[PROA - J14] EO45 bat SLUC Nancy, 80-84 (39-31) A.P.

Jacques SANTINI a écrit:

Par ailleurs, je suis surpris de lire ce que tu dis sur Dobbins qui est un "tueur" dans son genre... il n'en est pas à son coup d'essai !

C'est un tueur défensif alors. Il n'a pas de shoot, même Kunter le disait lorsqu'il jouait à Cholet.

Le Sluc est la seule équipe capable de faire fondre son avance comme neige au soleil aussi rapidement,méme si sur ce coup la j'avoue que c'est carrémment abusé,franchement perdre aprés avoir mené de 16pts à 7min du buzzer,faut le faire quoi.

Mais bon cela ne me surprend pas plus que ça dans la mesure ou cette équipe joue un yoyo permanant à chaqun de ses matchs,je me rappelle du déplacement à Gran Canaria ou on à du étre à +8;+10 au moins 5 fois entre la 22éme et la 36éme minute et on se faisait repasser devant à chaque fois en 1min 30.
Méme si le basket est un sport ou la variation du score fluctue sans arret du début à la fin de la rencontre il faut avoué que l'on à un sérieux probléme à ce niveau,qui se rappel de la belle des playoffs face à l'Asvel la saison derniére??

Effectivement moi qui adore Tchicamboud qui est un meneur trés complet,j'avoue qu'il manque un vrai patron capable de mettre le ballon sous le bras et de calmé tout son monde quand cela est necessaire.

aircraft a écrit:

en tout cas concernant la remontée, la palme reste au havre de christian monshau qui avait remonté 27 points en une mi temps mais c'est sur qu'hier c'était ausi invraisemblable ce qui est paradoxal car nancy a très bien joué pendant 3/4 du match... mais bon bien jouer ne veux pas dire victoire

Oué y a aussi Hyères-Toulon vs Sluc nancy l'année dernière.

vince a écrit:

Effectivement moi qui adore Tchicamboud

Pourquoi, tu es fan du Quai 54 et autres compétitions de streetball?

Fâchés avec les prolongations



La dernière victoire des Nancéiens dans le « temps additionnel » date de plus de deux ans. Le SLUC a en revanche perdu les quatre dernières prolongations qu'il a dû disputer.



Le SLUC est-il mathématiquement qualifié pour la Semaine des As ?
Non, alors qu'il l'aurait été en cas de victoire face à Orléans, samedi. Mathématiquement, seuls Cholet, Le Mans et Gravelines ont validé leur billet à une journée de la fin de la phase aller (deux pour Gravelines, qui compte un match de retard). Il faudrait cependant une très lourde défaite à Gravelines, samedi, doublée d'un concours de circonstances hautement improbable pour que le SLUC ne se qualifie pas. En raison de son nombre de points (22) au classement et de son panier average général (+100), il est en effet le mieux loti des six candidats aux quatre derniers strapontins. En clair, il ne peut pas lui arriver grand-chose...


Nancy a-t-il déjà compté trois défaites à domicile après quatorze journées ?
Jamais depuis le début de l'ère Monschau, en tout cas. Trois défaites, c'est même le maximum qu'aient concédé les équipes successives de Jean-Luc Monschau sur une saison (en 2004-05 et 2008-09). Lors des trois autres saisons (entre 2005 et 2008), le SLUC n'avait subi que deux revers sur son parquet. Petit détail, qui n'est pas sans intérêt : après quatorze journées, le SLUC affiche le même bilan à domicile qu'à l'extérieur (4 victoires et 3 défaites).


Le SLUC a-t-il souvent traversé des trous d'air tels que le 22-0 encaissé samedi ?
Heureusement, non. Une telle claque est même rarissime dans l'histoire récente du club. Elle n'est cependant pas sans rappeler celle subie à Hyères-Toulon, en octobre 2008. Ce soir-là, Nancy avait mené de 25 points à 16 minutes de la fin, avant d'encaisser un mémorable 50-17 en fin de match. Deux faits de match à classer dans la boîte des mauvais souvenirs...


