[ProA - J7] SLUC Nancy bat STB Le Havre, 62-84 (31-42)

« Je préfère être dans une équipe qui gagne »


Même si son temps de jeu et ses statistiques ont fondu, l'ancien Havrais Marcus Slaughter ne boude pas son plaisir d'évoluer au sein d'une équipe ambitieuse.





NANCY._ Meilleur rebondeur (9,5 par match) et meilleur joueur à l'évaluation (21,5 de moyenne) la saison dernière, Marcus Slaughter a été dès le mois de juin le dossier prioritaire du recrutement du SLUC. En faisant preuve de patience et de persévérance, le club nancéien est parvenu à réaliser l'un des plus jolis coups du marché des transferts, cet été.
Mais en quelques mois, l'un des grands artisans du maintien du Havre en Pro A est passé de la lumière des projecteurs à l'ombre d'un début de saison délicat (8 points, 4,4 rebonds et 8,2 d'évaluation moyenne en 16,6 minutes), conséquence de performances en demi-teinte, puis d'une blessure au pouce.
Rencontre.
- Marcus, quels souvenirs gardez-vous de votre saison au Havre ?
- Lorsque je suis arrivé (NDLR : lors de la 8e journée, en provenance de Bremerhaven, en Allemagne), j'ai trouvé que l'équipe était meilleure que ce que n'indiquait le classement. Il y avait quelques très bons joueurs, comme TJ Thompson ou Bingo Merriex et aussi beaucoup de gros bosseurs, de passionnés. Sincèrement, je pense que nous aurions pu faire beaucoup mieux avec cette équipe. Mais nous nous sommes maintenus et cela suffisait largement au bonheur des dirigeants et des supporters.
- Vous aviez débuté la saison à Bremerhaven, en Allemagne. Une rumeur prétend que vous avez été coupé pour avoir avalé une saucisse avec des frites une demi-heure avant un match...
- Je connais cette rumeur. En fait, c'est vrai. J'ai effectivement mangé une saucisse et des frites, mais c'était trois heures avant le match. Et de toute façon, ce n'est pas la raison pour laquelle j'ai été coupé. C'était un prétexte. Mon début de saison était très correct. Mais en Europe, lorsque l'équipe ne gagne pas, cela devient très vite la faute des Américains, qui sont en principe des joueurs majeurs...

« La NBA ? Je ne perds pas espoir »


- Après une belle saison en Turquie (en 2006-07), vous aviez été engagé par le Heat de Miami. Pourquoi l'aventure en NBA ne s'est finalement pas concrétisée ?
- Ils m'avaient fait signer très rapidement, en juillet. Je pense avoir donné satisfaction lors de la présaison, mais la franchise a finalement décidé d'investir de l'argent sur un autre joueur. C'est donc moi qui en ai fait les frais. C'est le business ! Mais je ne perds pas espoir qu'il y ait un jour une autre opportunité.
- Revenons au Havre. Seuls Jomby et Duport (qui est blessé actuellement), ont été conservés dans l'effectif. Vous n'allez donc pas être d'un grand secours en matière de conseils...
- C'est vrai. Le coach (NDLR : Jean-Manuel Sousa) aime les équipes qui défendent et développent du jeu rapide. Mais l'équipe ayant complètement changé, il s'est sûrement adapté et a modifié certaines choses. J'attendrai de voir la vidéo pour me faire une idée.
- Venons-en à votre début de saison. Votre temps de jeu, votre moyenne de points, de rebonds, ont été divisés par deux par rapport à la saison dernière. C'est frustrant ?
- Non. Au Havre, je jouais plus de trente minutes. Ici, je joue moins et il est logique que mes stats soient en baisse. Ce n'est pas ça qui est important. La sensation que procure une victoire est plus intense que le fait de marquer 25 points... Moi, je préfère jouer dans une équipe qui gagne !
- Votre approche est-elle différente ?
- Au Havre, je savais que, quoiqu'il arrive, j'allais passer beaucoup de temps sur le parquet. Ici, dans une meilleure équipe, il faut être efficace très vite. Si vous commettez une erreur, il y a sur le banc un joueur de niveau équivalent qui peut prendre votre place. C'est aussi l'avantage de jouer dans une grande équipe. Vous côtoyez de meilleurs joueurs, de meilleurs shooteurs, de meilleurs passeurs. L'équipe est plus homogène. C'est plus facile...

