[ProA J12] SLUC Nancy bat Roanne 85 (41) à 58 (31)

Enorme l'itw sur M6! Excellente initiative de la chaîne

bj M6 pour ce sympathique petit reportage
sinon ca va étre un gros match samedi et j'ai hate d'y étre

ALLEZ LE SLUC

Vous en voulez encore ?


Après Le Mans et Khimki Moscou, le SLUC se frotte ce soir au champion de France. En espérant que ce nouveau choc rapporte plus que les précédents.






NANCY. _ Le SLUC n'a pas le bonheur et le privilège de disputer l'Euroleague. Le visiteur du jour, Roanne, en est d'ailleurs le principal responsable. Alors dans les travées de Gentilly, on se console comme on peut. Par exemple, on répète à loisir que le calendrier de cette fin d'année 2007 a un doux parfum d'Euroleague. Et c'est vrai. Après Le Mans, Khimki Moscou et Roanne ce soir, le SLUC rendra visite à Valence mardi. A la reprise, en janvier, il se déplacera à Villeurbanne, avant d'aller disputer un match sans doute décisif en Ukraine (à Mariupol). Difficile de faire pire enchaînement... lorsqu'on ne joue pas l'Euroleague.
Si le public se régale de ces chocs à répétition, l'équipe de Jean-Luc Monschau, elle, reste un peu sur sa faim pour l'instant. Deux matches, deux défaites et à chaque fois pas mal de regrets. Ces revers ont été passés au crible de la vidéo et de l'autocritique. « Face au Mans, on s'est fait piéger sur le jeu rapide adverse », rappelle Jean-Luc Monschau, « Contre Moscou, c'est l'adresse à trois points qui fait la différence. Les trois derniers tirs à trois points sont pris par nos trois shooteurs les plus adroits dans ce domaine (Ndlr : Parker, Bauer et Jeff Greer). Si eux ne les mettent pas, comment faire pour gagner ? Mais même en ne mettant pas dedans à trois points, nous sommes dans le coup. C'est plutôt encourageant ».
L'adresse à trois points : l'une des incontestables forces du SLUC cette saison et qui, depuis deux rencontres, est devenu son talon d'Achille. Si l'on additionne le déplacement au Mans et la réception de Khimki, le SLUC culmine à 19,5 % derrière la ligne (8 sur 41 au total). Difficile de rafler la mise dans ces cas-là. Et ce n'est pas propre à Nancy. La semaine dernière, face au CSKA, Khimki avait rendu un piètre 5 sur 21 à trois points. Il est reparti avec 26 points dans la musette.


« Salyers est là, tout le temps... »


Jeff Greer et ses copains doivent donc retrouver des pourcentages plus décents. Seul problème : l'adresse est un paramètre bien difficile à maîtriser. « La sélection des tirs est bonne », estime l'entraîneur nancéien, « il n'y a pas grand chose à faire, si ce n'est continuer à travailler dans la sérénité ».
Faute de pouvoir anticiper sur son adresse extérieure, le SLUC va donc d'abord essayer de maîtriser son adversaire. Et là encore, rien n'est simple. Comme la saison dernière, la Chorale de Roanne compte dans ses rangs au moins deux éléments complètement incontrôlables : Brion Rush et Marc Salyers, dont le début de saison est tout simplement impressionnant, tant en championnat qu'en Euroleague. « Contre Bamberg (Ndlr : en Euroleague, mercredi), c'est encore lui qui va contrer sur la dernière action », précise Jean-Luc Monschau, « Il est là, tout le temps... Il faut énormément de constance pour arriver à maintenir un tel rendement. Salyers est tellement fort que la stratégie et l'envie ne suffisent pas forcément à l'arrêter ». Le SLUC va tout de même s'y coller, promis !
Tout en sachant que Marc Salyers n'explique pas à lui seul le parcours de Roanne. « C'est également une équipe qui dispose d'un jeu collectif bien installé », ajoute Jean-Luc Monschau. Après son excellent début de saison, il serait dommage que le SLUC abandonne son fauteuil de leader avant la trêve de Noël. La dinde n'aurait sans doute pas le même goût. Alors il faudra battre le champion...


