[ProA - J20] SLUC Nancy bat SPO Rouen, 74-93 (35-42)

manu5494 a écrit:

est republicain a écrit:

La plupart des autres (Nancy, Le Mans, Cholet, Dijon...) étant déjà plutôt bien logés.

c'est une blague pour Cholet ?

la Meilleraie est la salle la plus pourrie que j'ai jamais vu....un vieux hangar dans lequel il pleut et les tribunes sont des strapontins

Pour avoir assisté à un match là bas, je ne peux qu'approuver. C'est un hall de gare cette salle.

Je pense qu'on va perdre et relancer Rouen et vous ?

Je pense que le journaliste faisait uniquement référence à la capacité de la Meilleraie, qui est plus que correcte pour une agglomération comme Cholet.

Sinon, je suis un peu surpris / déçu qu'il n'y ait pas la moindre référence à un agrandissement de Gentilly ? J'imagine que les projets n'étaient pas très sérieux ou sont morts et enterrés. (faut dire que le truc gonflable au Zénith, ça faisait pas très sérieux quand même)

machin00 a écrit:

Je pense qu'on va perdre et relancer Rouen et vous ?

J'espère pas ... On a déjà perdu là bas l'année dernière, ça suffit. Mais c'est vrai que ça pue le piège, ce match.

Aegis a écrit:

Je pense que le journaliste faisait uniquement référence à la capacité de la Meilleraie, qui est plus que correcte pour une agglomération comme Cholet.

Sinon, je suis un peu surpris / déçu qu'il n'y ait pas la moindre référence à un agrandissement de Gentilly ? J'imagine que les projets n'étaient pas très sérieux et sont morts et enterrés. (faut dire que le truc gonflable au Zénith, ça faisait pas très sérieux quand même)

machin00 a écrit:

Je pense qu'on va perdre et relancer Rouen et vous ?

J'espère pas ... On a déjà perdu là bas l'année dernière, ça suffit. Mais c'est vrai que ça pue le piège, ce match.

Il y a surement un projet de salle, mais je pense qu'il faut oublier le Zenith. Je vois plutot un projet neuf du coté de Marcel Picot. Ds un article rescent sur le nouveau Picot, il etait annoncé que le Stade serait le vaisseau amiral d'autres structures. En même tps il y a bcp de place par là et la ligne trois du tram va passer de ce coté.
La crise etant là, je pense que l'on va attendre encore.

Mince si nous commencons a avoir la trouille face a des equipes comme Rouen, si nous n avons pas encore retenu les lecons du passé avec toutes nos défaites contre des equipes de bas de tableau,alors nous n avons rien a faire dans le top 4 de la pro A

Je persiste à dire que la carotte que l'on s'est pris avec le ranking est un réel coup d'arrêt pour le club !

Le ranking...soit...nous avions toutes les cartes en mains pour aller en finale et en EL.....et ce n est pas derriere le ranking qu il faut se refugier et trouver les raisons a cet échec cela serait trop simpliste....a mon avis .....

hubert-felix thie a écrit:

Mince si nous commencons a avoir la trouille face a des equipes comme Rouen, si nous n avons pas encore retenu les lecons du passé avec toutes nos défaites contre des equipes de bas de tableau,alors nous n avons rien a faire dans le top 4 de la pro A

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Lesly patiente à l'ombre



Joueur majeur en Pro B la saison dernière, Lesly Bengaber a découvert à Nancy une autre façette de son métier, convaincu d'avoir fait le bon choix.


zoom
Jeff Greer passe la main à Lesly Bengaber, mais c'est souvent au relais de Ricardo que le Guadeloupéen est appelé à trouver son bonheur.





