[Coupe de France] : 1/4 finale Le Havre - SLUC Nancy

Jo L'incruste a écrit:

Benoit ADAM a écrit:

Le forum du SLUC où qui c'est qui aura raison le 1er

Je dirais plutôt: celui qui veut avoir le dernier mot...!

Ou celui qui a la plus grosse
ok je

beibeul a écrit:

Jamal a largement prouvé qu'il avait sa place pour jouer en Euroleague donc arrête de t'entêter : c'est aussi une preuve d'intelligence que de reconnaître que l'on a pu se tromper.

Il n'a surtout pas fait de vagues. Si c'est ça avoir sa place, pourquoi pas. Après, un mec qui a un bon shoot et qui joue systèmatiquement 30 minutes, forcément il va mettre des points. Shuler est un joueur très limite pour ambitionner quoi que ce soit en Euroleague et c'est uniquement dans un contexte de SLUC (apparemment ) aux abois financièrement et obligé de recruter low-cost à Vichy qu'il a pu jouer cette compétition. Et ne pas y être trop mauvais, allez, je vous l'accorde si ça vous fait plaisir (mais paraît-il qu'il a été "très bon"...)

A-Sir a écrit:

Les stats, le concret, c'est vrai que c'est pas hyper intéressant (surtout quand elles vont pas dans le bon sens). Ecoute, si pour toi 11 points à 51%, ce n'est pas bon alors effectivement, le sujet est clos.

En parlant de stats, c'est bien 21/51, car à moins que tu aies la berlue Batum s'est bel et bien barré après la victoire sur Cantu à Gentilly, soit à quatre matches de la fin, pas deux matches avant comme tu l'as compté.

Rasheed Wallace a écrit:

beibeul a écrit:

Jamal a largement prouvé qu'il avait sa place pour jouer en Euroleague donc arrête de t'entêter : c'est aussi une preuve d'intelligence que de reconnaître que l'on a pu se tromper.

Il n'a surtout pas fait de vagues. Si c'est ça avoir sa place, pourquoi pas. Après, un mec qui a un bon shoot et qui joue systèmatiquement 30 minutes, forcément il va mettre des points. Shuler est un joueur très limite pour ambitionner quoi que ce soit en Euroleague et c'est uniquement dans un contexte de SLUC (apparemment ) aux abois financièrement et obligé de recruter low-cost à Vichy qu'il a pu jouer cette compétition. Et ne pas y être trop mauvais, allez, je vous l'accorde si ça vous fait plaisir (mais paraît-il qu'il a été "très bon"...)

Eh bah merde, tu t'es enfin rendu compte qu'on ne pouvait pas recruter Henry Domercant sur ce poste ? Compte tenu du budget du SLUC, trouver un mec qui sort ce genre de stats pour sa première année au plus haut niveau, c'est inespéré. Et il est vrai que j'ai compté les matches face à l'Olympiakos et et Cantù dans les stats après le départ de Batum. Donc il n'a tourné qu'à 13,5 points.
Enfin bref, je ne vais pas te convaincre que Shuler a réalisé une bonne campagne Euroleague vu que selon tes critères, il eût fallu un mec capable de sortir des matches à plus de 20 points. Le mec s'est fondu dans le collectif quand Batum était là, surtout qu'Akingbala et Moerman étaient en pleine confiance, et quand Nico est parti, il a pris la place de leader offensif ("seulement" 13,5 points de moyenne donc). Ah mais oui, ça ne compte comme on a pris des valses (sans ailier valable, je lance cette explication au pif).
Je ne doute pas qu'un mec comme Deane (9,5 points en Pro A et une pointe faramineuse à 13 points en PO), sans back-up puisque trop cher, nous aurait permis d'avoir de toutes autres ambitions.

Le Deane vu pendant les playoffs l'an dernier me parait plus leader et bien supérieur à Jamal Shuler, c'est clair.

Rasheed Wallace a écrit:

Le Deane vu pendant les playoffs l'an dernier me parait plus leader et bien supérieur à Jamal Shuler, c'est clair.

Bon, alors attendons de voir les PO de cette année.

Rasheed Wallace a écrit:

Le Deane vu pendant les playoffs l'an dernier me parait plus leader et bien supérieur à Jamal Shuler, c'est clair.

