[Playoffs - Finale] Le SLUC Nancy est Champion de France !!!

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Rdv pour le sondage Basketnews.fr

Sondage : Qui sera champion de France ?

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Retrouvez le résultat du sondage dans le BasketNews n°555 à paraître le jeudi 9 juin.

Par Laurent SALLARD (05/06/11)



Cholet 71.43% (95 votes)


Nancy 28.57% (38 votes)

le lien :


http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=11577

A voté :cheers:

Moi veux bien que les Couguars perdent sur....... internet

Clin d'oeil:

Vu sur le site officiel du sluc:

11 Juin 2011 - 17H05
SLUC - SLUC Nancy

Bon super, on est sûr de gagner!

Bravo à cette équipe en tout cas car je n'y croyais guère avant la série contre l'Asvel.

C'est quand même un monstrueux challenge qui nous attend Samedi prochain face à une très belle équipe de Cholet, taillée pour l'Euroligue.
Et il ne faudra pas compter sur Künter et ses boys pour négliger la défense comme a pu le faire l'Asvel hier.
On aura clairement le costume d'outsider. Dans tous les cas, on est dans le bonus maintenant. Et si par bonheur, on récite parfaitement notre partition, on aura une petite chance de créer l'exploit.


D'ailleurs, Künter, pas né de la dernière pluie essaye déjà de brouiller les cartes et d'éloigner le costume d'archi favori qui est pourtant celui de CB sur cette finale dû fait du titre de champion en titre + de la 1ère place en saison régulière + du fait qu'ils survolent ces P.O.

-> Réaction d'Erman Künter à la qualification du Sluc dans L'Equipe papier de ce jour: "Ils sont plus athlétique que nous. Cela va être une vraie finale très ouverte. On est à 1-1 avec le goal-average pour Nancy (+1 75-85 puis 79-68)."

Intelligent également dans l'approche du match Mr Künter, mais ce n'est pas une surprise.
Un trou de mémoire sélectif lui fait oublier qu'Avladovic et Nelson étaient absents sur le match à la Meilleraie, que son équipe était en phase de décompression ayant quasiment la 1ère place assurée et ne jouait pas le panier-average avec le Sluc. Quelques détails en somme...

Ca va être un beau combat.

Ce qui est à noter, c'est que c'est la première finale depuis bien longtemps pour laquelle le SLUC Nancy est "outsider". Il y a eu celle de 2005 contre la SIG (3e) alors que les Couguars avaient quant à eux terminé... 8e, et puis c'est tout.

Mieux vaut être le loup tapis au fin fond du bois... Bref, l'outsider !

Cholet sera indéniablement le grand favori de cette finale. Maintenant et on le sait mieux que quiconque, une finale en 1 manche sèche, c'est impronosticable.

Ce qui est certain c'est qu'au regard de la saison poisseuse du SLUC, réussir le parcours qu'on est en train de faire est tout bonnement SPLENDIDE.

Le parcours du SLUC s'est fait dans la douleur alors que Cholet s'est promené. Peut être que ça va jouer le jour J. Le SLUC a du s'adapter tout au long de ses playoffs, à l'image de sa saison entière. Et vraiment je pense que ça va nous servir.

rotceridle a écrit:

Intelligent également dans l'approche du match Mr Künter, mais ce n'est pas une surprise.
Un trou de mémoire sélectif lui fait oublier qu'Avladovic et Nelson étaient absents sur le match à la Meilleraie

Non Nelson à joué lors de ce match retour gagné par le Sluc (31min pour 8pts), il manquait Avdalovic, Vebobe et diarra.

Samedi celui qui me fait le plus peur c Robinson... Un 4 fluide qui va faire chier a la fois Victor en s'eloignant et en attaquant le cercle comme un arrière... Et face à Brun on sait les cartons que les 4 scoreur font face à lui...
J'ai donc plus les glandes d'un Robinson que d'un Mejia

Moi celui qui me fou les glandes, c'est Erman Kunter.

Samnick a largement de quoi défendre sur un Robinson au large ou attaquant face au cercle. Quant à Brun, il est loin d'avoir été ridicule en défense contre le meilleur 4 du championnat Davon Jefferson.

Mejia et Avdalovic, joueur d'expérience et de gros matches s'il en est, ont de quoi inquiéter. Le coaching de Kunter aussi, 'faut s'attendre à de la bonne zone des familles encore.

Cholet est tout de même une sacrée équipe avec des joueurs bourrés de talent (Meija, Robinson, Avdalovic, Nelson...) Le Sluc devra une nouvelle fois livré un sérieux combat, surtout en défense, si il veut venir à bout de cette équipe. Et n'oublions pas, une finale n'est belle que si on l'a gagne...!! (Le Sluc et nous supporter, on en sait quelque chose!)

En tout cas,va y'avoir des etincelles a l'intérieur,ca promet!






Nancy-Bercy oh ben oui...

Corpus Christi a écrit:

Cholet sera indéniablement le grand favori de cette finale. Maintenant et on le sait mieux que quiconque, une finale en 1 manche sèche, c'est impronosticable.

Pour l'anecdote car je suis d'accord pour dire que ça n'a pas grande signification: depuis l'instauration de la finale en match unique à Bercy

_ 4/6 fois, c'est l'équipe la mieux classée à l'issue de la phase régulière qui s'est imposée

_ dans les confrontations entre 1er et 2ème à l'issue de la phase régulière, 2/3 fois c'est le 1er à l'issue de la phase régulière qui s'est imposé

Au Sluc de faire mentir cette tendance

Rasheed Wallace a écrit:

Samnick a largement de quoi défendre sur un Robinson au large ou attaquant face au cercle. Quant à Brun, il est loin d'avoir été ridicule en défense contre le meilleur 4 du championnat Davon Jefferson.

Mejia et Avdalovic, jouer d'expérience et de gros matches s'il en est, ont de quoi inquiéter. Le coaching de Kunter aussi, 'faut s'attendre à de la bonne zone des familles encore.

[center]

Ouaip et la série face au HTV va grandement nous servir face aux zones de Monsieur K.

5 finales disputées en 7 ans, que la victoire soit au bout ou pas , c'est formidable

c'est un vrai parcours à la Pau-Orthez ou Limoges des grandes années (le nombre de titres en moins certes...)

un formidable bilan pour le duo Fra-JLM qui ont fait entrer le SLUC dans la 4è dimension du basket français

et dire que certains passent leur temps à les critiquer et railler leur manque d'ambitions , voire meme de résultats

bande de nazes

Viens d'aller faire un tour le forum basketzone de Cholet. Les supps des Mauges sont contents d'affronter Nancy. Pour eux, ce sera une belle finale et une finale plutôt indécise entre 2 belles équipes.
Alors certes bcp craignaient les fluos sur 1 match mais surtout, ça leur aurait fait mal qu'une équipe comme l'ASVEL soulève le trophée !!!

Benoit ADAM a écrit:

Viens d'aller faire un tour le forum basketzone de Cholet. Les supps des Mauges sont contents d'affronter Nancy. Pour eux, ce sera une belle finale et une finale plutôt indécise entre 2 belles équipes.
Alors certes bcp craignaient les fluos sur 1 match mais surtout, ça leur aurait fait mal qu'une équipe comme l'ASVEL soulève le trophée !!!

Il faut dire que l'Asvel avec ses gros coups de Millions, et l'attribution de sa wild card sur je ne sais quels critères, n'est pas très populaire dans l'hexagone...

Benoit ADAM a écrit:

Viens d'aller faire un tour le forum basketzone de Cholet. Les supps des Mauges sont contents d'affronter Nancy. Pour eux, ce sera une belle finale et une finale plutôt indécise entre 2 belles équipes.
Alors certes bcp craignaient les fluos sur 1 match mais surtout, ça leur aurait fait mal qu'une équipe comme l'ASVEL soulève le trophée !!!

Ils sont encore sur basketzone ?

