[PROA J6] SLUC Nancy bat EB Pau-Orthez 86 (43) à 73 (41)

guillom54 a écrit:

aircraft a écrit:

le presi va bien changer des joueurs voire le coach pour faire remonter l'équipe ils vont quand meme pas louper les playoffs deux fois de suite

Faudrait qu'il commence à se remettre en question personnellement le Direx avant de chager quoique se soit ! allez dehors le prési

La je te trouve un peu dure guillom, j'aime pas bcp Seiilant non plus mais je pense que c un peu le nicollin de Pau... Ce club ne serait jamais parvenu à ce niveau sans son prési. Il a tout donné, et faut pas oublier que Pau , l'année dernière c'etait du TOP 16 qd meme...Faut pas les enterrer si vite..
Surtout que par respect pour eux, on a pas le droit de parler d'eux come ca alors qu'il y'a quelques années, c'etait le seul club francais digne de ce nom...avec l'ASVEl.

Corpus Christi a écrit:

BB a écrit:

Je pense aussi que Pau risque de trainer en bas de classement pendant 2/3 ans!
Sinon les matchs le vendredi soir ça commence sérieusement à me saouler si ça se reproduit trop souvent c'est la derniére année où je prend un abonnement !

Sanc compter qu'avec ces conneries, le match espoir lui sera encore le samedi. A un moment, c'est pas la fête à Neuneu quand même -___-

J'espère qu'il aura du monde vendredi soir, car avec le jeudi de férié, il va y avoir des gens qui vont faire le pont et en profiter pour partir en week-end prolongé...

JC a écrit:

Corpus Christi a écrit:

BB a écrit:

Je pense aussi que Pau risque de trainer en bas de classement pendant 2/3 ans!
Sinon les matchs le vendredi soir ça commence sérieusement à me saouler si ça se reproduit trop souvent c'est la derniére année où je prend un abonnement !

Sanc compter qu'avec ces conneries, le match espoir lui sera encore le samedi. A un moment, c'est pas la fête à Neuneu quand même -___-

J'espère qu'il aura du monde vendredi soir, car avec le jeudi de férié, il va y avoir des gens qui vont faire le pont et en profiter pour partir en week-end prolongé...

et oui c'est mon cas...

sinon c'est clair que c'est presque dommage pour pau qui est quand meme un monument du basket français mais la poilitique depuis l'an dernier est bizarre et incohérente et pouvait mener qu'a cette issue ( double recrutement puis recrutement proB ... )

Il me semblait que dans un article de bacou, Stanic était opérationnel pour vendredi

« C'était fou ! »


Il avait été recruté par Pau, mais ne rentrait pas dans les plans du coach. Mike Bauer garde un drôle de souvenir de son passage dans le Béarn.







NANCY. _ 26 pts à 12/13 aux shoots, 34 d'évaluation en 27 minutes. Mike Bauer a littéralement crevé l'écran samedi à Dijon. Et quelque chose nous dit que sa ligne de stat n'est pas passée inaperçue à Pau-Orthez. Il y a moins d'un an, l'intérieur américain portait en effet les couleurs de l'Elan Béarnais. Mais malgré quelques prestations de haut vol en Pro A ou en Euroligue, Mike Bauer a passé trois mois sur la sellette parce qu'il ne rentrait pas dans les plans du coach Gordon Herbert, avant de décider de faire ses valises.
Quelques mois plus tard, c'est l'heure des retrouvailles avec Pau. Et cela ne déplairait sans doute pas à l'Américain de sortir le même genre de match que samedi dernier...
- Mike Bauer, on imagine que ce match face à Pau-Orthez sera un peu spécial pour vous...
- Oui. Mais je ne vais rien forcer, je vais simplement jouer mon jeu. Je veux les battre, c'est sûr, mais pas forcément plus qu'une autre équipe car je comprends ce qui s'est passé. Je sais que j'ai fait tout ce qu'il fallait là-bas, que j'ai tout donné. Simplement, je ne contrôlais pas tout. Pierre Seillant (le directeur exécutif) m'avait fait venir mais Gordy (Gordon Herbert, l'entraîneur) avait d'autres vues.
- Que s'est-il passé exactement ?
- Quand j'ai signé à Pau, c'était juste avant la fin de saison. Tout était OK, Didier (Gadou) devait repartir pour une nouvelle saison, mais finalement il n'a pas été reconduit. Pau a alors fait signer Gordon Herbert. Pendant tout l'été, il ne m'a pas passé un seul coup de fil et j'ai pensé que tout était bon.


