Euro 2009 : Meilleur bilan de l'Euro pour la France (8-1) !

Remerçiements...Bacou...
En tout cas...des hauts et débats... il y en aura toujours...

lolo a écrit:

Ha-llu-ci-nant les reactions vues en fin de match .Et les joueurs nous font un tour d'honneur, se font acclamer par le public etc ... C'est vrai que se qualifier après avoir perdu en Belgique et en Finlande( oui oui en Finlande ) et avoir battu chez elle après prolongation la redoutable equipe de Legadue Italienne ça relève de l'exploit . Enfin quelqu'un leur à dis qu'ils n'ont encore rien gagné ? Il n'y a qu'en France qu'on voit ça , là ou des espagnols ou des grecs auraient dis "le job est fait , mais il n'y a pas de quoi pavoiser ) .Bref je terminerais en disant c'est bien le contrat est realisé , maintenant il faut se sortir du groupe de la mort ( ouarf ouarf, encore qu'avec eux il faut s'attendre à tout), et prouver nous que vous en avez dans la calbut en sortant une top team !.

Je pense que quand tu mets deux ans à te qualifier pour un championnat et que tu y arrives enfin tu lâches un peu de pression sur le moment.

« Que la roue tourne... »


Après avoir vu ses rêves dorés s'envoler en 2003, 2005 et 2007, Tony Parker espère que les tricolores connaîtront enfin la réussite à l'Euro.


PARIS. - Après être passé près du titre européen à trois reprises, Tony Parker espère que l'Euro va enfin sourire à l'équipe de France
au moment où celle-ci s'envole aujourd'hui pour la Pologne où commencera le tournoi lundi. Une défaite de quatre points face à la Lituanie en demi-finale en 2003, suivie d'une autre d'un point devant la Grèce en demi-finale deux ans plus tard et d'une troisième, de quatre points, contre la Russie en quarts en 2007 ont usé la patience du meneur de jeu des Bleus qui espère qu'enfin, les Bleus réussiront à gagner ces gros matches qui font la différence entre échec et gloire...
- Tony Parker, quel est l'état d'esprit du groupe alors que l'aventure commence ?
- On est contents, soulagés d'avoir passé ces barrages. On commence un nouvel Euro où tout le monde est prêt à faire quelque chose. On reste sur un goût d'inachevé par rapport à 2007. On a une nouvelle opportunité. J'espère qu'on va la saisir.
- Que peut espérer l'équipe de France ?
- On va arriver prêts. On ne peut pas avoir de meilleure préparation. On a joué des matches couperets, des matches à pression. Mais il faut rester réalistes. Il y a de grosses équipes à l'Euro et les grosses victoires, ça se joue à rien. J'espère juste que la roue va tourner, que ça va nous sourire et qu'on va gagner enfin ces gros matches.

« Je peux être plus patient »


