[TA Euroleague] 11-12 :: Pas de qualification au Top 16

Sluc, le KO de Noël
Nancy a terminé sa campagne européenne sur un quatrième revers d’affilée. Mais cette prestation est rassurante en vue des prochaines joutes françaises.

Que reste-t-il de nos amours européennes si ce n’est un rêve piétiné. Un fol espoir bafoué. Si ce n’est le record historique (ou anecdotique ?) de cette compétition suprême, établi par le lutin Linehan (15 passes décisives en un seul match) ? Oui, que reste-t-il, si ce n’est le nombre de victoires sur les parquets internationaux : trois, soit une de plus qu’en 2008 ? Que reste-t-il si ce n’est ce futur 100 % français nous attendant… Passent les saisons, l’échec demeure. Celui du club lorrain. Celui du champion hexagonal, surtout, recalé aux portes du top 16 des heureux élus.

Akingbala au repos, il revenait au jeune Sylla de tenir propre l’intérieur nancéien. Mais c’était la cavalerie légère meurthe-et-mosellane qui sonnait la charge. Du genre si on meurt, ce ne sera pas sans combattre… Shuler, efficace (10 des 23 premiers points) et Linehan, aussi vif que provocateur, donnaient le tournis à une défense grecque peu concernée ! L’Olympiakos, fainéant, était dépourvu d’agressivité. La légendaire dureté du basket hellène en prenait un coup. Comme ça courait dans tous les sens du côté nancéien, on parvenait à une différence sympathique (15-10, 19-12, 25-17). Moerman rajoutait une couche dorée au jeu plein de rythme d’un Sluc misant tout sur les actions individuelles, au contraire de son rival ayant le souci collectif : neuf marqueurs en 21 points. Les Lorrains, décontractés, sans lourdeur psychologique étant donné l’absence d’enjeu, avaient les mains libérées : 75 % d’adresse !

En face, les stars semblaient orphelines du seigneur Spanoulis. Et clouées au pilori par les joueurs de Monschau donnant, enfin, sa chance à Badiane. L’homme du banc, puni depuis de longues semaines, assurait drôlement sous le cercle en compagnie de Sylla, tant en défense (deux contres) qu’offensivement. Quant aux "petits", tels Shuler, Linehan, Amagou, ils assommaient un peu plus les portuaires du Pirée. Incroyable, Nancy affichait 13 longueurs d’avance (13 e minute).
Des Grecs en colère

De quoi fouetter l’orgueil de cet opposant qualifié pour le top 16 des meilleurs. Les richissimes visiteurs retrouvaient leurs vertus de guerrier, faisant bouger davantage leurs épaules et leurs biceps. Il n’en fallait pas plus pour dissuader les Nancéiens, soudain désunis, notamment derrière. Avec Antic en figure de proue macédonienne, les Athéniens infligeaient un sévère camouflet au Sluc (7-23) pour s’emparer autoritairement des commandes à mi-chemin (44-47).

La punition se poursuivait à la reprise (moins sept) avant que le trio Linehan-Shuler-Badiane n’incarne l’énorme cœur de ce groupe. Quel bel exemple de combativité et de professionnalisme ! Le Sluc jouait même les caïds en quête de grand pardon après trois mémorables raclées dans cette Euroligue. Le verrou nancéien fonctionnait de nouveau à merveille (6 points en 7 minutes pour les Grecs), d’où ce 16-4 étonnant incitant à l’optimisme (64-56). Le suspense survenait même à point pour compenser le manque d’importance du résultat, quand l’Olympiakos, décidément irrégulier, se vengea de cet affront. Et des Grecs en colère, c’est quelque chose ! Le Grand Nancy devint tout petit… Prenant une claque magistrale (0-17) tout en étant réduit à un mutisme spectaculaire : aucun panier en huit minutes. Désolant.

La formation hellène s’appropria l’écart nécessaire au moment idéal : + 9 à quatre encablures d’une issue haletante et serrée. Un vrai match, finalement, que le Sluc perdait, en panne de rebonds ou de paniers lointains trop tardifs. Pas grave, l’honneur était sauf. Dommage tout de même d’avoir manqué ce quatre sur cinq à la maison…
Alain THIÉBAUT.

« Beaucoup de frustration » Moussa Badiane : « Ce soir, il y a beaucoup de frustration, mais nous avons quand même fait un bon ...

Moussa Badiane : « Ce soir, il y a beaucoup de frustration, mais nous avons quand même fait un bon match. Mis à part à Vitoria, notre parcours a été globalement correct. Il aurait fallu tout gagner à domicile. Le départ de Nicolas Batum nous a fait mal, mais nous n’avons pas d’excuses, nous avions toutes les cartes en main. »

Dusan Ivkovic : « Mon équipe a eu du mal à s’adapter en l’absence de Spanoulis et Papadopoulos, les joueurs les plus expérimentés en Euroligue. Avec 27 points encaissés, notre premier quart-temps n’était pas du niveau de l’Euroligue. Mais je retiens que c’est notre première victoire à l’extérieur. »

Jean-Luc Monschau : « Les joueurs ont été au bout de leurs forces. Mais les forces ont manqué à la fin, surtout en l’absence d’Akingbala. Nous perdons car l’Olympiakos a récupéré trop de balles sous notre panier. »



Est republicain

Sylla « scouté » par les Raptors



Nancy. La NBA a repris ses activités… et envoie à nouveau des scouts dans toutes les salles d’Europe et d’ailleurs. Hier, c’est un représentant des Raptors de Toronto qui était dans la salle pour observer un certain Abdelkader Sylla.

VACANCES. Le moins que l’on puisse dire, c’est que celles des joueurs nancéiens seront réduites, cette année. Et pour cause. Aujourd’hui et demain, les Couguars feront relâche. Ils reprendront le chemin de Gentilly le jour de Noël afin de préparer leur déplacement à Hyères-Toulon, mardi 27. Ensuite, seulement, ils pourront partir en vacances. Enfin… uniquement ceux qui ne participeront pas au All Star Game, jeudi 29 décembre à Paris, sachant que six joueurs et l’entraîneur monteront sur les planches de Bercy. La reprise est ensuite fixée au mercredi 4 janvier, le match suivant étant la réception de Roanne le 7 janvier.

ENFANTS. Grâce au SLUC et au Rotary Club de Nancy, une quarantaine d’enfants de SOS Village d’enfants de Jarville-la-Malgrange ont pu visiter vendredi les infrastructures du Palais des sports et assister à l’entraînement des pros. Le 7 janvier prochain, ils seront invités pour la rencontre SLUC - Roanne.

MINUTE DE SILENCE. Le SLUC a demandé l’autorisation à l’Euroleague d’effectuer une minute de silence en hommage à Ronnie Smith, disparu cette semaine et qui avait porté les couleurs du club nancéien lors de la saison 1991-92. Autorisation évidemment accordée par l’organisateur.

NOËL. Le Palais des sports était décoré aux couleurs de Noël, hier soir. Un sapin dans le hall, un bonnet rouge et blanc posé sur chaque siège… et un Père Noël (le vrai, bien entendu) qui a déambulé dans les travées de Gentilly à la mi-temps, pour le plus grand plaisir des petits… et des grands.

DÉCALE. Le match SLUC - Gravelines, initialement programmé samedi 14 janvier, a été avancé au vendredi 13, pour cause de retransmission sur Sport +.

STAGE. Les entraîneurs « région » étaient en stage à Nancy, cette semaine, accompagnés par le CTS Philippe Ory. Mardi, à Gentilly, ils ont eu droit à une séance de travaux pratiques avec les cadets et espoirs du SLUC. A noter que parmi les stagiaires figure un certain Pawel Storozynski, ex-joueur pro de Dijon et Limoges et qui évolue désormais en N2 avec le GET Vosges.

DÉPLACEMENT. Le club des supporters organise un déplacement à Orléans, le 21 janvier. Date limite d’inscription le 14 janvier. Renseignements sur le site du club des supporters : www.couguars.fr

T.S.



Est republicain

Du top au flop
Séduisant et compétitif avec Nicolas Batum, le SLUC s’est effondré après son départ. Il y a eu un avant et un après. Bilan mitigé, forcément.



Victor Samnick (à gauche) et Adrien Moerman (à droite) savaient qu’un jour il faudrait faire sans Nicolas Batum. Mais le SLUC n’est pas parvenu à combler son absence. Photo P. SAUCOURT

FLOP 16. Pour la cinquième saison consécutive, le top 16 se déroulera sans représentant français. Comme Cholet, Villeurbanne, Le Mans et Roanne ces dernières années, le SLUC n’est pas parvenu à se faire inviter à la table des grands d’Europe. Pau-Orthez (en 2006-07) reste donc la dernière équipe de l’Hexagone à avoir réalisé cet exploit. Depuis, le bilan des clubs français en première phase est bien maigre : 20 victoires pour 58 défaites en cinq éditions.

Avec trois victoires au compteur, l’équipe de Jean-Luc Monschau a fait mieux que lors de sa première campagne, en 2008-09 (2 victoires), qui plus est dans un groupe nettement plus homogène. En revanche, son bilan n’est pas meilleur que celui de ses deux prédécesseurs en 2010-11 (Cholet, 4 victoires) et en 2009-10 (ASVEL, 3 victoires). Enfin, lors de ses deux campagnes, Nancy n’est pas parvenu à remporter le moindre succès en déplacement (dix défaites). Bref, le cas de la France, qui avait pourtant quatre représentants sur la ligne de départ cette saison (Villeurbanne, Gravelines et Cholet ont disputé le tour préliminaire), ne s’arrange pas…

AVANT-APRES. A l’heure du bilan, on ne peut s’empêcher de penser que Nicolas Batum a autant été le « messie » tombé du ciel que l’arbre qui a caché la forêt. Sur le plan chiffré, le comparatif est sidérant. Avec Batum, le SLUC a remporté trois matches (pour autant de défaites), il a inscrit 81 points de moyenne et en a encaissé 82,3, pour un panieraverage général de -8.

Le prix des rebonds


Depuis le départ de l’ailier de Portland, cette forme d’équilibre a complètement volé en éclats. Quatre défaites en quatre rencontres, 64,2 points marqués, 84,7 points encaissés et -82 de panier-average. Un être vous manque… Surtout que cet être-là reste, à l’issue de la première phase, le numéro un à l’évaluation, le septième rebondeur et le neuvième marqueur de la compétition… « Cela ne sert à rien de se demander aujourd’hui ce que l’on aurait pu faire si Nicolas (Batum) était resté avec nous jusqu’au bout », soupirait Jean-Luc Monschau jeudi soir, « mais je suis convaincu que si on avait pu l’intégrer un peu plus tôt, on aurait pu être plus compétitif sur un ou deux matches à l’extérieur ». On peut également se demander quel aurait été le bilan du SLUC si le lock out NBA n’avait jamais existé…

DERNIER DE LA CLASSE. Même s’il ne revêtait plus de véritable enjeu, ce dernier match face à Olympiakos est assez révélateur des failles qui ont coûté cher au SLUC. En l’absence d’Akingbala, l’équipe de Jean-Luc Monschau a laissé 17 rebonds offensifs aux Grecs. Un mal récurrent dans un secteur primordial, notamment depuis que Nicolas Batum a rejoint la planète NBA. Aujourd’hui, le SLUC paie forcément le prix fort pour avoir abandonné tant de deuxièmes chances à ses adversaires. A l’issue de la première phase, Nancy est la plus mauvaise équipe de l’Euroligue aux rebonds (ex aequo avec Cantu et Charleroi, 31 de moyenne) ainsi qu’aux rebonds défensifs (avec Vitoria, 21 de moyenne). Quelques satisfactions dans la colonne statistiques, tout de même : son adresse à trois points (8e, 36,3 %) et son activité en matière d’interceptions (1er, 8 de moyenne).

Thomas SIMON



Est républicain

Sept campagnes européennes Depuis l’arrivée de Jean-Luc Monschau sur le banc nancéien, le SLUC est, de loin, l’équipe la plus ...



Depuis l’arrivée de Jean-Luc Monschau sur le banc nancéien, le SLUC est, de loin, l’équipe la plus régulière dans la performance en Pro A. Le bilan dans les différentes coupes d’Europe est en revanche moins reluisant. Depuis la saison 2005-06, le SLUC a toujours participé à une compétition européenne : deux fois en Euroligue, trois fois en Eurocup et à deux reprises en Eurochallenge (les deux dernières ayant porté différentes appellations). Or, son seul fait d’armes est un huitième de finale d’Eurocup, en 2006-07, perdu en deux manches contre Strasbourg. Pour le reste, le SLUC n’est jamais parvenu à s’extirper de la première phase et affiche un bilan total de 24 victoires pour 36 défaites.

- 2005-06 (Eurochallenge) : 2 victoires — 4 défaites, éliminé à l’issue de la première phase.

- 2006-07 (Eurocup) : 7v — 5d, battu en huitième de finale par Strasbourg (0-2).

- 2007-08 (Eurocup) : 4v — 6d, éliminé à l’issue de la première phase.

- 2008-09 (Euroligue) : 2v — 8d, éliminé à l’issue de la première phase.

- 2009-10 (Eurocup) : 3v — 3d, éliminé à l’issue de la première phase.

- 2010-11 (Eurochallenge) : 3v — 3d, éliminé à l’issue de la première phase.

- 2011-12 (Euroligue) : 3v — 7d, éliminé à l’issue de la première phase.

T.S.



Est républicain

On a aimé


- L’affluence pour ce dernier match sans enjeu (5.268 spectateurs). En cinq rencontres, l’Euroligue aura attiré 28.685 spectateurs à Gentilly (5.737 de moyenne).

- Revoir Moussa Badiane gambader sur un terrain. Le pivot a « profité » de l’absence d’Akin Akingbala pour montrer qu’il pouvait apporter à son équipe.

- Le suspense qui a accompagné les deux autres rencontres du groupe (Cantu — Fenerbahçe et Bilbao — Vitoria) tout au long de la soirée. La lutte pour le top 16 était chaude en Italie et au Pays Basque espagnol.

On n’a pas aimé


- Assister à un match sans véritable enjeu. C’est relativement rare au cours d’une saison. Heureusement.

- Les dix-sept rebonds offensifs pris par Kyle Hines et ses coéquipiers de l’Olympiakos sur la tête des Nancéiens. Dix-sept occasions supplémentaires de marquer pour les Grecs…

- Le traitement de faveur parfois réservé par les arbitres à l’Olympiakos et son emblématique entraîneur Dusan Ivkovic, champion du monde, triple champion d’Europe avec l’ex-Yougoslavie et vainqueur de l’Euroligue en 1997. On ne prête qu’aux riches…



Est républicain

La France loin de l’Europe
Nancy a cristallisé les faiblesses actuelles du basket français encore une fois absent du Top 16.


La même rengaine. Depuis 2001, on compte seulement trois incursions des clubs hexagonaux dans ce Top 16 de l’Euroligue (Pau deux fois et Villeurbanne). Une misère. Nancy, représentant unique de la France, sera exclu de la grande fête finale, confirmant les difficultés des clubs de Pro A à survivre dans ce contexte relevé au moment où les Bleus de Vincent Collet et Tony Parker ont atteint le sommet.

Ce manque de moyens financiers et structurels (Bilbao vient de rénover son palais porté à 15 000 places) ne permet pas au Sluc comme à ses rivaux nationaux, de garder les internationaux ou même de conserver les pépites de sa jeunesse triomphale. Aujourd’hui, après cette phase de lancement, la domination des autres est plus que jamais sans partage : sept pays se sont jetés sur les seize strapontins du bonheur : quatre pour l’Espagne, trois pour l’Italie et la Turquie, deux pour la Grèce et la Russie, un pour la Lituanie et Israël.

Aujourd’hui, le champion de France, avocat d’un basket pas encore assez dense, se situe au niveau des voisins allemand et belge, de la Pologne ou de la Slovénie… « Mais on n’est pas passé loin. Il suffit de voir que Vitoria, l’un des grands d’Europe, est éliminé pour constater que notre groupe était inextricable. » Certes… Avec trois succès et deux courts revers concédés sans le précieux Akingbala (-4 à Istanbul, -5 face à l’Olympiakos), on aurait vite fait d’arriver à cinq succès. Or, dans d’autres poules, Milan et Galatasaray se sont qualifiés avec quatre victoires…

Tirage au sort fatal
Le Sluc était-il mal tombé dans ce groupe A ? Oui puisqu’il s’est coltiné cinq formations appartenant aux quatre nations ayant le plus de qualifiés pour le Top 16 (Espagne, Italie, Turquie, Grèce). On guettera néanmoins avec attention la carrière de Cantu, Fenerbahce, Olympiakos et Bilbao. Pas sûr qu’ils aillent loin… Rappelons quand même que les dès étaient pipés avec le passage de Nicolas Batum qui aurait pu ne pas être nancéien. Sans ce joueur d’exception, Nancy aurait-il gagné trois fois à domicile ?

Bizarrement, cet échec international refait du club lorrain, un favori en puissance sur le plan français. Le Sluc, premier avec Gravelines et Chalon, n’a pas perdu de terrain en Pro A en jetant toutes ses forces dans les batailles de l’Euroligue. A partir de janvier, pendant que ses principaux rivaux enchaîneront deux matches par semaine (Eurocoupe), le Sluc se reposera et préparera davantage ses duels. Il reste le triptyque Semaine des As, coupe, championnat à s’approprier !

Le champion en titre sera d’autant plus attendu au tournant que son effectif pourrait se bonifier avec le remplacement de Kenny Gregory : «Il n’a pas apporté ce que l’on pouvait espérer. » L’avis de son entraîneur est clair… Il reste aussi le cas Badiane, très en vue jeudi soir face aux Grecs. Jean-Luc Monschau, qui l‘avait puni (trop ?), songe-t-il toujours à l’écarter pour dégoter un joueur de valeur au cas où les genoux d’Akingbala grinceraient trop fort ?

Car Noël annonce un calendrier chargé : Hyères/Toulon mardi, All Star Game le 27, Roanne le 7 janvier et Gravelines le vendredi 13. Le quotidien, quoi…

Alain THIÉBAUT.

Républicain lorrain

Ceux qui pensaient qu'avec la fin du lock out Kirilenko retournerait aux US et aux Nets vont être déçus... Et l'Euroleague n'est pas loin d'être déjà jouée d'avance

Matt Walsh au Caja laboral !!!

Matt Walsh au Caja Laboral
Alors qu'il a achevé sa pige hier à Murcie, Matt Walsh (1,97 mètres, 28 ans) va finir la saison en Espagne. L'ancien Villeurbannais s'est engagé avec le club de Vitoria, comme il l'a annoncé sur son Twitter, confirmant ainsi l'information publiée plus tôt dans la matinée par TuBasket :

"Je vais au Caja Laboral. Merci encore à tout le monde à Murcie, c'était un plaisir de jouer ici".

Il a signé pour un mois avec une option pour le reste de la saison. En 6 matchs à Murcie, Matt Walsh a tourné à 10 points, 3.8 rebonds et 3 passes de moyenne. Dorénavant coéquipier de Thomas Heurtel à Vitoria, l'ancien coéquipier de Joakim Noah aux Gators de Florida va devoir se soumettre à l'exigeance absolue de Dusko Ivanovic, lui qui avait démontré un caractère très difficile l'an dernier à l'ASVEL en même temps qu'un talent pur au dessus de la moyenne (14.2 points, 4.9 rebonds et 5 passes de moyenne).

Jacques SANTINI a écrit:

Matt Walsh au Caja laboral !!!

Matt Walsh au Caja Laboral
Alors qu'il a achevé sa pige hier à Murcie, Matt Walsh (1,97 mètres, 28 ans) va finir la saison en Espagne. L'ancien Villeurbannais s'est engagé avec le club de Vitoria, comme il l'a annoncé sur son Twitter, confirmant ainsi l'information publiée plus tôt dans la matinée par TuBasket :

"Je vais au Caja Laboral. Merci encore à tout le monde à Murcie, c'était un plaisir de jouer ici".

Il a signé pour un mois avec une option pour le reste de la saison. En 6 matchs à Murcie, Matt Walsh a tourné à 10 points, 3.8 rebonds et 3 passes de moyenne. Dorénavant coéquipier de Thomas Heurtel à Vitoria, l'ancien coéquipier de Joakim Noah aux Gators de Florida va devoir se soumettre à l'exigeance absolue de Dusko Ivanovic, lui qui avait démontré un caractère très difficile l'an dernier à l'ASVEL en même temps qu'un talent pur au dessus de la moyenne (14.2 points, 4.9 rebonds et 5 passes de moyenne).

là, je comprends plus rien au basket... un mec comme Ivanovic qui va recruter un cas comme Walsh... ils ont manifestement du mal à se remettre de leur élimination au top16... l'étape suivante, c'est le recrutement d'un mage ou d'un sorcier ?

Mais Matt Walsh est peut-être sage avec des entraîneurs référencés. Il a sans doute, la saison passée, profité du fait que Ghrib était novice pour se lâcher. Et comme la présence de son compère Jefferson n'arrangeait rien non plus...

évidemment, JC a raison : c'est Walsh qui ve rentrer dans le moule et pas l'inverse !!!

en plus, il y a une période d'essai d'un mois. Comme ça, si Walsh n'en fait qu'à sa tête, on va le voir twitter très bientôt "merci à Vitoria, c'était un vrai plaisir de jouer à Vitoria"

Matt walsh... 10' de jeu et -4 d'éval la semaine dernière...

Dur dur pour le guignol !

Pas mal; WALSH dans le rôle de guignol à LYON

Qui était GNAFRON

Jacques SANTINI a écrit:

Matt walsh... 10' de jeu et -4 d'éval la semaine dernière...

Dur dur pour le guignol !

Je sais pas pourquoi, mais je sens que JC va bientôt nous donner des nouvelles d'un transfert de MATT LE ROUGE pour un autre club

Premier match dans la nouvelle somptueuse salle du Fenerbahce

http://88.80.11.29/43120/watch-fenerbahce-ulker-vs-armania-jeans-milano

bravo à Cantu qui fait un joli come back pour battre Jalguiris Kaunas 79-78... ils passeront sûrement pas mais c'est cette équipe qui a préféré perdre de 1 point chez nous que prendre le risque de jouer une prolongation et perdre le point average contre nous

vous vous souvenez qu'on faisait peur même en EL ?

Cantù, Bilbao et le Fenerbahce qui gagnent ce soir...

Encore un match de folie pour Cantú qui a failli battre le barça. S'en est fallu de peu 62 63.
Quel régal de voir jouer cette équipe. Superbe et de belles individualités. Brunner et Perkins ont été énormes ce soir.

GranD J a écrit:

Encore un match de folie pour Cantú qui a failli battre le barça. S'en est fallu de peu 62 63.
Quel régal de voir jouer cette équipe. Superbe et de belles individualités. Brunner et Perkins ont été énormes ce soir.

Entièrement d'accord avec toi, QUEL MATCH !!!! et QUELLE AMBIANCE !!!!
Il s'en est fallu de peu, mais je pense qu'ils se sont tellement battus qu'ils l'ont payé par la fatigue dans les 5 dernières minutes. Cela se joue a très peu ( le passage en force sur Perkings..., ou la soi-disant faute du Cardinale Mazzarino sur Navarro... ), ils peuvent faire basculer le Grand Barça
Mais belle équipe, BRAVO pour ce super match et ce beau parcours.

Pour ceux qui avaient fait, comme moi, le déplacement, je vous rassure le public n'est pas éteint, des chants et des encouragements du début à la fin du match a vous mettre les poils en l'air

toff54 a écrit:

GranD J a écrit:

Encore un match de folie pour Cantú qui a failli battre le barça. S'en est fallu de peu 62 63.
Quel régal de voir jouer cette équipe. Superbe et de belles individualités. Brunner et Perkins ont été énormes ce soir.

Entièrement d'accord avec toi, QUEL MATCH !!!! et QUELLE AMBIANCE !!!!
Il s'en est fallu de peu, mais je pense qu'ils se sont tellement battus qu'ils l'ont payé par la fatigue dans les 5 dernières minutes. Cela se joue a très peu ( le passage en force sur Perkings..., ou la soi-disant faute du Cardinale Mazzarino sur Navarro... ), ils peuvent faire basculer le Grand Barça
Mais belle équipe, BRAVO pour ce super match et ce beau parcours.

Pour ceux qui avaient fait, comme moi, le déplacement, je vous rassure le public n'est pas éteint, des chants et des encouragements du début à la fin du match a vous mettre les poils en l'air

du basket toujours aussi intelligent... Perkins, une très bonne pioche pour Cantu et, mieux intégré, ils pouvaient être forts s'ils s'étaient qualifiés

OK, Barcelone un peu dans le dur en ce moment mais tout de même

Le BCM est-il bon a prendre en ce moment ? Grosse défaite sur son parquet 61/91...6 matchs et 6 défaites.


http://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Gravelines-nymburk-61-
91/266872#xtor=RSS-2

et l'Asvel a pas l'air mieux contre le Khimki.
http://www.flashresultats.fr/basket/

Par contre Roanne s'incline de 2 petits pts après prolongation à l'extérieur.

Il y a un topic pour ça, partie ProA

Merci.

L'euroleague veut imposer le nom des villes sur les maillots dès la saison prochaine :

http://www.euroleague.net/euroleague-basketball/news/i/94796/6330

En quoi ça nous concerne ? Et puis on l'a déjà le nom de la ville sur le maillot.