Thomas SIMON


est republicain

L'invité : Cyril Julian

« La finale ? C'est hors contexte »









- Cyril Julian, après Le Mans et Khimki Moscou, le SLUC affronte Roanne pour un troisième choc au sommet. A quel genre de match vous attendez-vous ?
- Cela va être encore un match intéressant à jouer. Roanne est une belle équipe, avec un jeu bien structuré. Ils ont fait quelques très bons matches en Euroleague. Nous savons que Rush et Salyers sont très forts, que l'équipe est bonne à la mène avec Pellin. A nous d'exploiter leurs faiblesses. C'est ce que l'on a essayé de détecter à la vidéo.
- Le SLUC reste sur deux défaites, ce qui ne lui était plus arrivé depuis longtemps. Comment le groupe vit-il cet enchaînement ?
- C'est un épiphénomène. Nous sortons de deux très gros matches et il n'y avait pas de honte à les perdre. A chaque fois, nous savons pourquoi nous avons perdu. Contre Le Mans, on a oublié de revenir en défense. Et face à Moscou, nous avons manqué d'adresse extérieure.
- Le souvenir de la finale perdu contre Roanne a-t-il été évoqué cette semaine ?
- C'est hors contexte. Ce souvenir ne concerne que deux joueurs dans notre équipe (Ndlr : Cyril et Victor Samnick). C'est vrai que pour nous deux, c'est encore une plaie à cicatriser. Mais aujourd'hui, on veut battre Roanne uniquement pour rester en tête du classement.
- Vous avez une nouvelle fois été retenu pour participer au All Star Game (le 29 décembre, à Bercy)...
- Ce sera mon onzième All Star Game. C'est toujours bien d'y être car c'est une reconnaissance. Cette année, j'ai bien peur d'être le plus vieux... (il réfléchit) Ah non ! Il y aura Laurent Foirest...


Propos recueillis par T.S.


est republicain

L'adversaire

Hale de retour ?









NANCY. _ Ce soir face au SLUC, Jean-Denys Choulet pourra peut-être compter sur le retour de Ron Hale. Arrivé fin novembre, l'ailier US n'a pas encore eu le loisir de montrer son talent. Il a dû se contenter d'une apparition prometteuse face à Villeurbanne, le 1er décembre (11 points à 2 sur 4 à trois points en 23 minutes). Depuis, Hale soigne une entorse de la cheville. Il était sur le banc face à Bamberg en Euroleague cette semaine, mais n'est pas entré en jeu. Même s'il devrait encore être diminué, le joueur américain prêtera sans doute mains fortes à ses coéquipiers ce soir. En revanche, ce ne sera pas le cas de Laurent Cazalon, absent jusqu'en janvier en raison d'une déchirure à la cuisse.





15/12/07


est republicain

Les équipes









SLUC : 4. Dowdell ; 5. Amagou ; 6. Lefèvre ; 7. Julian ; 8. J. Greer ; 9. Parker ; 10. Harrison ; 11. Zaki ; 12. Michel ; 13. Samnick ; 14. R. Greer ; 15. Bauer.
Roanne : 4. Diop ; 5. Poupet ; 6. Hess ; 7. Hale ; 8. Soliman ; 10. Rush ; 11. Pellin ; 12. Wilson ; 14. Badiane ; 15. Salyers ; 19. Wadiou.
Arbitres : M. Gasperin, Guedin et Betton.
• Match des espoirs à 17h15
est republicain

Un duel d'Européens

OAS_AD('Position2'); Roanne, équipe d'Euroligue, en passe de se qualifier pour le top 16. Avec un effectif à problèmes (entre blessés et mauvaises recrues). La formation de Choulet a perdu quatre matches en championnat (deux de plus que Nancy), dont trois à l'extérieur : Villeurbanne, Pau (en tout début de saison) et Le Havre, coaché par Christian Monschau, le frère de Jean-Luc le Lorrain : « Ah, je cherchais un exemple, en voilà un bon ! » Sinon, Roanne, les Nancéiens connaissent : « On suit cet adversaire chaque semaine à la télévision... » Un privilège du champion. De la rancœur de la part du mentor du SLUC, battu en finale à Bercy, en juin dernier ? En tout cas, il n'est plus trop question de revanche, seuls Julian et Samnick sont restés. « Les Roannais, eux, n'ont pas trop changé. C'est une équipe très offensive, comme la nôtre, elle cherche à avoir le plus de possessions possibles. Et Salyers peut faire basculer un match à lui tout seul, on ne peut pas nier l'évidence. » Un match comme un autre pour l'entraîneur du SLUC ? « Oui, un match est toujours à gagner. Et je pense que celui-ci sera spectaculaire. Oui, il sera de toutes les façons spectaculaires. »

A. T.

republicain lorrain

Merci Bacou...

