[ProA - J19] SLUC Nancy bat EB Pau-L.-Orthez, 97-62 (49-36)

Samedi soir, retour à la ProA pour le SLUC Nancy, qui s'il souhaite encore prétendre au Top 2 (si, si, c'est encore possible), devra l'emporter. Plus le droit à l'erreur à domicile, même si l'an passé, il y avait perdu la tête à quatre reprises (2 fois cette saison) pour un total de neuf défaites en trente matches (6/18 actuellement).

C'est le dernier sprint, toujours sans nouvelle recrue, apparemment, qui commence donc face à l'ÉLAN Béarnais Pau-Lacq-Orthez (13e, 5-13), qui n'a jamais gagné deux fois de suite en 2011-2012, et qui reste sur une victoire, étriquée, à domicile face à la JDA Dijon (59-57).

Mais si l'EBPLO n'a plus gagné à l'extérieur depuis... la première journée (75-89 à Toulon), il joue sa survie, et face à une équipe nancéienne en reconstruction, c'est peut-être le meilleur moment de valider une deuxième victoire de rang en championnat, surtout après un match amical encourageant à Bilbao, perdu seulement 91 à 84 ! Vous savez, là où Nancy a pris l'eau en Euroleague il y a quelques semaines

Basket | pro a Le massif des Seychelles
Rare satisfaction nancéienne à l’issue de la Semaine des As, Abdel Kader Sylla est une figure discrète du Sluc. Le natif des Seychelles progresse doucement mais sûrement. Avec la NBA pour horizon.








Abdel Kader Sylla s’est fait remarquer à la Semaine des As. Avant cela, le Nancéien avait passé 10 points et 4 rebonds en un gros quart d’heure à Vitoria en Euroligue. Photo Anthony PICORE

C’est l’histoire d’un déraciné qui poursuit un rêve avec une foi silencieuse et un travail de forcené. Lieu de départ : Mahé, aux Seychelles, une terre où, comme souvent, le basket est éclipsé par le foot. Où il se pratique en « amateur, avec un niveau de milieu de tableau en Nationale 2 ». Lieu d’arrivée : l’Amérique of course. La NBA ou le Graal de tout jeune joueur. La quête d’Abdel Kader Sylla doit le mener sous la bannière étoilée. Il y pense sans en parler. Du moins pas trop fort.
ZOOM

Pour l’heure, le Seychellois perfectionne son art à Nancy, avec le champion de France. A 22 ans, il est aujourd’hui professionnel à temps complet après de furtives apparitions en Pro A les années précédentes et de solides prestations en espoirs. Il avait été repéré dans son petit coin d’Océan Indien par un ami de Pierre Verdière, l’entraîneur de ces mêmes espoirs. « Ils m’ont pris direct, sans faire d’essai, se souvient-il. C’était un risque pour eux et c’était dur pour moi de quitter ma famille mais c’était mon rêve. Faire du basket mon métier. » Abdel est pourtant venu sur le tard à la balle orange. Il avait quinze ans et suivait l’exemple d’un frère aîné qu’il attendait à la sortie de l’entraînement.

La semaine dernière, l’intéressé a donné à voir à la France du basket l’étendue de ses progrès. Sylla a rendu une copie moyenne de 14 points, 4 rebonds et 5 fautes provoquées en 23 minutes. Cholet, dès le premier tour, lui a d’ailleurs offert son « match référence » : 18 unités, 6 prises et 9 fautes provoquées. Le jeune pivot n’a pas fourni de remède à Nancy qui a vécu un tournoi douloureux mais il en fut sa seule satisfaction. Vincent Collet, le sélectionneur des Bleus, s’est dit lui-même impressionné.
Fan de Garnett

Prudent dans l’éloge, Jean-Luc Monschau se garde bien de lui tresser des lauriers mais l’invite à poursuivre dans la même voie : « C’est en multipliant les matchs de qualité qu’il va avoir un statut, explique son entraîneur. Abdel peut nous aider sur les positions 4 (ailier fort) et 5 (pivot). Il est très athlétique mais il doit améliorer son jeu dos au panier car il n’arrive pas toujours à gagner les duels. » Sylla espère, lui, progresser sur les « paniers faciles et grappiller plus de rebonds tout en continuant à apporter (son) énergie ». Quid de l’adresse ? « Elle est là, rigole-t-il, mais je dois me concentrer près du cercle pour provoquer des fautes ».