Je pense aussi qu'il s'agit vraiment des deux meilleures équipes de la saison, et ce au delà du classement. Chalon était à peu près au même niveau que nous et aurait tout à fait pu prendre notre place s'ils avaient passé l'obstacle villeurbannais. Je nous voyais mal les passer en PO d'ailleurs et j'étais presque content de voir Villeurbanne passer sur un coup de folie au Colisée.
Mais c'est vrai qu'on a la sensation qu'il ne s'agit pas d'une finale usurpée et que même si on avait eu la chance d'avoir des séries en 5 matches, le résultat n'aurait pas été différent.

http://basketactu.com/samuel-mejia-nous-croyons-en-ce-que-nous-faisons/

Samuel Mejia « Nous croyons en ce que nous faisons »

Cholet connait désormais son adversaire et se prépare pour tenter le doublé.

BasketActu : Comment préparez-vous votre finale ?
Samuel Mejia : Nous nous préparons comme pour un autre match. Une bonne semaine d’entraînement et de la concentration. Nous allons essayer de jouer ce match comme les autres, mais nous connaissons son importance.

BasketActu : Vous êtes la seule équipe à ne pas avoir perdu un match des playoffs, penses-tu que Cholet soit favori ?
SM : Non, je ne pense pas qu’il puisse y avoir de favori dans une finale en un seul match. Mais nous sommes confiants et nous croyons tous en les uns et les autres. J’espère que nous trouverons la manière de gagner un match de plus.

BasketActu : La saison dernière, vous avez été champions avec John Linehan. Vous le connaissez bien mais lui aussi vous connaît très bien. Penses-tu que ça puisse être un avantage pour lui ou vous ?
SM : Comme je le disais précédemment, je ne pense pas qu’il y aura un avantage pour qui que se soit. Nous devons juste être prêts, nous devons juste jouer dur, et ça nous donnera une bonne chance, la meilleure même, de gagner ce match.

BasketActu : John a changé la manière dont a dû jouer Villeurbanne, est-ce que Cholet devra changer sa manière de jouer ?
SM : Non, nous ne changerons pas notre manière de jouer pour quelque équipe que se soit… Nous sommes qui nous sommes, et nous croyons en ce que nous faisons. Nous voulons juste nous concentrer sur les choses que nous contrôlons, et le match décidera qui gagnera.

BasketActu : Quelle sera la clef de cette finale ?
SM : Je pense que la clef de ce match sera les 5 premières minutes de cette finale. Nous devons essayer de faire un bon début de match et jouer de la même manière que nous avons joué toute cette année.

BasketActu : Vous êtes à un match d’un deuxième titre en deux ans à Cholet, qu’est ce que ce ça représente pour toi ?
SM : Ça représente toujours quelque chose pour moi ! Je sais combien il est dur de gagner un seul titre de champion, donc d’avoir la chance d’en gagner un deuxième de suite est un superbe défi pour moi et cette équipe. Nous voulons juste gagner pour la ville de Cholet… Les supporteurs nous aiment et nous soutiennent. Nous voulons le gagner pour eux.

L’âme des « chiffonniers »

Avec des moyens plus modestes mais avec un esprit et un savoir-faire exceptionnels le SLUC s’est sublimé depuis un mois pour obtenir le droit de défier Cholet, tenant du titre, samedi en finale...
Enorme ambiance, samedi soir à Gentilly, où les supporters du SLUC avaient sorti le grand jeu. En finale, ils devraient être près de 3.000 à faire le déplacement à Bercy.



Enorme ambiance, samedi soir à Gentilly, où les supporters du SLUC avaient sorti le grand jeu. En finale, ils devraient être près de 3.000 à faire le déplacement à Bercy.

Avec des moyens plus modestes mais avec un esprit et un savoir-faire exceptionnels le SLUC s’est sublimé depuis un mois pour obtenir le droit de défier Cholet, tenant du titre, samedi en finale.

Pro A Demi-finale des play-offs (match d’appui) : après SLUC - ASVEL (89-75)

Rencontré en avant-saison au bord d’un parquet, Jacques Monclar, consultant basket ès qualités, ancien international, ancien coach, nous avait glissé à l’oreille en consultant l’effectif nancéien : « Je ne sais pas trop si le SLUC peut nourrir de véritables ambitions. C’est trop difficile à dire dans un championnat aussi dense. Mais, ce qui est sûr, c’est que les joueurs de cette équipe-là vont se battre comme des… chiffonniers. » L’image choc était restée dans notre cervelle. Jacques Monclar ne s’en souvenait plus, il parle tellement et si bien. Nous si…