Près du SLUC la saison dernière


- A quel moment avez-vous senti que ce n'était pas le cas ?
- Trois jours avant que je parte pour Pau. Mon agent m'a appelé pour me dire que Gordon Herbert voulait me transférer à Nancy. J'étais alors très très proche de venir au SLUC. Cela m'aurait bien plu, j'ai préféré toucher un peu moins d'argent mais jouer l'Euroligue pour l'exposition que cela représente. Gordon Herbert a dit OK. Mais une semaine plus tard, il est revenu me dire qu'il y avait une possibilité avec une autre équipe. J'ai refusé en lui disant que je voulais jouer l'Euroligue. Cela a duré plusieurs semaines. Il y a eu d'abord Nancy, qui a finalement fait signer Victor Samnick, puis Paris, Paris, Francfort, une équipe italienne... Toutes les semaines ou presque, le coach me disait « Je veux que tu partes, je veux que tu restes, je veux que tu partes... » C'était fou !
- Cela doit être dur de jouer trois mois en sachant que le coach ne compte pas sur vous ?
- Oui, mais je pense avoir conservé l'esprit d'équipe. J'ai fait tout ce que je pouvais pour aider le groupe à gagner, tout en me battant pour garder ma place à mon poste car Gordon disait que le meilleur jouerait. A mon poste, je pense que j'ai été celui qui a eu le meilleur rendement mais malgré cela, le coach voulait toujours que je parte. Au bout d'un moment, je me suis dit que j'avais eu l'occasion de me montrer en Euroligue, et qu'il était temps de partir car la situation était vraiment difficile. J'ai donc signé à Francfort.


« Quelques sentiments négatifs »


- Avec quelques mois de recul, vous n'avez aucun sentiment négatif envers l'Elan Béarnais ?
- Evidemment, j'ai quelques sentiments négatifs, mais je ne m'y attarde pas car cela ne m'aide pas. Je me sens à l'aise par rapport à tout ça, et je me concentre sur ce que je peux contrôler. Or, ce qui s'est passé à Pau, ce n'était pas moi qui le contrôlait mais d'autres personnes. J'ai beaucoup appris sur moi-même et sur les gens. Maintenant, il y a certaines personnes en qui je ne pourrais plus accorder la même confiance dans le business. Mais bon, c'est la situation qui était comme ça... Et puis, il y a eu des aspects négatifs, mais aussi des positifs. C'est à Pau que j'ai rencontré ma femme Laurence. Aujourd'hui, j'ai une petite fille merveilleuse, Laly-Marie. Alors, quelque part, cela a été aussi une belle année. Aujourd'hui, je suis à Nancy et je suis très heureux.
- Avec quatre défaites en cinq matches, Pau-Orthez ne va pas fort depuis le début de saison...
- C'est vrai. Cédric Ferchaud, qui est un copain, jouait très bien avant que la saison débute, il a l'expérience de la Pro A et je suis plutôt surpris qu'il ne joue pas plus dans cette équipe, tout comme Thierry Rupert. Pau a besoin de leadership. Maintenant, c'est le problème de leur coach, pas le mien. Ceci dit, je me méfie de ces gars. J'ai joué avec eux la saison dernière, et je sais ce qu'ils peuvent faire.
- Vous avez regardé à la télé leur débâcle face à Villeurbanne vendredi dernier (-44) ?
- Non, mais je les ai vus jouer deux autres fois, et en présaison. L'équipe a beaucoup changé mais il y a du talent, et quand on voit ce qui se passe... c'est fou.
- Vous venez de gagner de plus de trente points à Dijon, Pau vient de couler face à Villeurbanne. Personne ne s'attend vraiment à ce que vous perdiez ce vendredi...
- C'est sur que c'est un match qu'on devrait gagner sur le papier. Les gens disaient déjà la même chose à Dijon. Mais si on n'est pas concentrés, si on ne joue pas en équipe, si on n'affiche pas de l'intensité à chaque instant, des équipes comme Dijon, Pau, Strasbourg peuvent jouer la gagne contre nous. Mais si on est concentrés pendant tout le match...


