[ProA - J24] SLUC Nancy bat Strasbourg IG, 88-61 (39-31)

Basket-ball SIG : et d’un coup, le trou noir






Aymeric Jeanneau, Ricardo Greer et la SIG semblaient bien partis… avant de traverser un passage à vide qui leur a été fatal face à John Linehan et au SLUC Nancy.Photo PQR/L’Est Républicain/NCY


Dans le coup pendant 25 minutes environ, la SIG s’est ensuite inexplicablement écroulée pour concéder une très lourde défaite (88-61), hier soir, sur le parquet du SLUC Nancy.



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Installés dans un coin du Palais des sports de Gentilly, les quelque 125 supporters strasbourgeois tentent de se faire entendre. Arrivés un peu moins d’une heure avant le coup d’envoi de ce derby de l’Est entre Alsaciens et Lorrains, les fans de la SIG sont plutôt optimistes. « Nancy n’est jamais un adversaire facile mais on y croit », lance Thierry Feltz, le responsable du kop de la Wantzenau.
Malheureusement, trois heures plus tard, les mines sont beaucoup moins radieuses. En effet, après avoir bien entamé la rencontre, la SIG a subi, hier soir à Nancy, sa 14 ^e défaite de la saison, en s’écroulant en fin de match (88-61). « Je ne sais pas ce qui s’est passé, commente le coach Frédéric Sarre. On est plutôt bien dans le rythme au début de la deuxième mi-temps mais d’un coup, on s’autorise des choses… On prend alors un éclat et je décide de passer en défense de zone. Là-dessus, ils mettent trois tirs à trois points de suite et l’équipe a pris un gros coup de bambou derrière la tête. »
Pourtant, rien ne laissait présager un tel scénario. Même si, pour son retour dans une salle qui ne l’a pas oublié — il a été ovationné lors de la présentation des équipes — Ricardo Greer se faisait voler la vedette dans les premières minutes par Willie Deane. Dans le cinq de départ en lieu et place de John Linehan, le meneur américain du SLUC Nancy donnait en effet le tempo à son équipe qui prenait immédiatement les choses en main (11-9 à la 5 ^e). Bien rentrée dans son match, la SIG n’était pas en reste. Très présent de chaque côté du parquet, Pervis Pasco offrait pour la première fois l’avantage aux siens d’une claquette rageuse (11-12). Si les coéquipiers de Steeve Essart parvenaient à perturber la scintillante attaque lorraine (17-14 à la 8 ^e, 21-21 à la 14 ^e), la bande à Tremmel Darden allait ensuite accélérer dans les cinq dernières minutes. En trouvant enfin de la vitesse dans son jeu, Nancy creusait un premier écart significatif avant de rentrer aux vestiaires : 39-31.
« Une incapacité à tenir le jeu »


Transfigurée à son retour sur le parquet, la SIG remettait pourtant rapidement les pendules à l’heure. Derrière le duo Greer-Giffa, auteur de cinq points chacun, les Strasbourgeois passaient un cinglant 12-0 en moins de trois minutes à une formation lorraine devenue subitement apathique (41-43 à la 23 ^e). Pas pour longtemps. Akin Akingbala sonnait la révolte lorraine et le SLUC renversait la vapeur en signant un 12-2 (53-45 à la 27 ^e). Malheureusement, le calvaire strasbourgeois n’allait pas s’arrêter là. Comme lors de la première période, les Nancéiens parvenaient de nouveau à courir, avec une adresse à trois points retrouvée (quatre shoots réussis de suite par Darden et Grant, par trois fois !) et les Alsaciens étaient relégués à 23 longueurs (73-50 à la 32 ^e).
Cette fois-ci, la partie était définitivement pliée. Devant son public, Nancy déroulait tranquillement son basket face à des Strasbourgeois totalement dépassés (77-52 à la 34 ^e, 88-61, score final). « Ce qui me dérange le plus, c’est l’incapacité à tenir le jeu dans la longueur , souligne Fred Sarre. C’est surtout dommage pour notre saison, pas seulement ce soir (ndlr : hier soir). » C’est sûr, si elle veut participer aux play-offs, la SIG n’a plus beaucoup de joker dans sa manche.


le 03/04/2011 à 00:00 par De notre envoyé spécialOlivier Arnal

L'Alsace

Bon ben sinon la mauvaise nouvelle quand même

"L’info. Linehan à nouveau blessé. Le meneur US s’est fait une entorse à un genou."