Dans le décor magique de la Brasserie Excelsior, en refaisant le match avec des confrères et des amis, Maître Jacques insistait encore sur cette exceptionnelle aptitude nancéienne à faire don de soi, à privilégier à toutes ambitions personnelles, le collectif : « En basket, c’est en défense qu’on mesure la qualité et l’esprit d’un groupe », ajoutera-t-il avec l’œil de l’expert. « Vous avez vu leur performance défensive dans le troisième quart-temps ? L’ASVEL n’a mis que deux petits points en 7’. Inutile de vous faire un dessin. »

Villeurbanne alignait samedi nettement plus de talents, avec des Américains joueurs NBA (Walsh, Hammonds, Jefferson), des internationaux (Gelabale, Jackson, Tillie) mais c’est bien le SLUC qui a triomphé. Victoire de la morale sportive, triomphe du collectif et du savoir-faire.

Tout au long de la saison, pendant que les Américains de l’ASVEL soignaient leur ego, privilégiant leur tableau de stats, pendant que les dirigeants du club limogeaient leur entraîneur et changeaient de joueurs avec l’argent des riches (6 M€ contre 4 pour le SLUC), Nancy faisait front malgré ses coups durs, ses coups de pompe et son budget limité en prônant l’esprit de groupe.

Akingbala a joué avec le nez cassé, Grant a ravalé sa peine malgré son deuil familial, pour être avec les copains et à la hauteur de l’événement. Cette équipe de… chiffonniers rêvait du tapis rouge de Bercy. Il se déroule devant elle. Quoiqu’il arrive maintenant, elle mérite sa médaille.
La passe de trois

Jean-Luc Monschau n’avait pas envie de parler de cette finale, qui va maintenant peupler ses nuits. Samedi soir, il préférait savourer l’instant présent, attendre ce matin la conférence de presse à la Ligue nationale de basket à Paris, pour plonger la tête la première dans ce match au sommet.

Le coach du SLUC revenait sur les performances de son équipe dans sa salle pendant ces play-offs : « On vient d’enchaîner trois matches à domicile de très haut niveau. Contre Toulon, on a 40 points d’avance ; contre l’ASVEL, on marque 109 points lors du premier match et ce soir, on n’a jamais donné la moindre ouverture à nos adversaires, avec un troisième quart-temps défensif exceptionnel. On avait un déficit de six paniers à trois points sur les deux premiers matches contre l’ASVEL et ce soir, on shoote à 47 %, avec quatre paniers de plus que notre adversaire. J’ai la chance d’entraîner une équipe unie, déterminée, qui ne lâche pas et, surtout, animée d’un courage inébranlable. L’acte exemplaire d’Akin (Akingbala) est symbolique. Il s’est porté volontaire. Il n’était pas question pour lui de laisser ses camarades pour un tel match. Je tiens d’ailleurs à remercier le public nancéien, qui a vraiment poussé mes joueurs. Et je regrette une fois de plus que la finale se joue sur un match sec plutôt que sur une série en deux ou trois manches gagnantes. C’est priver le public nancéien de matches de haut niveau et le club de recettes supplémentaires. En cinq finales, ça fait quelques matches et quelques milliers d’euros en moins. »

L’heure est à la récupération. Suivront très vite les sollicitations d’usage et les séances d’entraînement avant de mettre le cap sur Paris. Bercy les attend vendredi pour une visite rapide des lieux, même si Deane, Kenny Grant et le gamin Kingsley Pinda sont les seuls Nancéiens à n’avoir jamais joué au POPB.

Samnick, Linehan (Pro A), Johnson et Stephen Brun (Pro B) y sont même devenus champions de France…

Gilles GAIHIER

Basket | pro a La palme du mérite
Nancy retrouvera Cholet à Bercy pour une finale inédite. Voir Bercy est une bonne habitude pour le SLUC qui a su déjouer les pronostics et les contrariétés pour rêver d’un deuxième titre de champion de France.





