[ProA - J30] ASVEL 76 (30) - (28) 65 SLUC Nancy

The Warrior a écrit:

James va nous dire que c'est michel demain le facteur X

Il monte en puissance le Michou ahah !
Perso j'ai rarement vu un joueur au shoot aussi pur (vinson?) et aux mouvements si jordanesques à gentilly et il a tellement à se faire pardonner cette saison...!

Nan, le facteur X c'est akin : est-il cramé? et Julian à cours de compétition va t'il peser sur cette rencontre? Allez je me fais pas de soucis, il rate jamais ces finales

Bon vu qu'on perd environ 3 finales sur 4 et qu'on a gagné ces 5 dernières années...une fois à l'astroballe (2006 / 2007 - résumé en vidéo ) qui prend les paris? :/

Le moins de cette rencontre c'est qu'on va de toutes façons y laisser beaucoup d'énergie alors que Le mans joue ...rouen
go sluc go

L A F O I D E P L A C E D E S M O N T A G N E S ! ! !
S L U C P R E M I E R

L'Euroligue en dessert


Sur sa lancée de onze victoires consécutives en championnat et Coupe de France, le SLUC tente un gros coup, ce soir à l'Astroballe : décrocher la première place avant les play-offs et, surtout, la qualification en Euroligue.




NANCY._ Il y a les Quatre jours de Dunkerque, il y aura les quatre jours du SLUC, revenu de nulle part pour mettre ce soir une pression terrible sur l'ASVEL - que tout le monde avait déjà sacré champion de la saison régulière -, avant de se payer dimanche une tranche de bonheur à Bercy, pour la finale de la Coupe de France en compagnie des cadets du club.
Le SLUC va donc jouer, ce soir, une première finale inédite de saison régulière, une finale de rêve sur un match. Tenter de gagner la guerre après vingt-neuf batailles qui n'ont pas réussi à départager l'armée du général Collet et les troupes de Jean-Luc Monschau. On ne pouvait pas espérer mieux comme final. Et que le meilleur gagne...
Tony Parker, frère de TJ et vice-président de l'ASVEL, supporter numéro un du SLUC la saison dernière mais bientôt sponsor principal privé de Villeurbanne, sera là. Il a choisi son camp. Il veut faire de l'ASVEL un grand club, ce que toute la famille du basket français souhaite. Même Bertomeu, le patron de l'Euroligue, qui a accordé au club rhodanien une invitation pour trois ans alors que le club n'a pas de salle conforme au cahier des charges, qu'il est loin de remplir l'Astroballe à chaque match et qu'il cherche depuis cinq ans à devenir champion de France. Pour l'instant, il a juste quelques secrétaires en plus que le SLUC ou Le Mans, lesquels ont, depuis 2002 (année du dernier titre de l'ASVEL), un autre palmarès.
Cette parenthèse refermée, il est clair que ce dernier match à Villeurbanne pèse lourd, très lourd et qu'il a une autre importance que la finale de la Coupe de France. Non seulement le vainqueur se placera idéalement pour les play-offs, mais il mettra en banque un ticket Euroligue, ce qui permet évidemment de voir l'avenir avec sérénité par les temps qui courent. Il y aura, le 20 juin, une finale pour le titre de champion ; il y en a une autre ce soir entre les deux équipes qui, ce n'est pas un hasard, se sont retrouvées le 3 octobre 2008 pour le Match des Champions.
Ce soir-là, le champion de France avait battu le vainqueur de la Coupe de France pour trois petits points (76-73). Mais Nancy jouait avec... Benson, judicieusement remplacé depuis par Akingbala, et l'ASVEL attendait le retour d'Amara Sy. Enfin, Brun et Bogavac, deux spécialistes du shoot à trois points, n'étaient pas encore arrivés en renfort.

Les clés du match


Les clés du match ? On les connaît. L'ASVEL va vouloir contrôler le rythme de la rencontre, ne pas donner l'occasion au SLUC de courir. La bataille au rebond entre Akingbala, Wilson, Ricardo Greer d'un côté et Traoré, Troutmann et Campell de l'autre, va faire rage. Le collectif villeurbannais, ciselé par l'expert Vincent Collet, va-t-il faire la différence face au talent individuel des Nancéiens, dont on connaît la longueur de banc malgré l'absence de Samnick ? Et puis, qui va décrocher la timbale dans le concours à trois points ? Il y a du monde sur le pas de tir avec Foirest, Dewar, Reynolds, Bogavac pour l'ASVEL, Jeff Greer, Michel Morandais, Lamayn Wilson, Stephen Brun et Steed Tchicamboud pour le SLUC. Enfin, et c'est une évidence dans le basket moderne, il faudra bien défendre pour plier cette dernière confrontation avant les play-offs, qui remettront les compteurs à zéro.
Mais on sait bien qu'un match de basket, surtout une finale, n'a pas de logique et que les questions qu'on se pose n'auront pas forcément de réponses. C'est la beauté de ce sport.

Gilles GAIHIER


Est republicain

« Le fruit de cinq ans de travail »


Le président du SLUC s'apprête à vivre deux finales en quatre jours. Deux de plus pour un club au sommet du basket français depuis cinq ans.





NANCY._ Hier matin au comité directeur de l'UCPB puis au prétoire de la DNCCG à Paris, le président Fra, qui se sent jamais aussi bien qu'avec ses joueurs et son staff - « Ma seconde famille », répète-t-il souvent -, a rejoint directement en TGV son équipe, qui a pris ses quartiers à l'Hôtel Mercure Lyon Charpennes. C'est avec sa troupe qu'il a passé la soirée.
- Président, vous voilà de nouveau en finale de la saison régulière, ce soir, avant de retourner une cinquième fois à Bercy pour la finale de la Coupe de France. C'est incroyable ?
- C'est surtout le fruit du travail réalisé depuis cinq ans avec mon staff, et plus particulièrement avec Jean-Luc Monschau, qui me rappelait justement que le SLUC va participer au minimum à sa dixième finale en cinq ans, et qu'il vient de réussir l'exploit de gagner vingt matches ou plus, en saison régulière, pour la cinquième année consécutive. Performance qui ne s'était jamais produite au club avant notre arrivée.
- Le soir de la défaite contre Roanne à domicile, il y a deux mois (14 mars), le SLUC était pourtant en danger. On a parlé de malaise dans l'équipe. Certains joueurs ont commencé à parler dans la presse...
- J'étais persuadé qu'il n'y avait pas de malaise. Si les joueurs se sont réunis, s'ils se sont regardés dans la glace, pour reprendre l'expression de notre capitaine Ricardo, c'est pour faire front devant la cascade de blessures qui s'est abattue sur le groupe. Je savais qu'ils avaient une âme de guerriers, qu'ils ne lâcheraient pas. On a pu s'en rendre compte notamment devant Le Mans et Orléans, à domicile. Deux matches superbement gagnés dans l'épreuve.
- Et devant une salle pleine et belle comme le jour ...
- C'était émouvant à pleurer, avec tous ses drapeaux. J'ai toujours été très fier de notre public, malgré la concurrence de la télévision. Et puis, certains de mes joueurs m'ont avoué qu'ils avaient adoré l'ambiance, vendredi soir.
- Maintenant, il y a une place en Euroligue à aller chercher, ce soir à l'Astroballe. Ils sont nombreux à vouloir opposer l'ASVEL au SLUC. Qu'en pensez-vous ?
- Nos face-à-face en demi-finale ou en finale sont épiques, depuis maintenant trois ans. Simplement, en ce qui concerne l'Euroligue, l'ASVEL n'a pas compris sur le moment que si nous sommes montés au créneau pour le respect de la vérité sportive et du terrain, c'était avant tout pour défendre le basket français. Aujourd'hui, la France a trois places et l'ASVEL son invitation. Pour ce soir, c'est simple : que le meilleur gagne.
- Le SLUC a présenté hier son budget prévisionnel pour 2009-2010 sans savoir encore s'il jouera en Euroligue. Et la crise doit avoir de douloureuses conséquences ?
- Il subira des modifications en fonction de notre participation ou pas en Euroligue. Quant à la crise, elle fait mal dans le budget des ménages. Elle pèse dans le porte-monnaie de nos supporters. Heureusement, notre parcours sportif les fidélise. Et puis, nous sommes sans cesse à la recherche de nouveaux partenaires.

Recueilli par G.G


13/05/09


Est republicain

Premier, troisième ou quatrième...






NANCY._ La seule certitude du SLUC à une journée de la fin, c'est qu'il est sûr de figurer dans le top 4, puisque dans le match à trois avec Roanne et Le Mans, c'est la Chorale qui, pour un petit point, est derrière Nancy. Pour le reste, l'équipe de Jean-Luc Monschau peut terminer première, troisième ou quatrième par le jeu d'un panier-average défavorable contre Le Mans et Orléans.
•Les différents scénarios :
Si le SLUC bat l'ASVEL : il termine premier et décroche son billet pour l'Euroligue.
Si le SLUC, Le Mans et Roanne s'inclinent : Nancy termine troisième.
Si le SLUC, Le Mans et Orléans perdent et que Roanne gagne : Nancy termine troisième.
Si le SLUC et Le Mans perdent et que Roanne et Orléans gagnent : Nancy termine quatrième.
Si le SLUC perd et que Le Mans et Roanne gagnent : Nancy est quatrième.
Si le SLUC et Roanne perdent et que Le Mans gagne : le SLUC est quatrième.
Est republicain

A guichets fermés




NANCY._ Sous les yeux d'un certain Tony Parker, l'ASVEL s'est entraînée à huis clos, hier. La cheville de Foirest, qui n'a pas beaucoup joué à Besançon (5'), va mieux, tout comme d'ailleurs le genou d'Eric Campbell.
Les deux joueurs seront sur le parquet ce soir, dans une salle qui va monter en température. Le match, véritable finale de la saison régulière, va se jouer à guichets fermés. L'ASVEL évoluera donc au complet.




13/05/09


Est republicain

Merci bacou

Citation :

Même Bertomeu, le patron de l'Euroligue, qui a accordé au club rhodanien une invitation pour trois ans alors que le club n'a pas de salle conforme au cahier des charges (1), qu'il est loin de remplir l'Astroballe à chaque match (2) et qu'il cherche depuis cinq ans à devenir champion de France (3). Pour l'instant, il a juste quelques secrétaires en plus que le SLUC ou Le Mans (4), lesquels ont, depuis 2002 (année du dernier titre de l'ASVEL), un autre palmarès.

(1) Gentilly était-il conforme au cahier des charges de l'EL avant d'y participer ? Non. Et puis, l'Astroballe n'a jamais accueilli de match d'EL ? lol

(2) 5045 spectateurs de moyenne à l'Astroballe l'année dernière, ce qui en fait la meilleure affluence de l'hexagone devant Pau et le SLUC (4740). Source

(3) Ouep, ça c'est vrai.

(4) Ça me rappelle quelque chose. Encore la SIG et ses 4 secrétaires, je veux bien. Mais si ça n'était que ça qui fait que l'ASVEL est loin devant tout le monde en terme de structure/comm' (etc.) je pense qu'on en ferait pas tout un foin.

Merci....Bacou...
Merci...pour la page de L'Equipe...Theseus..

Theseus a écrit:

Merci bacou

Citation :

Même Bertomeu, le patron de l'Euroligue, qui a accordé au club rhodanien une invitation pour trois ans alors que le club n'a pas de salle conforme au cahier des charges (1), qu'il est loin de remplir l'Astroballe à chaque match (2) et qu'il cherche depuis cinq ans à devenir champion de France (3). Pour l'instant, il a juste quelques secrétaires en plus que le SLUC ou Le Mans (4), lesquels ont, depuis 2002 (année du dernier titre de l'ASVEL), un autre palmarès.

(1) Gentilly était-il conforme au cahier des charges de l'EL avant d'y participer ? Non. Et puis, l'Astroballe n'a jamais accueilli de match d'EL ? lol

(2) 5045 spectateurs de moyenne à l'Astroballe l'année dernière, ce qui en fait la meilleure affluence de l'hexagone devant Pau et le SLUC (4740). Source

(3) Ouep, ça c'est vrai.

(4) Ça me rappelle quelque chose. Encore la SIG et ses 4 secrétaires, je veux bien. Mais si ça n'était que ça qui fait que l'ASVEL est loin devant tout le monde en terme de structure/comm' (etc.) je pense qu'on en ferait pas tout un foin.

Combien d'invitations par match????

Final à suspense

Rien n'est joué. Avant la trentième et dernière journée, tout est encore possible dans ce championnat de Pro A. L'identité du premier de la saison régulière, qui devrait se jouer lors d'une finale avant la lettre entre Villeurbanne et Nancy, celle du deuxième relégable, mais également l'ordre du Top 4, se décideront mercredi lors d'un final à suspense.

Foirest et Cox vont se disputer la première place de la saison régulière.



Qui terminera premier de la saison régulière, Villeurbanne ou Nancy ? Qui accompagnera l'Elan Béarnais en Pro B, Le Havre ou Besançon ? Dans quel ordre termineront les quatre premiers du classement et qui seront-ils ? Autant de questions qui trouveront leur réponse mercredi soir lors d'une dernière journée à grand suspense, décisive en vue des play-offs mais également de la prochaine saison.