Garçon discret, le Seychellois est couvé par Bouna N’Diaye, l’agent de Parker et Batum. Il devrait tenter sa chance à la draft cet été mais, aujourd’hui, il certifie n’avoir « la tête qu’au Sluc ». Et ne parle que travail : « Je ne veux pas m’éparpiller, dit-il. Mon état d’esprit, c’est de continuer à m’entraîner tous les jours, de ne rien lâcher et de prendre ce que le coach me donne. »

La NBA, Sylla en parle plus facilement dans l’intimité du vestiaire. « C’est un grand fan de Boston et de Kevin Garnett, trahit Kenny Grant. Il m’avait chambré quand les Celtics ont battu New York. Abdel a beaucoup de qualités et il vraiment progressé. S’il continue de travailler dur et c’est ce qu’il fait, il a un avenir prometteur devant lui. » Si l’Amérique est rétive, l’Europe saura le courtiser. Cette saison, en Euroligue, Sylla a passé 10 points et 4 rebonds en un gros quart d’heure à Vitoria. Ce garçon progresse à pas de géant.
Christian

Le gamin à du potentiel mais la nba me parait improbable vu son niveau actuel et son physique lambda pour un poste 5 et puis il à 22 ans et pas 19,si il devient un bon joueur de Pro A ce sera déja pas mal.

Source L'Equipe
http://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nouveau-changement-de-coach-a-pau/265574
Le 23/02/2012 à 14:57:00 | Mis à jour le 23/02/2012 15:28:59
Basket - Pro A

Nouveau changement de coach à Pau

Après le limogeage de Didier Dobbels en novembre, c'est au tour de Laurent Vila de quitter le poste de coach de l'Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, mais cette fois de lui-même.

Laurent Vila, qui avait remplacé Didier Dobbels le 14 novembre, quitte le poste de coach de Pau-Lacq-Orthez. Contrairement à Dobbels, qui avait été limogé pour manque de résultats, Vila, ancien entraîneur adjoint, démissionne «pour raisons personnelles», indique le club, qui précise que «cette séparation s'effectue d'un commun accord.» Il est remplacé par Jean-François "Paco" Laulhé, autre assistant historique de l'Elan Béarnais, nommé «jusqu'à la fin de la saison» et qui sera secondé par l'ancien joueur Paul Henderson.

Ancien joueur de l'Elan puis assistant à Gravelines et au Mans, Laurent Vila était revenu en début de saison pour prendre en main le centre de formation. Il s'en va après quatre victoires en douze matches. Les Palois, qui ont perdu il y a un mois à domicile un match très important face à Poitiers (84-85), sont à la lutte pour le maintien avec le PB86 et le STB Le Havre, qu'ils recevront le 24 mars.

Rentré dans le rang depuis quelques années avec même un passage en Pro B, l'Elan Béarnais dispose de l'un des palmarès les plus fournis du basket français avec une Coupe Korac (C3), neuf titres de champions de France (avec des joueurs comme Freddy Hufnagel, les frères Gadou et Pietrus, Antoine Rigaudeau ou encore Boris Diaw) et trois Coupes de France. Il est le dernier club de Pro A à avoir accédé au Top 16 de l'Euroligue, en 2007.

BASKET-BALL - PRO A AVANT SLUC - PAU-LACQ-ORTHEZ, SAMEDI (20 H)

2012 EN TRAÎNARDS…

Avec une seule victoire lors des cinq derniers matches de championnats le SLUC fait partie des plus mauvais élèves de ce début d’année. Comme Pau-Lacq-Orthez, son futur adversaire.



Nancy. Régulièrement à la même époque, une idée fait son petit bout de chemin dans l’inconscient collectif : les mois de janvier et février seraient ceux que le SLUC traverse le plus péniblement (en championnat). Une sorte de cliché qui résiste somme toute assez mal à l’étude chiffrée des faits.

Effectivement, les équipes successives de Jean-Luc Monschau ont connu par le passé quelques sauts de chaîne au plus dur de l’hiver. Cela avait par exemple été le cas lors de la saison 2006-2007 (quatre défaites en sept rencontres en janvier-février), alors qu’en 2008-2009 Ricardo Greer et ses coéquipiers étaient tout juste parvenus à équilibrer le bilan (quatre victoires, quatre défaites). Pour le reste, rien de très significatif en vue pour la période placée sous la loupe.

Cette saison, en revanche, l’hiver est particulièrement rigoureux pour l’équipe nancéienne qui, rappelons-le, n’a récolté que deux victoires lors des six rencontres disputées en Pro A depuis le début de l’année 2012. Ce bilan peu enthousiasmant devient particulièrement maigrelet si, pour mettre les seize formations de Pro A sur un pied d’égalité, on occulte la victoire acquise le 7 janvier contre Roanne (match en retard initialement programmé au mois de décembre). Déduction faite, le SLUC reste donc sur quatre revers en cinq matches. Ce qui n’est d’ailleurs pas loin de constituer une série noire historique, le dernier enchaînement de cet acabit datant justement de l’hiver 2008-2009. Une nouvelle défaite samedi face à Pau-Lacq-Orthez et Jean-Luc Monschau inscrirait une ligne de plus dans son propre « Guiness Book »…

Mais laissons là le genre « fiction-catastrophe » pour décortiquer la chute que le SLUC a entamé le 13 janvier dernier, à Gentilly face à Gravelines, suite au coup de massue de Juby Johnson au buzzer. Bien sûr, il y a toujours pire ailleurs. Hyères-Toulon vient d’enchaîner cinq défaites d’affilée en 2012 (les Varois restent d’ailleurs sur dix revers de rang).