Propos recueillis par Thomas SIMON


Est republicain

Merci bacou

Va t il jouer face à son ancienne équipe...

Nancy a le profil modeste





Les Lorrains n'arrivent pas en roulant des mécaniques. Bien au contraire, Nancy a le profil modeste, car il lui est arrivé bien des mésaventures dans l'enceinte des Docks Océane. « C'est bien simple, je crois que je n'ai jamais gagné ici, se rappelle Jean-Luc Monschau. L'an passé nous avions perdu, ce qui a permis d'ailleurs au Havre de se sauver, et quand mon frère, Christian, entraînait Saint-Thomas, je ne l'ai jamais battu ici. Donc on ne peut pas se croire en terrain conquis, pour nous les Docks restent à conquérir ».
Ce déplacement impose donc le plus grand respect à Nancy. « Et comment, conclut le coach lorrain, on a tout à prouver. Bien sûr nous avons analysé le jeu des Havrais. Il y a dans cette équipe de petits lutins qui manient bien le ballon et des grands, sous les panneaux, qui ne sont pas maladroits. Nous avons donc tout à craindre de cette équipe, et il nous faudra être à notre meilleur niveau pour qu'enfin je puisse repartir du Havre avec une victoire. Mais je sais que ça va être très difficile ».
P. L.


Paris Normandie

Le Mans et Nancy à l'attaque
Le Mans, face à Chalon, et Nancy, au Havre, vont tenter de décrocher leur cinquième victoire de la saison pour revenir dans les pas de Cholet.

Nancy et Le Mans vont tenter vendredi, respectivement face à Chalon-sur-Saône (20h00) et au Havre (20h45), de rejoindre provisoirement Cholet, qui recevra Strasbourg samedi (20h00). Seule équipe avec Cholet à une seule défaite, Le Mans, qui compte un match en moins - à jouer contre Orléans -, entend enchaîner face à Chalon, qui connaît un début de saison difficile et qui devra faire sans Jérôme Schmitt (qui souffre d'une hernie discale) et Stéphane Risacher (douleur au dos).

«Mais attention, si Chalon traverse une période difficile, il ne faudra pas les prendre de haut», avertit le coach manceau JD Jackson, qui ne sait pas encore s'il pourra compter sur son Américain Marc Salyers, qui souffre lui aussi du dos. De son côté, l'Élan devra attendre la semaine prochaine pour aligner Maxime Zianveni, «un joueur français et non muté, ce qui nous permet de ne pas griller un joker», dixit Gregor Beugnot.

Avant trois matches périlleux - ASVEL, à Hyères-Toulon, Cholet -, Nancy se déplace au Havre avec ambition, pour un «match important», selon les termes de Jean-Luc Monschau. John Cox (mollet) et Stephen Brun (grippe) seront absents mais le SLUC récupère Jeff Greer et Marcus Slaughter, ancien du STB. Le Havre, qui avait remporté trois de ses quatre premiers matches, est dans le doute depuis sa défaite à Poitiers, l'équipe ayant «perdu de son enthousiasme» d'après Jean-Manuel Sousa, visiblement inquiet. (Avec AFP)

l'équipe.fr

Brun grippé ?Ils ne confondent pas avec sa gastro de la semaine dernière, sinon VDM pour le grand Stephen

Premier tournant au Havre


Toujours privé de John Cox et de Stephen Brun, le SLUC se lance dans un nouveau match piège au Havre, qui est capable de battre les mieux lotis.





NANCY._ Il y a des salles, comme ça, où ça rigole. Et d'autres où ça ne rigole pas. Jean-Luc Monschau n'explique pas ça autrement : « Avec Gravelines, j'ai toujours gagné au Havre. Mais depuis que j'ai l'honneur de coacher le SLUC, je n'ai pas réussi, en cinq ans, à gagner le moindre match aux Docks Oceanes. Il va falloir que ça change... », disait hier, en souriant, l'entraîneur nancéien, avant de prendre le bus pour la Normandie.
Le Havre serait-il la bête noire du SLUC ? On peut le penser, surtout lorsque l'équipe de Jean Manuel Sousa évolue à domicile et qu'elle prend un malin plaisir, depuis plus de cinq ans maintenant, à jouer les tombeurs. N'a-t-elle pas battu la Chorale de Roanne (73-70) ? Ne s'est-elle pas imposée à Strasbourg (81-80) ? Autant de signes qui laissent évidemment penser que cette équipe havraise, bâtie avec un tout petit budget (916.000 euros de masse salariale contre 1.811.000 pour le SLUC) est capable de battre n'importe qui, n'importe quand... « C'est une équipe beaucoup plus équilibrée qu'on veut bien le dire. Car si le trio d'arrières américains Miller-Taylor-Blankson marque beaucoup de points, les Nigérians Oguchi ou Lovedale prennent aussi beaucoup de rebonds. Il suffit d'ailleurs de se pencher sur leurs performances depuis le début de la saison. Ils ont été dans tous les matches », précise encore Jean-Luc Monschau, qui cerne bien l'importance de cette rencontre : « C'est pour nous un premier tournant de la saison régulière. Si on gagne au Havre, on reste dans le haut du panier ; si on perd, on retombe dans le ventre mou avant une série de matches très difficiles, puisqu'on reçoit Villeurbanne, avant d'aller à Toulon et de recevoir Cholet. »

Avec Jeff, sans Brun


L'idéal aurait été, pour cette rencontre de tous les dangers, match piège par excellence où le SLUC part obligatoirement favori, que Nancy dispose de toutes ses armes. Hélas, dans ce domaine, le SLUC n'est pas gâté depuis maintenant une bonne saison et demie. John Cox, qui souffre toujours d'un claquage au mollet, doit prendre son mal en patience.
Quant à Stephen Brun, arrêté depuis samedi pour soigner une grippe (les tests de la grippe A ont été négatifs), il n'a plus de fièvre mais son état ne lui permet pas encore de jouer.
Heureusement, les derniers essais de Jeff Greer ont été rassurants, alors que Marcus Slaughter jouera le pouce strappé, certes, mais il jouera, ce qui évidemment va renforcer le jeu intérieur nancéien. Le triplé Akingbala-Slaughter-Dickens doit être l'élément fort de l'équipe nancéienne. « Il sera important de contrôler le rebond, notamment le rebond offensif. C'est évidemment primordial contre une équipe qui ne devra pas avoir de seconde chance. Notre défense sur les arrières havrais sera aussi déterminante. Ils font le bal, mènent la danse et shootent à trois points dans tous les sens. On a pu remarquer que lorsque Le Havre gagne, l'équipe tourne à 11 paniers à trois points de moyenne ; lorsqu'elle perd, elle chute à 4. La différence est énorme », ajoute Jean-Luc Monschau, qui s'attend à une soirée difficile. « Même si elle a changé six joueurs majeurs, même si elle n'a pu retenir Fabien Causeur, je trouve cette équipe assez complète et ses résultats ne m'étonnent plus. »
Un débarquement réussi en Normandie serait une bataille supplémentaire de gagnée dans la perspective de la Semaine des As. Une Semaine des As qui risque cette année d'en laisser sur le carreau. Et pas des moindres....
ESPOIRS : Le Havre (1er, 11 pts avec 5 vict. et 1 déf.) - SLUC Nancy (5e, 10 points avec 4 vic. et 2 déf.), ce soir à 17 h 30.

Gilles GAIHIER •


Est republicain

L'adversaire








•Le budget : 2,5 millions d'euros (dont masse salariale : 916.000 euros).
•La salle : Docks Océanes (3.598 places).
•L'entraîneur : Jean-Manuel Sousa (44 ans).
•Le joueur clé : J.J. Miller, qui tourne à 16,5 pts de moyenne et 5,17 passes. Avec ses compères Blankson et Taylor, ils forment une traction arrière performante
•L'infirmerie : Romain Duport, blessé à la main gauche, est absent pour six semaines
•Le chiffre : 76. Le nombre de passes décisives en six matches, soit 12,6 de moyenne, la deuxième la plus faible du championnat.
•Les derniers matches : V, D, D.
Est republicain

SLUC : mieux vaut engranger…



Nancy n’imagine pas un revers au Havre avant trois rencontres délicates et beaucoup plus dangereuses.




Le pot de fer lorrain contre le pot de terre normand. Du moins, pour ce qui concerne les moyens financiers. La réputation du Havre est celle d’un phénix de seconde zone qui renaît toujours de ses cendres. Avec le plus petit budget de pro A, ce club fait des miracles avec une constance inégalée.
Un centre de formation performant, et un sens aiguisé d’un recrutement malin, sont la marque de fabrique de cette association modeste qui étonne depuis le début de saison avec une place en milieu de tableau. Une nouvelle fois pillée durant l’été (par le SLUC, avec Slaughter par exemple), la formation de Jean-Manuel Sousa sait remplacer ses meilleurs (comme un certain Ricardo Greer ou John Cox, duo aujourd'hui portant les couleurs lorraines !) pour survivre.
Nancy s’attend pourtant à un déplacement difficile en Seine-Martime, comme le confirme l’entraîneur Jean-Luc Monschau : « Un match important avant trois rencontres compliquées face à l’Asvel, à Hyères-Toulon et contre Cholet ». Il ne faudra pas trop penser aux lendemains incertains face à des adversaires d’un calibre supérieur pour effectivement se jeter sur les deux points à prendre. Mieux vaut engranger face à plus faible pour ne pas entamer le capital confiance avant ce triptyque de tous les dangers.
Les Nancéiens, décimés face à Rouen la semaine dernière, ont affiché en tout cas une solidarité de bon aloi. Ce soir, devant les caméras de sport +, ils retrouveront même le tireur Jeff Greer et l’ancienne vedette des Docks Océane, Marcus Slaughter. Si Stephan Brun est incertain (la grippe après une gastro-entérite), Cox (mollet claqué) ne reprendra que la semaine prochaine.
Un effectif largement suffisant toutefois pour contrer celui de Normands eux aussi diminués (le grand Duport, 2,17 m) et qui nagent dans l’inquiétude. Le Havre, qui avait réalisé un très bon début de championnat en remportant trois de ses quatre premiers matches, est en effet plongé dans le doute depuis sa défaite à Poitiers, promu en panne de succès chez lui. La faute à « Une équipe qui a perdu de son enthousiasme » commente le coach Jean-Manuel Sousa, pas très rassuré avant une série diabolique (Nancy, Orléans, Chalon, Le Mans, Villeurbanne) d’ici la fin de l’année.
Le SLUC sera-t-il opposé au Havre coulé en terre poitevine ou à cet opposant qui a dominé Strasbourg en Alsace et Roanne chez lui ?
Republicain lorrain

C'est bien une VDM pour Brun ....

le match est diffusé à l'hotel Eclipse ce soir ?
Habituellement il y a du monde ?

J'espère que Jeff va pouvoir défendre dur sur les arrières et ainsi revenir enfin avec une victoire du Havre...

Sans Brun (ce qui n'est pas non plus un manque énorme) et Slaugther diminué espérons que Dickens répéte sa performance de Paris et contre Rouen...
Sinon notre seul marqueur sera Ricardo (j'ai pas trés envie de parler de steed comme marqueur ) et on sait que quand il force ça passe pas forcément...
Avec nos blessés ça sent pas le match serein devant sport + ce soir...

Go Sluc! pour ce match pas évident

sebfromnancy a écrit:

le match est diffusé à l'hotel Eclipse ce soir ?
Habituellement il y a du monde ?

Oui il est diffusé, j'avais été voir le match contre paris on était une dizaine !

L'hotel Eclipse, c'est celui qui est pres du Botanic non ?

Source L'equipe.fr:

Le Havre, qui avait remporté trois de ses quatre premiers matches, est dans le doute depuis sa défaite à Poitiers, l'équipe ayant «perdu de son enthousiasme» d'après Jean-Manuel Sousa, visiblement inquiet.

Oh le coup de bluff à 50cts du coach

Match piège ce soir les enfants match piège...

sebfromnancy a écrit:

L'hotel Eclipse, c'est celui qui est pres du Botanic non ?

oui tout a fait.
On a appelé pour réserver nous, je sais pas s'il y aura du monde !

