[ProA - J30] ASVEL 76 (30) - (28) 65 SLUC Nancy

l'action qui nous tue c'est quand même le panier avec la faute refusé à Cox alors que juste avant celui de Jeanneau est accordé, c'est quand même un mini scandale à ce niveau. Les arbitres se targuent de siffler dans l'esprit du jeu mais pas pour le tir de Cox! Enfin dans l'ensemble les arbitres ne se sont vraiment pas mouillés
Malheureusement encore une fois l'absence de totor dans les gros matchs nous pénalisent sur la rotation au poste 5 car derrière Julian n'a clairement plus le niveau ni le physique.

Ce n'est pas ce soir que nous avons perdu la premiere place et la qualif directe por l'EL....

ah bon?

une chose est sure si totor n'est pas sur le terrain à Bercy, ce dont le contraire relèverait du miracle, et que Julian ne se fait pas violence en rotation d'Akin on ne gagnera pas contre les rillettes car en face Badianne, Batista et Koffi vont nous mettre la misère sous le cercle!

Le SLUC rétrograde en quatrième


Dans un match sous haute tension, Nancy a longtemps espéré s'imposer. Mais la force intérieure de l'ASVEL a fini par faire la différence dans le dernier quart temps. Le SLUC termine quatrième et rencontrera Roanne.




VILLEURBANNE._ Il y a des minutes qui valent cher, très cher. Et les huit dernières à l'Astroballe coûtent aux Nancéiens trois places au classement et la qualification pour l'Euroligue. Du fauteuil de leader, qu'ils ont longtemps espéré dans un match sous haute tension et dans lequel ils ont lutté admirablement, ils finissent sur le quatrième strapontin, rencontreront Roanne en play-offs et devront espérer être au moins en finale du championnat de France pour décrocher un billet Euroligue.
Triste et cruel dénouement qui risque de peupler longtemps les nuits de Jean-Luc Monschau, qu'on a vu souvent critique, très critique envers l'arbitrage dans son coin et qui se limitera en conférence de presse à quelques mots qui valent tous les discours : « Je serai très bref. A croire que les arbitres ne savaient pas que l'ASVEL avait sa wild card pour l'Euroligue. Ce n'était pas nécessaire qu'ils leur donnent une seconde fois. Maintenant, on va essayer de gagner la finale de la Coupe de France, puis de passer un tour de play-offs pour revenir très vite à l'Astroballe en demi-finale... »
On pourra parler longtemps de la quatrième faute d'Akingbala, du panier dans l'action refusé à Cox alors qu'on venait d'accorder le même à Jeanneau, de la défense limite d'Amara Sy sur Ricardo Greer : « c'est le seul joueur en Pro A à pouvoir faire déjouer Ricardo Greer », dira Vincent Collet, qui se refusera de parler de l'arbitrage mais insistera sur la qualité de son jeu intérieur : « Entre le Troutman de ce soir et celui de Besançon, c'est le jour et la nuit. Et Ali (Traoré) a fait son job. »
Le jeu intérieur, voilà incontestablement la clé de ce combat de titans que les Nancéiens ont réussi à tenir lorsqu'Akingbala fut sur le parquet, mais qui tourna à l'avantage des Villeurbannais à chaque fois que Jean-Luc Monschau ménagea le Nigérian et ses fautes. A ce sujet, Victor Samnick aura beaucoup manqué, d'autant que Cyril Julian est loin d'avoir retrouvé physiquement son meilleur niveau.
Avec une foi inébranlable et avec le talent naturel de Morandais, Cox ou Wilson, le SLUC réussit plusieurs fois à revenir dans le match et même à prendre l'avantage (47-49, 30'). Mais à chaque fois l'ASVEL, poussé par son public et mené par les méninges de Jeanneau, trouva à l'intérieur des paniers faciles par Sy, Traoré et Troutman (65-54, 35').
Ça se compliqua donc sérieusement pour le SLUC, même si on crut encore au miracle lorsque Wilson alluma son missile à trois points qui fit... gamelle. Il restait 1'20 à jouer et le SLUC venait de marquer six points consécutifs (69-63). Il y a des soirs où ça ne veut pas rigoler...

Parole aux défenses


Mais reconnaissons aussi bien volontiers que l'ASVEL avait dominé le premier quart temps grâce à son collectif, grâce aussi à Campbell dont la détente faisait mal dans la défense nancéienne, d'autant que Lamayn Wilson tardait à être dans le coup.
Benjamin Dewar, parfaitement décalé dans le corner, avait donné dix points d'avance à son équipe dans une ambiance de feu grâce à son premier panier primé (17-7, 7'). Ça ne sentait pas bon, d'autant que Sy puis Traoré avaient trouvé le cercle du SLUC, malgré les efforts d'Akingbala, auteur d'un panier à... trois points rocambolesques, mais déjà meilleur rebondeur du match à la pause.
D'un côté comme de l'autre, ça s'était frotté dans la raquette. Les écrans appuyés avaient fait mal et la moindre prise de risque avait été ciblée. L'Euroligue planait sous les sunlights brûlants de l'Astroballe. Et pour gagner hier soir, les coaches avaient décidé que ça se jouerait en défense...
Mais Michel Morandais en décida autrement. Et de deux shoots d'école, l'Antillais du SLUC ramena Nancy, qui se mit à enclencher son turbo. Dans un silence de cathédrale, Nancy passa un 11-0 (25-28), appuya là où ça fait mal avant que Gilles Bretagne siffle une faute litigieuse à Jeff Greer, qui venait de manquer deux lancer francs, et surtout un passage en force de Tchicamboud alors qu'il avait réussi un panier d'acrobate. Il n'en avait pas fallu plus pour que l'ASVEL passe devant (30-28). Déjà...

G. G. (Gilles GAIHIER)


Est republicain

Un texto de New York








•MESSAGE. Les messages d'encouragement ont afflué, hier, sur le portable de Christian Fra. Parmi eux, un texto envoyé par Michel Dufraisse depuis New York. Parti en voyage aux Etats-Unis, celui qui est notamment délégué auprès du président de la CUGN aux sports professionnels, au stade Marcel-Picot et au Palais des Sports de Gentilly, a assuré de son soutien le SLUC Nancy. Sympa.
•BUDGET. Près de 7,2 millions d'euros... C'est le budget prévisionnel qu'a présenté l'ASVEL, mardi, à la DNCG. Alors que les clubs de Pro A vont dans leur ensemble réduire sensiblement la voilure la saison prochaine - crise oblige -, le club rhodanien disposera - et de très loin - du plus gros budget et de la plus grosse masse salariale (4,1 millions d'euros). A titre de comparaison, le SLUC Nancy a de son côté présenté un budget de 4,5 millions d'euros, à affiner en cas de participation à l'Euroligue. « Avec un tel budget, Villeurbanne va presque être tout seul », notait le président Fra. « Il faut s'attendre à ce que les clubs soient pillés de leurs meilleurs joueurs... »
•ESPOIRS. Assuré de finir troisième du championnat, le SLUC Espoirs a pris l'eau de toutes parts, hier (57-97). Une défaite qui n'a rien d'étonnant quand on sait que le SLUC s'était déplacé à sept pour ménager les cadets en vue de la finale de Coupe dimanche, qu'il est arrivé tardivement dans la salle suite à un problème de bus, et qu'il a rapidement perdu Yoann Jacques, sorti pour cinq fautes... Cela faisait beaucoup trop pour la jeune escouade de Pierre Verdière, déjà menée de trente points à la pause (23-53) et qui vola en éclats dans le dernier quart. A noter que c'est Cholet, grâce à son succès sur Roanne hier, qui succède au Havre au palmarès du championnat de France Espoirs.
Les marqueurs nancéiens : Thalien (15), Njoya (13), Sylla (12), Pintiaux (9), Jacques (8).
•PRESSÉS. Comme les Nancéiens après le match. Alors que d'habitude, ils repassent à leur hôtel prendre une collation avant de remettre le cap sur la Lorraine, ils ont repris la route après la douche, avec un panier-repas à avaler dans le bus. C'est qu'il y a la finale de Coupe de France à préparer. Les Nancéiens ont d'ailleurs rendez-vous dès cet après-midi pour une séance vidéo suivie d'un entraînement.
•SAMNICK. Victor Samnick travaille dur pour soigner sa cheville et être opérationnel le plus tôt possible. Mais si un retour pour la finale de Coupe de France, dimanche, avait un temps été espéré, le staff nancéien a depuis fait une croix dessus. Le club table sur un retour le week-end suivant, pour le début des play-offs.
•T-SHIRTS. L'ASVEL voulait que l'Astroballe ressemble à un petit chaudron, hier. Alors, le club rhodanien avait fabriqué 2.500 t-shirts verts qu'elle a distribués aux supporters des tribunes basses. Ceux des tribunes hautes étaient invités à venir en vert. Un message moyennement entendu par les supporters...
•INTERDIT. Présent à l'Astroballe, Tony Parker avait prévu une conférence de presse pour évoquer notamment son engagement auprès du club rhodanien. Une conférence de presse plutôt « select », puisque seuls les journalistes de la région y étaient conviés. Les autres ont gentiment été priés de passer leur chemin. Inadmissible !




