[ProA - J1] Poitiers B86 bat SLUC Nancy 73-77 (27-36)

Super débat qui partira aux oubliettes aussi vite que celui sur Poitiers !

gerard mentor a écrit:

aircraft a écrit:

vivement qu'ils copient les "pass" asnl, ça c'est le progrès, en attendant... ben on se trimballera 15 billets

1 billet a trimballer a chaque match et le reste dans le coffre a la maison ou sous le matelas

que tu trimballe ta carte ou un billet je vois pas le soucis

pour ça que j'ai mis un smiley, franchement je m'en fous, comme dis theseus, c'est un débay pour rien, c'est comme ça et c'est tout

aircraft a écrit:

gerard mentor a écrit:

aircraft a écrit:

vivement qu'ils copient les "pass" asnl, ça c'est le progrès, en attendant... ben on se trimballera 15 billets

1 billet a trimballer a chaque match et le reste dans le coffre a la maison ou sous le matelas

que tu trimballe ta carte ou un billet je vois pas le soucis

pour ça que j'ai mis un smiley, franchement je m'en fous, comme dis theseus, c'est un débay pour rien, c'est comme ça et c'est tout

idem

nancy
Entre aigreur et ambition

Le SLUC débutera sa saison demain contre Poitiers. Il est toujours remonté par son éviction de l’Euroligue mais il peut envisager des lendemains sportifs radieux grâce à son recrutement.

Les anciens du SLUC savent toujours ce qu’ils ont quitté mais pas nécessairement ce qui les attend ensuite. Témoins Victor Samnick ou Maxime Zianveni qui écument actuellement petites annonces et périodes d’essai pour trouver un employeur.

Pendant ce temps, Nancy se prépare pour une nouvelle saison qu’il abordera, une fois encore, dans la peau d’un candidat crédible au titre, porté par un effectif complet et un public qui compte parmi les plus incandescents de France. L’ambition est intacte et légitime, mais elle sera escortée d’un profond sentiment d’aigreur que le champion de France 2008 renâcle depuis son éviction de l’Euroligue.

Non, le dindon lorrain n’a pas digéré la farce. « Pendant cinq ans, nous nous sommes battus pour avoir le ranking et un cycle de trois ans en Euroligue mais on a changé les règles en cours de route, peste Christian Fra. On va essayer de bien se comporter en Eurocoupe mais la colère est toujours là. Et nous ne sommes pas près d’oublier. »

Dans sa grande mansuétude, l’institution Euroleague a offert un lot de consolation à Nancy qui disputera une compétition européenne sous-médiatisée et injustement mésestimée. Au-delà du préjudice moral, cette décision a surtout impacté le budget prévisionnel, revu à la baisse (4,7 M€), et, par voie de conséquence, le recrutement. « Nous avons dû trouver des joueurs un peu moins gourmands, abonde le président. La longueur de banc n’est plus la même aujourd’hui mais je suis surpris de l’esprit de groupe et des résultats obtenus en préparation. Je peux vous dire que nos recrues ont le niveau. Elles ont envie de prouver. »
Un groupe polyvalent

Pour résumer, le SLUC a attiré une garantie intérieure (Marcus Slaughter), tenté un pari labellisé Pro B (Lesly Bengaber) et se félicite d’une heureuse trouvaille au poste 4 (Kaniel Dickens). « Lesly va apporter une intensité défensive et ses trois-points, développe leur coéquipier Steed Tchicamboud. On aura aussi l’adresse de Kaniel, un vrai polyvalent qui peut jouer aux postes 3 ou 4 avec beaucoup de mobilité. Enfin, Marcus, c’est l’énergie à l’état pur, une grosse densité physique. »

Derrière son homme-orchestre Ricardo Greer et ses fines gâchettes (Cox, J. Greer, Bengaber), Nancy peut ainsi revendiquer de solides appuis défensifs (Akingbala, Slaughter) et des intérieurs modernes capables de s’écarter du cercle (Brun, Dickens). Finalement, la faiblesse pourrait se situer à la mène, réorganisée autour d’un cadre parfois intermittent (Tchicamboud) et d’un jeune en apprentissage (N’Joya). Or, l’ensemble est cohérent, terriblement polyvalent et susceptible de nourrir quelques feux d’artifice s’il est épargné par les blessures.

