[Proa j22] Elan Chalon - sluc nancy

http://www.estrepublicain.fr//sport/2016/03/02/steed-tchicamboud-(sluc-nancy)-je-vais-etre-emu-de-revenir-a-chalon

À l’automne 2014, son histoire s’était mal finie avec Chalon, suite à un désaccord avec l’entraîneur. Seize mois plus tard Steed Tchicamboud revient pour la première fois au Colisée sans esprit de revanche.
Nancy. Quand il avait signé à Chalon à l’été 2010 pour cinq saisons, Steed Tchicamboud imaginait finir sa carrière dans son club formateur. Mais l’histoire s’est finie en eau de boudin. En froid avec l’entraîneur Jean-Denys Choulet, le meneur a été écarté du groupe après un ultime match le 24 octobre 2014 face au… SLUC Nancy avant de rebondir à Limoges puis Roanne (Pro B). Depuis, le vice-champion d’Europe 2011 guettait la date de son retour au Colisée. Ce sera pour samedi.

Est-ce que cela fait longtemps que vous pensez à ce retour à Chalon ?

Oui. Que ce soit à Paris-Levallois ou à Nancy, j’ai tout de suite regardé la date à laquelle je reviendrai là-bas. C’est un retour à la maison auquel je pense depuis un moment. Je sais que je vais être ému.

Vous avez quitté l’Elan Chalon en novembre 2014 dans des conditions douloureuses. Vous êtes parti vraiment fâché ?

Je n’ai jamais été fâché contre le club. Jamais ! Quand j’entends certains dire que j’ai craché sur mon club formateur, celui avec lequel j’ai remporté ces différents titres (Ndlr : triplé championnat-Coupe-Leaders Cup en 2012, Coupe de France en 2011), cela me fait rire. C’est juste que je ne m’entendais pas avec le coach (Jean-Denys Choulet). Il y a des moments dans une carrière où vous ne vous entendez pas avec votre entraîneur. Dans ces cas-là, il vaut mieux partir…

Quand vous aviez signé à Chalon en 2010, vous imaginiez pourtant y terminer votre carrière…

C’est vrai. J’avais signé cinq saisons avec une reconversion à la clé. Mais il y a eu ce problème et le président (Dominique Juillot) a dû faire un choix entre le coach et moi. Je n’ai pas voulu polémiquer et j’ai préféré m’en aller.

« Choulet a sali mon nom »

Vous avez eu l’occasion de reparler avec le coach depuis ?

Lui reparler ? Ce n’est pas envisageable ! Je n’ai aucune haine, mais c’est juste qu’aujourd’hui, il a sali mon nom en disant que je foutais la m… dans l’équipe. Ce n’est absolument pas vrai. Mais dans tous les clubs où il est passé, il a eu des problèmes avec des joueurs. Même cette saison, je crois savoir qu’il y a eu des problèmes. On va dire que c’est encore Steed qui a monté la tête à quelqu’un, mais bon, Steed, il n’est plus là-bas.

Dans ce contexte, difficile d’imaginer que vous n’allez pas revenir avec un esprit de revanche énorme…

Je n’ai aucun esprit de revanche par rapport au club, au président, c’est juste par rapport au coach. Je vais disputer un match. Il s’avère que c’est dans le club où j’ai eu le plus d’émotions, celui avec lequel j’ai vécu le plus de choses dans ma vie. Mais cela reste un match de basket que l’on doit gagner face à une bonne équipe de Chalon. On va essayer de rester dans la partie, afficher une grosse défense car ils ont la meilleure attaque du championnat et jouent un basket de ’’run and gun’’.

« Avant Paris, le coach est venu me parler… »

Le SLUC reste sur quatre succès lors des cinq dernières journées. Une embellie à laquelle vous n’êtes pas étranger puisque depuis votre arrivée, vous carburez au super (18 points, 5,7 passes, 17,7 d’évaluation en six matches). Honnêtement, est-ce que vous vous attendiez à avoir un impact aussi important ?

