[ProA - J24] SLUC Nancy bat Strasbourg IG, 88-61 (39-31)

Brun blessé je pense.

Ca fait une bonne opération au classement avec les défaites de Roanne et Châlon

Ju a écrit:

Et Brun, il passe après les espoirs ou il est blessé?

Faut demander à "cumulus" apparement il le connait très bien...

Et un petit 113 à 53 à l'éval

Ju a écrit:

Ca fait une bonne opération au classement avec les défaites de Roanne et Châlon

Une victoire de l'asvel mardi pour le match en retard contre graveline et ce serait parfait!

tony parker a écrit:

Ju a écrit:

Ca fait une bonne opération au classement avec les défaites de Roanne et Châlon

Une victoire de l'asvel mardi pour le match en retard contre graveline et ce serait parfait!

Ca pourrait en effet être pas mal au classement, mais non, allez Gravelines, jamais OH NON JAMAIS je ne souhaiterai une victoire de l'ASVEL!

ENORME MATCH du Sluc ! :cheers:
Je crois que le staff strasbourgeois va devoir repayer un déplacement à ses supporters

Autant la semaine dernière, le sluc était limite pitoyable, autant ce soir il a été divin.
Une première MT vraiment très moyenne, mais alors une 2ème MT formidable.
Collectivement, c'était vraiment très très bon, individuellement, tout le monde a apporté sa pierre à l'édifice (sauf Brun mais bon il nous a pas manqué... et Johnson qui a été transparent malgré un temps de jeu non négligeable).

Grant a été monstrueux avec une série de 4 paniers primés à la suite je crois, c'était juste énorme. Akingbala énormissime aussi avec un poster-dunk monstrueux sur Lewis (le pauvre avait l'air dégoûté ^^). Samnick très très bon aussi. Darden un peu moins présent au scoring que d'habitude mais avec Ric sur le dos, c'est forcément plus dur. Badiane a été aussi très bon et malgré un début de saison poussif, il prouve qu'il est vraiment une bonne rotation à Akin.

Pour finir, Deane a vraiment été monstrueux aussi, présent dans tous les compartiments du jeu. C'est peut-être triste à dire mais depuis que Linehan s'est blessé, je trouve qu'il a vraiment pris une autre envergure et qu'il assure vraiment poste 1. D'ailleurs, vu la dynamique actuelle, je serais pas contre de garder ce schéma de jeu avec le virus en back-up.
D'ailleurs à propos de Linehan, il est clairement pas encore totalement remis de sa blessure, en 1ere MT, il avait visiblement mal au genou et on sentait qu'il jouait sur la retenue.

Le seul point noir ce soir (il en faut bien un, rien n'est jamais parfait ), c'est le nombre incalculable de LF loupés

Sinon Brun blessé ou choix de JLM?

Bim bam badaboum!

Bien fait! (pour le coup de l'orthographe)

Bienvenue sinon^^

Hé bien voila une bonne victoire. Et pour la 1ère fois depuis bien longtemps : avec un ECART significatif. Bon ça ne fait que le même nombre de points à l'arrivée mais au moins on repose les cadres.
Badiane, Samnick et Akin ont multiplié les contres et verrouiller la raquette après la pause. Et Grant, quand ça veut bien rentrer :cheers:
Deane, j'adore j'adore j'adore...

Enorme match !
A 45-45 on venait de prendre un 13-2 dans le 3eme.
Et la le SLUC a tout bloqué, la SIG ne pouvait plus rien marquer.
Par contre notre jeu rapide faisait le bonheur de la salle.
On a alors passé un 25-5 voir plus ....

Et Kenny a sortie la boite à 3 points
Gros collectif en défense, et belle équipe, le 5 et le banc


Par contre mauvaise nouvelle.
Le genou de John semble ne pas être guéri
Il a eu mal sur une action et ensuite il est parti avec le medecin.
Il est quand même revenu au retour de la mi-temps, mais je suis inquiet pour son genou!

Très bonne opé' de nos cougars ce soir. Rapport aux autres résultats. On assure, on assure. Doucement mais sûrement

Malgré notre Tremmell en decà depuis deux matchs, force est de constater que la team a de la ressource!

J'ai, comme beaucoup d'autres, adoré Deane.

Ce mec apporte de plus en plus match après match.

One more time, quid pour l'année prochaine? Dans nos tablettes? I hope so.


Sinon mention également à Samnick et au préciosissime Kenny Grant.

Au passage Rash' c'est bien Kenny et non Kenneth apparemment vu que c'est censé marqué la filiation vis a vis de Kenneth senior (c'est lui qui le dis, j'y suis pour rien^^).


Bonne soirée à tous!

Et vive not' Sluc!

Je reviens du match...

