[ProA - J17] Poitiers B. 86 bat SLUC Nancy, 69-61 (39-28)

Vla le match qui passionne les foules, la veille de la rencontre 2 posts ...

J'attends ce match avec impatience !

Pourtant c'est l'équipe la plus sympa celle de Poitiers...

Et puis ceux qui y sont allé avec trop de confiance se sont fait ken: cf Chalon, Cholet...

Une bonne mise en jambe pour le retour de Njoya avec le face à face avec Ona Embo, j'aime bcp ce joueur. Et je pense sincérement que ce sera le futur français NBAer... ça permettrait à Poitiers d'avoir l'argent pour s'acheter d'autres bons joueurs (et de dire au revoir à des gars comme Devehat ou Costentin qui ont franchement pas leur place en ProA...)

Vestiaires
Feu vert pour N’Joya

Nancy. Absent depuis mi-décembre (luxation du pouce), Seidou N’Joya a repris l’entraînement avec le ballon en début de semaine. L’essai a visiblement été concluant et le meneur sera du voyage à Poitiers, cet après-midi.

JOUEUR DU MOIS : Akin Akingbala succédera-t-il à son coéquipier Tremmell Darden ? On le saura dans quelques jours. En tout cas, le pivot nigérian figure parmi les trois nominés pour la distinction de joueur du mois de janvier, aux côtés de Mickaël Gelabale (Villeurbanne) et Blake Schilb (Chalon). Faîtes vos jeux...

POITIERS : tout comme Seidou N’Joya, l’arrière de Poitiers Guillaume Costentin effectuera son retour ce week-end après plusieurs semaines d’indisponibilité (fracture d’un doigt). Costentin sera aligné demain, ainsi que son pigiste médical Antonio Grant, qui a été prolongé en qualité de joker.

T.S.

Pro A - Poitiers - SLUC, demain (20 h)
Commerce extérieur excédentaire



L’agressivité défensive initiée par John Linehan est un argument de poids à l’extérieur. Photo d’archives Patrice SAUCOURT

Basket-ball

En déplacement, le SLUC n’avait plus affiché un aussi bon bilan après sept matches depuis la saison 2006-2007. Tentative d’explication...

Nancy. Le supporter du SLUC, l’habitué de Gentilly, regarde forcément avec un brin de nostalgie le temps où son équipe ne laissait que des miettes à ses adversaires à domicile. Entre 2005 et 2008, soit en trois saisons régulières, l’équipe de Jean-Luc Monschau n’avait concédé que six défaites au total, à Gentilly. Et elle s’imposait régulièrement sur des écarts relativement larges. Cette saison, le bilan est plus... laborieux. Ses sept victoires à domicile, le SLUC les a obtenues avec un écart moyen de 9,7 points (contre 6,4 points pour les victoires à l’extérieur).

Cela tient sans doute à l’homogénéité du championnat. Mais pas uniquement selon l’entraîneur : « C’est vrai que nous ne faisons pas de carton à domicile... Peut-être parce que notre jeu offensif n’est pas encore complètement installé. Pour créer des écarts, il faut des moments d’euphorie. Nous ne les avons connus que très rarement pour l’instant. » Avec sept victoires en neuf matches, le SLUC reste cependant l’une des formations les plus intransigeantes sur leur parquet.

Mais avec cinq succès en sept déplacements, elle est aussi, avec Chalon, l’équipe affichant le meilleur pourcentage de victoires à l’extérieur. Depuis le mois d’octobre, Orléans, Le Mans, Strasbourg, Limoges et Vichy se sont fait cambrioler par Linehan et ses copains. Nancy reste d’ailleurs sur quatre victoires de rang loin de ses bases. Détail qui n’a évidemment pas échappé à Jean-Luc Monschau, qui s’empresse de verser de l’eau sur les flammes : « Nous avons pris ce que nous pouvions prendre... Mais ce n’est certainement pas le moment de se gargariser ! » Surtout à la veille d’un déplacement à Poitiers, où Chalon et Cholet viennent coup sur coup de trébucher...
Les plus gros sont à venir...