14/05/09


Est republicain

« TP » en voyage d'affaires


Désormais vice-président de l'ASVEL, le meneur des Spurs a affiché ses ambitions pour son nouveau club.



VILLEURBANNE. - 18 h 50, hier à l'Astroballe. Alors que la salle villeurbannaise est encore quasiment vide, une étrange marée humaine se forme près du tunnel d'entrée. Caméras, flashes qui crépitent, regards qui convergent dans la même direction. Si Tony Parker voulait arriver incognito sur le parquet villeurbannais, c'est archi-raté.
Habitué de longue date à drainer la foule, le meneur des Spurs reste imperturbable à l'agitation ambiante et se fraie un chemin jusqu'au parquet où il va saluer... les Nancéiens en train de s'échauffer. Grande poignée de mains à Michel Morandais, accolade à Ricardo Greer avec qui il pose pour la photo, embrassades bien sûr avec le frangin TJ avec qui il avait dîné la veille, un petit mot, un sourire par-ci, par là, puis « TP » s'en va répondre aux questions d'une télé.

Une Académie Parker


Scène sympa, mais fugitive. Le meneur des Spurs s'était peut-être déclaré « premier supporter du SLUC » il y a un an et demi, quand son frère TJ avait signé à Nancy, mais aujourd'hui, il n'a d'yeux que pour l'ASVEL, cette ASVEL dont il est devenu le vice-président il y a quelques mois, cette ASVEL où il va investir pour qu'elle devienne dans quelques années un grand d'Europe. Si « TP » était venu dans le Rhône deux semaines après l'élimination des Spurs au premier tour des play-offs NBA, c'était surtout un voyage d'affaires. Le meneur de San Antonio voulait prendre le pouls de son équipe et lui rappeler que s'il mettait des billes à Villeurbanne, c'était pour jouer l'Euroligue et pas l'Eurocup. D'où ce discours aux joueurs, mardi après-midi après l'entraînement. « Je leur ai simplement dit que ce match contre Nancy était très important et qu'il fallait que nous soyons en Euroligue la saison prochaine », expliquera-t-il après coup.
Un objectif, un impératif même, compte tenu des ambitions que le meneur tricolore a exposées, hier soir avant le match, avec un budget qui va passer à 7,2 M€ dès la saison prochaine et qui va augmenter de manière très nette les deux années suivantes. Et pour faire mettre la main au portefeuille aux partenaires économiques, Tony a prévu une « option » permettant à certains sponsors de venir le voir à San Antonio pour assister à un match et... être mis en relation avec des partenaires texans de TP. Le meneur des Spurs a également confirmé qu'une Académie Tony Parker ouvrirait ses portes en octobre 2011 dans le Rhône et espéré qu'une grande salle verrait le jour