5029 spectateurs dont les 200 strasbourgeois qu'on a beaucoup entendu au début puis lors du début de 2ème mi-temps quand la SIG nous a mis un sévère 12-0 passant de 31-41 à 43-41...
Là, on a eu un peu peur mais bon le SLUC a très rapidement remis les choses en place pour remporter fnalement ce troisième quart-temps.
On avait vu un Nancy appliqué avec Deane à la mène car effectivement John n'a joué que 14 minutes et est très loin de son niveau !
Grant avait commencé la rencontre en ratant deux shoots avec deux belles positions... et d'ailleurs Nancy ne tentait quasiment rien à 3pts depuis ces deux échecs initiaux... Johnson ratait lui aussi ses deux tentatives... jusqu'à ce que Tremmel du corner réussisse (enfin) un triple ! Et puis ensuite cela a été le festival Kenny Grant. Proprement incroyable, un puis deux très rapidement. Un troisiène assez incroyable qui montrait que le basket était un sport où la confiance avait une grande importance, et enfin un quatrième...
84-54 au score, les strasbourgeois étaient écoeurés et baissaient clairement les bras. Jeanneau n'avait pas arreté de "pleurer" (comme à son bhabitude me direz vous) auprès des arbitres, Giffa et Pasco faisaient aussi de grosses fautes, rien n'y faisait. Le SLUC remportait ce match de la plus belle des façons.

Tous les joueurs (hormis peut-être Johnson quoiqu'il ait fait une bonne défense sur Ricardo un moment) sont à féliciter.
J'ai un petit doute sur la forme de Tremmel en nette baisse offensive depuis la deuxième mi-temps du Mans suite à son problème de pied.
Et j'ai une grosse inquiétude pour John Linehan qui n'est pas encore remis... ou alors, le staff le fait revenir doucement afin qu'il ne brûle pas trop vite les étapes ?

Bref belle victoire rassurante au moins sur l'envie et le collectif, après le triste match de la semaine passée.

Avec les défaites de Chalon et Roanne, nous sommes toujours bien accroché à notre deuxième place.
Prochain match, vendredi 8 avril à Paris, où il faudra essayer d'enchaîner : ce serait trop bon !

Trés bonne opération,le Sluc est maintenant seul 2éme,malheureusement si notre meneur titulaire n'est pas complétement remis,il souffre toujours et aprés 1 bon mois d'arret c'est plutot inquiétant.

2 cas de figure:

1/Le Virus se remet doucement mais surement de sa blessure et revient en pleine forme pour les playoffs,on pourrait alors étre un sérieux candidat au titre.

2/Linehan déclare définitivement forfait pour le reste de la saison,méme si on s'en sort trés bien sans lui son apport reste non négligeable,c'est quand méme le meilleur défenseur de Pro A,meilleur intercepteur et 3éme passeur,ce n'est pas rien.

J'espére qu'il va revenir rapidement en forme

Nancy seul deuxième... Pas tout à fait vrai.
Gravelines et le SLUC comptent le même nombre de défaites (7).
Le BCM joue son match en retard mardi.


Sinon, match super plaisant. Du rythme, du spectacle, de gros shoots dans le dernier quart, de l'arbitrage maison, une bonne ambiance. Deane c'est quelque chose. Johnson avec du temps de jeu est vraiment décevant. Ah si cette équipe comptait un serial shooter de métier ( ). En même temps, j'ai pas l'impression qu'on ait des masses de systèmes pour ce brave Terrence.

J'espère que Linehan se remettra de sa blessure, on a vraiment peiné quand il était sur le terrain. Le jour et la nuit avec Deane qui accélère le jeu quand Jonh le ralentit.


edit : j'ai la permission de 54NancyBoy54 pour aller vanner le forum de la SIG ?

ENFIN une vraie victoire convaincante à Gentilly.

Ce qui m'a beaucoup plu dans le match de ce soir, c'est le comportement défensif de toute l'équipe. Ils ont défendu le fer quasiment tout le match (sauf un peu au début et aux retours des vestiaires, comme d'hab). Les strasbourgeois n'avaient guère de solutions et Ricardo Greer était obliger de tout faire tout seul. D'ailleurs pas mal de possessions de la SIG se sont terminées sans shoot au bout de 24 secondes. Et tout ça sans John Linehan ou presque. Comme quoi, l'équipe est capable de défendre fort sans lui. Après, il faut avouer qu'en face, la SIG était quand même bien pâle. Justin Hawkins, un bon joueur, semble totalement perdu et on comprend comment cette équipe a pu s'en prendre 60 à Orléans.

Mais c'est tout de même satisfaisant de voir le SLUC enfin réussir à creuser un écart pour de bon et repousser définitivement l'adversaire. Nancy a été porté tout le match par un gros Victor Samnick, libéré de la concurrence de Stephen Brun blessé et qui a pu s'installer dans le match, ainsi que par Willie Deane, énorme dans la percussion et dans les passes décisives. Deane a vraiment de sacrées cannes et un gros talent, dommage qu'il soit parfois trop discret, mais là il a régné sur le match, très facile.

Akingbala a été monumental aux rebonds et Grant aux shoots, avec une série hallucinante en seconde MT. A noter, encore, l'excellent match de Moussa Badiane (2 très beaux contres) qui s'il "ne sait pas poser des écrans" selon certains forumeurs, a pour lui une mobilité qui lui permet d'engager vite vers le cercle après l'écran et de recevoir la balle en mouvement. Le public a encore scandé "Moussa, Moussa". Darden en dedans mais je pense qu'il est encore diminué physiquement. C'est intéressant de voir que le SLUC réalise son plus gros écart de la saison "sans lui".

Et sans Linehan, qui s'est refait mal au genou. Est-il revenu trop vite, une fois de plus? En tout cas son cas posera problème car l'équipe a globalement mieux joué sans lui qu'avec lui, et les cartes ont été redistribuées. Je pense qu'il devrait finir la saison en jouant moins qu'avant (fini les 35 minutes) et sortir du banc pour éteindre le mec en face lorsqu'il sera à 100%. En espérant que son genou tienne, ce qui n'est pas gagné.

Ce qui est encore mieux c'est sue le sluc gagne sans que Darden et Linhean n'est du sortir un match de folie comme on a souvent l'habitude de le voir, très belle operation

Yep. Je pense aussi que John Linehan va tenir ce rôle de remplaçant de luxe, spécialiste de la défense. Mais lorsqu'il n'est pas à 100% de ses moyens physiques, il peine vraiment, notamment en situation offensive. Willie Deane et Kenny Grant sont désormais bien installés à ce poste, et sont saignants, décisifs.

Finalement, on va se répéter, mais la blessure de John Linehan a fait un grand bien au collectif nancéien, qui désormais peut jouer avec l'intégralité de son banc ; tout le monde apporte au moins quelque chose. Chacun s'est responsabilisé.

Et on apprend désormais à jouer sans vouloir à tout prix servir Darden, aussi. C'est un autre bon point.

À noter la belle ambiance générale au Palais des Sports hier soir. Un semblant de play-offs avant l'heure, avec les supporters de la SIG d'un côté, et ceux du SLUC de l'autre.

+27 malgré un trou d'air (0-12 en 2 minutes !) dans le troisième quart temps, donc la balance a été directement rééquilibrée par rapport à la semaine passée en Bourgogne. De plus, Chalon a perdu, tout comme Roanne. Une belle soirée donc.

Avec un bilan de 17 victoires pour 7 défaites, le SLUC Nancy réalise toujours sa meilleure saison dans l'élite.

Un final en récital...



Basket-ball Amoindri par les blessures de Brun et de Linehan, le SLUC a encore trouvé les ressources pour faire la différence. Avec Deane à la baguette et Grant à la finition. Superbe ! Nancy. À la pause, la SIG avait rallumé sa chaudière. Depuis deux minutes trente...


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Avec 28 d’évaluation et 11 passes décisives, Willie Deane a su prendre ses responsabilités au moment où les Nancéiens comptaient ses blessés. Photos Patrice SAUCOURT
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Amoindri par les blessures de Brun et de Linehan, le SLUC a encore trouvé les ressources pour faire la différence. Avec Deane à la baguette et Grant à la finition. Superbe !



Nancy. À la pause, la SIG avait rallumé sa chaudière. Depuis deux minutes trente, dans le troisième quart-temps, la loco de Ricardo et ses copains, partis au diesel, fumait enfin à plein régime. D’un panier intérieur, Pasco avait même actionné les manettes d’aiguillage. À l’Est, toutes !

Cette fois, Strasbourg avait bien mis le cap sur l’exploit du jour (41-43, 23e) d’autant que Brun, le dos bloqué et Linehan, les genoux bandés comme une momie (petite entorse du genou ?), n’étaient plus que des passagers pour l’infirmerie.

Amoindri, le SLUC était à quai. Et on se demandait comment et avec qui, il pourrait reprendre sa route.

Heureusement, Samnick, en bleu de chauffe (25 d’évaluation), était au charbon. Heureusement Akin Akingbala, allait sortir une deuxième mi-temps d’homme fort (15 pts, 10 rbds).

Mais pour changer la trajectoire du match, pour retrouver de l’élan, de la vitesse, il fallait bien un TGV américain, spécialement venu de Bulgarie, du nom de Willie Deane pour changer l’itinéraire du voyage (55-47, 28e).

Multipliant les drives, les inspirations, les actions d’éclats, il aura été l’homme du match (18 pts, 11 passes): « il a été très performant. Non seulement, il a réussi ses lay-ups mais il termine avec 11 passes pour seulement 2 balles perdues » dira Jean-Luc Monschau.

Et comme le basket n’est décidément pas un sport comme un autre, c’est à trois points, derrière la ligne des 6,50 m, là où le SLUC était capot depuis le début du match (0/9) que l’aventure nancéienne du jour, se termina en apothéose.

