[ProA J12] SLUC Nancy bat Roanne 85 (41) à 58 (31)

SLUC Nancy - Roanne, samedi (20h) à Gentilly

La valse des sommets


Battu au Mans puis face à Khimki Moscou, le SLUC a perdu ses deux premiers gros chocs de décembre. Et avec Roanne et Valence, deux autres suivent. Pas facile à digérer, le menu.


NANCY. _ A quoi cela tient, un match ? A rien, c'est bien connu. Si dans une fin de match au suspense insoutenable, TJ Parker avait planté le trois points qu'il a pris, si Cyril Julian avait réussi à capter un ballon capricieux, si les arbitres avaient sifflé le passage en force de Veremeenko plutôt que de sanctionner Victor Samnick d'une faute défensive, le SLUC Nancy ne serait pas aujourd'hui à repasser encore et encore le fil d'un match qui ne lui a échappé que sur des détails, des peccadilles. Rageant, forcément rageant.
Car cette défaite n'arrange évidemment pas les affaires nancéiennes dans cette coupe ULEB où il faudra batailler jusqu'au bout (lire par ailleurs). Elle marque même une première cette saison pour le SLUC. C'est en effet la première fois que les Nancéiens essuient une deuxième défaite de rang, après celle du Mans samedi.
Mais en voyant le programme qui l'attendait dans ce mois de décembre, le SLUC savait pertinemment qu'il pouvait très bien connaître cette première. Imaginez en effet qu'entre le 8 et le 18 décembre, Ricardo Greer et ses copains doivent se frotter à deux équipes qui jouent l'Euroligue (Le Mans et Roanne), et deux grosses cylindrées de coupe ULEB (Khimki Moscou et Valence). Pas sûr que dans son histoire, le SLUC Nancy ait connu une telle densité de sommets en aussi peu de temps... « C'est vrai qu'un enchaînement de ce type-là, cela n'arrive pas souvent » glisse Jean-Luc Monschau.


« On n'a pas la baraka »


Alors, même si avant de recevoir Roanne samedi et d'aller à Valence mardi prochain, le SLUC a deux défaites au milieu du ''repas'', le coach nancéien prend plutôt le parti de retenir la physionomie de ces chocs au sommet plutôt que leur résultat. « Les deux fois, on a failli gagner » rappelle Jean-Luc Monschau, « on mène au score pendant trois quart-temps au Mans et face à Khimki, on a les trois derniers tirs à trois points pour revenir, mais TJ Parker, Mike Bauer et Jeff Greer les ratent alors que ce sont pratiquement nos trois meilleurs joueurs dans ce domaine. On n'a pas la baraka. Et pourtant, on était dans le match. C'est plutôt satisfaisant et positif ».
Alors qu'il savait que ce mois de décembre aurait des allures de véritable révélateur, le SLUC a prouvé au Mans et face à Khimki qu'il était tout près. C'est déjà un signe encourageant, même si le club nancéien sait que pour nourrir de grosses ambitions dans cette saison, il ne pourra pas seulement se contenter d'être tout près lors des matches au sommet qu'il aura à disputer. « Cela serait bien que ça passe face à Roanne » glisse le technicien nancéien. On croise les doigts pour que le troisième volet de cette valse des sommets soit le bon...


Anthony GUILLE


est republicainle

Perdre au Mans ça reste acceptable. perdre contre Khimki c'est la logique. Perdre à Valence, je pense que personne ne leur en voudra.

Mais il faut gagner chez nous contre Roanne, ça me paraitclair. Et il faudra gagner à l'ASVEL... Car si on veut jouer haut, on ne peut pas se permettre de perdre 2 déplacements contre des concurrents immédiat. Même si ça reste dans l'acceptable, le SLUC se doit d'en gagner 1. Ne serait-ce que pour affirmer son statut.

(Merci Bacou pour ces articles matinaux)

Contenir ce sacré Salyers, on peux pas mettre les plus belles filles de Gentilly tout en bas...

Sebond a écrit:

Contenir ce sacré Salyers, on peux pas mettre les plus belles filles de Gentilly tout en bas...

Nan mauvais plan. Faut pas ça va le motiver. faut foutre des drag queen (Juuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuls ?) ça va le calmer un peu le queutard

trève de plaisanteries, qui va réussir à le freiner ? Bauer si il nous sort sa défense made in ULEB ? mouai. j'y crois pas trop. Reste donc à espérer que Samnick ait retrouvé la forme. Avec son physique, sa mobilité, lui peut réussir.