Recueilli par Anthony GUILLE

JC a écrit:

Corpus Christi a écrit:

BB a écrit:

Je pense aussi que Pau risque de trainer en bas de classement pendant 2/3 ans!
Sinon les matchs le vendredi soir ça commence sérieusement à me saouler si ça se reproduit trop souvent c'est la derniére année où je prend un abonnement !

Sanc compter qu'avec ces conneries, le match espoir lui sera encore le samedi. A un moment, c'est pas la fête à Neuneu quand même -___-

J'espère qu'il aura du monde vendredi soir, car avec le jeudi de férié, il va y avoir des gens qui vont faire le pont et en profiter pour partir en week-end prolongé...

Autant on est gâté pour le cô^té sportif de ce déu de saison, autant en terme de public ce début de saison est merdique.
Levallois et la SIG (soit le premier match de la saison qui en général fait salle comble + LE derby qui lui aussi en général fait salle comble) concurrencé par une Coupe du Monde de Rugby qui a super bien fonctionné niveau public (et on l'a vu dans la désafection des salles), un match avancé en plein dans le week end prolongé de la Toussaint contre Pau qui là encore, malgré tout, est une équipe qui remplis les salles à chaque fois...

Bref, sur 3 matches ou nromalement on aurait du faire 5500/6000 personnes, et ben on va faire beaucoup beaucoup moins. C'est quand même pas de bol....

pas de bol, pas de bol je veux bien mais comme je l'ai dejà dit le club prends vraiment ses plus fidèles supporters pour des pions entre les décalages au vendredi à cause de l'ASNL (arrêtons de baisser culotte), du petit 20h des familles françaises (va voir en Espagne si on joue à 20h!!!!!)j'en passe et des meilleures....le club ne récoltera que ce qu'il a semé....

STEVO a écrit:

pas de bol, pas de bol je veux bien mais comme je l'ai dejà dit le club prends vraiment ses plus fidèles supporters pour des pions entre les décalages au vendredi à cause de l'ASNL (arrêtons de baisser culotte), du petit 20h des familles françaises (va voir en Espagne si on joue à 20h!!!!!)j'en passe et des meilleures....le club ne récoltera que ce qu'il a semé....

Si le Sluc avait maintenu le match à samedi en même temps que celui de l'Asnl, tu crois qu'il y aurait eu beaucoup plus de spectateurs que vendredi...???

Merci Korac, L'est n'était pas paru ce matin lorsque je suis partie
La suite...


Vestiaires

Des retours au compte-gouttes



• BLESSES. L'infirmerie désemplit, mais au compte-gouttes. Comme prévu, Cyril Julian a repris l'entraînement hier après être resté aux soins la veille en raison de son hallux valgus. Jeff Greer, qui se plaignait d'une douleur à un doigt de pied, a également effectué son retour alors que le jeune Guy Marc Michel a repris mais partiellement, sa douleur à la cheville n'étant pas complètement résorbée.
Par contre, Mike Bauer ne s'est pas entraîné hier, pas plus que Victor Samnick. Insuffisamment remis de sa gastro-entérite, l'intérieur US a été ménagé mais devrait reprendre le collier ce matin, alors que Samnick souffre toujours de l'aine. Une douleur qui le tracasse depuis une dizaine de jours maintenant. Le joueur fera un nouvel essai ce matin, mais Jean-Luc Monschau a bon espoir qu'il puisse tenir sa place vendredi face à Pau...
• LOCATION. La location pour SLUC - Pau-Orthez, vendredi (20 h) à Gentilly se poursuit au siège du club (palais des Sports Jean-Weille) aujourd'hui de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h, ainsi que vendredi de 9 h à 12 h. La location est également ouverte sur le réseau « Ticketnet » et dans les galeries commerciales Cora et Auchan. Rappelons que les tarifs s'échelonnent de 8 à 25 euros.
• DéDICACE. Les Nancéiens seront à Auchan Tomblaine cet après-midi pour une séance dédicaces. Le rendez-vous est fixé à 14 h.
• JOUEUR DU MOIS. Malgré son sans-faute en championnat (5 sur 5), le SLUC n'a aucun nominé pour le titre honorifique de joueur du mois d'octobre. Mais avec plusieurs joueurs s'étant illustrés tout au long du mois, il était peut-être difficile de dégager une individualité... Les nominés du mois sont donc le meneur Varois Sean Colson, et les deux gâchettes américaines de Roanne Brion Rush et Marc Salyers. Les internautes ont quelques jours pour voter sur le site www. lnb. tv notamment.
est republicain