Un cinq sur cinq à trois points signés Darden et surtout Grant, qui mit Gentilly en éruption. Le volcan nancéien engloutit définitivement l’équipe de Ricardo Greer abandonné cette fois, à son triste sort.Défensivement présents

Jusqu’à la mi-temps (39-31), le SLUC avait réussi à tenir la boutique grâce à sa superbe défense, grâce à sa débauche d’énergie, grâce aussi à Willie Deane, Victor Samnick et Moussa Badiane bondissant sous le cercle.

La bonne nouvelle était venue des avocats nancéiens de la défense. Le SLUC n’avait pris que 31 points, Ricardo Greer lui n’avait réussi qu’un petit panier au cours d’une première mi-temps où Nancy privé de Brun (lombalgie), s’était à nouveau rongé les ongles en voyant Linehan, loin de son meilleur niveau surtout en défense, rentrer aux vestiaires en traînant la patte (15e).

Quant à Akingbala, il avait déjà pris sa seconde faute dans un match où le SLUC privé des points de Darden qui s’était attaché aux basques de Ricardo Greer, attendait toujours son premier panier primé à la pause (0/8).

On ne se doutait pas Kenny Grant attendait tout simplement son heure. Le justicier suédois, avait réglé son colt à trois coups sur la 31e minute. Il allait régler en quatre minutes le sort de la bande à Ricardo. Epique et magique !

Gilles GAIHIER



Est republicain

Le festin après la disette



Nancy. C’est bien connu, l’adresse, ça va, ça vient. Mais quand elle vient, ça va forcément mieux... Le SLUC Nancy pourra écrire une thèse sur le sujet. Pendant trois quart-temps, le club nancéien a dégoupillé dans les grandes largeurs derrière la ligne des trois points...


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A l’image de Kenny Grant, auteur de quatre shoots bonifiés, le SLUC a réussi un festival à 3 pts hier dans le dernier quart rentrant cinq tentatives de suite... Et dire que les Nancéiens avaient débuté le quart-temps sans avoir rentré un seul tir à 3 pts...



Nancy. C’est bien connu, l’adresse, ça va, ça vient. Mais quand elle vient, ça va forcément mieux... Le SLUC Nancy pourra écrire une thèse sur le sujet. Pendant trois quart-temps, le club nancéien a dégoupillé dans les grandes largeurs derrière la ligne des trois points, ratant systématiquement la cible. Neuf tentatives, zéro dedans et ce vieux spectre du zéro pointé qui commençait à planer sous les cintres de Gentilly.

Et puis, Tremmell Darden, plus discret que d’habitude, prit une dixième cartouche au tout début du dernier quart-temps alors que le SLUC Nancy comptait onze points d’avance.

Et vous savez quoi ? La cartouche finit enfin dans le cercle et le match changea complètement d’âme. L’Américain ne le savait pas encore, mais il venait de donner le top départ d’une folle sarabande...

Alors que Strasbourg avait décidé de passer en zone en voyant que cette équipe nancéienne était partie sans laisser d’adresse extérieure, le SLUC se mit à tout rentrer derrière la ligne. «Quand on rate ses neuf premières tentatives...»

Après avoir débuté par un 0/3 derrière la ligne, Kenny Grant dégoupilla une grenade, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième, avec à chaque fois la même réussite. «On avait eu des tirs ouverts vraiment ouverts auparavant, mais cela ne rentrait pas...» commentera Kenny Grant après coup, «mais la balle circulait bien, il y avait du rythme, et on a commencé à rentrer les shoots. Et quand on rate ses neuf premières tentatives, on se dit toujours qu’on va mettre la dixième...».

C’est ce qui s’est passé. Et en l’espace de six minutes, le SLUC a réussi un invraisemblable 5/5 à 3 pts. Quand le festival de tirs à 3 pts nancéiens se termina, Strasbourg pouvait constater l’ampleur des dégâts. L’écart était passé de +11 à +28 (61-50, 82-54) et le match avait définitivement basculé dans l’escarcelle des Nancéiens. Pas sûr que beaucoup dans les gradins de Gentilly auraient imaginé que la disette nancéienne à 3 pts se transforme en un tel festin...

Anthony GUILLE



Est republicain

Le derby de l’Est

CONCURRENCE. Entre ASNL - Bordeaux, les deux matchs de la ligue professionnelle de volley : Nancy - Martigues et Vandœuvre (F) - Le Cannet, le premier week-end de la grande fête foraine de Nancy sous une température estivale et Dany Boon au Zénith, ce derby de l’Est ne manquait pas de concurrence. Et pourtant, Gentilly était copieusement garni à l’heure du coup d’envoi. Un derby reste un derby. Celui de l’Est surtout….


ESPOIRS. Nouvelle victoire des espoirs (85-79) qui joueront une partie décisive pour le titre le week-end prochain à Paris contre l’autre coleader du championnat. Ils ont souffert (65-66, 32e), ont douté mais jamais lâché dans une rencontre où l’adresse alsacienne et le pivot Trautmann ont failli faire basculer la rencontre. Mais avec l’adresse de Thalien et surtout de Pinda (4/5 à trois points), le SLUC a su faire la différence.

Les marqueurs du SLUC : Sene 9; Kurtic 4, Wachowiak 10, Thalien 18, , Emanuely 9, Syllla 11, Pinda 19 et Pinthiaux 5

RICARDO. C’est la première fois depuis octobre 2007 que Ricardo Greer MVP 2010, champion de France 2008, portait un maillot visiteur sur le parquet de Gentilly. Interrogé avant le match et malgré toutes les sollicitations de ceux qui ne l’ont pas oublié, Ricardo a avoué « ce n’est pas un match comme les autres. Surtout avant et après. J’ai gardé beaucoup d’amis à Nancy où j’ai joué avec mon frère »

SUPPORTERS. Déplacement à Paris vendredi prochain 8 avril (date limite d’inscription le 2 avril) pour 25 € pour adhérents et 40 € non-adhérents (transport aller : retour + billet d’entrée au palais des sports). Renseignements à la boutique des supporters. Le club des supporters organise également un loto le 15 avril avec de nombreux lots à gagner, à la salle Ropartz (avenue de Boufflers). Tel : 06.47.01.22.65




Est republicain

« Un gros travail défensif »



« Un gros travail défensif » Jean-Luc Monschau : «Ca a été un match étrange. On a su limiter Strasbourg à 61 pts alors que cette équipe tournait à 82 pts sur les cinq derniers matches. Il y a eu un gros travail défensif de tout le monde, les joueurs se sont battus un peu plus...


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Sport Lorraine : Nancy le 02 Avril 2011 : Basket Pro A. Match Sluc Nancy - Strasbourg Entraineur du Mans : Frédéric Sarre Photo P.Saucourt.
Jean-Luc Monschau : «Ca a été un match étrange. On a su limiter Strasbourg à 61 pts alors que cette équipe tournait à 82 pts sur les cinq derniers matches. Il y a eu un gros travail défensif de tout le monde, les joueurs se sont battus un peu plus. On redevient seuls deuxièmjes mais il reste six journées».



Victor Samnick : «Il fallait rebondir par rapport à notre défaite samedi dernier et on a bien réagi. On n’était pas inquiets quand Strasbourg a mené 43-41 en deuxième mi-temps car on s’est vite rattrapés. C’est une belle victoire».

Tremmell Darden : «On a su limiter leurs contre-attaques et c’était une des clés. Personnellement, je me suis un peu sacrifié pour le collectif, mais on a eu une contribution de tout le monde ce soir (lire hier soir). Mon duel avec Ricardo Greer ? C’était une bataille difficile car c’est un excellent joueur. Mais je pense avoir limité son impact au rebond offensif puisqu’il n’en prend que deux».

Frédéric Sarre (entraineur de Strasbourg, en photo): «On a débuté le match de manière cohérente mais il aurait fallu qu’on le soit un peu plus longtemps. Quand on est passé en zone, Nancy nous a mis trois paniers à 3 pts de suite et on a subi comme un coup de bambou ».

Ricardo Greer (Strasbourg) : «C’était un match difficile. On tient jusqu’à 41-41 puis le match nous échappe. Le SLUC a alors mis des paniers à trois points et en contre-attaques et on a perdu le fil. Les play-offs ? Ce sera compliqué. Mais concentrons-nous sur le prochain match face à Cholet».



Est republicain

SLUC, la mise au point
La belle résistance strasbourgeoise a fini par exploser en cinq minutes. Nancy voulait trop ce succès.

Une soirée fructueuse pour ces Lorrains méchamment punis voici une semaine par Chalon et de nouveau au sommet de leur motivation dans ce derby plus indécis que ne l’indique ce score flatteur.

Leur esprit de conquête a fait oublier les physiques atteints de Brun et Linehan, pour récupérer cette deuxième place, les Bourguignons de Greg Beugnot ayant perdu le Nord à Gravelines. Pas de doute, Nancy continue de tenir le haut du pavé hexagonal.

Il fallait s’y attendre. On avait droit au choc des rois de Gentilly : celui du passé (Ricardo Greer) et celui du présent (Darden). La défense du Dominicain mettait l’artilleur vedette du SLUC dans un sale état. A s’annihiler, les stars ne déclenchaient pas l’élan offensif souhaité avant que Deane ne prenne les choses en main. Mais Strasbourg répliquait à chaque effort de Nancy. D’où un équilibre quasi parfait (11-11, 19-19). Même l’entrée en jeu de Linehan n’entraînait pas les effets escomptés. Le SLUC se contentait de lâcher les chevaux, se reposant sur du jeu rapide et de premières intentions. Un rythme alerte qui n’était pas sans gâchis.

Les Alsaciens ne perdaient pas la tête dans ce tournis. Les anciens, Jeanneau ou McCord, veillaient à refuser la panique. Seule une adresse soudaine aurait pu éclairer les débats, souvent brouillons dans la mesure où tout se passait sous les cercles avec abondance de percussion et de provocations physiques.

Le SLUC sort du nid
Nancy tentait, en vain, de régler la mire. C’était l’échec total dans les tirs à trois points alors que la SIG, avant le repos, ne pouvait pas davantage frimer avec un peu glorieux 3 sur 16… Donc, place au jeu intérieur. Au choc frontal entre grands.

Le SLUC trouvait plus vite ses aises avec l’entente Akigbala -Deane puis l’association Badiane - Deane, Samnick ne donnant pas sa part au chat. Une fois le 2-2 en quatre minutes pénibles, les Lorrains, toujours sans Darden (un tir sur sept seulement), profitaient du gaspillage de l’imposant Pasco et des prises de risques inutiles de Strasbourg souvent gêné, il est vrai, par la défense active de son rival. Petit à petit, le SLUC sortait du nid. C’est quand les becs sont ouverts qu’il faut les remplir. L’envol n’était pas gracieux ni spectaculaire mais l’équipe de Monschau se constituait un pécule appréciable (+ 10 et 39-31 à mi-chemin) quand il s’agit de gérer la pénurie de tentatives lointaines et l’absence de Brun, sur le banc pour cause de blessure.

Un grand frisson parcourut quand même Gentilly quand la SIG revint avec les meilleures intentions du monde. Ricardo Greer et Giffa orchestraient une avalanche de paniers bas-rhinois. Du grand art au cœur d’une défense nancéienne passive et en retard. La sanction tombait lourdement. Le 2-10 relançait Strasbourg (41-43) mais la formation de Fred Sarre pouvait-elle tenir cette cadence endiablée, pouvait-elle persister dans ce rôle de voleur de ballons… Non, les Alsaciens vivaient au-dessus de leurs moyens. Surtout, ils piquèrent l’orgueil du SLUC qui apportait une réponse franche et massive. Grâce au trio Akingbala, Deane, Samnick, le club lorrain s’offrait un premier KO sous la forme d’un 12-2 puis d’un 20-6 dégoulinant d’autorité à l’image de la supériorité manifestée dans les airs : deux malheureux rebonds en dix minutes pour la bande à Jeanneau.

Strasbourg vacillait, plongeant dans le doute le plus total. Il ne fallait plus grand-chose pour toucher le fond du précipice. Deux éléments tuaient définitivement les visiteurs à court de kilos et d’oxygène : le déchaînement agressif de leur adversaire et la réussite à trois points soudain revenue.

Le miracle avait pour nom Darden dont le troisième panier débloquait ses partenaires. Grant alignait même une série de trois paniers bonifiés. Le 16-0 en quatre minutes s’avérait aussi brutal que définitif (70-50, 35 e). Comment Strasbourg avait-il pu s’écrouler ainsi… Décidément, l’envie de se surpasser et la soif de vaincre n’ont pas de limite dans le camp lorrain !

Alain THIÉBAUT.

Republicain lorrain

Deane en patron

L’homme du match. « Deane a été le détonateur ». Fred Sarre a vu juste. Le meneur américain du SLUC a explosé les compteurs. Presque le match parfait : 8 tirs sur 11, 18 points à 73 %, un 5 sur 5 à l’intérieur, 3 fautes provoquées, 3 rebonds, 2 interceptions, 2 petites balles perdues et surtout 11 passes décisives. Merci qui ?

Le bide. « Darden était dans un mauvais jour. » Même son entraîneur reconnaît que son n°1 a souffert. 7 points seulement (3 sur 10), 1 misérable rebond, 4 passes quand même. La défense de Ricardo Greer a fait des dégâts.

Le chiffre. 0 tir à trois points sur 9 avant un cinq sur cinq dans les neuf dernières minutes. Nancy n’a pas fait dans la régularité… Cinq sur 17 en fin de compte.

Les statistiques. 18 points de plus pour le SLUC dans la raquette, dix points abandonnés aux lancers francs (13 sur 23), 88 % de réussite pour Samnick (7 tirs sur 8) auteur d’un double double : 17 points, 10 rebonds.

L’info. Linehan à nouveau blessé. Le meneur US s’est fait une entorse à un genou.

Les déclarations. Du Nancéien Victor Samnick. « On a montré ce que l’on sait faire. Mais je ne crois pas que c’est notre plus beau visage. On gagne de 27 points et je ne pense pas que c’est le reflet de notre niveau. »

Du coach alsacien Fred Sarre : « On avait engagé le match avec cohérence. Ensuite, en deuxième mi-temps, je ne sais pas ce qu’il se passe, on se permet certaines choses, on subit la pression, on prend un éclat, il n’y a plus de rebond, plus de rythme et sur le passage en zone, on encaisse un 3 sur 3 à 3 points… »

A. T.

Republicain lorrain

Basket-ball / La SIG chute lourdement à Nancy (88-61)
Désintégrés en plein vol



La SIG avait tout à craindre du réveil lorrain, hier soir, à Gentilly. Encore à la hauteur de leurs adversaires en début de seconde période, les Strasbourgeois ont ensuite perdu le fil de leur basket pour littéralement exploser en vol. Willie Deane d’abord, Kenny Grant ensuite ont donné à la défaite alsacienne des allures de punition (88-61).


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Aymeric Jeanneau, face à Linehan, avait bien débuté. Ricardo Greer, au fond, s’est démené en défense . En pure perte. (Photo MAXPPP)


De l’un de nos envoyés spéciaux à Nancy



Frédéric Sarre n’est pas medium. Il n’est pas doté de pouvoirs extralucides, ne se promène pas en permanence avec une boule de cristal sous le bras et ne prédit pas l’avenir dans le marc de café. En revanche, le coach strasbourgeois est un fin connaisseur de la chose basket, de ce qui nourrit ce sport, en alimente les rebondissements aussi. Et son ressenti, en la matière, est souvent pertinent.

A la veille de ce déplacement en Lorraine, l’entraîneur de la SIG redoutait le réveil d’une équipe nancéienne humiliée sur le parquet de Chalon S/Saône, l’Elan se rachetant par la même occasion de sa contre-performance à Limoges une semaine plus tôt. Et cette appréhension avait pris la forme d’un « J’espère que nous ne serons pas le Nancy de Chalon ». La prédiction du coach strasbourgeois s’est hélas vérifiée.
Le SLUC donne l’impression de ne pas en mener large avant de renverser la vapeur



En vertu du principe des vases communicants, la SIG a donc fait les frais du redressement nancéien, hier soir, à Gentilly (88-61). « On ne va pas gagner tous les jours comme ça, lâche Victor Samnick. C’est juste une belle victoire et une réaction par rapport au match de samedi dernier .» Comme un symbole, ce sont d’ailleurs les intérieurs nancéiens, en souffrance sur le parquet bourguignon, qui ont montré la voie à suivre (32 points et 20 rebonds pour le duo Akingbala – Samnick).

Les événements ont donné raison à Fred Sarre, mais pas tout de suite. La SIG a en effet entamé ce match de manière plutôt convaincante, « avec une forme de cohérence et de maîtrise ». « On aurait dû être capable de le faire un peu plus longtemps, analyse le coach alsacien, mais globalement, on a eu des situations de jeu très intéressantes, presque trop. Par instants, on s’est un peu amusé à se passer la balle .»

Repoussés à dix longueurs dans le deuxième acte, Ricardo Greer et les siens sont revenus au contact en deux temps, trois mouvements et ont même pris les devants (41-43, 24e’). Mais la dynamique alsacienne s’est soudainement et brutalement enrayée. « Derrière, je ne sais pas ce qui se passe, poursuit Fred Sarre. On s’autorise un peu trop de choses, on subit un peu plus la pression et on prend un éclat .»

Sans Stephen Brun, resté sur le banc, privé de John Linehan, touché au genou, et avec un Tremmell Darden bien tenu par ses vis-à-vis (-4 d’évaluation à la pause, 6 au final), le SLUC donne l’impression de ne pas en mener large avant de renverser la vapeur. « C’est un match étrange, reconnaît Jean-Luc Monschau. A ce moment-là, cette équipe de Strasbourg avait vraiment trouvé son rythme et avait le goût du sang dans la bouche. Mais mes joueurs ont élevé leur niveau et il y a eu, dès lors, un acharnement défensif de tous les instants .»

La SIG, qui tournait à 82 points de moyenne lors de ses cinq dernières sorties, s’est retrouvée au pain sec et à l’eau (61 pts). « Il y a eu une volonté sur les replis et au rebond qui nous a permis de lancer du jeu rapide et de retrouver de l’agressivité », poursuit le Mulhousien qui a trouvé, en Willie Deane (18 pts, 11 passes), un parfait détonateur.
« Là, on connaît une forme de rechute. Le vaccin n’a pas été assez fort »



La SIG a bien opté pour un passage en zone, mais celle-ci a volé en éclats sous les coups de boutoir de Kenny Grant (quatre paniers primés dans le dernier acte). L’écart est alors devenu abyssal. « C’est dur parce que l’équipe avait un comportement plutôt intéressant ces temps-ci, déplore Fred Sarre. Un match tenu aurait permis de renforcer l’idée du basket que l’on veut faire. Là, on connaît une forme de rechute. Le vaccin n’a visiblement pas été assez fort .»

Frédéric Sarre, on l’a dit, n’est pas devin. Sa crainte est malheureusement devenue prophétie à Gentilly et elle complique la tâche de la SIG dans la course aux play-offs. A moins que celleci ne fasse payer à Cholet, hôte du Rhenus samedi prochain, la claque reçue hier soir. C’est dans l’air du temps après tout.

Régis Schneider



Les DNA

Retour contrarié pour Ricardo



Malgré sa débauche d’énergie, Ricardo Greer n’a pas réussi son retour à Gentilly. L’ailier de la SIG, concerné en défense sur son vis-à-vis Tremmell Darden, n’a pas brillé offensivement, hormis quelques flashes lors du 3 e quart-temps.

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LEWIS. — 9’45 de temps de jeu ; 5 points ; 2/6 aux tirs (33 %), dont 1/1 à 3 pts ; 1 rebond, 1 interception, 1 faute. Évaluation : 3

Un bon passage en première période pour le pivot alsacien, qui a ensuite terriblement souffert face à la puissance d’Akingbala dans le dernier quart-temps.

M’BAYE. — 25’30 de temps de jeu ; 8 pts ; 3/7 aux tirs (43 %), dont 1/3 à 3 pts ; 1 LF sur 2, 2 rbd, 4 pd, 3 bp, 5 fte. Éval. : 6

Abdou M’Baye s’est montré moins prolifique au scoring que lors de ses dernières sorties. Et le jeune arrière strasbourgeois n’a jamais pu stopper Deane, son vis-à-vis nancéien.

HAWKINS. — 13’30 de temps de jeu ; 3 pts ; 1/7 aux tirs (14 %), dont 1/2 à 3 pts ; 6 rbd, 3 bp, 3 fte. Éval. : 0

Maladroit au shoot, l’ailier US s’est, en revanche, mis au diapason de Greer en défense pour limiter l’impact de Darden.

ESSART. — 15’45 de temps de jeu ; 0 pt ; 0/4 aux tirs, dont 0/3 à 3 pts ; 1 pd. Éval. : -3

Un jour sans pour le meneur strasbourgeois. Grant lui a causé mille tourments lors du dernier quart-temps.

JEANNEAU. — 24’15 de temps de jeu ; 7 pts ; 3/5 aux tirs (60 %), dont 1/3 à 3 pts ; 3 rbd, 2 bp, 1 int, 3 fte. Éval. : 7

Le capitaine strasbourgeois avait donné le ton en début de match, n’hésitant pas à prendre sa chance offensivement. Mais son influence s’est diluée au fil des minutes.

DIGBEU. — 14’30 de temps de jeu ; 0 pt ; 0/3 aux tirs, dont 0/3 à 3 pts ; 2 rbd, 2 fte. Éval. : -1

Le vétéran strasbourgeois, en manque d’adresse, a tenté d’apporter son écot en défense, sans empêcher les arrières lorrains de briller.

GREER. — 36’15 de temps de jeu ; 15 pts ; 6/15 aux tirs (40 %), dont 1/7 à 3 pts ; 2 LF sur 4, 6 rbd, 3 pd, 3 bp, 2 int, 2 ctre, 2 fte. Éval. : 14

Ovationné à la présentation des équipes par son ancien public de Gentilly. Il a livré un beau duel avec Tremmell Darden, contribuant à mettre sous l’éteignoir l’ailier nancéien. En panne d’adresse en première période, forçant parfois un peu trop, Ricardo a retrouvé des couleurs après la pause, impulsant le bref retour de la SIG. En vain.

GIFFA. — 12’15 de temps de jeu ; 7 pts ; 3/6 aux tirs (50 %), dont 1/3 à 3 pts ; 2 rbd, 1 pd, 1 bp, 1 int, 2 fte. Éval. : 7

Discret en première mi-temps, le « Shaker » a réglé la mire après le repos, décochant quelques flèches lointaines. Mais il a tout de même souffert de la comparaison avec Samnick.

PASCO. — 30’15 de temps de jeu ; 10 pts ; 4/7 aux tirs (57 %) ; 2 LF sur 6, 6 rbd, 4 pd, 1 ctre, 3 fte. Éval. : 14

S’il avait face à lui l’un des meilleurs pivots de Pro A avec Akingbala, l’intérieur de la SIG a plutôt bien tenu le choc, se montrant par ailleurs opportuniste en attaque. Mais il en aurait fallu bien plus pour perturber les big men lorrains.

McCORD. — 18’de temps de jeu ; 6 pts ; 2/5 aux tirs (40 %) ; 2 LF sur 2, 2 rbd, 1 pd, 1 fte. Éval. : 6

L’intérieur britannique avait démarré en trombe, avant d’être touché à la cheville et de connaître davantage de difficultés face à un duo Akingbala-Samnick prolifique.

Simon Giovannini



Les DNA