[ProA - J7] SLUC Nancy bat STB Le Havre, 72-78

beibeul a écrit:

Corpus Christi a écrit:

Crossover a écrit:

Sinon je comprends pas un truc au niveau des stats, une passe amenant à une faute et donc à des lancers est comptabilisée comme une passe déc ?[/quote
Si il.y avait tir, oui.

Non il faut qu'il y ait un panier marqué.
J'ai regardé, la passe décisive n'est pas comptabilisée quand le joueur ne marque aucun lancer.

c'est ça, un lancer réussi suffit pour une PD

YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES

4 à la suite (même avec Greer blessé, je prends)

Bien voilà une bonne victoire à l'extérieur face à un adversaire qui ne nous réussit généralement pas...
Par contre, il semble que Ricardo se soit blessé car il n'a joué que 13 minutes...

Du coup, le SLUC a dû s'appuyer sur son cinq vraiment majeur pour emporter le match.
Gros satisfecit pour Flo Pietrus qui est bien plus offensif que la saison passée (c'était une de ses demandes)... par contre Falker est encore passé à travers malgré 7 shoots pris (1/7) et deux lancers ratés... heureusement notre duo d'intérieurs a fait le ménage aux rebonds : 17 prises !
Quand à Adams... que dire ? Ben il nous sort encore le même gros match : 25pts à 9/16 assortis de 7 rebonds, 4 passes et 2 interceptions... et 4 balles perdues !

Regarder bien, sur la petite vidéo dans le vestiaire du SLUC, sur son compte twitter le brave Randal ne semble pas gouter à la liesse générale.

jtexc a écrit:

Regarder bien, sur la petite vidéo dans le vestiaire du SLUC, sur son compte twitter le brave Randal ne semble pas gouter à la liesse générale.

J'ai revu le match contre Séville et j'ai franchement pas apprécier le fait qu'il ne tape pas dans la main les 2 fois ou le coach l'a sorti a juste titre car complètement à la ramasse, et pas dans le bon tempo pratiquement tout le match. Je trouve que c'est un sacré manque de respect, et venant de lui ca m'étonne un peu.

jtexc a écrit:

Regarder bien, sur la petite vidéo dans le vestiaire du SLUC, sur son compte twitter le brave Randal ne semble pas gouter à la liesse générale.

Clair que ca le touche. Mieux vaut ca plutôt qu'il s'en carre.


HOLD ON RANDAL!

Peut-être parce qu'il sort (encore) d'un sale match en attaque ? Difficile de tirer des conclusions d'un Vine.

Bravo aux Couguars pour cette victoire, c'est tellement difficile de gagner aux Docks Océane qu'on peut considérer cette victoire comme un bonus.

Adams, deuxième meilleur marqueur de ProA avec 18,1pts derrière Pape Sy (BCM) 18,8pts...

Darius, s'installe progressivement...

Falker, premier rebondeur avec 9,9 rebonds et quand même 14 d'éval en moyenne !

4ème gros match consécutif de Darius, il prend son rythme de croisière, c'est bien.

Après va-t-il garder sa lucidité avec les efforts en plus de l'Eurocoupe ? Les titulaires étaient bon ce soir, donc difficile de se faire une place ce soir pour le banc, enfin j'essaye de positiver en pensant de la sorte... Parce qu'on est tous d'accord, qu'a force de tirer dessus y en a bien un qui va se blesser ou d'autres qui vont clairement accumuler de la fatigue et sortir des matchs.

Falker dans une sacrée spirale négative en attaque , mais il gobe du rebonds malgré tout. Il doit commencé a se sentir frustré en enchainant ce genre de prestation. Mais on gagne malgré notre MVP pas trop dedans. Et puis on connait la chanson, on récupère bien plus vite avec des victoires.

Série de victoire en cours, à confirmer lors du prochain match d'Eurocoupe à Charleroi. Je me fais plus trop de soucis pour Adams à présent, il semble s'être débarrassé d'une certaine pression/appréhension. En revanche on attends plus des autres à présents.

beibeul a écrit:

Corpus Christi a écrit:

Crossover a écrit:

Sinon je comprends pas un truc au niveau des stats, une passe amenant à une faute et donc à des lancers est comptabilisée comme une passe déc ?[/quote
Si il.y avait tir, oui.

Non il faut qu'il y ait un panier marqué.
J'ai regardé, la passe décisive n'est pas comptabilisée quand le joueur ne marque aucun lancer.

