Euro 2009 : Meilleur bilan de l'Euro pour la France (8-1) !

A se demander comment nous avions pu jouer aussi minablement lors du premier match...

Rapide le changement de nom du Topic, James ! Attention c'est pas fini

alors là c'est trop fort sport+ : ils vont diffuser le match PAU - LIMOGES!!!!

Ils diffusent de la pro B!

désolé ce n'est pas le bon topic

C'était prévu depuis belle lurette. Mais pas le bon topic, en effet.

Victoire de la France 92 à 54.

Ouf de soulagement...pour le basket français....maintenant place à la Pologne.....

Grosses mentions à Antoine Diot et Turiaf, assez épatants ce soir.

Maintenant place à l'Euro, où ce sera une autre paire de manches. N'oublions pas que ce match était à domicile avec un bel appui du public. En Pologne dans des salles moins remplies et plus hostiles, il faudra être plus solide mentalement.

Voila ce que j'attendais, un sursaut d'orgueil de la part des joueurs, et surtout Boris qui me ravit de sa belle performance, Parker à fait confiance à ses coéquipiers qui lui ont rendu la pareil avec éclat!!!! Nous avons désormais un jolie coup à jouer, d'une part parce que l'effectif arrive affuté et en jambes, et d'autre part les autres nations sont affaiblies par de nombreuses absences de stars....

Il faut à tout prix garder cette attitude de gladiateurs en défense et trouver l'alchimie entre Parker et Diot qui sont ,pour moi, le duo gagnant de cette équipe....

Je crois toujours à une médaille, mais pour moi le stricte minimum à assurer, c'est la qualif pour l'euro, et c'est largement à leur porté .....cette génération mérite d'être récompensée !!!!

Go France Go!!!!!!

UN grand bravo aux belges pour avoir tenue la dragée haute !!!

Les Belges nous l'on fait à l'Anvers mais nous on leur à fait la Pau.

Ouf!

Mister dome a écrit:

Je crois toujours à une médaille, mais pour moi le stricte minimum à assurer, c'est la qualif pour l'euro, et c'est largement à leur porté

Oui ça vient même d'être fait, en fait.

Rasheed Wallace a écrit:

Mister dome a écrit:

Je crois toujours à une médaille, mais pour moi le stricte minimum à assurer, c'est la qualif pour l'euro, et c'est largement à leur porté

Oui ça vient même d'être fait, en fait.

Euh milles excuses je voulais dire pour les mondiaux

Perso je me garderai bien d'être optimiste pour cette équipe à l'Euro. Ils soufflent un peu trop le chaud et le froid, je trouve. Et puis jouer en Pologne ce sera autre chose qu'au Palais des Sports de Pau. Quant aux adversaires, on sait bien que la France n'a de marge sur personne. Les adversaires jusqu'à présent étaient plutôt faibles (Italie méconnaissable et la Belgique), on verra ce que ça donne face à la Lettonie et la Russie, des équipes autrement plus armées. Idem si on va en quarts, face à la Grèce, la Slovénie, Croatie etc... Ce sera très dur. Wait and see.

La France dit oui à l'Europe


Sur son nuage, la France a fini par prendre son envol pour l'Eurobasket, qui commence dans huit jours en Pologne en laminant la Belgique (92-54) en finale retour des repêchages.



PAU._ C'est à la fois un énorme soulagement et la fin d'une longue pénitence - deux ans de montagnes russes en sous-sol - pour les Bleus qui pourront aborder le Championnat d'Europe avec ambition, après tant d'épreuves. « On revient de loin. On savait que ce serait le plus dur de se qualifier. Maintenant on peut commencer à rêver. Ces matches, ces hauts et ces bas vont nous servir à l'Euro », a réagi Tony Parker, déjà gourmand après avoir frôlé le gouffre avec la génération qui porte son nom.
Car la France jouait très gros hier. Elle était dans l'obligation d'arracher le dernier billet pour l'Euro sous peine de rater non seulement ce tournoi mais aussi, sans doute, le Championnat du monde 2010.
Un gâchis monumental évité après une longue attente puisque les Français couraient après cette qualification depuis l'Euro-2007 et avaient déjà laissé passer quatre occasions de valider leur billet.
Après deux dernières campagnes calamiteuses, qui ont usé deux sélectionneurs - Claude Bergeaud et Michel Gomez - la pression était énorme cet été sur les épaules des Bleus, désormais entraînés par Vincent Collet.
Elle était encore montée d'un cran après leur première défaite (66-70) en vingt ans face aux Belges jeudi à l'aller à Anvers. Hier, les Bleus avaient besoin d'une victoire de cinq points. Ils ont fait beaucoup mieux que ça.
Après un premier quart-temps accroché, ils ont littéralement dynamité les Lions rouges dans le deuxième quart-temps. Avec, au coeur des débats, un Ronny Turiaf monumental (19 pts, 9 rbds). « Mes meilleurs matches sont ceux qu'on gagne », a commenté le pivot des Bleus, revenu seul sur le parquet à la fin du match pour récolter l'admiration d'un Palais des Sports incandescent.
Supérieurs dans tous les domaines, assoiffés de revanche, les Français ont ensuite survolé la deuxième période grâce à une belle partition collective, avec Diot (9 passes), Diaw (13 points), Batum, De Colo, Traoré et Parker (16 points), sorti de son isolement.
«Tout le monde a bien joué, a savouré Collet. Les Belges étaient en transe jeudi, nous on l'était ce soir, le rapport de force s'est inversé.» Pour expédier la France a son 17e Euro consécutif.

A l'Euro avec ambition


Si la France a éprouvé énormément de difficultés à rallier l'Euro, elle aura paradoxalement un beau coup à jouer en Pologne. A cause de son potentiel mais aussi parce qu'elle arrivera affûtée et que beaucoup de nations se présenteront affaiblies en cette année post-olympique.
Dans son groupe du premier tour, elle rencontrera ainsi, en plus de la Lettonie, une équipe d'Allemagne très diminuée par l'absence de Nowitzki, et la Russie, championne d'Europe en titre mais amoindrie par les forfaits de Holden, Kirilenko et peut-être Khryapa.
« Il faudra se méfier, freinait Collet, mais on y ira à l'Euro pour faire quelque chose. L'objectif de la Fédération est de se qualifier pour le Mondial-2010, c'est celui que je partage même si on peut avoir des objectifs plus élevés.» «On a une marge de progression évidente en termes de rigueur et discipline à condition d'être sérieux », a ajouté le sélectionneur qui n'attend a priori pas de renforts en vue de l'Euro, Michaël Pietrus, Joakim Noah ou Laurent Foirest n'étant pas disponibles pour diverses raisons.
Au vu de sa démonstration d'hier, le groupe actuel a suffisamment de potentiel pour viser un podium. Reste à l'exprimer sur la durée. Un problème qui se posera très vite et qui déterminera l'avenir à court et moyen terme de cette équipe capable du meilleur comme du pire.
Est republicain

Turiaf, cœur de lion


Survolté, transcendé, Ronny Turiaf a réussi un chef d'œuvre personnel face à la Belgique. Avec 19 points, nouveau record personnel, et 8 rebonds, Turiaf a servi un « Ronny-festival » aux Belges.




PAU._Lorsqu'il est revenu sur le parquet à l'issue du match, seul, pour recevoir l'ovation du public palois, le pivot au grand cœur avait déjà compris qu'il venait de réussir un match énorme.
S'il y avait encore un léger doute, il n'avait qu'à écouter les paroles de son grand pote Tony Parker au micro de la salle un instant plus tard: «Est-ce que je peux entendre du bruit pour Ronny Turiaf? Franchement t'as fait un match! T'es le MVP, c'est le meilleur match que je t'ai vu jouer».
«Il a été énorme, il m'a dit hier soir qu'il ne me laisserait pas tomber», a ajouté Parker un peu plus tard en coulisses au sujet du « Ronny-festival » (19 points, record personnel égalé, 8 rebonds en 21 minutes).
Sa 74e sélection, le colosse de Fort-de-France (2,08 m) l'a effectivement attaquée le pied au plancher, mordant à pleines dents dans un match qu'il a enflammé avec l'aide d'Antoine Diot dans le deuxième quart-temps.

Briefing dans le vestiaire


Claquant dunk sur dunk, dont un à encadrer en poster sur Axel Hervelle, surmotivé au rebond, le joueur des Golden State Warriors, 26 ans, a été fidèle à sa réputation de guerrier.
Et dire qu'il avait mal au dos ! « Je me suis réveillé hier (samedi) matin avec une douleur et j'ai dû arrêter l'entraînement », racontait-il. Cela ne l'a pas arrêté dimanche, « transcendé » par le public. « Je comprends qu'ils aient gagné autant de titre de champion ici », a-t-il soufflé.
Cela l'a aidé, c'est certain, à repartir sans cesse au combat, lui qui fonctionne à l'énergie, aux ondes. Rien ne l'a freiné.
Même pas un coup violent sur le torse qui l'a fait grimacer longuement et qui a fait souffler un vent de frayeur dans le public inquiet pour Turiaf, opéré à coeur ouvert en 2005.
« J'ai une protection qui me protège et lorsque Moors m'est rentré dedans elle a tapé sur ma cicatrice. Ça a fait un peu mal. Mais je rassure ma mère, je vais bien ! », expliquait Turiaf qui refusait de tirer la couverture à lui.
« J'ai fait mon boulot mais sans Antoine Diot je n'aurais pas connu tant de succès ce soir. Le petit a changé le cours du match. C'était John Stockton ce soir ! », a-t-il souligné, chantant également les louanges de Florent Pietrus, son frère d'armes dans la raquette bleue.
Il a préféré se rappeler sa longue histoire commune avec ses potes Parker et Boris Diaw. «On s'est retrouvés à trois dans le vestiaire dix minutes avant le match. C'est là que je leur ai dit: ''réfléchissez où on était à 10 ans.'' On s'est connu en 1998 et là on est arrivé à un carrefour. Soit on va de l'avant, soit on repart en arrière.» «On a envie d'écrire une belle histoire, de continuer comme ça, a-t-il conclu. Pourquoi ne pas partir en Pologne dans l'optique d'aller chercher une médaille ? Pourquoi ne pas viser plus haut ? ».
Est republicain