Ils n'ont pas le même âge, ni le même vécu...

beibeul a écrit:

Rasheed : tu veux nous rassurer ? Dis nous que le SLUC s'est planté en recrutant Bernard King.
Tu t'enfonces et tu n'es pas objectif.
Jamal a largement prouvé qu'il avait sa place pour jouer en Euroleague donc arrête de t'entêter : c'est aussi une preuve d'intelligence que de reconnaître que l'on a pu se tromper.

Rasheed reconnaitre un tort, alors là c'est pas gagné. Critiquer, la mauvaise foi voire insulter est beaucoup plus simple. T'a beau sortir des "vrais arguments" crac balayé par une pov phrase

en tout cas le constat est clair la traction arrière n'est pas si déficiente que certains le laissaient croire, et ma foi shuler a plus sa place qu'un banks dans une équipe comme la notre meme si c'est clair que c'est pas le meme registre

Tiens juste deux petites choses :

Christian Monschau dans sa dernière interview : "Shuler est devenu un joueur majeur"

Et puis Basketnews dans sa "Fantasy" : "Jamal Shuler (Nancy, Arrière, 56 000) Depuis le début de saison, Shuler fait taire les scepticismes match après match. Il a encore franchi un cap lors des dernières journées, tournant à 20,0 d'évaluation moyenne en quatre rencontres. Il peut gagner 8.000 crédits s'il atteint 15 dans le choc contre le BCM."

On va pas forcément faire le malin, mais bon là dessus, on peut être satisafit de notre Jamal.

Mauvaise nouvelle pour celles et ceux qui se sont abonnés en tribune Orange (derrière les panneaux), pas de tarif réduit pour le match face à Strasbourg contrairement aux autres catégories d'abonnés (source; redirect d'un mail d'un abonné)

Je ne suis pas concernée, mais les avantages des abonnements sont à deux vitesses en fonction de votre couleur maintenant

Déjà que ces places là sont plus chères que celles derrière les panneaux, plus près du terrain...

Si on recrute un nouveau joueur, vous saurez pourquoi !

Voici le mail :



Chers abonnés,

Pour le match de Coupe de France SLUC -
Strasbourg du mardi 13 mars à 20h00, la
tarification est identique à un match normal de Championnat de
France (tarifs en PJ).

Hormis pour les personnes en catégorie Orange (derrière
les panneaux), vous bénéficierez du tarif réduit
pour l'achat de votre ou vos places.

La priorité sur votre place vous est accordée jusqu'au
mardi 6 mars inclus. Après cette date, les places non
réservées seront mises à la vente.

Vous pouvez donc dès maintenant venir chercher vos places au
siège du club (du lundi au vendredi - de 9h à 12h et de 14h
à 18h), au 03.83.96.89.90 ou répondre à ce mail en
précisant vos numéros de place et un numéro de
téléphone où vous joindre afin de procéder au
paiement par téléphone de vos places.

Les places réservées par téléphone seront
à retirer le soir du match de Nanterre (10 mars) ou le soir du match
de Coupe de France sur présentation de votre carte
d'identité.

Enfin, nous ouvrirons exceptionnellement un guichet
pour les abonnés ce samedi 25 février 2012 lors du match
SLUC - Pau-Lacq-Orthez de 17h à 20h00 pour l'achat des places
pour la Coupe de France.

Restant à votre disposition,

Cordialement,

---

Sluc Nancy
Basket
BP 62012

Palais des
Sports Jean Weille
54100
Nancy


03.83.96.89.90

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dna
Basket-ball Coupe de France (8 e de finale) : Nancy – SIG, ce soir (20h) Clasico, acte I





Maxime Zianveni, le plus Nancéien des Strasbourgeois, aura fort à faire ce soir face à l’une des raquettes les mieux outillées de l’Hexagone. Photo archives DNA – Michel Frison
Strasbourgeois et Nancéiens ne vont pas se lâcher d’une semelle cette semaine. Premier épisode, ce soir à Gentilly, en 8 e de finale de la Coupe de France.

La SIG met les bouchées doubles ces temps-ci, et à plus d’un titre d’ailleurs. Après avoir composé avec un calendrier allégé – une seule rencontre entre le 11 février et le 7 mars –, les Strasbourgeois tournent désormais à deux sorties hebdomadaires, un rythme proche de la NBA. « Sauf qu’en NBA, c’est trois ou quatre par semaine au lieu de deux… Et que je ne joue pas trente minutes par match », sourit Alexis Ajinça qui en connaît un rayon sur le sujet.