Mais bon... moi je le sens gros comme ça le réveil de Hess dans notre gueule

Sebond a écrit:

Contenir ce sacré Salyers, on peux pas mettre les plus belles filles de Gentilly tout en bas...

Non, tout en haut, au contraire...!

Par contre, essayer de le faire provoquer des fautes, mais pas facile facile...

Corpus Christi a écrit:

Sebond a écrit:

Contenir ce sacré Salyers, on peux pas mettre les plus belles filles de Gentilly tout en bas...

Nan mauvais plan. Faut pas ça va le motiver. faut foutre des drag queen (Juuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuls ?) ça va le calmer un peu le queutard

trève de plaisanteries, qui va réussir à le freiner ? Bauer si il nous sort sa défense made in ULEB ? mouai. j'y crois pas trop. Reste donc à espérer que Samnick ait retrouvé la forme. Avec son physique, sa mobilité, lui peut réussir.

Mais bon... moi je le sens gros comme ça le réveil de Hess dans notre gueule

Humhum tu veux des drag queen...on va pouvoir arranger ça, je prépare ma tenue en cuir et mes talons...

THEJULS a écrit:

Corpus Christi a écrit:

Sebond a écrit:

Contenir ce sacré Salyers, on peux pas mettre les plus belles filles de Gentilly tout en bas...

Nan mauvais plan. Faut pas ça va le motiver. faut foutre des drag queen (Juuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuls ?) ça va le calmer un peu le queutard

trève de plaisanteries, qui va réussir à le freiner ? Bauer si il nous sort sa défense made in ULEB ? mouai. j'y crois pas trop. Reste donc à espérer que Samnick ait retrouvé la forme. Avec son physique, sa mobilité, lui peut réussir.

Mais bon... moi je le sens gros comme ça le réveil de Hess dans notre gueule

Humhum tu veux des drag queen...on va pouvoir arranger ça, je prépare ma tenue en cuir et mes talons...

Sortez les appareils photos

contenir salyers..roanne ne se résume qu'a cette eventualité en ce moment..il est jouable, et à force de sortir des gros matchs, il finira par être fatigué..et si ca commençait contre Nancy?
Salyers est un joueur énorme, impressionnant, la preuve que le championnat de Pro A accueille de grosses pointures..

Mouais finir par être fatigué ? On attend toujours que le cinq majeur de Roanne 2006/2007 craque hein :p

Non Salyers fera son match, je vois personne pour l'arréter chez nous. Par contre il faut limiter au maximum le rendement de sees coéquipiers. Si Rush est tenu, c'est tout bon.

Nico H a écrit:

Mouais finir par être fatigué ? On attend toujours que le cinq majeur de Roanne 2006/2007 craque hein :p

Non Salyers fera son match, je vois personne pour l'arréter chez nous. Par contre il faut limiter au maximum le rendement de sees coéquipiers. Si Rush est tenu, c'est tout bon.

c'est ce que disait JLM l'an apssé avant de les recevoir chez nous.

Bloquer Pellin, bloquer Pape, limiter tant que possible les positions faciles de brion et espérer que Salyers plante pas 40 points

de toute façon face à ce type d'équipe, on ne peut pas envisager de la défense individuelle poste pour poste... Faudra une vraie cohésion d'équipe, des aides...

Ou alors laisser laisser Salyers faire un gros match et couper tous ses coéquipiers.

edit : Ah ben Nico H m'a owned.

SLUC Nancy - Roanne, demain (20h) à Gentilly

Salyers, c'est fou !


Meilleur joueur de la finale en juin dernier et à la Semaine des As, Marc Salyers n'est jamais aussi fort que lorsque l'enjeu est de la partie. Et depuis le début de la saison, le Roannais semble avoir encore haussé son niveau de jeu. Un phénomène.






