[PROA - J14] EO45 bat SLUC Nancy, 80-84 (39-31) A.P.

Location pour SLUC-Orléans


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La location pour SLUC - Orléans, samedi (20 h) à Gentilly, a débuté. Elle fonctionne au siège du club (palais des Sports Jean-Weille) aujourd'hui et demain de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30 et est également ouverte dans les réseaux Ticketnet et Francebillet. Prix des places à partir de 9 €.

Est republicain

J'ai abordé un peu le sujet d'Orléans sur le topic Eurocup... alors je me permet de "doubler" ici car cela donne pour commencer le débat un petit éclairage statistique (j'aime bien cela)....

Samedi contre Orléans, ce sera tout sauf simple. Tout au plus, Orléans sera plus fatigué que nous (ils jouent ce soir à Malaga), mais ils ont d'excellents joueurs :
Coville (25', 10pts et 5,3 rebonds) sera dur à contrôler à l'intérieur bien aidé par Vaty (16' 6,5pts et 4,4 rebonds)
Doellman est un danger au poste 4 fuyant (comme nous).
Nichols va bien se réveiller un jour, non (9,2pts/match pour le meilleur marqueur 2009) ?
Et puis il y a notre Cedrick Banks qui fait (comme chaque saison) un très bon début de championnat : 13 matchs, 17pts de moyenne avec 42% à 3pts, 3 rebonds et 2,7 passes pour un bon 16 d'éval (la meilleure d'Orléans).
Pour leurs parts, Moerman, Dobbins, Curti et Sciarra me semblent un peu en baisse par rapport à la dernière saison, cela est dû probablement à l'Euroleague et la succession des matchs... on le sait ça use !
En ProA, Hervé s'appuie sur ces neuf joueurs qui jouent entre 17' et 27'...

Orléans c'est 76,2pts de moyenne à 54% à 2pts et 30% à 3pts (Banks 42%, Nichols 35%)
Orléans c'est aussi 35 rebonds (Coville 5, Dobbins, Moerman, Vaty et Nichols 4)
C'est aussi 10 interceptions par match (5 joueurs à plus d'une interception)
c'est aussi 17,2 passes décisive (Sciarra 5 en 20', Banks 2,7, Curti 2,5)
C'estr aussi 12,8 balles perdues (Banks 2,3, Coville 1,8)

Nancy c'est 80 points marqué à 55% et 35% à 3pts (Chicamboud 38%, Cox 37%, R.Greer 35%, Brun et Jeff 34%)
Nancy c'est aussi 38 rebonds (R.Greer 9, Akingbala 7, Slaughter 4,6, Dicken 4,4)
C'est 8 interceptions (R.Greer 2,2, Tchicamboud 1,5 et Slaughter 1,1)
C'est aussi 18,1 passes décisives (R.Greer 6,3, Tchicamboud 4,2 et Jeff 2,4)
C'est aussi 15,5 balles perdues (R.Greer 3,7, Slaughter 3,0, Tchicamboud 2,7)

En tout cas Orléans ne sera vraiment pas facile à jouer...

Ils sont sur une bonne lancée après une large victoire sur Poitiers (84-52) et maintenant sur Malaga (88-72) .

Ils vont venir à Nancy en confiance et avec deux bonnes dernières sorties. ça ne sera pas facile...

nancy aussi est en confiance, bref ça va etre un match très intéressant entre 2 des équipes en forme du moment. Y'aura t'il du monde pour braver le froid et la neige?

oui....200 bornes....grrrr en esperant pas la neige

Je crois que le duel entre Jeff Greer et Cedric Banks va valoir son pesant de cacahuètes ! Non ?

Philippe Hervé : « Toujours périlleux à Nancy ! »



Nouveau venu au firmament du basket bleu, Orléans doit beaucoup à Philippe Hervé. Un mentor qui n’a jamais été inquiet après une période de turbulences. La preuve, l’équipe du Mosellan Curti va mieux maintenant…



D epuis quelques matches, c’est reparti mais vous avez vécu une période noire… « Vous songez au mois de novembre sans doute, avec six défaites : trois en championnat, trois en Euroligue ! »

• Inquiet à ce moment-là ? « Non. Quand vous savez le pourquoi de vos difficultés, c’est assez facile de ne pas céder à la panique. »

• Et les raisons de cet Orléans poussif ? « Nous avons commencé nos matches le 1er septembre. Depuis, on a disputé trente-quatre rencontres. Soit une tous les trois jours depuis trois mois et demi. Donc, au bout de deux mois, la baisse de régime physique peut s’expliquer aisément, voilà… J’ai lu dans les journaux que d’autres formations se plaignaient de leur calendrier en ayant débuté plus tard leur coupe d’Europe. Imaginez-vous à notre place. »

• Le potentiel physique dégradé est-il seul en cause ? « Non, en fait, j’ai fait l’erreur de vouloir renforcer l’équipe par Milic (joker depuis reparti). Premièrement, il ne correspondait pas au profil. Deuxièmement, il a vécu une intégration délicate et celle-ci ne pouvait que l’être en raison du calendrier surchargé. Troisièmement, pour certains joueurs, son arrivée a été prise comme une marque de défiance. »

• Le départ de Milic et un regain de fraîcheur expliquent ainsi votre retour aux affaires. « Oui, en remportant même des matches par des écarts importants ( 32 face à Poitiers, 43 contre Rouen). »

• Il y a toutefois cet accroc à Gravelines : moins sept chez l’équipe en forme du moment. « L’écart ne reflète pas ce duel. La victoire se joue sur une seule possession de balle. Nous shootons à 30 % de réussite… Normalement, on aurait dû prendre entre 15 et 20 points face à un adversaire à 50 % d’adresse. La défense nous a permis d’exister. »

• Pas l’ombre d’un doute sur la possibilité d’une rechute ? « Non. Vraiment, la nécessité de se prendre la tête n’a pas lieu d’être. Chaque jour, au quotidien, on vérifie la cohésion du groupe, l’état d’esprit, la qualité du travail et de ces côtés-là, rien à redire ! »

« Les cartes en main »
• Les effets néfastes de l’Euroligue se sont-ils fait sentir ? « On savait qu’elle nous coûterait plusieurs succès. D’autant que nous n’avions pas construit cette équipe en fonction de l’Euroligue quand on songe qu’il fallait déjà passer les éliminatoires (Charleroi, Benneton Trèvise). »

• Orléans est l’un des trois clubs classés au sixième rang. Soit un de trop pour la Semaine des As à deux journées du couperet. Reste-t-elle un objectif ? « On aimerait quand même être présent. Nous avons les cartes en main. Il faudrait que l’on ne prenne pas un éclat à Nancy afin de garder un bon panier-average et que l’on batte Paris la semaine prochaine. C’est le flou total. »

• Pour Nancy aussi. Déplacement périlleux en perspective ! « Il l’est toujours. Il l’est d’autant plus que le SLUC connaît une belle période et que nous, on était en déplacement à Malaga (match d’euroligue hier soir) : le temps de récupération et de préparation sera nul. Voilà qui augmente la difficulté de notre tâche à Nancy ! Sans oublier que le SLUC a besoin de ce succès pour être assuré de la Semaine des As. Ce sera du match ! »

Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

aircraft a écrit:

nancy aussi est en confiance, bref ça va etre un match très intéressant entre 2 des équipes en forme du moment. Y'aura t'il du monde pour braver le froid et la neige?

Oui je viens même s'il y a 15 cm de neige !

bubu54 a écrit:

aircraft a écrit:

nancy aussi est en confiance, bref ça va etre un match très intéressant entre 2 des équipes en forme du moment. Y'aura t'il du monde pour braver le froid et la neige?

Oui je viens même s'il y a 15 cm de neige !

tu as piqué le traineau du pere noel

gerard mentor a écrit:

bubu54 a écrit:

aircraft a écrit:

nancy aussi est en confiance, bref ça va etre un match très intéressant entre 2 des équipes en forme du moment. Y'aura t'il du monde pour braver le froid et la neige?

Oui je viens même s'il y a 15 cm de neige !

tu as piqué le traineau du pere noel

Oui il en a plus besoin pendant quelques mois
Il me le confie jusqu'au 24/12/2010, mais il est vide

Sérieusement je pense pas que Gentilly sera plein demain soir !

Jeff, le retour



Etincelant mardi en Eurocup, le shooteur dominicain a monté le volume depuis cinq matches. Après une saison 2008/2009 difficile, l'arrière-ailier semble avoir retrouvé la lumière.