Pas dans le scoring. Maintenant, avant mon deuxième match contre Paris-Levallois, le coach est venu me parler. Il m’a dit ’’je n’ai pas envie de voir le Steed de ces dernières saisons, mais celui de Cholet (Ndlr : où il a joué de 2006 à 2008), qui marque, fait jouer l’équipe…’’ Cela m’a donné confiance. J’ai une bonne adresse à trois points (51,2 %), ça aide aussi. Mais je travaille beaucoup après les entraînements.

À votre arrivée, beaucoup étaient sceptiques car vos passages à Limoges et Paris-Levallois avaient été décevants. Est-ce que vous ressentez aussi une satisfaction par rapport à ceux qui pensaient que vous étiez ’’cramé’’ ?

Vous savez, je suis vraiment tout ce que le coach me dit à chaque fois. Quand j’ai signé à Limoges, c’était pour suppléer Pape-Philippe Amagou qui était blessé. On m’a demandé de faire jouer l’équipe sans jouer les GI Joe (sic). C’est ce que j’ai fait. À Paris-Levallois, on m’a dit qu’il y avait un Américain devant moi (James Florence) et on m’a demandé d’être en quelque sorte le tonton de l’équipe. À Nancy, on m’a dit ’’tu as les rênes de l’équipe, on a besoin de scoring, de ci, de ça’’. Je m’adapte. La meilleure réponse que je peux apporter (à ceux qui doutent), c’est sur le terrain. C’est là où je redonne la confiance que le coach et le président ont mise en moi.

À Nancy la saison prochaine ?

Lors de sa signature au SLUC début janvier, il avait laissé entendre qu’il raccrocherait peut-être les baskets à la fin de la saison. Mais même s’il aura 35 ans en juin, difficile d’imaginer qu’il n’envisage pas de jouer les prolongations alors qu’il compile les meilleures stats de sa carrière. Alors ? « Je suis dans l’état d’esprit de regarder comment se termine la saison », glisse l’intéressé. « C’est vrai qu’avec Nancy, on a un papier qui dit qu’il peut y avoir une deuxième saison. C’est un accord bilatéral. Le club peut dire qu’il refuse de me reconduire et moi aussi. » En clair, si le club et le joueur sont satisfaits, l’aventure sera prolongée la saison prochaine. En tout cas, le meneur s’imagine facilement vivre une quatrième saison en Lorraine (il y a joué de 2008 à 2010). « Si ça ne tenait qu’à moi ? Oui, je resterai. Je me sens bien ici, j’adhère au discours du coach, je réussis ma meilleure saison sur le plan statistique… Alors pourquoi pas ? »

Sans Randal et avec nos lacunes connues, il nous faudra de toute façon un Tchi à 35 d'éval pour que l'on ai une chance de gagner face à l'Elan

Neodurden a écrit:

Sans Randal et avec nos lacunes connues, il nous faudra de toute façon un Tchi à 35 d'éval pour que l'on ai une chance de gagner face à l'Elan

On ne sait jamais, si l'Elan n'a pas d'adresse à 3 points sur tout le match, il y aura possibilité de gagner au Colisée...

En effet, un match qui se jouerait uniquement à 3pts, on a plus nos chances que si ça se jouait à l'intérieur
Et si Tchi va vouloir briller, on sait qu'en face le bon Devin va vouloir et pouvoir se faire plaisir en l'absence de Randal

Chalon qui gagne ce soir 104-91 contre Ostende et se qualifie pour les quart de finale de la FIBA Europ cup

une longue interview du Tchi dans BasketHebdo.

Non seulement il joue bien mais, en plus, il y est sympathique (c'est Rosalie des bois qui va être contente ).

On y apprend que :

1) si le SLUC ne l'avait pas contacté à son retour des vacances de Noël, il arrêtait définitivement sa carrière de joueur (on doit en déduire que, ce qui lui arrive en ce moment à Nancy a surpris le forum, la France du basket et probablement un peu lui-même aussi !),

2) il avait déjà failli venir l'an passé au moment du départ de Darius Adams... Comme il se venge de ses anciennes équipes (la misère qu'il a mise à Paris-Levallois cette année), dommage qu'on ne l'ait pas eu en demi--finales contre Limoges : on passait haut la main !

Le Maccabi et Olympiakos veulent recruter Devin Booker mais Chalon a refusé l'offre.

L'est de ce matin.