LE HIC : UNE DÉFENSE EN TOC
Quant au SLUC, il traîne tout en bas d’un classement intermédiaire qui ne prendrait en compte que les cinq dernières journées (voir par ailleurs). En compagnie du Havre et de… Pau-Lacq-Orthez, qui vient justement dîner à la maison samedi soir. A l’autre extrémité de ce classement, avec quatre succès pour une seule défaite, on trouve les équipes en forme du moment : Chalon (qui vient de remporter la Semaine des As), Gravelines-Dunkerque (finaliste des As), mais aussi Villeurbanne, Orléans et Paris-Levallois.

Les joueurs nancéiens eux-mêmes ont bien du mal à livrer une explication rationnelle à ce début d’année chaotique, ponctuée samedi dernier à Roanne par une invraisemblable sortie de route en demi-finale de la « semaine désastre » contre Chalon (-40). Une évidence saute cependant aux yeux : les résultats récents du SLUC suivent fidèlement la courbe déclinante de son efficacité défensive. Alors que John Linehan et ses coéquipiers encaissaient 71 points en moyenne lors des onze premières journées de championnat, leur défense est nettement plus poreuse depuis sept rencontres (82,4 points encaissés). Un parcours qui n’est clairement pas digne d’un champion de France. La réaction le sera peut-être…

Thomas SIMON

est republicain
Basket-ball - Pro A Avant SLUC - Pau-Lacq-Orthez, demain (20 h) « J’aime ce que font l’ASVEL et Gravelines »
En retrait des affaires depuis 2008, Pierre Seillant, l’emblématique président de l’Elan Béarnais, garde un œil attentif sur le petit monde du basket français.





Pierre Seillant est resté président de l’Elan Béarnais pendant 41 saisons. Loin du stress de la gestion quotidienne d’un club, il peut savourer le basket « sans souci ». Photo d’archives PQR/Sud Ouest

Nancy. Du haut de ses soixante-douze ans (il les fêtera lundi), assis sur un palmarès épais comme le bottin des Pyrénées-Atlantiques (18 titres nationaux, près de 400 matches de coupes d’Europe en 41 ans de présidence de 1967 à 2008), Pierre Seillant contemple l’actualité du basket français. Celle de son club, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, dont il est président d’honneur, actionnaire et membre du conseil d’administration, mais aussi celle des voisins, des rivaux, de la Pro A, des coupes d’Europe… « Sans stress et sans souci », précise-t-il, « un poste tel que celui que j’ai occupé, c’est 80 % d’emmerdements et 20 % de satisfactions… »

Entretien avec l’emblématique « prési », retiré des affaires, mais toujours animé par la même passion.

Pierre Seillant, le stress des soirs de match, les responsabilités, tout cela ne vous manque pas trop ?

Au début, l’adrénaline me manquait un peu. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Après, on ne peut pas effacer toute une vie comme ça… Je me tiens au courant, je regarde les matches à la télé, je lis tout… Mais sans stress. La pression, c’est celui qui décide qui l’a sur les épaules. Aujourd’hui, je suis malheureux de ce qui se passe à L’Elan. La pente va être difficile à remonter.

Comment occupez-vous vos samedis soirs lorsque l’Elan joue à l’extérieur ?

Je regarde le rugby à la télé, tout en suivant le basket sur le site de la LNB.

Vous n’êtes donc pas fâché avec le rugby, qui vous a pourtant fait de l’ombre dans le Sud-Ouest ?

Pas du tout ! Vous savez, je suis un ancien rugbyman. En revanche, il est vrai qu’ici, le rugby nous a… siphonné. Au niveau des sponsors, c’est terrible. A Pau, nous avons douze équipes de rugby pros à moins de 150 kilomètres à la ronde. C’est une chose dont vous ne souffrez pas trop à Nancy…
« Le monde de l’éphémère »

L’Elan Béarnais reste la dernière équipe française à s’être qualifiée pour le top 16 de l’Euroligue (en 2007). Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Il y a vingt ans, quinze ans même, on pouvait encore rivaliser avec les meilleurs clubs européens. Nos meilleurs joueurs ne partaient pas en NBA, nous avions accès à un meilleur marché de joueurs américains… A Pau, nous avons parfois fonctionné avec un budget équivalent à 8,5 millions d’euros. Aujourd’hui, nos budgets n’ont cessé de reculer, les meilleurs clubs étrangers ont des sponsors que nous n’avons pas, nos salles sont petites. Quant à la télé, elle paye quatre millions d’euros pour le basket. Le rugby en touche trente et le foot trois cents millions (Ndlr : 600 millions, en réalité). Quant à L’Euroligue, elle se dirige vers un système totalement fermé au sein duquel nous n’aurons bientôt plus notre place. Je me battais contre ça lorsque j’étais au « board » de l’Euroligue.