Avec une force de frappe a priori intacte, le SLUC vise « les quatre premières places et même le top 2 pour avoir l’avantage du terrain jusqu’au bout » (Tchicamboud). L’issue de ce nouvel exercice pourrait d’ailleurs conditionner l’avenir puisqu’approchent les fins de mandat du président et de contrat de l’entraîneur.

Deux sujets intimement liés pour deux hommes historiquement soudés. « J’ai l’habitude d’aller au bout de mes mandats, confie Fra. On va essayer de bien faire les choses et je réfléchirai à la suite dans la troisième partie de la saison. ET puis, vous savez, tant que Dieu me prêtera la santé… » Un titre et ça repart ?
Christian JOUGLEUX.

http://www.republicain-lorrain.fr/fr/sport/article/2039267,81/Entre-aigreur-et-ambition.html

Selon Stephen Brun, le SLUC a gagné en verticalité mais le style ne va pas changer.
Il fonctionne.

A la lumière de votre campagne de préparation, dans quelles dispositions abordez-vous ce début de saison ? « Nous sommes plutôt confiants. On a réussi de grosses prestations dans l’ensemble mais il nous reste à les reproduire sur la durée. Il ne faut pas oublier que nous avons été en dessous contre Strasbourg (82-97) et Cholet (71-63) ces dernières semaines. Il va falloir gagner en constance. »

• L’identité de l’équipe a-t-elle changé avec les légers remaniements de l’été ? « Nous serons peut-être beaucoup plus au-dessus du cercle cette saison. On a gagné en verticalité avec les deux meilleurs contreurs de la saison dernière (Slaughter et Akingbala) mais il ne faut pas oublier que le contre est le bout de la chaîne, le dernier recours quand la défense est battue. Il faudra commencer par fermer notre raquette et, si on veut aller loin, il faudra aussi empêcher nos adversaires de scorer à trois points. »

• Les visages changent mais le style demeure à Nancy, avec cette recherche de vitesse, de percussion… « Oui, notre philosophie est la même, c’est celle de Jean-Luc (Monschau). Ce ne sont pas les joueurs qui vont la modifier puisque le coach prend des gens qui correspondent au profil. C’est normal. Les cinq dernières années plaident en sa faveur : ce style a porté ses fruits. En plus, il plaît à tout le monde. »

• Comment la concurrence est-elle vécue dans le vestiaire ? « L’ambiance est saine. »

• Meilleure que la saison passée ? « Oui, mais c’est normal. Nous avions douze ou treize pros dans l’effectif et les problèmes d’ego qui vont avec. Tout le monde ne peut pas avoir le même temps de jeu dans ces conditions et parfois, nous avons eu tendance à tomber dans le chacun pour soi. Cette année par contre, j’ai vraiment le sentiment qu’on joue tous les uns pour les autres. »

• Avez-vous digéré votre non-qualification en Euroligue ? « On plaisante encore de temps en temps sur le changement de règlement en cours de saison qui nous a privés de cette compétition. Nous avons été déçus parce que le ranking était un de nos objectifs la saison dernière. Cette histoire nous a fait mal. Mais quand l’Eurocoupe va arriver, on va la jouer à fond. Il y aura quand même les éliminés du tour préliminaire de l’Euroligue, les troisièmes et quatrièmes d’Espagne ou d’Italie et les premiers des petits championnats qui peuvent avoir des budgets supérieurs au nôtre. C’est peut-être moins médiatisé mais c’est costaud aussi. »

• Votre objectif en championnat ? « On ne signe pas à Nancy pour jouer le maintien. L’objectif, c’est de figurer dans la même partie de tableau que la saison dernière, voire au-dessus. »
Christian JOUGLEUX.

http://www.republicain-lorrain.fr/fr/sport/GRDC_URWeb_Detail.aspx?iCategorieRedactionnelle=81&iURWeb=2039272

Ne ratez pas le départ !


Après plus de six semaines de préparation, le SLUC rentre dans le vif du sujet face au promu poitevin. Sur le papier, il n'y a pas photo. Mais pour éviter un gros couac d'entrée à la maison, vigilance obligatoire...



NANCY._ Un peu plus de six semaines de préparation, des dizaines et des dizaines d'heure d'entraînement, dix matches amicaux... Comme chaque été, le SLUC Nancy a bûché, bûché encore pour poser les jalons du collectif.
Mais si cette préparation a apporté son lot de satisfactions et d'espoirs, si elle a permis de mettre le doigt sur certains points à corriger, mais aussi d'apprécier la montée en puissance de certains éléments - on pense notamment à l'Américain Kaniel Dickens -, l'heure n'est plus aux examens blancs.
Ce soir, on rentre dans le vif du sujet, le grand feuilleton de la Pro A. « A partir de maintenant, chaque minute compte », lâche Jean-Luc Monschau. « Il faut qu'on soit dans la compétition dès la première minute et à chaque minute du championnat. »
Plus le temps d'effectuer des essais, de faire tourner, de travailler les systèmes, il faut maintenant être prêt à croquer dans un gâteau sur lequel bavent d'autres ambitieux, comme l'ASVEL (évidemment...), Orléans, Le Mans ou encore Roanne.
Question :
le SLUC est-il prêt ? Réponse ce soir, pourrait-on dire. Mais la dernière ligne droite de la préparation incite à un relatif optimisme, avec notamment un succès au tournoi de Bourges, en dominant successivement Le Mans et Orléans, et un gros match face au Maccabi Tel Aviv lors du tournoi Pros-Star Pays de Loire (-3).
« On a fait ce qu'il fallait », reprend le coach nancéien. « Notre préparation a été moins perturbée par les blessures que la saison dernière.
On est sûrement plus au point que l'année dernière à la même époque. »

John Cox forfait


Reste maintenant à le valider, ce soir à Gentilly, face au promu poitevin. Une tâche pas vraiment insurmontable, vous en conviendrez. Que ce soit en terme de vécu en Pro A, de palmarès, d'ambitions affichées ou de moyens financiers, un monde sépare en effet les deux équipes.
Et avec deux succès - contre des équipes de Pro B - pour six défaites en préparation, le Poitiers Basket 86 a donné quelques éléments supplémentaires à ceux qui lui prédisent une saison dure, dure, dure, en élite...
Même si le SLUC Nancy devra se passer ce soir des services de John Cox (grippé depuis le début de la semaine), pour beaucoup, l'affaire paraît donc déjà entendue Mais c'est justement une raison pour être méfiant.
« Il faut vraiment les prendre au sérieux », assure le meneur Steed Tchicamboud. « On les a joués la saison dernière en coupe et ils nous avaient bien tenus sur le match. L'équipe n'a pas beaucoup changé depuis la saison dernière (NDLR : seuls Pape Badiane et Tommy Gunn sont arrivés) et ils ont l'habitude de jouer ensemble depuis un bout de temps.
Il faut qu'on joue comme si on affrontait une équipe d'Euroligue... »
Ce serait encore le meilleur moyen de se mettre à l'abri d'un gros couac à la maison et de se placer sur les bons rails avant d'enchaîner par deux déplacements, à Strasbourg et Paris-Levallois. Alors, prière de ne pas rater le départ, ce soir.

Anthony GUILLE


3/10/09


Est républicain

« On n'a pas de limites »






- Marcus, le SLUC est sur la ligne de départ du championnat. Est-ce que l'équipe est prête ?
- On est prêt. On a eu un très bon programme de préparation, avec des matches contre d'excellentes équipes. Ce premier match sera un test pour savoir comment on pourra terminer cette saison.
- C'est-à-dire ?
- Si on obtient une victoire convaincante, avec la manière, on peut très bien enquiller cinq victoires de rang. Mais si on perd, la saison pourrait être longue...
- Débuter face à un promu, c'est une chance ou un piège ?
- C'est vrai que c'est à double tranchant. Il faudra qu'on soit prêt mentalement et, surtout, qu'on ne se dise pas que, sous prétexte que Poitiers vient de Pro B, ils ne sont pas si forts...
Au contraire, ces équipes jouent souvent plus durs, sont plus motivées car on ne les attend pas. Je le répète, c'est un test.