dans le Grand Lyon d'ici trois ans. Sa rencontre avec les élus locaux, dans la journée, aura certainement permis de mettre le sujet sur le tapis... Bref, « TP » s'est activé et a joué les businessmen durant ses deux jours dans le Rhône. Mais avant de quitter la région pour... rejoindre la belle Eva Longoria sur la Croisette, Tony Parker ne s'imaginait pas repartir sans la première place et le ticket Euroligue direct dans la poche villeurbannaise. Alors, il s'est assis aux premières loges entre ses parents et Gilles Morretton, le président de Villeurbanne, et il a regardé le match sans laisser transparaître une quelconque nervosité. On sait comment l'histoire s'est terminée. Par un happy-end pour l'ASVEL. Le vice-président était aux anges...

A. G. (Anthony GUILLE)


Est republicain

« Des coups de sifflets pas flagrants »







•Cyril Julian : « C'était très dur. Les arbitres ont donné des coups de sifflets pas forcément flagrants quand on était devant. On a l'impression qu'ils voulaient remettre l'ASVEL en selle. Mais il faut garder la tête haute. On a la finale de Coupe et un quart très important à jouer si on veut revenir ici en demi... »
•Ricardo Greer : « On a joué dur et même si on n'a pas sorti un grand match, on était en mesure de gagner. Mais à chaque fois qu'on avait cette opportunité, on nous la retirait. C'était évident. Ridicule ! Comme le match était télévisé, au moins, tout le monde a pu voir ce qui s'est passé. Sur le plan personnel, j'ai disputé mon plus mauvais match en six ans ! »
•Jeff Greer : « Les arbitres ? Ils sont humains. C'est surtout notre faute. »
•Vincent Collet (entraîneur de l'ASVEL) : « Est-ce que c'est l'arbitrage qui fait basculer le match ? Honnêtement, je n'ai pas cette impression. C'est surtout notre contrôle du match, notre défense. On voulait gagner notre ticket Euroligue sur le terrain. C'est bien. »
•Steed Tchicamboud : « C'est une grosse déception. C'était une finale et on l'a perdue. Mais cela fait longtemps qu'on tire sur un petit groupe de joueurs et c'est peut-être une des explications à la défaite. »
Est republicain

Une dernière marche fatale



Les frontières se sont refermées sur les folles espérances du SLUC, qui a perdu beaucoup en perdant de peu. L'Europe est remise à plus tard... Grosse désillusion.


L'Astroballe, pardon, l'Astrobelle, avait évidemment fait le plein de fureur et d'exaltation pour ce qui devait obligatoirement être un dénouement brutal. Pour le vaincu. Du genre : premier ou rien. Rien pour l'instant. Car il reste les fameux play-offs à Nancy pour retourner gambader sur le Vieux continent.