Vous militiez également pour des finales de championnat de France en plusieurs manches…

Et cela me fait rire de voir que nous allons y revenir. Tant mieux. Je n’ai jamais été favorable à une finale sur un match sec.

Ne trouvez-vous pas que le championnat de France manque de ces rivalités, parfois exacerbées, qui en faisaient le sel à l’époque des Pau, Limoges et autre Villeurbanne ?

C’est évident ! Et la formule y contribue. Le champion n’est jamais le même. D’un côté, il y en a pour tout le monde. Mais cela empêche aussi les clubs de constituer une équipe solide dans la durée. Nous sommes un peu dans le monde de l’éphémère. C’est un peu l’époque qui veut ça. Sans vouloir philosopher, les mentalités ont changé. Nous faisons un peu du brillant et de l’artificiel. Les joueurs sont aussi beaucoup moins attachés aux clubs que par le passé.

Quelles sont les équipes de Pro A qui vous séduisent le plus ?

J’aime bien la volonté de l’ASVEL et de Gravelines de construire avec des joueurs français. Ce que fait Chalon me plaît bien également. Mais si ça marche, si les résultats sont au bout, ces clubs pourront-ils conserver leurs meilleurs joueurs ?

Propos recueillis par Thomas SIMON

républicain lorrain
Basket | pro a Pau change encore de tête
Adversaire du Sluc, demain soir, Pau-Lacq-Orthez a signifié hier son changement d’entraîneur.

Le Sluc Nancy est en souffrance actuellement mais il ne pourra pas se permettre de jouer les Cosette demain soir. Car son adversaire va bien plus mal que lui. L’Elan Béarnais a signifié hier, via un communiqué laconique, la démission « pour raisons personnelles » de son entraîneur Laurent Vila. Pour le remplacer, le club mise sur une solution interne, « jusqu’à la fin de saison ». Le technicien cède ainsi sa place sur le banc à Jean-François Laulhé, un membre du staff, qui sera assisté par l’ancien joueur américain Paul Henderson.

Cette « séparation d’un commun accord » ajoute aux tourments d’un monument du basket français qui doit à la fois composer avec ses remous internes et ses piètres performances sur le terrain. Vila est le deuxième entraîneur à quitter le navire béarnais cette saison. Avant lui, Didier Dobbels, l’homme du retour en Pro A, avait été limogé le 14 novembre pour des résultats insuffisants (une victoire, cinq défaites). Son remplaçant, qui était déjà une solution interne, avait alors insufflé un nouvel élan au club (quatre succès, huit revers) mais son bilan n’a pas suffi à extraire l’EBPLO de la zone de relégation.

A ce jour, seul Hyères-Toulon est dans un état plus critique. Lanterne rouge et condamné d’avance, le club varois voit la Pro A dans son ensemble marcher chaque week-end sur sa dépouille. Un cran au-dessus, Pau est à sa place, avec la deuxième pire attaque du championnat (75,5 points par match) et la deuxième pire défense (85,4 unités encaissées).
Attendu à Nancy

Conscient du désastre en cours, Didier Gadou, figure historique de l’Elan, avait déjà tiré la sonnette d’alarme fin janvier. Auprès de nos confrères de La République des Pyrénées, l’actuel directeur général s’était d’abord plaint de l’investissement de l’équipe : « Aujourd’hui, on affiche un déficit que je pensais pouvoir être comblé par l’envie. Or, quand on n’a même pas l’envie c’est un vrai problème. Elle est présente à tous les étages du club sauf sur le terrain. Je peux accepter des choses mais pas le manque de détermination. Quand c’est le cas, soit c’est de la bêtise soit c’est qu’on n’a pas envie ».

Gadou évoquait surtout le « sentiment de revivre un cauchemar » et « quatre mois de compétition sous pression ». La Pro B n’est pas loin en effet. Son souvenir immédiat ramène à l’année 2010, date du dernier titre de Pau (champion) dans l’antichambre de l’élite, mais c’est surtout la perspective d’y retourner qui agite les coulisses béarnaises. Paradoxalement, l’EBPLO restait sur une victoire en championnat (59-57 contre Dijon) avant le départ de Laurent Vila. Il n’est pas acquis que le changement de tête prolonge cette éclaircie. L’Elan risque même d’essuyer les foudres d’une équipe de Nancy qui cherchera elle-même à se rattraper après une campagne douloureuse aux As. Pour ajouter au pessimisme, on rappellera que Pau n’a épinglé aucun ténor cette saison et qu’il n’a gagné qu’une fois à l’extérieur…
Ch. J.