NANCY. _ « C'est un martien, il faut le peindre en vert ! ». Jacques Monclar a toujours le sens de la formule. Et mercredi soir sur l'antenne de Sport +, l'ancien coach dijonnais, actuellement consultant, était presque à court de superlatifs pour commenter la performance de Marc Salyers en Euroligue. Mais il y avait de quoi. Car l'Américain a sorti un match énorme face aux Allemands de Bamberg. Et dans un dernier quart-temps qui refusait de basculer du bon coté, il a sifflé la fin de la récré et quasiment forcé à lui seul les portes du succès pour la Chorale. Allez, un shoot à trois points pris à huit mètres, un autre à peu près aussi lointain avec un joueur allemand sur le paletot, un contre...
Résultat des courses ? 28 pts à... 6/7 à 3 pts, 7 rebonds, 9 fautes provoquées et 34 d'évaluation ! Et le meilleur (ou le pire si on est dans le camp d'en face ! ), c'est que l'Américain n'en est pas à son coup d'essai depuis le coup d'envoi de la saison. Le mois dernier, il avait ainsi compilé 40 pts face à Fenerbahçe et il tourne à 23 pts de moyenne en championnat aussi bien qu'en Euroligue.


« Il ne doute de rien »


Alors qu'il avait déjà placé la barre très haut la saison dernière en étant désigné meilleur joueur de la finale et de la Semaine des As à Nancy où il arborait une coupe Iroquois... décoiffante, l'Américain body-buildé semble encore plus fort cette saison. « Je ne sais pas s'il est plus fort, mais ce qui est sûr, c'est qu'en ce moment, il est à son niveau de la Semaine des As » confie son coach Jean-Denys Choulet, « mais cela ne me surprend pas car je le vois tous les jours à l'entraînement. C'est un mec qui bosse et un compétiteur. Et puis, il ne doute de rien ».
Ne douter de rien, c'est même la marque de fabrique et peut-être la plus grande force de l'Américain. Tôt dans la saison, l'Américain avait parlé du titre de champion ce qui avait fait sourire dans le milieu. Et la veille de la finale, il avait annoncé très sérieusement à Tariq Kirksay, le capitaine nancéien, que la Chorale serait championne et qu'il serait élu MVP. Exactement ce qui s'est passé. Le talent à l'état pur. « A l'intérieur, c'est le joueur le plus fort que j'ai eu à coacher » reprend Jean-Denys Choulet qui en a pourtant vu passer des Américains talentueux.


4 pts de moyenne à Gravelines !


Vous l'aurez compris, Roanne se frotte les mains d'avoir réussi à garder l'Américain à un tarif acceptable (entre 20 et 25.000 euros mensuels) alors qu'il aurait sans doute pu gagner le double ou le triple ailleurs, tant le joueur est devenu incontournable dans le championnat.
Difficile de croire d'ailleurs qu'avant de poser ses valises à Roanne la saison dernière, il avait connu un passage presque anecdotique à Gravelines au début de la saison 2005/2006. Ce n'était pas sa première expérience en France puisque deux ans plus tôt, il avait rejoint Pau lors du sprint final avec qui il avait décroché le titre dans un rôle un peu moins flamboyant qu'à Roanne (10,3 pts, 3,8 rebonds en 24'). Mais l'expérience nordiste avait vite tourné à l'eau de boudin pour l'Américain qui tournait à 4,3 pts dans le Nord et avait vite fait ses valises en voyant qu'il n'était pas qualifié pour la coupe d'Europe. « A l'époque, il y avait beaucoup de potentiels et de joueurs capables d'apporter quelque chose » se souvient Fabrice Courcier, qui coachait le BCM cette saison-là, « il ne se sentait pas trop à l'aise dans le groupe et a préféré partir. Il m'avait expliqué sa situation et je l'avais compris, mais c'est vrai que cela nous avait un peu mis en difficulté. C'est dommage car on aurait pu faire quelque chose. En tout cas, je garde le souvenir d'un vrai joueur, qui vit bien, est réglo, travailleur et est très compétiteur ».
C'est même le goût de la compétition, des matches à enjeu, qui pousse Salyers à se dépasser. Alors demain, le SLUC ferait bien de préparer un plan anti-Salyers. Sinon, le « martien » pourrait faire des siennes...


Anthony GUILLE


est republicain

Roanne dans le bain de l'Euroligue

« On a gagné beaucoup de temps »









NANCY. _ Emmanuel Brochot se frotte les mains. Alors que la Chorale de Roanne se présentait sans certitudes sur la ligne de départ de l'Euroligue, son club a décroché mercredi son troisième succès européen en Euroligue tout en occupant le Top 4 du championnat. Le président roannais l'assure, son club a fait le bon choix en acceptant de participer à la compétition-reine européenne.
- Emmanuel Brochot, qu'est ce que cette participation en Euroligue a changé pour votre club ?
- Enormément de choses. On a un rythme de travail plus élevé, et au niveau du club, on a eu l'obligation de grandir, de se structurer car on affronte de grandes équipes avec des organisations très professionnelles. C'est clair qu'on a gagné beaucoup de temps en terme de croissance, aussi bien au niveau budgétaire que structurel.i
- Votre budget est passé de 2,7 millions d'euros à un peu plus de 4 millions. C'est l'effet Euroligue ?
- Il y a eu l'effet Euroligue mais aussi l'effet champion de France qui a drainé des partenaires. En deux ans, on a doublé notre budget et on est sur des objectifs de 5 millions d'euros dans deux ans. Le club avance, grandit, et l'Euroligue y contribue énormément. Cette participation, c'est tout bénéfice pour nous. On a fait le bon choix en acceptant d'y participer.
- On se souvient pourtant que vous avez mis un peu de temps pour accepter de faire le grand saut...
- C'est vrai qu'il y a eu un peu d'incertitude au début quant à notre engagement car je suis quelqu'un de mesuré et je ne supporte pas de faire un pas en avant et deux en arrière. C'était une grosse marche à franchir et il fallait être capable de le faire sans tomber de haut. Pour l'instant, c'est ce qu'on arrive à faire.
- Vous jouez à Clermont car votre salle n'est pas aux normes. Or, le public a un peu de mal à répondre présent...
- Mais ce n'est pas facile. Quand les affiches sont au rendez-vous avec Panathinaïkos, Barcelone, le Real, il n'y a pas de soucis, mais quand l'équipe adverse n'est pas une tête d'affiche, c'est plus compliqué de mobiliser les Roannais. Le déplacement aller-retour fait quand même trois heures. Et même si c'est pris en charge par le club, cela fait un long déplacement pour les spectateurs. Mais on le savait...


Recueilli par A.G.


est republicain

Location pour SLUC - Roanne









La location pour SLUC - Roanne demain (20h) à Gentilly se poursuit au siège du club (palais des Sports de Gentilly) aujourd'hui de 9h à 12h et de 14h à 18h, ainsi que demain de 10h à 12h.
Elle est également ouverte sur le réseau www. ticketnet. fr ainsi que dans les magasins Auchan et Cora jusqu'à demain à 14h. A noter qu'il est possible d'acheter les places par téléphone, un paiement, par carte bancaire uniquement, étant mis en place. Tarifs à partir de 8 euros.
est republicain

Jean-Denys Choulet : « Nancy est très impressionnant »

La personnalité de son entraîneur lui donne des ailes. Roanne, le champion de France, au grand dam de Nancy, que l'on attendait au tournant en un lendemain de fête difficile, confirme son statut. Jean-Denys Choulet, avant la revanche de la finale 2007.

OAS_AD('Position2'); Grande gueule, dénicheur de talents US, meneur d'hommes, fou de musculation, globe-trotter... Jean-Denys Choulet traîne une réputation, sinon sulfureuse, du moins de coach qui dérange. Comme, certainement, beaucoup de mentors ayant du charisme et de la franchise. Dans n'importe quelles circonstances et face à n'importe qui. Parfois, les mots de l'entraîneur roannais revêtent la forme de gants de boxe ! « Je suis comme ça, j'aime dire ce que je pense. »Son parcours, aussi, évite la banalité. Tracé selon une quête incertaine, de sa terre bisontine à la Champagne en passant par l'Alsace. Jean-Denys Choulet, major de sa promotion, également, au CREPS de Nancy, est-il un homme de l'Est ? « Oui, j'ai fait des petits bouts avec davantage de stabilité à Gravelines (quatre ans) et Roanne (huitième saison) », une ville dont l'existence est devenue indissociable à l'image de son crâne, souvent rasé, de GI : « Faut du temps pour en arriver là. » Et des résultats, peut-être. « Ils ne sont pas trop mal, c'est vrai. Enfin, la saison dernière, ils étaient énormes. » Il y a donc des lendemains qui chantent pour l'étonnant vainqueur de la Semaine des As et le surprenant champion en titre. Tout le monde attendait, en réalité, à ce que le petit poucet devenu subitement géant se ramasse : « On est pas mal, on est même très bien compte tenu de nos multiples pépins. Nous sommes en mesure de jouer une place qualificative pour le top 16 européen et en championnat, nous n'avons qu'une contre performance : Le Mans chez nous. » Sans un écart honteux (-6). « Sinon, nous gagnons à Orléans (clin d'œil au récent revers du SLUC ?), Gravelines... Avec notre effectif diminué, je trouve que nous sommes vraiment bien. » Roanne, derrière le trio Nancy-Villeurbanne-Le Mans, en compagnie de Vichy « qui ne tiendra pas malgré une première partie de compétition exceptionnelle. » On se résume : Jean-Denys Choulet appartient à la bande des quatre fantastiques : « Vous placez Roanne parmi les grosses écuries ! Franchement, ça me fait plaisir mais ces autres équipes possèdent des moyens nettement supérieurs. » Nancy, supérieur donc, en théorie. « Pas qu'en théorie ! Leurs possibilités sont indiscutablement plus larges. » La raison demeure, évidemment, insuffisante à ses yeux pour ne pas tenter le diable dans le chaudron de Gentilly. « Sûr qu'on ne va pas au SLUC pour prendre une rouste. On sait toutefois qu'à Nancy, c'est difficile, toujours difficile. Ce club, je persiste et signe, est au-dessus du lot en terme des moyens. je le place sur la même ligne que Villeurbanne. » Le leader lorrain « très impressionnant », a pourtant trébuché deux fois sur les sentiers de la gloire hexagonale : « Effectivement, il y a des secteurs de jeu où nous pouvons l'embêter. » Jean-Denys Choulet, en la circonstance, retrouvera, son protégé Bauer, né sur le devant de la scène grâce à ce génie du recrutement : « Je l'aime bien, je lui ai dit qu'il n'avait pas effectué le bon choix. Michael aurait dû rester chez nous. Je suis encore déçu qu'il soit parti. Nous aurions pu construire quelque chose de sympa comme, en ce moment, avec Marc (Salyers). Il est peut-être en train de le faire à Nancy... » Appréciez le peut-être.

Alain THIÉBAUT.

Paru le : 14-12-2007

republicain lorrain

merci bacou. Toujours à l'heure de la revue de presse matinale.

Merci

Ce qu'il faudra faire, c'est provoquer dans la raquette, leur point faible je pense. Donner la gonfle à Julian un maximum de fois sera à mon avis la priorité. Mais je serai Monschau, je débuterai la partie avec Zaki dans le 5 pour voir comment ça se passe face à Badiane. Les arbitres changeront peut-être leur façon de siffler contre lui s'il débute le match.

JC a écrit:

Ce qu'il faudra faire, c'est provoquer dans la raquette, leur point faible je pense. Donner la gonfle à Julian un maximum de fois sera à mon avis la priorité. Mais je serai Monschau, je débuterai la partie avec Zaki dans le 5 pour voir comment ça se passe face à Badiane. Les arbitres changeront peut-être leur façon de siffler contre lui s'il débute le match.

Se serait sans doute une possibilité, mais connaissant JLM, je le vois mal mettre Roger dans le cinq de départ...

Mot d'ordre : provoquer les fautes !!!!

Excellentissime reportage sur Mike BBBBAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUEEEEEEEEERRRRRRRRRRR et sa petite famille :
http://www.m6info.fr/html/m6_infos/lesix.php?cp=54000#

puis cliquez sur mike bauer , et :cheers: M6

Victoire de Vichy face à l'ASVEL ; du coup ,une 'tite victoire face à Roanne et hop , on passe les fêtes à la 1 ére place tout seul comme des grands :cheers:

fabask a écrit:

Excellentissime reportage sur Mike BBBBAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUEEEEEEEEERRRRRRRRRRR et sa petite famille :
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A quand une entrée en HARLEY DAVIDSON sur le parquet de Gentilly pour MIKE et CYRIL

etant sur nancy demain je serai au match et a chaque fois que je suis la on gagne donc moi j'y crois

fabask a écrit:

Excellentissime reportage sur Mike BBBBAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUEEEEEEEEERRRRRRRRRRR et sa petite famille :
http://www.m6info.fr/html/m6_infos/lesix.php?cp=54000#

puis cliquez sur mike bauer , et :cheers: M6

Victoire de Vichy face à l'ASVEL ; du coup ,une 'tite victoire face à Roanne et hop , on passe les fêtes à la 1 ére place tout seul comme des grands :cheers:

Je suis mort ! lol C'est quoi, "Turbo" ?
Julian ne lui a toujours pas prêté son engin ? lol

Corpus Christi a écrit:

Mot d'ordre : provoquer les fautes !!!!

+1 et je l'ai déjà dit hier aussi