOU pour ..TOUTES ces infos J ai meme retardé mon footing pour tout lire A ce soir pour terrasser le co-leader ...virtuel :cheers:

je voulais savoir si le billet du match est aussi valable pour le match des espoirs qui se déroule avant et si la boutique officiel était ouverte les soir de match?

oui et oui

merci beaucoup

Encore un bon début de match pour Roger ce soir ...

Besançon arrose un max!!!

Heureusement qu'ils ne mettent pas dedans ... et pourvu que ça dure !

On perd beaucoup trop de balles...5...déjà...

Ceux qui n'arrosent pas ce sont les Chalonnais : 7 / 11 à 3 points dans le premier quart-temps !!!

Bon premier quart de Cox ! 3 passes, aucune balle perdue, l'inverse de la semaine dernière en somme !

debut de match pas tres rassurant tout de meme du sluc