[ProA J22] Hyères-Toulon V. bat SLUC Nancy 81 (35) à 77 (37)

Coucou les amis,

Le HTV reçoit le SLUC dans cette journée au PDS, tiens, tiens ça rappelle de bons souvenirs aux supporters du HTV. Je ne vous caches pas que l'on espère réaliser le même match que lors de la Semaine des AS, car ce fut notre match référence... Mais biensûr le SLUC ne l'entendra pas de cette oreille et aura à coeur de laver cet affront...
En tout cas un beau combat en perspective...

@ +++

les matchs se suivent et ne se ressemblent pas!

et puis un match de SDA et de championnat c'est différent. (+ colson absent qui avait brillé à la sda)

enfin c'est pas son absence qui rendra la chose facile mais moi je suis plutôt confiant pour ce match.

Bon, match à l'extérieur, donc peu importe la manière - on ne sera pas là pour voir ça, lol - alors seule la victoire compte.

Roanne (4e, 35pts) se déplace au Mans (1er, 38pts) et Villeurbanne (2e, 37pts) au Havre. De quoi retrouver la tête du classement (avec désavantage au panier-average particulier sur la MSB et l'ASVEL) si les deux favoris de ces face à face perdent.

bon faut pas compter que sur des défaites de nos adversaires il faudrait déjà gagner ce match, de toute façon dans notre cas de figure faut engranger, se rassurer et les comptes on les fera a la fin, faut pas calculer... ça sera dur mais il faut gagner a hyères

Basket-ball - Pro A - Hyères-Toulon - SLUC Nancy, samedi (20 h)

Amagou, monsieur Zen


Gamin, il faisait du karaté, mais ses sœurs aînées lui ont transmis le virus du basket. Rencontre avec un meneur qui n'est pas du genre à se poser de questions...

NANCY._ La passion pour un sport tient parfois à peu de chose. Tiens, que ce serait-il passé s'il y a quelques années, Pape-Philippe Amagou avait décidé de ne pas accompagner une de ses sœurs à un entraînement de basket à Blois ? Eh bien, le meneur nancéien n'aurait peut-être jamais tâté au ballon orange. C'est que minot, le natif de Maisons-Laffitte ne vibrait pas pour le « sket-ba » mais pour le... karaté. « J'en avais fait pendant trois ansquand j'étais gamin », raconte le meneur nancéien, « Mais un jour, j'ai accompagné ma sœur à son entraînement et il manquait une joueuse dans l'équipe. Le coach m'a proposé de jouer car j'étais en baskets, et m'a trouvé pas trop mal. Il m'a dit qu'il y avait une équipe de garçons à Blois. J'y suis allé sans prendre de licence, mais au début, je n'ai pas accroché. Je devais être en CM1. Et puis, en sixième, j'ai pris ma première licence et cela a commencé à me plaire... »
Et voilà comment Pape-Philippe Amagou a marché sur les traces de ses sœurs aînées Aké, Anna et Danièle qui avaient elles aussi goûté au basket avant lui. Quelque part, Pape-Philippe Amagou ne pouvait que se laisser gagner par le virus basket.
Et aujourd'hui, il ne doit pas regretter d'avoir choisi cette voie tant elle lui a déjà offert des joies et des émotions énormes. A 23 ans, le meneur compte déjà un titre de champion (2006), une Semaine des As (2006) et une coupe de France (2004) avec Le Mans.
Et s'il a rejoint le SLUC Nancy cet été après six saisons passées dans la Sarthe, c'est pour ajouter au moins une autre ligne à son palmarès. De préférence avec le titre de champion, ce titre qui fuit le SLUC depuis trois saisons déjà...
« Quand je suis arrivé, j'ai été frappé par le fait que les gens attendent vraiment ce titre, sont vraiment impatients », reprend Pape-Philippe Amagou, « Il y a vraiment une pression par rapport à ça ».

