[ProA - J7] SLUC Nancy bat STB Le Havre, 86-76 (44-30)

Ben deja on peut pas venir le vendredi et pour s abonner avec les matchs décalés pas evident,pas inviter juste le barbuc

vince a écrit:

Pour ceux qui ont vu tous les matchs du Sluc à domicile ou presque,pourriez vous me faire une analyse de spécialiste sur les qualités et défaut de Grant,il vaut quoi??

Y'a encore une marge de progression??Merci d'avance

Kenny GRANT est un très bon 6ème ou 7ème homme (23 minutes de moyenne).
Actif, présent, bien en jambe il alterne les rotations sur poste 1 et 2 avec pas mal de réussite.
C'est en outre, actuellement notre meilleur shooteur à 3pts avec 40,7% (mieux que Mims par exemple)

Contre Poitiers pour son premier match, il a su remplacer Mims et marquer 14pts... c'était pas évident.
Contre Roanne il a mis de gros shoots (5 à 3pts) mais cela n'a pas été suffisant
Hier, il a été plus éclectique et a encore mis deux shoots (sur 6 tentés).
Il défend correctement et à l'inverse provoque pas mal et comme il est adroit aux lancers...

Mais il est clair qu'il a une marge de progression, notamment dans la constance et sur les matchs à l'extérieur où il est nettement moins performant.

C'est assurément une belle trouvaille.

Basket pro a Un succès bienvenu



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Seize points pour Victor Samnick, deuxième meilleur marqueur de son équipe. Photo Anthony PICORE

Le SLUC a mis fin à une série noire de trois défaites consécutives, hier soir, face à des Havrais éloignés de leur réputation.

Pour réduire au silence Le Havre, cet imposteur sans le sou, ce trousseur de logique qui embête les meilleurs depuis le début de saison, il n’y a pas beaucoup de solutions : tenir le rebond, défendre, enfoncer l’intérieur normand en provoquant le grand Jones, l’une des meilleures tours de l’Hexagone.
Flanqué de cette feuille de route, le SLUC, après un démarrage mollasson dû à un Deane catastrophique et un Linehan éteint, prenait vite la mesure de son rival. Empochant au final un précieux succès demandant toutefois confirmation.
Nancy, d’ailleurs, possède aussi son géant. Akingbala mettait fin à cinq minutes de souffrance (un seul panier en mouvement) en filant deux fautes au fameux Jones, en enfilant les lancers francs avec dextérité et en convertissant les mêmes mouvements, pourtant simples, qui laissaient les Havrais pantois. Akingbala, jamais vu aussi alerte, meurtrissait le cercle. Avec Samnick, il était à l’origine du 10-0 qui donnait un coup de sang au palais de Gentilly. S’en suivait un 18-2 imparable, remettant cette formation de Seine-Maritime à sa place d’anonyme que les pronostiqueurs lui présidaient avant les trois coups. Le Nigérian inscrivait 12 des 19 premiers points d’un SLUC vorace dans les airs.
Samnick veille au grain
A 23-11, l’adversaire de Haute-Normandie avait subi de plein le déchaînement agressif des Lorrains, leur envie également de tuer dans l’œuf le rebond, spécialité hautement havraise. Sous le panier, les statistiques s’avéraient saisissantes : dans le premier quart-temps, les Nancéiens ne marquèrent seulement qu’à l’intérieur et ne rentrèrent aucun tir de loin. Joli, le suivi des consignes. Avec Brun, Badiane, Grant mais sans Linehan ou Akingbala, l’équipe de Monschau maintenait ses distances en pilonnant dessous (12 des 15 tirs réussis avant la pause atteinte sur l’écart maximal (+ 14). Malgré des jeunes comme Camara, Le Havre, deuxième du championnat, décevait. Ce collectif, si dur habituellement en défense (68 points encaissés en moyenne), avait méchamment craqué à mi-chemin (44-30).
Quand on vendange ainsi ses qualités, il est délicat de se montrer à la hauteur surtout quand les arbitres vous mettent les bâtons dans les roues.
Le malheureux Jones, n°1 du Havre, écopait de deux fautes supplémentaires en trois minutes (dont la 4 ^e, synonyme de retour sur le banc). La route lorraine était un peu plus dégagée. Mais les faiblesses visiteuses se révélaient criardes parce que l’ensemble nancéien restait dans des créneaux efficaces (pression sur le porteur de ballon, jeu intérieur, pas d’abus avec les tentatives lointaines). On grimpa donc à + 19 sans sourciller, non sans engagement intense, avant d’aborder le show final avec un matelas douillet (+ 14) même si Le Havre avait décroché la parité sur le troisième acte (21-21).
Riche en gaffes techniques sur le plan individuel, le duel était pauvre en suspense tant le SLUC avait mis sa paluche sur le déroulement d’un jeu que le trio arbitral hachait menu. Ce qui ajouta l’ambiance nécessaire au cœur d’une confrontation à sens unique. Néanmoins, le courage havrais faisait de la résistance (76-62, 35 ^e, 79-68, 36 ^e). Et le cocktail relâchement-fatigue tourna les têtes des joueurs lorrains qui sentirent un frisson passager (80-75 à 1’40 de la fin) sans conséquence. Mais Samnick veillait au grain. L’essentiel était de renouer avec la victoire après trois revers d’affilée.
Alain THIÉBAUT.

Intérieur garni

L’homme du match. Akingbala, 19 points à 75 % de réussite, 7 lancers sur 9, 6 fautes provoquées, 6 rebonds, 2 interceptions, a noirci joliment la ligne de stats sans perdre trop de ballons (2). Mieux, il a su défendre intelligemment sur les pivots adverses.

Le bide. Deane, le nouvel arrivant au SLUC, a du mal… Barré par des fautes personnelles précoces, l’Américain n’a joué que onze minutes : 3 points (un tir sur quatre), 1 rebond, 0 passe…

Le chiffre. 28, le nombre de rebonds du Havre, premier dans cet exercice avant ce match avec une moyenne de 43 prises.

Les statistiques. 57 points sur 86 (20 tirs sur 31) pour les quatre intérieurs de Nancy : Akingbala, Badiane, Brun, Samnick. « Remarquable » a avoué le coach nancéien.

La phrase. « Les fautes sifflées à Jones ont complètement changé la physionomie du match, nous n’avions plus notre point de fixation. On aimerait être arbitré comme ça à domicile », du coach normand Jean-Manuel Sousa. Jones, le n°1 du Havre a eu quatre fautes rapidement et n’a joué que 14 minutes. Heureusement, il a quand même inscrit 13 points en si peu de temps…

A. T.

Républicain lorrain

La lumière était à l’intérieur



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Meilleur marqueur du SLUC hier soir avec 19 points, Akin Akingbala (ici au shoot) fut l’un des principaux artisans de la victoire face au Havre. Photos Patrice SAUCOURT




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Basket-ball

Grâce à Samnick et Akingbala dominateurs dans le jeu intérieur, le SLUC a détruit Le Havre qui n’a jamais lâché.

Nancy. La consigne avait été donnée, répétée, rabâchée depuis mercredi matin au réveil d’une première victoire en Eurochallenge contre Ostende (Belgique). Mots d’ordre : dureté, rebond, férocité à l’intérieur. Coach Monschau avait visé Victor Samnick et Akin Akingbala, ses deux atouts majeurs, là où sous le cercle, il faut jouer des coudes, rouler des épaules, faire don de son corps pour arracher un rebond, claquer un dunk, provoquer des fautes ; bref, détruire l’adversaire.

Message reçu fort et clair. Akin et Victor ont tout bousculé sur leur passage au cours d’un premier quart-temps de feu où les deux géants du SLUC firent des dégâts. Ils marquèrent non seulement 20 des 23 points du SLUC mais mirent hors d’état de nuire pour de longues minutes Joseph Jones (2 fautes en 7’). A la sortie, le SLUC pourtant mal embarqué (0-4, 2 e) passa dans le premier quart-temps un 18-2 qui fil mal aux dents havraises (23-15).

Le SLUC était sur orbite, le SLUC était dans le bon rythme, le SLUC qui défendait le plomb, tenait sa boutique, coach Monschau en bon économe, utilisant tout son effectif.

C’est ainsi que Badiane et Stephen Brun enfilèrent le bleu de chauffe de Samnick et Akingbala, que Grant vint au secours de Willie Deane qui allait rater son match et que Seidou Njoya proposa à John Linehan de souffler.

Le SLUC resta dans les mêmes intentions, la précision de Stephen Brun fut précieuse (7 pts) tout comme l’éclectisme d’un Tremmel Darden au four et au moulin (44-30 à la pause).Deane trop discret

En jouant dur, en se faisant respecter à l’intérieur, le SLUC allait se rendre le match apparemment facile surtout lorsque Jones écopa de sa quatrième faute (24 e).

Samnick et Akingbala avaient repris leur festival à l’intérieur, alors que Gentilly qui rugissait de plaisir sous les impacts et les assauts répétés d’Akingbala, attendait toujours le premier point de Willie Deane (57-41, 26 e).

Un Willie Deane qui attendit que Le Havre profite pour reprendre espoir de trois pertes de balles successives (57-44, 27 e) pour charger enfin son pistolet à trois coups dans le bonheur ambiant. Nancy avait de l’envie, de la gnac, du jump et de l’adresse (6/9) à trois points à l’image d’un Stephen Brun retrouvé et qui réussissait son meilleur match à Nancy cette saison .

Et comme Gentilly était chaud comme de la braise et n’oubliait pas de rappeler à David Chambon, arbitre d’Euroligue, qu’il se trompait un peu trop souvent, Le Havre jouait vent contraire (74-58, 33 e).

Rien ne pouvait donc arriver au SLUC, sauf un coup de pompe. King responsabilisé et Jones relancé avec quatre fautes, en profitèrent pour mettre les nerfs de Gentilly à fleur de peau et rappeler que Le Havre était bien l’équipe surprise de ce début de championnat.

Un panier plus la faute de Jones fit même monter la tension d’un cran (80-75, 38 e) avant que Samnick, revenu un peu tard sur le parquet, finisse le travail. On avait retrouvé ce bon Victor de 2008 et 2009, celui qu’aime tant Jean-Luc Monschau…



Gilles GAIHIER



Est republicain

Le fait du match
Le verrouillage du secteur



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A l’image de Victor Samnick, le SLUC a fait la loi au rebond, la clé de la rencontre.




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Nancy. Toute la semaine, Jean-Luc Monschau avait fait passer et repasser le message à ses joueurs. Face à une équipe du Havre qui domine le classement du rebond (43,2 en moyenne par match), la bataille des panneaux était LA clé qui pouvait ouvrir les portes de la victoire. Un message reçu à merveille.

Agressif et conquérant d’entrée de jeu, le SLUC Nancy a donné une leçon de présence intérieure (38 rebonds à 28) à une équipe havraise hachée menu dans un secteur où elle excelle pourtant, et déboussolée par le poids des fautes qui accabla Joseph Jones.

Deuxième meilleur rebondeur de Pro A, l’Américain écopa de sa deuxième faute dès la septième minute pour regagner le banc prématurément, puis prit sa quatrième faute au milieu du troisième quart-temps. Au final, il ne jouera que 15 minutes. Cela ne l’empêchera pas de compiler 13 pts et 6 rebonds. Mais en décidant de cibler le pivot américain, le SLUC Nancy a réussi à lui faire faire des fautes. « C’était la consigne », admettra Jean-Luc Monschau après coup, « comme Maxime Zianveni est blessé, Le Havre n’avait que Camara en rotation sur les deux intérieurs et on voulait les attaquer là-dessus. Regardez ce que Jones arrive malgré tout à faire en peu de temps multipliez cela par deux, et vous voyez l’épine qu’on s’est enlevé du pied ».La preuve par huit

Même si Ousmane Camara a sorti un bon match (15 pts, 8 rebonds, 20 d’évaluation en 32’), Jones fera presque aussi bien que lui (13 pts, 6 rebonds, 15 d’évaluation) en deux fois moins de temps. « Ça a complètement changé la physionomie de la rencontre », abondera Jean-Manuel Sousa, le coach havrais, « car quand on a un gars comme Joseph, c’est pour le faire jouer ».

Mais si le règlement du « dossier Jones » était déterminant, il n’était sans doute pas suffisant pour réussir cette opération « verrouillage du secteur intérieur ». Il a fallu aussi que l’effort au rebond soit une affaire d’équipe, pas qu’une affaire d’intérieurs. C’est ce qui s’est passé. Si le quatuor Akingbala - Badiane - Brun - Samnick a livré un match énorme (57 pts, 18 rebonds), les extérieurs ont apporté leur contribution au rebond des deux côtés du terrain. La preuve, huit joueurs différents prendront au moins un rebond offensif ! Hier, le seigneur des panneaux était nancéien...

Anthony GUILLE



Est republicain

Le grand chef du SLUC



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Sodexo a prolongé son partenariat avec le SLUC Nancy et son président Christian Fra (à droite).




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Nancy. Entre Sodexo et le SLUC, c’est une histoire d’amour qui dure. Avec la bénédiction de Joël Roy, grand chef au restaurant Le Prieuré à Flavigny, Didier Pain, directeur général de Sodexo accompagné de Régis Allard, responsable des opérations événementielles de l’entreprise, ont prolongé leur partenariat avec le président Fra et le club nancéien.

ESPOIRS. Le SLUC Espoirs a remporté une victoire facile face à une formation havraise bien tendre (70-54). En tête de bout en bout, la jeune équipe de Pierre Verdière a compté jusqu’à 31 pts d’avance (61-30, 31’) pour décrocher un septième succès en sept matches et consolider sa place de leader. Les marqueurs nancéiens : Sylla (13), Kurtic (11), K. Pinda (10), Wachowiak (10), Pintiaux (9), Sené (7), Thalien (7), Garros (3).

PAPA. Ancien champion du monde de karaté, Emmanuel Pinda était dans les tribunes de Gentilly hier soir pour voir jouer ses fistons Kingsley et Levingson qui font partie de l’équipe Espoirs. Pas une première puisqu’il avait déjà été les voir quand le SLUC a joué à Orléans en début de saison. « Comme j’habite Paris, ce n’est pas très loin », expliquait-il avant le match. « Je pense que j’irai aussi les voir au Mans...».

MIMS. Tout juste sorti du centre de traumatologie où il a été opéré du genou mercredi, Ralph Mims était de retour à Gentilly hier soir pour encourager ses coéquipiers. L’arrière américain garde le moral malgré la longue période de convalescence qu’il va devoir observer. « Je reviendrai plus fort », glissait-il dans un sourire avant le match...

SOUVENIRS, SOUVENIRS. Blessé et absent jusqu’à janvier, Maxime Zianveni était tout de même à Gentilly hier. Ravi de retrouver une salle dans laquelle il a joué pendant dix ans (de 1997 à 2007), Aix Max a serré des mains par dizaines, et papoté un long moment avec les joueurs, les bénévoles, les supporters avant de retrouver Cyril Julian pour un moment chargé d’histoire. Les deux hommes totalisent près de 500 matches sous le maillot du SLUC Nancy !

SERIE. Avant le face-à-face d’hier soir, le SLUC Nancy restait sur une série de cinq succès de rang face aux Havrais à Gentilly. La dernière défaite nancéienne dans sa salle remontait au 22 janvier 2005 (77-79).



Est républicain

« De la pression
et le contrôle du rebond »


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« De la pression et le contrôle du rebond »

Jean-Luc Monschau : « Le défi de la journée, c’était de contrôler le rebond face à la meilleure équipe dans ce domaine. Il a fallu de l’agressivité et de l’engagement physique et mental. Les 10 pts d’écart reflètent la physionomie de la rencontre ».

> Stephen Brun : « La plupart des objectifs qu’on s’était fixés ont été remplis mais c’est vrai que le point le plus important, c’était le rebond. On a un peu plus souffert sur la fin car ils ont joué avec deux pivots mais on a réussi une bonne performance collective ».

> Willie Deane : « On était concentrés sur le fait de mettre beaucoup de pression et d’avoir le contrôle du rebond. Je pense qu’on a réussi. C’est bien d’enchaîner avec un deuxième succès mais même après les trois revers qu’on a subis, on a gardé une attitude positive ».

> Jean-Manuel Sousa (coach du Havre) : « On n’a pas su gérer la pression physique et on a été bousculés physiquement tant en défense qu’en attaque. La sortie de Jones en début de match a complètement changé la physionomie de la rencontre ».

> John Cox (Le Havre) : « A l’intérieur, ça a été terrible pour nous. 19 rebonds offensifs pour Nancy, c’est beaucoup trop. Akingbala et Samnick nous ont fait mal. Mais ça m’a fait plaisir de revenir à Nancy même si j’aurais préféré que la victoire soit au bout ».



Est républicain

bacou a écrit:

Intérieur garni

L’homme du match. Akingbala, 19 points à 75 % de réussite, 7 lancers sur 9, 6 fautes provoquées, 6 rebonds, 2 interceptions, a noirci joliment la ligne de stats sans perdre trop de ballons (2). Mieux, il a su défendre intelligemment sur les pivots adverses.

Le bide. Deane, le nouvel arrivant au SLUC, a du mal… Barré par des fautes personnelles précoces, l’Américain n’a joué que onze minutes : 3 points (un tir sur quatre), 1 rebond, 0 passe…

La phrase. « Les fautes sifflées à Jones ont complètement changé la physionomie du match, nous n’avions plus notre point de fixation. On aimerait être arbitré comme ça à domicile », du coach normand Jean-Manuel Sousa. Jones, le n°1 du Havre a eu quatre fautes rapidement et n’a joué que 14 minutes. Heureusement, il a quand même inscrit 13 points en si peu de temps…

A. T.

Républicain lorrain

Willie Deane à distillé trois passes, et non aucune... Et il a volé un ballon.

Joseph Jones, il a été sorti du match par son coach en début de match alors qu'il avait bien commencé avec un "hook" main gauche face à Akin Akingbala. Jean-Manuel Sousa avait prématurément sorti son pivot US, pensant qu'il avait une faute, j'en suis témoin, son assistant l'a même repris. Mis à part le dernier quart, le joueur n'est plus totalement revenu dans son match.

Jacques SANTINI a écrit:

vince a écrit:

Pour ceux qui ont vu tous les matchs du Sluc à domicile ou presque,pourriez vous me faire une analyse de spécialiste sur les qualités et défaut de Grant,il vaut quoi??

Y'a encore une marge de progression??Merci d'avance

Kenny GRANT est un très bon 6ème ou 7ème homme (23 minutes de moyenne).
Actif, présent, bien en jambe il alterne les rotations sur poste 1 et 2 avec pas mal de réussite.
C'est en outre, actuellement notre meilleur shooteur à 3pts avec 40,7% (mieux que Mims par exemple)

Contre Poitiers pour son premier match, il a su remplacer Mims et marquer 14pts... c'était pas évident.
Contre Roanne il a mis de gros shoots (5 à 3pts) mais cela n'a pas été suffisant
Hier, il a été plus éclectique et a encore mis deux shoots (sur 6 tentés).
Il défend correctement et à l'inverse provoque pas mal et comme il est adroit aux lancers...

Mais il est clair qu'il a une marge de progression, notamment dans la constance et sur les matchs à l'extérieur où il est nettement moins performant.

C'est assurément une belle trouvaille.

Pour moi c'est vraiment LA grosse trouvaille de la saison. Il fait bien tourner l'équipe et en plus il prend des shoots à 3pts, un peu comme Mims, sans doute. Il apporte bcp à l'équipe qd il est sur le terrain.
Je me faisais la remarque hier soir, avec lu,i on a deux meneur sur le terrain et la balle circule bien vite.

Il a un sens de la passe assez extraordinaire, notamment pour renverser le jeu, sauter un ou deux spots et surprendre l'adversaire. Par contre, je l'avais déjà remarqué lors de la réception de Roanne : sa mécanique de tir, aussi belle soit elle, est bien lente, ce qui l'empêche de shooter sur son adversaire direct sous peine de se faire contrer, ce qui est arrivé hier soir en fin de partie lors du retour du STB. Il faut qu'il soit super bien démarqué pour déployer son tir sans encombre.

Quant à Saidou N'Joya, avec un temps de jeu régulier, il progresse de plus en plus, et perd de moins en moins de ballon. Lui aussi, comme Grant, possède un sens de la passe au dessus de la moyenne. Le pick'n roll devient une formalité pour lui. C'est dommage que le joueur qui réceptionne le cuir gâche souvent l'offrande en loupant le coche.

Pas de passe de trois pour les couguars
Après la victoire des espoirs puis des pros hier, c'était au tour des cadets de rencontrer leurs homologues ....havrais cet apres midi.Malheureusement, ils n'ont pu égaler leurs ainés et se sont inclinés d'un point sur le score de 76/75 si mes souvenirs sont bons.Le match a été d'une rare intensité , les joueurs se rendant coups pour coups.Progammé à 15h30, il a débuté à 15h45 à l'annexe et s'est terminé à.......18h à gentilly!!!!! Un probléme technique au niveau de la table de marque a contraint les arbitres à changer de salle au bout de 4 mn de jeu.Après quelques tergiversations et comme l'entrainement des pros était fini, la suite du match se déroula dans l'ecrin de gentilly,ce qui ravi joueurs et spectateurs d'autant plus qu'il n'y avait pas de chauffage à l'annexe.

[quote="JC"]Il a un sens de la passe assez extraordinaire, notamment pour renverser le jeu, sauter un ou deux spots et surprendre l'adversaire. Par contre, je l'avais déjà remarqué lors de la réception de Roanne : sa mécanique de tir, aussi belle soit elle, est bien lente, ce qui l'empêche de shooter sur son adversaire direct sous peine de se faire contrer, ce qui est arrivé hier soir en fin de partie lors du retour du STB. Il faut qu'il soit super bien démarqué pour déployer son tir sans encombre.

Quant à Saidou N'Joya, avec un temps de jeu régulier, il progresse de plus en plus, et perd de moins en moins de ballon. Lui aussi, comme Grant, possède un sens de la passe au dessus de la moyenne. Le pick'n roll devient une formalité pour lui. C'est dommage que le joueur qui réceptionne le cuir gâche souvent l'offrande en loupant le coche.[/quote]
ah bon? ben pourquoi il vise JLM? il lui en veut?

et ce bon vieux John Cox , que le monde entier nous a envié , il a bien joué maintenant que c'est plus JLM son coach ?

ah oui, 8,9 pts de moyenne et 6 d'éval sur les 7 premiers matchs de la saison, y'a pas à dire, on voit tout de suite la différence avec ses saisons à Nancy, pourtant il joue là (29' par match)

Il lui faut du temps pour se remettre de son expérience nancéienne

machin00 a écrit:

Il lui faut du temps pour se remettre de son expérience nancéienne

Ce qui n'est sûrement pas une chose facile à côté d'un croqueur comme Bernard King.

L’éclat de la raquette



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19 points à 75%, 6 rebonds et 23 d’évaluation. Akin Akingbala a sorti un gros match samedi. Mais les autres intérieurs se sont mis au diapason... Photos Patrice SAUCOURT




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Avec Akin Akingbala, Moussa Badiane, Stephen Brun et Victor Samnick, le SLUC a pu compter sur un quatuor intérieur d’exception samedi. Ça change la vie.



Attention, la feuille de stats du match face au Havre pourrait bien être collector ! Car à entendre Jean-Luc Monschau samedi soir en salle de presse, elle a quelque chose d’exceptionnel. Invité à commenter la prestation du quatuor intérieur Akingbala-Badiane-Brun-Samnick, le coach nancéien lâcha en effet très sérieux : « Vous pouvez peut-être attendre dix ans avant de revoir un tel match... »

Une phrase qui en dit long sur l’impact des quatre joueurs du secteur intérieur nancéien qu’on n’avait jamais vus autant au diapason depuis le début de saison. Akin Akingbala et Moussa Badiane ont ainsi battu leur record de points de la saison en Pro A (19 et 8), Stephen Brun et Victor Samnick ont égalé le leur (14 et 16 unités).

Au final, le quatuor a pesé d’un poids énorme dans le succès nancéien avec 57 points et 18 rebonds à eux quatre. « On avait ciblé cette intention-là du jeu », remarquait Jean-Luc Monschau, « Mais qu’elle soit exploitée avec un tel rendement, c’est remarquable. » Et forcément, ça change la vie.

Car depuis le début de saison, il faut bien reconnaître que le secteur intérieur ne donnait pas vraiment tous les signes d’une homogénéité rassurante. Akin Akingbala tient la boutique dans la raquette (troisième rebondeur du championnat, huitième joueur à l’évaluation), mais le pivot nigérian est parfois pénalisé par les fautes comme à Pau il y a une dizaine de jours ce qui affecte son rendement. On a retrouvé Samnick

Problématique, d’autant qu’au poste de pivot, Moussa Badiane commence juste à se rapprocher de son niveau qui était le sien la saison dernière quand il dominait les raquettes de Pro B. Avec 8 points en 9 minutes, le pivot a été « rentable » comme le soulignait le coach nancéien samedi soir mais il doit maintenant inscrire sa montée en puissance dans la durée après un début de saison très difficile (1 d’évaluation cumulée sur les quatre premières journées).

Une fragilité nancéienne visible également au poste quatre (intérieur) où avant de sortir un gros match samedi (16 points, 7 rebonds, 20 d’évaluation en 22 minutes), Victor Samnick n’était que l’ombre du joueur qu’il était il y a encore deux saisons à Nancy. « Avant ce match, il avait une évaluation de 6 en 23 minutes alors que lors de sa dernière saison avec nous (Ndlr : en 2008-2009), il était à 12,6 en moins de 21 minutes », calculait Jean-Luc Monschau, « Il était loin de son meilleur niveau. Or, on a besoin de lui, de ses points de près, de son agressivité défensive... »« La capacité de faire mieux »

Des qualités qui n’avaient pas suffisamment transpiré depuis le début de saison et qui avaient cruellement manqué aux Nancéiens. Pas forcément un hasard si le SLUC Nancy a perdu à Villeurbanne, face à Roanne et à Pau-Lacq-Orthez alors même qu’il a été dominé les trois fois sous les panneaux. Trois matches où le secteur intérieur n’a pas réussi à compenser la disette nancéienne à trois points.

Mais l’adresse étant par définition fluctuante, le club nancéien doit s’appuyer sur une raquette plus dominante qu’elle ne l’est jusqu’à maintenant. « On a trop souffert pour le moment dans ce domaine », constatait encore Jean-Luc Monschau, « Alors que je suis persuadé qu’on a la capacité de faire mieux. On a des joueurs qui devraient pouvoir assurer dans ce domaine-là. »

Il le faudra pour espérer jouer les premiers rôles dans ce championnat où la bataille du rebond fait assez régulièrement pencher la balance d’un côté ou d’un autre. Sur ce point, le SLUC Nancy passera un nouveau test grandeur nature vendredi chez une équipe mancelle en crise (deux succès en sept matches et aucun à la maison) mais qui dispose peut-être de la raquette la plus impressionnante de Pro A sur le papier avec Batista, Covile, Koffi et Rupert. Aux intérieurs nancéiens de se mettre une nouvelle fois en quatre...