La SIG voit double donc et c’est aussi le fait d’un programme qui lui réserve deux confrontations, coup sur coup, avec le Sluc. Avant de recevoir les Couguars samedi au Rhenus en championnat, les Alsaciens se rendent à Gentilly, ce soir, pour le compte des 8 es de finale de la Coupe de France. Deux derbies en cinq jours, voilà qui ne manquera pas de ravir les nostalgiques des innombrables bras de fer qui ont pimenté ces six dernières années.
Deux derbies en quatre jours, voilà qui ne manquera pas de ravir les nostalgiques

La proximité de ces deux échéances ne sera pas non plus sans conséquence sur le combat du week-end. « Quoi que le coach puisse faire, le premier match aura une incidence sur le deuxième, opine Vincent Collet. Chaque match induit une réaction, même s’il est difficile de savoir dans quel sens. C’est en tout cas plus gênant pour l’équipe supposée la moins forte. Si on a le bonheur de les surprendre demain (ce soir), ils seront encore plus vigilants samedi ».

Si Aymeric Jeanneau et ses coéquipiers n’ont eu que quelques heures pour tenter, tout à la fois, d’évacuer la déception du revers à Roanne (74-71) et de mettre en place deux ou trois choses pour ce soir, l’acte un du clasico ne sera pas pris à la légère. Pour les seize rescapés toujours en lice, la Coupe reste le chemin le plus direct pour aller chercher un trophée et, partant, un billet pour une coupe d’Europe. « Pour nous, ce sera d’ailleurs probablement le seul », reprend coach Collet qui n’ignore pas que la route conduisant aux play-offs s’annonce semée d’embûches.

Le tirage au sort aurait évidemment pu être plus clément, mais Vincent Collet est « convaincu » que sa troupe a les moyens de faire trébucher l’inconstant voisin lorrain sur son parquet. Le Sluc n’est en effet pas un modèle de régularité. John Linehan et sa bande n’ont-ils pas concassé Nanterre (81-59) après avoir touché le fond au Havre (61-91) et contre Chalon, en demi-finale des As (66-106) ?

« Ils enchaînent des performances à l’opposé les unes des autres en un laps de temps très court », observe l’entraîneur strasbourgeois, toujours dans l’attente d’un succès contre une équipe du top-8. À Nancy, la SIG entend prouver qu’elle voyage mieux désormais, en dépit de ce virage manqué dans la Loire. « Il ne faut pas s’arrêter au classement, mais essayer de concrétiser notre progression, conclut Vincent Collet. C’est bien d’être dans les matches, mais parfois, tu es aussi supposé les gagner ».
Quel visage pour le Janus de Gentilly ?

La SIG a deux occasions de le faire dans les jours à venir, en sachant que les épilogues futurs dépendront aussi fortement du visage que proposera le Janus de Gentilly. Il ne pouvait en être autrement pour cette semaine placée sous le signe de la dualité.

dna Un nouveau défi pour Alexis Ajinça Après Uche, Akin









Après Uche Nsonwu-Amadi samedi à Roanne, Alexis Ajinça va se frotter, ce soir, à un autre pivot nigérian, Akin Akingbala : un nouveau défi de taille pour la tour de contrôle strasbourgeoise, auteur d’une sortie record à Nanterre la semaine dernière. Photo MAXPPP
Un deuxième seigneur de guerre nigérian se dresse devant Alexis Ajinça. Après le roc Uche Nsonwu samedi, c’est Akin Akingbala qui se profile cette semaine.

Alexis Ajinça va donc enfin fouler le parquet de Gentilly et cela ne manquera pas de sel pour qui se souvient de la sortie de Jean-Luc Monschau en fin d’année dernière.

Sur la piste, lui aussi, de l’ex-Raptor, le coach du Sluc avait estimé que le choix de Strasbourg avait été dicté par la présence de Vincent Collet et la perspective d’une place en sélection pour le NBA er. Les deux mis en cause et le directoire de la SIG avaient mis les choses au point.

« JLM » avait fini par prendre son téléphone et appelé son homologue pour calmer le jeu. « Peut-être que le coach l’a encore en travers de la gorge, considère le géant de la raquette alsacienne. Mais si ce n’est pas le cas, tant mieux. À un moment ou à un autre, il faut avancer ».

Ce soir, Alexis Ajinça va surtout se frotter au deuxième représentant d’une caste redoutable, celle des pivots nigérians. « Le Nigérian, de manière générale, est dur à jouer », précise la recrue du mercato hivernal. Après le colosse Uche Nsonwu-Amadi, il va lui falloir se coltiner, par deux fois, le non moins herculéen Akin Akingabala. « Il faut être prêt physiquement à avoir du répondant et prêt mentalement à aller à la guerre », souligne le n°12 strasbourgeois.

À Roanne, Alexis Ajinça avait plutôt bien tenu son vis-à-vis. « Je l’avais bien contenu sur les post-up. J’ai dû me prendre deux ou trois paniers, mais, dans l’ensemble, les points qu’il a marqués, c’est quand je suis sorti sur les écrans ou passé en quatre. »
Une cible dans le dos

Trois jours après sa phénoménale sortie à Nanterre (27 points, 35 d’évaluation), le Stéphanois a, en revanche, éprouvé plus de difficultés en attaque. « Dès que je posais la balle par terre, ils venaient sur moi. Les ailiers fermaient l’accès au cercle. J’aurais sans doute dû ressortir la balle davantage. »

Ce soir, il devrait à nouveau bénéficier d’un traitement de faveur. « Je risque d’être ciblé. Que ce soit moi ou Ricardo, il faut que l’on soit prêt à rencontrer des prises à deux. » Il faudra au duo se défaire de cet étau pour espérer revoir Bercy. La Coupe de France, Alexis Ajinça et Ricardo Greer l’avait brandie avec Pau en 2007.

l'alsace

Ricardo Greer et les Strasbourgeois se rendent à Nancy avec l’envie de s’y imposer. Archives J.-M. Loos

Basket-ball Derby de l’Est : la SIG joue l’acte I à Nancy
le 13/03/2012 à 05:01 par Olivier Arnal

Ricardo Greer et les Strasbourgeois se rendent à Nancy avec l’envie de s’y imposer. Archives J.-M. Loos

Avant de s’affronter en championnat ce samedi au Rhénus, la SIG et le SLUC Nancy se retrouvent ce soir à 20 h en Lorraine pour le compte des 8 e de finale de la Coupe de France.

Déçus par la défaite de ce week-end à Roanne (74-71), les basketteurs alsaciens n’ont pas le temps de gamberger. Cette semaine est en effet placée sous le signe du derby de l’Est. Les Strasbourgeois de Vincent Collet et les Nancéiens de Jean-Luc Monschau en découdront tout d’abord ce soir (20 h) en Lorraine pour les 8 e de finale de la Coupe de France avant de se recroiser au Rhénus samedi (19 h) en Pro A. « On bascule vite et franchement, on n’a pas encore eu trop le temps de s’y pencher, affirme le coach de la SIG. Par rapport à la déception de samedi qu’il va falloir digérer, je ne peux pas encore dire si c’est une bonne chose. »
« Quelque chose à y faire »

Après avoir éliminé des équipes de niveau inférieur - Charleville-Mézières (N1) et Châlons-Reims (Pro B) - lors des tours précédents, les Bas-Rhinois n’auront cette fois pas l’avantage des pronostics sur la route de la finale de Bercy. « La Coupe est un moyen d’aller chercher un trophée même si, malheureusement, le tirage est corsé. Mais cela nous offre la possibilité de confirmer nos progrès à l’extérieur. Je pense qu’on a quelque chose à y faire. Ce qu’on produit à Roanne le montre même si je considère que nous avons raté le coche et un peu gâché. Cela reste tout de même une performance consistante. Aujourd’hui, on sait que l’on peut mieux voyager », affirme Vincent Collet.

Troisième de Pro A, le SLUC Nancy n’est pas irrésistible depuis quelques semaines. Si les Couguars ont dominé Nanterre (81-59) samedi dernier à Gentilly, ces derniers sont revenus avec une étonnante valise du Havre (91-61) la semaine précédente. « C’est une équipe contre laquelle il faut bien défendre sinon c’est dangereux. Mais à côté de ça, ils ont eu des performances à l’opposé de cela », s’étonne le technicien alsacien. En championnat, lors de la 2e journée, ses joueurs s’étaient inclinés d’un rien (67-62) sur le parquet d’une formation lorraine emmenée par un certain Nicolas Batum retourné depuis en NBA.

Au complet, les Strasbourgeois comptent jouer à fond cette première manche du derby de l’Est. Sans penser à celle de samedi. « Quoi qu’il se passe lors de cette première rencontre, ça aura de toute façon une incidence sur la suivante, précise le sélectionneur des Bleus. Chaque match amène une réaction mais on ne sait pas forcément dans quel sens. Il n’y a pas de certitude. A priori, ils sont plus forts que nous alors si on a le bonheur de les surprendre chez eux, cela va les rendre plus prudents lors du second match. Mais on va y aller pour jouer et gagner. » C’est en effet le meilleur remède pour éviter de gamberger avant la confrontation en championnat.

SLUC NANCY - STRASBOURG IG, ce soir à 20 h au palais des sports Jean Weille à Nancy. Coupe de France (8 e de finale).

Nancy : 5. Akingbala, 6. Grant, 8. Shuler, 9. Sylla, 11. Linehan, 12. King, 13. Samnick, 14. Pinda, 16. Kurtic, 17. Amagou, 18. Moerman, 20. Kurz. Entraîneur : Jean-Luc Monschau assisté de Cédric Heitz.

Strasbourg : 4. Oliver, 6. Zianveni, 7. M’Baye, 8. Toupane, 9. Jeanneau, 10. Invernizzi, 11. De Jong, 12. Ajinça, 14. R. Greer, 15. Anderson. Entraîneur : Vincent Collet assisté de Pierre Tavano et Olivier Weissler.
Le programme

Gravelines - Cholet auj. 20.00

Boulazac (ProB) - Orléans auj. 20.00

Nanterre - Le Mans auj. 20.00

Le Portel (ProB) - Le Havre auj. 20.00

Nancy - SIG auj. 20.00

Limoges (ProB) - Villeurbanne auj. 20.00

Saint-Vallier (ProB) - Chalon/S. le 2.04

Roanne - Hyères-Toulon le 3.04

est republicain
Basket-ball - 8 e de finale SLUC - Strasbourg, ce soir (20 h) Pas de place pour l’impasse
En quête de régularité et de deux victoires consécutives depuis plus de deux mois le SLUC ouvre la parenthèse Coupe de France sans état d’âme. Acte un de la semaine des voisins.








Kenny Grant et
les Nancéiens n’ont pas l’intention de brader ce match de Coupe de
France, car ça pourra être un bon moyen de se préparer aux play-offs.
Photo d’archives Patrice SAUCOURT


Kenny Grant et les Nancéiens n’ont pas l’intention de brader ce match de Coupe de France, car ça pourra être un bon moyen de se préparer aux play-offs. Photo d’archives Patrice SAUCOURT

Nancy. Malgré son début d’année 2012 chaotique, le SLUC est toujours un candidat déclaré au top 4 en fin de saison régulière (le top 2 paraît désormais inaccessible). De son côté, Strasbourg (11 e de Pro A) est lancé dans une impitoyable course à la qualification pour les play-offs et a laissé filer, samedi à Roanne (71-74) une belle occasion de se rapprocher du huitième strapontin. « On va probablement regretter cette défaite », a d’ailleurs reconnu Vincent Collet, « Car, si on est en progrès, on voit que les possibilités de faire un exploit se réduisent. »

Petit coup d’œil sur le calendrier : en effet, lors des neuf derniers matches de championnat, la SIG devra encore en découdre avec Nancy, Le Mans, Gravelines, Paris-Levallois, Dijon, Orléans et Cholet. Coton !

Tout cela pour dire qu’entre le huitième de finale de Coupe de France, ce soir à Gentilly et le match comptant pour la vingt-deuxième journée de championnat, samedi au Rhénus de Strasbourg, l’objectif prioritaire est ciblé d’un côté comme de l’autre. « Gagner le championnat de France est toujours l’objectif majeur », admet volontiers Jean-Luc Monschau, avant d’ajouter : « sans pour autant brader la Coupe de France. »

Affirmer qu’à choisir, Strasbourgeois et Nancéiens préféreraient gagner samedi plutôt que demain, ne constitue pas un procès à charge. Cela répond même à une forme de logique et de bon sens, bien qu’aucun des deux clubs n’ait inscrit la Coupe de France à son palmarès jusqu’à présent. Mais surtout, les deux équipes n’ont aucune raison apparente de choisir.
« Une équipe qui domine sur le plan physique »

Pourquoi devraient-ils le faire ? Parce que rencontrer la même équipe à cinq jours d’intervalle dans deux compétitions différentes inciterait à faire une impasse sur l’un des deux rendez-vous ? « Il n’y a pas d’impasse à faire », affirme le coach du SLUC, « Cet enchaînement peut nous préparer aux play-offs, avec des ajustements effectués entre les deux matches. La première rencontre servira de référence et de base de travail, ce qui rendra la deuxième encore plus intéressante. »

C’est d’autant plus vrai que, pour les deux entraîneurs, décortiquer le match aller (67-62, le 15 octobre dernier, à Gentilly) n’a plus grand intérêt aujourd’hui, tant les effectifs ont évolué d’un côté comme de l’autre. A Nancy, King et Kurz ont « remplacé » Batum et Badiane. A Strasbourg, Harper et Allen ont trouvé leur bonheur en NBA, contrairement à Ajinça qui lui a posé ses valises en Alsace. Avec le renfort de ce géant (2,15m), la SIG a franchi un palier dans la dimension athlétique. « Strasbourg est une équipe qui domine sur le plan physique », constate Jean-Luc Monschau, « Sa force au rebond lui offre plus de possessions. »

Outre un billet pour les quarts de finale de la Coupe de France, le SLUC a d’autres jolis poissons à pêcher dans ce premier face à face de la semaine. Par exemple, il pourrait sauter sur l’occasion pour tenter d’afficher un peu de continuité dans la performance. Et pour signer deux succès consécutifs, ce qui ne lui est plus arrivé depuis l’enchaînement entre le déplacement à Hyères-Toulon (le 27 décembre) et la réception de Roanne (le 7 janvier). Dans le contexte actuel, une défaite ce soir constituerait une nouvelle rechute bien contrariante.

Thomas SIMON

publié le 13/03/2012 à 05:00
basket | coupe de france Vincent Collet : « C’est dur !
L’entraîneur des Bleus olympiques, médaillé d’argent au dernier Euro, affiche moins de réussite avec Strasbourg que le Sluc rencontrera ce soir en coupe de France et samedi en championnat. Un double défi pour Vincent Collet.





Vincent Collet a pris en main le destin de Strasbourg. Photo Clotilde VERDENAL

Vous êtes un personnage important dans le basket. Que pensez-vous de cette coupe de France ? « Une compétition qui permet de gagner quelque chose en très peu de matches. Il faut voir le bon côté des choses… »
INTERVIEW

• Il y a un "mais"? « Les formules changent et sont alambiquées. Maintenant, on en est à un système régional. Il est vrai que c’est un peu bizarre car nous étions obligés de retrouver Nancy. C’est un cadeau géographique, pas sportif ! Les clubs ont râlé pour raccourcir les déplacements. Je suis conscient que la formule idéale est difficile à définir. »

• Une coupe de France réservée aux professionnels qui plus est… « Oui, car le basket est une discipline particulière qui ne réserve pas beaucoup de surprises contrairement au football. Avant, il existait des tableaux préconçus. Je me souviens d’un match Le Mans - Nancy, du temps que j’étais dans la Sarthe. C’était à celui qui ne voulait pas gagner de peur d’en prendre une bonne au tour suivant contre le Pau-Orthez de la grande époque ! Un rival alors injouable. »

• Ce soir, vous n’allez quand même pas baisser les bras ! « Non, évidemment, grâce à la coupe, on a des matches en plus. Nous tenterons d’aller le plus loin possible sachant que nous n’avons pas eu le temps de préparer correctement cette rencontre pour être rentré du déplacement à Roanne, seulement dimanche après-midi. Nous aurons davantage de temps pour travailler le match de samedi. »

• A priori, on devine votre préférence. Quitte à choisir, ce sera une victoire en championnat plus qu’une qualification en coupe ? « Entre ce que je pense et ce que je souhaite… En gagner l’un des deux serait déjà bien. Remporter les deux serait parfait. »

• On pose cette question en songeant à votre objectif principal : participer aux playoffs réservés aux huit premiers du championnat. « C’est mal engagé depuis notre échec, samedi, à Roanne. Oui, ce sera compliqué… (Strasbourg est à un point des quatre formations classées de la 7 e à la 10 e place). Si nous perdons contre Nancy en fin de semaine, ce sera presque cuit d’ailleurs. Il nous faudra vaincre mais ce ne sera pas suffisant. Ce serait la défaite de trop par rapport à ces playoffs qui sont, effectivement, l’objectif premier. »
Zianveni à la bonne