Booker a grandi loin de Nancy

Nancy. C'est l'histoire d'une étoile filante que les Lorrains amateurs de basket ont simplement entre-aperçu l'espace d'un court instant. Trop court si l'on en juge par son rayonnement, aujourd'hui.

En recrutant Devin Booker (pendant l'été 2013), qui sortait tout droit de l'université de Clemson, Alain Weisz savait qu'il venait de toucher une perle rare. Un « prospect » (grand espoir) sur lequel de nombreuses franchises NBA avaient déjà les yeux braqués, bien qu'il ait été oublié par la draft. Encore un peu vert pour les joutes de la prestigieuse ligue US, le frère cadet de Trevor Booker (Utah Jazz) avait été prié d'aller faire ses classes en Europe.

Or, à Nancy, c'est l'urgence du résultat qui a dicté la démarche du club. Bien conscient du dilemme, Alain Weisz a estimé que le SLUC ne pouvait pas se permettre de prendre le temps de façonner ce diamant brut aux exigences du basket français. On pourra toujours discuter ce choix. C'est beaucoup plus facile aujourd'hui.

Le joueur, lui, est donc passé par les méandres de la Pro B (avec Bourg-en-Bresse), avant de découvrir véritablement le niveau supérieur, sous le maillot de Bourg d'abord, puis avec celui de l'Elan Chalon. Cette invitation à emprunter l'itinéraire « bis », Devin Booker l'a-t-il complètement digéré ? Sa réponse laisse la place à différentes interprétations : « Je ne regrette pas mon passage à Nancy, puisque cela m'a permis d'être là où je suis aujourd'hui... Je pense que j'étais déjà plutôt un bon joueur lorsque j'étais à Nancy, mais on ne m'a pas donné l'opportunité de montrer aux gens ce que je savais faire. Je n'ai pas trop compris pourquoi... Cela dit, Nancy ne m'a pas blessé. Disons qu'ils m'ont aidé à devenir le joueur que je suis désormais. Aujourd'hui, j'ai la satisfaction de pouvoir montrer au coach de Nancy que je suis capable de jouer à ce niveau... »

Bien entendu, Devin Booker jure ne pas être animé par un quelconque sentiment de revanche lorsqu'il croise la route du SLUC : « Je joue contre Nancy comme contre n'importe quelle autre équipe. Bien sûr, je serais très heureux de faire un bon match contre eux... »
« Je joue avec plusde confiance »

Aujourd'hui, Devin Booker n'est plus le « rookie » de la raquette nancéienne, obsédé par l'idée de s'écarter du cercle. Le solide gaillard (2,03 m) martyrise tous les cercles qui passent à sa portée. Sous les ordres de Jean-Denys Choulet, il est devenu l'un des intérieurs les plus dominants en Pro A (14,7 points, 7,2 rebonds de moyenne, 19,7 d'évaluation). Une sorte d'arme fatale, dont les statistiques n'ont pas souffert du passage de la Pro B à la Pro A. Au contraire.

« Je ne pense pas avoir progressé tant que cela depuis mon arrivée en France », estime-t-il. « C'est juste une question de coach qui ont cru en moi et en mes capacités. Évidemment, j'ai travaillé différents aspects de mon jeu, mais rien n'a véritablement changé dans ma façon de jouer. Simplement, je joue avec plus de confiance. Et çà, je le dois au coach de Bourg et à celui de Chalon. »

Cette confiance, Devin Booker l'a également vis-à-vis de ses coéquipiers de l'Elan Chalon. Il n'y a pas besoin de la pousser beaucoup pour qu'il prête à son équipe, récemment finaliste de la Leaders Cup, un avenir radieux : « Nous avons d'excellents joueurs, du poste un au poste cinq. Si nous restons bien concentrés et que nous continuons à jouer notre basket, je pense que nous avons une chance d'aller au bout. Nous avons une vraie opportunité d'être sacrés champions de France à la fin de la saison. »
Thomas SIMON

l article du répu lorrain ce samedi matin

Basket : Le SLUC Nancy à l’épreuve du feu

Meilleure attaque de Pro A, l’Elan Chalon se dresse, ce soir, sur la route du SLUC Nancy. Pour espérer réussir l’exploit et battre leur premier pensionnaire du top 8, les Nancéiens devront sortir un gros match.