Bon ben c'est parti pour 5 victoires d'affiler....

Pau, Le Havre, Nanterre, Stras, Hyères

Du coup on sera tout euphorique du coup on se dira qu'en fait c'était pas utile de recruter et que le pick n roll et les shoots à 3pts c'est suffissant comme plan de jeu

Puis après on enchaine Cholet, Gravelines, Chalon et puis on dira qu'il nous manque un grand ailier mais ce sera trop tard et que cette équipe est pourrite


Après si on compte 2 défaites sur les 5 prochaines rencontres je pense que les esprits s'échaufferont avant les défaites face à Cholet, Gravelines, Chalon

Excellent

C'est tout à fait ca.

Citation :

Paco Laulhé: « Avec moi, ça ne marchera pas comme ça »

Le nouvel entraineur palois a mis les choses au clair avec le match face à Nancy.

En fin de semaine, Laurent Vila a remis sa démission et s’est immédiatement vu remplacer par Paco Laulhé. Actuellement quatorzième, mais à égalité avec le premier relégable, Le Havre, le nouvel entrainer palois sait qu’il va avoir fort à faire ce soir face à Nancy. Pourtant, comme le rapporte la République des Pyrénées, Laulhé compte jouer sur l’énergie et la solidarité pour revenir de Lorraine avec la victoire:

« On affiche un tel déficit dans la mise au point et dans la confiance, que dans notre situation il n’y a même pas à réfléchir contre qui on joue » s’exclama Paco Laulhé.

« le programme à venir(Orléans et Chalon, nldr) ne nous propose que des équipes dont la vitesse de croisière est Top 4, même si Nancy est un peu dans le chaos en ce moment. (…) Les mecs savent ce qu’ils ont à faire dans toutes les situations. On se pointe avec beaucoup de fébrilité que je compte compenser par de l’engagement, de l’énergie et de solidarité. »

Visiblement peu adepte de la langue de bois, le coach béarnais a aussi tenu à prévenir tout le monde:

« Quand un joueur s’agace, prévient Laulhé, il faut faire attention qu’il ne rentre pas pour faire ses stats au détriment de l’équipe. C’est un autre paramètre que je dois et vais pister. Dans mon idéal. » ajoute-t-il.

« Mon coaching va chasser le mec qui s’éloigne de l’expression collective. »

Les joueurs palois savent donc à quoi sen tenir. Hors de question de laisser quelqu’un jouer dans son coin, tout le monde devra apporter sa pierre à l’édifice. Comptant s’appuyer sur Teddy Gipson, tout bonnement exceptionnel depuis le début de la saison, Jean-François Laulhé ne laissera pas son joueur se bruler les ailes en voulant trop porter son équipe à bout de bras:

« Si on marche, c’est parce que Teddy Gipson doit d’abord défendre, puis monter la balle par le dribble, car on est nul en progression collective par la passe. Déjà là, il se crame. Au bout d’un moment, soit il retrouve la balle, soit il doit tenter un exploit. Ensuite, il faut qu’il se replie et défende de nouveau. Sauf que Teddy ne peut pas soutenir un tel rythme 40 minutes. Avec moi, ça ne marchera pas comme ça. »

L’électrochoc a-t-il déjà eu lieu ? Réponse dès ce soir.

www.basketactu.com

Equipe en crise, changement de coach ; tous les éléments sont réunis pour se rassurer. Y'a plus qu'à...

Apparemment, dans L'Équipe du jour, JLM a fait des déclarations qui font rire pas mal de monde sur la toile...

Je ne vais pas retaper l'intégralité de l'article de Y.Ohnona.

Je pense que les phrases en question, ce sont:
_ "Je me fous de l'écart. une fois le match perdu, cela ne change rien. C'était ma responsabilité de sortir les blessés. Je réfléchis au prochain match. J'ai coaché comme Greg Popovich." En fasant référence au match de San Antonio mardi dernier ou Pop laissa au repos T.P. et Duncan pour finir avec une défaite de 40 points contre Portland.
_ "En ProA, deux de nos dernières défaites sont dues à des erreurs d'arbitrage, plaide Monschau. sans ça, nous serions deuxième, et là, votre analyse et vos questions seraient bien différentes..."

Bon, la comparaison n'est pas heureuse, entre autres vu la différence de gestion nécessaire entre des clubs de NBA jouant à un rythme infernal cette saison et un club français au match hebdomadaire.
Mais, sur le fond, je suis un peu d'accord avec JLM. J'ai un peu de mal à comprendre le focus sur l'écart de 40 points à la fin de Chalon-Sluc dans les articles partout dans la presse cette semaine, plutôt que de se concentrer sur notre fond de jeu actuel qui est vraiment moisi, que ce soit lors d'une taule contre Chalon ou d'une victoire à l'arrache contre Cholet.
Ce que je n'aime pas en ce moment, c'est qu'on joue mal, que le jeu d'équipe est déséquilibré, que des guéguerres de pouvoir internes semblent plomber l'environnement du club, etc.
Par contre, qu'on en prenne -34 soit moins que le "record" ou -40 ou -42 ou -48 face à Chalon, une fois que les joueurs ont lâché l'affaire, vu qu'il n'y a pas de panier-average ni de ratio attaque/défense au bout, je m'en contrebalance un peu. Ce qui me gêne, c'est qu'à [-12;-20], ça ai accepté de lâcher la match dans certaines têtes.


Sinon, dans l'article, y a des choses qui me réjouissent nettement moins
-> dans la catégorie ambiance nauséabonde autour du club, ça continue; [...] Mais en coulisses, l'hypothèse d'un changement est discutée, même si elle ne venait à se réaliser que l'année prochaine. Le nom de JDC pour remplacer JLM circule et le bisontin s'est dit intéressé si le poste venait à se libérer. "C'est n'importe quoi" s'enflamme JLM. "Il n'y a pas de fumée sans feu" répond un proche du club qui souhaite garder l'anonymat.
-> dans un contexte où le maire de Cholet rappelait par exemple récemment que chez lui on mettait 800 000€ sur la table de subbvention, chez nous le temps des vaches maigres sont annoncés alors qu'on bloque déjà l'argent de tout les côtés (provisions reprises sur la prime EL pour recapitaliser, salaire Batum->King diminué, un salaire en moins depuis départ de Badiane = Ou est l'argent Mr Pst / Mrs CA???): "Les fonds de la collectivité vont baisser, ajoute Dufraisse. il faudra utiliser les jeunes et franchir un palier dans l'organisation. Nancy est une ville adaptée. Il y a des ressources à aller chercher, ce qu'on a pas su faire par le passé. Nous sommes faibles au niveau marketing."

Enfin, le truc qui me gonfle le plus:
-> Conseil de surveillance présidé par André Webber, homme dont le nom est souvent cité dans les scénarios dressant l'avenir du club lorrain. Mais qui n'a pas souhaité répondre à nos question.
D'un côté, un clan qui ne communique que quand ça l'arrange ou presque: rectifier les propos sur la prétendue dernière participation à la SDA, c'est fait dès le lendemain; éclaircir un minimum les intentions d'ajouter un nouveau joueur et quelles sont les contraintes qui nous en empêchent, on attend depuis 2 mois sans se faire balader de la part du duo JLM-Fra
De l'autre côté, un C.A. autiste qui tient la destinée du club, qui demande à ce qu'on rende des compte sur le fonctionnement du club ("On n'a pas les coudées franches" avoue Fra, qui doit rendre des comptes tous les mois au C.A.) mais qui lui n'en rend jamais vers l'extérieur.
En même temps, quel sponsor irait s'engager dans une structure avec une telle opacité de fonctionnement.

Voici l'article dans son intégralité:

Nancy, visage pâle

La mauvaise passe traversée actuellement par le Champion en titre le pousse à s'interroger sur son avenir.

"UNE SAISON est faite de cycles." Les mots sont de Jean-Luc Monschau, le coach de Nancy, et servent à expliquer la mauvaise passe relative (4ème de Pro A) que traverse son club actuellement. Mais depuis la défaite retentissante du champion en titre en demi-finales des As (66-106) contre Chalon et une autre phrase (mal interprétée?) de Monschau- "C'est peut-être ma dernière semaine des As" c'est le club lorrain entier qui a entamé une réflexion profonde sur son avenir. A commencer par le sort du duo historique Monschau (entraîneur) - Christian Fra (Président), qui l'a mené en huit ans à deux titres de champion (2008, 2011, plus trois finales) et une semaine des As (2005).

UN CHAMPION EN SOUFFRANCE
Après des débuts flamboyants (12 victoires en 13 matches, en course en Euroligue) et illuminés par les prouesses de Nicolas Batum, depuis reparti à Portland, Nancy marque le pas. Personne n'a remplacé l’ailier, l'expérience Kenny Gregory ayant tourné court et l'arrivée de Bernard King depuis le 5 janvier ne comblant que partiellement le vide. Le champion en titre reste sur 4 défaites en 5 matches en Pro A. Et aux As, le Sluc a fait pâle figure: victoire étriquée contre Cholet (78-74) puis impuissance criante contre Chalon (66-106), plus terrible déroute de son histoire en Pro A. Jean-Luc Monschau, entraîneur pragmatique, souligne que son effectif était décimé. Linehan, Moerman, Ackingbala blessés et compare son coaching à celui de... l'entraîneur de San Antonio, qui mardi dernier laissa au repos Tony Parker et Tim Duncan, son équipe s'inclinant de 40 points à Portland: "je me fous de l'écart. Une fois le match perdu, cela ne change rien. C'était ma responsabilité de sortir les blessés. Je réfléchis au prochain match. J'ai coaché comme Gregg Popovich." Plus que l'écart, c'est surtout le manque d'envie et la lassitude affichés par l'équipe qui ont marqué. "En Pro A, deux de nos dernières défaites sont dues à des erreurs d'arbitrage, plaide Monschau. Sans ça, nous serions deuxièmes et là, votre analyse et vos questions seraient bien différentes..."