« On a du talent à tous les postes »


- Comment jugez-vous cette équipe du SLUC Nancy ?
- On a du talent à tous les postes, l'alchimie est là et on partage tous cette même envie de gagner. Avec le championnat, la coupe, la Semaine des As, la coupe d'Europe, on a beaucoup de matches à jouer et à gagner. On n'a pas de limites.
On veut tout gagner et je pense qu'on a l'équipe pour le faire.
- Avec vous, Akin Akingbala, Stephen Brun et Kaniel Dickens, la raquette nancéienne sera dense, très dense cette saison. Est-ce que vous avez déjà évolué dans une équipe aussi solide sur le plan intérieur ?
- (Il réfléchit) J'ai joué avec Jamie Arnold quand j'étais à l'Hapoel Jerusalem (en 2007/2008, NDLR), c'est vraiment un excellent intérieur, tout comme Joe Bunn, avec qui j'ai joué à Gravelines... Mais c'est vrai que je n'ai jamais joué dans une équipe avec autant de bons intérieurs. Mais c'est stimulant. On sait que si on n'est pas dans un grand jour, il y a d'autres gars qui peuvent vous suppléer.
- Le SLUC est votre troisième club en France, après Gravelines et Le Havre, mais le premier à jouer les premiers rôles. Sur le plan personnel, ce sera une saison importante...
- Toutes les saisons le sont. Ce sera surtout une saison excitante, car j'ai l'opportunité de gagner plus de matches...
- Quitte à revoir, peut-être, vos stats à la baisse. La saison dernière, vous avez terminé premier à l'évaluation (21,5), mais avec autant de talents autour de vous, ce sera difficile de faire aussi bien...
- Je ne regarde pas vraiment les stats. Ce qui compte, ce sont les victoires. J'ai joué dans des équipes qui ne gagnaient pas beaucoup, et ce n'est pas un sentiment agréable. Mes stats peuvent baisser, si on gagne, je serai content.

Recueilli par A.G.


Est republicain

L'adversaire





•Le budget : 2,3 millions d'euros.
•L'entraîneur : Rudy Nelhomme (37 ans).
•Le joueur clé : Pape Badiane. Le gros coup de l'été pour le promu poitevin. Le pivot a disputé l'Euroligue ces deux dernières saisons (à Roanne puis au Mans) et a participé à l'Euro 2007 avec les Bleus. Après une saison décevante au Mans, il cherche à se relancer à Poitiers.
•Le chiffre : 1. Le Stade Poitevin dispute sa toute première saison en élite.
•L'infirmerie : vide.




3/10/09


Est republicain

Nancy en reconquête





Le SLUC retrouve la Pro A ce soir, avec la réception du promu poitevin. Toujours ambitieux, le champion de France 2 008 n’a pas le droit de manquer son entrée.