Si un lancer est accordé pour une faute sur une tentative de tir (pour différencier des LF qui sont donnés à partir de 5 fautes d'équipe), si une passe a amené cette situation de tir, et si un LF au moins est inscrit, alors elle est comptabilisée. Sinon, y'a rien.

Falker est là. Au rebond, aux contres, il plie 2 matches avec un contre décisif, un rebond off clé... A l'évaluation, il est (était) le meilleur couguar avant ce match.

C'est en attaque qu'il n'est pas là. Il est déjà moins bien servi quantitativement en ce début de saison que l'an passé. Mais je crois aussi que les passes qui lui arrivent ne sont pas du tout dans le bon timing. En tout cas pas pour le mettre sur orbite. Et ce fut criant de vérité face à Séville.

Adams commence à trouver son rythme, et être à la fois présent offensivement, déterminant dans les fins de rencontre, et soucieux de faire tourner un minimum la balle. Il faut maintenant qu'il apprenne à bien mettre Randal sur orbite.

Moi ce qui m'inquiète, c'est pas le rendement offensif de Falker. C'est notre banc.... Bandja montre que s'il est un gros potentiel, ça reste un jeune avec tout le côté aléatoire de ses prestations.

Et pour English.... Qu'est-ce que ça vendange.....Heureusement que de loin il sauve les meubles, mais pour le reste... C'est quand même pas bien consistant. Duggins manque !!!

Par contre, qu'est-ce qu'il vendange en attaque Falker... Il tente de plus près qu'English pourtant... Va falloir très vite se pencher sur le dossier Krupa'. Heureusement que Max Zianveni fait le job.

Bravo les gars. Jamais simple de s'imposer aux Docks ! Le trident Adams - Pietrus - Gladyr a fait ce qu'il fallait en attaque.

Corpus Christi a écrit:

beibeul a écrit:

Corpus Christi a écrit:

Crossover a écrit:

Sinon je comprends pas un truc au niveau des stats, une passe amenant à une faute et donc à des lancers est comptabilisée comme une passe déc ?[/quote
Si il.y avait tir, oui.

Non il faut qu'il y ait un panier marqué.
J'ai regardé, la passe décisive n'est pas comptabilisée quand le joueur ne marque aucun lancer.

Si un lancer est accordé pour une faute sur une tentative de tir (pour différencier des LF qui sont donnés à partir de 5 fautes d'équipe), si une passe a amené cette situation de tir, et si un LF au moins est inscrit, alors elle est comptabilisée. Sinon, y'a rien.

Oui on sait ; le problème c'est que sur le live il était marqué passe décisive avant même les lancers francs, et ça restait marqué passe décisive même quand les deux lancers étaient manqués, naturellement ce n'était alors pas comptabilisé dans les statistiques.
Un petit bug avec le nouveau live c'est tout.

Falker encore dans le très, très dur. Méconnaissable.

Ce soir ils nous gagnent le match à 3 joueurs, c'est aussi simple que ça. Adams, Gladyr, Pietrus, très forts. Le reste, faible (English nous met 10pts mais à 4 d'éval, Max dans son rôle limité).

Le problème reste inchangé (un banc quasi-inexistant, des joueurs qui se trouent dans les grandes largeurs à chacun leur tour, ce soir c'était Bandja) mais pour l'instant ça gagne, profitons. ^^ Vivement le retour de Duggins néanmoins...

Nous sommes le Roanne de 2007. Pas de banc, une raquette relativement "light" au final, et un Big Three.

http://www.paris-normandie.fr/detail_sport/articles/1833322/saint-thomas-rechute#.VF8VcvmG-FU

Saint-Thomas rechute

Le STB a subi, hier soir, face à Nancy, sa deuxième défaite de la saison aux Docks Océane (72-78). Une défaite due en grande partie à une très mauvaise entame de match.

Énormes, mardi, lors de la venue de Boulogne-sur-Mer (116-77), les Havrais étaient déjà de retour au Docks hier soir. Un retour que le public espérait bien évidemment victorieux et ce d’autant plus qu’un nouveau succès aurait permis au STB de s’installer dans le haut de tableau de Pro A. Bien sûr, les supporters n’attendaient pas de leurs protégés qu’ils rééditent le même genre de performance que face au SOMB car, en face, l’adversaire était d’un tout autre calibre.

Mais gonflés à bloc après la soirée des records de mardi, les fans du STB étaient persuadés que leur équipe était capable de faire chuter Nancy. Nancy, une équipe à l’aise en EuroCup (3v, 1d), mais beaucoup moins performante en championnat (3v, 3d). Pas de quoi néanmoins rassurer Bartecheky qui avant la rencontre avait mis ses troupes en garde. En garde contre tout relâchement après le carton réalisé face au SOMB et en particulier dans le premier quart.

Un premier quart que les Thomistes avaient complètement manqué contre Strasbourg, au lendemain d’une prestigieuse victoire face à Limoges, ce qui leur avait coûté le match. Il faut croire que le message du technicien maritime n’a pas été entendu puisque dès le début de la partie Adams réalisait un véritable festival. Pourtant, ce n’est pas comme si le garçon n’avait pas battu, quasiment à lui seul, Séville (ESP), mercredi en Coupe d’Europe (30 pts, 36 d’éval.), mais Brazelton ne défendait pas. Le meneur du SLUC en profitait pour déclencher deux missiles et fournir ses partenaires en caviars (5-12, 3e). Bartecheky rappelait alors ses troupes à lui pour recadrer les choses avant qu’il ne soit trop tard. Certes Adams avait plus de difficulté à driver son équipe, mais Gladyr, à longue distance, permettait au SLUC de creuser l’écart (12-23, 6e). Heureusement pour Saint-Thomas, Cox trouvait plusieurs fois la faille dans la défense adverse et entraînait toute sa formation dans son sillage.

Adams plie le match

Tout du moins en attaque, car défensivement ça n’était toujours pas ça (13/15 aux tirs pour le SLUC dans le 1er quart). Gladyr puis Pietrus, esseulés, marquaient à plusieurs reprises sous le regard incrédule du public local (24-31, 10e). Un public qui donnait de la voix pour soutenir un STB qui attaquait le second quart avec plus de détermination, plus de hargne. Les Thomistes cassaient enfin le rythme de Nancy, perturbaient enfin les transmissions de balle et l’attaque lorraine avait beaucoup plus de mal. À l’opposé, Pitard faisait parler sa vitesse, Pope attaquait le cercle, autant d’actions qui permettaient à Saint-Thomas de revenir à sept longueurs des « noirs » (39-46, 20e). À la pause rien n’était encore joué ce qui, au regard du premier quart de Saint-Thomas, était incroyable. Aussi incroyable que la détermination dont faisait preuve Pietrus. Dès son retour sur le parquet l’ailier fort visiteur mettait les intérieurs locaux minables.

Au rebond, des deux côtés du parquet, au shoot sous le cercle ou à quatre mètres, le champion d’Europe faisait parler sa science du jeu et permettait à Nancy de reprendre le large. Vexé, King lui répondait dans la foulée si bien que Saint-Thomas pouvait encore rêver à l’entame du dernier quart (51-58, 30e). Seulement, face à une équipe comme le SLUC, le moindre relâchement se paye cash. Pas concentrés, les Maritimes encaissaient tout de suite un trois points d’English qui éteignait la salle. Pope puis Cox (17 pts), à mi-distance, tentaient bien de rallumer le feu (63-67, 35e), mais Adams, en pénétration puis au-delà des 6,75m, pliait définitivement le match (72-78).

GRÉGORY CARU-THOMAS

09/11/2014 à 05:00 Vu 126 fois
BASKET-BALL - PRO A - 7E JOURNÉE SLUC NANCY BAT LE HAVRE : 78-72
UN DUO QUI MONTRE LA VOIE
Porté par un tandem Darius Adams – Florent Piétrus intenable, le SLUC a été chercher un succès précieux au terme d’un combat féroce. Tout bénéfice dans la course à la Leaders Cup…

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Darius Adams était encore en feu sur le parquet du Havre et a largement contribué à la victoire du SLUC Nancy. Photopqr/Patrick BOULEN
Darius Adams était encore en feu sur le parquet du Havre et a largement contribué à la victoire du SLUC Nancy. Photopqr/Patrick BOULEN

Le Havre. Cela sentait le match piège à plein nez. Une équipe havraise qui vient de passer 116 pts à Boulogne, qui a battu il y a quelques semaines le champion de France limougeaud, une salle des Docks Océanes où le SLUC a énormément de mauvais souvenirs… Oui, vraiment, tous les ingrédients d’une soirée compliquée semblaient réunis. Sauf que le SLUC Nancy avait un autre scénario en tête, beaucoup plus plaisant. Et pour qu’il prenne forme, le club nancéien s’est retroussé les manches en s’appuyant sur le match de feu de Darius Adams et Florent Piétrus. Dans la continuité de son récital en Eurocup (36 d’évaluation mercredi), le premier a été intenable et même décisif dans la dernière minute alors que l’international a abattu un travail colossal sous les panneaux. Quand on aura dit que les deux hommes cumuleront une évaluation de 56, on aura finalement tout dit…

Mais il fallait bien cela pour s’extirper du piège havrais. Dès le premier quart-temps, les Nancéiens avaient d’ailleurs tout fait pour le déminer en s’offrant une orgie offensive. Parfaitement lancé par le tandem Adams – Piétrus (20 pts au premier quart-temps), le SLUC Nancy avait passé 31 pts aux Havrais (31-24). Dans cette période, les Nancéiens n’avaient raté que deux tirs (13/15). « On a fait un très bon premier quart-temps » admettra Alain Weisz, « et quand vous lancez le match de cette façon, cela vous met en confiance et vous permet de jouer avec un petit matelas bien utile parce que Le Havre a poussé par la suite ».

Falker à la recherche de son timing
Comme il fallait s’y attendre, la réaction normande n’avait effectivement pas tardé. Malgré la sortie définitive sur blessure de Ricardo Greer dès la deuxième quart-temps (côte), Le Havre avait trouvé des solutions par ses ex-Nancéiens, Nick Pope, Shawn King et John Cox. Un trio qui avait permis aux Havrais de revenir à trois points au cœur du troisième quart (47-50, 24’).

La tension était alors montée d’un cran, aiguisée par des décisions arbitrales pour le moins confuses mais Sergii Gladyr avait fait taire les Docks Océanes grâce à deux shoots à trois points pour redonner un peu d’air aux Lorrains (56-48, 29’).

Mais on avait compris depuis longtemps que les dix dernières minutes seraient irrespirables. Alors que Randal Falker se débattait toujours comme un beau diable pour essayer de retrouver son timing (1/7 aux shoots hier après le 0/8 de mercredi !), le travail de titan de Florent Piétrus permettait au SLUC de conserver une poignée de points d’avance à deux minutes du gong (71-67).

Dans la foulée, Darius Adams redonnait six points d’avance aux siens à mi-distance mais Brazelton ripostait du tac-au-tac (73-70, 40’). Mais comme mercredi, le meneur américain du SLUC prit alors ses responsabilités. Un shoot à trois points pour éteindre les Docks Océanes, deux lancers pour sceller le succès. Auteur de sept points dans la dernière minute, l’ancien joueur de Bremerhaven a une nouvelle fois été déterminant pour offrir un quatrième succès de rang aux Nancéiens. Un succès précieux pour le classement et la course à la Leaders Cup.

La route jusqu’à la Paris Disney Leaders Cup est encore longue. Mais avec cette combativité, le SLUC peut espérer voir Mickey en février prochain…

De notre envoyé spécial Anthony GUILLE

09/11/2014 à 05:00
A CHAUD
« Une combativité jamais démentie »

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Alain Weisz : « Je redoutais beaucoup ce match. Ce qui a fait la différence, c’est une combativité jamais démentie et un très bon premier quart-temps. Même si Le Havre est revenu, on a plutôt contrôlé la partie avec un match exceptionnel de Florent Piétrus et Darius Adams. C’est une victoire très importante pour le classement ».

Sergii Gladyr : « Une bataille ? Mais chaque match, chaque entraînement est une bataille vous savez… On s’est appuyés sur un bon pourcentage au tir et on a essayé de stopper leurs shooteurs. C’est bien de s’imposer de la sorte à l’extérieur ».

Eric Bartechecky (entraîneur du Havre) : « On ne peut pas se permettre de commencer un match de cette manière contre ce type d’équipes. C’est d’autant plus dommage que par la suite, on a fait jeu égal ».

Hugo Invernizzi (Le Havre) : « C’est le premier quart-temps qui nous fait perdre ce match. Ce n’est pas acceptable de débuter comme ça, en étant aussi léger. Par la suite, c’est vrai qu’on était présents dans le combat, mais ce premier quart-temps nous fait mal ».

Hugo Invernizzi (Le Havre) : « C’est le premier quart-temps qui nous fait perdre ce match. Ce n’est pas acceptable de débuter comme ça, en étant aussi léger. Par la suite, c’est vrai qu’on était présents dans le combat, mais ce premier quart-temps nous fait mal ».

C'est là où les matches d'Eurocup valent chers ! Contre Séville, on débute superbement bien le match, on met de suite de l'intensité et ça paye ! Aux Docks hier soir, bis repetita. Je suis sûr que sans le match de mercredi soir, on aurait pas entamé aussi fort hier soir !

beibeul a écrit:

Corpus Christi a écrit:

beibeul a écrit:

Corpus Christi a écrit:

Crossover a écrit:

Sinon je comprends pas un truc au niveau des stats, une passe amenant à une faute et donc à des lancers est comptabilisée comme une passe déc ?[/quote
Si il.y avait tir, oui.

Non il faut qu'il y ait un panier marqué.
J'ai regardé, la passe décisive n'est pas comptabilisée quand le joueur ne marque aucun lancer.

Si un lancer est accordé pour une faute sur une tentative de tir (pour différencier des LF qui sont donnés à partir de 5 fautes d'équipe), si une passe a amené cette situation de tir, et si un LF au moins est inscrit, alors elle est comptabilisée. Sinon, y'a rien.

Oui on sait ; le problème c'est que sur le live il était marqué passe décisive avant même les lancers francs, et ça restait marqué passe décisive même quand les deux lancers étaient manqués, naturellement ce n'était alors pas comptabilisé dans les statistiques.
Un petit bug avec le nouveau live c'est tout.

Ce n'est pas un bug, mais bien une erreur humaine. La passe décisive (#4), accordée à Brazelton sur les deux LF ratés de Yeguete, est bien comptabilisée dans les 8 passes que compte au final le joueur du STO : http://netcasting.webpont.com/html/fra_8789/commentfra.html

Ils sont coutumiers au Havre, ils mettent la passe déc' avant même de savoir si un des deux lancers est marqué. Et bien souvent, ils oublient de l'enlever quand les deux lancers sont ratés. J'avais déjà relevé ce problème il y a quelques années quand je suivais pas mal les lives. Les mecs à la LNB s'en balancent apparemment.

C'est comme, alors qu'il n'y a aucun contrôle de balle, lorsque les mecs mettent des interceptions, et donc pertes de balles pour l'adversaire, lors d'une patate chaude...

10/11/2014 à 05:00
PAS DU PAREIL AU MÊME
Avec quatre victoires en sept journées, le SLUC affiche le même bilan comptable que la saison dernière. Pas loin d’être inespéré compte tenu des circonstances…

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Le contraste nancéien : Darius Adams marche actuellement sur un nuage tandis que le MVP de l’année passée, Randal Falker (à gauche) est en panne de confiance. Photo Pierre MATHIS
Le contraste nancéien : Darius Adams marche actuellement sur un nuage tandis que le MVP de l’année passée, Randal Falker (à gauche) est en panne de confiance. Photo Pierre MATHIS

Le Havre. Il faut bien l’admettre, au petit jeu des pronostics, beaucoup avaient sans doute misé une petite pièce sur Le Havre samedi. Après tout, l’équipe normande semble cette année davantage taillée pour jouer les play-offs que le maintien et ses récents états de service (succès face au champion de France limougeaud, 116 pts inscrits devant Boulogne) n’étaient pas forcément rassurants pour le SLUC. Et comme en plus les Nancéiens avaient souvent craqué aux Docks Océanes… Voilà ce qui explique pourquoi Alain Weisz affichait un certain soulagement après le match. Alors que le club nancéien venait de l’emporter grâce notamment à un duo irrésistible Adams – Piétrus (56 d’évaluation cumulée), l’entraîneur se frottait les mains. « C’était un match très important pour le classement et la Leaders Cup » admettait le technicien, « être dans les huit premiers passe par des victoires contre des adversaires directs. Le Havre qui était à 3-3 comme nous, en était un ». Alors que le début de championnat a déjà fait des dégâts chez quelques gros bras annoncés (Le Mans et Paris-Levallois ont quatre défaites, l’ASVEL cinq), le SLUC est dans les clous. Par rapport à la saison dernière, son début de parcours est même rigoureusement identique (quatre succès en sept journées et quatre déplacements). Ce qui relèverait presque de la performance compte tenu de certains éléments :

Une double ration hebdomadaire
C’est bien connu, la coupe d’Europe est une essoreuse. A fortiori quand on tombe dans une poule d’Eurocup aussi relevée que celle du SLUC ( voir les adversaires européens ). Dans ces conditions, on pouvait avoir quelques interrogations sur la capacité des Nancéiens à digérer cette double ration hebdomadaire sans laisser de plumes sur le plan domestique. Après tout, sa longue campagne d’Euroleague puis d’Eurocup avait bien coûté sa participation aux play-offs à Nanterre la saison dernière… Mais pour le moment, le SLUC tient le choc sur les deux tableaux. Et que ce soit samedi au Havre ou la semaine précédente face à Cholet, les Lorrains ont su arracher la victoire en fin de partie. Le signe que malgré l’enchaînement des rencontres, cette équipe a des ressources physiques.

Un banc qui grince
Samedi soir, cinq joueurs du SLUC ont joué trente minutes ou plus (Adams, English, Gladyr, Falker, Piétrus) alors que sur le banc, le trio Bigote – Krupalija – Sène a cumulé moins de 11 minutes pour un rendement quasi-nul (2 pts, 1 d’évaluation). Une statistique qui souligne un peu plus le rôle mineur d’un banc qui apporte moins de garanties que la saison dernière avec Grant, Mipoka ou encore Pope. Alors qu’il était appelé à avoir des responsabilités au poste quatre (intérieur) pour soulager Florent Piétrus tout en apportant une menace à trois points et son expérience, Damir Krupalija n’a par exemple joué ainsi que quinze minutes lors des quatre derniers matches de championnat et n’a inscrit que trois points. Cela fait peu, très peu pour un joueur étranger. Si le Bosnien est semble-t-il apprécié dans le vestiaire, l’idée d’un remplacement fait de plus en plus son chemin au sein du staff nancéien. Si le club nancéien veut nourrir des ambitions, il devra en tout cas compter sur son banc. Car il n’aura pas toujours un Darius Adams et/ou un Florent Piétrus survoltés pour le sortir d’affaire…

L’absence de Duggins
Depuis cinq matches, le SLUC doit composer sans son arrière américain blessé à un adducteur. Un gros déficit dans la percussion et la création même si le SLUC Nancy a fait appel à Kim English comme pigiste médical. Mais l’ancien roannais est davantage un shooteur qu’un créateur. Samedi soir, il a pris 12 shoots (mais n’en a rentré que trois) et n’a délivré qu’une seule passe. Mais si son profil différent a nécessité quelques aménagements dans le jeu nancéien et s’il n’a pas le même impact statistique que l’ancien manceau (8 d’évaluation environ pour Duggins, 2 pour English), cela n’a eu aucune conséquence fâcheuse sur les résultats.

Un MVP qui doute
C’est un fait, Randal Falker est dans le dur. Transparent mercredi face à Séville (0/8 aux shoots), le pivot ne s’est pas rassuré samedi (1/7 aux shoots) malgré son activité au rebond (10 prises). Qu’arrive-t-il au MVP du dernier championnat ? Est-ce l’enchaînement des matches ? Un nouveau statut compliqué à assumer ? Samedi soir, Alain Weisz n’avait pas d’explication à apporter. Mais l’entraîneur nancéien admettait que le joueur traversait une passe difficile. « C’est vrai qu’il a toujours un timing de retard en ce moment mais quand il fera un bon match, ça repartira. En tout cas, on va l’aider à retrouver sa confiance. On n’est pas MVP par hasard ».

En attendant, le SLUC pourra se dire que compte tenu des circonstances, il n’a pas à rougir de son début de saison…

De notre envoyé spécial Anthony GUILLE

10/11/2014 à 05:00
« FLO » A FAIT FORT
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En compilant une évaluation de 29, Florent Piétrus a signé son meilleur total sous le maillot nancéien. Photo Patrice SAUCOURT
En compilant une évaluation de 29, Florent Piétrus a signé son meilleur total sous le maillot nancéien. Photo Patrice SAUCOURT

Depuis quand le SLUC ne s’était pas imposé aux Docks Océanes ?

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, il n’est pas nécessaire de remonter très loin. En février dernier, le SLUC Nancy avait été gagner aux Docks Océanes mais c’était pour le compte de la Coupe de France (88-74). Si on s’en tient uniquement au championnat, le club nancéien restait sur trois revers de rang aux Docks. Son dernier succès remontait au mois de mars 2011 (77-70). A noter que sur les dix dernières saisons, le club nancéien ne s’était imposé que deux fois au Havre dans le cadre du championnat. C’est dire si samedi soir, le SLUC pouvait avoir le sentiment d’avoir chassé le chat noir…

Irrésistible samedi (25 pts), Darius Adams est-il le meilleur marqueur du championnat ?

Non. Si le meneur américain a grappillé une place, il est encore derrière le Gravelinois Pape Sy (18,8 pts contre 18,1). Mais celui-ci doit jouer demain face à Pau-Lacq-Orthez. S’il marque moins de quatorze points, Adams lui passera devant. Mais pour que le meneur américain prenne la pole, il faut aussi espérer que le Dijonnais Erving Walker et le Chalonnais Darryl Watkins, qui s’affronteront ce soir en match décalé, ne cartonnent pas. Si le premier inscrit 20 pts ou le second 33, Adams devra patienter au moins jusqu’à la prochaine journée.

Le SLUC a-t-il toujours le bonnet d’âne de la Pro A à trois points ?

Non. Grâce à sa bonne prestation samedi derrière la ligne (9/19) mais aussi son superbe 15/29 la semaine précédente devant Cholet, le SLUC est remonté à la 13e place du classement sur dix-huit équipes avec 32,8 % de réussite. Déjà mieux mais encore décevant compte tenu de la qualité des « gâchettes » nancéiennes. Mais si les Nancéiens restent sur leur lancée, ils devraient vite retrouver la première partie de tableau dans ce domaine.

Avec une évaluation de 29, Florent Piétrus a-t-il établi son record samedi soir ?

Depuis qu’il joue à Nancy, l’international n’avait jamais compilé une telle évaluation. Son précédent record en championnat remontait au 22 avril dernier face à Paris-Levallois (24) mais le Guadeloupéen a fait encore mieux en Eurocup (25 face à Nymburk lors de la première journée). Pour autant, il ne s’agit pas de son record en Pro A. Quand il portait le maillot palois, il avait culminé à… 37. C’était en mars 2004 à l’occasion d’un déplacement à Strasbourg. Pour la petite histoire, l’Elan Béarnais s’était incliné malgré ce match de feu.

Pour cause de retransmission télé, le SLUC jouera son prochain match de championnat vendredi (20h45) à Gentilly face au Mans. Quel va être son programme de la semaine ?

Sans surprise, il sera chargé. De retour à l’entraînement cet après-midi, les Nancéiens avaleront une autre séance demain matin avant de partir en bus pour Charleroi en début d’après-midi. Après le match en Belgique mercredi, le SLUC dormira sur place puis reprendra la route de la Lorraine le matin pour s’entraîner à Gentilly en fin d’après-midi. Ce sera sa seule séance d’entraînement spécifique pour préparer le match face au Mans le lendemain. Au final, les Nancéiens n’auront aucune demi-journée « off » jusqu’à la réception des Sarthois.

Quand Vaughn Duggins est-il susceptible de retrouver sa place dans le groupe ?

Blessé aux adducteurs le 22 octobre dernier, l’arrière américain a été arrêté un mois mais il avouait en début de semaine se sentir de mieux en mieux. Mais si le staff nancéien ne désespère pas le récupérer un peu plus tôt que prévu, cela dépendra de l’IRM que l’ancien manceau passera mercredi. Si celle-ci est parfaitement concluante, il obtiendra le feu vert médical. Mais si un retour dès le match face au Mans n’est donc pas totalement exclu dans le meilleur des cas, le staff nancéien ne prendra aucun risque.

Anthony GUILLE

10/11/2014 à 05:00
LES DEUX SHOOTS À TROIS POINTS DIFFICILES RENTRÉS PAR SERGII GLADYR DANS LE TROISIÈME QUART-TEMPS
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Les deux shoots à trois points difficiles rentrés par Sergii Gladyr dans le troisième quart-temps. Alors que Le Havre poussait fort pour recoller avec le soutien de son public, l’ailier ukrainien a fait baisser la pression en deux coups de patte.

La décontraction de Darius Adams pendant l’échauffement. Le meneur américain a aligné les shoots mécaniquement une sucette à la bouche. Zen, Darius…

Apprendre que la blessure de Ricardo Greer n’était finalement pas si grave que prévu. Blessé à une cote en première période, le Dominicain est parti à l’hôpital mais les examens n’auraient révélé aucune fracture. Tant mieux pour l’ancien nancéien et pour le club normand qui était dans l’angoisse samedi soir.