- Cette équipe vous rappelle-t-elle celle de 2003 avec pratiquement tous les meilleurs présents ?
- Je pense qu'en 2003, on était plus forts mais un peu plus fous. Là, il nous manque quand même un gros intérieur. Si on avait eu Joakim Noah, on aurait eu une grosse équipe. Ceci dit, avec les armes qu'on a, si on joue notre jeu, si on reste dans ce que Vincent (Collet) nous demande et si on fait une grosse défense, on pourra... mais il y a beaucoup de ''si'' dans ce que je viens de dire (rires).
- Dans votre groupe du premier tour, l'Allemagne et la Russie se présenteront tout de même très affaiblies...
- Mais ça ne veut rien dire ! Il manque Nowitzki à l'Allemagne et Kirilenko à la Russie mais ils ont toujours des joueurs d'Euroligue. C'est un groupe piège. Il faut qu'on reste concentrés car on sait bien que si on ne joue pas à notre meilleur niveau, on est capables de faire des matches comme face à la Belgique et la Finlande. Il faut qu'on joue avec beaucoup d'énergie. Sinon, on devient une équipe normale.
- Sur un plan personnel, comment vous sentez-vous plus d'un mois après votre entorse à la cheville ?
- Très bien. Je ne me suis pas entraîné par précaution hier et ce matin (lire avant-hier et hier matin). J'ai toujours un hématome qui me fait un peu mal. On ne veut pas abuser. Mais ça va très bien.
- Pouvez-vous, dans le jeu européen, tenir le même rôle de meneur-scoreur
qu'en NBA sans que cela pèse sur le collectif ?
- Il faut que je m'adapte. Que je trouve un juste milieu. Vincent (Collet, le sélectionneur) ne veut pas du tout que je change mon jeu et moi non plus. Mais c'est clair que je peux être plus patient pour mettre en confiance mes coéquipiers, surtout en début de match. C'est mon job en tant que leader et meneur de jeu. Je peux progresser là-dessus.
- C'est frustrant de devoir se brimer un peu ?
- Non, parce que moi, je n'ai plus rien à prouver. Tout ce qu'il me reste à faire, c'est de gagner quelque chose avec l'équipe de France. Si pour ça, il faut être plus patient, je le serai. J'ai prouvé en NBA et en Europe que je pouvais marquer 30, 40 ou 50 points. Mais ça ne sert à rien si on ne gagne pas.
Est républicain

Nouveau coup dur pour la Russie






PARIS. _ La Russie, troisième adversaire de la France à l'Eurobasket qui commence lundi en Pologne, devra faire sans son capitaine Victor Khryapa, touché à un genou, au moins jusqu'à la fin du premier tour, a-t-on appris hier auprès de l'encadrement. Après les forfaits d'Andrei Kirilenko et de J.R. Holden, l'absence du troisième joueur majeur des Russes est un nouveau coup dur pour le champion
d'Europe en titre qui figure dans le même groupe que la France, l'Allemagne et la Lettonie.
Est républicain

C'est frustrant de devoir se brimer un peu ?
- Non, parce que moi, je n'ai plus rien à prouver.

Quel égo quand même!
Voilà quelqu'un qui est parvenu...

Allez, les autres trouvez vite votre "sommet"...

Un brin de prétention et d'égo c'est necessaire et c'est ce qui fait que les grands joueurs ne doute jamais.
Marc Salyers aussi est assez egocentrique dans ses interview,et pourtant tout ce qu'il dit il le prouve sur le terrain.

Supporter Couguars a écrit:

C'est frustrant de devoir se brimer un peu ?
- Non, parce que moi, je n'ai plus rien à prouver.

Quel égo quand même!
Voilà quelqu'un qui est parvenu...

Allez, les autres trouvez vite votre "sommet"...

sur le coup suis plutot daccord avec TP trouve moi un joueur français qui a réussi comme Parker en NBA la vitrine mondiale du basket

Ok, c'est le seul à avoir réussi aussi bien...Incontournable.

Mais quand même....!
Un profil un peu + modeste l'aurait encore davantage grandi. Enfin, c'est mon ressenti.

Le patron repart en chasse


Incontournable avec les Spurs de San Antonio, Tony Parker l'est tout autant, voire plus, avec l'équipe de France qu'il espère enfin mener à l'or européen. Portrait...