Les temps changent à Nancy. L’an passé, le SLUC avait eu l’honneur d’ouvrir sa saison avec le match des champions, contre Villeurbanne. C’était la garantie d’une belle affluence à Gentilly et d’une affiche de tout premier plan en pro A, la suite l’a démontré. Cette fois, le club lorrain reprend les affaires courantes contre un promu, dans une rencontre quasi anonyme, programmée derrière une journée d’éliminatoires en Euroligue et un autre match des champions qui vient déjà tronquer la première journée. Pour Jean-Luc Monschau, l’identité de l’adversaire importe pourtant peu. L’essentiel est de gagner. Déjà.
« Maintenant, il faut prouver, explique l’entraîneur. A partir d’aujourd’hui, chaque minute va compter. On veut être bien classé en saison régulière puisque nous connaissons à l’avance les règlements de qualification en Euroligue. Il faudra être dans la conquête à chaque instant. » Dérapage interdit, pour résumer. Nancy nourrit comme toujours de hautes ambitions et il lui est déconseillé de perdre des points contre des écuries de moindre envergure dans un championnat qui devrait amorcer un resserrement des cadors dans le haut du tableau. Le SLUC en fait naturellement partie. Il vient d’abattre une campagne de préparation globalement maîtrisée et épargnée par les blessures. Surtout, il a opéré un recrutement intelligent dont le public appréciera la qualité en conditions réelles. Exit Julian, Samnick, Parker et Morandais. Slaughter le déménageur est arrivé, en compagnie de Kaniel Dickens, candidat au titre de révélation de l’année, ainsi que Bengaber, le joker estampillé Pro B, qui a hâte de prouver son adaptation aux exigences de l’élite.
Cox est forfait
Nancy et Poitiers ont justement en commun d’avoir peu modifié leur effectif cet été. « Poitiers a gardé 80 % de son ossature, développe Monschau. C’est un groupe très homogène, avec une culture du jeu bien installée. » Rudy Nelhomme bénéficie de fait d’un noyau dur qui s’est forgé une identité à l’étage inférieur et de deux recrues (Badiane et Gunn) sommées d’apporter leur maturité à l’effectif. Le SLUC se méfie d’autant plus de cet invité qu’il garde en mémoire leur dernière confrontation, la saison dernière en coupe de France. Nancy avait cravaché mais gagné (61-72).
L’optimisme reste pourtant de rigueur en Lorraine. Hier, l’adjoint Cédric Heitz avait enfilé son plus beau short pour remplacer John Cox, grippé, et faire le nombre à l’entraînement. Séance studieuse, rigoureuse même, mais sans stress apparent. Car la majorité des forces sont en présence et les baromètres au vert. « Oui, nous avons fait ce qu’il fallait et notre préparation a été moins perturbée que par le passé, conclut Monschau. Nous sommes sûrement plus au point maintenant que l’année dernière. » C’est un bon point de départ.
Christian JOUGLEUX.



Publié le 03/10/2009

Republicain lorrain

Jean-Luc Monschau sur son 21 L’entraîneur du SLUC...


Jean-Luc Monschau sur son 21
L’entraîneur du SLUC Nancy sera le doyen de la Pro A
avec vingt et une saisons au compteur. Jean-Luc Monschau devance Greg Beugnot (Chalon) avec dix-neuf exercices.
Suivent son frère Christian Monschau (Gravelines, 17),
Jean-Denys Choulet (Roanne, 16) et Jean-Louis Borg (Vichy, 14). A noter que l’entraîneur nancéien est en fin de contrat.

D’incroyables chômeurs


Alors que Kirksay a quitté la Russie et Kazan pour trouver refuge en Espagne (à Séville), d’autres joueurs du Sluc n’ont pas encore trouver preneurs. On songe à Max Zianveni, qui s’entraîne à Hyères-Toulon où il évoluait la saison dernière, et Victor Samnick, se préparant à Grenade sans être certain d’y rester. Sont aussi au chômage : Poupet (Roanne), Gradit (Vichy), Diarra (Paok Salonique), Ferchaud (Nantes), Adjiwanou (Orléans), Mokongo (Cholet). Amary Sy (Villeurbanne) effectue actuellement des essais en Nba.

Revoilà Linehan Le SLUC Nancy retrouvera sur sa r...


Le SLUC Nancy retrouvera sur sa route quelques anciens joueurs, à commencer par John Linehan ayant quitté la Lorraine
en boitant bas après une grave blessure au genou. Cholet redonne sa chance à ce meneur aujourd’hui trentenaire. Outre Linehan, Nancy se heurtera à Pape-Philippe Amagou (Roanne), qui a quitté la Grèce après avoir été l’auteur d’une saison très correcte, mais aussi à Banks et Masingue (restés à Orléans et Hyères/Toulon), TJ Parker (Villeurbanne) et Zaki (Gravelines).

Républicain lorrain

Article de la Nouvelle République

Bonne chance au SLUC ce soir.

Merci Bacou pour les articles de presse tous les matins
Allez le Sluc

Stooooop, attention phrase du jour....

"Il faut qu'on joue comme si on affrontait une équipe d'Euroligue..."
Steed Tchicamboud à la veille d'affronter le promu poitevin..............