Et puis il y a une autre raison de ne pas s’enflammer. Pour l’instant, le SLUC n’a disputé que sept matches à l’extérieur (contre neuf pour Roanne ou l’ASVEL) et il devra encore rendre visite à Roanne, Hyères-Toulon, Chalon, Cholet et Gravelines, soit aux cinq autres équipes qui composent le top 6 actuel.

Il n’empêche que pour trouver la trace d’un aussi bon début de saison du SLUC à l’extérieur (après sept matches), il faut remonter à l’exercice 2006-2007. L’année où Nancy avait terminé seul premier de la saison régulière. Pour le coach nancéien, il semble cependant délicat de tirer d’ores et déjà des conclusions quant aux raisons de ce bon parcours à l’extérieur. On peut imaginer que l’état d’esprit et les qualités défensives de cette équipe n’y sont pas totalement étrangers. « Peut-être qu’une partie de l’explication se situe dans le style de jeu », risque le coach, « Avoir une bonne assise défensive, être capable de limiter l’attaque de l’adversaire et le tenir à des petits scores, cela facilite les choses à l’extérieur. » C’est ce que les Nancéiens sont parvenus à faire à Orléans (65 points encaissés), à Strasbourg (64) ou à Limoges (77 après prolongation). Et c’est sans doute ce qu’ils devront faire demain, à Poitiers, face à la plus mauvaise attaque de Pro A à domicile...

Thomas SIMON

lolo a écrit:

Vla le match qui passionne les foules, la veille de la rencontre 2 posts ...

En fait on attent la bannière pour le match avec impatience
James au TAF

Autrement : match à prendre au sérieux évidemment

En tenue de combat



zoom
Akin Akingabala, ici opposé à Guillard (à g.) et Costentin (à d.), et les Nancéiens devront remporter le défi physique pour s’imposer dans la salle poitevine, devenue la bête noire des «gros». Archive P.S
Basket-ball


Poitiers, qui vient de faire chuter Chalon et Cholet à domicile, impose un gros défi physique sur son parquet. Le SLUC est prévenu.

Nancy. Ruddy Nelhomme a beau être l’un des plus jeunes coaches de Pro A (38 ans), il dispose tout de même d’un bagage largement suffisant pour ne pas se laisser griser par les honneurs. Lorsqu’il a reçu la distinction de meilleur entraîneur de Pro A la saison dernière, après que son équipe, promue, se soit qualifiée pour les play-offs, le Guadeloupéen rappelait à qui voulait l’entendre que la deuxième saison parmi l’élite était souvent la plus difficile. Bingo !

A l’heure actuelle, Poitiers, qui a pourtant conservé huit éléments de la saison dernière, est loin de penser aux play-offs. Avec seulement une victoire de plus que la lanterne rouge Vichy, le PB86 regarde plutôt vers le bas. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que son bilan à l’extérieur (neuf défaites en neuf matches) n’a pas vraiment rempli les caisses depuis le début de saison. Poitiers est d’ailleurs la seule équipe de Pro A à n’avoir toujours pas remporté de victoire en déplacement. Comme si l’équipe de Nelhomme présentait deux visages différents, à l’extérieur et à la maison...

« Comme elle ne gagne pas à l’extérieur, elle a absolument besoin de s’imposer à domicile », affirme Jean-Luc Monschau, « Sur son parquet, Poitiers est beaucoup plus dans le combat. »

« Fighting spirit ! », cette qualité poitevine relevée par l’assistant Cédric Heitz après visionnage des images a d’ailleurs trôné toute la semaine dans la salle vidéo de Gentilly. Les Nancéiens sont donc prévenus, il va leur falloir enfiler le bleu de chauffe. Linehan et ses coéquipiers sont d’autant plus méfiants que Poitiers vient consécutivement de faire chuter Chalon et Cholet à Saint-Eloi.Opposition de styles

Deux cadors de Pro A qui ont tour à tour butté sur la défense locale, n’inscrivant respectivement que 61 et 65 points. Car si Poitiers affiche l’attaque la moins prolifique de la division sur son parquet (67,9 points de moyenne), elle présente en revanche la meilleure défense (66,9 points). « C’est une équipe qui joue en très peu de possessions », précise Jean-Luc Monschau, « Ce qui explique que les scores soient peu élevés. »

Tout le contraire du SLUC, ce qui promet une belle opposition de styles. Aux Nancéiens d’imposer le leur, eux qui restent sur quatre succès consécutifs à l’extérieur. Pour poursuivre cette belle série, il faudra donc remporter le défi physique. Mais également tempérer les ardeurs des hommes en forme côté poitevin. C’est le cas d’Antonio Grant, de Pape Badiane et surtout de Pierre-Yves Guillard, meilleur marqueur du PB86 sur les cinq derniers matches. « Hormis Wright qui tente un peu plus, tous les autres joueurs prennent entre sept et huit tirs par match. Les responsabilités sont très réparties, l’équipe est homogène », précise l’entraîneur nancéien.

Le SLUC sait aussi que, sur le papier, les déplacements les plus périlleux restent à venir (Roanne, Chalon, Hyères-Toulon, Cholet, Gravelines). S’il peut faire le plein avant d’arriver au pied des grands cols...

Thomas SIMON

Espoirs : Poitiers (12 ^e, 21 points) - SLUC (1 ^er, 31 points), aujourd’hui (16 h).



Est republicain

A Nancy, la bonne affaire ?






La modeste équipe picto-charentaise s’est fait une spécialité de couper les têtes. Nancy est prévenu.

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Et si les Lorrains avaient la bonne idée de continuer à nettoyer les bas-fonds de la pro A… Pour l’instant, le Sluc a manifesté le sérieux souhaité chez les plus faibles, oubliant un air supérieur éventuellement fâcheux. Vainqueur à Orléans, Limoges, Vichy, Nancy peut, à Poitiers, réaliser le grand chelem chez les quatre cancres de pro A.
On oubliera la manière, pas toujours exacte lors des trois précédents rendez-vous. Comprenez que les victoires n’ont pas été des triomphes grandioses par leur écart. En revanche, l’équipe de Jean-Luc Monschau a bel et bien eu le mérite de gagner ces duels si importants pour le classement, évitant de laisser bêtement des points sur la route menant à un classement idéal avant les playoffs du titre.
A chaque fois, les Nancéiens ont échappé au piège de la facilité. Nul doute qu’en terre poitevine, ces mêmes joueurs se tiendront sur leurs gardes tant la formation de l’enthousiasmant Ruddy Nelhomme a lancé des messages forts ces dernières semaines. Incapable de s’imposer à l’extérieur, contrairement à son rival lorrain devenu expert en voyages rentables (cinq succès en sept matches), Poitiers vient d’épingler Cholet (+2), et Chalon (+ 9), deux membres de carré d’as avant cette journée !Profiter de l’occasion
Attaque poussive, ce beau promu de la saison dernière (8 ^e) compense son manque de mordant offensif par une terrible combativité. Si le Sluc ne dépasse par les 70 points, il sera en danger. Etd’’autant plus menacé que le porte-drapeau de la Vienne a un peu délaissé son combat patriotique (un minimum d’éléments US) pour maintenant céder aux sirènes américaines avec l’engagement de Grant comme jocker, en plus du trio Gunn, Whright, Younger.
Poitiers, toutefois, n’est pas au bout de ses peines. Face à lui se dressera l’un des premiers de la classe, pour une fois au complet (retour du blessé Njoya), qui reste sur quatre victoires en déplacement et une série de neuf succès pour un unique revers. Nancy n’a plus mordu la poussière hors de Gentilly depuis la mi-novembre… Seuls Villeurbanne et Pau ont réussi ce dont Poitiers rêve : battre le Sluc afin de réaliser la passe de quatre contre cet adversaire qu’il avait contenu à l’aller (76-69). Cela signifierait que le maintien serait de nouveau d’actualité.
A l’opposé, un résultat positif de la troupe meurthe-et-mosellane conforterait un peu plus encore Linhen et ses potes en haut de l’affiche : deux des quatre leaders s’affrontaient hier (Roanne et Chalon) alors que Cholet n’est pas certain de s’en sortir à Orléans. Ça sent la bonne occase !A. T.

Republicain lorrain

LE RETOUR DU GUERRIER
Après deux mois et demi d'arrêt, Guillaume Costentin effectue face à Nancy son retour sur les parquets. Un atout de plus dans la chaude lutte pour le maintien.

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Guillaume Costentin n'a pas ménagé ses encouragements pour le PB depuis le banc et revient ce soir sur le terrain.
(Photo Patrick Lavaud)




Vous reprenez la compétition après deux mois et demi d'arrêt. Comment s'est passée votre convalescence?
« Depuis ma blessure, le 18 novembre, je suis sur le côté. Il y a d'abord eu une période d'immobilisation avec une attelle que j'ai portée jusqu'à mi-décembre. Le chirurgien était alors satisfait de la calcification et j'ai pu recommencer à toucher le ballon à partir de la reprise après Noël, avec une protection sur mon doigt blessé. Il a ensuite été décidé de prolonger mon arrêt jusqu'au 31 janvier afin d'être certain que l'os soit bien remis. Comme je pouvais m'entraîner sans toutefois participer au jeu collectif, cela m'a permis de patienter mais l'attente commençait à être longue. »
Comment avez-vous vécu le parcours du PB en étant au repos forcé?
« Etant donné les résultats, on aimerait bien donner son petit coup de main à l'équipe et cela n'était pas toujours évident à vivre. Je n'ai pas pu faire les longs déplacements mais j'ai pu aller à Orléans, Le Mans et Paris. J'ai essayé de soutenir le groupe au maximum mais ce n'est pas toujours simple en n'étant pas sur le terrain. »
Le fait d'être capitaine rendait-il cette immobilisation encore plus difficile à vivre?
« C'est clair. C'est pour cela que dès que j'ai pu aller en déplacement, je l'ai fait et je venais à l'entraînement pour soutenir les gars, leur montrer que j'étais avec eux. Je ne comptais pas mes encouragements pendant les matchs. J'essayais de le faire encore plus. »
Comment viviez-vous les matchs?
« De différentes manières. Je suis allé à la radio pour Villeurbanne, pour d'autres à l'extérieur, je n'ai pas voulu suivre les rencontres sur internet et préféré attendre le résultat car cela n'était pas facile à vivre. Quand j'ai pu y aller, je me suis déplacé. En revanche, à domicile, j'ai vécu cela à fond, j'étais debout, je faisais tout ce que je pouvais. Mais c'est long. J'aurais préféré entrer en jeu pour aider. Mais on apprend à relativiser et peut-être est-ce comme cela que l'on devient plus fort... »
Vous reprenez face à Nancy, qui est l'une des plus belles équipes du championnat. Comment envisagez-vous ce match?
« J'espère que cela sera dans la continuité de nos derniers matchs à domicile où l'on a proposé un bon basket avec une bonne agressivité et une bonne intensité. On avait réussi à faire ainsi déjouer l'adversaire. On a encore une fois un premier face à nous, on va essayer de tout faire une nouvelle fois pour jouer notre chance à fond. Si on veut se sauver, cela passe avant tout par des victoires à domicile. »
Justement, comment envisagez-vous la lutte pour le maintien?
« Nous avons notre destin entre nos mains. Si on veut se sauver, cela passe par nous. Je suis serein car on a les moyens de se maintenir mais nous sommes cependant dans une situation délicate. A nous de faire en sorte pour se donner un peu d'air. Il faut gagner, peu importe la manière. On a montré que lorsque l'on était agressif, c'était plus évident pour nous de pratiquer notre basket. Si on regarde les adversaires dans les yeux, on se donne davantage les moyens de l'emporter. On sait ce qu'il reste à faire. »