• Ces deux défaites de suite, une première cette saison, vous perturbent-elles ? « Non, si nous avions perdu contre Pau ou mal classé, oui mais là on s'incline au Mans et contre Moscou. Il n'y a pas de remise en cause nécessaire. »

Ah petite dédicasse à nos amis palois :p lol
(d'ailleurs (c'est HS j'en conviens) quel match de julian contre moscou ...)

Merci Bacou.
J'en salive d'avance, vivement ce soir...!
Si pour Cyril ce n'est pas trop une revanche par rapport à la finale de la saison dernière, par contre, pour moi cela en est une (Toujours pas digérer ce match)
J'espère que le Sluc fera tout pour gagner cette rencontre qui s'avère très difficile...

Surtout que l'on peut récupérer la 1ère place
Mais ne pas se mettre de pression, il faut absolument retrouver notre shoot à 3pts, gros match de Jeff j'espère...

Jo L'incruste a écrit:

Merci Bacou.
J'en salive d'avance, vivement ce soir...!
Si pour Cyril ce n'est pas trop une revanche par rapport à la finale de la saison dernière, par contre, pour moi cela en est une (Toujours pas digérer ce match)
J'espère que le Sluc fera tout pour gagner cette rencontre qui s'avère très difficile...

+1 moi aussi je ne l'ai toujours pas digéré ce put.. de match ..... ce soir j'espère sincèrement qu'on va les mettre minables et qu'on va les remettre à leur place ces braves Roannais ! :cheers: quel match ça va être ! j'ai vraiment hâte d'être à ce soir !! :cheers:

les articles du progrés pendant ma coupure


Article du samedi 15 décembre 2007

Nancy-Roanne: un air de finale Ce soir, c'est un match de gala qui est proposé à Gentilly entre Nancy et Roanne qui ne sera pas sans rappeler la finale du championnat de France du 2 juin dernier

Ce soir, la Chorale retrouve Nancy. Alors, comment ne pas se replonger dans l'ivresse de la victoire du 2 juin face à l'équipe lorraine ? Et en pénétrant sur le parquet, comment ne pas revivre l'épopée fondatrice de la semaine des As qui s'était déroulée à Gentilly, avec au bout la victoire contre Le Mans ? En retrouvant Nancy et sa salle, ce ne sont que des bons souvenirs qui refont surface pour les Choraliens. Mais il ne faut pas compter sur Jean-Denys Choulet pour s'attarder sur cela : « On ne peut pas vivre sur le passé, tranche le coach choralien ; et ce n'est pas samedi [ce soir] qu'on joue la finale du championnat de France. » Son confrère nancéen semble d'accord : « En sport, il faut vivre au présent, on est dans une nouvelle saison, estime Jean-Luc Monschau ; on est motivé pour chaque match, il n'y a pas de hiérarchie. » Et dans son équipe, très renouvelée à l'intersaison, il ne reste plus que Julian et Samnick pour repenser à cette finale perdue. « Nancy est plus fort que nous sur le papier » Si la Chorale s'était imposée en finale, c'est Nancy qui avait terminé devant au terme de la saison régulière. Favorite la saison passée, l'équipe le reste cette année. « Nancy est plus fort que nous sur le papier, rappelle JDC, encore plus cette saison. Au niveau extérieur, c'est démentiel ce qu'il y a. Au niveau intérieur, ils ont une figure plus humaine, même si Samnick et Bauer, c'est bien. Par contre, ils n'ont pas un vrai meneur de jeu. » Quelle est la clef pour l'emporter ? « Il faut mettre dedans et pas jouer chez eux », répond placidement le coach choralien, en référence au fait que Nancy est invaincu à domicile cette saison (cinq victoires). « Pour les battre chez eux, il faut être très, très fort. Mais nous, on y va sans pression, souligne Jean-Denys Choulet. Perdre à Nancy ne serait dans notre position vraiment pas une catastrophe. » « La machine est vraiment impressionnante » Pour préparer cette rencontre, la Chorale a en outre disposé de peu de temps, avec le calendrier imposé par l'Euroligue. « À Nancy, ils ont onze systèmes de jeu. On ne peut pas les travailler en une séance », indique JDC qui de surcroît dispose toujours d'un effectif réduit, avec Cazalon absent et Ron Hale qui se remet plus lentement qu'espéré de son entorse à la cheville. Même si ces pépins fragilisent la mécanique roannaise, Jean-Luc Monschau reste admiratif : « La machine est vraiment impressionnante. En Euroligue, ils ont globalement gagné les matches qu'ils pouvaient gagner, à part celui du Partizan qui fait mal. Mais j'ai encore en mémoire le match à Barcelone qui était d'une qualité remarquable. » Ce soir, le coach nancéen prévient : « Il faudra entre autres être présent au rebond, maîtriser le rendement offensif de Roanne. » L'enjeu est pour les Cougars de continuer à faire la course en tête du championnat et de prendre ses distances avec Roanne. Quelle que soit l'issue du match, il devrait y avoir du spectacle, comme il y en a eu lors des précédentes rencontres. Dans sa position d'outsider, la Chorale tentera avec les moyens du moment de refaire le coup du 2 juin. Et après les victoires contre Rome, Vichy et Bamberg, d'emmagasiner encore un peu plus de confiance avant la rencontre contre Belgrade. Kévin Triet Le progrés

Article du samedi 15 décembre 2007

Salyers: «Le titre? J'y crois» Ce soir, la Chorale pourra à nouveau compter sur un Marc Salyers motivé qui aborde cette rencontre contre Nancy sans complexe

>> Marc, vous avez réalisé un gros match mercredi. Physiquement, ce n'est pas trop dur d'enchaîner ? Non, physiquement, ça va. Même si au bout de quarante minutes de match, c'était un peu plus dur contre Bamberg. >> Avec trois victoires, vous êtes encore en course pour la qualification pour le top 16. Vous y croyez ? Ça sera difficile, mais on a notre chance et on la jouera à fond. >> Entre Nancy et Belgrade, quel est pour vous le match le plus important de la semaine à venir ? Les deux matches sont importants. Celui contre Nancy l'est tout autant parce qu'il peut nous permettre de prendre un peu de distance avec le milieu de tableau. >> Vous retrouvez l'équipe contre laquelle vous avez été sacré champion de France. Est-ce pour vous un match particulier ? Non, ça reste un match de saison régulière, un match comme les autres. >> Vous allez retrouver sur votre route Cyril Julian, votre ex-coéquipier de Pau Oui, je suis toujours content de le revoir, c'est un bon gars avec qui je suis resté ami et qui est aussi un bon joueur. >> Vous avez annoncé le jour de la finale que vous visiez un second titre de champion de France. Vous y croyez toujours ? Bien sûr que j'y crois encore. Qu'est-ce qui a changé ? >> L'effectif est pourtant un peu court actuellement Quand Hale et le nouvel intérieur seront là, on sera bien meilleur que l'an passé. >> Dans ce contexte, vous pensez que la Chorale a ses chances de l'emporter contre Nancy ? Je n'ai jamais joué un match sans croire qu'on pouvait le gagner. >> Vous êtes à nouveau sélectionné pour le «All Star Game». C'est une récompense pour vous ? Le «All Star Game», ce n'est pas important, c'est juste pour le fun, pour s'amuser. >> Cette année, vous êtes en plus sélectionné pour le concours à trois points, vous pensez avoir vos chances ? (rire) Ah, non! Je n'ai aucune chance, mais je m'amuserai bien. >> Qu'est-ce que ça vous fait d'être une des stars du championnat de France ? C'est bon, mais ce serait encore mieux si Roanne était premier du championnat de France et pas quatrième. >> La coupure des fêtes de fin d'année approche. Content ? Oui, c'est toujours bon de retourner un peu en famille aux États-Unis. Propos recueillis par Kévin Triet

Le progrès

Article du samedi 15 décembre 2007

Mike Bauer : «Contre un adversaire direct, la victoire est importante» Après avoir connu des déboires la saison dernière, où il a dû quitter Pau Orthez en cours de championnat pour Francfort, Mike Bauer rebondit cette année avec Nancy

Après son départ de Roanne pour Pau Orthez à l'intersaison dernière, Mike a connu des problèmes relationnels avec son coach dans le Béarn. Parti pour Francfort en cours de championnat, l'ancien Roannais s'est ressourcé pour revenir en force cette saison avec le SLUC Nancy. >> Comment vous sentez-vous depuis votre arrivée à Nancy ? Je me sens très bien ici, il y a une bonne entente dans l'équipe. Tout le monde donne son maximum pour jouer le meilleur basket possible. L'année dernière, il était vraiment nécessaire que je parte de Pau-Orthez. Il y avait du positif là-bas, mais aussi beaucoup de négatif pour moi, donc ma décision a été utile. >> Quelle expérience avez-vous retiré de votre passage dans le championnat allemand avec l'équipe de Francfort ? Le pays est très intéressant. J'ai apprécié de jouer là-bas et de connaître une culture différente. Cependant au niveau sportif, ce n'était pas le niveau que je souhaitais. J'étais un peu frustré car je pense que je méritais mieux que cela. C'est pourquoi en venant à Nancy j'ai retrouvé un niveau de jeu qui me correspond mieux. >> Avec du recul, ne regrettez-vous pas d'avoir refusé la proposition de Roanne ? Non, je pense qu'à l'époque ma décision était la bonne. J'allais jouer à Pau, une équipe qui disputait l'Euroleague, avec en plus un bon contrat. Après je suis content pour Roanne qui a fait une superbe saison l'année dernière. Je respecte beaucoup le staff de Roanne, j'ai gardé des contacts avec des gens de Roanne, comme Jean-Denys Choulet ou le président. J'ai beaucoup apprécié mon passage à la Chorale, parfois Roanne me manque, mais je suis bien à Nancy aussi. >> Quels sont vos sentiments avant de retrouver Roanne en tant qu'adversaire ? Pour moi, il s'agit d'un match à prendre comme un autre. On va jouer pour gagner, tout comme eux. La victoire est importante pour nous et pour notre place au classement. Roanne est un adversaire direct, on est assez proche au classement. Si l'on gagne cela nous relancerait avant Noël, ce serait une bonne chose. >> La saison dernière contre Roanne avec Pau Orthez, Marc Salyers vous avait beaucoup limité. Y a-t-il une revanche à prendre ? La saison dernière je n'ai pas fait un bon match surtout parce que le coach de Pau m'a beaucoup limité (rires). Mais sinon il n'y a pas de revanche à avoir avec Marc, il n'y a pas d'animosité entre nous. C'est un très bon joueur et je pense être bon aussi. On va faire en sorte de donner notre maximum pour faire gagner notre équipe. >>Que pensez-vous de la Chorale cette saison ? L'équipe est assez talentueuse, il y a de bons joueurs français mais aussi de très bons américains. Roanne est très fort offensivement et on va tout faire pour les empêcher de jouer leur jeu afin de remporter la victoire. Propos recueillis par Grégory Valloire

Le progrès

Article du vendredi 14 décembre 2007

Avant Nancy - Chorale : Fra «Que le basket triomphe!» Cette année encore le Sluc est candidat au titre de champion. Auteur d'un bon début de saison, Nancy veut enfin décrocher le titre qu'il tutoie depuis trois ans. c'est le souhait de son président

Et un et deux et trois finales Perdues. La rengaine est bien connue en Lorraine mais las de l'entendre rien n'empêche Nancy de repartir sur les mêmes bases que les années précédentes avec : un début de saison en fanfare. Neuf victoires pour deux défaites, premier avec l'ASVEL, c'est le bilan des Couguars avant de rencontrer Roanne. Toujours orchestré par le duo Fra-Monschau, le nouveau Sluc en impose, comme les années précédentes. Les deux frères Greer, Ricardo et Jeff, titrés avec Strasbourg, sont de nouveau associés sous le même maillot. Pape Phillipe Amagou, lui aussi champion avec Le Mans vient se relancer au Sluc. Les US ont du pedigree avec un certain Mike Bauer bien connu des Roannais. Par rapport à l'effectif de l'an dernier, seule la raquette a été conservée. Exit le couteau suisse Kirksay, Zianveni Avec en poste 5 l'une des dernières figures emblématiques du championnat, Cyril Julian associé au bondissant Victor Samnick. «C'était une volonté de notre part de renouveler l'effectif mais il faut savoir aussi qu'on est pillé par les clubs étrangers. On a recruté trois joueurs qui nous avaient battus en finale (Les Greer en 2005 avec Strasbourg et Amagou en 2006 avec Le Mans NDLR), il savent ce qu'il faut faire (sic)», lance avec humour Christian Fra, la mémoire du club avec ses quinze ans de présidence. Les couguars à l'attaque Car le problème de Nancy est bel et bien là. Trois finales, symbole d'une superbe performance dans le haut du panier, pour trois défaites. La dernière contre les Choraliens. L'objectif officiel de cette année est « de rester dans le haut du tableau et de faire le mieux possible » dixit Christian Fra. Le titre n'est pas prononcé comme par superstition. Samedi c'est cette même Chorale, qui les avait battus en finale, qui se présente. Loin d'être une revanche, ce match aura quand même une saveur particulière entre le champion et son dauphin. «On ne pense plus au passé mais au présent. Je n'ai pas de souvenir de Bercy je suis rodé de toute façon (sic)», évoque le président. Avec un Gentilly chauffé à blanc pour l'occasion, les Couguars ne vont pas se laisser faire «Nous les Couguars on donne des coups de griffes et de pattes dès qu'on le peut » prévient Christian Fra avant d'ajouter très sportivement, « ce match devrait offrir un beau spectacle. Que le basket triomphe et que le meilleur gagne ». Les Roannais sont prévenus, pour l'instant seuls le Mans et Orléans ont réussi à battre le SLUC nouvelle version. Ludivine Lattat

Le progrès

mettez nous minables si ça peut vous consoler ,mais sachez que ça ne vous donnera pas le titre de champion de france,apres tout ce n'est qu'un match de championnat comme les autres çe qui compte c'est d'etre en play off puis en finale et surtout de la gagner. :cheers:.
je vous branchent gentiment mais sachez que j'ai pronostique une victoir du SLUC 87/80.
allez bon match

il savent ce qu'il faut faire (sic)», lance avec humour Christian Fra, la mémoire du club avec ses quinze ans de présidence

ben dis donc je savait pas que christian fra était depuis 15 ans a la présidence du SLUC, j'ai du louper 1 épisode quelque part, ils en oublient le regretté JJE... D'ailleurs il y a 15 ans, je sais meme pas si M.Fra connaissait deja le basket!!!

patgally42 a écrit:

mettez nous minables si ça peut vous consoler ,mais sachez que ça ne vous donnera pas le titre de champion de france,apres tout ce n'est qu'un match de championnat comme les autres çe qui compte c'est d'etre en play off puis en finale et surtout de la gagner. :cheers:.
je vous branchent gentiment mais sachez que j'ai pronostique une victoir du SLUC 87/80.
allez bon match

Je savais bien qu'un Roannais allait mordre à l'hameçon

Ce que je disais était également bon enfant, rien de méchant dans mes propos , des fois qu'ils soient mal interprétés !

je l'avais bien compris comme ça ,c'est de bonne guerre de se chambrer avant un match si je vient de temps en temps sur votre forum ce n'est pas pour chercher a faire des histoires mais pour discuter BASKET.

On sera pas loin du guichet fermé ce soir. A'louverture des guichets il n'y avait dejà plus de places à 8€

Et oui,il fait froid dehors et les gens se dirige tout naturellement vers les sport en salle le samedi soir.

Etienne a écrit:

On sera pas loin du guichet fermé ce soir. A'louverture des guichets il n'y avait dejà plus de places à 8€

Mouais jpense pas. Un gros 5000 et ce sera déjà pas mal, même si Marco a tendance a bien gonfler les chiffres.

vince a écrit:

Et oui,il fait froid dehors et les gens se dirige tout naturellement vers les sport en salle le samedi soir.

Le cinéma c'est pas mal et moins cher

vince a écrit:

Et oui,il fait froid dehors et les gens se dirige tout naturellement vers les sport en salle le samedi soir.

De plus, l'Asnl jouant à l'extérieur (à Strasbourg), ça peut ramener du public en plus...