• A Roanne, voici trois jours, vous concédez une courte défaite sans que cela soit une contre-performance. « Le problème, c’est que cela nous arrive souvent. Ce match résume notre saison. On a besoin de beaucoup de marge. Or, à l’extérieur, c’est rarement le cas. On s’incline de peu aussi à Paris ou Villeurbanne… Quand on a la maîtrise du jeu, nous ne créons pas de break. Si le train des playoffs part sans nous, on nourrira alors pas mal de regrets. »

• Strasbourg a donc des faiblesses chroniques ? « Le manque de rigueur même si nous sommes en progrès, notamment dans la consistance défensive. »

• On ne va pas vous trouver des excuses mais le lock-out NBA avec les départs de Harper et Allen vous a fait mal… « Exact, il nous fait énormément souffrir. Avec notre parcours avant et après, Strasbourg est en playoffs. »

• Vos légers dérapages aux grosses conséquences prouvent-ils une fois encore que le championnat constitue un piège permanent ? « C’est dur ! Hormis Gravelines et Chalon, qui possèdent une petite marge, les autres équipes ont des coups de moins bien. Et les deux leaders n’écrasent pas tout dans ce championnat homogène. A part Hyères-Toulon, un cas à part, les quinze autres ne sont jamais en sécurité. »

• Comment jugez-vous les prestations des anciens Nancéiens Ricardo Greer et Maxime Zianveni ? « Plutôt bien. Seul souci : les fautes personnelles comme samedi à Roanne. Leur présence est très importante en dureté, en compétitivité. Max est intense. Des joueurs comme eux, ça me va bien. »

• Vous donnez également la chance aux jeunes, tels Toupane ou Invernizzi, même au cours de duels incertains. Plutôt sympa ? « Leur progression mérite d’être récompensée. Ces gamins travaillent fort. Hugo (Invernizzi) a plein de qualités. Il jouera régulièrement maintenant. J’en suis très content. »
« Personne n’est à l’abri »

• Et Vincent Collet est en train de ressusciter Alexis Ajinça ! « Il a été exceptionnel mercredi dernier (à Nanterre), beaucoup moins samedi (à Roanne). Il manquait de temps de jeu (en NBA, le pivot faisait banquette). On lui donne l’occasion d’en avoir. Alexis arrivera bientôt à se stabiliser et donc, à progresser. »

• Avez-vous été surpris quand Nancy a pris 40 points à la Semaine des As puis 30 au Havre ? « En basket, ça va très vite… A la Semaine des As, Chalon a montré un niveau incroyable. Que le coach à qui ce n’est pas arrivé prenne la parole ! Et quand on n’en a pas pris une bonne, on sait qu’elle ne va pas tarder. Mais Nancy a aussi mis deux trempes à Pau et Nanterre. Quelle lecture faut-il avoir ? Si les lourdes défaites nous donnent des raisons d’espérer, on est loin d’être à l’abri contre ce Sluc qui demeure très dangereux. »

• Le sélectionneur se sent-il à l’aise en Alsace ? « Avec deux ou trois succès supplémentaires, ce serait très bien. Pour l’instant, je suis frustré sur le plan sportif. Mon équipe qui se tient, gâche un peu. »
Alain THIÉBAUT.

Bernard King - Ricardo Greer

Samnick/Kurz - Ajinca

impatient de voir ce que va nous concocter Monschau

James a écrit:

Bernard King - Ricardo Greer

Samnick/Kurz - Ajinca

impatient de voir ce que va nous concocter Monschau

James pour les articles.

J'ai peur pour notre King face à Ricardo, il va se faire démolir

C'est plus après qu'avant qu'il risque d'avoir le colon eninflammé.

C'est pas moi qui le dis

Il est "on fire" mais de l'intérieur ^^.

Savez vous svp si il y a une diff sur FR3 région?

Il y aura une diffusion sur le site internet de france 3 region : http://video-direct.france3.fr/player.php?id=1311

Super Zuddas dans les starting blocks!

De la bonne humeur au programme et une victoire on l'espère!

Pour mon birthday!

Espèrons qu'on aura droit a du floaping en fade-away ou un truc du genre même si Faison n'est pas présent ce soir, c'était énorme le pascalou au taquet^^



COME ON SLUCIANS!!!

Zoyeux z'anniversaire NancyBoy !