[ProA - J16] SLUC Nancy 98 (38) - (54) 87 Hyères-Toulon Var

Superfaktor a écrit:

Expatried SlucFan a écrit:

Bon sinon moi le retour de AirMax à Nancy je le crains un peu je sens qu'il va vouloir briller et bien briller, il va falloir le vérouiller.

Je crains plus Max que Nichols sur ce match.

Max veut enfoncer Nancy il me l'a dit! Depuis qu'il a resigné en France, il n'attend que ca! Il va être survolté notre bon Max!!!

Etre survolté peut ne pas suffir pour Max...
D'autre part, c'est bien lui qui a souhaiter quitter Nancy, je me trompe?
Alors cette soi disant rancune n'a aucun motif d'exister!

The Warrior a écrit:

oh des "y a truc qui m a dit que machin lui avait dit que..." !! ca faisait longtemps...

je me demande quand même quel va être l accueil de Gentilly...moi perso, ni applaudissements ni sifflements...ce type (je parle du type et pas de joueur...) me laisse indifférente....autant un Dan était une crème, toujours accessible...autant Max...bof koua..

Apres vouloir enfoncer Nancy c'est bien beau...mais s il avait pas fait le konkon il en serait peut etre pas là aujourd hui non plus...lui qui se voyait très très très beau au final il est où??...ben en PRO A à Hyeres Toulon...pas mal comme plan de carrière quand on sait le potentiel qu il a/avait...

Max a longtemps joué à vandoeuvre; moi aussi. du coup on se parle quand on se croise. c tout. ton jugement de valeur on s'en passe.

Superfaktor a écrit:

The Warrior a écrit:

oh des "y a truc qui m a dit que machin lui avait dit que..." !! ca faisait longtemps...

je me demande quand même quel va être l accueil de Gentilly...moi perso, ni applaudissements ni sifflements...ce type (je parle du type et pas de joueur...) me laisse indifférente....autant un Dan était une crème, toujours accessible...autant Max...bof koua..

Apres vouloir enfoncer Nancy c'est bien beau...mais s il avait pas fait le konkon il en serait peut etre pas là aujourd hui non plus...lui qui se voyait très très très beau au final il est où??...ben en PRO A à Hyeres Toulon...pas mal comme plan de carrière quand on sait le potentiel qu il a/avait...

Max a longtemps joué à vandoeuvre; moi aussi. du coup on se parle quand on se croise. c tout. ton jugement de valeur on s'en passe.

Bah j'ai encore le droit de dire ce que je veux il me semble...c'est pas parce que c'est ton pote que tu vas m'interdire de dire ce que je pense de lui...pu*** c'est de pire en pire par ici...y a eu un charter ou quoi ??

Allez on savoure ,on reste zen ce n'est que du basket ,devenu triste et trop sérieux le forum....https://www.youtube.com/watch?v=Bnq2wi664yc&feature=related

Superfaktor a écrit:

Max a longtemps joué à vandoeuvre; moi aussi. du coup on se parle quand on se croise. c tout. ton jugement de valeur on s'en passe.

Ben écoutes, y'a pas de problème... ici de toute façon, que ce soit à Vandoeuvre ou à la Pep ou en ville, au bistrot ou autre (voire même sur MSN !)... Max on le connait tous un peu...
Qu'il veuille briller ici à Gentilly face au SLUC me paraît bien normal...
Nous on sera content de le revoir pour toutes les années qu'il à passé ici... mais sa sortie malheureusement n'a pas été trop classe... (rappelons nous la 1ère moitié de saison 2006-2207 )
C'est après son agent si je me souviens d'un article de presse qu'il devrait en vouloir ! C'est celui là qui lui promettait monts et merveilles... car les dernières saisons, Max il était pas à plaindre au SLUC (Au niveau salaire, couverture médiatique...).
Max avait même déclaré "J'ai fais le con... j'aurais dû honorer ma dernière année de contrat"... et du coup on aurait pas recruté Bauer... et on aurait peut-être pas été champion...

Voilà, c'est de l'histoire presqu'ancienne maintenant... Le SLUC a été champion de France a découvert l'Euroligue... et pendant ce temps Max visitait Chypre !!!
C'est un peu dommage.

On est content quand même qu'il reviennent en France et de le revoir sur un terrain et spécialement à Gentilly.
Le SLUC lui a bien changé et ne souciera que d'une chose... gagner, c'est très important.

Jacques SANTINI a écrit:

Superfaktor a écrit:

Max a longtemps joué à vandoeuvre; moi aussi. du coup on se parle quand on se croise. c tout. ton jugement de valeur on s'en passe.

Ben écoutes, y'a pas de problème... ici de toute façon, que ce soit à Vandoeuvre ou à la Pep ou en ville, au bistrot ou autre (voire même sur MSN !)... Max on le connait tous un peu...
Qu'il veuille briller ici à Gentilly face au SLUC me paraît bien normal...
Nous on sera content de le revoir pour toutes les années qu'il à passé ici... mais sa sortie malheureusement n'a pas été trop classe... (rappelons nous la 1ère moitié de saison 2006-2207 )
C'est après son agent si je me souviens d'un article de presse qu'il devrait en vouloir ! C'est celui là qui lui promettait monts et merveilles... car les dernières saisons, Max il était pas à plaindre au SLUC (Au niveau salaire, couverture médiatique...).
Max avait même déclaré "J'ai fais le con... j'aurais dû honorer ma dernière année de contrat"... et du coup on aurait pas recruté Bauer... et on aurait peut-être pas été champion...

Voilà, c'est de l'histoire presqu'ancienne maintenant... Le SLUC a été champion de France a découvert l'Euroligue... et pendant ce temps Max visitait Chypre !!!
C'est un peu dommage.

On est content quand même qu'il reviennent en France et de le revoir sur un terrain et spécialement à Gentilly.
Le SLUC lui a bien changé et ne souciera que d'une chose... gagner, c'est très important.

tu as bien raison, Max c'est une chose, mais le plus important , c'est la victoire et la manière

Cox fait débat


Arrivé cet été pour avoir les clés du jeu nancéien, l'Américain semble inhibé dans un rôle de meneur à part entière. Gregor Beugnot, Fabien Causeur et Georges Eddy qui l'ont côtoyé ou le suivent de près se penchent sur le dossier Cox.






NANCY._ Ceux qui se souviennent de son impact au Havre la saison dernière doivent avoir un peu de mal à le reconnaître. Entre le John Cox flamboyant, souvent décisif qui affolait les compteurs du côté des Docks Océanes et celui qui semble nettement moins à l'aise cette saison au SLUC Nancy, il y a de la marge...
Oh, statistiquement, il n'y a pas une énorme différence même si les chiffres rapportés pour un temps de jeu de quarante minutes sont en légère baisse (voir infographie). Mais c'est surtout au niveau de l'aisance dans le jeu que l'Américain paraît un peu en décalage. Ses difficultés à se faire complètement au costume de meneur à part entière que le SLUC lui a confié à l'intersaison transpirent au fil des sorties et ont même littéralement sauté aux yeux en Euroligue.
Du coup, la question revient avec de plus en plus d'insistance : l'Américain est-il vraiment fait pour le rôle de meneur ?

« Pas du tout un meneur »


« Ce n'est pas du tout un meneur », avance Georges Eddy, qui a commenté à plusieurs reprises les matches du SLUC en Euroligue pour Sport +, « Pour moi, c'est un deuxième arrière qui a été obligé de se convertir au poste un pour les besoins de la cause. »
Mais si le SLUC lui avait confié les clés du jeu nancéien au début de saison, c'est bien que l'Américain avait quelques solides références à ce poste, non ? Après avoir été utilisé exclusivement en arrière lors de sa première saison à Chalon sous les ordres de Gregor Beugnot, il a en effet petit à petit étendu son bagage pour basculer de plus en plus vers le poste un, celui de meneur de jeu, lors de ses deux saisons passées au Havre avec Christian Monschau.
Quand il avait signé au SLUC l'été dernier, Jean-Luc Monschau soulignait d'ailleurs que l'Américain avait été plus utilisé en un que la saison précédente et rappelait que ce qui l'intéressait chez le joueur, c'est « que dans les moments chauds, c'est souvent lui qui montait la balle. »
Sauf qu'au Havre, John Cox pouvait visiblement naviguer un peu plus entre les postes de meneur et d'arrière. « Il jouait beaucoup arrière quand même », se souvient même Fabien Causeur, qui a évolué aux côtés de Cox la saison dernière au Havre, « Ceci dit, quand il relayait TJ Thompson à la mène, il se débrouillait bien à ce poste. »
Le problème, c'est que Le Havre n'est pas Nancy. « Il arrive dans une grosse équipe, il a beaucoup de pression, ce n'est pas forcément évident », poursuit l'ailier havrais. « Au Havre », lâche pour sa part Gregor Beugnot, « il commençait souvent au poste deux (arrière) avant de passer en un. Il avait le temps de se mettre en confiance et de prendre le rythme du match. Et puis, le style de jeu développé au Havre correspondait peut-être davantage à ses qualités techniques. »

« Un an et demi de recul »


Un avis que partage tout à fait Georges Eddy. « La saison dernière, Le Havre jouait un peu comme les Phoenix Suns quand Mike D'Antoni les coachait, c'est-à-dire en remontant la balle très vite en prenant des tirs en première intention. C'est ce que faisaient John et TJ Thompson. Mais le style de jeu nancéien n'a rien à voir, Jean-Luc Monschau propose un jeu plus construit, des systèmes un peu plus classiques. Les montées de balle sont moins rapides et c'est plus difficile pour John. Le pire, c'est qu'au début, il arrêtait de shooter et jouait pour les autres. Il en oubliait ses qualités propres de scoring. »
Depuis quelques semaines, l'Américain a un peu haussé le ton (6,2 points de moyenne lors des 11 premiers matches toutes compétitions confondues, 10,5 sur les 15 rencontres suivantes), mais il n'a pas encore réussi à effacer toutes les interrogations.
Peut-il y arriver d'ici la fin de saison ? « Il fait le maximum », poursuit Grégor Beugnot, « Mais il ne faut pas oublier qu'il a un an et demi seulement de réel recul par rapport à ce poste. Mais c'est quelqu'un d'intelligent. Et puis, dans l'évolution de sa carrière, il a peut-être besoin de jouer sur les deux postes. »
« A mon sens », glisse pour sa part Georges Eddy, « John Cox, Jeff Greer et Michel Morandais ont exactement le même profil, ce sont des shooteurs. La seule manière pour John Cox d'apporter vraiment est de jouer en meneur scoreur comme le fait Steed Tchicamboud, et de prendre les shoots dès qu'ils sont ouverts. Mais si c'est le cas, Jeff Greer et Michel Morandais risquent d'être frustrés car ils peuvent avoir moins de tirs... »
A Cox de trouver la clé. Celle qui peut lui permettre de retrouver l'aura qui était la sienne la saison dernière au Havre...

Anthony GUILLE


Est republicain

Merci bacou

Affaire à suivre pour Cox, si seulement c'était la confiance.

Début de match sur le poste 2 avec Tchicamboud à la mène pour se mettre en confiance ? Comme au Havre ? En tout cas, JLM doit essayer de nouvelles choses (on ne rigole pas s'il vous plaît ^^) car on ne peut pas continuer dans cette configuration.

hubert-felix thie a écrit:

Nous avons Victor en 4

Pas 40 mn

Pas mal l'article sur Cox

A-Sir a écrit:

Début de match sur le poste 2 avec Tchicamboud à la mène pour se mettre en confiance ? Comme au Havre ? En tout cas, JLM doit essayer de nouvelles choses (on ne rigole pas s'il vous plaît ^^) car on ne peut pas continuer dans cette configuration.

Et entre J.Greer et Morandais, on met lequel au placard?

Ou alors faut vraiment que JLM fasse souffler Ricardo et que Morandais devienne une bonne rotation de celui-ci!

Et TJ dans tout ça ?

Jul54 a écrit:

A-Sir a écrit:

Début de match sur le poste 2 avec Tchicamboud à la mène pour se mettre en confiance ? Comme au Havre ? En tout cas, JLM doit essayer de nouvelles choses (on ne rigole pas s'il vous plaît ^^) car on ne peut pas continuer dans cette configuration.

Et entre J.Greer et Morandais, on met lequel au placard?

Ou alors faut vraiment que JLM fasse souffler Ricardo et que Morandais devienne une bonne rotation de celui-ci!

Et ben ce sera l'occasion de mettre Ricardo en 4 et de décaler Michel en ailier. Elle est pas belle la vie ?

machin00 a écrit:

Et TJ dans tout ça ?

Euh, retour fin février, pas avant à priori

Prendre le remonte-pente


Blessé pour deux mois (fracture du métacarpe), Lamayn Wilson ne jouera pas ce soir. Le SLUC lui cherche un remplaçant médical. Mais Nancy doit surmonter ses épreuves et revenir sur les équipes de tête. Le calendrier à venir est extrêmement favorable.





NANCY._ Pendant que l'on surfait sur le net avec une certaine nostalgie du passé pour connaître les résultats du Top 16 et apprendre les défaites de Sopot, Sienne et Barcelone (comme quoi !), Lamayn Wilson, victime jeudi soir d'une fracture d'un métacarpe de la main droite à l'entraînement, était hospitalisé pour être opéré hier matin. Dans le secret le plus total (Jean-Luc Monschau ayant coupé son téléphone, lui qui est chargé de communiquer chaque soir un bulletin de santé de ses troupes), le verdict est tombé : l'ex joueur de Villeurbanne sera absent deux mois.
Les coups durs se suivent certes, mais il faut faire avec et positiver. Et puis le SLUC doit se dire qu'il n'est pas le seul à être poursuivi par la poisse. Parlez-en à Toulon (Masingue), Besançon (Fellah), Rouen (Houston), Roanne qui vient de perdre une nouvelle fois Taj Gray, ou encore l'ASVEL qui aura joué un bon mois sans Campbell. Le Président Fra, dont on ne pourra pas reprocher sa capacité de réaction, a aussitôt donné le feu vert à son entraîneur pour chercher un pigiste médical (voir encadré).
Voilà qui a évidemment chamboulé la préparation du SLUC pour ce match contre Toulon alors que Jean-Luc Monschau se félicitait de pouvoir compter enfin sur un effectif au complet et sur une semaine entière pour travailler à l'entraînement.
Mais puisqu'il faut vivre d'objectifs, le SLUC qui a promis de reproduire sa première mi-temps à Orléans comme de retrouver dans certaines séquences une envie digne de son standing, va donc devoir profiter d'un programme enfin favorable pour s'accrocher au remonte-pente vers le sommet de la Pro A.
Car avant un final de tous les dangers, le calendrier lui en donne l'occasion avec six matchs à venir dans lesquels le SLUC sera favori même avec un Wilson, la main dans le plâtre. Quatre matchs à domicile : Toulon, Pau, Cholet et Roanne pour deux déplacements à Besançon et au Havre. A ne pas manquer donc la première marche ce soir...

Toulon en chantier


Répétons-le ! Il faut Po-si-ti-ver. Le SLUC va retrouver ce soir une équipe de Toulon qui n'a plus rien à voir avec celle qui était revenue du diable Vauvert en octobre dernier. On ne remuera pas le couteau dans la plaie, mais on a cherché longtemps à comprendre comment Ricardo Greer et ses copains avaient-ils pu perdre ce soir-là (81-73) après avoir compté vingt-cinq points d'avance dans le troisième quart-temps. L'adresse de Perincic, le talent de Nichols, les drives de Pierce ou de Draper ou les rebonds de Masingue ne peuvent pas tout expliquer.
Aujourd'hui l'ex Nancéien Zianveni est arrivé à la place de Tucker tout comme l'ancien international Cédric Ferchaud. Quant à Rogers et Grant lequel remplace Hughes jusqu'au 25 février, ils ont déposé leurs valises sur les bords de la Méditerranée alors que Vincent Masingue, toujours blessé, s'interroge sur une éventuelle opération de son tendon d'Achille.
Le Toulon d'Alain Weisz battu chez lui samedi dernier par... Pau, mais qui reste sur trois victoires sur ses quatre derniers matches contre le SLUC, est en fait, capable du meilleur comme du pire. Austin Nichols, son leader, ferait un beau MVP à la fin de saison. Quant à Pierce malgré un passé mouvementé, c'est un excellent joueur. Et que dire de la constance de Perincic derrière la ligne des 6,25 m alors que les shooteurs du SLUC continuent d'arroser et n'arrivent pas à faire le carton qui fait la différence.
Heureusement, le SLUC qui n'a jamais aussi bien joué à l'extérieur qu'en première mi-temps à Orléans, a l'occasion de montrer ses progrès dans son jeu collectif. Il peut compter sur ses cadres Cyril Julian intenable cette saison et Ricardo Greer irréprochable dans l'esprit. Aux autres de suivre en attendant le remplaçant de Wilson...

Gilles GAIHIER


Est republicain

« Une opération survie »








- Alain Weisz, comment arrivez-vous à gérer la succession de pépins que connaît Hyères-Toulon depuis quelques semaines ?
- (Soupir) On gère comme on peut en essayant de remplacer les joueurs blessés par des pigistes médicaux à la hauteur.
- Justement, Shawnta Rogers et Tyrone Grant qui vous ont rejoint cette semaine sont-ils conformes à vos attentes ?
- On verra... Pour l'instant, ils n'ont fait que s'entraîner. Seule la compétition permet une évaluation. Maintenant, je connais Shawnta Rogers depuis longtemps. On s'est retrouvés après Noël à une période où trouver un meneur était une gageure. Je suis bien content d'avoir Shawnta Rogers pour ce que je qualifierai d'opération survie.
- Vous en êtes là ?
- Oui. Il faut bien se mettre cela en tête, on n'est pas dans une autre logique que de sauver ce qui peut l'être et c'est un discours que je tiens depuis qu'on a eu les blessures de longue durée de Perincic, Masingue et Sonko. On est dans une logique de maintien forcené. L'objectif, c'est de jouer chaque match comme si c'était le dernier. On est à six victoires aujourd'hui mais les autres en ont au moins cinq (Ndlr : sauf Pau, qui en compte deux). Il ne va pas falloir ''déconner''. On l'a déjà fait contre Pau la semaine dernière, il faut que ça s'arrête. Sinon, on plonge.
- Nancy vous réussit bien depuis que vous êtes coach de Hyères-Toulon puisque vous avez gagné trois de vos quatre face-à-face championnat et Semaine des As confondus...
- Oui, mais ce n'est pas le même contexte. On arrive en ayant perdu contre le dernier. Et quand vous perdez contre le dernier, c'est que vous êtes vous-même le plus mauvais de la classe.

« Retrouver des comportements dignes de la Pro A »


- Mais d'un autre côté, cela peut piquer l'orgueil de vos joueurs...
- Vous savez, on ne peut pas dire qu'on soit très épanouis en ce moment. A partir de là, on va penser à nous, et essayer de retrouver du jeu, une équipe et des comportements dignes de la Pro A. Cela n'a pas été le cas face à Pau.
- Un dernier mot sur le débat autour du sélectionneur. Vous qui avez été le coach de l'équipe de France de 2000 à 2003, quel regard portez-vous sur ce dossier ?
- Je suis tout cela par presse interposée. Je ne suis pas là pour me prononcer en faveur de l'un ou l'autre. La seule chose qui me fait plaisir, c'est qu'Yvan Mainini (Ndlr : le président de la Fédération française) se soit recentré sur un entraîneur français. (Si on avait opté pour une piste étrangère), cela aurait été un désaveu pour notre basket qui n'en a pas besoin car que ce soit au niveau des clubs ou de l'équipe nationale, c'est sans doute la plus mauvaise période que le basket français ait jamais connue. Il faut à tout prix se serrer les coudes et ce quel que soit le coach choisi. Mais à partir du moment où il sera déjà en exercice, il a toutes les chances de réussir.

Recueilli par Anthony GUILLE


Est republicain

Revoilà Rogers








NANCY._ Shawnta Rogers de retour en France, c'est l'info de la semaine. Après avoir illuminé le championnat de France de son talent au Mans (2000-2003) puis à l'ASVEL (2004) et avant de revenir dans la Sarthe (fin de saison 2006) et à Chalon (début 2007), revoilà le petit lutin diabolique qui fit tant de misères au SLUC. Au chômage, il a accepté le challenge d'une équipe de Toulon décimée par les blessures et qui limite maintenant ses ambitions au maintien après sa dernière défaite à domicile contre Pau.
Une équipe qui a fait hier les 900 kilomètres en... bus et qui alignera aussi à l'intérieur pour la première fois Tyrone Grant, remplaçant de Rick Hughes. Un joueur qui a gagné sa vie le plus souvent en LegaDue (deuxième division italienne), qui a roulé aussi sa bosse en Espagne, en Grèce et en... Corée du Sud.

G. G. (Gilles GAIHIER)


Est republicain

Le HTV chez le champion et alors

Paru aujourd'hui, samedi 31 janvier 2009
Les joueurs du HTV devront faire preuve de coeur, ce soir, s'ils veulent espérer faire trébucher Nancy.




Le HTV entame ce soir la phase retour chez le champion de France nancéien. Et alors ? Doit-il pour autant baisser le pantalon et attendre la fessée ?
.Le titre suprême appartient à l'histoire. Au passé. Depuis ce jour de gloire, le Sluc Nancy est passé par tous les états.
Vampirisée par l'Euroleague, la formation de frère Monschau a sué sang et encre afin de se maintenir en haut de l'édifice. A la 5e place exactement...
Mais les derniers résultats ne plaident pas en faveur des Couguars. Quatre prunes en cinq rencontres. Pas de quoi distiller l'eau-de-vie en ce pays de Kaas.
Le blues s'emparerait même des âmes de l'Est. L'occasion rêvée de les damner. Surtout que le HTV est LA bête noire de Cox et consorts.
A l'aller, on pensait le match plié, cacheté et posté. Or, les Varois étaient parvenus à migrer jusqu'aux côtes de la libération. A renverser la vapeur dans un palais chaviré (81-73)...
« Attention, aucun match ne se ressemble » prévient Alain Weisz, passé es maître des Lego. Cette semaine encore, il a composé avec un effectif remanié par les arrivées de Grant et Rogers.
« On recommence. On travaille avec un nouveau collectif qui cherche ses marques... » Si Shawnta Rogers paraît en forme, en revanche, Grant ne serait pas encore fondu dans le moule.
« Sa forme est acceptable poursuit le sphinx passé de la Canebière à Besagne. Quant à Zianveni, j'attends qu'il soit utile. Comme il l'a été à Besançon. »
Milling, laissé au repos en raison d'un mollet douloureux, a repris le chemin de l'école. « Par les temps qui courent, sa blessure c'était pinut's... »
Enfin, Pierre Pierce - ce n'est pas la surprise du chef - évoluera tour à tour en poste 1 et poste 2. De quoi permettre à Austin Nichols et Hrvoje Perincic de souffler. Même s'il ne faut pas oublier l'apport indéniable de Cédric Ferchaud.
Lequel devrait bel et bien quitter le HTV dès le retour de Sonko. Un Mous volontaire déjà sur le pont des entraînements. « Il a l'air d'être bien » confesse son mentor.
A chaque jour suffit sa peine... Ce soir, le HTV attaque un second championnat. Dans la peau d'un outsider en proie aux interrogations. Qui navigue à vue. Face à une armada lorraine blindée. Notamment en attaque (la meilleure de Pro A avec 82,9 points de moyenne). Et on ne vous parle même pas de l'adresse à 3 points et des costauds à l'intérieur...
Bref, les Varois se jettent dans la gueule du loup. Mais ils ne sont jamais aussi forts que face aux gros bras. Et puis ils doivent se faire pardonner la contre-performance paloise. « Là, on a touché le fond » avoue Alain Weisz...
Oui, ils défient le champion. Et alors ! D'autres - Vichy par exemple - l'ont croqué. Pourquoi le HTV n'en ferait-il pas de même ? S'il met du coeur à l'ouvrage...
Raphaël Coiffier
Var matin

Merci Bacou pour ces news....

20-32 à la 14ème, c'est glauque

ouais, ben ouais...

1ere MT catastrophique, pas de défense , pas de rebond

Allez ! Un petit sursaut avant la mi-temps

manu5494 a écrit:

1ere MT catastrophique, pas de défense , pas de rebond

Et pas une passe pour ricardo, par rapport aux derniers matches