STEVO a écrit:

pas de bol, pas de bol je veux bien mais comme je l'ai dejà dit le club prends vraiment ses plus fidèles supporters pour des pions entre les décalages au vendredi à cause de l'ASNL (arrêtons de baisser culotte), du petit 20h des familles françaises (va voir en Espagne si on joue à 20h!!!!!)j'en passe et des meilleures....le club ne récoltera que ce qu'il a semé....

La politique vis à vis de l'ASNL mieux vaugt la garder. Le basket n'est pas prêt à la concurrence du foot pour qu'on joue aux grands (malheureusement). Après la vie espagnole n'est pas rythmée comme en France. Mais bon... on va regarnir Gentilly

Cora Houdemont offre 800 places pour ce match

300 aujourd hui
300 demain
et 200 vendredi cela risque de faire augmenter le nombre de spectateur

Présentation de la rencontre de ce vendredi sur le Site Officiel

Pau a touché le fond


Battu de 44 points à domicile vendredi dernier contre l'ASVEL ! L'Elan Béarnais n'avait jamais été aussi mal en point. Chronique d'une chute annoncée.


NANCY. _ Dans un entretien accordé à l'AFP la semaine dernière, Pierre Seillant dédramatisait le début de saison de l'Elan Béarnais : « On n'est pas encore très bien, mais on n'a pas pris de branlées (sic) non plus. » Et bien c'est fait ! Depuis ce triste 26 octobre où l'ASVEL, le rival historique, a dévasté le palais des sports du sol au plafond. 104 à 60 : 44 points dans la musette.
Même les plus anciens abonnés de la Moutète à Orthez ne se souviennent pas avoir reçu une telle déculotée. « Nous avons vécu un cauchemar. Plus que ça encore. On se fait marcher sur la gueule et on l'accepte. J'ai honte ! », reconnaîtra Cédric Ferchaud après le désastre. Et voilà comment Pau-Orthez, neuf fois champion de France depuis 1986, a touché le fond après seulement cinq journées de championnat.
S'il convient parfois d'accorder une importance toute relative aux écarts de ce genre, il parait néanmoins évident que le club dirigé par Pierre Seillant n'a jamais été aussi mal en point. Une question essentielle : faut-il encore aujourd'hui considérer l'Elan comme un cador de Pro A ? Certainement pas. La saison dernière constitue un commencement de preuve.
Malgré une héroïque qualification pour le top 16 de l'Euroleague, Pau-Orthez version Gordon Herbert n'avait pas réussi à accrocher les play-offs (9e de la saison régulière). Pourtant, l'équipe comptait dans ses rangs une somme de talents incontestables : CC Harrison, Aaron Miles, Michaël Wright, Ricardo Greer, Mike Bauer... Sans faire injure aux recrues de l'été (Young, Withers, Fein, Dials, Stanic, Mendy) ni à la jeune génération (Raposo, Heurtel, Vaty), on n'est pas certain que l'effectif actuel ait les moyens d'être plus ambitieux que son prédécesseur. Il n'en a d'ailleurs jamais été question. Une histoire de cycles.
« Un club, c'est comme une personne : ça naît, ça grandit et ça décline », estime Pierre Seillant, fataliste, « on va essayer de reconstruire sur les trois années qui viennent, même si on sait que ça va être difficile de revenir au niveau où on était, pour des raisons économiques évidentes ».


La concurrence de l'ovale


En effet, même si Pau reste l'un des plus gros budgets de Pro A, la tirelire n'est plus aussi pleine que par le passé (3e budget et 7e masse salariale). Les droits télé de l'Euroleague ont disparus, les entrées ont eu tendance à piquer du nez la saison dernière. Enfin, même si le club de rugby local n'est plus ce qu'il était (Pau évolue en Pro D2), certains partenaires se sont laissés tentés par l'ovale (il y a tout de même huit clubs pros de rugby dans un rayon de 100 kms autour de Pau).
Pau mange son pain noir. L'objectif avoué (la qualification pour les play-offs) sera peut-être plus compliqué que prévu à atteindre. Mais le plus inquiétant est peut-être l'état d'esprit avec lequel la troupe d'Olivier Cousin s'est laissée dévorer vendredi dernier face à l'ASVEL.
C'est à se demandez si l'autorité et le discours du remplaçant de Gordon Herbert passent encore. Pierre Seillant, qui a visiblement décidé de laver le linge sale en famille, semble même craindre que son jeune coach soit victime d'une cabale.
Ce ne serait pas une première à Pau (souvenez-vous de Didier Gadou). « Si certains ne se sentent pas bien dans ce club, qu'ils le disent et qu'ils partent », prévient le ''Direx''. Premier avertissement ! Sans doute aussi le dernier...


Thomas SIMON


est republicain

Vestiares

Samnick sur la bonne voie









• INFIRMERIE. On ne peut pas dire que l'intérieur soit revenu en grande forme. Cependant, les dernières nouvelles concernant Victor Samnick sont rassurantes : l'ancien Parisien souffre de moins en moins de sa douleur à l'aine, et il n'est pas impossible qu'il soit aligné sur la feuille de match demain soir. Ce devrait également être le cas de Mike Bauer, même si le joueur, victime d'une gastro-entérite, a encore été laissé au repos hier.
• DéDICACES. Un petit bain de foule de temps en temps ne peut pas faire de mal. Les joueurs du SLUC et leur staff étaient hier après-midi à la rencontre du public, à Auchan-Tomblaine. Après une bonne heure de dédicaces, les Nancéiens ont repris la route de Gentilly pour une séance d'entraînement.
• LOCATION. La location pour la rencontre SLUC - Pau-Orthez (demain, 20 h à Gentilly) se poursuivra demain matin au palais des sports (de 9 h à 12 h), ainsi que sur le réseau « ticketnet » et dans les galeries commerciales Cora et Auchan. Prix des places entre 8 et 25 euros.
est republicain

Merci bacou!

Merci Bacou

Pour info , à 18 h 35 ce jour , sur france bleu sud lorraine , c'est l'émission " l'esprit basket" :cheers:

fabask a écrit:

Pour info , à 18 h 35 ce jour , sur france bleu sud lorraine , c'est l'émission " l'esprit basket" :cheers:

Merci

De quel poids pèsera ce vendredi, à Nancy, dans le cadre d’un match avancé de la 6ème journée (*), le traumatisme d’une dernière sortie vécue comme la pire de toute l’histoire ?
De quel poids pèseront les mises à plat qui se sont succédées depuis, les remises en questions sollicitées en termes peu amènes par la direction et le staff, les explications dans le blanc des yeux entre joueurs, les bonnes résolutions, les menaces qui ont été agitées, le verbe haut ?
De quel poids pèsera la nouvelle absence de Max Stanic, le meneur italien blessé, la seule circonstance atténuante, non retenue, des joueurs vendredi dernier ? Celui qui semble se dégager comme le leader à défaut du patron, n’a pas effectué le voyage en Lorraine avec ses équipiers. La médecine, qui n’est d’ailleurs pas très rassurée sur l’évolution de sa grosse contusion à la cuisse, et l’annonce d’ores et déjà quasiment forfait pour l’ouverture européenne de mardi, a préféré le garder sous la main de façon à ce qu’il subisse une batterie d’examens supplémentaires.
Sur la balance, l’Elan qui a rallié Nancy ce jeudi soir, au terme d’un cocktail avion-train pas des plus pratiques, le déficit de sérénité, de confiance apparaît imposant et encore, n’a-t-on pas posé la question qui pourrait faire plus mal encore…. Oui, de quel poids pèsera le SLUC dans son antre de Gentilly enfiévrée et par l’odeur du sang attirée… ?
Car tous les clignotants en font foi, on tient là le maousse costaud de la division, un leader invaincu après cinq rounds tous rondement menés et d’ores et déjà programmé, fut-ce très tôt, pour retourner à Bercy en juin prochain et y chasser le gros chat noir qui à trois reprises l’obligea à s’en retourner vers sa Lorraine avec de gros et lourds sabots au pieds.
Quand bien même ce groupe n’a-t-il qu’un rapport lointain avec ses devanciers, on sait Cyril Julian suffisamment cocardier et naturellement revanchard pour avoir fait passer le message dans les rangs de l’effectif. Et à ce sujet le doute n’est pas permis, l‘ensemble, surarmé, a pris le départ du championnat le 29 septembre dernier avec un étiquette, voir une pancarte, de favori tout désigné.
L’Elan doit-il pour autant rentrer par la plus petite porte dans ce gymnase où il a trop souvent fait des misères pour y être vraiment apprécié ? Doit-il prier pour que ses déboires comparés au bien être des hôtes, n’aiguise point trop l’appétit des Cougars ?
On sait bien que le basket a désormais dépassé les querelles de clocher, et on le dit avec une pointe de nostalgie, mais tout de même on imagine mal Julian, encore lui, Ricardo Greer et Mike Bauer recevoir l’Elan sans la volonté de lui rappeler quelques souvenirs et celle de lui faire re-passer sa carte de visite…L’américain sera à ce titre le plus concerné quand bien même l’acteur principal de son éviction n’est plus non plus béarnais…Et il semble s’être particulièrement bien préparé à la venue de ses anciens potes si l’on en croit son match assez phénoménal de la semaine dernière à Dijon…
Donc, on imagine assez bien un scénario qui verrait le nancéien se lancer dans une chasse au record, puisqu’ils sont à la mode ces temps ci, qui verrait une équipe avide de frapper un nouveau grand coup histoire de confirmer son statut et d’envoyer un message, comme l’on dit aujourd’hui, au reste de la France du monde orange.
Est-ce un mal pour un bien ? Ma foi oui… Au point ou il en était vendredi soir l’Elan n’a plus ni le temps, ni le droit, de ne pas savoir quelle est sa nature profonde…Et à Gentilly il saura, qu’il ne se berce surtout pas de la moindre illusion…
Il va s’y présenter profil bas et un peu honteux… Il lui reste à confirmer qu’il n’est pas, loin de son palais, le même. Ce que confirment ses sorties d’Orléans et du Mans. Quitter Nancy la tête haute ne serait pas un moindre performance surtout sans Stanic…

(*)C’est à la demande du SLUC Nancy que l’Elan a accepté d’avancer ce match au vendredi. Il est vrai que l’ASNL football fêtant son 40ème anniversaire avec la venue des Girondins de Bordeaux, samedi la raison était impérieuse.

www.elan-bearnais.fr




le 1 / 11 / 2007

Oui, de quel poids pèsera le SLUC dans son antre de Gentilly enfiévrée et par l’odeur du sang attirée… ?

On se croirait aux Jeux du Cirque, au temps de la Rome Antique...Gentilly fait si peur?

Pro A (6e journée) : SLUC - Pau/Orthez, ce soir (20h) à Gentilly

L'occasion est belle


Le SLUC n'a jamais reçu Pau, neuf fois champion de France, avec un costume de favori aussi large. Et la perspective de décrocher un sixième succès.


NANCY. _ Les basketteurs du SLUC vivraient-ils dans une espèce de bulle où règne en maître l'esprit de contradiction ? Samedi dernier, à l'heure du petit-déjeuner, la France entière du basket a failli renverser son café en découvrant le score du match Pau - ASVEL. 60 à 104 ! Un tremblement de terre en Béarn, une date historique pour le basket français. En tout cas, la sensation de ce début de saison. Et qu'entend-on dans les couloirs de Gentilly ? -44 ! Trop gros pour être vrai, ou plutôt trop exceptionnel pour être riche en enseignements.
Un exemple, un seul, celui de Jean-Luc Monschau qui résume parfaitement l'état d'esprit général du groupe : « ce résultat est exceptionnel, face à une équipe de Villeurbanne elle aussi exceptionnelle. Nous avons vu la vidéo de ce match, mais nous avons également vu celles où Pau a fait un bon match au Mans et à Orléans. En déplacement, Pau tient la route ». Le contraire nous eut franchement surpris...
Plus sérieusement, il ne fallait pas s'attendre à ce que les Nancéiens sifflotent en annonçant qu'ils allaient coller la même claque que l'ASVEL aux Palois ce soir. Prudence est mère de sûreté. Et puis, le sport et en particulier le basket, est fait de phénomènes étranges, d'exemples défiant toute logique. Tant mieux, d'ailleurs. Souvenons-nous de cette drôle de défaite contre Le Havre à Gentilly, en janvier 2005. Le SLUC menait 33-10 après dix minutes et s'était finalement incliné de deux points. Tout est possible.


« Il n'y a pas d'euphorie »dt


Toujours est-il que, même si Pau a effectivement touché le fond vendredi dernier sur son parquet, rien ne permet aujourd'hui d'écarter la possibilité d'une victoire béarnaise à Gentilly.
Donc Nancy, qui n'a pourtant jamais accueilli le club aux neuf titres de champion avec un costume de favori aussi large, la joue humble et profil bas. Attentif et concentré à l'heure d'une nouvelle confrontation avec une équipe en difficulté (après Strasbourg et Dijon).
« Contre Strasbourg, nous avons vu que rien n'était jamais gagné d'avance », confirme Jean-Luc Monschau, « là, c'est pareil. On reçoit une équipe qui reste sur quatre défaites d'affilée, mais qui reste une équipe très complète à mon sens. On ne va pas la prendre à la légère. Le fait de gagner des matches nous apporte de la confiance, mais il n'y a pas d'euphorie. Nous restons très critiques par rapport à ce que nous faisons pour essayer d'avancer encore ».
Il est de bon ton de ne pas tirer sur une ambulance. Pourtant jusqu'ici, le SLUC ne s'est pas laissé apitoyer par le teint pâlot des cadors qu'il a croisé. On voit mal pourquoi il en serait autrement ce soir. On a bien entendu le message sur la prudence et on connaît le refrain de la bête blessée. Mais l'occasion est belle de décrocher un sixième succès. Reçu cinq sur cinq après sa victoire à Dijon, le SLUC avait déjà réussi une performance historique. Mais on ne s'en lasse pas...


Thomas SIMON


est republicain

Un contre un avec : Cyril Julian

« Ce score n'est représentatif de rien »









- Après Strasbourg et Dijon, vous allez croiser Pau/Orthez, une autre équipe qui n'est pas au mieux en ce début de saison. Ces rencontres sont-elles difficiles à aborder ?
- Il fait rester vigilant. Ce sont des équipes qui ont besoin de réagir, de se refaire une santé. Nous, nous voulons faire en sorte qu'elles réagissent la semaine suivante... N'oublions pas que Pau est plus en difficulté à domicile qu'à l'extérieur depuis le début de la saison.
- Qu'avez vous pensé de la claque subie par Pau face à Villeurbanne la semaine dernière ?
- Pour moi, ce score n'est représentatif de rien. Pau avait beaucoup de pression à domicile et ils ont joué face à une équipe de Villeurbanne animée par un esprit de revanche, face à l'ennemi historique. Pau a un vrai potentiel, mais ils n'arrivent pas encore à le canaliser. Mais après une telle défaite, ils sont obligés de réagir.
- Vous avez été champion de France à deux reprises avec l'Elan Béarnais (en 2003 et 2004). Que vous inspire la situation actuelle du club ?
- Cela fait bizarre de voir une équipe qui a dominé à ce point le championnat de France dans cet état. Mais c'est passager. ça va revenir. A mon époque, nous avions une très grosse masse salariale et nous gagnions tous nos matches avec un écart moyen de 16 ou 17 points. Aujourd'hui, Pau est en pleine reconstruction. C'est un virage à négocier. Je sais que cette mauvaise période est difficile à vivre. L'un des dirigeants palois est le parrain de ma fille.
- Cinq victoires en cinq matches : le SLUC est euphorique en ce début de saison ?
- Pas du tout. On ne pense pas en permanence cinq sur cinq, six sur six... On s'entraîne sérieusement, on essaye de faire des choses justes et, pour l'instant, ça fonctionne. On cherche le joueur le plus en forme et, depuis le début de saison, on s'aperçoit que ce n'est jamais le même. Je pense qu'on a une équipe difficile à contrôler.


Propos recueillis par T.S.


est republicain

Sport lorrain
L'adversaire

Objectif : trois sur quatre









NANCY. _ Gordon Herbert et Olivier Cousin ont au moins un point commun : tous deux ont la réputation d'être des mordus de défense. Or s'il y a bien une constante entre l'Elan de la saison dernière et le nouveau Pau-Orthez, c'est cette difficulté à limiter le rendement offensif de l'adversaire. L'équipe d'Herbert a terminé 11e défense de Pro A (sur 18) avec 77,1 points encaissés. Celle de Cousin tourne actuellement à 81,4 points de moyenne (14e sur 16 équipes). Les 104 points enregistrés face à l'ASVEL n'ont évidemment pas arrangé les choses. C'est sans doute par là que doit débuter la reconstruction.
En tout cas, Olivier Cousin et le directeur exécutif Pierre Seillant attendent une réaction rapide, au moins dans l'attitude. « Les joueurs ont baissé la tête contre l'ASVEL mais cela n'arrivera pas une seconde fois, ou alors ils devront rendre des comptes. Il est difficile de leur demander un résultat positif à Nancy, mais nous serons attentifs à la manière », a déclaré le ''direx'', qui a organisé un debriefing collectif lundi. A cette occasion, il a apparemment fixé un objectif précis : trois victoires lors des quatre prochains matches de championnats (à Nancy, contre Vichy, à Paris et contre Clermont). Pour la réception de Vichy, Pau devrait à nouveau pouvoir compter sur Maxiliano Stanic. En revanche le meneur argentin, touché à la cuisse, ne devrait pas être en mesure de tenir sa place ce soir.


T. S. (Thomas SIMON)


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Au complet









NANCY. _ « La gastro ? ça va mieux ! ». En français dans le texte, Mike Bauer confirmait hier qu'il en avait terminé avec ses ennuis gastriques. A priori, il n'y a plus aucun risque de contagion et l'ancien Palois sera bien sûr la feuille ce soir, même s'il ne s'est quasiment pas entraîné cette semaine. L'autre sujet d'inquiétude concernait Victor Samnick. Sa douleur à l'aine ne l'a pas empêché de s'entraîner normalement hier. Le SLUC affichera donc complet ce soir.
• ESPOIRS. C'est demain, à 16h à Gentilly, qu'aura lieu la rencontre SLUC - Pau espoirs. Après s'être inclinés d'un rien à Dijon, les Nancéiens tenteront de décrocher leur quatrième succès de la saison.
est republicain

Sport lorrain

Les équipes









SLUC : 4. Dowdell ; 5. Amagou ; 6. Lefèvre ; 7. Julian ; 8. J. Greer ; 9. Parker ; 10. Harrison ; 11. Zaki ; 12. Michel ; 13. Samnick ; 14. R. Greer ; 15. Bauer.
Pau-Orthez : 5. Heurtel ; 6. D'Almeida ; 7. Fein ; 8. Mendy ; 9. Ferchaud ; 12. Rupert ; 13. Young ; 14. Vaty ; 15. Dials ; 16. Withers ; 17. Raposo.
Arbitres : M. Viator, Koog et Antz.
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