REPORTAGE

Mais endosser la tunique du conquérant de l'inutile, dans ces cas-là, équivaut tout de même à envelopper votre âme meurtrie dans une peau de chagrin. Aligner onze succès de suite, dont huit en championnat, pour en arriver là, c'est dur... Voir la qualification pour la sublissime Euroligue vous filer entre les doigts, c'est encore plus douloureux. Un certain Tony Parker, de passage avant de filer à Cannes pour parader avec sa chère Eva sur le tapis rouge du festival, a donc joué les briseurs de rêve. Avec ses nouveaux boys qui ont arraché une victoire logique. Les Lorrains ont d'ailleurs mal emmanché mal ce duel à l'image de Ricardo Greer et Akingbala, vite pénalisés par des fautes stupides. En pleine guerre des nerfs, le SLUC se sentait désarmé face à la défense coriace des Lyonnais au collectif plus enchanteur (huit points, quatre marqueurs). Mais l'ASVEL, à 17-7, eut la bonne idée de ne pas tuer le match, faisant des cadeaux sous la forme de contre-attaques bêtement dilapidées ou de ballons perdus (six) ! 17-12, le SLUC s'en tirait à bon compte après ce quart-temps sans rythme ni trop de relief... Surtout du côté nancéien où on abusait les tentatives autant lointaines qu'égoïstes. Villeurbanne, +10 à la 13e minute, semblait avoir la main sur la rencontre. De la maîtrise dans la raquette, au rebond, dans le marquage, avant que le SLUC ne se mette à courir davantage. A occuper de façon plus intelligente les espaces. A ce jeu-là, occuper de façon plus intelligente les espaces. A ce jeu, l'adroit Morandais peut se régaler. L'ancien international plantait neuf points salvateurs pendant que la défense nancéienne serrait les rangs face à des Lyonnais tombant dans la facilité. Dans un bras de fer ainsi cadenassé, les choses tournent vite. Avec quelques erreurs supplémentaires, l'ASVEL était punie par le champion en titre. L'équipe de Monschau, fort d'un 0-11 autoritaire, passait de moins dix à plus trois en sept minutes.

Suspense dégoulinant

Du Nancy génial ? Pas vraiment. C'est la panne verte qui avait remis les Lorrains en selle à la pause (30-28). Des Lorrains pourtant en plein marasme statistique avec huit paniers réussis en une mi-temps (31% de réussite à 41), onze balles égarées ou trois joueurs à évaluation négative. Franchement, ça tenait du miracle d'être encore dans le coup à mi-chemin. Mais quand le rideau est imperméable, tout est permis ! Ce mano a mano haletant, dégoulinant de suspense perdura jusqu'au commencement de l'ultime ligne droite : 52-52, après un acte III courageux de la part d'un SLUC qui s'accrochait à chaque tentative d'échappée lyonnaise. Wilson, de la virilité et de la maturité, le cocktail gênait l'ASVEL sauvée par Jeanneau, meneur si intelligent. Il emmena les siens vers le sprint à 63-54 puis à 65-54 (33e). Un écart décisif (-11) à cet instant de la bagarre. Des prises de risques supérieures ravivèrent la flamme lorraine. La malchance, hélas, débarqua. La gamelle de Wilson fut le chant du cygne pour un collectif à court d'idées. Au lieu d'être à moins deux, le SLUC fut rejeté à huit longueurs. Le dénouement fut réellement brutal !

De notre envoyé spécial à Villeurbanne Alain THIÉBAUT.
Est republicain

Phill a écrit:

l'action qui nous tue c'est quand même le panier avec la faute refusé à Cox alors que juste avant celui de Jeanneau est accordé, c'est quand même un mini scandale à ce niveau. Les arbitres se targuent de siffler dans l'esprit du jeu mais pas pour le tir de Cox! Enfin dans l'ensemble les arbitres ne se sont vraiment pas mouillés
Malheureusement encore une fois l'absence de totor dans les gros matchs nous pénalisent sur la rotation au poste 5 car derrière Julian n'a clairement plus le niveau ni le physique.

sauf que le double pas de Jeanneau est amorcé quand il y a faute sur lui alors que Cox déclenche son double pas apres que la faute ait été déclenché sur lui, toute la différence est là qui explique que les arbitres n'aient pas eu la même réaction dans les deux cas........
c'etait clair à la téloche et je ne crois vraiment pas que les arbitres aient été mauvais, je pense surtout que l'ASVEL chez elle a fait un gros match et que le sluc a été un ton au dessous......
certaines defaillances individuelles ont fait la difference.......

quant aux reactions de jlm, comme d'hab apres une défaite, c'est soit les shoots qui ne rentrent pas d'habitude qui sont rentres cette fois, soit les arbitres qui ont triche pour favoriser l'adversaire......hier soir, c'etait les arbitres! et pourtant, il aurait pu parler du shoot de Jeanneau, il aurait ete presque credible!