repères POITIERS BASKET
Classement: 14 avec 21 pts (5 v, 11 d).
Dernière journée: perd à Paris-Levallois (85-79).
Rentrée: Costentin (doigt).
L'équipe
4. Gunn (1,88 m, arr, US)
5. Wright (1,96 m, ail, US)
7. Badiane (2,08 m, pivot)
8. Ona Embo (1,83 m, men)
10. Costentin (1,96 m, men)
11. Guillard (2,01 m, int)
12. Gomez (1,85 m, men)
13. Fournier (1,92 m, arr-ail)
14. Younger (2,03 m, int, US)
15. Devéhat (2,05 m, pivot)
20. Grant (1,98 m, ailier, US)
Prochain match: va à Limoges.
SLUC NANCY
Classement: 4 avec 28 pts (12 v, 4 d).
Dernière journée: bat Orléans (95-84).
Rentrée: Njoya (pouce).
L'équipe
4. Wachowiak (1,98 m, arr-ail)
5. Akingbala (2,08 m, piv, NGR)
6. Grant (1,88 m, men-ar, SWE)
7. Badiane M. (2,08 m, pivot)
9. Sylla (2,05 m, pivot, SEY)
10. Njoya (1,88 m, meneur)
11. Linehan (1,78 m, men, US)
12. Darden (1,94 m, ailier, US)
13. Samnick (2,03 m, ailier-int)
14. Pinda (1,95 m, arrière)
15. Brun (2,02 m, interieur)
18. Deane (1,85 m, meneur, US)
Prochain match: reçoit l'ASVEL.
Poitiers - Nancy
Samedi à 20h, à Saint-Éloi.
Arbitres: MM. Castano, Maestre et Boue.

Nicolas ALBERT

Le centre presse

Je pense que le match commenté y sera retransmis : http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?tag=Poitou

Bon allez ça va bientôt commencer...
par contre le lien France-Bleu... c'est pour suivre une émission sur le Cinéma !

Apparemment, ils ne couvrent pas les matches à domiciles...

Akingbala qui loupe un dunk ! Puis sur les seuls 4 points du SLUC, deux dunks signés V-Sam et Tremmell Darden ! 8-4.

2/9 aux tirs (0/3 de loin)... Cela ne commence pas fort.

Ca va mieux.. Grant et Brun ont artillé à 3pts.

D'ailleurs Stephen démarre bien après avoir remplacé Victor "victime" de deux fautes rapides !

18-10, bon début.

mais un joli 14-2 en cours

Superbe entrée de Stephen Brun (5 points à 100%) après avoir pris la place de V-Sam, déjà à 2 fautes. Kenny Grant est aussi dans le coup avec 5 points sans avoir connu l'échec.

0 pointé pour Akin Akingbala, mais 4 rebonds, 2 contres et 2 passes.

10-18 après 8 minutes, 2 fautes pour Rasheed Wright, et temps-mort du PB86. Jolie réaction. En espérant une belle entrée de Willie Deane.

Depuis qu'on tourne avec Kenny Grant dans le starting five, on est bien mieux à trois points.

Akingbala n'est pas dedans

Linehan doit faire une pression d'enfer sur le meneur adverse

8-4, 5e > 10-23, 9e... Cela fait mal. Heureusement pour le PB86, les fautes lorraines (toutes pour les entrants Brun, Deane et Badiane) leur ont ensuite donné des lancers francs pour revenir à -9.

Cela ressemble, pour l'instant, au match du SLUC Nancy lors de la dernière journée de championnat l'an passé, à Poitiers. Bon départ.

23-14 soit +9 à l'issu du 1er quart, c'est pas mal.
Apparemment on les gêne pas mal à monter la balle et l'adresse poitevine est pas là (c'est la moins bonne attaque de ProA)

Quand à nous 3/7 à 3pts déjà... attention à ne pas trop abuser non plus !

Et Moussa qui retourne sur le banc après 2 fautes en 2 minutes (1 rb + 0/1 au shoot)

5 fautes consécutives depuis la belle série offensive du SLUC... Et déjà deux intérieurs à 2 fautes perso. En effet, faudrait pas que cela donne de mauvaises idées à nos extérieurs... Comme shooter à gogo, par exemple.

12-0 en cours...

22-23 pour nous : ils remontent Poitiers

Ben voilà on se prend 8-0 pour mal redémarrer...
Faut tout recommencer.

8-4 => 10-23 => 22-23

Samnick et Badiane déjà 2 fautes chacun.

Et si Poitier est la plus mauvaise attaque de Pro A, c'est aussi à mettre en relation avec le nombre de possessions. Car leur %age est meilleur que le nôtre pour l'instant.