05/03/2016 à 05:05 , actualisé hier à 23:25 Vu 2 fois
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Depuis qu’il entraîne chez les professionnels, Jean-Denys Choulet s’est vu coller l’étiquette d’homme porté sur l’attaque. Même si celle-ci est sans doute un brin réductrice, l’examen du passé est là pour rappeler qu’elle n’est pas posée par hasard.

Et ce n’est pas cette saison qui changera l’image du technicien. L’Elan Chalon possède une attaque de feu. Avec 87,1 points de moyenne, le club bourguignon a l’attaque la plus prolifique de Pro A. Et sur les six derniers matches de championnat, il tourne même à plus de… 101 points ! Des chiffres vertigineux qui situent un peu mieux l’ampleur de la tâche qui attend le SLUC. Et pour corser un peu plus le tout, le club nancéien devra désormais faire sans un de ses plus féroces défenseurs, Randal Falker, opéré du coude en début de semaine…

« Plus des lévriers que des bouledogues »

Dans ce contexte, on peut se demander quelles recettes pourra bien utiliser la troupe d’Alain Weisz pour essayer de museler Chalon. « Il y a des recettes théoriques et ce qui se passe sur le terrain » , confie l’entraîneur nancéien. Le SLUC a peut-être d’autres pistes à creuser. « Le point faible des Chalonnais se situe peut-être dans leur manque de puissance , reprend Alain Weisz. À quelques exceptions près, ce sont plus des lévriers que des bouledogues. »

Après avoir remporté quatre de ses cinq derniers matches face à des équipes de bas de tableau pour prendre une belle option sur le maintien, le SLUC Nancy sait ce qu’il faudra faire pour essayer d’accrocher, enfin, son premier succès face à une équipe du top 8. Cela passera notamment par sa capacité à freiner les individualités bourguignonnes, notamment Devin Booker, candidat au titre de meilleur joueur du championnat, et jamais aussi motivé que face à cette équipe nancéienne qu’il avait quittée au bout de quelques mois en 2013/2014.

Cela passe aussi par un match abouti en attaque. Pour cela, le SLUC Nancy comptera notamment sur Steed Tchicamboud, sur un nuage depuis son arrivée en Lorraine et qui aura certainement à cœur de briller dans cette salle qu’il connaît si bien pour y avoir joué quatre ans, de 2010 à 2014, avant d’être poussé vers la sortie. Le meneur nancéien détient une partie des clés de l’exploit. Mais il ne sera possible que si Nancy défend le fer…

A. G.

AW a bien vu la faiblesse de l'équipe chalonnaise en deuxième mi-temps contre Monaco lors de la finale de la coupe Mickey , suite à un passage en zone.
Apres un départ canon, une réussite insolente à 3p (Jeremy Hazell !!) l’équipe de" lévrier "a fléchi


l'article du site de l'élan "Le moins que l'on puisse écrire est que la prestation du SLUC Nancy cette saison, du moins jusque-là, ne correspond guère au standing de ce club dont il faut tout de même rappelé qu'il fut deux fois champion de France (2008 et 2011), trois fois finaliste (2005,2006,2007), vainqueur à deux reprises du match des champions (2008 et 2011), de la Semaine des As en 2005 et qui a remporté la Coupe Korac en 2002.

13ème au classement, éliminé de l'Eurocup (2 victoires 8 défaites) sorti de la Coupe de France par Saint-Quentin (ProB), le bilan laisse pantois.

Tchicamboud : le retour

Le sort n'a guère épargné les Couguars depuis le début de saison avec de nombreuses blessures (Falker, F. Pietrus), le départ du meneur Derwin Kitchen pour la Turquie, et surtout une amorce de championnat catastrophique. Aucun succès sur les cinq premières journées, un bilan peu reluisant de 12 défaites dont 6 à domicile, pour 5 victoires seulement, le pire était à redouter pour les hommes d'Alain Weisz.

Ils ont repris des couleurs depuis leur succès à Paris Levalois lors de la dernière journée de la phase aller, qui correspondait au retour de Steed Tchicamboud au sein de l'équipe nancéenne, (où il a évolué de 2008 à 2010), après avoir quitté Chalon en cours de saison 2014 et fait quelques piges guère concluantes à Limoges, Roanne et Paris.

