[ProA - J1] Poitiers B86 bat SLUC Nancy 73-77 (27-36)

J'ai oublié les félicitations aux Poitevins, une ptits equipes bien sympa. Une belle gnac sur le terrain. J'aime bien cette equipe, il se degage une belle volonté.
Et les Supps, beau le deplacement.

J'ai oublié les félicitations aux Poitevins, une ptits equipes bien sympa. Une belle gnac sur le terrain. J'aime bien cette equipe, il se degage une belle volonté.
Et les Supps, beau le deplacement.

Ouais félicitations à cette brillante équipe d'Euroligue qu'est Poitiers (sic).
M. Tchicamboud

Theseus a écrit:

Ouais félicitations à cette brillante équipe d'Euroligue qu'est Poitiers (sic).
M. Tchicamboud

Une chance qu'ils les ont pris comme une equipe d'euroligue...
Alias Lakovic

J'espere, je prie pour l'eclosion de N'JOYA au plus vite.

Theseus a écrit:

Ouais félicitations à cette brillante équipe d'Euroligue qu'est Poitiers (sic).
M. Tchicamboud

Ce que je comprend encore moins c'est pourquoi JLM l'a laissé toute la 2ème mi temps alors qu'on voyait clairement qu'il manquait de lucidité dans ses choix (déjà que lorsqu'il est lucide, il est pas super bon mais alors si en plus il est crevé )
Moi je sens que on va vite se retrouver avec une rotation Tchi/Cox comme l'année dernière que N'Joya n'aura que les miettes, ce qui est dommage car il a vraiment du potentiel je pense.
Enfin Wait&See

tom54 a écrit:

Theseus a écrit:

Ouais félicitations à cette brillante équipe d'Euroligue qu'est Poitiers (sic).
M. Tchicamboud

Ce que je comprend encore moins c'est pourquoi JLM l'a laissé toute la 2ème mi temps alors qu'on voyait clairement qu'il manquait de lucidité dans ses choix (déjà que lorsqu'il est lucide, il est pas super bon mais alors si en plus il est crevé )
Moi je sens que on va vite se retrouver avec une rotation Tchi/Cox comme l'année dernière que N'Joya n'aura que les miettes, ce qui est dommage car il a vraiment du potentiel je pense.
Enfin Wait&See

Pas posible de revoir Cox au poste 1.
Je trouve dommage que N'Joya n'ai joué que 12 mn, le jeu etait plus fluide lorsqu'il etait sur le terrain. Et la relation 1-5 bien meilleur. Avis à nos specialistes du jeu la dessus.

Magic Tariq a écrit:

tom54 a écrit:

Theseus a écrit:

Ouais félicitations à cette brillante équipe d'Euroligue qu'est Poitiers (sic).
M. Tchicamboud

Ce que je comprend encore moins c'est pourquoi JLM l'a laissé toute la 2ème mi temps alors qu'on voyait clairement qu'il manquait de lucidité dans ses choix (déjà que lorsqu'il est lucide, il est pas super bon mais alors si en plus il est crevé )
Moi je sens que on va vite se retrouver avec une rotation Tchi/Cox comme l'année dernière que N'Joya n'aura que les miettes, ce qui est dommage car il a vraiment du potentiel je pense.
Enfin Wait&See

Pas posible de revoir Cox au poste 1.
Je trouve dommage que N'Joya n'ai joué que 12 mn, le jeu etait plus fluide lorsqu'il etait sur le terrain. Et la relation 1-5 bien meilleur. Avis à nos specialistes du jeu la dessus.

Même pour un non-spécialiste ça crève les yeux

Très déçu comme tout le monde de cette défaite. Je n'ai pas lu les commentaires précédents alors voici mon ressenti "à chaud" :
- assez déçu par le match des "nouveaux" (Slaughter notamment, je m'attendais à bcp plus d'impact de sa part)
- Akin pas vraiment dans le coup
- Njoya : ben il a peu joué donc...
- les frangins, tjs précieux mais Ricardo a bien été muselé dans l'ensemble et Jeff, ben c plus le Jeff d'il y a 2 saisons, c clair
- Tchicamboud : c'est lui qui maintient le SLUC hors de la tête de l'eau grâce à ses missiles à 3 pts... mais il est trop perso. Ses 2 dernières actions en témoignent. Je ne reviendrai pas sur la dernière possession de balle : pour moi c une faute professionnelle
Mais le SLUC perd le match sur sa 1ère MT. Incapable de bien défendre et de bien attaquer... Pas dans le match du tout les Nancéiens alors que Poitiers a tout de suite été dans le bon rythme. Félicitation à eux. Le 14 nous a fait très mal dans les 2 derniers quarts... Wright sort aussi un grand match.

Nancy saura rebondir, j'en suis sûr. Et je vois bien une réaction à Strasbourg dès samedi prochain. Ce sera pas simple au Rhénus mais je vois bien les joueurs s'arracher.

L equipe a été a l image du public a l ouest .....pas dans le rythme

Benoit ADAM a écrit:

- Tchicamboud : c'est lui qui maintient le SLUC hors de la tête de l'eau grâce à ses missiles à 3 pts...

Joli

Juste une question, Ricardo Greer et ses 40min... Genre il se fatigue jamais ?

J'ai vu surtout le même jeu que la saison derniere, rien... on vit on meurt 3 pts, on attaque la deuxieme saison comme cela.
Debut du 3eme quart 4 joueurs à 3 fautes et rien avant la fin du 4eme
Le public n'a même pas pu s'emflammer... on a joué à Poitier ???
On rentre pas ds la raquette et pire, avec une telle raquette, on se fait defoncer ds la peinture...
Et le top du top pour la fin : Tchi, qui certe marque 21pts en trompe l'oeil sur son taf, passe casse croute ds les chaussettes, il croque 3 ou 4 actions super importante, notament la derniere possesion du sluc 10s, il part seul, tricotte et balance un vieu shoot, Sublime. Ils sont 5 sur le terrain non ?
Je suis pas du genre alarmiste, mais là on retrouve le même jeu que la saison derniere.
Attention danger en Alsace...[/quote]

+ 1 Mon voisin du dessous doit avoir les oreilles qui bourdonnent ... Ca promet les matchs couperets en PO ...
Par contre Slaughter pas encore au top (après 5 mois de pause ), mais il va faire du bien, de par l' intensité qu'il déploie .

Je ne dirai qu'une seule chose (pour commencer ) : BRAVO POITIERS !

Ils ont ciblé notre point fort : le secteur intérieur. La raquette a été verrouillée par cette cryptonite qu'est la défense de zone, avec les prises à deux qui vont bien avec. Agressif et collectif, ce bloc a privé nos intérieurs (moins le cas pour Dickens car il s'écarte) de ballons, ou alors de bons ballons.

Résultats des courses : on artille de loin à longueur de match, et les seules fois où Nancy recolle, c'est lorsqu'il se procure des contre attaque et met enfin deux/trois paniers longue distance (Tchicamboud et Ricardo Greer au troisième). Pour le reste, il a été très difficile de trouver une passe propre à faire vers Akingbala et Slaughter. Doc pour moi, rien à voir avec eux et leur niveau de jeu, comportement ou que sais-je.

Cette saison, notre jeu viendra de notre défense sur l'homme, et ce sur quarante minutes durant. A un moment donné, au troisième quart pour être précis, les Couguars se mettent à défendre avec envie et intensité, et d'un coup, comme par miracle, les fautes tombent chez le camps adverse, qui semble de plus en plus émoussé. Badiane et Gomez sortent avec trois fautes (il doit rester 6 minutes, et Poitiers est déjà à 5 fautes collectives, soit dans le bonus), les pertes de balles arrivent, et nous, on ne trouve pas d'autres solutions que de tenter derrière l'arc, et sans aucune réussite.

Voilà, un premier match annoncé comme piégeur et une raquette nancéienne - la clé du match pour moi - bouclée de la première à la quarantième.

Comme certains, je trouve aussi dommage que N'Joya n'ait pas joué davantage (c'est vrai que c'était mieux pendant ses douze minutes de présence sur la parquet), parce que Tchicamboud était chaud bouillant, mais uniquement dans un rôle de 2 (le rôle de Cox, qui était malade).

Une défaite surprise qui n'est pas la seule de cette journée, et qui j'espère, va faire réagir la bande à JLM.

Par contre, assez des gens qui partent avant le match. C'est la première journée, et ce n'est pas honteux non plus de perdre (surtout à cette époque) contre cette belle équipe poitevine.

Le SLUC débute à l'envers


Nancy a terriblement déçu devant Poitiers, qui a mérité sa victoire. Le SLUC part dans le mauvais sens, à l'image de ses recrues. Douche froide à Gentilly.




NANCY._ Bienvenue sous la douche glacée, avec les 5.000 spectateurs de Gentilly. Le SLUC qu'on espérait plus mûr, plus expérimenté, plus vigilant, est tombé les deux pieds en avant dans le piège du premier match. Patatras ! Un piège pourtant facile à éviter, surtout après la défaite de Villeurbanne vendredi soir, même si Poitiers, dont on connaissait la valeur du collectif depuis son titre de champion de France de Pro B, a montré ses qualités, son envie défensive, son désir d'afficher à Nancy, bastion de la Pro A, qu'il avait bien sa place dans l'élite.
Poussif, sans âme, sans adresse, sans réaction en première mi-temps, notamment devant les lay-ups de Guillard et de Kante, dominé au rebond par Badiane malgré ses fautes (il ne jouera que 16'45), le SLUC ne fut en première mi-temps que l'ombre de l'équipe qu'on aime (27-36).
Dickens chercha en vain son shoot à trois points (0/5) et Slaughter, qui n'allait pas jouer beaucoup (pas suffisamment), ne pesa que très épisodiquement sur le match.
En tout cas, à la pause, il y avait du souci à se faire. Imaginez que le SLUC était laminé au rebond (13-20), secteur privilégié dans le recrutement et qui devait être un des points forts de l'équipe cette saison. Quant à l'attaque nancéienne, elle n'avait marqué que... 27 points. Aie, aie, aie... Mais de là à penser que le SLUC subirait sa première défaite à domicile de la saison dès son premier match, il y avait encore vingt minutes, ce qui est en basket une éternité.

Tchicamboud oui, mais...


Tchicamboud ralluma la flamme nancéienne dès la reprise, par deux shoots primés superbes. Et Ricardo Greer, qu'on n'avait pas vu à son niveau avant la pause, retrouva sa force de percussion. Le SLUC mit quatre minutes pour prendre l'avantage (44-42, 24') dans une ambiance de corrida. Gentilly avait retrouvé comme par enchantement son équipe, celle qui cavale et prend son pied dans le jeu rapide.
Encore fallait-il que cette même équipe, qui n'a pas retenu la leçon du tournoi Pro Stars d'Angers, serre sa défense sur les shooteurs à trois points. Wright (3/5 en seconde mi-temps) et surtout Younger (3/4 à trois points) s'en donnèrent à cœur joie. Comme l'avait fait Robinson à Cholet, Eidson à Nantes et Diot à Angers. Incorrigibles Nancéiens !
Si bien que jamais le SLUC, malgré un Tchicamboud euphorique (trop, lire par ailleurs), ne put appuyer là où ça fait mal. Poitiers ne lâcha pas (49-55, 38'), même lorsque Dickens, d'un seul lancer franc, donna un nouvel avantage au SLUC à 1'30 de la fin (73-72). La dernière possession de Tchicamboud tourna au fiasco. Nancy passait à la casserole, comme Villeurbanne à l'Astroballe. « On a su trouver le joueur clé à chaque fois que le SLUC semblait pouvoir faire la différence », dira Rudy Nelhomme, le coach de Poitiers, évidemment aux anges. « On pouvait craindre ce genre de scénario, d'autant que mes nouveaux joueurs n'ont pas su trouver leurs marques, tenaillés par le stress de vouloir trop bien faire », répondra Jean-Luc Monschau.
Le SLUC a déçu, terriblement déçu. Et son opération séduction pour la saison qui débute est un échec sans précédent. Il faudra s'en relever. D'autant que les deux prochains déplacements, à Strasbourg et à Paris, généraient déjà hier soir d'angoissantes perspectives. Rideau !

Gilles GAIHIER


Est républicain

Euroligue : le flou continue







NANCY._ Comme la saison dernière, les modalités de qualification pour l'Euroligue sont loin d'être claires. Alors que la Ligue prévoit dans son règlement que le premier ticket revient au champion et le second au premier de la saison régulière, l'Euroligue veut accorder les deux billets d'un pays aux deux finalistes des play-offs. La LNB entend défendre sa position, mais a avisé par écrit les clubs de Pro A de la situation. Visiblement, on n'en a pas fini avec le flou artistique...
•PAS QUALIFIÉ. Prêté à Gravelines par le SLUC, Roger Zaki n'a pas joué, hier, à Paris-Levallois. Il ne s'agissait pas d'un choix du coach, ni d'une blessure du pivot nigérien, mais d'un... refus de qualification. Motif ? Le dossier du joueur est incomplet. La LNB a également refusé de qualifier le joueur dans le club prêteur, à savoir le SLUC, car celui-ci a déjà son quota de joueurs étrangers. Du coup, Zaki ne peut jouer pour l'instant ni à Gravelines ni à Nancy.
•DÉPLACEMENT. Comme chaque année, le Club des Supporters organise un déplacement pour le match à Strasbourg, samedi prochain. Les personnes intéressées peuvent contacter Christelle Urni au 06.47.01.22.65.
•ESPOIRS. Malgré les absences de Sylla (out six semaines en raison d'une blessure à l'épaule) et Dassonville (pied), les Espoirs nancéiens ont facilement disposé de leurs homologues poitevins (78-61). Après une première période serrée (37-35), les jeunes joueurs de Pierre Verdière ont passé la vitesse supérieure, dans le sillage notamment d'Ivan Emanuely (18 pts à 55 %, 5 rebonds, 4 interceptions, 21 d'évaluation) pour cueillir leur premier succès de la saison.
Les marqueurs nancéiens : Clerc (18), Emanuely (18), Talbot (12), Wachowiak (11), Pinda (10), Pintiaux (7), Tshikaya (2).
•MELS. Pas conservé par Cholet, l'ancien nancéien Rodrigue Mels (saison 2003/2004) n'aura pas mis longtemps à rebondir. Et pas dans un club de seconde zone, puisque l'arrière, âgé de 24 ans, s'est engagé pour une saison avec les Grecs de l'AEK Athènes.
•NOUVEAUTÉS. Le Club des Supporters s'est creusé la tête, cet été, pour trouver de nouveaux articles à proposer aux supporters nancéiens. Des peluches (de Couguars « of course »...), des mini-écharpes, des drapeaux, des étuis téléphone ou encore des poignets éponges sont désormais disponibles à la boutique.




4/10/09


Est républicain

Et Steed perdit le fil...


Alors qu'il avait été impeccable en deuxième période le meneur nancéien a complètement cafouillé le dernier ballon.



NANCY._ Et dire qu'il aurait pu être le héros de la soirée... Impeccable en deuxième période, Steed Tchicamboud avait été l'artisan du retour nancéien, en compagnie de Ricardo Greer. Et puis, il y eut cette toute fin de match et cette fameuse action à dix secondes du gong. Flashback.
Après un temps mort demandé par Jean-Luc Monschau, Rasheed Wright a deux lancers-francs dans les mains pour donner trois ou quatre points d'avance aux Poitevins. Alors que le tableau d'affichage indique 73-75, Gentilly retient son souffle pétri d'angoisse.
L'Américain rate le premier, puis le second. Le SLUC récupère le rebond. Allez, dix secondes pour remonter la balle. Largement suffisant pour aller en pénétration et provoquer une énième faute adverse. Le scénario est cousu de fil blanc. Evident.

« Pas ce qu'on avait décidé »


Mais après avoir remonté la balle, Steed Tchicamboud décoche un shoot improbable à trois points, qui finit évidemment sur l'arceau. C'est fini.
Et la question est dans tous les esprits : pourquoi diable avoir choisi cette option ? « Ce n'est pas ce qu'on avait décidé de faire lors du temps mort », commentera Jean-Luc Monschau. « Dans l'hypothèse où Wright ratait ses deux lancers-francs, il fallait aller percuter car, de toute façon, Poitiers avait des fautes. Mais ce qui s'est passé, c'est que Tchicamboud a failli perdre la balle dans la montée. Cela lui a fait perdre le temps et l'élan. »
Le coach nancéien n'accablera pas le joueur en salle de presse. « On ne va pas lui jeter la pierre. »
Mais en sortant du vestiaire, le meneur nancéien n'éludera pas ses responsabilités. « Je n'avais plus le chrono en tête », glissera-t-il. « C'est un manque de lucidité. Il faut que je travaille dessus et que ça vienne vite. » Il ajoutera tout de même : « Ce n'est pas là qu'on perd le match, mais en première mi-temps. »
Ce qui n'est pas faux. On pourra aussi dire que, sans l'excellente deuxième période de Steed Tchicamboud (19 pts), le SLUC n'aurait peut-être même pas été en mesure de jouer la gagne dans le money-time. Mais le film de ces dix dernières secondes laissera fatalement comme un goût amer.

Anthony GUILLE


Est républicain

« C'est nous qui les avons mis en confiance »



•Ricardo Greer. « On n'a pas beaucoup respecté Poitiers en première mi-temps. On a mieux joué après la pause, mais ça n'a pas suffi. C'est dur de perdre comme ça, mais il faut qu'on rebondisse, car on a un match difficile qui nous attend à Strasbourg. »
•Akin Akingbala. « Il ne faut pas ôter le mérite à Poitiers, qui a mis de gros shoots, mais c'est nous qui les avons mis en confiance en première période. Beaucoup de choses allaient mal avant la pause. Or, un match, ça ne dure pas vingt minutes, mais quarante. »
•Steed Tchicamboud. « C'est décevant de commencer comme on l'a fait. On a vu des trous en défense qu'on ne devrait pas voir et cela les a mis dans le match. Face à une équipe qui se connaît par cœur, on a vu que, si on n'est pas là dès la première minute, on passe à la trappe. »
•Rudy Nelhomme (coach de Poitiers). « On avait un peu peur de ne pas trop exister dans ce match. On a d'abord essayé de contrôler le tempo et d'être en place dans le jeu défensif. On a toujours pu compter sur un ou deux joueurs dans les moments où le SLUC était mieux. C'est la meilleure façon de rentrer dans le championnat, mais il faudra juger sur la durée. »
Est républicain

Les arbitres à l'honneur





NANCY._ Dans le cadre des « journées nationales de l'arbitrage », La Poste (désormais principal partenaire) et le SLUC ont invité de nombreux jeunes arbitres de basket de la région à assister à la rencontre d'hier. Une initiative, rappelons-le, destinée à mettre en lumière le travail et la passion des officiels et à susciter, le cas échéant, des vocations chez les plus jeunes.
Entre autres animations d'avant match (remise de brassards « tous arbitres » aux capitaines et aux hommes au sifflet), une poignée d'arbitres en devenir a eu l'occasion d'assister au débriefing effectué par les trois officiels de la rencontre de Pro A, dont le Nancéien Freddy Lepercq.
Parmi les personnalités présentes hier, François-Xavier Lehmann, délégué régional de La Poste, ainsi qu'Alain Sars, conseillé technique en arbitrage à la ligue lorraine de football. C'est un jeune arbitre de Saint-Max qui a donné le coup d'envoi du match.

T. S. (Thomas SIMON)


Est républicain

Nancy cueilli d’entrée


Nancy a été surpris dans sa salle, hier soir, par le promu poitevin (73-77). La faute à une première mi-temps bâclée et un money-time mal géré…


Comme Villeurbanne la veille, Nancy est venu s’inscrire, hier, sur la liste des surprises de la rentrée. Battu par un promu décomplexé, le champion de France 2008 a commis une faute de goût en sacrifiant sa première mi-temps, vierge de toute intensité défensive. D’où cette claque très désagréable pour son retour aux affaires.
Personne, hier, n’a crié au scandale lorsque Poitiers a regagné son vestiaire avec neuf unités d’avance à la pause, sur une claquette heureuse de Devehat (27-36). Jusqu’alors, le SLUC n’était pas entré dans sa saison, affichant une permissivité étonnante dans sa raquette. Autant de grands boulevards exploités avec bonheur par Guillard et autres Younger, certes adroits mais rarement dérangés par des bras lorrains. La preuve par la statistique : en vingt minutes, Poitiers n’avait tiré que deux lancers francs, contre quatorze à son hôte. Amorphe et désordonné dans son approche du panier, Nancy avait surtout perdu la bataille du rebond et ne compensait jamais par son adresse, en particulier à distance (2/12 à trois points).
Une mauvaise décision
A contrario, le champion de Pro B offrait une copie sérieuse, sans fioritures ni précipitation, et obligeait son adversaire à forcer ses tentatives, en cloisonnant l’intérieur. Contre ce Nancy-là, c’était suffisant.
La soufflante présumée de Jean-Luc Monschau dans le vestiaire a toutefois modifié le visage lorrain. Car ce SLUC, supérieur sur le papier, s’est enfin décidé à le devenir sur le parquet. Oublié le retard à l’allumage et place aux étincelles. Il ne fallut à Nancy que quatre minutes pour revenir à hauteur du promu (44-42). Deux tirs à trois points de Tchicamboud, des interceptions, un Ricardo Greer plus velléitaire dans son rôle de plaque tournante et le SLUC retrouvait un jeu plus conforme à sa philosophie, avec des joueurs affamés de ballon et des relances qui giclent sur chaque récupération.
Ce promu sans complexe avait de la ressource pourtant. Il a tendu le dos, regardé Nancy s’échiner stérilement à distance et s’est accroché comme un damné à sa quête d’exploit (59-62 puis 64-69). Finalement, Poitiers pourra savourer longtemps ce dénouement suffocant (73-75) qui s’est joué à peu de choses : un tir raté de Dickens, deux lancers manqués de Wright et Tchicamboud qui force à trois points dans les dernières secondes. Une mauvaise décision pour le meneur lorrain qui avait été l’initiateur du réveil de son équipe. Mais était-il le seul fautif hier ?
Christian JOUGLEUX
Républicain lorrain

Tchicamboud : le jour et la nuit


Un joueur dans le match : Steed Tchicamboud, sans aucun doute. Meilleur marqueur de son équipe (21 points), passeur (6) et rebondeur (4), le meneur nancéien fut l’un des premiers à lancer la révolte lorraine en deuxième période. Côté nuit, il est aussi celui qui prend la mauvaise décision dans les dernières secondes de la rencontre en tirant à trois points. Lors du temps mort précédent, Jean-Luc Monschau avait pourtant demandé de percuter pour obtenir, au moins, deux lancers.
La phrase : « Un match se joue sur quarante minutes, pas vingt » d’Akin Akingbala.
L’adversaire : Solide et cohérent, comme une équipe qui a peu modifié son groupe à l’intersaison. Les seules recrues, Badiane (8 points, 5 rebonds) et Gunn (10 unités), ont renforcé l’effectif mais le grand homme du soir est sans conteste Kenny Younger (18 points, 6 rebonds). Un tueur de sang froid hier.
Républicain lorrain

Article de la Nouvelle République

Merci BACOU

J'ai l'impression que le coaching de rudy a encore été méga important. On a pas le meilleur entraineur de la PRO B 2009 pour rien ...

Quelle match de merde bravo a poitiers qui a largement mérité sa victoire,ben on commence bien cette saison le tchi nous bouffe le match a lui tout seul c bien il relance le sluc en 2 ème periode mais bon aucune gestion d equipe n arrive pas a donné un ballon au interieur quel meneur je crois que la saison va etre encore longue on repart dans notre travers tres peu de jeu de passe, pas de collectif chacun joue pour sa pomme et on tire qu a 3 pts faut arreter...

Bravo à Poitiers


Par rapport à Steed c'est clair qu'il est très fautif sur le dernier shoot tenté mais que dire des 9 d'eval' d'akin ou des 6 d'eval' de l'inquiétant Jeff Greer?
C'est la dessus que l'on perd le match!

Passons sur le rendement des nouveaux, si Akin avait été plus concerné en 1 MT et Jeff aussi le match aurait certainement eut une physionomie différente
Ces cadres auraient du être présent d'entré de jeu pour cette première journée et c'est là qu'est la faute professionnelle.

Que dire aussi des déchets aux LF des frangins? A ce niveau là on ne doit pas rater autant de LF surtout quand on pêche en attaque!

Maintenant le minimum syndical pour rattraper ce faux pas c'est déjà d'assurer les 2 prochains matchs à l'extérieur or c'est très loin d'être acquis

Vous n'avez pas de sponsors sur les maillots cette année?