Les
Nancéiens sont allés chercher cette qualification avec les tripes. «
Avec les c... », selon Stephen Brun. Photo Anthony PICORÉ






La logique sportive a triomphé. La finale 2011 du championnat de France opposera, samedi à Bercy, les deux meilleures équipes du championnat de France : le premier (Cholet) et son dauphin, (Nancy). Au terme d’une partie intense et maîtrisée, le SLUC a écarté Villeurbanne de sa route (89-75) et gagné le droit de disputer sa cinquième finale de Pro A en sept ans. Il s’agira de son sixième passage à Bercy sous l’ère Monschau.

Les Nancéiens sont allés chercher cette qualification avec les tripes. A l’heure du débriefing, Stephen Brun suggérait même des attributs sensiblement plus bas : « Avec les c… ! ». Et une aisance remarquable tant le SLUC a sollicité tous ses rouages avec réussite. De Linehan en premier rideau défensif au « dragster » Willy Deane et sa partition très altruiste (12 passes), en passant par l’incontournable Darden et un énorme Akingbala (16 points 17 rebonds), Nancy a pu s’appuyer sur une nouvelle merveille d’effort collectif. Cohérent et soudé contrairement à l’Asvel. « De l’extérieur, cela avait peut-être l’air facile mais c’était loin de l’être, poursuit le même Brun. Défendre dur, c’était la clef. On ne s’est pas relâché. Même quand on avait 18 ou 20 points d’avance, on ne jubilait pas. »

L’intérieur nancéien s’est ensuite tourné vers les journalistes pour glisser un aimable reproche : « Peu de gens ont cru en nous, a-t-il relevé. Vous les premiers. Vous l’avez même écrit. Moi, j’y ai toujours cru, je savais qu’on était capable d’aller en finale. Ce qui est plus surprenant, c’est de finir deuxième du championnat parce qu’on n’a pas eu une saison facile non plus. Mais nous avons été capables de gagner les matchs charnières. »
« À la guerre »

Avec le recul, il faut souligner un effet papillon qui a donné des ailes au SLUC. Sans la victoire in extremis de Vichy contre Chalon, lors de la dernière journée de championnat, Nancy n’aurait pas obtenu la deuxième place et l’avantage du terrain jusqu’à Bercy. Ce sport se joue à peu de choses parfois. Et ce sera vraisemblablement le cas pour cette finale qui réunit deux grands spécialistes de la défense. « On part à la guerre sur un terrain neutre », glissait Seidou N’Joya samedi soir.

« On ne sera pas dans la peau du favori et ça nous va bien », estime Stephen Brun. A juste titre. Cholet viendra défendre sa couronne dans cette finale inédite qui opposera également deux des meilleurs joueurs du championnat (Darden et le MVP Mejia). « Ils ont gagné chez nous et nous avons gagné chez eux », complète le grand blond, en précisant que Cholet Basket « peut compter sur une densité athlétique du premier au dixième de ses joueurs ».

Le SLUC a d’autant plus de mérite qu’il a joué contre des vents contraires. De la blessure précoce de son meilleur marqueur, Mims, indisponible pour la saison, aux difficultés financières qui larvent son exercice, rien ne lui a été épargné. Pas même l’angoisse de disputer une belle sans un élément-phare, Akin Akingbala. A l’image de cet effectif uni et courageux, le pivot américano-nigérian a toutefois décidé de répondre à l’appel, de snober un nez fracturé pour engager toutes ses forces dans le combat. C’est toute la force du Sluc cette année : aucune tête ne dépasse franchement mais toutes regardent dans la même direction. Vers Paris pour un dernier examen capital. La touche finale d’une saison déjà réussie.
Christian JOUGLEUX.
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Merci James
Je note deux choses :
1- Les Nancéiens sont allés chercher cette qualification avec les tripes. A l’heure du débriefing, Stephen Brun suggérait même des attributs sensiblement plus bas : « Avec les c… ! ».
Je pense effectivement que notre équipe a été chercher la qualification avec leurs corones comme dit Stephen

2- C’est toute la force du Sluc cette année : aucune tête ne dépasse franchement mais toutes regardent dans la même direction. Vers Paris pour un dernier examen capital.
On a une équipe soudée cette année, c'est notre force, et cela fait plaisir à voir
On continue de jouer en équipe et on gagne la finale

Conference de presse ce matin à ligue : http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/9301/J-5-avant-les-Finales-a-Bercy