«Un non match à l'aller »







Tony Parker : « Ça fait plaisir de gagner un match important comme ça, surtout après les grosses défaites qu'on a connues. On savait que le plus dur était de se qualifier, maintenant on peut commencer à rêver. Ces matches, tous ces hauts et les bas, vont nous servir à l'Euro. On était confiants, on ne pouvait pas perdre à domicile. On progresse de jour en jour, il faut que tout le monde joue à son meilleur niveau pour espérer atteindre notre objectif. Mais si on joue comme ce soir et que tout le monde produit, on peut espérer ».
Florent Pietrus : « On savait qu'on avait fait un non-match jeudi à l'aller. On a voulu rectifier ça et montrer qu'on était une bonne équipe. Cette victoire est très encourageante pour la suite. On connaissait notre force. On est satisfait de ce qu'on a produit. On peut faire de très belles choses. Mais le plus dur reste à venir. »
Boris Diaw : « Le vrai Boris Diaw a toujours été là. Il n'a jamais eu de faux Boris Diaw. Il fallait remettre les pendules à l'heure. Eux ont lâché physiquement et mentalement. »
Est republicain

Le haut du panier


C’est à la fois un énorme soulagement et la fin d’une longue pénitence - deux ans de montagnes russes en sous-sol - pour les Bleus qui pourront aborder le Championnat d’Europe avec ambition, après tant d’épreuves.
« On revient de loin. On savait que ce serait le plus dur de se qualifier. Maintenant on peut commencer à rêver. Ces matches, ces hauts et ces bas vont nous servir à l’Euro », a réagi Tony Parker, déjà gourmand après avoir frôlé le gouffre avec la génération qui porte son nom.
Car la France jouait très gros hier. Elle était dans l’obligation d’arracher le dernier billet pour l’Euro sous peine de rater non seulement ce tournoi mais aussi, sans doute, le Championnat du monde 2010.
Un gâchis monumental évité après une longue attente puisque les Français couraient après cette qualification depuis l’Euro-2007 et avaient déjà laissé passer quatre occasions de valider leur billet.
Après deux dernières campagnes calamiteuses, qui ont usé deux sélectionneurs - Claude Bergeaud et Michel Gomez - la pression était énorme cet été sur les épaules des Bleus, désormais entraînés par Vincent Collet.
Elle était encore montée d’un cran après leur première défaite (66-70) en vingt ans face aux Belges jeudi à l’aller à Anvers. Les Bleus avaient donc besoin d’une victoire de cinq points. Ils ont fait beaucoup mieux que ça.
Après un premier quart-temps accroché, ils ont littéralement dynamité les Lions rouges dans le deuxième quart-temps. Avec, au cœur des débats, un Ronny Turiaf monumental (19 pts, 9 rbds). « Mes meilleurs matches sont ceux qu’on gagne », a commenté le pivot des Bleus, revenu seul sur le parquet à la fin du match pour récolter l’admiration d’un Palais des Sports incandescent.
Supérieurs dans tous les domaines, assoiffés de revanche, les Français ont ensuite survolé la deuxième période grâce à une belle partition collective, avec Diot (9 passes), Diaw (13 points), Batum, De Colo, Traoré et Parker (16 points), sorti de son isolement.
A l’Euro avec ambition
« Tout le monde a bien joué, a savouré Collet. Les Belges étaient en transe jeudi. Nous, on l’était ce soir, le rapport de force s’est inversé. » Pour expédier la France à son 17e Euro consécutif.
Si la France a éprouvé énormément de difficultés à rallier l’Euro, elle aura paradoxalement un beau coup à jouer en Pologne. A cause de son potentiel mais aussi parce qu’elle arrivera affûtée et que beaucoup de nations se présenteront affaiblies en cette année post-olympique.
Dans son groupe du premier tour, elle rencontrera ainsi, en plus de la Lettonie, une équipe d’Allemagne très diminuée par l’absence de Nowitzki, et la Russie, championne d’Europe en titre mais amoindrie par les forfaits de Kirilenko et peut-être Khryapa.
« Il faudra se méfier, freinait Collet, mais on y ira à l’Euro pour faire quelque chose. L’objectif de la Fédération est de se qualifier pour le Mondial-2010, c’est celui que je partage même si on peut avoir des objectifs plus élevés. »
« On a une marge de progression évidente en termes de rigueur et discipline à condition d’être sérieux », a ajouté le sélectionneur qui n’attend a priori pas de renforts en vue de l’Euro, Michaël Pietrus, Joakim Noah ou Laurent Foirest n’étant pas disponibles pour diverses raisons.
Au vu de sa démonstration de dimanche, le groupe actuel a suffisamment de potentiel pour viser un podium. Reste à l’exprimer sur la durée. Un problème qui se posera très vite et qui déterminera l’avenir à court et moyen terme de cette équipe capable du meilleur comme du pire.
Républicain lorrain