Nancy. Les parcours des sportifs professionnels réservent parfois des surprises. Celui de Lesly Bengaber est un peu atypique. Estampillé joueur de Pro B (il y a passé cinq saisons), le Guadeloupéen a néanmoins campé deux ans sur les parquets de l'élite, en 2006-07 avec Bourg-en-Bresse puis en 2007-08 avec Clermont.
Mais il a dû attendre de souffler ses trente bougies pour se voir proposer une mission dans un club ambitieux de Pro A. C'était l'été dernier et le « clan » Bengaber n'a pas hésité longtemps avant de boucler ses valises, direction la Lorraine. « J'avais d'autres propositions », se souvient-il, « dans des clubs plus modestes où j'aurais certainement joué plus. Il m'arrive d'en parler parfois avec ma femme : nous sommes convaincus d'avoir fait le bon choix ». Pas de regret, donc.
En franchissant le pas, Lesly Bengaber est tout simplement passé de la lumière à l'ombre. La saison dernière, sous le maillot de Clermont, il alignait des stats de joueur majeur (10,6 points ; 7,8 tirs tentés en 29 minutes de moyenne). Après le passage dans l'ascenseur, les chiffres ont fondu (2,6 points ; 2,8 tirs tentés en 9,4 minutes). Lors des neuf dernières journées, son temps de jeu a même été revu à la baisse (4,5 minutes).
Si le gaillard s'était mis dans le crâne de tout casser en débarquant à Nancy, il aurait pu être sérieusement déçu à cette heure. Frustré, même. C'est loin d'être le cas : « Je savais où je mettais les pieds. Je savais qu'il y aurait énormément de bons joueurs dans cette équipe et que le plus difficile pour moi serait de me faire une petite place. Mais j'avais la chance qu'un grand club m'appelle. C'était aussi un challenge personnel. Ma première coupe d'Europe, ma première Semaine des As... Trouver sa place dans une telle équipe ne se fait pas en claquant des doigts. Il faut être patient. Aujourd'hui, je ne suis pas déçu ».

« A 30 ans on apprend encore »
Et quand Lesly avoue avoir signé en connaissance de cause, il fait aussi référence à la présence dans l'effectif nancéien d'un certain Ricardo Greer, pierre angulaire de l'équipe, marathonien des parquets (plus de 37 minutes de temps de jeu) et dont le joueur originaire des Abîmes endosse le plus souvent le rôle ingrat de « back up » (rotation). Ce qui, avouons-le, laisse peut d'occasions de voir la lumière. « Quand on sait qu'il y a quelqu'un comme Ricardo devant soi, on connaît la donne au départ », confirme Lesly, « mais à trente ans, on apprend toujours et pas uniquement lorsqu'on est sur le terrain. J'apprends au contact de Ricardo et des autres joueurs de cette équipe. Et j'espère bien que cela me servira pour la suite. Par exemple, pour continuer à jouer à ce niveau (Ndlr : Bengaber a encore un an de contrat) ». Parmi les leçons qu'il a déjà tirées de son expérience nancéienne, Lesly a appris à gérer son nouveau statut : « le plus difficile, c'est d'être efficace sur une courte période et pas forcément en début de match, c'est-à-dire pas dans la continuité de l'échauffement. Mentalement, ça oblige à rester très concentré ». Si Lesly Bengaber a choisi Nancy, c'est aussi avec l'espoir d'ouvrir son palmarès. « J'ai trente ans et je n'ai pas de titre. J'ai juste disputé une finale de Pro B. Je sais que nous avons les moyens de gagner quelque chose. Il reste la coupe de France et le championnat... » La patience a des limites...

Thomas SIMON




Est republicain

Accès libre aux Cotonniers



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Il faudrait preque un sans-faute à Pierric Poupet et ses partenaires s'ils veulent égaler leur performance de l'an passé. Et ça débute ce soir par un succès face à Nancy (photo PQR/L'Alsace/Dominique Gutekunst)

BASKET-BALL.Pro A En neuf apparitions dans sa salle des Cotonniers, le SPO Rouen n'a signé que deux succès. Pour se maintenir, le club normand va désormais devoir remédier à cette carence.


La salle des Cotonniers n'épouvante presque personne. Les Rouennais n'ont pas su faire de cette enceinte désuète (1 302 places assises) une place forte, une citadelle imprenable, un chaudron dans lequel ils auraient cuisiné leurs adversaires jusqu'à l'os. « C'est très très bien que nos adversaires croient que c'est faisable chez nous ; c'est plutôt un bon point s'ils arrivent en toute confiance », assure le président Jean Prouin, le moral regonflé par l'arrivée en début de semaine de l'intérieur Deji Akindele.
Pour l'heure, les Normands ont déjà capitulé à sept reprises et ne sont parvenus à arracher que deux succès, contre Paris/Levallois (91-89, le 28 novembre) et Roanne (81-71, le 9 janvier). Seul Dijon, la lanterne rouge du classement, présente un pire bilan avec neuf défaites pour un unique succès. Le SPOR marche aujourd'hui sur les traces de l'équipe de 2005-2006 qui avait terminé la saison avec cinq victoires à domicile en dix-sept matches. Pour égaler la performance de la saison passée (8 succès et 7 défaites), il doit maintenant réaliser un quasi-sans-faute, un sacré défi dans la mesure où il va se coltiner la visite de trois pointures, Nancy, Orléans et l'ASVEL. « Notre maintien passe par des succès à domicile, admet l'entraîneur Michel Veyronnet, et je ne compte pas parler d'exploit. Nous sommes déjà parvenus à battre Roanne qui s'est retrouvé en demi-finale de la Semaine des As. Nous avons également cédé de très peu devant Vichy qui a atteint les demi-finales et contre Gravelines qui occupe la troisième place du championnat. »

« Remporter un maximum de matches »
Contre ces deux dernières formations, le SPOR a en effet frôlé la victoire avant de craquer dans les ultimes secondes, voire la dernière contre les Auvergnats, à chaque fois sur le même score (77-80). « Nous n'avons pas eu de chance, soupire le président Prouin. Jean-Louis Borg (le coach) a raconté que son joueur avait bien le pied sur la ligne de fond quand l'arbitre a décidé de lui redonner le ballon à six secondes de la fin… Face à Gravelines, si nous avions eu Sanders (absent pour blessure), nous aurions gagné. Désormais, il ne faut plus se poser de question, il faut remporter un maximum de matches. Qui aurait pensé la saison dernière que nous puissions l'emporter à Roanne ou à l'ASVEL ? »
« Catastrophiques en début de saison » selon les termes de Michel Veyronnet, les Normands pourraient payer au prix fort les revers concédés devant deux concurrents directs pour le maintien, Poitiers (64-73) auquel ils rendront visite la semaine prochaine et surtout Strasbourg (71-80) qui les a étrillés au retour il y a deux semaines (106-79).
Contre Chalon et Le Havre, les Rouennais seront dans l'obligation de l'emporter, tout comme devant Hyères/Toulon, début mai lors de l'avant-dernière journée, à condition que leur sort ne soit pas déjà réglé. L'opération sauvetage passe dès demain par une performance devant Nancy, plutôt à l'aise en déplacement (5 succès, 4 défaites), mais lourdement défait à Chalon lors de sa dernière expédition (92-74), ainsi qu'en quart de finale des As contre Roanne (68-90). « Si les Nancéiens jouent comme à Villeurbanne, on gagnera, assure Jean Prouin, présent dans la salle rhodanienne. Je redoute cependant que ce ne soit pas le cas. J'ai l'impression que certaines équipes disputent les As comme la Coupe de France, avec pour objectif n°1 de ne pas avoir de blessés. »
A. G.

Les six derniers matches A domicile
Demain : SPOR - Nancy
Le 13 mars : SPOR - Chalon-sur-Saône
Le 27 mars : SPOR - Orléans
Le 10 avril : SPOR - ASVEL
Le 17 avril : SPOR - Le Havre
Le 1er mai : SPOR - Hyères-Toulon



Article paru le : 26 février 2010

Paris Normandie

Le problème avec le Sluc de cette année, c'est qu'ils peuvent en mettre 20 comme en prendre 20 aussi ...

Faire preuve d'autorité



Après l'échec de la Semaine des As, le SLUC doit tourner la page. Et retrouver son meilleur visage pour faire respecter la hiérarchie à Rouen.


Nancy. Quand le danger pointe le bout de son nez, tous les moyens d'alerte sont bons. Ainsi, on ne peut s'empêcher de relever que, ces trois dernières saisons, le SLUC a systématiquement perdu le premier match de championnat suivant la Semaine des As. Cette « statistique » peu enthousiasmante invite à la vigilance, mais ne vaut pas mieux qu'un simple constat.
Non, ce qui a plutôt tendance à immiscer le doute dans les esprits des observateurs, c'est cette inconstance affichée par le SLUC depuis quelques semaines. Pendant ce laps de temps, Ricardo Greer et ses copains ont étrangement conjugué leur basket, soit au plus que parfait, soit à l'imparfait. Docteur Jeckyll et Mister Hyde contre Strasbourg et Paris-Levallois à domicile, l'équipe de Jean-Luc Monschau a ensuite volé en éclats à Chalon (57 points encaissés en deuxième mi-temps), avant de flirter avec la perfection contre Le Mans (92-70), puis de tomber dans le néant face à Roanne, à l'Astroballe (68-90). Si la trajectoire récente du SLUC était un manège, les utilisateurs auraient intérêt à avoir le cœur bien accroché...
Ce parcours en forme de montagnes russes est difficile à expliquer. Peut-être n'est-il, ni plus ni moins, que le reflet d'une saison au cours de laquelle les Nancéiens n'ont pas encore réussi à aligner plus de trois victoires consécutives (en championnat).
Malgré tout, la situation du SLUC n'est pas si inconfortable. Si Le Mans paraît inaccessible, le léger fléchissement de Cholet ces derniers temps invite les poursuivants aux rêves les plus fous (Cholet n'a plus que deux victoires d'avance sur Nancy).
Avant de s'offrir une série de cinq rencontres face à des adversaires directs (à Villeurbanne, contre Hyères-Toulon, à Cholet, contre Vichy et à Roanne), l'équipe de Jean-Luc Monschau va devoir remplir une double obligation : faire respecter la hiérarchie face à Rouen ce soir, puis la semaine prochaine contre Le Havre, à Gentilly.

Deux défaites face aux mal classés
Une mission qui semble être dans les cordes des Nancéiens, qui seraient bien inspirés de laisser désormais un minimum de points en route face aux formations de la deuxième partie de tableau. Jusqu'ici, en dix matches disputés face aux équipes classées de huit à seize, le SLUC a commis deux faux pas (contre Poitiers et à Chalon). C'est mieux que Roanne ou Vichy, mais moins bien que Le Mans (100 % de victoires), Cholet (100 %) et Orléans (85 %).
Evidemment l'équipe actuelle de Rouen, comme celle de Chalon, n'a plus grand-chose à voir avec celle qui avait fait le déplacement en Lorraine au mois de novembre. Elle a notamment enregistré l'arrivée de deux renforts qui ont changé le visage du collectif : Shawnta Rogers et Eric Chatfield. Mais après un mois de janvier en forme de résurrection (4 victoires, 1 défaite), la formation de Michel Veyronnet, qui a perdu sur blessure le troisième homme providentiel Aerick Sanders (remplacé par Akindele), semble à nouveau dans le dur, comme en témoigne sa lourde défaite à Strasbourg (106-79), il y a quinze jours. Toujours en position de relégable, Rouen voudra réagir. Charge au SLUC de faire preuve d'autorité...
[PUCE_MAIN][/PUCE_MAIN]Espoirs : Rouen (10e, 27 points) - SLUC (5e, 32 points), aujourd'hui (17 h 15).

Thomas SIMON
Est republicain

L'adversaire


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Le budget. 2,5 millions d'euros.
La salle. Les Cotonniers (1.302 places).
L'entraîneur. Michel Veyronnet (52 ans).
Le joueur clé. Shawnta Rogers. A 34 ans, Rogers compte pas moins de onze clubs pros à son actif. Mais la « puce » d'1,61m, qui a fait les beaux jours du Mans (2000-2003, puis 2007) pèse toujours autant dans le jeu. La preuve depuis son arrivée au SPO : 14,6 points, 7,7 passes et 19,9 d'évaluation en sept matches. Vous avez dit retour gagnant ?
Le chiffre. 17. C'est le nombre de joueurs qui ont déjà foulé le parquet avec le maillot de Rouen sur les épaules, cette saison en championnat. Un record en Pro A, pour une équipe qui n'a pas été épargnée par les blessures. Ce soir, Akindele sera le dix-huitième de la série...
L'infirmerie. Victime d'une entorse de la cheville contre Strasbourg, Williams effectuera son retour ce soir. Rouen est en revanche privé jusqu'à la fin de la saison de Sanders (entorse genou, remplacé par Akindele) et Thioune (entorse genou). Hachad (entorse genou lui aussi !) devrait quant à lui réintégrer l'équipe à compter du 5 mars.
Les cinq derniers matches. v-d-v-d-d



Est republicain

Le SLUC Nancy brouille les cartes






Giflé aux As et absolument imprévisible, le SLUC se déplace à Rouen pour reprendre sa marche en avant chez un mauvais élève de Pro A. Qui vient tout de même de gagner quatre matches sur sept.

Il est parfois difficile, sinon impossible de soutirer à Jean-Luc Monschau des sentiments qu’il ne s’autorise pas à dévoiler. Son équipe s’est pourtant trouée dans les grandes largeurs à Villeurbanne (90-68), en ouverture de la Semaine des As, mais l’entraîneur refuse d’accabler les siens. Ou de parler d’accident. Si le SLUC est revenu aussi vite qu’il est parti, dit-il, la faute incombe à Roanne et seulement à Roanne.
« Notre adversaire a été très fort, explique Jean-Luc Monschau. C’était sans doute un de ses meilleurs matches de la saison. Comme l’a dit leur entraîneur, ils étaient motivés par le fait d’avoir perdu largement chez nous et ils voulaient rendre la claque. Ils ont été très agressifs. » Suggestion saugrenue : Nancy n’a peut-être pas été à la hauteur non plus… « C’est vrai qu’on n’a pas empêché Roanne d’être bon », concède à peine l’entraîneur, campé sur sa position.
Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le SLUC continue de cultiver son jardin et il n’y aurait guère que les candides pour le taxer d’irrégularité. « Mon équipe est cinquième, rappelle Monschau. Dans un championnat relevé comme celui-là, elle est plutôt constante. » A sa façon, oui. Dans l’art de subir de gros éclats durant une rencontre (Chalon, Orléans, Roanne aux As), Nancy se pose parfois là en matière de régularité. « Chalon ne compte pas. Il n’y avait pas des conditions de jeu normales », évacue encore le technicien, qui avait fustigé un arbitrage aux épaules bien larges s’agissant d’une défaite de 18 points sur le parquet de l’ancienne lanterne rouge (92-74).

Comme à Chalon ?
Il faut toutefois rendre à Jean-Luc Monschau le mérite qui lui appartient : dans cette saison chahutée, passionnante même, le SLUC peut toujours postuler à la deuxième place du classement, synonyme d’avantage du terrain en phase finale. Or, Nancy a grillé nombre de jokers en chemin et il devra impérativement limiter ses sorties de route s’il aspire toujours à atteindre ce fameux confort. Avant de défier les grandes forces de frappe de Pro A (Villeurbanne, Hyères et Cholet), le champion de France 2008, toujours privé de Dickens, devra commencer par dominer des adversaires en difficulté (Rouen) ou plus modestes (Le Havre). Faire le métier en somme.
Nancy considère pourtant son voyage en Normandie avec une prudence de bon aloi puisque ce déplacement n’est pas sans rappeler le contexte du match à Chalon : Rouen a aussi modifié son effectif et sa place d’avant-dernier ne reflète pas la nouvelle donne. « Depuis que Rogers est arrivé, ils ont gagné quatre de leurs sept derniers matches et ils tournent à plus de 83 points de moyenne, le meilleur bilan en Pro A », rappelle ainsi Monschau, sur le thème habituel du traquenard. Qui n’est pas une simple posture quand on dirige une équipe aussi imprévisible.

Christian JOUGLEUX.
Republicain lorrain

Merci Bacou

Si on perd ce soir, on peut dire adieu au top 2.
Les deux matches qui arrivent contre les Normands, il faut les gagner. Pas le choix. Et pas d'excuses bidon en cas de défaite !!! Comme le dit l'article de L'Est, le SLUC doit faire preuve d'au-to-ri-té. Pas seulement contre les cadors mais aussi contre les équipes de bas de tableau.

Benoit ADAM a écrit:

Si on perd ce soir, on peut dire adieu au top 2.
Les deux matches qui arrivent contre les Normands, il faut les gagner. Pas le choix. Et pas d'excuses bidon en cas de défaite !!! Comme le dit l'article de L'Est, le SLUC doit faire preuve d'au-to-ri-té. Pas seulement contre les cadors mais aussi contre les équipes de bas de tableau.

Le Sluc a intérêt à prendre ce match très au sérieux car rien n'est gagné d'avance et en ce moment, cette équipe donne l'impression d'avoir déjà remporter le match dans leur tête face à des adversaires supposés plus faibles avant de pénétrer sur le terrain... Sur le papier, on est supérieur à eux mais la réalité du terrain, c'est autre chose...!!

Lors de la dernière journée, Rouen a éclaté face à la SIG (et pourtant la SIG a pas mal de problème aussi... cf le match d'hier face à Chalon !).
Défaite de 27pts (106 à 79), Rouen après un mauvais début 20-28 s'est un peu repris jusqu'à la mi-temps (40-47) puis 59 pts pris en seconde période... ça fait mal !
L'absence de Sanders sans doute (battu aux rebonds 37 à 22 !), car l'adresse n'était pas absente (50%) dont 20pts pour Rogers (6/11 à 3pts et 7 passes), et 20pts aussi pour Edwin Jackson...
Par contre Chatfield bien en vue marque le pas (10pts à 4/13 en 31')... c'est pas top et ça fait même 1 d'éval !!!
Six joueurs "majeurs" ont joué ce match : Rogers 34 ans avec 39' , Jackson 35', Nascimento 33' , Chatfiels 31', Soliman l'ancien Roannais (7pts, 9 rebonds et 21 d'éval en 27') et Poupet 27' (-1 d'éval à 1/5 aux shoot et 3 pertes de balles...)

Le 6 février, les Rouennais s'inclinaient à domicile face à Gravelines 77-80, à cause d'un 4ème quart catastrophique... alors que Rouen menait 43-32 à la mi-temps et encore 56-53 à 10 minutes de la fin...
Les deuxième mi-temps ne sont donc pas leur fort en ce moment... signe d'un effectif peut-être juste.
Chatfield 19pts à 7/14 en 38', Williams 16pts et 6 rebonds (blessé depuis), Nascimento 12' et 13 rebonds en 32', Jackson 11pts et 7 rebonds en 27' et Rogers 6pts et 8 passes décisives en 40' (un sérieux candidat à Ricardo ) avait assuré jusqu'à ce que Edwards et Bokolo essentiellement renversent la vapeur...

La dernière victoire de Rouen remonte donc au 30 janvier (à Dijon en perdition 91-78) gràce notamment à un Rogers en état de grace 33 d'éval 22pts et 12passes decisives mais aussi 5 rebonds et 4 interceptions... il avait fait le show ce soir là Shawnta. Mais c'est ce jour là que Sanders s'est blessé... !!!


Ce qui est sûr est que Rogers a changé un peu la donne... depuis son arrivée Rouen a remporté 4 de ses 7 matchs (au Havre 89-82, Rogers 20 d'éval, face à Roanne 81-76 Rogers 16 d'éval, à Toulon 84-76, Rogers 15 d'éval, puis à Dijon 91-78, Rogers 33 d'éval).
Depuis la blessure de Sanders cela va moins bien, alors attention à l'arrivée de Akindele qui va vouloir montrer le meilleur ! Gàre aux passes decicives du petit lutin...
La défense des nancéiens devra être cette fois attentive, Akingbala va devoir lutter contre son compatriote, Slaughter devra éviter les fautes trop rapides car nous n'avons ce soir que 3 intérieurs face à Akindele, Nascimento et Soliman qui sont assez solides et peuvent dans un bon soir nous poser des problèmes...
Cependant au niveau des rebonds, le SLUC doit normalement archi-dominer u les stats en cours, 28 rebonds en moyenne par match (contre 39 aux Nancéiens) et nascimento meilleur rebondeur avec un peu plus de 5/match en 27' sur le parquet !

Au poste 2, Chatfield devrait trouver à qui parler en la personne de Jeff, même si ce dernier a été quasi inexistant à la SdA... Peut-être aussi l'occasion de retrouver un Cox un peu plus fringant, sait-on jamais ?
Au poste 3, Edwin Jackson joue pas mal 28' et 11pts de moyenne (à 50% à deux points et 34% à 3pts)... il assure quasi 10 d'éval moyenne... un bon petit jeune sur qui nous pourrions garder un oeil pour la ou les saisons prochaines... Contre Ricardo par contre il risque de souffrir physiquement surtout en défence...

Au poste de meneur, Tchicamboud sait à qui il va avoir à faire. La taille du lutin sera un problème pour Steed qui joue plus physique... par contre il y aura match-up quand Steed aura la balle en attaque... si Steed à la main chaude ce sera peut-être intéressant ?

Allez Nancy... pas d'écart de concentration surtout, du sérieux et de l'application !
Sortez nous votre meilleur basket, car face à Rouen puis contre Le Havre, il y a deux matchs à prendre avant de retrouver d'autres combats autrement plus dangereux.

L'équipe:

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Des raisons d'y croire



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Deji Akindele effectuera ses premiers pas en compétition ce soir face

BASKET-BALL. Pro A Le maintien du SPO Rouen passe par une victoire ce soir à domicile contre Nancy, l'une des équipes de tête.


Foncez maintenant. Avant-derniers avec cinq maigres succès dans leur besace, les Rouennais doivent presque tout renverser sur leur passage pour préserver leur place en Pro A. Pour y parvenir, ils n'ont d'autre choix que de faire enfin régner la terreur dans sa salle des Cotonniers, devenue beaucoup trop hospitalière cette saison.

Un maintien a aller chercher

A moins d'un incroyable redressement, Dijon, en quête d'un succès depuis le 31 octobre (5e journée), va devoir plier bagage pour retourner en Pro B. A l'heure actuelle, quatre équipes sont à la lutte pour éviter de lui tenir compagnie : Le Havre et Strasbourg (7 victoires), Chalon (6) et le SPO Rouen (5) qui aura l'avantage de recevoir son voisin (le 17 avril) et les Bourguignons (le 13 mars). « Si nous battons Le Havre, ça peut passer avec neuf victoires finales, pronostique Michel Veyronnet, le coach du SPOR, mais ce sera le minimum. A dix, ce serait probable et avec onze (comme la saison passée), ce serait quasiment sûr. »
Même s'il a montré une certaine aisance à l'extérieur depuis janvier avec des succès au Havre, Toulon et Dijon, le SPOR va se rendre chez des adversaires coriaces (Poitiers, Paris, Le Mans, Roanne et Cholet) qu'il aura du mal à ébranler. Les Normands sont donc condamnés à engranger aux Cotonniers, y compris contre le trio d'As qu'ils vont accueillir : l'ASVEL, Orléans et Nancy dès aujourd'hui. Cinquième au classement, la formation lorraine présente un bilan positif à l'extérieur (5 v, 4 d). Elle a notamment réalisé un coup d'éclat à Gravelines mi-janvier (74-90)... avant de voler en éclat à Chalon deux semaines plus tard (92-74). « J'aurai préféré affronter une équipe euphorisée par la Semaine des As », souligne Michel Veyronnet.

Un effectif

presque au complet

En perdition à Strasbourg lors de la dernière journée (106-79), le SPO Rouen avait subi la loi du nombre. Tandis que dix Alsaciens se relayaient sur le parquet, les Normands n'étaient que plus que six à pouvoir les contenir après l'entorse à la cheville de leur capitaine Darnell Williams survenue au bout de quatre minutes. Il devrait être de retour ce soir, rétabli à la faveur de la trêve de deux semaines imposées par la Semaine des As. En outre, le SPOR va bénéficier du renfort de l'intérieur nigérian Deji Akindele, le pigiste médical d'Aerick Sanders, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche à Dijon le 30 janvier. Privé de compétition depuis la Coupe d'Afrique des Nations l'été dernier en raison d'une lésion au ménisque, l'ancien palois est encore loin de sa meilleure forme. « A son arrivée, il manquait de rythme, souligne le préparateur physique Mathieu Latard. Aujourd'hui, il ressemble plus à un joueur. »

Un affront a laver

A l'aller le 7 novembre, le SPO Rouen avait été dispersé aux quatre coins du palais des sports Jean-Weille (90-73). L'espoir avait pourtant effleuré l'esprit des Normands pendant l'échauffement puisque les Lorrains avaient subi de lourdes pertes (Greer, Cox, Brun, Slaughter). Ecrasés au rebond par le seul Akingbala (21 prises), ils avaient aussi été incapables de juguler le talent de Ricardo Greer (28 d'évaluation) et la mise à feu de l'artilleur Kaniel Dickens (28 points, 30 d'évaluation). Ce soir, l'ailier-fort américain sera absent, handicapé par une lésion aux ischio-jambiers. Ce match retour aura donc un goût de revanche pour les Rouennais, même si Nixon, Houston, Hachad et Thioune ont disparu de l'effectif au profit de Chatfield, Rogers et Akindele.
A. G.
Thioune arrete jusqu'en mai

Michel Veyronnet a confirmé hier que Cheikhou Thioune était placé en arrêt maladie jusqu'au « début mai. » Victime d'une entorse au genou mi-novembre, l'ailier franco-sénégalais pourrait partir en rééducation à Capbreton. Il est donc plus que probable que Pierric Poupet soit reconduit dans un statut de pigiste médical.

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Article paru le : 27 février 2010

Paris Normandie

bacou a écrit:

[b] « Depuis que Rogers est arrivé, ils ont gagné quatre de leurs sept derniers matches et ils tournent à plus de 83 points de moyenne, le meilleur bilan en Pro A », rappelle ainsi Monschau, sur le thème habituel du traquenard. Qui n’est pas une simple posture quand on dirige une équipe aussi imprévisible.

Christian JOUGLEUX.
Republicain lorrain

Ce n'est pas le meilleur bilan, loin de là. Regardez notre attaque et notre bilan V/D depuis, allez, on va dire sept matches pour rester dans les mêmes eaux. > 87,8 points marqués et 5 victoires pour 2 défaites. C'est tout de même impressionnant, malgré les erreurs de parcours.
Faudrait ne pas faire de bêtises ce soir !

Les betises JC on les a deja fait......la cela serait une faute professionnelle,

C'est pô phiphi ce soir sur FBSL

Ps: on va encore avoir droit à du foot à 90% pendant une heure

Match piège, match piège...

Marcus égalise à 2 buts partout, la soirée va être difficile sur fbsl