PARIS._ A l'occasion de l'Eurobasket qui commence lundi en Pologne, Tony Parker repart en chasse avec l'équipe de France, dont il est plus que jamais l'incontournable patron.
Cela fera bientôt neuf ans que le meneur de San Antonio fréquente les Bleus, pratiquement sept qu'il en est le guide, la balise et le meilleur joueur.
Aujourd'hui, après une progression fulgurante, il est devenu bien plus que ça. Tout simplement l'homme le plus puissant de tout le basket français. Un « supra-joueur », PDG de la balle orange. A seulement 27 ans.
Meilleur joueur tricolore de tous les temps, il est indispensable à la France si elle veut gagner enfin son premier titre international. Tête de gondole, il est fondamental pour attirer les sponsors. Et marié à une vedette du petit écran, Eva Longoria, il continue à faire parler de basket dans les gazettes people.
Tony Parker est l'un des sportifs français les mieux payés avec 66 millions de dollars (46 millions d'euros) sur six ans. Un pactole dont il a investi une partie cette année dans le club de Villeurbanne, champion de France ambitieux. Vice-président, il a sous ses ordres un certain Vincent Collet, son entraîneur en équipe nationale.
Mélange des genres ? Risque de confusion ? « Un truc de journalistes », balaie-t-il. Peu importe. Son influence est de toute façon énorme.
Le joueur est partout et prend part à toutes les décisions. En équipe de France, le choix du coach ne saurait se faire sans son accord. C'est lui qui a insisté pour que les matches des repêchages aient lieu à Pau cet été. Et une fois la qualification acquise, c'est toujours lui qui a assuré le service après-vente, présentant un à un les joueurs et l'encadrement des Bleus au public palois lors d'une bodega géante.

Une ambition débordante


Une omniprésence qui est le fruit d'un formidable talent, mais surtout d'une confiance en soi et d'une force mentale phénoménales. Fils d'un basketteur américain, Tony Parker senior, et d'un ancien mannequin néerlandais, Pamela Firestone, rapidement promu chef de clan de ses frères cadets après la séparation de ses parents, Tony junior n'a jamais caché ses ambitions.
« A 13-14 ans, il disait déjà qu'il voulait être MVP des finales NBA », souligne Ronny Turiaf, qui a vu son grand pote partir et réussir aux Etats-Unis à seulement 19 ans, malgré le scepticisme ambiant.
Tony a toujours cru en ses moyens et n'a jamais manqué de les mettre à disposition de sa sélection nationale. Mais si l'équipe de France a besoin de lui, il a aussi besoin de l'équipe de France.
Triple champion NBA et All-Star, meilleur joueur des finales NBA en 2007, il sait que, s'il ne réussit pas avec les Bleus, il lui manquera toujours un petit truc pour intégrer définitivement le cercle des plus grands.
L'équipe de France lui offre aussi le cadre pour occuper pleinement l'actualité. Même en France, Parker est parfois surtout connu pour être « Mister Longoria ». La NBA est loin et son exposition hexagonale passe par les Bleus.
S'il veut gagner avec les Bleus, ce n'est pas cependant qu'une affaire de business. C'est d'abord parce qu'il a ça en lui et que rien ne lui ferait plus plaisir que de réussir avec ses potes. Les Ronny Turiaf et Boris Diaw avec qui il a appris son métier et remporté l'Euro juniors en 2000.
« Je n'arrêterai pas tant qu'on ne gagne pas l'or », souligne-t-il. Après être passé tout près à plusieurs reprises (4e à l'Euro-2003, 3e à l'Euro-2005), il va une nouvelle fois s'attaquer au défi.
Est républicain

« Une expérience formidable »


A la tête de l'équipe de France, Vincent Collet est animé par une passion qui lui permet d'oublier la pression et la fatigue.


PARIS._ Ancien joueur pro au tir calibré, champion de France en 1982 avec Le Mans, le sélectionneur a gardé, à 46 ans, un physique frêle, un visage d'enfant et un ton enjoué qui pourraient presque faire oublier la lourdeur de la tâche qui lui a été confiée.
Lorsqu'il a été nommé le 4 mars après des mois d'atermoiements au sein de la Fédération, le basket français avait les pieds dans le vide, menacé de disparition de la scène internationale. Depuis, les Bleus se sont extirpés des repêchages à l'Euro, mais Collet est le premier à dire que « rien n'a été fait encore ».
S'il vise d'abord les quarts de finale à l'Euro, pour rentrer dans les objectifs fédéraux, il ne s'interdit pas de voir plus loin, à l'image de ses joueurs. « Peut-être un peu moins qu'eux, car je suis davantage conscient de l'adversité, mais je fais tout avec ambition. Même si j'ai mis cinq ans à le devenir, je voulais être champion de France dès ma troisième saison en club », raconte le natif de Saint-Adresse, en Seine-Maritime, pas vraiment un adepte de la langue de bois.
« Lorsqu'il est arrivé, son discours a été pur, simple et net : j'ai envie de gagner. Un coach comme ça, tu veux jouer pour lui », souligne Ronny Turiaf.
Issu d'une famille immergée dans le basket, Collet a été l'entraîneur du Mans pendant sept ans, remportant un titre de champion, une Coupe de France et une Semaine des As. Depuis l'été dernier, il dirige le club le plus ambitieux de France, Villeurbanne, avec lequel il a été champion dès sa première année, en juin à Bercy.

Pas de répit


Il assure n'avoir « pas hésité un instant » lorsqu'on lui a proposé l'équipe nationale, l'hiver dernier. Malgré la surcharge de travail, puisqu'il était hors de question de lâcher l'Asvel. Et malgré le peu de temps qu'il lui reste pour sa famille.
« C'est un honneur, je me sens investi d'une vraie responsabilité », dit celui qui fut l'assistant d'Alain Weisz lors de l'Euro-2003.
Doté de sa double casquette, Collet vit ainsi un été de fou. Au lendemain de la défaite en Finlande, le 17 août, les Bleus disposaient de trois jours de repos. Lui a filé à Aix-les-Bains pour diriger quelques séances de l'Asvel, qui s'y trouvait en stage de préparation.
« C'est fatiguant », consent-il. Parfois frustrant, aussi, pour le perfectionniste qu'il est. « En club, tu peux faire des choses plus recherchées, mais là, on n'a pas le temps. En équipe nationale, tout est compressé. Pour travailler, c'est compliqué. Surtout quand tu as la moitié de l'équipe qui joue en NBA. Alors, il faut mettre en place des choses simples pour avancer. » Ce qui ne l'empêche pas de vouloir imprimer sa marque, son jeu de passes, sa défense. Et de se montrer protecteur, vigilant. « C'est mon rôle. Si je ne l'étais pas, je serais fou. Or, je ne le suis pas. Entraîner l'équipe nationale est d'abord une formidable expérience à vivre » conclut-il. « Mais c'est très dépendant des résultats. Si ça ne se passe pas bien, je serai déçu et abattu. Parce que j'y crois. Pour l'instant, on est en vie. J'espère qu'on va le rester longtemps. »
Est républicain

Bleu, la couleur de l'espoir


Sortie indemne des repêchages, l'équipe de France arrive lancée à l'Euro. Objectif minimal, le Top 6 afin d'accrocher un billet pour le Mondial 2010. Mais viser mieux n'est pas interdit.



NANCY._ Ils ont emprunté des chemins de traverse, entrevu le précipice, craint le chaos et le néant, mais ils ont finalement rejoint les berges de l'Euro... Après avoir raté la qualification directe pour le rendez-vous polonais lors du dernier Euro, en perdant les pédales lors des matches de classement (8e place), après avoir raté sa campagne de qualifications 2008, l'équipe de France a revu la lumière, cet été, en sortant indemne d'un tournoi de repêchage piégeux face à l'Italie, la Finlande et la Belgique.
Alors qu'une élimination prématurée aurait représenté un immense gâchis pour une génération que l'on dit dorée, l'équipe coachée par Vincent Collet peut donc continuer à tisser le fil de ses rêves. Objectif à l'Euro ? Terminer à l'une des six premières places pour valider le ticket pour le Mondial 2010 en Turquie. Un objectif qui peut paraître a minima pour une formation qui alignera cinq joueurs NBA et que les bookmakers voient bien sur le podium, derrière le grand favori espagnol et la Grèce. Mais le souvenir encore fumant de l'Euro 2007 a vacciné le staff tricolore. La bande à Parker veut procéder étape par étape, marche après marche, pierre après pierre. « Après, on sait comment ça se passe si on va en quart », prévient Vincent Collet. « Ce genre de match peut basculer d'un côté comme de l'autre... »
Bref, pas la peine de s'attendre à ce que les Bleus se projettent au-delà du premier tour. Un premier tour qui parait pourtant largement à leur portée. Premier adversaire des tricolores, l'Allemagne est privée de son « leader maximum » Dirk Nowitzki, qui a décidé de breaker cet été après avoir été de toutes les campagnes de cette « Mannschaft » qui lui tient tant à cœur. Quant à la Lettonie, qui n'est pas référencée comme un ténor européen, elle sera qui plus est privée du joueur NBA Andris Biedrins.

Des étoiles filantes


Enfin la Russie, championne d'Europe en titre, devra composer sans ses stars Andrei Kirilenko, JR Holden et Viktor Khryapa, lequel s'est blessé au genou il y a quelques jours et a été jugé trop juste par David Blatt pour tenir sa place en Pologne. Privée de ses meilleurs joueurs, la Russie n'a évidemment plus la même force de frappe.
Avec un seul éliminé par poule (voir ci-dessous), la porte de la deuxième phase ne devrait donc pas être hyper-compliquée à forcer, pour peu que la France fasse preuve de la même application défensive que face à l'Italie et la Belgique à Pau, et qu'elle jette aux orties ses absences mentales (en Finlande, en Belgique).
Si elle y arrive, la France pourrait bien retrouver de la voix dans le concert international, d'autant que cet Euro post-JO sera marqué par l'absence d'une ribambelle de stars (Nowitzki et Kirilenko donc, mais aussi les Lituaniens Jasikevicius, Ilgauskas et Siskauskas, les Grecs Diamantidis et Papaloukas, l'Espagnol Calderon...).
De quoi laisser une place au rêve dans un coin de la tête. Un rêve qui doit trotter, trotter encore dans celle de Tony Parker, qui collectionne les titres et les distinctions en NBA, mais qui est toujours chercheur d'or avec cette équipe de France qu'il chérit et où il brille très souvent, au point qu'il arrive même parfois que ses coéquipiers s'effacent consciemment ou inconsciemment. Or, pour aller loin dans cet Euro, la France aura besoin d'un bon Parker, mais aussi et surtout d'individualités au diapason. Premier test ce soir face à l'Allemagne...

Anthony GUILLE


Est republicain

« Le début d'une histoire »


A la veille du match contre l'Allemagne, Ronny Turiaf veut jouer chaque match « comme si c'était le dernier ».




- Comment est l'équipe à la veille d'entrer dans l'Euro ?
- On a bien bossé depuis notre arrivée. Ça fait un moment qu'on a pris conscience de ce que représente cet Euro. Ce sera encore plus dur que les qualifications. Il y a 16 équipes qui postulent pour faire un bon tournoi.
- Votre premier adversaire, l'Allemagne, est très diminuée sans Dirk Nowitzki...
- Il faut arrêter avec ça. L'Allemagne va vouloir prouver à tout le monde qu'elle peut jouer sans lui. Elle joue très bien au basket, elle sera prête.
- Quelle est l'importance de ce premier match ?
- Il est capital, comme le seront le deuxième et le troisième. Il faut qu'on joue comme si c'était le dernier. C'est nous contre le monde.
- Après votre campagne de repêchages, vous arrivez lancé sur cet Euro. Un avantage ?
- Ça aide beaucoup d'être passé par des moments difficiles. On a connu des hauts et des bas, ça va nous servir et nous donner confiance.
- Vous êtes ensemble depuis le 13 juillet. Y a-t-il un risque de lassitude ?
- Alors là, ça m'étonnerait. Si c'était le cas, je serais consterné. Connaissant mes coéquipiers, il n'y en aura pas. On a tous envie de faire de grandes choses. On joue un Championnat d'Europe, une qualification pour le Mondial, avec l'objectif des JO derrière. Avoir fait tout ce chemin pour s'arrêter à 50 m de la ligne d'arrivée, non !
- On a l'impression que l'équipe aime se faire peur...
- Non, on n'aime pas ça. Seulement on fait ce qu'on peut. On n'est pas les meilleurs basketteurs du monde. Alors des fois, on se rate. Mais on travaille dur, on fait tout pour avoir résultats. Pour moi, cet été marque le début d'une histoire. Après, seul l'avenir nous dira si elle sera bonne ou mauvaise.
- Vous sentez-vous investi d'un rôle particulier en tant qu'ancien ?
- Hé, je n'ai que 26 ans, je n'aime pas trop le terme d'ancien.
- Homme d'expérience, alors...
- C'est beaucoup mieux ! Un rôle particulier ? Pas plus que ça. Mes mots ont peut-être un peu plus de valeur parce que je suis passé par pas mal de choses. Mais j'essaie d'abord de rester le même, quelqu'un de jovial qui, dès qu'il met un pied sur le terrain, se remonte les manches et va mettre des castagnettes.
Est republicain

Euro, mode d'emploi





Les groupes


A : Grèce, Croatie, Israël, Macédoine.
B : Allemagne, Lettonie, Russie, France.
C : Espagne, Serbie, Slovénie, Grande-Bretagne.
D : Lituanie, Pologne, Bulgarie, Turquie.

La formule


Réparties en quatre groupes de quatre, les seize équipes s'affrontent dans un premier tour à l'issue duquel seul le dernier de chaque groupe est éliminé. Les douze autres sont reversés dans deux poules de six, où ils rencontrent trois autres équipes qualifiées. Les résultats acquis au premier tour face aux autres qualifiés sont pris en compte. A l'issue de cette phase, les quatre meilleurs de chaque groupe se qualifient pour les quarts de finale, le premier d'un groupe affrontant le quatrième de l'autre, le deuxième contre le troisième... Suivent les demi-finales, ou les matches de classement pour déterminer les places de cinq à huit. Des rencontres cruciales pour une éventuelle qualification au Mondial 2010 en Turquie, puisque six billets sont à pourvoir. Si la Turquie figure dans le Top 6, la septième place sera donc elle aussi qualificative. La finale de l'Euro est prévue le 20 septembre (21 h 15) à Katowice.

Le calendrier des Bleus


Aujourd'hui : France - Allemagne (19 h 15).
Demain : France - Lettonie (19 h 15).
Mercredi : France - Russie (16 h 30).

Les douze tricolores


Meneurs : Diot (Le Mans), Jeanneau (ASVEL), Parker (San Antonio Spurs, NBA).
Arrières-ailiers : Bokolo (Gravelines), De Colo (Valence, Esp), Batum (Portland Trailblazers, NBA).
Intérieurs : Piétrus (Valence, Esp), Diaw (Charlotte Bobcats, NBA), Koffi (Badalone, Esp), Mahinmi (San Antonio Spurs, NBA), Turiaf (Golden State Warriors, NBA), Traoré (ASVEL).
Est républicain

Marrant le Ronny , il tente de nous persuader que l'Allemagne sans Nowitski à une equipe redoutable (c'est vrai que Femerling ça effraie).Ouais je sais il peut pas dire le contraire ...

Pour info le match France Allemagne sera diffusé à l'hotel restaurant l'eclipse. n'hesitez pas à venir :
http://www.sluc-basket.org/asp.net/zones.html/html.aspx?id=3796

si quelqu'un trouve un lien pour le match de ce soir, qu'il pense aux potes forumistes

et c'est parti pour un euro dont on a faillit ne pas voir la couleur... 9 à 8 pour les bleus pour le moment

En lien j'ai cela:


http://live.fibaeurope.com/netcasting/default.asp?game_number=6365-B-2&microsite_scope=undefined

http://fr.justin.tv/imtestingagain

En Allemand mais c déjà ça

la , c 'est en français : http://fr.justin.tv/keeperlive4

Euh fabask, c'est du tennis

Merci

C'est bien serré... et les fautes à foison !!!

pfff je vais devoir investir dans un nouveau clavier la touche F5 fatigue


70-65 victoire difficile contre l'Allemagne privée de sa star

oufffff