[ProA - J7] SLUC Nancy bat Limoges CSP, 71-74

Les arbitres n'ont pas respectés les joueurs du Sluc sur ce match.

Le passage en force de Acker sur Hannah en début de match...
La faute sur Hannah non sifflée a 1H18,05...


Mais surtout cette faute sifflée a Randal a 1H17 qui aurait pu offrir le match a Limoges... On voit Randal mais surtout Paul dégoutés. Paul plus que dégouté même.

Et Paul qui leur mettra bien sur la truffe 3 min plus tard

gosluc a écrit:

jtexc a écrit:

Limoges-sluc de C+ sport complet (mais pas en HD)

https://mega.co.nz/#!c8cmnSaR!DA5S7Gnnm5UVub7FLiUc4VKwBqdKocIyYthZHli9ohc

je ne réussis pas à accéder à la vidéo avec ton lien : c'est moi qui ne suis pas doué???

merci d'avance!

c'est bon en fait! 

5NancyBoy4 a écrit:

Les arbitres n'ont pas respectés les joueurs du Sluc sur ce match.

Le passage en force de Acker sur Hannah en début de match...
La faute sur Hannah non sifflée a 1H18,05...


Mais surtout cette faute sifflée a Randal a 1H17 qui aurait pu offrir le match a Limoges... On voit Randal mais surtout Paul dégoutés. Paul plus que dégouté même.

Et Paul qui leur mettra bien sur la truffe 3 min plus tard

Sans oublier la 1ere faute de Falker imaginaire sur Acker qui marquera les deux premiers points du CSP... et la faute de Reynolds sur Harris non sifflée juste avant la mi-temps...

J'ai revu le match une deuxième fois plus reposé que mardi à 00h30... et j'ai bien regardé nos joueurs...

Effectivement Hannah n'a joué que 28 minutes grace à Linehan... et il a été bien plus présent dans le money time. On peut donc voir là déjà le soulagement qu'il doit ressentir par la présence d'un joueur expérimenté derrière lui, alors que jusque là, il savait qu'il n'avait pas droit à l'erreur.
S'il peut continuer à jouer plus libéré, ce ne sera que tout benef pour nous.

Falker ensuite a été réellement impressionnant, contrant même les limougeauds sur leurs shoots devant la ligne à 3pts... Il a d'abord beaucoup défendu, pris des rebonds, puis il s'est tranquillement imposé en attaque, marquant sur des passes de Hannah ou sur des seconde chances.

Nichols, s'il n'a pas beaucoup marqué il a anihilé totalement Alex Acker... sa défense a été excellente ! Puis il a asséné deux shoots meurtriers (deux points juste après la reprise et un magnifique 3 points en fin de possession qui a fait très mal à Limoges). Hyper athlétique et toujours très concentré, sans jamais broncher... il revit avec Alain Weisz.

Harris quand à lui a été d'une insolente adresse... que dire ? Que s'est-il passé pour que Weisz l'ai remis direct dans le 5 ? Fallait y croire vu son match contrasté face à Roanne... Et Weisz a rudement bien fait, car Harris a tout lâché dès le début de match et a totalement destabilisé le CSP. Harris a été impressionnant jusqu'à la fin : courses, rebonds, disponibilité, adresse à rendre fou Beaublanc et un ultime shoot assasin pour emporter le match...
Franchement, j'ai rarement vu ça depuis que je suis le SLUC (depuis 1987 quand même).
J'espère simplement qu'il va arriver à stabiliser ses émotions et qu'il devienne régulier. S'il y arrive, il va énormément nous apporter !

Ces quatre joueurs ont été excellents mardi... Il faut maintenant que le banc (inexistant) élève son niveau : Mipoka entre autre mais aussi Grant qui fait peine à voir.
Quand aux "vieux" briscards Linehan et Zianveni, à eux de faire jouer leur expérience...

gosluc a écrit:

gosluc a écrit:

jtexc a écrit:

Limoges-sluc de C+ sport complet (mais pas en HD)

https://mega.co.nz/#!c8cmnSaR!DA5S7Gnnm5UVub7FLiUc4VKwBqdKocIyYthZHli9ohc

je ne réussis pas à accéder à la vidéo avec ton lien : c'est moi qui ne suis pas doué???

merci d'avance!

c'est bon en fait! 

On me dit que l'adresse n'est pas valide!!! Suis sous Mac

Tente avec Google Chrome.

Jacques SANTINI a écrit:

5NancyBoy4 a écrit:

Les arbitres n'ont pas respectés les joueurs du Sluc sur ce match.

Le passage en force de Acker sur Hannah en début de match...
La faute sur Hannah non sifflée a 1H18,05...


Mais surtout cette faute sifflée a Randal a 1H17 qui aurait pu offrir le match a Limoges... On voit Randal mais surtout Paul dégoutés. Paul plus que dégouté même.

Et Paul qui leur mettra bien sur la truffe 3 min plus tard

Sans oublier la 1ere faute de Falker imaginaire sur Acker qui marquera les deux premiers points du CSP... et la faute de Reynolds sur Harris non sifflée juste avant la mi-temps...

Et la 1ère faute de Falker en tout début de match sur Moerman qui loupera les LF. Cozette dira même : "il y a une justice"

Bon,en meme temps,on a gagné le match.Il y a plus de 150 possétions de balle dans un match,donc forcément,il y a des erreurs arbitrales.effectivement,il y a sans doute eu un arbitrage maison,mais je trouve que c'est lourd de se plaindre a tous les matchs.
Quand on connait le "vice" des joueurs comme pietrus et falker,eux aussi ils commettent pas mal de fautes non sifflées.(sans parler de linehan...)

pistolpit23 a écrit:

Bon,en même temps,on a gagné le match.Il y a plus de 150 possessions de balle dans un match,donc forcément,il y a des erreurs arbitrales.effectivement,il y a sans doute eu un arbitrage maison,mais je trouve que c'est lourd de se plaindre a tous les matchs.
Quand on connait le "vice" des joueurs comme pietrus et falker,eux aussi ils commettent pas mal de fautes non sifflées.(sans parler de linehan...)

L'arbitrage se dégrade d'années en années .... Et ça on est bien obligé de le constater toutes les semaines et pas seulement sur les matchs du Sluc. Il n'y a aucune cohérence dans les décisions, des hommes en gris de plus en plus cowboys. Sans parler de l'arbitrage ciblé sur un ou des joueurs en particuliers. On arbitre pas un meneur, on arbitre Linhean.... Cela devient de plus en plus incroyable. Quand tu vois que les arbitres qui sont nommés encadrants, faut pas s'étonner. Eux mêmes ayant toujours arbitrés comme des trompettes sans aucune évolution. Les Jeanneau et autres Boulanger sont et resterons mauvais.

http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/19696/Randal-Falker-de-l-ombre-a-la-lumiere

Randal Falker, de l’ombre à la lumière

Grand format – 23.11.2013 – 14:00



Longtemps catalogué comme joueur de devoir, Randal Falker (2,01 m, 28 ans) crève l’écran cette saison avec Nancy.

« J’ai vécu des grands matches en playoffs ou en Euroleague mais celui-là est indéniablement l’un de mes meilleurs matches en carrière. » Il a beau avoir le triomphe modeste, Randal Falker est bien forcé d’admettre que ce qu’il a réalisé à Limoges, mardi dernier lors de la 7^e journée, est le genre de choses qu’on ne voit pas chaque semaine. A Beaublanc, face à un CSP qui n’avait jusque-là perdu qu’un seul match de la saison, l’intérieur aux dreadlocks a compilé 16 points à 8/13 (61,5%), 19 rebonds, 3 passes décisives, 2 contres, 2 interceptions et, cerise sur le gâteau, la victoire pour les siens à l’arrivée (74-71).
Une addition salée qui se chiffre à 35, soit l’évaluation réalisée par Randal Falker ce soir-là, la meilleure performance individuelle de la saison toutes équipes confondues. «  Et il faut ajouter à ça la défense qu’il a réalisée sur J.K. Edwards, Eric Williams et Fréjus Zerbo », rajoute Alain Weisz, l’entraîneur du SLUC.  « Il a pesé sur le match en annulant l’un des points forts de Limoges qui est le jeu intérieur, c’est vraiment un match considérable. 35 d’évaluation, ça parle en soi, je n’ai pas grand-chose à rajouter, il a fait un match proche de la perfection. »
 

 
Si sa dernière feuille de statistique est imposante, son fonds de commerce reste cependant la défense, comme le reconnaît lui-même l’intéressé. « Je me considère comme un grand défenseur avant tout. J’ai appris ça à l’université », explique Falker. « Je n’étais pas dans une université très forte et on était obligé de bien défendre pour gagner des matches. » En quatre ans passés à Southern Illinois, le natif de Saint-Louis s’est en effet forgé une solide réputation dans sa moitié de terrain, au point d’être élu meilleur défenseur de sa conférence, la Missouri Valley, en 2007. Une qualité dont il a aussi fait preuve lors de ses quatre saisons passées à Cholet, après sa sortie d’université.
« Je trouvais qu’il avait beaucoup d’impact », se remémore Alain Weisz. « Il a toujours fait ce qu’on lui demandait, prendre des rebonds, défendre, mais peu de jeu offensif. Quand on regarde ses statistiques à Cholet, il tirait entre 4 et 5 fois par match, c’est difficile de marquer beaucoup de points dans ces conditions. Mais il a toujours eu une évaluation supérieur à ses points et ça pour moi, c’est la preuve d’une grande valeur, ça veut dire qu’il apporte autre chose à l’équipe. Quand on sait qu’en plus il défend le plomb et que ça ne se voit pas dans les statistiques, pour moi c’est la marque d’un grand joueur. »
Avec Cholet, en effet, Falker va rencontrer le succès sous les ordres d’Erman Kunter, l’ancien emblématique entraîneur franco-turc qui l’a fait venir dans les Mauges. En 2009, il atteint la finale de l’EuroChallenge avec Cholet, décroche le titre de champion de France l’année suivante avant de s’incliner en finale contre Nancy la saison d’après, en 2011. Une période faste mais où, à l’abri des stars Nando De Colo, Fabien Causeur ou Sammy Mejia, Randal Falker est cantonné aux tâches obscures. Défense, bataille au rebond, pose d’écran pour libérer les shooteurs, toutes les petites choses qui ne se voient pas au premier coup d’œil mais qui sont pourtant indispensables à la bonne marche d’une équipe. « Pour moi, il a été un joueur très, très important du titre de Cholet », conclue d’ailleurs Alain Weisz. Mais tout le monde n’avait visiblement pas le même avis.
 
 
Ainsi, si les anciens scoreurs choletais ont depuis tous fait fortune ailleurs, Randal Falker n’a pas connu pareil destin. En fin de contrat en 2012, il rejoint finalement le Besiktas, où Erman Kunter vient d’être nommé. En Turquie, sa saison tourne rapidement au vinaigre, le joueur ne dépassant pas souvent les dix minutes de temps de jeu tant en championnat turque qu’en Euroleague. Si bien qu’à l’été dernier, pas grand monde ne se bouscule au portillon pour récupérer le larron. A la grande joie d’Alain Weisz.
« La dernière année est très importante pour les recruteurs et je ne peux pas dire que tout le monde se soit battu pour Falker », détaille l’entraîneur lorrain. « J’ai appelé Erman Kunter qui m’a expliqué la situation, c’était une équipe avec beaucoup de joueurs turcs et quand ils ont commencé à avoir des difficultés, il a un peu sacrifié Randal. Mais il a m’a dit que sa saison ne reflétait pas sa valeur et qu’il était toujours le même joueur. Dès que j’ai su qu’il était sur le marché, Falker a été pour moi une priorité absolue. Je m’étonne même qu’il était encore disponible. »
14^e la saison dernière, le SLUC repartait de loin, avec un nouveau coach à la baguette. Et après la saison cauchemardesque des Lorrains, la priorité était de retrouver de la combativité pour coach Weisz, qui a alors pu former avec Florent Pietrus et Randal Falker, une raquette à toute épreuve de ce point de vue. « Bien sûr, ce ne sont pas des joueurs qui vont marquer 25 points, par match », admet l’ancien sélectionneur national. « Mais aujourd’hui en Pro A, la défense est tellement importante que peu importe ce qu’ils pouvaient apporter en attaque, je savais qu’ils apporteraient en défense. Quand on défend à l’intérieur et qu’on domine au rebond, on fait beaucoup de chose en basket. Je voulais absolument qu’on renvoie aux spectateurs l’image d’une équipe qui ne lâche rien, c’était ma ligne directrice. »
 
 
Le pari pouvait sembler risqué mais les derniers résultats prouvent qu’il était bon. Mieux, Falker joue au-delà de toutes les espérances et, à l’heure actuelle, il est le meilleur rebondeur (11,1) et contreur (1,7) de la Pro A, ainsi que le joueur qui cumule la plus forte évaluation moyenne (22,0). Plus surprenant, il tourne également à 11,6 points en attaque, de loin sa meilleure stat en carrière. Avec déjà trois sélections dans l’équipe type de la journée, l’homme de l’ombre voit désormais les projecteurs se braquer sur lui. « Ca fait longtemps que je suis dans l’ombre mais ça ne me dérange pas », coupe cependant Randal, qui a d’autres priorités. « Le plus important c’est que tes coéquipiers reconnaissent et apprécient ce que tu fais sur le terrain. »
S’il n’y a pas de doute là-dessus, son aura ne se limite plus aujourd’hui aux portes du vestiaire. Car avec de telles prestations, l’homme apparaît comme l’un des plus sérieux candidats au titre de MVP. « Je déteste les entraîneurs qui disent que leurs joueurs méritent d’être MVP, je ne me prononcerai donc pas là-dessus », rétorque cependant Alain Weisz quand on l’interroge sur la question. « Mais je peux dire que moi, je ne l’échangerais contre aucun autre joueur. » Il y a pourtant fort à parier que bon nombre de techniciens seraient, eux, prêts à le fa