Lequel?

Si c'est celui auquel je pense, il est est quasi out pour la saison non?

Je ne sais pas si ça déjà été dit, mais aprés la victoire d'hier soir face à la SIG, le SLUC est officiellement qualifié pour les Plays-Offs: 6 victoires de mieux que le MSB avec le goal average favorable.

Venez désigner le couguar du match SLUC-SIG
http://www.ici-c-nancy.fr/site/SLUC/

non.

YEEEESSSSS...!!! Plusde voix!!! LE LAPIN...LE LAPIN.....Mentions spéciales a VIC et Moussa !!!! :cheers:

Theseus a écrit:

edit : j'ai la permission de 54NancyBoy54 pour aller vanner le forum de la SIG ?

Laisse leur "profiter" dans leur victoire dans la lutte des tribunes LOL

Trés belle bannière

Et trés belle victoire hier soir

5NancyBoy4 a écrit:

Bon ben sinon la mauvaise nouvelle quand même

"L’info. Linehan à nouveau blessé. Le meneur US s’est fait une entorse à un genou."

Lequel?

Si c'est celui auquel je pense, il est est quasi out pour la saison non?

Ce que j'ai vu hier c'était le genou droit.

Un mention spéciale pour les suporters de la SIG qui ont mis une bonne ambiance hier
Je pense qu'ils ont aussi participé à la HOLA lancée pas notre CDS

Et pour la bannière du fofo pour la 300 eme victoire que je qualifie de collective avec une grosse défense et une équipe qui en veut
Le jour et la nuit par rapport à a semaine dernière

source :

http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/8642/Nancy-a-nouveau-seul-deuxieme

Nancy à nouveau seul deuxième



PRO A - 24e journée – 02.04.2011 – 22:40





Vainqueur samedi 88-61 de Strasbourg dans le derby de l'Est, Nancy reprend seul la deuxième place suite à la défaite de Chalon 65-73 sur le parquet de Gravelines-Dunkerque. Battu 66-89 à Limoges, le Paris Levallois ne compte plus qu'une victoire d'avance sur le CSP et Vichy, vainqueur de l'Élan Béarnais 79-68. Poitiers est venu à bout de Roanne 80-77.


*Nancy bat Strasbourg : 88-61


Un 16-0 au début du dernier quart-temps a permis à Nancy de prendre définitivement le large grâce à l'adresse de Kenny Grant, qui a totalisé 18 points à 4/8 à trois-points. Willie Deane a cumulé 18 points et 11 passes pour Nancy, Victor Samnick a ajouté 17 points et 10 rebonds, et Akin Akingbala 15 points et 10 rebonds. Le SLUC évoluait sans Stephen Brun, et a perdu John Linehan en cours de match, ce qui ne l'a pas empêché de remporter un cinquième succès en six matches. Quatrième défaite en déplacement de suite pour Strasbourg. Ricardo Greer a terminé à 15 points et 6 rebonds, et Pervis Pasco à 10 points, 6 rebonds et 4 passes.

Je viens de rentrer sur Nancy et je viens d apprendre que jLinehan est encore blessé ??

Sérieux c est abusé, il a manqué combien de matchs ?? C est grave ?? Ses blessures à répétition ça commence à être lourd'......

sebfromnancy a écrit:

Je viens de rentrer sur Nancy et je viens d apprendre que jLinehan est encore blessé ??

Sérieux c est abusé, il a manqué combien de matchs ?? C est grave ?? Ses blessures à répétition ça commence à être lourd'......

Ah bah oui c'est vrai que c'est pas comme s'il faisait exprès de se blesser...

bubu54 a écrit:

5NancyBoy4 a écrit:

Bon ben sinon la mauvaise nouvelle quand même

"L’info. Linehan à nouveau blessé. Le meneur US s’est fait une entorse à un genou."