Depuis cette victoire à Paris, Nancy s'est presque remis en selle avec un début de phase retour qui présente 3 victoires (dont une de 30 points face au Havre), contre une seule défaite, très courte d'ailleurs à Monaco, ce qui est une référence. L'ex pensionnaire du centre de formation de l'Elan a retrouvé deuxième jeunesse (il a 34 ans). Il est après 6 matches le meilleur marqueur de sa formation avec 18 points, 5,7 passes décisives, 17,7 d'évaluation, qui constituent les meilleures statistiques de toute sa carrière.

Randall Falker opéré

Si les frères Pietrus et Séné sont désormais complètement opérationnels, par contre, il est une des pièces maîtresses de la formation nancéenne qui fera grandement défaut, il s'agit de Randal Falker (7,6 pts) très efficace rebondeur (7,8). Il avait déjà manqué lors de l'entame de la saison, cette fois, il sera absent sans doute jusqu'à la fin puisque opéré du coude.

Outre les Pietrus Brothers qu'il n'est plus nécessaire de présenter (200 sélections nationales pour Florent) onze saisons de NBA dont 5 aux Warriors de Golden State pour Mickaël, on retiendra le nom d'un garçon peu médiatisé mais de grande expérience, vieux routard des parquets américains, mexicains et européens (Espagne et Grèce), Andy Panko (14,5 pts, 5 rebonds et 2,9 pd en 32 mn).

L'ex Dijonnais Zach Moss qui avait été appelé lorsque Florent Piétrus s'est blessé a quant à lui prolongé jusqu'à la fin de la saison, James Bell a rappelé à ceux qui l'avaient oublié qu'il était efficace à 3 points lors de la victoire sur Le Havre (19 pts dont 6/8 au delà des 6,25m) et Banja Sy (7,4 pts 3,5 rbds) s'affirme au fil des matches.

L'heure à laquelle ces lignes sont écrites ne nous permet pas de connaître le sort des Chalonnais en Coupe d'Europe. Par contre d'aucuns dans l'entourage de l'Elan restent encore subjugués par ce que nous pouvons appeler un exploit, celui d'avoir triomphé à Beaublanc, sans qu'il n'y ait eu à redire.

Surtout ne pas rester sur ce nuage, l'adversaire de ce samedi nous arrive le couteau entre les dents. Son coach l'a dit " nous pouvons battre n'importe quelle équipe du top huit" Alors prudence."

C'est impressionnant l'évolution positive de Devin Booker depuis son passage au Sluc.
Sinon pour ce soir, je miserais bien sur la victoire surprise du SLUC

Supporter Couguars a écrit:

C'est impressionnant l'évolution positive de Devin Booker depuis son passage au Sluc.
Sinon pour ce soir, je miserais bien sur la victoire surprise du SLUC

On risque de se prendre la foudre en début de match. C'est jouable si ils restent mobilisés ou s'ils défendent très fort dés le début.

Le sluc démarre avec un 8-0, bon départ.

Fin du 1er quart-temps : 20-16 pour le sluc.

Bizarre comme match. Aucun changement côté Châlon et seulement deux côté SLUC en fin de quart temps.

Pas sûr qu'un match tout pour l'attaque tournera à la fin à l'avantage des Couguars !

Benoit ADAM a écrit:

Pas sûr qu'un match tout pour l'attaque tournera à la fin à l'avantage des Couguars !

20-16 on est loin de tout pour l'attaque, surtout pour un premier quart-temps.

Là par contre, 15-12 en un peu moins de 5 minutes ça y ressemble plus...

Roberson vient de nous faire mal, trois 3 points de suite et une interception.

On SHOOT trop a 3pts

35-35 avec 5 min à jouer dans le 2eme quart , alors que Chalon n'a quasiment pas fait de changement . C'est plutôt bien pour l'instant

Dunk de Zach Moss...

+7 reste une minute.

beibeul a écrit:

Dunk de Zach Moss...

ça sent le bug LNB...

on mène 40-44 à la pause.
Avec en face un Booker qui a joué 20 minutes.

Pour l'instant on mène et on a fait tourner plus que eux . Il faut continuer comme ça et remettre un coup dans le 3eme quart