[Play-Offs - Finale] SLUC Nancy champion de France 2008 !

martin a écrit:

je n'en peux plus d'attendre demain!!!!
c mon 1er Bercy et ça sera le bon pour le SLUC mais que c'est long d'attendre!!!

quelqu'un a un remède contre les insomnies parce que je voudrais dormir tôt pour être ne pleine forme dans le bus!? :cheers:

Lexomil ?

CAM-ROM a écrit:

martin a écrit:

je n'en peux plus d'attendre demain!!!!
c mon 1er Bercy et ça sera le bon pour le SLUC mais que c'est long d'attendre!!!

quelqu'un a un remède contre les insomnies parce que je voudrais dormir tôt pour être ne pleine forme dans le bus!? :cheers:

Lexomil ?

ou demande a Koné et Noah

ok ok je crois que la belle contre l'ASVel fera l'affaire merci quand même

gerard mentor a écrit:

CAM-ROM a écrit:

martin a écrit:

je n'en peux plus d'attendre demain!!!!
c mon 1er Bercy et ça sera le bon pour le SLUC mais que c'est long d'attendre!!!

quelqu'un a un remède contre les insomnies parce que je voudrais dormir tôt pour être ne pleine forme dans le bus!? :cheers:

Lexomil ?

ou demande a Koné et Noah

Ben quand on voit le résultat pi les deux sont là demain quiqui n'en veut dans les tribunes

Demain très tôt te lever, tu devras,
Rejoindre le bon vaisseau , tu devras,
Apprendre le chant de guerre, tu feras
Avec le beau trophée, tu rentreras.....
Enfin un vrai Jedi, tu deviendras

STEVO a écrit:

Demain très tôt te lever, tu devras,
Rejoindre le bon vaisseau , tu devras,
Apprendre le chant de guerre, tu feras
Avec le beau trophée, tu rentreras.....
Enfin un vrai Jedi, tu deviendras

Que la Force soit avec nous demain...!! :cheers:

Pi GG et AT, Va falloir vous lever tôt sinon tant pis

Sur ce, je vais me coucher, faîtes un gros dodo, pensez au reveil hein on attend pas les retardataires pi trois mots MERDE AU SLUC

Moi je veux la revue de presse avant que tu partes dans le bus bacou. C'est possible ?

BASKET / JEAN-LUC MONSCHAU :
« Une chance sur deux »
Sophie DANGER - vendredi 13 juin 2008 - 14h00

En finale pour la quatrième saison de rang avec Nancy, Jean-Luc Monschau aborde le dernier round de la saison 2007-2008 face à Roanne sereinement. Le coach lorrain estime qu’il a une chance sur deux de vaincre.

Jean-Luc Monschau, comment abordez-vous cette finale ?
Pour ma part, je ne suis pas sûr de détenir les recettes puisque ça fait trois finales de suite que je perds. Mais, trêve de plaisanteries, l’équipe se concentre dans la sérénité et tout se passe bien.

A propos de ces trois finales de rang perdues, que pensez-vous pouvoir faire valoir cette année qui puisse faire pencher la balance côté nancéien ?
C’est la formule qui veut que, de toute façon, la finale soit aléatoire. Aucun play-off dans le monde entier, ou presque, ne se joue comme ça en un seul match. Dès lors qu’il n’y a qu’un seul match, il y a beaucoup plus de hasard. Songez que l’on a, depuis trois ans, conquis avec Nancy l’avantage du terrain pour jouer une belle, si il y a lieu, à domicile, ce qui représente un réel avantage. Hors, l’avantage, on nous le reprend, on nous le vole par la formule en un match sec. Et en un match sec, tout peut arriver. Les deux équipes ont les mêmes chances et ce n’est pas parce que l’on a perdu trois fois que l’on devrait avoir moins de chance cette fois-ci. Ce n’est pas non plus parce que l’on a perdu trois fois que l’on devrait avoir plus de chance. On en est toujours rendu au hasard à raison d’une chance sur deux.

« Roanne et Nancy sont très proches »

Nancy a, pour lui, l’avantage de la saison régulière. Pour le reste, les deux équipes se valent…
Bien sûr. Les deux finalistes sont d’un niveau voisin mais il n’y a pas que ces deux formations, les quatre demi-finalistes se ressemblent vraiment au niveau de la qualité. De façon élargie, il y a une petite coupure après les quatre premiers mais, les quatre autres équipes qui ont fait les play-offs sont d’excellente qualité et, de façon général, notre Championnat est très homogène. Je crois que ces équipes se tiennent vraiment. On ferait jouer la finale entre Clermont et Le Mans, je parle des extrêmes (Ndlr : Le Mans 1er de la saison régulière, Clermont dernier), on ne serait même pas sûr du résultat. Il y aurait une chance sur deux de la même manière. A fortiori entre Roanne et Nancy qui sont très proches dans beaucoup de compartiments du jeu et surtout très proches au classement d’une saison régulière de 30 matchs (Ndlr : Nancy a pris la 2eme place de la saison régulière, Roanne la 4eme).

On s’attend à un match où tout va aller très vite. Les deux équipes sont pourvues de belles attaques et de défenses solides. Vous attendez-vous à un match très verrouillé ?
Les deux équipes essayent de prendre des avantages des deux côtés du terrain et il faudra voir, au fur et à mesure de la rencontre, quels sont les avantages que l’on arrive à prendre réellement et quelles sont les difficultés que l’on rencontre. Mais c’est le match lui-même qui nous renseignera bien plus que ce que l’on pourrait dire maintenant.

source : sport365.com

A-Sir a écrit:

Moi je veux la revue de presse avant que tu partes dans le bus bacou. C'est possible ?

Mets un SMS sur les portables de GG et d' AT de suite parce que pour demain ça craint

Demain l est sera distribuer dans les bus ........

bon ben H-17 la pression monte, esperons que les SLUC auront les dieux du basket avec eux ( l'adresse, maitrise du rebond ) . Que ça va etre dur et stressant ce dimanche surtout pour ceux qui comme moi vont vivre leur premier bercy en live. Sur ce bonne soirée a tout le monde et n'oubliez pas les trèfles a 4 feuilles, les fer a cheval, pattes de lapin et tout ce que vous pouvez compter comme porte bonheur, ce ne sera jamais de trop...

dire que le prochain post sera plein de joie ou de déceptions

et demain soyez a l heure

S'il vous plait ramener nous le titre et l'euroleague ! Et demain je serais le plus heureux des supporters !!

JT France 3 :
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b54a_1920

7'45

SLUC, l'impossible Paris ?

Dans les dégoûts de Paris ou au cœur des lumières de la ville... Le club lorrain, sur les bords de la Seine, s'attaque au quatrième chapitre de son roman-fleuve, assez noir pour l'instant après trois échecs au pied de la renommée nationale.

OAS_AD('Position2'); on error resume next ShockMode = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash.6"))) Bercy, théâtre du grotesque et du pervers, de l'insensé et du mérite bafoué ? Bercy, palais indéfiniment morbide pour ce Sluc à la recherche du temps perdu depuis trois allers bourrés de folles espérances et autant de retours dans la pénombre. Non, Nancy n'est pas une espèce rare de champion sans couronne. Par le passé, Pau-Orthez, Villeurbanne, Antibes ou Limoges, rien que des ténors du barreau, se sont égarés dans la quadrature du cercle. Avant de goûter aux délices du triomphe.Mais c'est le moment. Il serait opportun que Ricardo Greer le magnifique ne soit pas le capitaine fracassé d'une épopée olympique. Quatre finales d'affilée, le record sent bon le clan des grands. Seuls le fameux CSP du Limousin et les Béarnais ont aligné autant de terminus hexagonaux. Faut-il s'en délecter comme Christian Fra, président jouant les premiers de service avant même que le feu ne soit déclaré : « Ce n'est déjà pas si mal. » Non, car il est évident que les siens doivent franchir le cap parisien. Afin de mettre en adéquation la beauté des phases régulières avec le sacre suprême. Pour faire de la place Stanislas une vraie place forte du basket français. Pour apporter à la Lorraine un titre trop rare dans les disciplines collectives majeures et qui s'est refusé, jusqu'alors, aux footballeurs de Metz ou de... Nancy. En ne perdant pas de vue le terrain, l'occasion paraît trop belle de réaliser en quarante minutes, un doublé magique : décrocher le dossard n°1 et le passeport pour la prestigieuse Euroligue, accessoirement fée bienfaitrice des trésoreries... En une partie de poker, comme peut l'être une finale d'un jour, la troupe de Jean-Luc Monschau se voit aussi offrir la possibilité d'effacer une belle saison... sans succès : abandon prématuré dans le deuxième round du combat européen, pas de carrière en coupe de France ou dans la semaine des As, point de premier rang dans la classe de l'élite. « Oublier tous les enjeux pour qu'il n'en reste qu'un : gagner ce match ! » recommande l'entraîneur échaudé. Alors pourquoi le Sluc réussirait-il là où il s'est vautré voici douze mois contre le même rival... « Nous n'avons jamais raté nos finales » se défend le mentor nancéien. Vrai, à en mener largement au score avant de capituler. A chaque fois, en face, une star est devenue un tueur-né : Nissim (avec Strasbourg), Besok (Le Mans), Spencer (Roanne) ont réduit en miette les illusions d'un colosse aux pieds d'argile. « Oui, mais les choses ont changé, assure Cyril Julian. A part moi et Victor (Samnick), les autres ont déjà connu des victoires à Bercy. Ce n'était pas le cas auparavant. » Les chats noirs, ou le trio maléfique des actes manqués (Zianveni, McClintock, Kirksay) s'en sont allés, les preuves vivantes d'un Paris possible sont arrivées : les frères Greer et Amagou. Un faux remake, ce Nancy - Roanne ? Du côté de la Loire, le redoutable tandem Harper-Spencer a disparu. Faut-il y aller pour autant, le chardon au fusil... Certainement pas. Parce que le sorcier Choulet veille : « Nancy aura de toute façon la pression car il y a obligation de résultat après trois finales perdues ! » Parce que le dangereux empereur Salyers imagine des adieux glorieux au sein d'une formation (14e budget en 2007) dont on prédisait une chute brutale et qui fait encore la belle une année après. « C'est une équipe différente, elle est la meilleure avec laquelle j'ai joué. Les gars sont incroyables. » L'optimisme du précieux guide nancéien Ricardo Greer ne sera pas de trop pour tordre le cou aux mauvaises habitudes. Et à la malédiction. Sachant qu'en basket, il suffit d'un rien pour transformer un chemin de croix en voie royale.

Alain THIÉBAUT.

Paru le : 15-06-2008

Republicain lorrain

Bauer : « Juste du plaisir »

L'ancien Palois vivra sa première finale aujourd'hui avec Nancy. Il attendait ce moment depuis le coup d'envoi de la saison.

• Mike Bauer, comment appréhendez-vous cette finale contre Roanne ? « C'est la première pour moi. Ce sera un match différent car il y a un peu de pression mais nous sommes confiants. Cet objectif, on en parle depuis longtemps. En fait, on voulait arriver là depuis le début de la saison. C'est quelque chose que l'on se disait entre nous, pas en public ni dans les médias. Maintenant que j'y suis, je vous le dis : je veux gagner le titre. » • Auriez-vous préféré jouer contre Le Mans ? « La seule chose qui m'intéressait avec Le Mans, c'était l'Euroligue. Mais que ce soit Roanne ou Le Mans en face, notre mission reste la même. Si on gagne, on aura l'Euroligue. » • Que vous inspire Roanne ? « Cette équipe est très forte en attaque. Si tu laisses faire, elle peut shooter et prendre feu, surtout avec un joueur comme Salyers. A mon avis, Roanne est meilleur que l'année dernière parce que cette équipe est devenue plus défensive. Le plus important sera justement de la contrôler. Nous devons nous concentrer sur la défense, les rotations et surtout le rebond. » • Sentez-vous encore le poids des trois finales perdues ? « Non, parce que je n'ai rien perdu. Je n'étais pas là et la plupart des autres joueurs non plus. La ville et le club y pensent peut-être mais pour moi, il n'y aucune pression, juste du plaisir. » • Comment vit le groupe en attendant l'échéance ? « Très bien. L'ambiance est bonne. Il n'y a que des bons mecs dans l'équipe. Ils ont de la fierté mais ne sont pas trop orgueilleux. Ici, chacun a le respect de l'autre. On est tous frères en fait. C'est la première fois que je vois ça dans ma vie. Ce n'est pas normal. »

Christian JOUGLEUX.

Republicain lorrain

Cyril Julian, pivot du Sluc : « Ils ont un jeu beaucoup plus collectif et altruiste que l'an dernier quand ils avaient Spencer, Harper et Salyers. Mais comme on l'est également, on espère que cela tournera en notre faveur. »
Jean-Luc Monschau, entraîneur de Nancy : « Apparemment je n'ai pas encore trouvé la solution pour gagner une finale. J'ai entendu Jean-Denys (Choulet) dire qu'on était favori mais l'équipe d'Euroligue c'est Roanne ! »
Jean-Denys Choulet, coach de Roanne : « On n'a pas la même puissance de feu que l'an passé mais on a prouvé que l'on savait défendre. On a un banc plus long avec des joueurs qui peuvent sortir à n'importe quel moment. »
Pape Badiane, intérieur de Roanne : « On ne peut pas se reposer sur l'avantage psychologique que constituerait notre victoire de l'an dernier. Bien sûr que non ! C'est une revanche et ce n'est jamais bien pour l'équipe qui a gagné la première fois. Nancy a une équipe articulée autour de Ricardo Greer, son maître à jouer. Si on arrive à l'arrêter, on aura fait une partie du boulot. »
Republicain lorrain

merci Bacou!!

go sluc go!!!!

un bon petit déj, une bonne douche, les casse-dale et j'arrive!!!!!! :cheers:

L'info

Outre le titre de champion de France, la finale de ProA déterminera aussi qui de Nancy ou Roanne accompagnera Le Mans en Euroligue l'année prochaine : si les Lorrains n'attendent que ça, la Chorale s'interroge après une première participation mitigée cette saison. « Sur le plan sportif, cela a été une expérience exceptionnelle mais jouer tous nos matches à l'extérieur l'a été beaucoup moins » résume l'entraîneur Jean-Denys Choulet. Cette saison, la Chorale a joué tous ses matches d'Euroligue à Clermont, situé à 120 km. En revanche, il n'y aucune place pour le doute du côté de Nancy !