Lequel?

Si c'est celui auquel je pense, il est est quasi out pour la saison non?

Ce que j'ai vu hier c'était le genou droit.

Un mention spéciale pour les suporters de la SIG qui ont mis une bonne ambiance hier
Je pense qu'ils ont aussi participé à la HOLA lancée pas notre CDS

Et pour la bannière du fofo pour la 300 eme victoire que je qualifie de collective avec une grosse défense et une équipe qui en veut
Le jour et la nuit par rapport à a semaine dernière

Au retour des vestiaires au début de seconde mi temps, John discutait avec Giffa (car apparemment c'est sur un block du balourd que John c'est fait mal), il lui montrait l'intérieur de son genou gauche
mais bon , on se demande s'il en a encore un état

Si c'est sur un écran, on peut espérer qu'il ne s'agisse que d'un choc.

Il a quand même rejoué quelques minutes en seconde période, ce n'est peut-être pas si grave que ça...

Si c'est juste une entorse au genou,John sera absent encore 2 semaines minimum.

Il a fait un passage aux vestiaires, puis est revenu, sans boiter (il n'a d'ailleurs pas boité du tout samedi soir sur le parquet). Il a même rejoué par la suite.

Bon, je pense qu'il ne faudra pas tirer sur la corde, et le laisser se reposer, tranquillement. De toutes façons, pour qu'il joue bien, il faut qu'il soit à 100%. Sinon, il ne fait que pénaliser le collectif.

BOn ben j'allais répondre mais tu m'as enlevé les arguments du clavier.

Oui, si John joue en se retenant, il n'apporte rien. hier on l'a encore vu. Il a joué en retenue et le SLUC a été.... Très médiocre.

Quand Deane a à nouveau assumé le rôle de meneur, le SLUC s'est envolé.

Il a quand même pas de chance avec Gentilly notre John....

Theseus a écrit:

edit : j'ai la permission de 54NancyBoy54 pour aller vanner le forum de la SIG ?

en tout cas ton "pote", notre "pote" devrais-je dire, t'y attend
visiblement tu lui manques

SLUC Nancy Basket
Jean-Luc Monschau, de l'industrie au basket

Par Pierre TARIBO • Journaliste de La Semaine • 03/04/2011 à 14h28

Ingénieur chimiste l’entraîneur du SLUC sait trouver la bonne formule pour faire gagner son équipe.
Sur le bord du parquet, Jean-Luc Monschau ne met jamais sa langue dans sa poche. La passion fait partie du métier d'entraîneur de basket qui motive, recadre ses joueurs lors de chaque temps mort, houspille parfois les arbitres. Alors on le voit agiter les mains tel un chef d'orchestre exalté, gesticuler le corps dressé comme un orage ou contenir à grand peine les débordements à mettre au compte des tempêtes, des émotions, des frénésies passagères mais intenses de la haute compétition.
Premier poste d'entraîneur à Mulhouse en 1985
Dans la vie il est plutôt un homme discret, apaisé, sortant peu de lui-même dont on apprécie les finesses d'esprit et de langage. Jean-Luc Monschau à 59 ans et plusieurs vies mais ses plus lointains souvenirs le ramènent au sport. Il passe une belle enfance à Mulhouse près de parents qui l'initient à tous les jeux de balle. Une période qu'il évoque toujours avec tendresse. Très tôt, le basket envahit tout. « Au niveau de la famille on ne parlait que de ça. Mon père était un bon joueur, mon parrain entraînait toutes les équipes de Mulhouse des plus jeunes jusqu'à l'équivalent de la Pro B d'aujourd'hui, ma tante était championne de France. »

A cette époque manier la balle orange est un simple plaisir, pas un métier. D'ailleurs il est prié de faire des études et si possible de les réussir. « Papa m'a dit le sport c'est pour le plaisir, l'avenir se prépare en faisant des études. Alors que j'étais en classe préparatoire, j'ai renoncé à jouer à Strasbourg qui était en première division. » Diplôme d'ingénieur en poche, il devient assistant à l'école de chimie où il prépare une thèse. Aucune urgence ne le pousse mais l'imprévu le propulse rapidement au cœur des choses et du monde du travail. « Une porte s'est ouverte dans l'industrie. Pendant 15 ans j'ai été responsable de production dans une usine à Mulhouse. » De là vient sans doute son esprit de synthèse, la manière rationnelle dont il aborde chaque problème, la rigueur du scientifique alliée à l'habileté du stratège améliorant les synchronismes et créant la confiance.