Anthony GUILLE



Est republicain

Sluc, collectif gagnant


Nancy a réagi sainement pour conserver sa place dans le top huit. Il reste à maîtriser la cadence de deux matches par semaine. Demain, retour à l’Europe et vendredi, déplacement au Mans…

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Battre Le Havre, en théorie, n’a rien d’un exploit. Avec un bon million de moins, le budget normand ne peut rivaliser avec celui de Nancy… Pourtant, l’équipe de Jean-Manuel Sousa dérange les meilleurs. Et on n’est pas loin de penser que l’arbitrage a filé un coup de main aux Lorrains en pénalisant outrageusement l’Américain Jones qui fait la pluie et le beau temps au cœur du collectif de Seine-Marime. Treize points et six rebonds en 14 minutes, imaginez que cela aurait pu donner avec davantage de temps sur le parquet…
Un scandale ? Oui et non. C’est en tout cas la preuve que Le Havre est dépendant de son pivot comme Nancy est très lié à Akingbala. La même mésaventure est déjà arrivée à Jean-Luc Monschau dans l’obligation de gérer les fautes sifflées à l’encontre de sa précieuse tour. Quand Akingbala est sur le banc, le Sluc peine. Les effectifs un peu justes sont à la merci de ce genre de danger.
Quoiqu’il advienne, le club nancéien mérite sa victoire : « Et cet écart final de dix points reflète mieux la physionomie de la partie, précise le coach du Sluc, car si les Havrais reviennent à cinq longueurs, nous comptions dix-neuf points d’avance à la 25 ^e minute. C’est vraiment une belle équipe. Le défi de soutenir la comparaison au rebond était grand. Nous l’avons réussi tant physiquement que mentalement. Il s’agissait d’un combat essentiel. »
Neuf joueurs avec des points dont sept à plus de sept unités, neuf joueurs aussi avec des rebonds, sept avec des passes décisives (24 au total), la formation lorraine a plutôt tourné rond à l’image des rotations qui ont assuré à l’image de Badiane (8 minutes, 8 points), Brun (18 minutes, 14 points) ou Grant à qui son entraîneur rendait hommage : « Il ne marque pas beaucoup dans ce match mais est présent dans les autres secteurs de jeu. » Vrai, l’altruiste Grant, deux tirs sur six, a fini avec 6 rebonds et 5 passes.Tenir le rythme
Nancy a eu besoin de tout son monde pour décrocher une quatrième victoire importante avant de se rendre dans un fief manceau en feu, vendredi. Un quatrième revers de suite aurait précipité le club dans une spirale négative à risques… « Nous avons perdu à Roanne mais ce n’était pas spécialement une contre-performance, se défend Jean-Luc Monschau, quand on voit que cet adversaire gagne à Cholet, club d’Euroligue ! Sinon, effectivement, nous perdons à Pau et Villeurbanne parce que nos rivaux ont été meilleurs que nous, ce jour-là. »
Face au Havre, le Sluc s’est donc remis dans le sens de la marche, confirmant sa victoire en eurochallenge (mardi) devant Ostende. « Gagner les deux matches était notre objectif de la semaine, se réjouissait Stephen Brun, il fallait absolument reprendre confiance. » Il reste une question à résoudre : cet effectif tiendra-t-il la cadence de deux rencontres hebdomadaires ? Réponse dans quelques jours. Demain, direction Mons, vendredi cap sur Le Mans.
Alain THIÉBAUT.

Republicain lorrain

Ca fait drole de voir CJ ds les travees et pas sur le banc!

C'est pas la première fois cette année .

http://www.lnbtv.net/?videos=3722
résumé lnb tv