Un fauteuil pour deux

Ils font la pluie et le beau temps mais qui sera le dieu de la météo à Bercy ? Bizarrement, les équipes possédant dans leur effectif les deux meilleurs joueurs du championnat se retrouvent en finale ! Ce match sera aussi le face à face terrible entre le n°1 Marc Salyers (Roanne) et le n°2 Ricardo Greer (Sluc). Une bagarre de MVP sensationnelle. Au petit jeu des statistiques classiques, le ténor de la Chorale de la Loire mène six à quatre mais jugez-en : le capitaine nancéien n'est vraiment pas loin... Ils sont aussi à un titre partout: Salyers avec Roanne 2007, Greer avec Strasbourg 2005.

Republicain lorrain

Pro A (finale) : SLUC Nancy - Roanne, aujourd'hui (15 h) à Bercy

Nancy et le signe indien


Après trois finales perdues d'affilée, Nancy veut stopper la série et empocher un billet pour l'Euroligue face à Roanne, champion en titre.

PARIS. _ Comme l'année dernière, la finale du championnat de France Pro A opposera aujourd'hui Roanne, le tenant du titre, à Nancy, l'éternel maudit de Bercy, avec une place en Euroligue à la clé.
A considérer l'homogénéité de la Pro A et son caractère extrêmement mouvant, c'est une petite sensation de retrouver les deux mêmes équipes en finale. « C'est parce qu'on est bon, c'est tout», pavoise l'entraîneur roannais Jean-Denys Choulet. Il n'empêche que la chose n'était plus arrivée depuis les duels entre Pau-Orthez et l'ASVEL au début du siècle.
Une chose n'a cependant pas bougé depuis trois ans : la présence systématique de Nancy en finale sanctionnée par une défaite tout aussi systématique.
Que ce soit avec Strasbourg en 2005, Le Mans en 2006 ou Roanne en 2007, les Lorrains ont été très généreux. Aujourd'hui, ils en ont franchement assez. Car se voir privés au dernier moment d'un premier titre et d'une incursion en Euroligue fait de moins en moins rire du côté de l'incontestable meilleure équipe française de ces dernières années, desservie par la formule du championnat qui s'achève sur une finale en un match sec et sur terrain neutre.
« Sinon, ils auraient déjà gagné deux ou trois championnats, car à domicile ils sont injouables » estime Choulet.

Qui veut être favori ?


« Apparemment je n'ai pas encore trouvé la solution pour gagner une finale », soupire le coach nancéien Jean-Luc Monschau, dont les visites à Bercy ont tendance à tourner au drame mais qui peut se consoler en jetant un coup d'œil sur son effectif, où seuls Julian et Samnick ont connu la détresse de 2007.
Les autres sont tous partis, remplacés notamment par les frères Greer, champions en 2005 avec Strasbourg, et Amagou, titré avec Le Mans en 2006. Ils ont gagné une finale contre Nancy. Sauront-ils en gagner une pour Nancy ? « J'ai entendu Jean-Denys (Choulet) dire qu'on était favori mais l'équipe d'Euroligue c'est Roanne ! Nous, on n'est qu'une petite équipe de Coupe ULEB », minorise Monschau qui estime que « ça va être encore plus difficile cette année parce que Roanne a plus d'expérience et plus de moyens.» « On n'a pas la même puissance de feu qu'avec Spencer et Harper », lui répond Choulet, tout aussi performant dans l'art de repousser l'étiquette de favori.
Champion de France avec le 14e budget en 2007 - « un truc de fou », rappelle Choulet - la Chorale n'a peut-être plus de « tueurs » mais peut effectivement s'appuyer sur un ensemble plus homogène dont émerge le MVP Marc Salyers qui disputera dimanche son dernier match en France.
Est republicain

Merci Bacou . . .

Je m'en vais m'habiller ... Ptain j'ai quasi pas dormi GO SLUC GO !!

Kisscool

Merci BACOU

salut a tous
le grand jour est arrivé
et surtout que le SLUC gagne et nous raméne la coupe,malheureusement je serais devant la télé et pas à bercy,mais avec les couleurs du club et dans ma tête je serais à bercy avec vous.
s'il vous plait,ramenez la coupe à Nancy et m...deà toute l'équipe et au staff,au président,à JL M et quoi qu'il arrive on est avec tout le monde et jusqu'au bout. :cheers: