[Effectif 14-15] :: Kim English débarque (pigiste Duggins) !

C'est surtout que, comme plusieurs ici, c'est plutôt un pivot que j'aurais pris. Duggins pouvant assurer à la mène, je ne pense pas que ce soit le poste de meneur qui pose problème.

pistolpit23 a écrit:

A voir si Adams et surtout Sene confirment,bon en meme temps Njoya serait pas une grosse plus value par rapport a Sene.

Effectivement ,N'joya à 25 ans est à peine une rotation honnête de Pro B,alors que Sene à 19ans devient doucement mais surement un back up de Pro A.

C'est pas un meneur qu'il nous faut ! C'est un intérieur ! Et moi, je vois bien Samnick de retour au Sluc ds un mois...

j'espere pas il n'apporterait rien ... samnik non plus d'ailleurs..

Samnick n'apporterait rien ? Je te trouve bien sévère. Il rendait encore de fiers services à la Chorale l'année dernière.

et pis à chaque fois qu'il est revenu, on a été champion ^^

LE NUMÉRO DEMANDÉ…

Au SLUC comme ailleurs, les joueurs choisissent rarement leur numéro de maillot par hasard. La preuve.


Le 7 pour Randal Falker, le 6 pour Damir Krupalija et le 35 pour Bandja Sy. Entre habitudes, hommages ou encore superstition, le choix du numéro de maillot raconte souvent un pan d’histoire des joueurs. Photo Patrice SAUCOURT Le 7 pour Randal Falker, le 6 pour Damir Krupalija et le 35 pour Bandja Sy. Entre habitudes, hommages ou encore superstition, le choix du numéro de maillot raconte souvent un pan d’histoire des joueurs. Photo Patrice SAUCOURT

Nancy. 5, 6, 7, 8, 11, 13, 20, 35, 44 et 54. Non, non, il ne s’agit pas de la combinaison du loto mais des numéros portés par les dix pros nancéiens cette saison. Des numéros qui sont le plus souvent soigneusement choisis par les joueurs :

5. Valentin Bigote : « J’ai souvent porté le numéro 8 dans les différents clubs dans lesquels je suis passé. Sauf à Gravelines, lorsque j’étais dans le groupe pro, j’avais le numéro 5. En fait, je prends souvent l’un des numéros disponibles. Je ne suis pas très regardant sur le choix du numéro. Je n’aime pas les numéros compliqués… »

6. Damir Krupalija : « J’aurais bien choisi le 11 (Ndlr : numéro qu’il portait à Dijon et Hyères-Toulon) mais il était déjà pris. Du coup, j’ai pris le 6 car c’est le premier maillot que j’ai porté il y a vingt-cinq ans. Ceci dit, je n’ai pas vraiment de numéro fétiche. Depuis le début de ma carrière, j’ai joué avec le 6, le 11, le 13, le 33, le 40… Ça m’est égal en fait. »

7. Randal Falker : « J’ai choisi ce numéro car c’est mon chiffre fétiche. C’est vrai qu’à Cholet je portais le 14 mais c’est parce que le 7 n’était pas disponible (Ndlr : c’est Thomas Larrouquis qui l’avait à son arrivée dans les Mauges). Comme je portais le 14 en université, je m’étais tourné vers ce numéro que j’avais d’ailleurs gardé il y a deux ans en Turquie. »

8. Benjamin Sène : « Je ne saurais pas trop dire pourquoi, mais mon numéro préféré, c’est plutôt le 6. La saison dernière, c’était le numéro de Kenny (Grant). Cet été, lorsque je suis rentré du championnat d’Europe (Ndlr : avec l’équipe de France U20), le 6 était déjà pris par Damir. Alors j’ai repris le 8, comme la saison dernière… »

11. Florent Piétrus : « Le numéro 11, c’est celui que j’ai choisi en arrivant au centre de formation, à Pau. Parce que c’était le numéro d’Antoine Rigaudeau que j’aimais beaucoup. C’est le numéro que j’ai porté la plupart du temps, en club et en équipe de France. Sauf lorsque ce n’était pas possible. À Malaga, il m’est arrivé de porter le 22, parce que le 11 était pris. À Valence, le numéro 11 avait été retiré. Il m’est arrivé de jouer avec le 20, parce que c’est le jour de l’anniversaire de mon fils et aussi avec le 19, le jour de mon anniversaire. Mais quand j’ai le choix, je prends le 11. »

13. Sergii Gladyr : « J’avais pris le numéro 13 lors de ma toute première saison dans le club de ma ville natale, en Ukraine (Ndlr : Mykolaiv). J’avais fait une bonne saison et j’avais décidé de garder ce numéro. Sauf que je n’ai pas toujours eu la possibilité de le prendre. En fait, mon numéro fétiche, c’est le 8. Lorsqu’il est déjà pris, je prends le 13… »

20. Darius Adams : « Je portais déjà le numéro 20 lorsque j’étais au lycée. Pourquoi le 20 ? Il n’y a pas de raison particulière, en fait… Toujours est-il que je l’ai gardé par la suite. Sauf lors de mon passage à Orléans, où j’étais arrivé en fin de saison, et aussi en Ukraine… »

35. Bandja Sy : « Mon numéro fétiche est le 10. C’est celui que je portais en université américaine. Je voulais le prendre l’an dernier quand je suis arrivé à Pau-Lacq-Orthez, mais il avait été retiré en hommage à Didier Gadou. J’avais regardé les chiffres restants et j’avais choisi le 35 car j’aime bien Kevin Durant (Ndlr : la star NBA de Oklahoma City). J’ai repris ce numéro à Nancy. »

44. Vaughn Duggins : « J’ai choisi ce numéro car c’est celui que portait mon père quand il jouait en université. C’est pour lui rendre hommage. J’ai joué aussi avec le 2 au lycée et le 9 lors de ma première saison en Allemagne (Ndlr : en 2011-2012) mais le reste du temps, j’ai toujours porté le 44. »

54. Maxime Zianveni : « J’aurais pu reprendre l’un des deux numéros que j’ai portés à Nancy par le passé : le 15 ou le 10. Mais quand je suis revenu (Ndlr : en novembre 2013), j’ai choisi le 54. Je crois qu’il n’y a pas besoin d’expliquer pourquoi… »

Anthony GUILLE et Thomas SIMON

Je milite pour le recrutement de V-Sam !!

Idem

Parce que poste 1, je pense que les progrès de Sene sur le tenue de balle et le fait qu'il ose aussi shooter, plus le décalage possible de Duggins, on est bien.

Un secteur intérieur avec Pietrus, Falker, Zianveni, Krupalija et Samnick aurait une sacré gueule. Tous les profils possibles, et des rotations bien meilleures. Entre le championnat et les coupes, ce sera inévitable, de toute manière. Il faut éviter les coups de pompes, anticiper les problèmes de fautes (surtout Pietrus et Zianveni). Et cela évitera de trop décaler Sy à l'intérieur, lui qui est meilleure face au cercle, en partant de l'aile. Il a besoin d'espace.

D'autant que dans notre configuration actuelle, face a des effectif avec une grosse profondeur de banc, on est relativement exposé, par attrition.

Même Dupraz, pourtant pas un monstre de coaching, a finalement compris comment utiliser un Zerbo par exemple. Il le met dans le 5 de départ dans un rôle de foul-dealer. Ca dure le temps que ca dure (souvent bref d'ailleurs car le même joueur comment autant de faute qu'il en provoque^^) mais le principe est là. User les titulaires adverses avant d'envoyer la cavalerie.

Il s'inspire de Christian Monschau avec Dan McClintock à l'époque au BCM. Cela fait toujours 10/15 minutes de rotation, et un apport du banc plus appréciable. Surtout qu'à l'intérieur, ça bataille dur, surtout sans ballon. Les postes 4 et 5 sont très compliqués. Pas beaucoup de ballons, mais tellement d'efforts, de coups, de déplacements, d'écrans, les "box-outs", etc. Cela fatigue.

Oui enfin Zerbo a toujours été le spécialiste du "je suis dans le 5 et on ne me voit plus en 2 ième MT".
Pour moi clairement ils nous faut revoir le poste 2, Duggins est trop irrégulier , et Bigote trop light, contre Bourg en Bresse limite Nationale 1 ça passe, contre une équipe lambda de Pro A, ça va être trop juste .
D'ailleurs si N'Joya vient, ce qui est loin d'être fait, c'est bien pour apporter son echo poste 1 et poste 2, s'il n'a pas de shoot il a au moins de la densité physique.

N'Joya et Samnick alors.

Ou un vrai joueur , genre avec une vrai mécanique de shoot et moins de 35 ans, c'est pas mal aussi

C'est sûr que N'Joya poste 2, c'est jeune, et ça va être super... Là, on peut parler du shoot... Inexistant. Pour un joueur extérieur... Et ne serait-ce qu'en défense malgré ses qualités...

Samnick pas un vrai joueur ?

N'joya a une gestuelle aussi délié que Pope, c'est pour dire, et Samnick a été un grand joueur.Pour les mecs cramés de 35 ans, on a déjà Krupa,donc merci

Faut pas se laisser avoir par les mauvaises saisons collectives de Roanne. Et N'Joya, gestuelle déliée ou pas, n'a pas de shoot. Cela va au delà de la gestuelle en soit. Ce n'est pas un shooteur. C'est un gros défenseur (poste 1), et un "slasher" qui avale les espaces pour finir sous le cercle ou faire la passe. Mais sans tir, à ce niveau, c'est compliqué. Même s'il ne tire pas, avoir un vrai tir est une arme supplémentaire pour au moins feinter et avoir une véritable - et fameuse - triple menace. Un mec comme N'Joya, c'est comme avec Rajon Rondo, tu peux te permettre de défendre à deux mètres. Il n'osera pas plus shooter, et ne te prendra pas de vitesse sur le "drive".

Non mais je fais le même constat pour N'Joya , je ne sais pas si tu as bien compris ce que j'écrivais

J'avais envie d'argumenter sur son cas. Juste pour dire que je ne vois pas pourquoi on prendrait un meneur-arrière en plus.

Ok. Pour moi c'est le poste 2 qui sur la saison va nous plomber, après si on prend un intérieur a la place, ça ne fera pas de mal non plus.

Si on arrive à chopper deux JLF pas chers sur deux postes, pourquoi pas. La saison va être longue.

Il y a un double problème, déjà choper un JFL qui peut rendre service pour pas cher, c'est pas gagné, alors deux ... et puis surtout on ne nous as jamais dis que le club avait obtenu une rallonge pour recruter des renforts.
A moins que AW ait identifié des faiblesses trop importantes dans l'effectif et que le prési ait trouvé une solution pour augmenter la masse salariale.

Il y a eu une évolution, déjà : sur le "rapport" des différentes masses salariales et budgets des différents clubs de la division, le SLUC Nancy n'était pas encadré. Il était d'ailleurs au même niveau que l'ASVEL & Co. Bref, il y a eu évolution par rapport à il y a quelques temps, avant que Gladyr débarque d'ailleurs. Manquerait plus que les JLF encore sur le marché soient gourmands... Sont pas vraiment en position de force.

Je pense justement le contraire, un honnête JFL est justement en position de force , par le jeu des blessures, des mauvais débuts de saison de clubs, de réajustement d'effectif ...sait qu'il sera contacté à un moment ou l'autre. Il peut donc en octobre jouer la carte de la patience pour faire monter les enchères.