Phill a écrit:

l'action qui nous tue c'est quand même le panier avec la faute refusé à Cox alors que juste avant celui de Jeanneau est accordé, c'est quand même un mini scandale à ce niveau. Les arbitres se targuent de siffler dans l'esprit du jeu mais pas pour le tir de Cox! Enfin dans l'ensemble les arbitres ne se sont vraiment pas mouillés
Malheureusement encore une fois l'absence de totor dans les gros matchs nous pénalisent sur la rotation au poste 5 car derrière Julian n'a clairement plus le niveau ni le physique.

OUI surtout que l'arbitre surnommé BRETAGNE, c'est lui qui appelle les 2 autres pour leur dire qu'il faut accorder le panier à Jeanneau et c'est ce même BRETAGNE qui dit au deux autres à la mi-temps que sur Cox il y aurait fallut siffler antisportive à Jeanneau.
ALORS pourquoi dans ce deuxième cas il n'a pas fait comme avant en appelant ces 2 alcooliques, pardon, acolite, pour prendre la bonne décision.

apres les arbitres...même si ce n'est pas flagrant...bah il sanctionne Akin d'une quatrieme faute pas du tout évidente...qui le sort du match...il refuse un panier à Steed alors que bon...y a rien de flagrant...et c'est à chaque fois au moment où...c'est donc cela qui agace...apres combien de marchers Villeurbannais non sifflés?? 4-5...et derrière y a panier...combien de 3sec dans la raquette coté villeurbannais non sifflés...3-4...et derrière y a panier..alors non, c'est sur les erreurs n'ont pas été flagrantes...mais ce sont des tites choses qui mises bout à bout tue le match...surtout quand elles sont sifflées quand le SLUC repart au combat...

Après, il y a eu beaucoup trop de pertes de balles, des passes approximatives, des rebonds en seconde mi temps laissés à l'adversaire..pour pouvoir espérer l'emporter...on a senti les joueurs plus que tendus en première mi temps..en face ca ne m'impressionne toujours pas...je préfére 100 fois une équipe du Mans...et Collet m'insupporte de plus en plus..

Enfin l'ASVEL tout comme Nancy se voit déjà en 1/2...attention aux désillusions...et je dis cela pour les 2 équipes...rien est acquis et trop de confiance...

Oui c'est vrai que les arbitres sifflent des fautes dures à Akin et Ricardo, et qu'ils ne les sifflent pas de l'autre coté à Troutman ou Sy.
Ensuite les marchés, 3 secondes sont sifflés que pour le sluc ?
Une action accordée à Jeanneau pas à Cox alors qu'en plus il y avait antisportive ?

MAIS COMME LE DIT JEFF "LE SLUC N'A PAS ETE BON"

d'accord le sluc n'a pas était trés bon,mais l'asvel non plus.il fallait bien un petit coup de pouce pour qu'il termine premier!voyons imaginé l'équipe à "parker" 3 é et qui se fasse éliminé en quart de final?
non,soyons objectif!qu'on leur donne tout se suite le titre comme cela on "pourra"( la fédé) bien sur,que c'est l'équipe la plus forte du championnat et qu'elle mérite la 'wirld carte!.
merci parker!

et le sluc,bientot un "koby bryan" comme actionnaire?pourquoi pas,il y aurait un brin de famille au moins.

enfin,cela représente bien le sport français actuel quelque soit la discipline mafia

Vu comme JLM traite le pauvre Cox, son cousin ne risque pas de faire grand chose au SLUC ^^

Allez, l'EL n'est pas perdue pour autant. Et puis, choper le seul titre national qui manque à notre palmarès serait une belle consolation.

enfin à noter aussi la super action très fair play de Villeurbanne...Le shoot a 3 points au buzzer alors que tout le monde s'est arrêté de jouer...