Son meilleur match vendredi


Mais autant être clair, la pression n'est pas du genre à couper les pattes de l'intéressé. « Ce n'est pas trop mon style de me mettre la pression », glisse le joueur dans un sourire.
Alors, même s'il a sorti vendredi face à Gravelines son meilleur match de la saison en battant ses records personnels de 2007/2008 (17 pts, 4/5 à 3 pts, 7 passes décisives et 20 d'évaluation), Pape-Philippe Amagou ne s'appesantit pas sur sa prestation personnelle. « Au poste où j'évolue, mes performances passent davantage par le collectif », assène-t-il, « Après, c'est secondaire d'avoir mis beaucoup de points puisque la défaite est au bout. C'est sûr que c'est une bonne chose que cela tourne mieux en ce moment pour moi, mais cela serait préférable que cela aille mieux pour l'équipe ».


« Douter, ce n'est pas trop dans ma nature »


Le jeune homme est comme ça, zen, relax. Tout glisse sur lui. On lui dit que cette prestation convaincante peut lui donner confiance pour la suite de la saison ? Il acquiesce, mais balaie l'idée selon laquelle l'ombre du doute aurait pu lui caresser l'échine ces dernières semaines. « Douter, ce n'est pas trop dans ma nature », confie le joueur.
De même, on lui fait remarquer que la traction arrière qu'il forme avec Zabian Dowdell passe pour être un peu « verte » aux yeux de certains observateurs : « Ah ? Vous me l'apprenez en fait », répond-il, « Vous savez, je ne lis pas trop la presse, je ne vais pas sur les forums, je suis un peu coupé. J'essaie de faire mon boulot sur le terrain. Mais je ne fais pas trop attention aux critiques ».
Vous l'aurez compris, Pape-Philippe Amagou avance sans se poser de questions. Et sans faire de fixation sur le classement, ce classement que les gros bras scrutent pourtant avec de plus en plus d'intérêt.
« Cela me fait un peu rire quand j'entends que c'est chaud pour le classement final », lâche-t-il, « On n'en est qu'au mois de mars et ma petite expérience personnelle me dit que le classement, ce n'est pas si important. Avec Le Mans, c'est quand on avait fini premiers en saison régulière qu'on avait craqué en play-offs et l'année où on a été champion, on avait fini cinquième en perdant trois de nos quatre derniers matches (NDLR : en fait 4 des 6 derniers). C'est juste une question d'élan, d'être prêt. Mais il faut qu'on prenne les matches les uns après les autres. C'est comme ça qu'on repartira sur une série ».
Le prochain match, c'est Hyères-Toulon samedi. Une rencontre qui pourrait valoir cher pour les deux équipes. Mais ne comptez pas sur pape-Philippe Amagou pour se laisser submerger par la pression...


Anthony GUILLE


Est republicain

Vestiaires

Harrison dispensé









•CHEVILLE. Pas de séance pour DJ Harrison hier matin. La douleur à la voûte plantaire qu'il ressent depuis quelques temps l'obligeant à compenser, l'ailier fort américain se plaint de la cheville, et le staff nancéien a logiquement décidé de le ménager afin de ne pas prendre de risque. Quant à Mike Bauer et Pape-Philippe Amagou, ils ont bénéficié d'un programme allégé. L'Américain se remet doucement de sa blessure au tendon d'Achille alors que le meneur nancéien a mal à la cheville. Mais ces petits bobos ne remettent a priori pas en cause leur participation pour le match de samedi à Hyères-Toulon.
•KIRKSAY. Tariq Kirksay au « Final Eight » de la coupe ULEB ? La réponse tombera mardi prochain. En attendant, Unics Kazan a préservé intactes ses chances de rallier les quarts de finale en ne perdant que de deux points mardi sur le parquet des Artlands Dragons de Quakenbruck en Allemagne (78-80). Tariq, qui a une nouvelle fois été au four et au moulin (9 pts, 8 rebonds) et son club, joueront leur qualification mardi prochain en Russie.
•LOCATION. La location pour le 16e de finale de coupe de France entre le SLUC et Paris-Levallois le samedi 22 mars (20 h) à Gentilly se poursuit au siège du club (palais des Sports Jean-Weille) aujourd'hui, demain, puis de lundi à vendredi prochains de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Elle sera également possible le matin du match de 10 h à 12 h puis aux guichets à partir de 18 h. Places à 7 et 15 euros avec un placement libre au sein d'une tribune choisie.
Est republicain

Carnet bleu. Voix bien connue des amateurs du SLUC pour qui il fait vivre les matches au micro de « France Bleu Sud Lorraine », Philippe Renaud a eu le bonheur de voir arriver un charmant petit Nathan dans son foyer. Né le 9 mars, le bambin travaille parait-il déjà ses vocalises pour marcher un jour sur les traces de papa ! Toutes nos félicitations aux heureux parents.
Est republicain

Heureusement pour Pape qu il ne lit pas les forums...parce que depuis le début de la saison il aurait pû se pendre au moins 20 fois avec tout ce qu on peut lire sur lui par ici...