Tout sourire, Jeff Greer, mardi soir après la rencontre face à Zgorzelec. Le Dominicain a sorti un gros match avec 20 pts et une évaluation finale de 27. - Photo Patrice SAUCOURT




NANCY._ Dans un milieu où il semble naturel de cataloguer les joueurs, Jeff Greer a souvent l'étiquette de shooteur. Celui qui dégaine, celui qui est capable de réussir des séries derrière la ligne... Vrai, mais un poil réducteur. Car le Dominicain a d'autres cordes à son arc. Beaucoup d'autres cordes. Et ceux qui sont venus à Gentilly mardi soir pour le match d'Eurocup face aux Polonais de Zgorzelec en ont eu une éclatante confirmation. Jeff Greer a non seulement joué les artilleurs (5/10 à 3 pts), mais il a aussi fait apprécier son explosivité en dunkant, en interceptant des ballons et en avalant les hectomètres à vitesse grand V.
En le voyant plonger pour chiper une balle, en le regardant « gicler » pour intercepter et aller au lay-up dans les dernières minutes, le public nancéien a pu se demander où il allait chercher toute cette énergie... « Mais c'est comme ça que je joue », sourit le joueur. « Courir des deux côtés du terrain, mettre beaucoup d'énergie, ce n'est pas quelque chose de nouveau pour moi. Mais c'est vrai que la saison dernière, les blessures m'ont empêché de jouer comme je le souhaitais. Aujourd'hui, je me sens en forme, je suis bien dans mon corps. Ça me permet de faire beaucoup plus de choses. »
Les blessures ? L'argument explique en partie pourquoi l'arrière-ailier nancéien a traversé péniblement la dernière saison. Héros de la finale 2008 face à Roanne (29 pts, 35 d'évaluation), Jeff avait vu ses stats fondre comme neige au soleil, au point de descendre pour la première fois de sa carrière sous la barre des 10 pts de moyenne en Pro A (7,5) et sous les 30 % de réussite à 3 pts (27,9 %).
Mais l'argument médical n'est qu'une partie de l'explication. « Ça a joué en début de saison », reprend l'international dominicain, « mais il y a aussi le fait que je me sentais moins à l'aise dans l'équipe. Je ne vais pas dire que je n'étais pas heureux, je suis toujours heureux quand je suis un terrain, mais disons que c'était différent... Regardez, en arrivant à la salle, on a fait une bataille de boules de neige. On est plus proche les uns des autres cette saison, tout le monde se sent bien et cela rend les choses plus faciles sur le terrain. »

« Plus de 50 % de chances de rester »
Et il faut croire que ce mieux-être a des effets quantifiables puisque Jeff est en hausse statistiquement et qu'il est même flamboyant depuis cinq matches, lui qui tourne dans cette période à près de 17 pts, 20 d'évaluation et 50 % de réussite à 3 pts. Du pain bénit pour le SLUC et pour le joueur, qui sait l'importance des stats. A fortiori quand on est en fin de contrat comme lui et qu'on doit penser à son avenir. Où se dessinera celui de Jeff ? Mystère. Mais quand on demande s'il a plus de 50 % de chances de rester à Nancy, le Dominicain acquiesce. « Mes enfants sont à l'école ici, ma femme aime la ville, le temps est chouette (NDLR : il montre la neige et éclate de rire). J'aime le projet qu'il y a ici, le coach... C'est une bonne situation. »
Mais si le Dominicain sait que son avenir pourrait également être lié à celui de son frangin Ricardo, lui aussi en fin de contrat, il garde ces considérations dans un coin de la tête. « Il y a tellement de choses à vivre jusqu'à la fin de saison », rappelle-t-il.
Et des échéances importantes qui arrivent, avec la réception d'Orléans demain, le match décisif d'Eurocup mardi prochain à Panellinios, un déplacement à Gravelines puis les débuts en coupe de France, le mardi suivant au Portel (Pro B). Première étape face à Orléans. « Un gros, gros match », confie Jeff. Mais qui ne lui fait pas peur. Depuis quelques semaines, le Dominicain en réussit pas mal, des gros, gros matches.

Anthony GUILLE
Est republicain

Merci bacou
On compte sur toi Jeff...

Encore un panier milieu de terrain ...au buzzer....Jeff..!!!!!!!

Tant de bonnes raisons



Pour conserver sa dynamique, repousser un concurrent direct et valider son billet pour les As le SLUC a tout intérêt à s'imposer. Mais le tombeur de Malaga est en forme.


Steed Tchicamboud et les Nancéiens sont prévenus : Aldo Curti, Adrien Moerman et les Orléanais sont en forme, eux qui restent sur un exploit à Malaga en Euroligue. - Photo d'archives Patrice SAUCOURT


NANCY._ Pour toute équipe qui enchaîne les bons résultats, le risque est de s'installer dans un certain confort et de relâcher l'effort. Un virus latent contre lequel les entraîneurs luttent au quotidien en maintenant leurs troupes sous pression.
Un travail dont Jean-Luc Monschau ne s'exonère évidemment pas. Mais dans son souci d'alerter ses joueurs sur les qualités de l'adversaire du jour, le coach nancéien a été joliment secondé par la télévision. Il suffisait en effet de s'installer sur son canapé et de regarder Sport+, jeudi soir sur les coups de 22 h 30, pour se faire une idée de l'état de santé du moment de l'Entente Orléanaise. Petit rappel pour les couche-tôt : l'équipe de Philippe Hervé est allée s'imposer de seize points (88-72) sur le parquet de Malaga, actuelle deuxième de son groupe en Euroligue.
Une victoire de prestige dans un match sans grand enjeu, certes... « Mais je ne pense pas que les Espagnols aient fait exprès de perdre », ironise Jean-Luc Monschau, qui n'a évidemment pas perdu une miette de cet exploit. Malaga restait tout de même sur 23 victoires lors de ses 25 derniers matches à domicile en Euroligue...
A l'image de son pistolero Cedrick Banks, bien connu des habitués de Gentilly, Orléans est en pleine bourre et semble avoir définitivement digéré un début de saison poussif.
En matière de série, l'Entente Orléanaise peut d'ailleurs se targuer d'avoir remporté six de ses huit dernières rencontres, s'inclinant seulement à Vilnius en Euroligue, puis à Gravelines en championnat.

« Orléans passerait devant »
Si bien qu'après avoir navigué à vue en début de saison, Orléans pointe aujourd'hui à une petite victoire du SLUC seulement (7 victoires, 6 défaites).
« Et en cas de défaite demain (ce soir), nous verrions Orléans nous passer devant », rappelle Jean-Luc Monschau à juste titre. Juste histoire de préciser, au passage, que l'entraîneur pense d'abord à la saison régulière, avant de penser au temps de passage intermédiaire que constitue la qualification pour la Semaine des As.
Bien entendu, sans pour autant négliger une éventuelle participation à la compétition qui réunira les huit meilleures équipes de Pro A à mi-parcours (ou les sept meilleures plus l'ASVEL), à la fin du mois de février, à Villeurbanne. En battant Orléans ce soir, Ricardo Greer et ses coéquipiers valideraient d'ores et déjà leur billet pour les As. Et ce avant même de se rendre à Gravelines, samedi prochain, pour le compte de la dernière journée des matches aller.
Puisqu'une seule victoire suffirait au bonheur du SLUC et sans faire insulte au représentant français en Euroligue qu'est Orléans, on se dit que ce match à domicile est certainement l'occasion de classer le dossier. Plutôt que d'espérer le faire samedi prochain, dans le petit chaudron du Nord qu'est le Sportica.
Seul problème et il est de taille : Orléans court également après une qualification pour la Semaine des As. Le duel s'annonce chaud sous les projecteurs de Gentilly.
Pour le SLUC, la venue d'Orléans est une nouvelle occasion de s'étalonner face à un adversaire haut de gamme, quatre jours avant d'aller jouer son avenir européen à Athènes.
Espoirs : SLUC (5e, 21 POINTS) - ORLÉANS (11e, 17 POINTS), aujourd'hui (17 h 15).

Thomas SIMON




Est republicain

« Maintenant, je mets mes shoots »



zoom
« En début de saison, je ne mettais pas un pied devant l'autre », reconnaît Stephen Brun, qui se sent « beaucoup plus en confiance » aujourd'hui. - Photo Patrice SAUCOURT




- Stephen Brun, la victoire d'Orléans à Malaga semble prouver que votre adversaire du jour est en forme...
- Je ne sais pas si Malaga a complètement joué le jeu. Les Espagnols perdent quand même de seize points, après avoir mené de quatorze dans le troisième quart-temps... Cela dit, ça n'enlève rien au fait qu'Orléans est beaucoup mieux aujourd'hui qu'en début de saison. Ils ont eu une entame poussive, sans doute parce qu'ils n'ont pas eu trop le temps de travailler à cause du tour préliminaire de l'Euroligue. Aujourd'hui, le classement ne reflète pas le niveau de cette équipe. Ils vont devoir gérer le voyage et l'enchaînement des deux matches. Mais lorsque vous gagnez de seize points à Malaga, vous oubliez plus facilement la fatigue...
- La qualification pour la Semaine des As est-elle un élément de motivation supplémentaire ?
- On ne se focalise pas là-dessus. Il faut gagner, c'est tout. Pour le classement et aussi pour reléguer un adversaire direct à deux victoires.
- Le SLUC reste sur quatre victoires convaincantes. Est-ce avant tout l'investissement défensif qui est à l'origine de cette série ?
- Il est évident que lorsqu'on défend bien, on pose des problèmes à nos adversaires. On l'a encore vu mardi, face à Zgorzelec. Le problème, c'est qu'on a tendance à ne pas débuter les matches de façon suffisamment agressive. Et lorsqu'on est derrière, on s'active, on est mieux sur les attitudes... Il faut être dans cet état d'esprit dès le début du match.
- Depuis la blessure de Kaniel Dickens, vous êtes plus sollicité. Et cela semble vous réussir...
- Je joue un peu plus, c'est vrai. Mais je prenais déjà beaucoup de plaisir en début de saison. La différence, c'est qu'en début de saison, je ne mettais pas un pied devant l'autre, alors que depuis quelques matches, je mets mes shoots. Je me sens beaucoup plus en confiance. Tant mieux pour moi et pour l'équipe. Mais sur la durée, on sait très bien que l'on aura besoin de tout le monde. Regardez face à Vichy ou Dijon : nous avons eu des problèmes de fautes à l'intérieur. Nous allons avoir besoin de toutes nos forces.

Propos recueillis par T.S.




Est republicain

L'adversaire



Budget : 4,8 millions d'euros.
Salles : Palais des Sports (3.222 places) et Zénith (5.500 places).
Entraîneur : Philippe Hervé (47 ans).
Le joueur clé : Cédrick Banks. Meilleur marqueur orléanais en championnat (17,9), deuxième meilleur marqueur du club en Euroligue derrière Justin Doellman (12,7 contre 13,3), l'arrière américain brille par sa constance depuis le début de saison.
Alors qu'il a disputé 22 matches (13 de championnat, 9 d'Euroligue), il n'est descendu que... deux fois sous la barre des 10 pts. Et deux jours après son coup de chaud à Malaga (23 pts, 5/8 à 3 pts en 28'), quelque chose nous dit que « Mister » Banks aura une furieuse envie de se rappeler au souvenir d'une équipe nancéienne dont il a porté les couleurs en 2006/2007...
Le chiffre : 4. C'est le nombre de victoires remportées par Orléans lors de ses cinq derniers matches.
Le club du Loiret a gagné deux fois en championnat (Strasbourg et Poitiers) et deux fois en Euroligue (Partizan Belgrade et jeudi soir à Malaga) ne chutant qu'une fois, à Gravelines (60-67).
L'infirmerie : vide.
Les cinq derniers matches : VVDVV.

Est republicain

Le SLUC en images
NANCY._ A force d'écumer les terrains de sport et en particulier ceux de basket, Mao, photographe nancéien et collaborateur du quotidien L'Equipe, a eu tout le loisir de mûrir un joli projet qui vient de voir le jour. L'ouvrage collector s'intitule « Mes dédicaces ». Il regroupe de superbes photos et portraits de chacun des joueurs du SLUC, sans oublier les petits emplacements destinés à accueillir les autographes. L'objet est désormais disponible à la boutique des supporters, au palais des sports. Noël n'est pas si loin...
Est republicain

Un col à franchir


Une équipe d’Euroligue sur la route des Lorrains. Orléans, qui vient de flamber en Espagne, à Malaga, roule sur la voie du renouveau après un léger ralentissement. Un test d’envergure pour Nancy. Duel au sommet.



Un certain mystère entoure l’Entente orléanaise, équipe d’Euroligue, assez brillante pour passer de piégeuses et précoces qualifications (Charleroi puis Benetton Trévise) puis assez médiocre, ou malchanceuse, pour sombrer dans les tréfonds internationaux.
En championnat, même courbe douloureuse. Un novembre noir a précédé une sorte de rédemption restant toutefois à confirmer. Que valent les grands écarts infligés à Poitiers, Strasbourg, Rouen, Dijon, carré qui ne tourne pas vraiment rond ?
La lecture superficielle des résultats, obtenus par la formation du malin Philippe Hervé, offre une image trompeuse à ses rivaux. Quand Orléans perd au-delà de nos frontières, il ne fait que trébucher. Sur le territoire national, son court échec à Gravelines (neuf victoires d’affilée) incite à la méfiance.
D’ailleurs, Jean-Luc Monschau, habituellement bardé de prudence aiguë, a presque tout résumé quand il dit d’Orléans qu’elle est une « équipe d’Euroligue » . Sixième actuellement (en compagnie de Paris et Hyères/Toulon), le groupe du Loiret n’affiche pas le classement qu’il mérite : « Certainement , approuve le coach de Gentilly, et je n’en ai jamais douté. Leur mois difficile ? Chaque club connaît ce genre de situation. »
Ce collectif « très complet » d’où le danger peut venir de partout avec « de gros scoreurs à trois points comme Banks, Nichols, Doelmann alors que le secteur intérieur n’est pas mal », reste sur une performance en euroligue : +16 à Malaga, l’un des grands du Vieux continent ! « C’était un match sans enjeu mais les Espagnols n’ont pas fait exprès de perdre. Ce n’est pas le genre de la maison »,commente Jean-Luc Monschau.
« Rien à se reprocher »
Constant en défense et en adresse, le SLUC a lui aussi redressé la tête avec des frères Greer impeccables. De quoi rassurer même avant d’affronter Orléans puis de rendre visite à Gravelines. Deux opposants coriaces pour un double test révélateur.
L’entraîneur nancéien, lui, préfère souligner une caractéristique qui n’a jamais failli : « Les joueurs, surtout, n’ont jamais cessé de se battre, notamment quand les résultats n’étaient pas aussi bons. Il y a un véritable investissement, une volonté. La seule fois où nous avons été en deçà, c’est à Hyères-Toulon. Sinon, on n’a rien à se reprocher. »
Il reste à gérer les multiples efforts fournis. L’Américain Dickens en moins, Jean-Luc Monschau s’appuie essentiellement sur sept hommes. Avec deux parties par semaine, la fraîcheur risque d’en prendre un coup. « C’est vrai, admet Jean-Luc Monschau, mais plus que la fatigue, ce sont les petits bobos qui perturbent les séances en permanence. »
La nécessité de vaincre pour entériner la qualification à la Semaine des As (c’est l’avant-dernier match du cycle aller), devrait agir comme un médicament efficace… Sûr que l’on aura droit à un SLUC mort de faim. A moins qu’Orléans ne soit plus du tout cet adversaire ayant musardé en chemin !Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Match de ce soir à suivre sur france bleue orléans.
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?tag=Orleans

On va pouvoir enfin confirmer (ou infirmer) le niveau entrevu lors des derniers matchs.
Orléans a du laisser pas mal de fatigue sur le terrain de malaga mais ils ont pour eux un succès probant. Il va falloir les prendre à leur propre jeu avec une défense hyper intense afin de les fatiguer. Bon match à ceux qui y seront!

Cela promet une belle empoignade ce soir !

A Orléans, contre Malaga, j'ai évidemment était impressionné par la performance de Cedrick Banks notamment en seconde période. Ses shoots en 1ère intention ont fait des ravages...
Un autre a été très efficace c'est Justin Doelmann... que ce joueur est précieux. Une très belle technique et une concentration au top (Est-ce qu'il sourit sur un terrain Justin ?). Vaty aussi a assuré... je sais qu'ici beaucoup n'en voulaient pas pour remplacer Julian.. j'ai toujours cru par contre que c'est un joueur d'avenir... et là il progresse.
Pour les autres c'était du sérieux : Coville, Dobbins, Moerman et Nichols sont tous de très bons joueurs.
Les deux meneurs ne brillent pas vraiment... mais Curti est solide, pénible sur l'homme en défense, très dur (à la limite souvent !) et capable d'actions offensives bluffantes. Sciarra a vieilli, c'est sûr, mais il a l'immense expérience et le geste toujours sûr.

Nancy va devoir être au top c'est certain !
Les frères Greer vont devoir encore une fois être au four et au moulin... ça tombe bien, ils sont en pleine bourre.
Ricardo va sûrement avoir Dobbins ou Nichols sur le dos... Dobbins est le roi de l'interception, alors Ricardo ne devra pas forcer... sinon...
Jeff va s'occuper de Cedrick Banks. Il faudra l'empécher de prendre feu. Ricardo s'occupera de Nichols qui a des difficultés mais qui reste un pistolero !
Nos intérieurs "Babars" vont avoir à qui parler : Coville est un roc et Vaty est costaud aussi. Akin et Marcus un peu en retrait ces temps ci et qui ont connu pas mal de difficultés face à Bradford (Dijon) et Wright (Turow) nous doivent une revanche.
Brun devra surveiller Justin Doelmann comme le lait sur le feu...
La défense de Nancy sera le baromètre du match... si on arrive à contenir Orléans, notre réussite actuelle en attaque pourrait faire la différence.
Mais là aussi, Orléans est réputé pour sa défense "à la limite" (rappelons nous du match de la saison dernière).
Tchicamboud et Cox doivent mettre la pression maximale sur Curti et Sciarra deux joueurs prompts à "pêter les plombs"...

La vérité dans quelques heures !

Jacques SANTINI a écrit:

Cela promet une belle empoignade ce soir !

A Orléans, contre Malaga, j'ai évidemment était impressionné par la performance de Cedrick Banks notamment en seconde période. Ses shoots en 1ère intention ont fait des ravages...
Un autre a été très efficace c'est Justin Doelmann... que ce joueur est précieux. Une très belle technique et une concentration au top (Est-ce qu'il sourit sur un terrain Justin ?). Vaty aussi a assuré... je sais qu'ici beaucoup n'en voulaient pas pour remplacer Julian.. j'ai toujours cru par contre que c'est un joueur d'avenir... et là il progresse.
Pour les autres c'était du sérieux : Coville, Dobbins, Moerman et Nichols sont tous de très bons joueurs.
Les deux meneurs ne brillent pas vraiment... mais Curti est solide, pénible sur l'homme en défense, très dur (à la limite souvent !) et capable d'actions offensives bluffantes. Sciarra a vieilli, c'est sûr, mais il a l'immense expérience et le geste toujours sûr.

Nancy va devoir être au top c'est certain !
Les frères Greer vont devoir encore une fois être au four et au moulin... ça tombe bien, ils sont en pleine bourre.
Ricardo va sûrement avoir Dobbins ou Nichols sur le dos... Dobbins est le roi de l'interception, alors Ricardo ne devra pas forcer... sinon...
Jeff va s'occuper de Cedrick Banks. Il faudra l'empécher de prendre feu. Ricardo s'occupera de Nichols qui a des difficultés mais qui reste un pistolero !
Nos intérieurs "Babars" vont avoir à qui parler : Coville est un roc et Vaty est costaud aussi. Akin et Marcus un peu en retrait ces temps ci et qui ont connu pas mal de difficultés face à Bradford (Dijon) et Wright (Turow) nous doivent une revanche.
Brun devra surveiller Justin Doelmann comme le lait sur le feu...
La défense de Nancy sera le baromètre du match... si on arrive à contenir Orléans, notre réussite actuelle en attaque pourrait faire la différence.
Mais là aussi, Orléans est réputé pour sa défense "à la limite" (rappelons nous du match de la saison dernière).
Tchicamboud et Cox doivent mettre la pression maximale sur Curti et Sciarra deux joueurs prompts à "pêter les plombs"...

La vérité dans quelques heures !

oui .... en tout cas je pars de suite ... direction Gentilly
J'espère revenir avec un grand

Akin en forme ce soir

Belle adresse à 3 pts pour l'instant ! et encore un match solide de S. Brun

En ce moment on tourne à 7 pros,Bengaber est complétement sorti de la rotation.

Le commentateur d'Orléans, il est aussi chauvin que Phiphi