[Preview] 12-13 :: Un pigiste intérieur ?

Le "cut" n'est possible en ce sens que pendant la période d'essai au début de l'exécution du contrat, mais pas ultérieurement.
L'autre période où il y aurait une liberté est en cas d'option de renouvellement, mais jamais à tout moment, la loi ne permet pas de rupture de CDD à tout moment.

Le CNE aurait fait mal dans le milieu du sport

Il ne faut pas oublier que Jamal n'a signé que pour une saison en faveur du Sluc ,si il avait signer pour 2 ans il aurait pu faire l'impasse et revenir la saison prochaine pour le méme salaire.
Il vient d'avoir une progression de salaire constante depuis son arrivée en Pro A en prenant je pense entre 30 et 40 000 chaque saison,en ne signant qu'une saison avec Nancy il avait evidemment dans un coin de sa téte l'envie de signer LE contrat de sa carriére la saison prochaine.
Une saison blanche remettrai tout en question et il retrouverai des propositions à peine égal à celle de Vichy pour sa venue en Pro A,il à donc plutot interet à revenir claqué 3,4 mois à 15pts de moyenne.

Oui, et puis il veut jouer, surtout.

Personne n'aimerait se faire opérer si un medecin ne le conseille pas.Mais c'est un Pari trés risqué pour le joueur en premier!!!Si il ne carbure pas aprés sa blessure ,il aura du mal a trouver un club sans passer inlassablement par des visites et contre-visites médicales.

Allez JLM on se retrousse les manches ,on arréte de gémir ,au colisée on en sort vainqueur et hop ds la foulée un super ricain poste 2!! Et plus personne ne parlera de Shuler!!! :cheers:

On fait ressortir (après sa pige chez les Bulls la saison passée) Mike James de sa retraite, et puis c'est tout...

Toujours rien 11 jours après la blessure de Jamal...

Sauf signature et dossier transmis avant 18H à la Ligue, on jouera donc lundi sans avoir remplacé, ne serait-ce que numériquement, notre meilleur joueur.

Et l'intégration du nouveau joueur est retardée d'autant...

BASKET-BALL - PRO A SOUS LES PANIERS DU SLUC

« TOUT LE MONDE M’A OUBLIÉ »

En 2005, Hervé Touré a tourné le dos à la France pour aller s’épanouir en Italie. De retour après plus de sept années passées à l’étranger, il revient sur son délicieux exil.



Nancy. C’est l’histoire d’un jeune Lyonnais, grand espoir du basket tricolore qui, à 23 ans (en 2005), a choisi de tourner les talons à son club formateur (l’ASVEL) et au basket français, pour aller voir si l’herbe était plus verte ailleurs. Ce qui ne faisait aucun doute dans son esprit. Après un exil de près de huit années, pendant lequel il s’est notamment épanoui en Italie, Hervé Touré a décidé de « rentrer » en France. Pour le plus grand plaisir du SLUC, qui a su saisir l’occasion. Entretien.

Hervé Touré, si l’on qualifie votre carrière d’atypique, vous validez ?

Oui. Cela ne sert à rien d’appeler un chat un chien. Je viens de passer près de huit ans à l’étranger. En France, tout le monde m’a oublié et je reviens discrètement. Alors oui, c’est un parcours atypique.

En 2005, lorsque vous avez quitté l’ASVEL et la France, envisagiez-vous un exil aussi long ?

Tout à fait. Je voulais quitter la France, où je ne sentais pas une volonté de mettre les jeunes joueurs en avant. Je voulais jouer, voir autre chose. Je suis curieux de nature et, indépendamment du basket, j’ai toujours aimé voyager. Il y avait tout de même une part de risque. J’aurais pu revenir en France rapidement en traînant la patte… Je suis reparti de zéro, mais j’étais solide mentalement. Et la chance et le travail ont fait que je suis parvenu à faire mon trou.

L’histoire s’est mal terminée avec l’ASVEL. Il y a prescription ?

A l’époque, l’ASVEL a tout fait pour me mettre des bâtons dans les roues. Les dirigeants ont tenu des propos à mon égard qui relevaient de la calomnie. Quand un club étranger s’intéresse à vous, qu’il appelle l’ASVEL et qu’on lui explique que je suis fainéant et ingérable, forcément il ne donne pas suite… J’ai vécu tout ça et je voulais vite m’extraire de ce monde-là. Heureusement, j’ai eu l’opportunité de partir à Charleroi, où cela s’est bien passé. Ensuite, c’est Avellino qui a pris le risque de m’engager, malgré la réputation que l’on m’avait faite.

LE PLUS ITALIEN DES FRANÇAIS
Le début d’une histoire d’amour avec l’Italie qui a duré six saisons…

Je ne parlais pas un mot d’italien. Au début, j’étais perdu. Je me suis investi totalement dans l’apprentissage de la langue, la compréhension de la culture. C’était la moindre des choses. Aujourd’hui, je parle couramment italien. La presse italienne m’a souvent appelé « le plus italien des Français ».

Un souvenir particulier de ces années en Italie ?

J’ai énormément de bons souvenirs de l’Italie, où j’ai d’ailleurs gardé beaucoup d’amis. Je raconte souvent l’anecdote qui concerne la Sicile, dont on connaît les clichés concernant la famille, la mafia… Là-bas, deux ou trois personnes m’ont pris sous leur aile, j’étais invité aux repas familiaux. J’avais même commencé à parler un peu le dialecte sicilien… J’ai découvert une culture et un mode de vie différents.

Et la France dans tout ça. Vous aviez conservé des contacts ?

Pratiquement aucun, surtout les premières années. Je rentrais seulement voir ma famille et mes amis à Lyon. Pour le reste, j’ai complétement coupé les ponts. Quand je suis parti, personne ne m’a vraiment soutenu. Personne n’avait besoin de moi et je n’avais besoin de personne…

Avant de quitter la France, vous aviez entre-ouvert les portes de l’équipe de France…

(Il coupe)… Après mon départ, plus un mot, plus un appel. J’ai pourtant fait quelques bonnes saisons en Italie. Les gens m’ont oublié… Mais je ne vais pas pleurer sur mon sort.

Vous êtes l’auteur de deux ouvrages sur les médias (1). Y en a-t-il un troisième en gestation ?

J’ai toujours un pied dans l’écriture. C’est en fonction du moment, du temps libre… J’ai fait des études dans la communication et le commerce. Parler des médias le plus objectivement possible m’a semblé intéressant. Pourquoi et comment ils manipulent les gens…

Après votre court passage à Pau-Lacq-Orthez la saison dernière (début avril), une blessure au dos vous a éloigné des parquets. Où en êtes-vous physiquement ?

Il y a encore de la marge, mais ça revient progressivement. Au milieu de l’été, je ne pouvais même pas courir. J’ai passé beaucoup de temps à me soigner cet été. Et j’ai attendu d’être présentable pour entrer dans le marché des transferts…

Propos recueillis par Thomas SIMON

(1) « Splendeurs et misères d’un téléphage » et « Médias la croisade ».

VESTIAIRES

CHERCHE PIGISTE DÉSESPÉRÉMENT

Nancy. Un nouveau joueur devant être qualifié pour ce soir 20 h, dernier délai, le SLUC jouera à Chalon, chez le champion de France, sans le remplaçant de Jamal Shuler. Autant dire, mission impossible ou presque pour les Nancéiens qui doivent impérativement améliorer le rendement offensif. Jean-Luc Monschau n’a toujours pas trouvé un pigiste qui correspond à la fois au profil de Shuler et au porte-monnaie du SLUC. Il est vrai que venir pour trois mois à Nancy, ça fait réfléchir. À moins de jouer en Euroligue, ce qui a convaincu un certain Brian Rush d’aller à Chalon pour remplacer Marcus Denmon pendant six semaines.