Nancy perd de pas grand chose (car le dernier shoot tout petit petit de reynolds donne un écart factice), en n'étant pas très bon, avec un arbitrage MAISON, et sans Samnick.
Absolument rien n'est perdu pour les playoffs et je pense même que ce revers va rester en travers de la gorge de l'équipe et boostera la motivation des joueurs.
De toutes façons, sans crier au complot mais en étant tout simplement réaliste, l'asvel ne pouvait pas perdre hier soir la première place. La logique est respectée.
Depuis le temps qu'on nous bassine avec leur projet, leur tp family academy (et il veut pas donner des cours de français aussi le parker tout puissant?), leur sélectionneur, et qu'on nous les vend comme les sauveurs du basket français, une défaite aurait fait tâche...
En tous cas, l'ambiance digne du rhenus n'est pas niveau euroligue...

en tout cas,avec des mafias comme cela et une équipe de france merdique,j'espére que ces dreniers se feront éliminés en septembre..avec collet en patron et j'oublié parker le "boss" français .qu'il retourne au spurs pour preparer la saison 2009/2010 car il y a du boulot

en parlant de l'ambiance hier soir, je ne sais pas si c'est passé a la télél, mais Collet a dit au micro du speaker, "ce soir, l'ambiance, c'était comme à Gentilly ..."
Bah nous on a pas trouvé du tout du tout !!

Bon sur l'arbitrage, korac et the glove ont beau dire qu'il à été réglo, il suffit de voir les 3 dernières minutes des 2ème et 3ème quart temps et les 3 premières du dernier pour voir que ce n'est pas le cas, mais pouvait il en être autrement.
Cependant je ne m'attendais pas à autre chose d'un club arrogant au possible et pour argumenter, 3 exemples:
-le "ce n'est qu'un au revoir" sur la 5ème faute adverse, c'est limite tout de même (il me semblait que le sport avait comme valeur le respect de l'adversaire)
-le "on est en euroleague", lancé par le speacker à la fin du match; il y était déja en euroleague alors pourquoi cette citation sinon pour faire ch... les nancéens; ils ont serré les fesses pour qu'apres leur wild card on leur accorde une arbitrage card.
-et ne pas oublier le splendide tire à trois points de reynolds quand tout le monde s'arrete de jouer; à lui tout seul, il résume son club: arrogant, irrespectueux, égocentrique.
Vu qu'apparement l'Asvel est l'avenir du basket francais (wild card, collet entraineur de l'equipe de France, parrainage de TP, etc, etc), et bien j'attend de voire ce qu'ils vont donner en euroleague l'année prochaine vu qu'ils y seront, et même si je ne suis pas croyant, je vais quand même prier pour qu'ils fassent encore pire que la chorale, le msb ou le sluc.

A Villeurbanne on fait dans le paraitre : T-shirt verts pour les tribunes basses histoire qu'à la téloche on croit que toute la salle est verte, micro planqué dans le groupuscule de supporters etc....

A Gentilly, les mecs de Sport+ ne peuvent pas parler avec leur micro-casques, et des drapeaux, ou des T-Shirts, c'est pour tout le monde.

l'ASVEL applique au basket ce que les communistes russes faisaient quand des occidentaux venaient visiter le pays

Pour le match d'hier, c'est évident qu'on a plusieurs faillites personnelles qui coutent cher. Et sans Samnick... pas évident quand on voit l'impact du jeu intérieur vert.

2 des 4 fautes d'Akin sont inexistantes. ou alors si on siffle ça, ben Troutman et Sy finissent pas la mi-temps. Le panier de Cox est une hérésie. Et le pire c'est qu'avant ET après cette action, l'ASVEL bénéficie du And One...

Sur l'arbitrage, j'suis mitigé entre des moments de bon, d'excellent arbitrage, laissant le jeu aux joueurs... Et des phases de profonde bêtise.... Qui nous ont quand même à chauqe fois coûté cher...

Alors après, c'est certain qu'avec 19 balles perdues, qu'avec encore une fois un Ricardo Greer qui a trop souvent tenté de jouer solo, avec une adresse en berne (et pas de chance de surcroit sur un paquet de tirs) et avec comme seul vrai intérieur un Akin à 3 et 4 fautes rapidement.... Be ça pardonne pas.


l'ASVEL a pas été d'un niveau immense, et a surtout compté sur l'impact physique de son jeu intérieur. Et tant qu'Akin a pu jouer son jeu, ben Nancy est revenu, passé devant et contrôlait. Quand Akin n'a plus pu défendre, on a plus rien fait.

Pour en revenir au Sluc, toujours quelque détails à régler et je pense qu'il faudra que cela se fasse avant dimanche:
-entrer dans le match et ne pas attendre la 2ème moitié du premier quart temps
-la reussite au shoot: moi quand je vois 17% de réussite au premier quart contre chalon et l'asvel ca me fou les boules, surtout quand on voit les shooters qu'on a: steed, john, jeff, michel, ricardo, lamayn, stephen et accessoirement tj et saidou, comment peut on en être à un niveau si faible.
-mettre du rythme: je pense que ce qui nous à manquer face à l'asvel c'est de pouvoir accélerer, ou tout du moins, chaque fois qu'on le faisait, les arbitres cassaient le rythme (c'est pour cela que je dis qu'ils ont eu un role primordiale hier)
-limiter les pertes de balles
Si en réglant ces détails et en gardant l'intensité en défense qu'on à depuis 10-12 matchs en plus du rebond, ca devrait passer, mais il faut régler ces détails, sans quoi dimanche tout comme en PO ca risque d'être compliqué, tres compliqué

L équipe du jour :

http://img207.imageshack.us/my.php?image=sanstitrekkd.jpg

The Warrior a écrit:

enfin à noter aussi la super action très fair play de Villeurbanne...Le shoot a 3 points au buzzer alors que tout le monde s'est arrêté de jouer...

Il a attendu puis il a finalement shooter
C'est vraiment un public à l'astroballe, le speaker n'arrêter de leurs demander d'arrêter de jeter des trucs sur le parquet.

Franchement vos postes pour certains c'est du n'importe quoi, être déçu d'avoir perdu le match je peux tout à fait le concevoir , mais vouloir faire passer l'Asvel pour des irrespectueux, tout ça parce untel a shooté juste à la dernière seconde du match ou je ne sais quoi d'autre, non seulement c'est inutile mais ça illustre toute l'aigreur de quelques membres qui veulent crier encore au complot contre le Sluc....

Et encore une fois, votre coach n'a pas pu s'empêcher d'en rajouter après la rencontre, décidément c'est à se demander de qui de lui ou fra sortira la plus belle ânerie.... ^^

L'arbitrage n'a rien à voir avec cette défaite. La seule décision vraiment critiquable est celle de ne pas accorder le shoot de Cox, c'est un peu gros de dire que la défaite se joue uniquement sur cette action. Comme bien souvent le SLUC s'est totalement effondré dans le money-time, en tombant dans des actions individuelles à chacun son tour (Wilson a été ridicule hier).
Le SLUC était passé devant avec John Cox sur le terrain, mais bien entendu Monschau le fait sortir rapidement pour remettre sur le terrain Tchicamboud, à partir de là ça s'est complètement délité. C'est même le vis-à-vis de Tchicamboud, Jeanneau (sic ) qui nous tue dans le dernier quart avec ses drives et ses passes. Un comble.