Les Nancéiens ont-ils battu leur record de balles perdues face à Orléans ?
24 ballons perdus (23 à la fin du temps réglementaire), c'est énorme ! Mais ce n'est pas forcément rédhibitoire, surtout pour une équipe qui joue en beaucoup de possessions et augmente donc ses « chances » d'accumuler les pertes de balle. La preuve : le SLUC avait fait pire lors de la 8e journée, en laissant échapper 26 ballons face à Villeurbanne. Ce qui n'avait pas empêché Ricardo Greer et ses coéquipiers de s'imposer (78-68). A noter que Nancy est, dans ce domaine, l'un des moins bons élèves de Pro A (16,1 pertes de balle en moyenne), juste devant Cholet (16,3).


Le SLUC est-il fâché avec les prolongations ?
On va finir par le croire. Sa dernière victoire dans le « temps additionnel » remonte au 10 novembre 2007, à Gravelines. Depuis cette date, le SLUC reste sur quatre défaites consécutives en prolongation, toutes compétitions confondues. Dans l'ordre chronologique : à Toulon en février 2008 lors de la Semaine des As, contre Vichy en janvier 2009, contre Panellinios en Eurocup en décembre dernier et enfin face à Orléans, samedi.


Thomas SIMON

Est republicain

Une leçon à retenir



En sept minutes incompréhensibles, le SLUC a laissé filer une occasion unique de prendre ses distances avec Orléans et de se placer à l'affût derrière le duo Cholet - Le Mans, qui domine la Pro A. Il faut une fois encore rebondir.


zoom
Jeff Greer et les Nancéiens ont rejoué la fable du lièvre et de la tortue, samedi face à Orléans. Partis en trombe, ils se sont laissés doubler sur le fil. Rageant. - Photo Patrice SAUCOURT





NANCY._ Pour une fois, la tortue nancéienne s'est fait planter sur la ligne par le lièvre orléanais. On dira que Jean de La Fontaine n'était certainement pas un grand connaisseur de basket. Car hier matin, en se demandant comment le SLUC avait pu perdre ce match, la maxime de l'illustre fabuliste : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point » nous laissait plutôt perplexe.
Les lièvres Banks, Dobbins, Nichols et Moerman ont attendu les sept dernières minutes pour revenir à grandes enjambées, sur les talons de ces bonnes et valeureuses tortues nancéiennes, qui auront donc subitement perdu leurs repères, perdu leurs automatismes et laissé dans le final toutes leurs illusions. Prendre un 22-0 à domicile en cinq minutes, c'est incroyable, énorme, rare, très, très rare. « On avait sorti du match Covile, on savait qu'Orléans allait jouer vite et shooter en première intention. J'ai bien prévenu les joueurs. Mais on s'est mis à douter, à gamberger. Et on a perdu le fil du match devant la remarquable adresse d'Orléans, à l'image de Dobbins, qui n'est pourtant pas un spécialiste du tir à trois points et qui nous a fait mal, très mal », dira Jean-Luc Monschau, perturbé par cette défaite cruelle. Une défaite qui risque de laisser des traces : « Orléans était dans les cordes. Jusqu'à ce fameux temps mort adverse à +17 pour nous, on était en pleine réussite (60 %) et on avait produit, jusque-là, un de nos meilleurs matches de la saison. »
Le doute puis l'angoisse ont sans doute rongé, au fil des paniers primés d'Orléans, le mental nancéien dans ces sept dernières minutes. Ricardo Greer ne fut pas toujours très heureux dans ses choix, manqua d'adresse à trois points (0/4). Et Steed Tchicamboud, auteur d'un exploit pour arracher la prolongation, n'arriva plus à trouver les intérieurs nancéiens qui faisaient pourtant la loi. « On a manqué de lucidité », dira Lesly Bengaber. « Un match, ca dure quarante minutes », répétera plusieurs fois John Cox. « Espérons que ça nous servira de leçon. »
On peut en effet penser que si le SLUC mène de 17 points à Panellinios demain soir (on a le droit de rêver), il se souviendra de ce dénouement cruel, tragique, horrible.

Dobbins était à 2/27
Une victoire contre Orléans aurait replacé le SLUC à l'affût des deux leaders, Cholet et Le Mans. On sait aussi que pour nourrir des ambitions en play-off, il faut terminer au minimum dans le top 4 et que cette troisième défaite à domicile tombe mal : « On n'a vraiment pas de réussite et pas de chance contre nos adversaires directs », pestait Jean-Luc Monschau. « Le Mans à Antares, Cholet à la maison et ce soir (samedi) contre Orléans, trois défaites qui auraient mérité de se transformer en victoires. »
Le basket aime jouer à la roulette russe. On pense aux « gamelles » de Brun en fin de match et, à l'inverse, à l'incroyable réussite de Dobbins derrière la ligne à trois points dans le money-time (2/2). Il était à 0/3 depuis le début du match et surtout à... 2/27 depuis le début de la saison, lorsqu'il ramena le score à 68-62 puis à 68-65. Et que dire du panier au buzzer de Mejïa, le flibustier de Cholet, qui balança un « caillou » sur la planche pour rebondir dans le filet de l'ASVEL au buzzer, à l'Astroballe (82-84). Quand ça rigole, quand vous avez la baraka, tout est possible...
Le SLUC a déjà rebondi cette saison, il rebondira encore, même si jouer à Athènes sa qualification européenne, puis à Gravelines contre le troisième du championnat, semble très compliqué. Mais impossible n'est pas nancéien, surtout si cette fois, les dieux de basket se tournent vers l'Acropole et viennent au secours des petits Français...

On a aimé
Le tempérament de Philippe Hervé, le coach d'Orléans, qui n'a cessé, gestes à l'appui, de remonter ses joueurs même lorsque son équipe était au plus bas. Adrien Moerman ira même jusqu'à dire à la fin de la rencontre que c'est le coach qui a gagné le match...
La grande forme de Jeff Greer, qui enchaîne les bonnes performances individuelles et qui a notamment marqué une claquette-dunk absolument magnifique. Une action à montrer en boucle sur les chaînes de télévision et dans les écoles de basket.
L'hommage rendu par « Marco », le speaker du SLUC, à Orléans avant le coup d'envoi, après sa superbe victoire à Malaga en Euroligue. Sciarra et ses copains ont d'ailleurs applaudi la sportivité nancéienne.

On n'a pas aimé
Les 24 pertes de balle nancéiennes, qui pèsent lourd dans la balance. Subitement, le SLUC a été incapable d'attaquer la défense d'Orléans.
Les cinq fautes d'Akingbala, qui défendait fort et bien sur Covile et Vaty. Auteur d'un excellent début de match, le Nigérian, sorti à la 37', n'aura finalement joué que 18'45.
L'instant choisi pour remettre à Ricardo Greer le trophée du meilleur joueur de novembre. Surtout après un match perdu après prolongation et sur un tel scénario. Pas sûr que Ricardo et le public de Gentilly avaient le cœur à la fête.


Gilles GAIHIER




Est republicain

Basket-ball Le tableau de bord de la Pro A



zoom
Avec 30 d'évaluation, le Toulonnais Nobel Boungou Colo a largement contribué au succès des siens au Havre.




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Le chiffre :4/5
C'est la belle copie rendue par le Choletais Antywane Robinson derrière la ligne des trois points, samedi soir, sur le parquet de Villeurbanne. Avant la rencontre, l'Américain de Cholet Basket tournait gentiment à 31 % de réussite dans cet exercice.







Points
1. Obasohan (Hyères-Toulon) 21,2 points de moyenne ; 2. Spencer (Le Mans) 18,7 ; 3. Vassallo (Paris-Levallois) 18,6 ; 4. Banks (Orléans) 17,6 ; 5. Woodside (Gravelines) 16,2 ; 6. Wright (Poitiers) 16 ; 7. R. Greer (Nancy) 15,79 ; 8. Schilb (Chalon) 15,71 ; 9. Robinson (Cholet) 15,5 ; 10. Traoré (Villeurbanne) et Miller (Le Havre) 15,4...
Le carton du jour : Taj Gray (Chalon) 28 points.



Rebonds
1. Sene (Hyères-Toulon) 12,7 rebonds de moyenne ; 2. Falker (Cholet) 10,7 ; 3. Issa (Vichy) 10,4 ; 4. R. Greer (Nancy) 8,9 ; 5. Nsonwu (Roanne) 8,2 ; 6. Fazekas (Dijon) 7,7 ; 7. Akpomedah (Gravelines) 7,6 ; 8. Terrell (Hyères-Toulon) 7,4 ; 9. Edwards (Gravelines) 7,3 ; 10. Akingbala (Nancy) 6,9...
La cueillette du jour : JK Edwards (Gravelines) 13 rebonds.



Passes
1. Reid (Vichy) 7,9 passes de moyenne ; 2. R. Greer (Nancy) 6,3 ; 3. Pierce (Hyères-Toulon) 6 ; 4. Sciarra (Orléans) et Heurtel (Strasbourg) 4,8 ; 6. Gomez (Poitiers) 4,5 ; 7. Wright (Le Mans) 4,36 ; 8. Bokolo (Gravelines) 4,33 ; 9. Tchicamboud (Nancy) et Miller (Le Havre) 4,2...
Le caviar du jour : Kareem Reid (Vichy) 11 passes.



évaluation
1. R. Greer (Nancy) 22,7 d'évaluation moyenne ; 2. Sene (Hyères-Toulon) 21,5 ; 3. Issa (Vichy) 21,1 ; 4. Schilb (Chalon) 18,6 ; 5. Spencer (Le Mans) 18,2 ; 6. Nsonwu (Roanne) 17,7 ; 7. Edwards (Gravelines) 17,5 ; 8. Falker (Cholet) 17,2 ; 9. Fazekas (Dijon) 17,1 ; 10. Vassallo (Paris-Levallois) 17...
L'évaluation du jour : Nobel Boungou Colo (Hyères-Toulon) 30.



La prochaine journée
Vendredi 15 janvier (20 h 30 sur Sport+) : Orléans - Paris-Levallois.
Samedi 16 (20 h) : Hyères-Toulon - Rouen ; Cholet - Le Havre ; Vichy - Villeurbanne ; Roanne - Chalon ; Dijon - Le Mans ; Strasbourg - Poitiers.
Samedi 16 (20 h 30, sur Sport+) : Gravelines - Nancy.

Est republicain

dominé par orléans
Le SLUC revient sur terre


Virtuellement qualifié pour la Semaine des As, le Sluc reste néanmoins branché sur courant alternatif : quatrième défaite en six matches de championnat !

Le coup du verre à moitié vide et à moitié plein… Comment pourrait-on critiquer une équipe à 90 % qualifiée pour la Semaine des As, située dans le premier tiers du championnat, qui restait sur quatre succès consécutifs et qui a, demain, la possibilité de se hisser au deuxième tour de l’Eurocup ? Positif, non ?
L’envers du décor existe pourtant. A une journée de la fin du cycle aller, le club du président Christian Fra n’est justement pas qualifié pour cette Semaine des As au contraire de Cholet, Gravelines ou du Mans, et peut se faire éjecter de la compétition internationale.
Pire, des signaux chiffrés suscitent l’inquiétude : samedi soir, mine de rien, Nancy a concédé sa quatrième défaite lors des six dernières journées de pro A. Le Sluc a aussi craqué une nouvelle fois dans son antre habituellement si piégeux pour les visiteurs : quatre succès pour trois revers, le ratio n’est pas celui d’un prétendant au titre. Orléans, après Poitiers et Cholet, sont venus toiser Gentilly.
Des excuses, le groupe lorrain peut en présenter. L’Américain Dickens, blessé, manque cruellement. Et céder face aux Choletais, aujourd’hui leaders, puis devant une équipe d’Euroligue après prolongations, n’a rien d’outrancier. Car Orléans, finaliste sortant, est en pleine bourre avec ses deux premières victoires en Euroligue venant s’ajouter à cinq résultats positifs sur six dans l’Hexagone. Par ailleurs, Orléans se sent plutôt à l’aise hors de ses bases (4v/3d).
On ajoutera à la décharge du Sluc ce scénario dément : de + 17 à - 22 points de la 33e à la 37e minute. Pourquoi une telle série noire… « Notre adversaire a soudain été d’une adresse incroyable (quatre paniers à 3 points d’affilée). Et les joueurs se sont crus sans doute à l’abri de la défaite. »
Sept joueurs seulement
Les explications de l’entraîneur Jean-Luc Monschau sont, évidemment, plausibles. La qualité de l’adversaire est pour quelque chose dans ce dérapage : « Nous avons su augmenter l’intensité défensive dans les quinze dernières minutes. C’était même très sérieux en ce domaine », avouait Philippe Hervé, coach avisé qui a pris le temps mort de la remontée fantastique quand le Sluc menait de dix-sept longueurs !
Orléans a mis en lumière d’autres faiblesses. L’état de fraîcheur des Lorrains était discutable (cinq joueurs se sont partagé 80 % du temps de jeu). Comment Ricardo Greer peut-il tenir le haut du pavé pendant 45 minutes ? Pas vingt secondes de repos ! Orléans, sept hommes entre 19 et 29 minutes (un seul au-dessus des 30 minutes) à, a montré le bon exemple.
La mauvaise gestion s’est avérée criarde, la faute, sans doute, à l’absence d’un véritable meneur (24 balles perdues, soit 9 de plus que l’adversaire). La systématisation de choix tactiques a aussi facilité la tâche des basketteurs du Loiret comme les fautes personnelles trop rapides du géant Akingbala.
On se gardera d’enterrer la formation de Jean-Luc Monschau. Un triomphe, demain, en coupe d’Europe puis une performance à Gravelines (privé du Lewin-Bokolo) samedi, permettraient de trinquer avec le verre à moitié plein. On n’ose pas imaginer le contraire.
Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Merci Bacou

L’état de fraîcheur des Lorrains était discutable (cinq joueurs se sont partagé 80 % du temps de jeu). Comment Ricardo Greer peut-il tenir le haut du pavé pendant 45 minutes ? Pas vingt secondes de repos ! Orléans, sept hommes entre 19 et 29 minutes (un seul au-dessus des 30 minutes) à, a montré le bon exemple. Cf Republicain Lorrain

Quand on pense qu'Orléans avait joué 48h plus tôt l'Euroleague ! C'est eux qui devaient être fatigués.
Mais nous on a joué avec 7 joueurs pendant 45 mn

Un goût amer dans la gorge depuis samedi soir...
Mais en 3 ans même avec des +20 d'avance je suis pas serein, on s'est fait rattrapé une paire de fois ces trois dernières saisons...

Bon ben croisons les doigts pour gagner demain mais surtout pour gagner samedi contre Gravelines... J'ai vu le match contre Poitiers et ils sont largement prenable ils ont qu'un seul gars à l'intérieur Edwards qui peut se faire suclasser par Akin ss pb... Ensuite le "phénoméne" Akpomedah c'est un mec qui reste dans son coin à 90° et qui attend la balle même Brun pourra défendre dessus...

Aprés en toute honnêteté ça me ferait moyennement mal qu'on soit pas qualifié pour l'Eurocoupe afin d'avoir des gars mobilisés pour le championnat.

Comme le coach a décidé que quoi qu'il arrive et quel que soit la compét' les cadres devait faire les 35mn par match ben on garde une chance en championnat et on a pas un effectif sur les rotules dans un mois

bubu54 a écrit:

Merci Bacou

L’état de fraîcheur des Lorrains était discutable (cinq joueurs se sont partagé 80 % du temps de jeu). Comment Ricardo Greer peut-il tenir le haut du pavé pendant 45 minutes ? Pas vingt secondes de repos ! Orléans, sept hommes entre 19 et 29 minutes (un seul au-dessus des 30 minutes) à, a montré le bon exemple. Cf Republicain Lorrain

Quand on pense qu'Orléans avait joué 48h plus tôt l'Euroleague ! C'est eux qui devaient être fatigués.
Mais nous on a joué avec 7 joueurs pendant 45 mn

7 ou 8, c'est pareil... Sans Dickens, et sans N'Joya, les rotations ne sont pas vraiment possibles... Seul le cas Bengaber peut-être débattu, notamment lorsqu'on dominait Orléans au score.

En tous cas, après les deux déplacements cruciaux de demain soir (en Grèce) et de samedi soir (à Gravelines), le SLUC enchaînera avec deux matches consécutifs à la maison : Strasbourg et Paris-Levallois.

Theseus a écrit:

En tous cas j'ai bien tripé sur ce match, chronologiquement :

- la claquette dunk de Jeff
- le 22-0 assez extraordinaire.
- les gens qui se sont cassés à -5 à 40 secondes de la fin, puis qui se sont fait reprendre par Marco
- Tchicamboud qui file dans les vestiaires comme un dératé après avoir arraché la prolongation.
- l'ENORME savon qu'a passé PH à son assistant ("TA GUEULE, TA GUEULE ") qui réclamait une antisportive (inutile) sur la dernière faute du SLUC :lol:


Un bon petit match bien sympa qu'Orléans n'aurait jamais dû gagné (+17 dans le 4ème QT) mais que le SLUC n'aurait pas mérité de gagner suite à l'antisportive très sévère sifflée contre les joueurs d'Orléans. N'empêche, on n'a décidément pas d'bol au SLUC... même quand on en a un ptit peu !

Petite precision, il lui a dis "ferme ta g...."

lolo a écrit:

Theseus a écrit:

En tous cas j'ai bien tripé sur ce match, chronologiquement :

- la claquette dunk de Jeff
- le 22-0 assez extraordinaire.
- les gens qui se sont cassés à -5 à 40 secondes de la fin, puis qui se sont fait reprendre par Marco
- Tchicamboud qui file dans les vestiaires comme un dératé après avoir arraché la prolongation.
- l'ENORME savon qu'a passé PH à son assistant ("TA GUEULE, TA GUEULE ") qui réclamait une antisportive (inutile) sur la dernière faute du SLUC :lol:


Un bon petit match bien sympa qu'Orléans n'aurait jamais dû gagné (+17 dans le 4ème QT) mais que le SLUC n'aurait pas mérité de gagner suite à l'antisportive très sévère sifflée contre les joueurs d'Orléans. N'empêche, on n'a décidément pas d'bol au SLUC... même quand on en a un ptit peu !

Petite precision, il lui a dis "ferme ta g...."

Il l'a même menacé de le virer !

« On n'a vraiment pas de réussite et pas de chance contre nos adversaires directs », pestait Jean-Luc Monschau. « Le Mans à Antares, Cholet à la maison et ce soir (samedi) contre Orléans, trois défaites qui auraient mérité de se transformer en victoires. »

j'adorerais toujours les déclarations de JLM.
En gros, circulez, y a rien à voir. C'est la faute à pas de chance...

fooxy a écrit:

« On n'a vraiment pas de réussite et pas de chance contre nos adversaires directs », pestait Jean-Luc Monschau. « Le Mans à Antares, Cholet à la maison et ce soir (samedi) contre Orléans, trois défaites qui auraient mérité de se transformer en victoires. »

j'adorerais toujours les déclarations de JLM.
En gros, circulez, y a rien à voir. C'est la faute à pas de chance...

Oui et puis le basket est un sport d'adresse, l'adversaire a été plus adroit, il n'y avait rien à faire.

Effectivement, toujours un modèle de remise en question ce JLM!

Bengaber aurait pu faire souffler Ricardo à +16
N'Joya ne serait quasiment pas rentré sur le terrain, voir pas du tout...

Jacques SANTINI a écrit:

Par ailleurs, je suis surpris de lire ce que tu dis sur Dobbins qui est un "tueur" dans son genre... il n'en est pas à son coup d'essai !

13% de réussite à 3 pts sur la saison ! Il a marqué 4 paniers à 3 pts depuis le début de la saison en comptant les 2 contre nous.
Depuis qu'il est en France, sa moyenne a 3 pts a toujours été comprise entre 6% (sa première saison, 1/16 en 21 matches) et 24% (la saison dernière, celle ou il a pris le plus de shoots à 3pts avec plus de 3 shoots tentés par match)

Après me faites pas dire ce que j'ai pas dit, c'est un super joueur, le meilleur défenseur à son poste en Pro A et de loin. Juste que le shoot à 3 points, à priori, c'est pas trop son truc.

En même temps, tu calculs ça sur sur des chiffres cumulés... Il a déjà fait des 2/2, 2/3, 3/4 même ! Alors certes, il y a une tendance générale qui montre que Dobbins n'est pas très fiable dans ce domaine. Mais si tu regarde ses stats match par match depuis trois ans, sa performance de samedi soir n'est pas isolée. Faut pas croire que tous les "nuls" du moment font soudainement le match de leur vie face à Nancy.

Non mais c'est bon, Dobbins a pas de shoot, c'est avéré, pas la peine d'en faire des caisses sur le sujet!