Retrouver de l'envie




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Chamberlain Oguchi, ici à gauche face à Curtis Sumpter (Gravelines), et les Thomistes passent un sérieux test face à Nancy ce soir aux Docks Océane (photo Jean-Marie Thuillier)

BASKET-BALL. Pro A Après un bon début de championnat, Saint-Thomas semble marquer le pas. Les Havrais sont-ils en mesure de retrouver suffisamment de gnac pour affronter Nancy ?


«Nancy ? Aïe, Aïe, Aïe ! Ça me donne des maux de tête. J'ai beau tourner le problème dans tous les sens, la solution va être difficile à trouver. Ce n'est pas totalement insoluble, mais ce sera compliqué. Voire même très compliqué ! » Jean-Manuel Sousa n'y va pas par quatre chemins. « Nancy, c'est une grosse, et même une très grosse équipe. C'est complet dans toutes les lignes, c'est physique et il y a une très grosse densité de tous les côtés du terrain. Quand on pense qu'en se privant de joueurs comme John Cox (claquage au mollet), Stephen Brun (grippé), Jeff Greer (contracture au genou) et Marcus Slaughter (entorse du pouce droit), Nancy parvient à jouer petit bras et dominer le SPO Rouen, ça démontre la valeur du groupe. C'est une équipe qui est dangereuse partout. Si on fait l'impasse sur les extérieurs, on va se faire flinguer à trois points. Et à l'intérieur, Akingbala règne sans contestation dans la raquette. C'est une équipe qui a de l'expérience et un long vécu ensemble. »
Alors, comment les Thomistes doivent-ils s'y prendre pour soutenir la comparaison avec les Lorrains, voire espérer repousser encore l'échéance de leur offrir leur premier succès aux Docks Océane sous l'ère Jean-Luc Monchau à Nancy ? « Il faudra donner beaucoup plus que le meilleur de nous-mêmes, prévient le patron technique havrais. Cela passe déjà par un minimum d'erreurs de notre part, et bien sûr une bonne dose d'agressivité pour essayer de les perturber défensivement. On sait que ce sera très dur, mais il faudra retrouver l'enthousiasme qui nous a fait défaut ces derniers temps. A Poitiers, il n'y avait pas assez d'envie pour prendre une équipe à notre portée. »
Envie ou pas, au vu du calendrier à venir : Nancy, Orléans, Chalon, Le Mans, Villeurbanne et Paris d'ici la fin de l'année, c'est beaucoup plus que de l'envie qu'il faudra aux joueurs de la Porte Océane. Car, depuis le faux pas des Nancéiens face à Poitiers en ouverture du championnat (défaite à domicile 73-77), les Lorrains ont aligné autant de succès que de rencontres. Et il n'est pas certain que les anciens thomistes Ricardo et Jeff Greer et Marcus Slaughter, à l'exception de John Cox, blessé, n'aient envie de faire le déplacement au Havre uniquement pour faire de la figuration aux Docks Océane.
« Il y a une bonne équipe à Nancy mais si on joue bien collectivement, on peut réaliser un bon coup », clame avec sérénité Chamberlain Oguchi qui retrouvera son compratriote Nigérian Akin Akingbala.
A voir.
Patrick Gobbe
Ce soir A 20 h 30
Absences : Duport (fracture de l'auriculaire gauche) au Havre ; Cox (claquage mollet), Brun (grippe) à Nancy.
Saint-Thomas :
4. Oguchi, 5. Miller, 6. Jomby, 7. Pitard, 8. Bernage, 9. Taylor, 10. Pape Sy, 11. Jones, 12. Camara, 14. Lovedale, 15. Blankson.
Entraîneur : Jean-Manuel Sousa.
Nancy :
5. Akingbala, 7. Dickens, 8. Jeff Greer, 10. Njoya, 12. Bengaber, 13. Tchicamboud, 14. Ricardo Greer, 16. Sylla, 17. Clerc.
Entraîneur : Jean-Luc Monschau.
Arbitres : MM. Bichon, Lepercq et Canet.
Paris Normandie

Nous on sera 3...

L'Equipe du jour:

Merci Bacou :cheers:

Monfil en est encore au premier set

Ca va encore surement être du différé

ne t'inquiète pas le tennis cette semaine s'est sur Canal+ sport. Pour l'instant sur sport+ c'était trampoline

Ba il reste FBSL + live lnb, c'est mieux que rien

c'est bon c'est en live sur sport+