Hé bien, on va rigoler (ou plutôt pleurer) ce soir !
A classer dans le top 3 avec celle sur Lakovic

Grand voyageur du basket, Stephen Brun semble se plaire en Lorraine, où il a resigné pour deux ans. L’ailier du SLUC, qui regrette de ne pas pouvoir disputer l’Euroligue, veut aller loin sur tous les tableaux et aborde la saison avec ambition.

par Christophe Remise, le 02-10-2009


Qu’est-ce qui a manqué au SLUC pour gagner quelque chose la saison dernière ?
Stephen Brun : Pas grand chose… Nous n’avions pas l’effectif au complet à la fin de la saison. Cyril (Julian) jouait, mais il n’était pas à 100% et Victor Samnick s’est blessé. Donc nous avions des rotations limitées à l’intérieur. Nous avons loupé le coche lors du match 2 des demi-finales contre l’ASVEL (Ndlr, Nancy avait remporté le match 1 à l’Astroballe avant de perdre les deux suivants). C’est notre plus grand regret de la saison dernière.

Jean-Luc Monschau n’a pas digéré la non-participation de Nancy à l’Euroligue (*)…
Stephen Brun : Notre objectif était de terminer premier du ranking car cela devait nous donner droit à trois ans d’Euroligue. Nous avons atteint cet objectif, mais malheureusement les règlements ont changé en cours de saison. C’est difficilement compréhensible. Nous avons fait une croix sur l’Euroligue et nous allons jouer l’EuroCoupe à fond. Dans nos têtes, nous avons gagné le ranking et nous méritions nos trois ans en Euroligue… Si nous allons nous battre pour avoir gain de cause ? S’il y en a qui se battent au sein du club, ce ne sera pas nous, les joueurs. Nous allons nous concentrer sur le terrain, mais nous savons que nos dirigeants s’en occupent.

Quelles sont vos ambitions pour cette saison ? Le titre ?
Stephen Brun : Il y a six ou sept équipes qui pourraient dire la même chose. Etre au SLUC, cela implique de jouer le haut de tableau. Donc nous visons le Top 4, voire plus si nous gagnons les matches qu’il faut. Il faudrait déjà être bien placé à la fin de l’année pour jouer la Semaine des As et essayer de prendre ce premier trophée. Nous voulons bien figurer dans toutes les compétitions. L’EuroCoupe, la Coupe de France et, bien sûr, être bien positionnés en saison régulière. Après, en Play-offs, tout peut arriver…

Quelles sont vos rivaux les plus dangereux en Pro A ?
Stephen Brun : On peut dire que l’ASVEL, Orléans, Le Mans ou encore Roanne ont une belle équipe. Il y en a d’autres, qui ont peut-être des noms un peu moins ronflants, mais qui peuvent être de belles surprises comme Dijon ou Chalon-sur-Saône. Le championnat de Pro A va être très homogène cette année. Il va falloir se méfier de toutes les équipes tous les week-ends.

La stabilité du groupe nancéien est-elle sa plus grande force ?
Stephen Brun : Nous n’avons recruté que trois joueurs (Ndlr, Lesly Bengaber, Kaniel Dickens, Marcus Slaughter). Donc l’avantage, c’est que nous gardons la même philosophie. Ce sera d’autant plus simple de s’intégrer pour ces trois joueurs. Il faudra tout de même que nous apprenions à jouer avec eux parce que deux d’entre eux sont des joueurs importants à l’intérieur et seront souvent sur le terrain.

Le SLUC 2009-2010 est-il meilleur que celui de la saison passée ?
Stephen Brun : Je ne sais pas. Je pourrai plus facilement répondre à cette question après avoir joué quelques matches. Nous avons un effectif moins pléthorique. Nous avions douze joueurs capables de jouer la saison dernière. La rotation est désormais réduite à dix (Ndlr, trois arrivées, six départs). Nous avons quand même perdu Victor Samnick, qui était un joueur important. Il n’est peut-être pas aussi athlétique que Marcus Slaughter qui est plus «au sol». Slaughter, c’est un animal (rires) ! Il dunk, il contre… C’est difficile de comparer l’équipe de l’an dernier et celle de cette saison. Mais je sais que nous aurons une belle équipe.