AVION. Le moins qu’on puisse dire c’est que Julien Marbouré, l’intendant du SLUC, qui a notamment en charge les déplacements de l’équipe, transpire pour le premier match d’Eurochallenge à Limassol à Chypre. Les vols directs Paris-Larnaca, l’aéroport le plus proche de Limassol, sont tous complets. Rappelons que le SLUC se déplace à Limassol le 6 novembre prochain pour la première journée.

AGENDA. Pour ne pas tomber en concurrence avec l’ASNL, le SLUC a demandé et obtenu de la LNB à ce que soit avancé la rencontre SLUC - Boulazac le samedi 28 octobre à 17 h 30. Rappelons que l’ASNL recevra le PSG, le même soir à 20 h au stade Marcel Picot.

MOERMAN. Tout va bien pour Adrien Moerman qui après avoir été décisif dans la victoire de Bilbao contre Barcelone, a confirmé hier son excellente adresse à trois points avec 6 pts et un 2/3 derrière la ligne des 6,65 m à Lagun Aro pour une victoire à l’extérieur précieuse (65-72) du Gescrap Bilbao dans la prestigieuse Liga Endesa avec 2 pts (1/4) et 2 passes décisives.

G.G.

J'ai rien compris à la phrase sur Moerman.
Le 2/3 à 3 pts, c'était contre Barcelone et il a confirmé son adresse à 3 pts en marquant 2 pt à 1/4 dans le match d'après ?

Et apparemment, la ligne à trois points est plus proche du cercle de 10 centimètres en Espagne... C'est comme proposer des joueurs qui ne sont pas libres à JLM...

Ca fait du bien ,enfin un interview pas langue de bois que celui de Touré!!

SHAWN KING : ” LE COACH SAIT TIRER LE MEILLEUR DES JOUEURS [...]“



Shawn King est le nouveau pivot de l’équipe du Président Christian FRA. Originaire de la petite île de St Vincent les Grenadines (Caraïbes), il évoque à travers cette courte interview ses débuts, son début de saison, ses ambitions …

Shawn, quel a été ton parcours avant d’atterrir au SLUC Nancy Basket ?

J’ai une petite particularité, c’est que j’ai commencé assez tard le basketball. Lorsque j’avais 16 – 17 ans, je mesurais, déjà bien plus que la moyenne et une personne m’a conseillé de jouer au Basketball.
Un recruteur, m’a donc repéré pour suivre une formation dans une Université américaine (Carl Albert State College). Mes deux premières années professionnelles, je suis allé jouer 2 ans en Slovénie à Polzela.
Puis, j’ai quitté la Slovénie, pour la Biélorussie plus précisément à Minsk (une équipe que les Couguars affronteront en Eurochallenge).
L’année dernière j’ai joué à Odessa en Ukraine avec un ancien joueur nancéien Willie Deane (champion de France avec le SLUC en 2011).

Avant de signer avec les couguars, connaissais-tu le SLUC, et si oui qu’en pensais-tu ?

J’en ai entendu parler, déjà par mon ancien coéquipier Willie (Deane). Il ne m’a dit que du bien de ma nouvelle équipe, et puis vous savez en Ukraine, de nombreux joueurs ont évolué dans le championnat Francais. J’entendais beaucoup parlé de la Pro A. Nancy ne m’était pas du tout inconnu. Le Sluc a quand même participé deux fois à l’Euroleague (2008 et 2011).

Désormais, tu fais partie de l’effectif de Jean-Luc Monschau. Quelles sont tes ambitions et tes objectifs cette saison ?

On est tous des compétiteurs, on déteste la défaite ! Nous voulons tous gagner le championnat et nous avons l’effectif et le talent pour. On donne et on donnera notre maximum toutes les semaines pour pouvoir atteindre ce but.

Tu as pris la place de Akin Akingbala, parti cet été en Ukraine à Mariupol. As tu réussi à t’adapter au style de jeu voulu par le coach ?

Je m’adapte au fur et a mesure que les jours passent. Mais avant tout, le style de jeu demandé par le coach me convient parfaitement. C’est vraiment dans ce style que je me sens le mieux . Vous savez, le coach sait parfaitement tirer le meilleur des joueurs. Cela se voit sur le terrain. Nous sommes un véritable groupe, prêt à tout pour gagner.

Vous commencez le championnat par 1 victoire (Roanne 58-45) et 1 défaite (Le Mans 68-56), deux équipes annoncées comme favorites pour la victoire finale. Ce bilan est-il positif ?

Je déteste perdre, donc personnellement je ne trouve pas ça positif. Au Mans, nous avons eu un véritable coup dur avec la blessure de Jamal Shuler, un joueur important de l’effectif. Le match était serré, mais nous avons payé cash des erreurs plutôt idiotes, surtout contre cette équipe déjà bien rodée après leur tournoi de pré-qualification pour l’Euroleague.
Contre Roanne, notre première victoire fut difficile à obtenir, mais notre défense était vraiment efficace. Nos supporters nous ont vraiment poussés. Cela nous a vraiment aidé.

Tu évoques le cas Jamal Shuler, est-ce difficile de perdre un joueur comme lui ?

Jamal est un super joueur qui a énormément de qualités. Donc, oui, c’est difficile de le perdre pour une longue durée. Mais il va se battre pour revenir . Toute l’équipe est derrière lui. On espère tous le revoir sur le terrain le plus vite possible.

L’ambiance à Gentilly était-elle au rendez-vous ?

Nos fans sont extraordinaires. Je ne m’attendais pas du tout à ça . Sentir toute une salle vous encourager de la première à la dernière seconde ça donne réellement envie de se surpasser.



Propos recueillis par Quentin Lozzia

Le Club.

http://www.sluc-basket.fr/2012/10/19/shawn-king-le-coach-sait-tirer-le-meilleur-des-joueurs/

Il est sympa Shawn sur l'ambiance parce qu'on peut pas dire que Gentilly était vraiment en fusion la semaine dernière !!!

Oui, par rapport au gymnase ukrainien du BC Odessa, c'est énorme !

Par-contre cet interview la,bofde la com.!!

Ils aiment bien poser des virgules là où il ne faut pas en tout cas... Illisible. Mais bon, il y a quelques chose, au moins.

Superbe photo, au moins...

Toujours plein de fautes de grammaire, mais bon... Cet article est quand même un signe de bonne volonté.

Espèrons que ca profite du WE pour bosser côté recrutement parce que l'on joue donc lundi, le lendemain c'est mardi et que l'on est vite rendu a mercredi date limite pour qualifier un joueur pour le match du samedi.

Si on a pas un joueur pour Boulazac c'est du n'importe quoi.

5NancyBoy4 a écrit:

Espèrons que ca profite du WE pour bosser côté recrutement parce que l'on joue donc lundi, le lendemain c'est mardi et que l'on est vite rendu a mercredi date limite pour qualifier un joueur pour le match du samedi.

Si on a pas un joueur pour Boulazac c'est du n'importe quoi.

ils tiennent même pas comte du décalage de match
Mais bon ça n'empêche que le pigiste devrait déjà être sous les paniers de Gentilly pour l'entrainement.

http://www.catch-and-shoot.com/livenews/cedrick-banks-fait-parler-la-poudre-en-turquie/2012/
Bon bah moi qui pensais que Banks pourrait se faire couper suite à des débuts très discrets, je crois que c'est mort.

Brrrrr.....

Citation :

Toutefois, l’ancien joueur du Budivelnyk Kiev (13,6 points, 2 rebonds, 1,9 passe en 39 matches en Ukraine la saison passée) devrait refuser la proposition lorraine afin d’évoluer en D-League dans l’espoir de décrocher un ticket pour la NBA.

15,9 points à 37% (?!) en Turquie, puis 8,4 points (37% encore) en Israël et enfin 13,5 points à 43% en Ukraine. On a sans doute pas de quoi prendre mieux (à moins que ne je ne sois trop sévère). De toute façon, il ne devrait pas venir.