Il plonge dans la vie active mais ne s'écarte pas du basket. « En 1985 je suis devenu entraîneur de l'équipe de Mulhouse tout en continuant mon job d'ingénieur. » Il démarre en Pro B, hisse aussitôt le club en Pro A, gagne le tournoi des As en 1989. « Mon frère Christian était joueur et moi entraîneur. Nous avons disputé la Coupe des coupes, nos adversaires n'étaient autres que le Real Madrid, Salonique et le Partizan Belgrade. Je devais prendre des congés tous les 15 jours en milieu de semaine pour les déplacements. Comme on s'est qualifiés à nouveau pour une coupe d'Europe, j'étais devant un choix. S'occuper d'une usine et d'une équipe en même temps, ce n'est pas très pratique. A partir de 1990 je suis devenu entraîneur professionnel. »
Un féru des chiffres et des statistiques
Il change d'horizon, oriente différemment son existence, « vit un peu plus dans ses valises » s'installe définitivement dans ce milieu qu'il connaît et redécouvre. Attaché à l'opéra, il n'est pas un entraîneur lyrique mais un être exigeant qui pense que les virtuoses ont aussi besoin de travailler. Déjà, il se repaît de statistiques d'après match, car seuls ces chiffres lui confirment si la partie a été bonne.

A Mulhouse il se prépare à effectuer un travail au long cours, « une carrière à la Guy Roux » accrochée à ses racines. Mais les événements en décident autrement. En proie à d'énormes difficultés financières les dirigeants alsaciens tirent le rideau. Jean-Luc Monschau pourrait rester tranquille, célébrer ses retrouvailles avec la chimie. Il préfère partir au Mans où il participe activement au sauvetage d'une structure en perdition.

Ensuite ce sera Dijon, Saint-Brieuc, Le Havre, Gravelines et enfin Nancy où il effectue sa septième saison. « Ce qui correspond plus à ma démarche de longue durée. Je me bats au service de mes couleurs. Je ne profite pas d'une année de bons résultats pour rebondir ailleurs. Je préfère m'engager à long terme. »
Sacré champion de France en 2008
Au SLUC Nancy, il assouvit sa passion forcenée, obsessive pour un jeu maîtrisé où les bases défensives ne sont pas une fin en soi mais la rampe de lancement d'un basket spectaculaire. Dans son sillage l'équipe escalade des sommets. Trois défaites en finale du championnat auraient pu faire croire qu'il était abonné aux lapsus terminaux, aux actes manqués. Il est reparti plus déterminé que jamais et a fini par accrocher le trophée.

Certains qui ne l'aiment pas, disent qu'au SLUC il est beaucoup plus qu'un entraîneur. Lui répond tranquillement qu'il n'outrepasse jamais sa mission dont les critères et les boussoles sont simples : fidélité et loyauté envers son président Christian Fra auquel l'unissent des relations très fortes d'estime, de respect et d'amitié. « Ce n'est pas un président qui se la joue. C'est un homme de simplicité et de droiture. Quant à mon rôle, il est celui d'un cadre. Christian Fra est arrivé comme quelqu'un de neuf dans le basket. Il a eu l'intelligence d'écouter son cadre technique comme je le ferai si j'arrivais dans une entreprise qui a une spécificité. Il est à l'écoute ce qui est normal mais c'est lui le patron. »