Merci Bacou

Si ça se trouve il pensait que tout le monde l'apprécie .

Par contre il a raison quand il dis que le classement en saison régulière n'a que peu d'importance, c'est quand même grave que terminer premier n'apporte rien , si ce n'est qq maleureux points au ranking.
Comment interesser le pubkic en leur disant que les matchs disputés entre octobre et mars n'ont aucun interet sportif , si ce n'est bien sûr celui de voir du basket ?.

lolo a écrit:

Si ça se trouve il pensait que tout le monde l'apprécie .

Par contre il a raison quand il dis que le classement en saison régulière n'a que peu d'importance, c'est quand même grave que terminer premier n'apporte rien , si ce n'est qq maleureux points au ranking.
Comment interesser le pubkic en leur disant que les matchs disputés entre octobre et mars n'ont aucun interet sportif , si ce n'est bien sûr celui de voir du basket ?.

oui comment peut on oublier le mans, triste 5° qui a finit la saison par 4 défaites en 6 matchs avant de se secouer en playoff pour le résultat que l'on connait . Triste saison régulière

Triste saison régulière, c'est clair, mais de mon côté je ne me suis jamais trop plaint de la formule de play-off, pour la seule et bonne raison que si le Sluc en est là aujourd'hui, c'est grâce à cela, car notre premiere finale on l'a doit à la formule la plus minable jamais vu, c'est à dire seulement un match aller-retour...

oui notre première finale est usurpée mais pas les 2 autres...

aircraft a écrit:

oui notre première finale est usurpée mais pas les 2 autres...

Oui c'est clair, mais je veux dire par là, que sans la premiere finale, on aurait sûrement pas eu les deux autres...

lolo a écrit:

Si ça se trouve il pensait que tout le monde l'apprécie .

Par contre il a raison quand il dis que le classement en saison régulière n'a que peu d'importance, c'est quand même grave que terminer premier n'apporte rien , si ce n'est qq maleureux points au ranking.
Comment interesser le pubkic en leur disant que les matchs disputés entre octobre et mars n'ont aucun interet sportif , si ce n'est bien sûr celui de voir du basket ?.

Pas d'accord lolo sur tes propos. En effet les 2 dernières demi finales on les gagne avec l'avantage du terrain. Notamment celle contre Strasbourg il y a 2 ans. Sans le retour à Gentilly on aurait certainement pas vu bercy. Et que dire de la belle du 1/4 de finale contre gravelines l'année dernière. Imaginons les 3 dernières minutes au Sportica au lieu de gentilly.
Non je crois réellement que l'avantage du terrain est primordial. Mais je n'en démors pas que cela devrait se jouer au meilleur des 5 voire 7 manches comme en Italie ou en Espagne.

aircraft a écrit:

oui notre première finale est usurpée mais pas les 2 autres...

Hum, Hum, je ne vois pas pourquoi l'accès à sa première finale a été usurpée par le Sluc?

Autrement, je suis plutôt d'accord avec MERLU sur le fait que d'avoir le 3 ème Match à domicile est primodial!
Surtout que pour le moment comme le dit RASHEED, ben c'est très loin d'être fait voir très loin...

bacou a écrit:

aircraft a écrit:

oui notre première finale est usurpée mais pas les 2 autres...

Hum, Hum, je ne vois pas pourquoi l'accès à sa première finale a été usurpée par le Sluc?

Autrement, je suis plutôt d'accord avec MERLU sur le fait que d'avoir le 3 ème Match à domicile est primodial!
Surtout que pour le moment comme le dit RASHEED, ben c'est très loin d'être fait voir très loin...

pourquoi??

c'est très simple bacou, on a bénéficié d'une formule nullissime de match aller retour avec panier average tout ça pour gagner du temps or on a gagné a chaque fois un match sur deux mais grace a un poil de chance on avait le panier average. A cette époque si on se déplaçait 2 fois je pense pas qu'on allait en finale. Depuis on a réussi a bénéficier de la belle a gentilly qui est un énorme avantage...

en gros faut quoi pour que quand le SLUC gagne ça ait de la valeur ? qu'on gagne l'EL ? Qu'on gagne les PO en tapant tout le monde sur des sweeps ?

attends corpus je dis pas que ça a pas de valeur, au contraire la formule nous a avantagé certes mais on a réussi a tenir des matchs face a plus gros que nous quand même donc c'est de la valeur même si les deux saisons suivantes ont été encore plus significative car on finit premier... ça c'est énorme. Pour moi être dans le top 4 tout les ans ça a déjà beaucoup de valeurs

aircraft a écrit:

attends corpus je dis pas que ça a pas de valeur, au contraire la formule nous a avantagé certes mais on a réussi a tenir des matchs face a plus gros que nous quand même donc c'est de la valeur même si les deux saisons suivantes ont été encore plus significative car on finit premier... ça c'est énorme. Pour moi être dans le top 4 tout les ans ça a déjà beaucoup de valeurs

Donc la finale n'a pas été usurpée, mais le Sluc a beneficié du réglement et pi c'est tout

oui je me suis mal exprimé, usurpé n'était pas le terme mais plutôt chanceuse de par la formule et de super résultats en playoffs...

N'oublions pas qu'en 2005, à part contre Gravelines où on avait bien vu que l'avantage du terrain était un sérieux atout (-14 au Sportica), que le SLUC était allé chercher ses qualifications, en 1/2 puis finale, au Mans (qui n'avait, jusque là, perdu aucun match à Antarès) alors qu'on avait perdu de une longueur à Gentilly, et au Colisée de Chalon/Saône, et de quelle manière (+19) !

M'enfin bon, ce n'est pas nouveau : en France, on confond Play-Offs et coupe...

Basket-ball - Pro A - Hyères-Toulon - SLUC, demain (20 h)

« On est un peu moins fort »


Pas facile, la vie sans Sean Colson. Alain Weisz le sait. Mais pour le coach varois, la vie continue. Et dans la lutte pour les play-offs, le match face au SLUC va valoir cher.

- Alain Weisz, votre équipe vient de s'imposer largement chez la lanterne rouge clermontoise (69-49). On imagine qu'il était important de rebondir après deux défaites de rang...
- On a fait le métier en livrant un match correct contre une équipe en difficulté. C'était important pour nous car depuis la Semaine des As, c'est un peu plus difficile pour nous...
- Est-ce que c'est lié à la déception de ne pas avoir été au bout et d'avoir été stoppé en demies après avoir pourtant sorti le SLUC en quarts le mois dernier ?
- Aller au bout, on n'avait pas cela en tête. L'idée, c'était de produire du jeu. La grosse déception, ça a plutôt été de perdre Sean Colson sur blessure en demi-finales.
- Un Sean Colson, blessé jusqu'à la fin de saison, qui semble beaucoup manquer à votre équipe tant le meneur américain pesait sur le jeu...
- C'est vrai qu'il était très important. Il y avait beaucoup de choses faites par lui, et beaucoup de choses étaient faites pour lui. Il a fallu reconstruire l'équipe avec un nouveau meneur (NDLR : Daniel Horton). Pour l'instant, je ne peux pas dire qu'on a retrouvé tout notre jeu, et on a pu le voir face à Vichy et Cholet. On n'a pas d'excuse par rapport à l'absence de Sean Colson. Il faut continuer à jouer.
- Après le match face à Cholet il y a deux semaines, vous aviez d'ailleurs eu des mots assez durs envers vos joueurs...
- Mais c'est parce que c'était un match important dans l'optique des play-offs. Le championnat étant ce qu'il est, quand on ne regarde plus vers le haut, on regarde vers le bas (sic). C'est une rencontre qu'il aurait fallu gagner mais qu'on n'a pas été capables de remporter.

« Plus personne n'ose parler »


- On a le sentiment que l'opposition de samedi sera un match charnière pour les deux équipes. Qu'en pensez-vous ?
- C'est vrai que c'est un match charnière. Mais à mon avis, plus pour nous que pour le SLUC. Que Nancy finisse premier, deuxième ou troisième, ce n'est pas fondamental alors que nous, si on perd, cela voudrait dire que les play-offs s'envoleraient ou presque. Si on considère qu'il faudra quinze succès pour les play-offs, il nous en faudrait cinq en huit matches. Pas simple.
- Défaite de trois points à Gentilly à l'aller, succès aux As après prolongation. Le SLUC vous réussit plutôt bien cette saison...
- Chaque match est différent. Lors de la Semaine des As, Bauer était diminué. Au complet, cette équipe est redoutable. Maintenant, on les a joués les yeux dans les yeux deux fois même si on est un peu moins fort qu'au moment où on les a affrontés. Il faut voir comment on peut retrouver un niveau de jeu intéressant pour ne pas montrer le même visage que face à Vichy et Cholet.
- Un mot sur l'équipe de France. Vous qui avez été sélectionneur des Bleus de 2000 à 2003, que pensez-vous de la nomination de Michel Gomez ?
- Ecoutez, la crainte, c'était de choisir un coach qui n'a jamais entraîné. La tâche qui l'attend n'est pas insurmontable. L'Euro, je pense que les Bleus vont y aller. Le plus difficile sera d'avoir la majorité des joueurs qui évoluent aux Etats-Unis. Mais Michel Gomez a été un grand entraîneur et on est tous derrière lui, il n'y a aucune critique à formuler. S'il faut pousser pour avoir un Vincent Masingue aux qualifs, je le ferai à 100 %.
- Vous avez pourtant été assez critique ces derniers mois à l'encontre du basket tricolore...
- Ce n'est pas au sujet du basket tricolore. Simplement, je suis inquiet du développement du basket français et notamment le basket de club. Les autres sports progressent alors que nous, on s'est laissés glisser. On le voit aussi en foot, il n'y a plus un club qui fasse carrière en coupe d'Europe. Il faudrait un vrai symposium du basket, pour qu'on essaie de trouver des solutions tous ensemble. Mais plus personne n'ose parler. C'est triste...

Recueilli par Anthony GUILLE


Est republicain

Bon alors je pose une question, trouvez vous normal que depuis que la finale se déroule en une manche à Bercy, le premier de la saison régulière ne soit jamais devenu champion?

Pour moi ça démontre bien la débilité du système...

En plus terminer 2ième n'apporte rien de plus concernant l'avantage du terrain que d'être premier, de même que 4 ième ou 3 ième.

lolo a écrit:

Bon alors je pose une question, trouvez vous normal que depuis que la finale se déroule en une manche à Bercy, le premier de la saison régulière ne soit jamais devenu champion?

Pour moi ça démontre bien la débilité du système...

En plus terminer 2ième n'apporte rien de plus concernant l'avantage du terrain que d'être premier, de même que 4 ième ou 3 ième.

C'est une ABSURDITE cette finale sur 1 match. Mais c'est le bébé de LEGOFF (LEGOFF qui veut dire DEBILE en bon francais)
Déjà il était pas bon à l'école en maths car pour lui c'est mieux une finale proa et prob à bercy devant 15000 spectateurs plutot qu'une finale pro A en 5 manches soit environ 30000 spectateurs + finale de pro b en 3 manches soit environ 5000 spectateurs. Donc il ne sait pas que 35000 est supérieur à 15000.
Ensuite il n'était pas meilleur en EPS car il ne comprend pas que pour les joueurs c'est mieux de jouer des finales en 5 manches plutot qu'en une finale seche qui ne plait à personne.
Enfin il était nul en Communication. Car quand il dit quelque chose c'est pour dire une connerie. Que sa formule est la meilleure alors qu'en italie, espagne, russie, grèce (enfin grand pays d'europe) tout se joue au meilleur des 5 ou 7 manches. De plus comment attirer des sponsors avec une finale à pile ou face sur 1 match sachant que c'est elle qui délivre l'euroleague.

Conclusion : LeGoff retourne à l'école et laisse ta place à quelqu'un de plus intelligent. :cheers: