[ProA - J26] ÉLAN Chalon bat SLUC Nancy, 79-84 (37-45)

Je crois que V-Sam s'est fait écraser la main sur le cercle lors de la dernière claquette dunk de JBAM...

Si notre #13, notre porte bonheur, loupe la fin de saison... Tout un signe.

V-Sam au SLUC :

2006-07 : finaliste. 2007-2008 : champion. 2008-09 : blessé pour la fin de saison régulière + finale CdF + PO. Pas de finale. 2009-10 : ASVEL. Saison blanche pour Nancy. 2010-11 : champion.

Pigiste médical en vue ? Un ailier ?

"Pour lui, finir à 5 points sans bénéficier d’un taux de réussite à trois points (5/20) était aussi significatif du bon match de son équipe."...on va aller loin comme ça. Au bout d'un moment on peut aussi dire que des joueurs qui ratent leurs tirs c'est pas bon et qu'on peut pas gagner en ratant autant. Un joueur de basket pro est paye pour mettre ses shoots non? Il est sacrement gonflant jlm. il se remet jamais en cause c'est grave quand même! Comme le soulignait je ne sais plus qui, sur les 2 interceptions de fin de match le steed anticipe sur des systèmes datant de 2 ans!!! C'est comme le positionnement de king, le coach voit bien que ça coince mais il reste sur ses positions matchs après matchs. Je serais même pas surpris d'apprendre qu'après toutes ces défaites il prepare et aborde les matchs de la même manière sans rien changer. Comment voulez vous remobiliser les joueurs comme ça? Quand ça marche pas il faut savoir se remettre en question, chercher les solutions et s'adapter sinon on va droit dans le mur! Et c'est bien ce qui se passe en ce moment. Heureusement qu'on a grave engrange avec batum. Je me souviens de zianveni qui etait allé au clash avec jlm parce qu'il lui reprochait de faire tjrs les mêmes choses: même système, même entrainement, même préparation de pré saison, même hôtels....julian aussi l'avait stygmatise. Bref une saison bien moisie. Il faut nettoyer tout ça et repartir sur des nouvelles bases. L'année prochaine?...pas sur...

jsl

basket. Pro A (26 e journée). Chalon s’impose avec brio à Nancy (79-84). La machine à gagner
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le 14/04/2012 à 05:00 par Michaël Rigollet Vu 335 fois




Bryant Smith (7 pts) a effectué une belle rentrée lors de la première mi-temps. Photo MaxPPP.
En guise de rédemption, les Chalonnais s’offrent un succès de prestige chez le champion de France en titre. Et s’adjugent presque définitivement la deuxième place du championnat.

Contre Nanterre, un grain de sable avait enrayé la machine à gagner qu’était devenu l’Élan. Une semaine plus tard, on peut supposer que le moteur est reparti de plus belle pour la dernière ligne droite qui s’annonce palpitante.

Les mains dans le cambouis, les Chalonnais ont réparé l’essentiel. À savoir leur défense qui leur permet de développer le jeu offensif en transition qui fait leur force. Et cette efficacité se retrouve dans les chiffres. Dès le premier quart-temps, Chalon profitait des fixations de Schilb au poste bas pour artiller à 3 points en convertissant 7 de ses 10 premières tentatives (20-27, 10 e), à l’instar du flingueur Delaney (4/5).
Bleu de chauffe

Le déluge se poursuivait jusqu’à la pause (10/19) avec des Lorrains, a contrario, capot dans l’exercice (0/9). « La défense du SLUC est très dense du côté fort où on a été pesant » analyse Gregor Beugnot. « On a su renverser à l’opposé pour trouver des bons tirs. Il y a eu la volonté de jouer pour l’autre selon la défense en renversant souvent à l’opposé. »

Pour autant, l’Elan devait enfiler le bleu de chauffe. Les pivots nancéiens, Akingbala et Samnick, pesaient de tout leur poids dans la raquette. Les fautes s’accumulaient pour les Bourguignons. Heureusement, Gregor Beugnot pouvait compter sur Lauvergne qui composait avec Aboudou une paire quasi inédite sous le cercle, mais ô combien précieuse (37-45, 20 e).

Avec une maîtrise et une précision chirurgicale, le collectif chalonnais assommait le SLUC au retour des vestiaires. L’Elan prenait même le large sur un nouveau panier primé de Tchicamboud (49-63, 27 e)… Idéalement servi par Schilb. Tout un symbole ! Et pourtant, les Lorrains ne lâchaient pas le morceau.

Après le chantier des pivots, c’était au tour des extérieurs du SLUC de prendre le relais et donner du fil à retordre aux Chalonnais. Amagou déclenchait une première salve. Avant que ce diable de Shuler n’enquille 9 points de rang pour débuter les 10 dernières minutes alors que JBAM, Aminu et Lauvergne affichaient 4 fautes chacun.

Grâce aux ballons volés sur les montées de balle, les locaux revenaient une première fois sur les talons de Chalon (72-75, 36 e). Schilb reprenait les choses en main, dans le sillage de JBAM, exceptionnel dans le money-time. Les deux hommes inscrivaient d’ailleurs 15 des 17 derniers points de leur équipe. Et mettaient un terme au suspense.

La machine est bel et bien relancée. Et la deuxième place désormais acquise à moins d’un sans-faute orléanais d’ici la fin de la saison régulière, conjugué à 4 défaites pour les Chalonnais. Impensable.

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le chiffre
27 Chalon a battu hier soir son record de fautes (27) de la saison

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le 14/04/2012
à 05:00

Vu 74 fois

27 Chalon a battu hier soir son record de fautes (27) de la saison.
Ce qui n’a pas empêché Jean-Luc Monschau de pester contre l’arbitrage.
Et pourtant, le déséquilibre est flagrant . Nancy n’a écopé que de 16
fautes tout en tirant 27 lancers francs contre 16 à l’Élan. C’est
essentiellement le secteur intérieur qui a été décimé puisque JBAM,
Aminu et Lauvergne cumulaient 12 fautes à la 31 ^e minute.

Basket-ball - Pro A SLUC Nancy - Chalon (79-84) Une passation de pouvoir ?
Courageux, les Nancéiens dominés en adresse, ont failli faire basculer la rencontre pour le hold-up du jour. Mais Chalon a parfaitement résisté et peut lorgner sur la couronne du SLUC.
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les Nancéiens ont toujours fait la course derrière. Photos Patrice SAUCOURT




Jamal Shuler et les Nancéiens ont toujours fait la course derrière. Photos Patrice SAUCOURT
ARTICLES ASSOCIES

Nancy. Ils ont tout donné. Ils se sont arrachés. Ils ont lutté contre l’insolente adresse de l’Élan (13/28 à trois points), contre la remarquable fluidité du collectif de Greg Beugnot et même contre l’arbitrage incohérent du pauvre Monsieur Jacques Boué dépassé par les événements, aveugle sur des fautes évidentes notamment de Jean Baptiste sur Samnick qui amena un panier décisif (74-82, 38’) ou encore sur une antisportive sur Pape Amagou. À Gentilly, on n’est décidément pas gâté cette saison. Rappelez-vous du final contre Gravelines ?..

Courageux, hargneux, agressifs, les Nancéiens dominés, les Nancéiens diminués (blessure de Samnick dans le money-time qui s’ajoute à celle de Mœrman), sont revenus plusieurs fois dans le match en mettant de l’intensité défensive. Notamment lorsqu’après un panier de Bryant Smith (64-73, 34’), les Nancéiens trouvèrent des ressources inépuisables pour venir perturber la montée de balle châlonnaise.