UN DUO REMIS EN CAUSE
"C'est peut-être ma dernière semaine des As." Tout est parti de cette phrase de Jean-Luc Monschau aptès la défaite aux As. "La phrase a été sortie de son contexte, clame l'entraîneur. J'entendais qu'il est dur de se qualifier et que cela pouvait être la dernière fois. Partir à la fin de l'année serait farfelu." Il n'empêche. Jean-Luc Monschau ayant toujours manié les chiffres et les mots de manière méticuleuse, beaucoup ont lu dans cette sortie, au choix: une manière de dire qu'il considérait un départ anticipé ou un message aux collectivités qui dotent le club chaque année, alors que la masse salariale de la saison prochaine est annoncée en baisse.
Le contexte sportif et financier peut-il accélérer le départ du duo qui cornaque avec succès les destinées de Nancy depuis huit ans? "Ce sont des affabulations" assure le président Fra. Les deux hommes, qui depuis leur arrivée ont toujours lié leur destinées, ont encore un an de contrat. Mais, en coulisses, l'hypothèse d'un changement est discutée, même si elle ne venait à se réaliser qu'au terme de la saison prochaine. Le nom de Jean-Denis Choulet pour remplacer Monschau circule et le Bisontin s'est dit intéressé si le poste venait à se libérer. "C'est n'importe quoi" s'enflamme Monschau. "Il n'y a pas de fumée sans feu" répond un proche du club qui a souhaité garder l'anonymat.

UN CLUB EN EAUX STAGNANTES
Ses deux participations à l'Euroligue en quatre ans, son public fidèle, son ancrage dans la région auraient pu (dû?) faire de Nancy la locomotive qui fait tant défaut au basket français depuis le tournant des années 2000. Au lieu de ça, le club donne l'impression d'avoir stagné. "Au niveau des structures, on a du mal à passer de l'associatif au club professionnel" explique Michel Dufraisse, vice-président de la communauté urbaine délégué au sport professionnel.
"Les fonds des collectivités vont baisser, ajoute-t-il. Il faudra utiliser les jeunes et franchir un palier dans l'organisation. Nancy est une ville adaptée. Il y a des ressources à aller chercher. Ce qu'on a pas su faire par le passé. Nous sommes faibles au niveau marketing" analyse t-il. Exemple: le club n'a pas su capitaliser la présence de Nicolas Batum en attirant un sponsor national. 155 maillots d e la star ont été vendus au total. Et les droits TV de l'Euroligue (environ 600 000 euros) au lieu d'aider à renforcer un effectif dégarni, neuf pros aujourd'hui, ont servi à renflouer les caisses du club.
"On a pas les coudées franches" avoue Fra, qui doit rendre des comptes tous les mois au conseil de surveillance présidé par André Weber, homme dont le nom est souvent cité dans les scénarios dressant l'avenir du club lorrain. Mais qui n'a pas souhaité répondre à nos questions.

Yann Ohnona (avec Ar.L.)
L'Equipe du 25/02/2012

Première pour Laulhé

Même si Jean Luc Monschau continue de déclarer qu'il cherche toujours un joueur intérieur avant la date limite du 29 février, il n'y aura pas de nouveau visage ce soir à Gentilly. Le Sluc, qui reste sur 5 défaites sur ses 7 derniers matches, toutes compétitions confondues, a ménagé A. Moerman (entorse à la semaine des As). l'Ailier fort du Sluc va tenir sa place. C'est une série de 3 matches face à des équipes que l'Elan Béarnais relégable, débute ce soir à Nancy pour les premiers pas de Jean-François "Paco" Laulhé en qualité d'entraîneur principal. Assistant auprès du groupe professionnel depuis plus de 4 ans, cet Orthézien de naissance a été promu après le renoncement de Laurent Vila intervenu dans la semaine. Il devra se passer en Lorraine des services du jeune intérieur Tanguy Ramassamy a nouveau en délicatesse avec un genou, mais aussi de Florian Lesca, touché au dos. Par ailleurs, sans être forfait, Claude Marquis souffre d'un mollet.

G. Gai et G. Cay
L'Equipe du 25/02/2012

Tchi se prend pour Lakovic,JLM pour Popovich et ben!!!

Citation :

"je me fous de l'écart. Une fois le match perdu, cela ne change rien. C'était ma responsabilité de sortir les blessés. Je réfléchis au prochain match. J'ai coaché comme Gregg Popovich."

Il a juste dit qu'une fois le match perdu, il avait fait rentrer les remplaçants puis les jeunes en tout fin de match. Akingbala n'a joué que 14 minutes notamment. Il n'a pas dit qu'il avait fait une croix sur le match comme Popovich mais qu'il avait coaché comme lui. A savoir, économiser les pros une fois le match perdu.

Monschau a balancé des conneries ces derniers temps mais vouloir à tout prix en trouver dans chacune de ses interviews, c'est gonflant.

Visiblement on est comme qui dirait en "Campagne" pour remplacer FRA-JLM... les sortants

Donc tous les coups (même les plus tordus) sont à prévoir !

"Visiblement"... Il est bien là le problème, beaucoup de rumeurs, aucun nom cité.

ça va rager sur C&S, basketactu et cie

A-Sir a écrit:

Citation :

"je me fous de l'écart. Une fois le match perdu, cela ne change rien. C'était ma responsabilité de sortir les blessés. Je réfléchis au prochain match. J'ai coaché comme Gregg Popovich."

Il a juste dit qu'une fois le match perdu, il avait fait rentrer les remplaçants puis les jeunes en tout fin de match. Akingbala n'a joué que 14 minutes notamment. Il n'a pas dit qu'il avait fait une croix sur le match comme Popovich mais qu'il avait coaché comme lui. A savoir, économiser les pros une fois le match perdu.

Monschau a balancé des conneries ces derniers temps mais vouloir à tout prix en trouver dans chacune de ses interviews, c'est gonflant.

Econimiser les pros une fois le match perdu !! Les economiser en vue de quoi?? Et les spectateurs ,téléspectateurs,les supporters ,l' adversaire? Et on envoie au casse-pipe les jeunes pour "proteger" ceux qui ont merdé tout le match!!

van morrison a écrit:

A-Sir a écrit:

Citation :

"je me fous de l'écart. Une fois le match perdu, cela ne change rien. C'était ma responsabilité de sortir les blessés. Je réfléchis au prochain match. J'ai coaché comme Gregg Popovich."

Il a juste dit qu'une fois le match perdu, il avait fait rentrer les remplaçants puis les jeunes en tout fin de match. Akingbala n'a joué que 14 minutes notamment. Il n'a pas dit qu'il avait fait une croix sur le match comme Popovich mais qu'il avait coaché comme lui. A savoir, économiser les pros une fois le match perdu.

Monschau a balancé des conneries ces derniers temps mais vouloir à tout prix en trouver dans chacune de ses interviews, c'est gonflant.

Econimiser les pros une fois le match perdu !! Les economiser en vue de quoi?? Et les spectateurs ,téléspectateurs,les supporters ,l' adversaire? Et on envoie au casse-pipe les jeunes pour "proteger" ceux qui ont merdé tout le match!!

Risque de blessure. Linehan n'est pas tout jeune en plus, Akingbala s'use rapidement aussi.

Le MSB combien de points de retard hier ?? Heureusement qu ils n ont pas laché eux!!Fallait les préserver contre Cholet a ce moment ,cela aurait eu le merite d 'etre plus cohérent.

Nous en avons pris -40 car JLM a été incapable au moment ou le bateau prenait l 'eau de trouver les mots et les solutions justes pour changer le court du match.

Mais ,pour toi les mots de JLM sont paroles d 'évangile.

van morrison a écrit:

Mais ,pour toi les mots de JLM sont paroles d 'évangile.

Et pour toi, elles ne valent pas mieux que celles d'un clochard aviné. Comme quoi dans l'exagération, certains feraient mieux de balayer la m**** devant leur porte.

Quel intérêt de se lancer à corps perdu dans un match où l'on s'est fait manifestement croquer dans tous les domaines, et surtout, dans une compétition à l'intérêt plus que limité ? Dans un match de championnat, je ne dis pas mais là... Qui plus est, il me semble avoir lu certaines critiques qui disaient que les jeunes auraient dû rentrer plus tôt en jeu vu le déroulement du match. Ce qui n'est pas foncièrement faux d'ailleurs.

Bon papier. Michel Dufraisse continue de dire ce qu'on crie ici depuis de longs mois. 155 maillots de Batum vendus, si c'est pas ridicule...
Pour les sous que le CA bloque, ça me semble évident que c'est (notamment) pour payer la dernière année de contrat de JLM.

Si il fallait donner une lecon "a certains sénateurs" ,valait mieux les laisser sur le parquet et se rendre ridicule jusqu"au bout,mettre les jeunes n 'a servi ni aux uns ni aux autres.

Si JLM,veut marquer le coup envers certains il peut le faire ce soir en les laissant sur le banc d 'entrée.

Moerman,Samnick,Amagou voir King ne méritent pas mieux actuellement!