La première place

En tête une bonne partie de la saison, Orléans a craqué après la trêve et ne peut désormais plus prétendre à la première position de la saison régulière, synonyme de qualification pour la prochaine Euroligue, malgré une place de dauphin à un point des leaders villeurbannais, et ce en raison d'un point-average défavorable par rapport à ses concurrents, l'Asvel et Nancy. Tout se jouera donc entre ces deux équipes qui, ironie du sort, se défieront dans une finale avant l'heure à l'Astroballe, sous les yeux de Tony Parker. Et si les Rhodaniens ont l'avantage du terrain, ils ne sont pas forcément dans une dynamique exceptionnelle, contrairement au Sluc. Avec huit succès d'affilée, les partenaires de Cyril Julian sont en pleine confiance et tenteront de confirmer leur victoire du match aller (76-73), alors qu'une défaite pourrait les faire plonger au quatrième rang. En cas de revers, les hommes de Vincent Collet pourraient eux aussi rétrograder, jusqu'à la troisième place, une issue que ne veulent pas imaginer Laurent Foirest et ses coéquipiers, le médaillé olympique estimant, dans les colonnes du Progrès que: "Les premiers qu'il faut craindre, c'est... nous-mêmes."

Le Top 4

Villeurbanne, Nancy et Orléans ont d'ores et déjà leur place assurée dans ce Top 4. Reste à déterminer qui, du Mans ou de Roanne, s'adjugera le dernier accessit pour ce "Big Four" de la Pro A. Cette place aura son importance lors des play-offs et ce dès les quarts de finale, puisque le quatrième, qui accueillera le cinquième, disputera le match d'appui éventuel dans sa salle, ce qui constitue un atout non négligeable. Avantage aux Manceaux, transformés depuis la semaine des As et l'arrivée du meneur Bobby Dixon, qui possèdent en outre un point-average positif par rapport aux hommes de Jean-Denys Choulet. Ces derniers se déplaceront à Cholet alors que les Sarthois accueilleront Rouen pour une ultime rencontre a priori plus abordable.

La descente en Pro B

L'Elan Béarnais, officiellement rétrogradé depuis la 28e journée, attend désormais le nom de l'équipe qui l'accompagnera à l'échelon inférieur. Besançon, qui compte un point de moins que Le Havre mais l'a emporté à deux reprises face aux Normands, avait plus qu'un pied en Pro B avant que ces derniers ne s'écroulent complètement en fin de match face à Cholet, s'inclinant dans les toutes dernières minutes (78-76). Les Bisontins, dans un scénario quasi similaire, ont eux aussi cédé dans le "money-time" face à Villeurbanne (79-76), malgré un avantage de sept points à quatre minutes du terme. Et si le STB, miraculeux cinquième l'an passé, a son destin en main, son déplacement à Hyères-Toulon semble plus perilleux que le dernier rendez-vous des Doubistes, qui recevront des Palois démobilisés face à qui ils devront à tout prix l'emporter et compter sur un revers de leurs adversaires directs pour éviter de faire l'ascenseur une troisième fois consécutive.

Source: Sports.fr

Comme je n'ai reçu aucune réponse, je repose ma question: Qui sort quelque part pour suivre le match de ce soir sur Sport +? Pour ma part je ne reçois pas cette chaîne à la maison.

Magic Bowling?

Ailleurs?

Le bar Thirsty est fermé, face à la cathédrale, en vente ou déjà vendu, donc cette solution très sympa disparaît!


Ce serait sympa de nous retrouver autour d'une mousse qq part à quelques uns, non? Ambiance match à enjeu garantie!

D'autre part, si qq'un pouvait m'enregistrer le match sur CD, ce serait top niveau!

Désolé supporter couguars, match en famille ...

Je ne savais pas pour le Thirsty, mauvais CA ou choix de la famille Schemmel ?

Je serais au Magic Bowling, je l'avais déjà dit lundi (page2)
Le Thirty est fermé, mais la famille Schemmel a racheté un bar-resto à Essey, plus grand que celui-ci et les soirées foot ou basket seront de nouveau programmées dans ce bar

Vice-président, Tony Parker, arrivé hier, se félicite d'avoir investi à l'Asvel

Il était parti lundi soir de San Antonio. Après s'être posé hier matin à Paris il a rapidement sauté dans un TGV pour arriver à l'Astroballe en milieu d'après-midi.

Le décalage horaire ? « J'ai l'habitude ! » sourit Tony Parker, qui attendit la fin de l'entraînement de l'Asvel pour aller délivrer un message à Aymeric Jeanneau et ses partenaires, en Français dans un premier temps, en anglais dans un second.

« Je leur ai simplement dit que ce match contre Nancy est très, très important, qu'il faut que nous soyons en Euroligue la saison prochaine. Mais ils le savent ! Ils ont travaillé très dur depuis dix mois pour en arriver là, pour décrocher cette première place qui apporterait une légitimité à tout ce qui est fait en dehors du terrain pour faire grandir le club », ajouta « TP », très à l'aise dans une salle qu'il avait hâte de retrouver.

« Gilles (Moretton), Antony (Thiodet) et Pierre (Grall) sont venus me voir plusieurs fois et je suis en contact permanent avec eux et Vincent pour construire l'équipe de la saison prochaine. Ca avance ! Et puis, il y a la nouvelle salle, la « Tony Parker Academy », le projet de trouver un jeune et de le parrainer pour qu'il devienne le meilleur joueur français et mes camps, que j'organiserai ici à partir de l'été 2010. Je suis très content ! En optant pour l'Asvel j'ai fait le bon choix ! Je me sens vraiment très bien dans ce club ! »

Surveillé, de loin, par son garde du corps, couvé du regard par les rares privilégiés qui avaient obtenu un sésame pour entrer dans l'Astroballe alors que Ian Mahinmi devisait, après une séance de musculation, avec Ali Traoré et Amara Sy, Tony Parker a une nouvelle fois fait apprécier sa gentillesse dans une salle où il vibrera derrière l'Asvel ce soir, même si « TJ », avec qui il devait dîner un peu plus tard, portera le maillot du Sluc. « Il y aura mon frère en face mais je serai évidemment pour l'Asvel. En fait, je veux qu'il joue bien et que nous gagnions ! » lança-t-il. Eva ? « Elle est à New York et je la rejoindrai en fin de semaine à Cannes » répondit la star du basket français, actuellement en vacances. L'Astroballe, bondée, devrait lui réserver une standing ovation ce soir…



- Le Progrès -

Une «finale» qui vaut très cher !

La première place de la phase régulière… et l'Euroligue au vainqueur du choc de ce soir entre le leader et le champion. L'Astroballe va bouillir !


En ces temps si difficiles pour le basket hexagonal la Ligue Nationale ne pouvait rêver plus belle affiche pour clôturer sa saison régulière.

À droite, l'Asvel de Gilles Moretton et Tony Parker, seize titres de champion, seule équipe française à n'avoir jamais quitté l'élite et leader du championnat avec vingt et une victoires pour huit défaites.

À gauche, Nancy, troisième (20-9, -2 au panier-average par rapport à Orléans), champion en titre invaincu depuis le 14 mars dernier et restant sur onze succès consécutifs (huit en Pro A, trois en coupe qui verra les Nancéiens affronter Le Mans, en finale, dimanche à Bercy).

L'enjeu ? Tout simplement la première place de cette première phase… qui offrira un billet pour l'Euroligue 2009-2010.

« C'est le match le plus important de la saison, un match à très forte pression et très gros enjeu. Nous aurions aimé éviter ce scénario mais je comprends qu'il ravisse tout le monde ! » souligne Vincent Collet, coach d'une équipe villeurbannaise qui pensa s'être mise à l'abri de la concurrence, le 10 avril dernier, en disposant de douze points d'Orléans (64-70 à l'aller). À l'issue de cette rencontre Aymeric Jeanneau et ses coéquipiers comptaient deux longueurs d'avance et l'avantage du panier-average sur les hommes de Philippe Hervé, élu lundi « entraîneur de l'année en Pro A »...et trois sur le MSB, le Sluc et Roanne. Trente-trois jours et trois défaites plus tard (contre Le Mans à domicile en coupe de France, à Cholet et à Dijon) elle tremble pour un fauteuil qu'elle occupe, seule, depuis le 20 mars, et qu'elle partagea avec l'Entente à partir de la dix-septième journée.

« Ce serait mérité si nous terminions premiers » avance justement Collet. Mais Nancy, qui s'est sérieusement renforcé en cours de saison (arrivées d'Akingbala et de Stephen Brun, conservé malgré le retour de Lamayn Wilson), a pansé ses plaies et présente aujourd'hui… douze joueurs professionnels, n'a que faire du mérite.

Se reposant, enfin, sur un secteur défensif digne de ce nom (69,4 points encaissés depuis treize matches, 78,8 auparavant) le Sluc de l'épatant Ricardo Greer (élu « MVP » étranger samedi à Paris ?), meilleure attaque du championnat au rapport « points marqués par minute », rêve de coiffer les Lyonnais et les Orléanais sur le fil, une défaite des Rhodaniens pouvant les reléguer au troisième rang si Orléans dispose de Strasbourg dans le Loiret ! « Il va falloir être guerriers, faire se lever la salle, sur laquelle nous comptons d'autant plus que nous ne sommes pas au mieux actuellement… » conclut le coach d'une Asvel qui a payé très cher, ces dernières semaines, les blessures de Traoré, Sy et Troutman, ces deux derniers ayant vu leurs performances chuter de façon vertigineuse. Ils ont quarante minutes pour rattraper le temps perdu et placer leur équipe à la corde avant d'aborder les play offs.


- Le Progrès -

mac a écrit:

Je serais au Magic Bowling, je l'avais déjà dit lundi (page2)
Le Thirty est fermé, mais la famille Schemmel a racheté un bar-resto à Essey, plus grand que celui-ci et les soirées foot ou basket seront de nouveau programmées dans ce bar

Ok, j'y serai donc, mais je ne connais pas trop. Et sur leur site, aucune pub, rien du tout à ce sujet, tout juste une plateforme téléphonique. (détestable)

Basket-ball : Une dynamique à conserver, un Top 4 à valider !


Pro A: Le Mans - Rouen (20h). En cas de succès, le MSB peut lorgner sur la 3e place. En cas de défaite, il peut être éjecté du quatuor de tête.


C comme... choc au sommet. Villeurbanne - Nancy. Difficile d'imaginer plus belle affiche pour une dernière journée de phase régulière. Un match des champions « retour » qui sent la poudre. Alors, un petit pronostic Monsieur Jackson ? « Ouah. Difficile. Nancy peut gagner partout en ce moment et l'Asvel n'est pas au mieux mais bon, ce sera à l'Astroballe et il y aura une place en Euroligue pour le vainqueur. Une vraie finale avant l'heure. Pour le pronostic, désolé mais trop dur... »


E comme... entraîneur de l'année. JD Jackson a trouvé « méritée » la nomination de Philippe Hervé (Orléans) comme meilleur entraîneur de ProA de la saison. « J'avais d'ailleurs voté pour lui... mais aussi pour Vincent (Collet) ». Les deux derniers candidats au poste de sélectionneur. « Orléans a non seulement joué la finale des As mais a surtout dominé une bonne partie de la saison. Et même si ce n'est pas encore fait (sourire), ils peuvent finir la phase régulière devant les deux équipes d'Euroligue ».


F comme... faut pas gâcher. « On a bossé comme des fous pour intégrer le carré de tête. Du coup, on n'a pas du tout envie d'en sortir au dernier moment ». JD Jackson a parfaitement résumé l'enjeu sportif de cette ultime levée de la phase régulière. Le MSB bat Rouen et le Top4 est dans la poche. Le MSB est battu par Rouen et là, grincement de dents, car la bande à Dixon pourrait se retrouver 5e, perdre l'avantage du terrain en quart et se « coltiner » Nancy d'entrée de jeu.


M comme... méfiance. Rouen déjà en vacances ? JD Jackson n'y croit pas une seconde. « Certes, ils sont sauvés mais ils viennent dans une grande salle, l'esprit libéré. J'imagine mal les voir débarquer les mains dans les poches, du style ' on s'en fout ' . » Le coach sarthois n'ayant pas oublié non plus qu'au match aller (72-73), Rouen a eu les tirs pour la gagne. « Mais en coupe de France aussi, ils nous ont embêtés. En jouant un peu trop sur la facilité, on avait dû attendre la 35e minute pour réellement creuser l'écart ».


O comme... optimiste. JD Jackson voit plutôt d'un bon oeil la hiérarchie actuelle de ProA. « Devant, on retrouve les cinq plus gros budgets du championnat et plus globalement huit équipes solides tant au niveau sportif que des structures. On peut facilement y ajouter Cholet et Vichy. En plus on va récupérer Paris et peut-être un jour ou l'autre Antibes et Limoges. Tout cela va dans le bon sens au même titre que l'incroyable homogénéité de ce championnat. »


S comme... sélection. Si le nom d'Alain Koffi semblait incontournable dans le groupe France récemment dévoilé par Vincent Collet, celui d'Antoine Diot a pu davantage surprendre. Pas JD Jackson en tout cas. « Comme Batum, Antoine a fait partie des joueurs cadres de sa génération. Evidemment, il a peu de chances de faire toute la campagne mais Vincent a aussi besoin de s'entourer de jeunes. Surtout qu'Antoine connaît la boutique pour avoir multiplié les sélections jeunes. »


T comme.... Trophée du Futur. Lever de rideau à quitte ou double pour les espoirs manceaux à partir de 17h15. « Si on gagne, on terminera 4e ou 5e. Si on perd en revanche, on peut se retrouver au-delà de la 7e place. » Et par la même occasion ne pas se qualifier pour le prochain Trophée du Futur (5, 6 et 7 juin) qui réunira les sept premiers de ProA espoirs + Orléans l'organisateur.



Philippe PANIGHINI.
Ouest-France

Vu sur l'équipe.fr


Basket - Pro A - Greer : «Une grande motivation»
Passés par une période maussade au coeur de l'hiver, marqués par l'intensité de l'Euroligue, Nancy et Ricardo Greer ont traversé la saison presque en catimini. Et puis progressivement, le SLUC a retrouvé l'allant qu'on lui connaissait l'année dernière, surfant sur une période d'invincibilité qui dure depuis mars, jusqu'à jouer la première place mercredi à Villeurbanne. «Nous avons connu des mauvaises périodes mais en ce moment nous avons une équipe très soudée. Nous jouons vraiment bien», clame le volubile Dominicain, prêt à manger les play-offs avec un appétit d'ogre.

«Ricardo Greer, l'entraîneur de l'ASVEL affirme que ce match sera le plus important de l'année pour son équipe - sauf si elle dispute la finale. Est-ce aussi votre avis pour Nancy ?
Nous savons à quel point ce match est important. Nous sommes totalement conscients que la première place de Pro A se joue ici, et également que cette première place offre la qualification pour l'Euroligue. Oui, c'est un grand match et nous sommes très excités. Sans être sous pression, nous allons y mettre tout notre coeur.

La qualification pour l'Euroligue est-elle votre principale source de motivation ?
C'est une grande motivation, mais terminer premier donne également l'avantage du terrain (en cas de défaite, Nancy serait au mieux troisième et n'aurait pas l'avantage du terrain en dem-finale, Ndlr) et c'est très important. Nous allons donc tout donner comme nous avons joué les derniers quelques matches.

Est-ce que vous craigniez l'ambiance qu'il va y avoir à Villeurbanne ?
L'avantage de jouer à la maison est très important. Cela nous a énormément aidés l'année dernière lorsque nous avons joué contre l'ASVEL en demi-finales. Ils sont venus chez nous face à tous nos fans, notre public... Oui, jouer à la maison est un énorme avantage.



«L'Euroligue a exercé des ravages sur nous»

Amara Sy, votre adversaire direct, le favori pour le titre de MVP français, n'était pas là au match aller. Êtes-vous impatient de l'affronter ?
Amara m'a beaucoup impressionné. Je joue contre lui depuis mon arrivée en Pro A il y a six ans et il a vraiment amélioré son jeu. Cette année, il joue avec beaucoup plus d'intensité, il shoote mieux et il a assumé le rôle de leader dans son équipe. Sur le parquet, il parle, il aide ses coéquipiers et c'est ce qui m'impressionne le plus. C'est un bon gars et un bon joueur et je suis très content que cela se passe bien pour lui. Je lui souhaite les meilleurs choses. C'est quand même un énorme joueur, et cela va être chaud pour moi ! Mais je vais prendre beaucoup de plaisir. J'ai tellement de respect pour ce gars. Il a petit à petit amélioré son jeu et il a joué un rôle indispensable dans le succès de Villeurbanne cette année.

En mars, Nancy restait sur trois défaites et avait reculé à la sixième place. Au même moment, vous affirmiez pourtant que vous vous sentiez capables de «garder votre titre» et que votre «équipe (était) plus forte que l'an dernier». Que sentiez-vous qui vous permettait de rester si optimiste ?
Les gars de notre équipe sont des guerriers. Nous avons ici un groupe de joueurs qui ne jetteront jamais l'éponge. Tout au long de l'année, chaque équipe traverse des difficultés. L'important est de savoir comment rebondir après avoir rencontré ces difficultés. Nous avons connu des mauvaises périodes mais en ce moment nous avons une équipe très soudée. Nous jouons vraiment bien. Nous nous sommes restés unis et, pour moi, c'est tout simplement une bénédiction de jouer aux côtés des ces gars.

Avez-vous eu besoin de beaucoup de temps pour digérer l'Euroligue ?
Dans mon experience, l'Euroligue est l'une des ligues les plus dures. Peut-être le plus dur de tous les championnats du monde. A chaque match, tu te fais "dérouiller", c'est quarante minutes de la plus haute intensité. Tu voyages à travers le monde... et puis il faut revenir jouer à la maison. C'est très dur, cela a exercé des ravages sur nous. Nous avons subi beaucoup de blessures et nous étions fatigués. Mais pas d'excuse ! Nous étions très excités de jouer l'Euroligue et nous avons très envie d'y être de nouveau. C'est une expérience incroyable.



Le fait que vos deux meneurs ne sont pas des purs organisateurs a-t-il modifié votre rôle ?
Non. Et je n'échangerais pas ces deux gars pour quiconque. Steed Tchicamboud est au sommet de son jeu en ce moment. Il est une menace pour les meneurs adverses. Il les rend fous ! Il fait ce qu'il faut pour pousser l'équipe à gagner, surtout sur le plan défensif. Et John Cox, quand il est sur le parquet, c'est une machine à marquer. C'est vraiment un excellent shooteur. La combinaison de ces deux-là est formidable et mon rôle reste le même.

Vous n'avez jamais été élu MVP de la Pro A. C'est quelque chose qui compterait pour vous ?
Non... Vous savez, les gens me demandent toujours si je souhaite ce trophée. L'année dernière, j'ai été deuxième du classement et j'étais très honoré d'être en compagnie du MVP (Marc Salyers). Le plus important pour moi était de lever le trophée du Championnat au mois de juin dernier. C'était tout simplement rafraîchissant, car nous avons réalisé cet exploit ensemble, en équipe. Ce sera génial pour celui qui gagnera le trophée de MVP mais pour moi, le plus important est de remporter le titre.

Est-ce que vous savez déjà où vous jouerez l'année prochaine ?
Je n'en ai aucune idée ! Pour l'instant, rien n'est décidé. J'adore ma situation à Nancy, j'adore le coach, le président et les fans. Ce sont sans aucun doute les meilleurs fans de toute la France. Ces gens sont incroyables. Je suis arrivé à Nancy pour me placer dans les pas d'un très grand joueur, Tarik Kirksay. Et les fans m'ont accueilli, ainsi que mon frère, Jeff, avec une telle chaleur... J'adore être à Nancy et si on veut que je reste, je suis ouvert ! J'adore être ici.» J.M/X.C.

J'adore ce joueur.Il aime bien être ici et veut bien rester...Excellent :cheers:

TariqisMagic a écrit:

J'adore ce joueur.Il aime bien être ici et veut bien rester...Excellent :cheers:

Mike Bauer disait la même chose il y a un an.

Supporter Couguars a écrit:

TariqisMagic a écrit:

J'adore ce joueur.Il aime bien être ici et veut bien rester...Excellent :cheers:

Mike Bauer disait la même chose il y a un an.

C'est pas la même mentalité non plus. J'ai plus confiance en Ricardo qui fait sa deuxieme saison.
Et à qui il reste un an de contrat. Je le vois bien resigner pour un contrat longue durée, avec Jeff.

Magic Tariq a écrit:

Supporter Couguars a écrit:

TariqisMagic a écrit:

J'adore ce joueur.Il aime bien être ici et veut bien rester...Excellent :cheers:

Mike Bauer disait la même chose il y a un an.

C'est pas la même mentalité non plus. J'ai plus confiance en Ricardo qui fait sa deuxieme saison.
Et à qui il reste un an de contrat. Je le vois bien resigner pour un contrat longue durée, avec Jeff.

Exactement, rien à voir...Et au moins s'il part il signera pas à Ostende lui.

Si on pouvait gagner ce soir et/ou éventuellement dimanche je pense que ca pourrait fortement aider à faire pencher la balance du bon côté.

ALLEZ LE SLUC :cheers:

Qu'on leur montre sur le terrain ce qu'ils veulent par la paperasse.

J'espere vraiment voir un beau match ce soir.....
.... ET la première place en même temps

Supporter Couguars a écrit:

mac a écrit:

Je serais au Magic Bowling, je l'avais déjà dit lundi (page2)
Le Thirty est fermé, mais la famille Schemmel a racheté un bar-resto à Essey, plus grand que celui-ci et les soirées foot ou basket seront de nouveau programmées dans ce bar

Ok, j'y serai donc, mais je ne connais pas trop. Et sur leur site, aucune pub, rien du tout à ce sujet, tout juste une plateforme téléphonique. (détestable)

Sinon je sais que les match du Sluc sont retransmis au bar le "P'tit T" Grand rue.