Un entraîneur perçoit le caractère de ses troupes, joue sur des ressorts comme l'orgueil, la fierté, la sensibilité. Avec Jean-Luc Monschau jamais d'insultes, d'agressivité. En bon chimiste il a trouvé la meilleure formule pour éveiller des complicités, créer une harmonie, faire d'une collection d'ego de vrais partenaires. Pourtant n'allez pas croire que son quotidien se résume à un gros travail de fignolage pour préparer les corps et les esprits à la fièvre du samedi soir.
Féru de vins et de la bonne nourriture
Chez lui, l'essentiel c'est le reste : l'humain, ses moues gourmandes d'amateur de bonne chère et de jolis crus qu'il savoure sans excès, son goût pour la musique, les musées, les livres, les voyages. « J'accompagne et je rejoins ma femme dans ses loisirs préférés. J'ai la chance d'avoir un guide pour mener une existence différente quand je suis sorti du sport. »

On le sait amateur de bons vins. Il se dépeint plutôt comme quelqu'un qui aime la vie, les moments de partage, de convivialité. « Dans un contexte de rencontre, c'est un plaisir de trouver la bonne bouteille qui va avec le plat préparé par votre épouse mais je ne suis pas collectionneur de grands crus, je n'ai pas le temps. »

Puis de retour sur le parquet, il se replonge dans le jeu avec un seul objectif, enrichir la moisson de victoires. « Il ne faut pas se voir trop beau. On est deuxième mais tout peut changer. Voyez Roanne actuellement en difficulté après avoir pratiqué un basket magique durant la première moitié de la saison. On est vite ramené à la modestie. »
En sport aussi la roche Tarpéienne est près du Capitole. Jean-Luc Monschau ne l'oublie jamais.

http://www.lasemaine.fr/2011/03/25/jean-luc-monschau-de-l-industrie-au-basket

Corpus Christi a écrit:

Oui, si John joue en se retenant, il n'apporte rien. hier on l'a encore vu. Il a joué en retenue et le SLUC a été.... Très médiocre.

Quand Deane a à nouveau assumé le rôle de meneur, le SLUC s'est envolé.

Il a quand même pas de chance avec Gentilly notre John....

Ca pose quand même la question de comment gérer un retour en forme à 100% de ses moyens de capt'ain Jonh dont on aura besoin en pleine possession de ses moyens comme de tout le reste de notre effectif pour les matchs couperet:
_ parce qu'à priori John "a le basket dans le sang", ce qui est une excellente chose pour nous, mais du coup, il aurait peut être un peu tendance à vouloir précipiter ses retours de blessure
_ parce que notre calendrier de fin de saison devrait nous offrir très peu d'occasions de relancer un joueur en douceur / d'avoir un joueur pas à 100% de ses capacités.

Déjà Vendredi, ce sera Paris et au poste de meneur Albicy/Ball ça peut aller vite, mieux vaut être à 100% pour pouvoir les suivre.

D'autant que John est le capitaine de cette équipe.

Linehan, après sa nouvelle blessure (sic), devra reprendre progressivement, avec un temps de jeu réduit.

Du moment que John est à 100% pour les playoffs que cela soit dans un role de 6éme homme de luxe ou bien comme meneur titulaire,on à besoin de lui.

Sous pretexte que Deane flambe et que l'équipe tourne bien certain voudrait déja voir John en 8éme homme à son retour par peur qu'il désorganise le jeu de l'équipe

On parle de John Linehan quand méme,il traverse une période difficile mais il est pas foutue,ça reste l'un des 3 meilleurs meneur de Pro A,et méme si Deane est trés rapide,Linehan reste lui aussi un sacré dragster malgrés ses blessures au genou,le jeu rapide du Sluc ne sera que meilleur avec Linehan à 100% et un Deane affirmant son nouveau statut.

Linehan est le meilleur défenseur de Pro A. Mais on parle aussi du jeu offensif, où il excelle beaucoup moins, même s'il est bien meilleur qu'à son premier passage au SLUC. Il faut tout de même avouer que Deane apporte un soupçon de talent offensif (passes, drives, scoring) en plus par rapport à John, du boost aussi. Les deux sont complémentaires en fait. Voilà pourquoi lorsqu'il sera complètement remis, Linehan ne doit plus jouer 35 minutes par match comme avant, c'est beaucoup trop et ce serait néfaste pour ce "nouveau" collectif qui s'est forgé en son absence.