Le chat Shuler sortit ses griffes. Et le SLUC réussit à revenir une première fois à une possession (72-75, 36’) avant de retomber dans ses travers (deux pertes de balles successives de Linehan). « On a été malheureux. On se bat, on revient au courage en forçant l’admiration mais on manque alors les occasions de faire basculer la rencontre », avouait triste Jean-Luc Monschau après avoir vanté avec fair-play la qualité de son adversaire du jour.
L’adresse chalonnaise

Rob Kurz d’un tir à trois points, ralluma la chaudière Gentilly bien tiède hier soir (79-82) à 1’17 de la fin du match. Mais, là encore, devant Akingbala exténué (il a encore joué 33’), Jean Baptiste pourtant affublé de quatre fautes comme ses copains Lauvergne et Aminu, trouva le cercle et délivra une équipe bourguignonne d’une sérénité exemplaire et qui donna l’impression que rien ne pouvait lui arriver même lorsque le SLUC et un certain Amagou retrouvé après la pause (12 points), appuyèrent, là où ça devait faire mal. « On a gardé notre calme, notre sérénité dans des conditions difficiles. On a eu cette volonté de jouer pour l’autre », insistait heureux Gregor Beugnot, coach brillant d’une équipe remarquable, lancée sur orbite par une adresse diabolique à trois points.

Imaginez qu’à la mi-temps, le SLUC, meilleure équipe à trois points de la Ligue avant le match, avait affiché tout mouillé, sur neuf shoots tentés, une bulle derrière la ligne à 6,75 m. Pendant ce temps-là, Chalon et Delaney (4/5 à la pause) avait surfé sur un 10/19. Faites le calcul. Il est édifiant et fait mal aux dents : trente points de différentiel. Bonjour les dégâts !

Le reste, dans un sport d’adresse, parlez-en à coach Monschau, c’est de la littérature…
Le SLUC plombé

Et pourtant, en rentrant aux vestiaires (37-45), aussi incroyable que ça puisse paraître, le SLUC n’était pas mort. Il avait même trouvé dans ses fautes provoquées, dans son abnégation, des raisons d’espérer d’autant que les intérieurs de Chalon traînaient des fautes comme des boulets. « Le très bon passage de Joffrey Lauvergne nous a été précieux surtout lorsqu’Aminu et Jean Baptiste ont pris des fautes », faisait remarquer l’expert Greg Beugnot.

La richesse du banc de Chalon et la faiblesse de celui du SLUC (voir par ailleurs), voilà sans doute, une des raisons majeures du succès de l’Elan qui aura donc toujours mené ou presque (12-13 5’ ; 31-41, 18’ ; 56-65, 28’ ; 69-75, 35’) et qui aura montré hier soir chez le champion de France qu’il pouvait logiquement lorgner sur sa couronne.

Pour le SLUC, cette troisième défaite consécutive toutes compétions confondues, plombe les espérances nées à Cholet. Il faudra toujours gagner au minimum trois matchs pour espérer une petite place dans le top 4.

Pour le top 2, c’est réglé. Bienvenue dans l’antichambre de Bercy à Gravelines et Chalon. En une semaine, les Nancéiens viennent de leur ouvrir la porte de la salle d’attente…

Gilles GAIHIER

Le fait du match En rupture de banc

En manque de rotation efficace (notamment à cause de l’absence d’Adrien Moerman, blessé), les Nancéiens ont souffert hier soir face à des remplaçants chalonnais dont l’apport a été « considérable » selon Steed Tchicamboud.
ARTICLES ASSOCIES

Nancy. Bien sûr, il y a ces treize shoots à trois points réussis par Malcom Delaney et ses copains Chalonnais. 39 points obtenus depuis l’arc de cercle, c’est énorme ! Surtout comparé aux cinq petits tirs marqués par les Nancéiens. Difficile de donner tort à Jean-Luc Monschau lorsqu’il avance cet argument pour expliquer l’écart final, qui aurait pu être tellement plus large.

Mais hier, il n’y a pas que derrière la ligne des trois points que le contraste était flagrant entre les deux équipes. Si l’on compare l’apport des bancs respectifs, la balance penche largement du côté de l’équipe de Greg Beugnot. Elle qui a finalement relativement peu souffert du nombre de fautes dont ont très vite été taxés ses intérieurs. Pourquoi ? Parce que « l’ancien » (Bryant Smith) et les gamins (Lang, Aboudou, Lauvergne), sans oublier Jean Baptiste Adolphe auteur d’un gros dernier quart-temps, ont tous fait le métier lorsque le coach a fait appel à leurs services. Au final, le banc chalonnais aura cumulé cinquante-cinq minutes de temps de jeu (20 points), contre seulement quarante pour Nancy (10 points). « Notre banc a eu un apport considérable », félicitait le capitaine Steed Tchicamboud, « De toute façon, quand nos jeunes joueurs sont bien, l’équipe tourne bien. »

De son côté, Jean-Luc Monschau était évidemment moins enthousiaste : « notre manque de profondeur de banc nous pénalise. Le mérite des garçons qui ont beaucoup joué n’en est que plus grand. Mais pour revenir de -14 et être à nouveau dans le coup à quelques minutes de la fin, nous avons fourni de gros efforts sur peu de joueurs ».
Le mystère King s’épaissit

Forcément, le travail de sape effectuer par Chalon sur des joueurs comme Akingbala ou Linehan qui sont tous deux restés trente-cinq minutes sur le parquet, devait finir par payer. Et hier encore, on ne pouvait qu’espérer un retour rapide d’Adrien Mœrman, qui manque tant dans le secteur intérieur du SLUC.

Avec ses sept rebonds, son tir à trois points précieux en fin de match, Rob Kurz a sauvé la face. Kenny Grant (2 points, 2 passes en 11 minutes) et Abdel Sylla (2’15 de jeu) n’ont pas pesé suffisamment sur le jeu nancéien. Et que dire une nouvelle fois de la sortie de Bernard King ? Il avait pourtant semblé plus mordant que ces dernières semaines lors de ses premières minutes passées sur le parquet. Puis il a sombré. Une fois de plus, le SLUC a joué sans ailier. Bernard King qui s’est présenté en conférence de presse les yeux rougis et la mâchoire serrée : « je suis très frustré, mais je n’ai pas envie d’en dire plus… » Sentiment de malaise. Le mystère King est décidément de plus en plus épais.

Thomas SIMON

publié le 14/04/2012 à 05:00
Basket | pro a Le SLUC vit encore
Une nouvelle défaite, fâcheuse pour le classement, mais la manière laisse augurer des jours meilleurs ! Le Sluc est tombé sur un opposant musclé et talentueux.





Linehan et les Nanciens se sont bien battus ! Mais ça n’a pas suffi... Photo Anthony PICORÉ




Les enfants de Jœuf et de Thionville, profitant des vacances pour venir aider le Sluc à retrouver le coup de pédale nécessaire, n’ont pas dû être déçus de ce duel haletant, heurté, incertain. N’empêche, tant d’abnégation et de volonté n’ont pas suffi à Nancy qui vient de vivre les trois jours de la panne après avoir cédé à Gravelines et au Havre. Chalon peut donc toujours bomber le torse tel un grand voyageur (deux revers seulement). Voilà qui atténuera la déception de Lorrains à l’état d’esprit irréprochable et vaincus au terme d’un combat de titans : Chalon, c’est du béton.

Moins huit à la pause ? Nancy s’en tirait à bon compte face à un rival éblouissant d’adresse à trois points. À Chalon, cela fusait de toute part. Spécialité bourguignonne presque indigeste pour un Sluc abandonné, en revanche, par ses mains chaudes. Ce zéro pointé dans les tentatives (dix tirs de différence) était pourtant compensé par des intérieurs décidés à l’image d’Akingbala et Samnick. Dix des douze premiers points lorrains et 50 des unités à la pause.

Tant d’ardeur, de vivacité, de provocations perturbaient l’élégance chalonnaise un peu fainéante sur ses jambes. Comme l’arbitrage penchait du côté nancéien, le Sluc se goinfrait de ses friandises accordées par un trio de sifflets qui faisait hurler le coach Beugnot. Huit fautes personnelles à une puis seize à huit en vingt minutes, le camp local n’avait pas à se plaindre avec ces multiples bonus aux lancers francs : 18 à 5 en cette période initiale enlevée.

Chalon s’offrait les premières échappées (12-16) avant que le champion en titre ne régisse violemment en filant un 8-0 dégoulinant de promesses. Mais, cette saison, l’Élan chalonnais a de la carrure. Et une tête à l’endroit. La réponse de Delaney, Tchicamboud, des jeunes Lauvergne et Lang s’avérait d’autant plus cinglante que les rotations du Sluc coinçaient. Le 0-11 traduisait aussi une domination dans les airs des hommes de Beugnot soudains enclins à défendre. Au bout de dix encablures (22-27), Chalon avait annoncé la couleur des difficultés, même si Akingbala, Schuler et Linehan se démenaient comme de beaux diables à la recherche d’un coin de paradis.

En face, Chalon, avec son équipe de remplaçants maintenait son contrôle des opérations, allant jusqu’à jeter des frissons dans les gradins (- 11 à la 18 e ). Encore une fois, le Sluc fournissait les efforts pour ne pas craquer face à un adversaire couvert de sanctions : cinq joueurs à deux fautes, un à trois ! Et cet acharnement arbitral se poursuivait dans l’acte III. Les visiteurs, alourdis par le poids de ces punitions, trouvaient quand même les ressources pour contrer le duo Schuler – Amagou, d’une efficacité salvatrice quand le bateau tanguait fort : - 14 (27 e). Cette empoignade, au fil des minutes, prenait une dimension hargneuse à souhait, entre engagement physique et palabres de toutes sortes. Pourtant, l’équipe de Saône-et-Loire demeurait imperturbable pour garder les commandes.

Le Sluc, hardiesse maximale, bousculait les Bourguignons en fin de troisième quart-temps et au commencement du quatrième. Ce retard de 14 longueurs fondait pour arriver à 5 (64-69, 32 e) puis à 3 (72-75, 36 e). Les Nancéiens, dopés par une bascule possible, embrasaient un palais plein de bruit et de fureur. Las, quelques solos de trop, du bon pain pour une défense de Chalon intelligente, échouaient au port. Le dauphin de l’élite se découvrait des atouts jusqu’alors endormis. JBAM Adolphe enfonçait le clou sous le cercle, la star Schilb payait de sa personne et Greg Beugnot tirait les ficelles avec métier. Moins trois à soixante secondes de l’issue fatale mais le succès revenait à la formation qui avait effectué la course devant pendant 90 % du temps. Pas illogique.
Alain THIÉBAUT.

Jacques SANTINI a écrit:

James a écrit:

C'est vrai que Bernard King à la mène serait intéressant (...) Mais JLM est incapable de l'utiliser à bon escient...et nous fait une Videnov.
Nous sommes condamnés à bricoler jusqu'à la fin de la saison et c'est vraiment frustrant.

Ben franchement si c'est à cause de JLM que King joue ainsi...
King a fait un superbe match (Le Mans) où face à une bonne équipe, il a vraiment montré le niveau auquel il pouvait jouer...
Mais bon depuis il aligne des performances très mauvaises... tiens ce soir, il rentre et veut faire une passe à Akin... mais qui est bien trop haute et qui fini dans les tribunes... c'était sa première action... j'ai cru que N'Joya était revenu !!!

Seidou était bien dans les tribunes hier soir, et la pique envers Seidou n'est pas très sympa Jacques .
Il y a encore un palier à passer par rapport au niveau haut de ProA mais Seidou semble avoir réalisé une excellente saison avec Boulazac, bien présent deriière leur trio américain et depuis sa blessure, leurs résultats s'en ressentent. Parenthèse mise à part, si demain on me demandait si pour la fin de la saison je veux voir un essai de B.King à la mène ou je peux l'échanger contre un Seydou N'Joya [non blessé], j'hésite même pas une seconde, je prends Seydou; parce qu'un N'Joya c'est peut être moins de basket dans les mains à l'heure actuelle mais un état d'esprit irréprochable, toujours à fond quand il portait le maillot du Sluc.


J'ai bien lu les posts au-dessus et oui, on peut voir s'il n'y aurait pas des circonstances atténuantes: pas à son vrai poste, système pas fait pour lui, etc. Il a le droit de ne pas être en réussite pendant une période, mais l'état d'esprit que B.King manifeste sur le terrain m'est insupportable, non professionnelle.
Hier soir en phase offensive, une fois arrivé dans son corner, il a passé >90% temps statique ou à marcher. Deux fois, il se met à trottiner vers le cercle pour faire semblant de s'intéresser à un rebond, sauf que comme il démarre deux secondes trop tard...
Faut arrêter, la frustration n'exonère pas d'un minimum d'implication. Peut être un léger mieux en défense vu qu'on part du quasi-néant. Mais rien qui justifie une réintégration dans le 5 ou un temps de jeu en augmentation.


« On a été malheureux. On se bat, on revient au courage en forçant l’admiration mais on manque alors les occasions de faire basculer la rencontre » dixit JLM.
Là, pareil faut pas pousser, j'ai vu une équipe convalescente mais qui n'a sucité aucune admiration ni grand enthousiasme du public. On rate surtout une occasion face à un Chalon qui hier à Gentilly etait très très loin du meilleur visage du Chalon (enfin j'espère pour eux), défendant à coup de gourdin et appliquant une méthode simple: le renversement de jeu tant que possible (ça ouvre des positions de shoot ouverts - donc l'adresse miraculeuse des Chalonnais face à de malheureux nancéen c'est à relativiser aussi).
Comme en plus, effectivement, on est tombé sur un Mr Boué à côté de la plaque sur bien trop de coups de sifflet; même si ça ne suffit surtout pas à expliquer la défaite.


Et quand rien ne veut bien se passer, désormais on va perdre le joueur qui est de loin notre meilleur joueur sur les 1-2 derniers mois = V-Sam
Du coup, on va bricoler à Roanne, pour se retrouver avec un attelage Moerman-Kurz en 4 à partir d'Orléans qui ne va pas améliorer l'équilibre de l'équipe avec deux joueurs aux profils similaires.
Avec l'arrivée des allergies qui vont comme chaque année bien plomber les performances physiques d'Akinator d'ici peu.

Elles va être longue cette fin de saison, mais longue, trop longue, incroyablement trop longue.

Je veux pas défendre à tout prix King mais c'est un pro. Il a du vécu et doit aussi penser à son contrat à venir. Alors quand je lis ça, je m'interroge :

Bernard King qui s’est présenté en conférence de presse les yeux rougis et la mâchoire serrée : « je suis très frustré, mais je n’ai pas envie d’en dire plus… » Sentiment de malaise. Le mystère King est décidément de plus en plus épais.


Si le type annonce des systèmes et que les joueurs font autre chose, si la balle ne lui arrive qu'en dernier ressort, par défaut, il peut aussi se demander pourquoi on l'a fait venir... son CV dit pas que c'est un tâcheron

Au dernier arrivé de faire l'effort pour s'intégrer, certes. OK pour le principe... mais il doit être vraiment aidé, non ?

lolo a écrit:

Je ne crois pas une seconde à King poste 1.Il n'a ni la vision ni la capacité d'organisation d'un meneur

Faux et re-faux. King est un combo qui peut largement jouer meneur, il a le talent de passe et la vision du jeu pour. Il n'y a qu'à demander à l'ASVEL ce qu'ils en pensent (c'était il y a longtemps, certes, mais ça ne se perd pas).

King est peut-être à l'écart du groupe ??? Quoi qu'il en soit, on ne peut rien espérer avec un joueur qui a le moral dans les chaussettes et qui doit être normalement la pierre angulaire de l'équipe. Là, il joue 10 - 12 min par match. Et Shuler manque forcément de lucidité vers la fin.

Nous n'avons rien à attendre de cette équipe malheureusement !!!

Elle est bien trop déséquilibré, JLM ne changera pas et surtout ne se remettra jamais en question... il préfère dire que ses joueurs ont été "pas mal du tout" et que les arbitres.... on connait la musique malheureusement.

PATHETIQUE !!!

King ne joue pas à son poste et ne fait pas trop d’effort non plus et vu que JLM est un piètre meneur d'homme... il ne gère pas le problème King, qui nous plombe la saison d'ailleurs, il préfère le coller sur le ban et attendre. Il est coutumier de voir JLM scotcher un joueur plutôt que de se remettre en question et faire évoluer les choses... et vu que nous n'avons pas de président pour imposer quoique se soit...

Et tout le groupe le ressent !!! d'où un manque d'implication de certain...

JLM s'aborde la saison volontairement ? Souhaiterait-il être remercié en fin de saison ? pour un autre projet ? ou est-il cette année complètement débordé par cette équipe bancale ?

Peut être, mais c'est mon avis

JLM a bien trop d'ego pour se remettre en question une seule seconde, en tout cas publiquement, voilà tout.

Ouais. Ca aussi ça me gonfle. Le président, passif sur le bout du banc... Alors on ne veut pas dépenser un sous pour quoi que ce soit dans l'extra-sportif (ce qui pourrait apporter au club), mais on paye un arrière pour le faire jouer sur l'aile, et comme ça ne marche pas, on le colle sur le banc. Bref, on paye un joueur pour rien, mais ce n'est pas grave...

On pourrait pourtant, si JLM ne souhaite pas chambouler la hiérarchie de son équipe car apparemment on gagne trop de matches en ce moment (ou alors cela risque de ne pas plaire aux joueurs...), trouver un club puis libérer Bernard King, histoire qu'il puise jouer cette saison. On économiserait de l'argent, et nous notre salive.

Je ne vois absolument pas l'intérêt de le conserver pour à chaque fois faire le bug suivant : on le met sur l'aile 10 minutes, puis sur le banc.

King, il doit jouer au poste 1 (voire au 2), que cela plaise à Linehan ou pas. L'an passé, Grant, N'Joya, Linehan et Deane cohabitaient sur les postes 1 et 2. Chacun pouvait jouer sur les deux postes.

Cette saison, je suis désolé, mais cela pourrait être exactement la même chose avec Linehan, Grant, Amagou et King.

Shuler lui, il reste sur son poste 3. Et pour rester lucide en fin de match, et bien il fait pareil que Darden : il ne cour pas dans tous les sens dès le début du match, il s'arrache en défense, il se fait oublier en attaque en attendant son heure.

Je ne vois pas pourquoi King ne pourrait pas prendre des minutes sur le poste 1. Je ne vois pas. Et ça, c'est frustrant. Car c'est un super attaquant, avec une très bonne vision du jeu.

Mais sur son aile, il pourrie, et les autres ne lui font pas confiance, et ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

1. Linehan (grosse défense, mise en place du jeu sur demi-terrain en donnant la gonfle aux intérieurs, et sortie de jeu après 4/5 minutes, histoire qu'il puisse défendre fort à chacune de ses entrées ; 4/5 minutes par quart temps, soit 16/20 minutes par match c'est très bien) - King (entrée en jeu après 4/5 minutes de jeu, pour prendre le relais de Linehan, mais dans un rôle de créateur dynamique, scoreur)
2. PPA (défense, percussion/aggressions en attaque pour provoquer des fautes et apporter une alternative lorsqu'il est difficile d'amener le cuir à l'intérieur par la passe) - Grant (principalement comme shooteur - son tir doit être son arme #1)
3. Shuler (se concentre sur la défense, et joue en finisseur en profitant des passes des meneurs)

en meme temps faut pas chercher avec king, le probleme n'est pas le talent ou bien le poste, je me suis "amusé" à le guetter, mais clairement le type est le pire des fouteurs de merde ça se voit a son attitude sur le terrain et meme quand il regagne le banc ou il daigne meme pas taper la main de celui qui rentre ou du reste du banc, bref un parfait pourrisseur de collectif...

Sinon, vivement que la saison se termine qu'on passe a autre chose avec enfin de nouveau un vrai 3!!!

Rasheed Wallace a écrit:

JLM a bien trop d'ego pour se remettre en question une seule seconde, en tout cas publiquement, voilà tout.

le coach a forcément sa part dans le jeu collectif indigent qui nous est offert... maintenant si remise en cause personnelle se fait discrètement, ça me va aussi... pas besoin que son mea culpa se fasse sur CNN, voire sur le forum... juste que toutes les parties prenantes, y compris lui, se bougent le derrière et que ça se voie sur sportlemontv

Sans le vouloir, on économise deux salaires en attendant. Recapitalisation ^^

Victor Samnick indisponible 3 semaines
Publié le 15/04/2012 à 08:57 par Gabriel Pantel Jouve

Blessé vendredi soir au pouce, Victor Samnick va manquer trois semaines de compétition indique L'Est Républicain. Un coup dur pour le Sluc Nancy qui lutte actuellement pour intégrer le top 4 et qui doit déjà se passer d'Adrien Moerman sur le poste 4 - retour prévu aux alentours du 28 avril contre son ancien club Orléans.

A propos de King :

Citation :

« Je suis obligé de le sortir car sur le terrain, il n’apporte rien à l’équipe », regrettait vendredi soir le coach du SLUC qui ne comprend pas.

comprend pas comprend pas comprend pas

Theseus a écrit:

A propos de King :

Citation :

« Je suis obligé de le sortir car sur le terrain, il n’apporte rien à l’équipe », regrettait vendredi soir le coach du SLUC qui ne comprend pas.

comprend pas comprend pas comprend pas

Ce n'est pourtant pas compliqué...

Non pas compliqué,tout le monde se casse,staff,joueurs dirigeants ,et on reconstruit..!! :cheers:

vivement la fin de cette saison...
marre des altermoiements à n'en plus finir:

1 départ anticipé de Batum
2 Feuilleton Gelabale jusque dans les halls d'aéroport
3 Economies du CA sur les droits EL
4 Interim mystère de Gregory
5 feuilleton pivot Ajinca
6 arrivée de King et son mental d'acier
7 départ de Badiane
8 arrivée mystère de Kurz
9 feuilleton allo maman bobo de la moitié de l'effectif
10 feuilleton changement de coach en bruits de couloirs de Roanne
11 blessures de Moerman et VSam

Merci pour les grandes émotions du début de saison, inoubliables, mais là c'est devenu un peu n'importe quoi avec des déculotées et une pauvreté de jeu à la hauteur de nos exploits d'automne.
J'en ai un peu ma claque là. Si JLM et Fra sont pas OK avec le CA, qu'ils trouvent un terrain d'entente et passent la main, si le CA n'est pas content qu'il tape du point sur la table et les vire.
peu importe ce qui doit se passer à l'intersaison ni avec qui on repartira mais que l'on ai au moins une équipe équilibrée à défaut d'hyper- talentueuse avec une vraie hiérarchie et des joueurs évoluant à leurs postes de prédilection.

Avec Moerman ou Samnick ou sans eux ,les resultats etaient, sont et seront les mémes !!

andiamo a écrit:

vivement la fin de cette saison...
marre des altermoiements à n'en plus finir:

1 départ anticipé de Batum
2 Feuilleton Gelabale jusque dans les halls d'aéroport
3 Economies du CA sur les droits EL
4 Interim mystère de Gregory
5 feuilleton pivot Ajinca
6 arrivée de King et son mental d'acier
7 départ de Badiane
8 arrivée mystère de Kurz
9 feuilleton allo maman bobo de la moitié de l'effectif
10 feuilleton changement de coach en bruits de couloirs de Roanne
11 blessures de Moerman et VSam

Merci pour les grandes émotions du début de saison, inoubliables, mais là c'est devenu un peu n'importe quoi avec des déculotées et une pauvreté de jeu à la hauteur de nos exploits d'automne.
J'en ai un peu ma claque là. Si JLM et Fra sont pas OK avec le CA, qu'ils trouvent un terrain d'entente et passent la main, si le CA n'est pas content qu'il tape du point sur la table et les vire.
peu importe ce qui doit se passer à l'intersaison ni avec qui on repartira mais que l'on ai au moins une équipe équilibrée à défaut d'hyper- talentueuse avec une vraie hiérarchie et des joueurs évoluant à leurs postes de prédilection.

Mais tu piges que Fra fait partie intégrante du CA ?