Vous n’êtes jamais resté plus de deux ans dans les clubs où vous êtes passé. Avez-vous envie de vous poser à Nancy ?
Stephen Brun : C’est parti pour ! Mon objectif est de me poser ici et de rester le plus longtemps possible. Par le passé je n’ai pas été très stable à ce niveau, que ce soit par choix personnel, comme lors de mon passage à l’ASVEL, ou pas. Ce sont les aléas d’une carrière. J’avais aussi envie de voir ce qui se passe ailleurs. C’est pour cela que je suis parti en Croatie (au début de la saison dernière avant de rejoindre la Lorraine pour les six derniers mois de 2008-2009). A Nancy, j’ai trouvé un club stable, bien structuré, qui me plaît et une ville très agréable à vivre. C’est pour cela que je n’ai pas hésité à resigner deux ans.

Vous avez prévu de faire escale par la Turquie pour vos prochaines vacances d’été ?
Stephen Brun : Non, je ne crois pas. Il y a une équipe de France qui est en place. Déjà, je n’ai pas signé la charte. Tout peut arriver. Cela dépend de la saison que je vais faire. Mais à mon poste il y a des joueurs qui sont indéboulonnables, comme Flo Piétrus. On sait que Boris Diaw devrait être repositionné au poste 4. J’ai une bonne estime de moi, mais je suis avant tout objectif et capable d’admettre que des joueurs sont meilleurs que moi. Ces deux-là le sont. Donc la Turquie, pourquoi pas. Mais en tant que supporter !

(*) Jean-Luc Monschau : «Avec le recul, on constate que le seul souci de l’Euroligue était de favoriser l’ASVEL ! A l’UCPB (Union des Clubs Pros de Basket) tous les présidents de clubs – et même le président de Villeurbanne, dont il faut souligner le fair-play - sont unanimes pour dire qu’on ne peut changer de règlement en cours de cycle et qu’il faut donc donner au SLUC la place en Euroligue gagnée sur le terrain au titre du ranking ! Mais le président de l’UCPB est membre actif du Mans… Tout est dit. Quelle confiance pouvez-vous garder en une instance qui ne respecte pas ses propres règlements ? De façon plus générale, quel respect gardez-vous pour quiconque manque à sa parole à votre égard ? La LNB est très efficace pour appliquer ses règlements sur des sujets aussi essentiels que la couleur des chaussettes… […] Le SLUC a subi un véritable chantage de la part de l’Euroligue. Par écrit, l’organisation a menacé le SLUC de le «virer», même de l’EuroCoupe, s’il continuait à briguer ce qui lui est dû !» (Site du SLUC)



SPORT24

>A l'assaut de la ProA

Petite vidéo sympathique sur le PB86.

Magic Tariq a écrit:

(*) Jean-Luc Monschau : «Avec le recul, on constate que le seul souci de l’Euroligue était de favoriser l’ASVEL ! A l’UCPB (Union des Clubs Pros de Basket) tous les présidents de clubs – et même le président de Villeurbanne, dont il faut souligner le fair-play - sont unanimes pour dire qu’on ne peut changer de règlement en cours de cycle et qu’il faut donc donner au SLUC la place en Euroligue gagnée sur le terrain au titre du ranking ! Mais le président de l’UCPB est membre actif du Mans… Tout est dit.



SPORT24

Merci Berlin !

JC a écrit:

>A l'assaut de la ProA

Petite vidéo sympathique sur le PB86.

Sympa ! on y apprend que Poitier lance des cartes comme à l'Asnl... pdt se temps on revient au bon carnet à souche, c'est beau le progres...
Si on remet des bancs de 50m de long à l'ancienne on l'a la salle de 10 000 places

JC a écrit:

>A l'assaut de la ProA

Petite vidéo sympathique sur le PB86.

En effet, un modèle en matière de comm pas chère sur le net, il y avait aussi la série "vis mon match"
dont la speciale poiters -sluc en coupe de france
https://www.dailymotion.com/video/x8ue2v_episode-11-poitiers-nancy-coupe-de_sport

h - 30 mn

Allez le Sluc!

Reste à espérer que les live lnb fonctionnent mieux cette saison que l'an dernier

Je pensais à la même chose....

et quel est le seul live qui fonctionne pas?

Je le sentais venir

Le notre.....