[PROA J5] SLUC Nancy bat JDA Dijon 90 (43) à 59 (29)

manu5494 a écrit:

Corpus Christi a écrit:

ET puis bon vous avez la mémoire courte parfois... vous vouliez virer Branko, vous vouliez virer Tapiro... Dan ses premiers match ont pas été torrides non plus....

tout à fait

sans oublier Green qui était sur la selette les 2 premiers mois et Linehan que personne ne voulait
çà doit venir du poste de meneur ...

Faut pas non plus comparer à tout va tous les meneurs qu'on a eu au SLUC. Ils n'ont pas tous le meme talent, potentiel ou CV.

Tapiro, Branko...Faut arrêter, vu le pédigree de ces deux gaillards on se doutait bien qu'il seraient forts tot (Branko) ou tard (Tapiro). Idem pour Green.

Personnellement j'ai toujours défendu corps et âme Tapiro, Mili et Green, qui auraient effectivement été virés par pas mal de forumeurs (je pense surtout à Marques). Mili, pareil, on le disait trop individualiste...Une fois son contrat signé il nous a emmené en finale.
Y'a guère que Linehan qui n'était pas convaincant, tout simplemetn car il n'avait pas le talent nécessaire pour driver une équipe. Amagou j'avais des doutes, plus ou moins dissipés pour l'instant, meme s'il ne sera jamais un bon gestionnaire je pense. Dowdell a un fort potentiel de scoring également, mais je ne trouve pas chez lui non plus le coup d'oeil, la qualité de passe innée qu'on pouvait voir chez un Tapiro ou un Green...

Voici les news d'aujourd'hui trouvées sur Basket Info :

JC a écrit:

Articles payants du 25/10/07
Au bonheur des fonceurs

Reçu quatre sur quatre depuis le début du championnat, le SLUC sait que la route est encore longue. Mais l'examen du passé le confirme, les équipes qui démarrent fort terminent souvent aux premières loges...

NANCY. La fameuse fable du lièvre et de la tortue a toujours la cote en sport. Quelle que soit la discipline, il se trouvera toujours un entraîneur, des joueurs ou des dirigeants pour répéter inlassablement que démarrer sur les chapeaux de roue n'a aucune importance si c'est pour se retrouver le bec dans l'eau à l'heure des comptes.

Alors, du côté de Gentilly, le SLUC savoure ce sans-faute de début de saison, ces quatre succès en quatre journées de championnat. Mais les Nancéiens se garderont bien pour autant de bomber le torse plus que de raison. Eh oui, la saison régulière, elle dure trente journées... « C'est significatif d'un bon début de saison. Point final » commente simplement Jean-Luc Monschau.

Evidemment, la route est encore longue, et jonchée d'embûches. Mais puisque le basket est un sport de chiffres, il est intéressant de remarquer qu'un tel début de championnat est finalement assez moins anodin qu'il n'y paraît. En jetant un regard dans le rétroviseur des dix dernières saisons, on se rend ainsi compte que les équipes ayant débuté par quatre succès en quatre matches ont souvent réussi de bons parcours par la suite (voir infographie).


Six fois en pole

Hormis Bourg-en-Bresse (en 2005/2006) et Vichy (2002/2003), les dix-neuf formations ayant été reçues « quatre sur quatre » auparavant ont toutes intégré le grand huit des play-offs.

Mieux, six fois depuis dix ans, une équipe ayant démarré le championnat sur les chapeaux de roue s'est retrouvée tout en haut de l'affiche quelques mois plus tard à la fin de la saison régulière. Pau-Orthez (98/99, 01/02, 02/03), l'ASVEL (97/98, 00/01) et Le Mans (03/04) avaient ainsi parfaitement su faire fructifier leur capital au fil des matches. Pour l'anecdote, Villeurbanne avait même écrasé toute la première partie de saison 2000/2001 en remportant ses... quinze premiers matches.

Sur les dix dernières années, on constate également que les équipes ayant réussi un sans-faute après quatre journées ont terminé en moyenne à la quatrième place finale. On le voit, les stats sont assez encourageantes. Oh, elles n'offrent aucune garantie (souvenez-vous Bourg et Vichy... ), et les bons parcours peuvent parfois être nuancés par des calendriers favorables.

Reste tout de même que le SLUC, à qui on ne pourra pas dire qu'il a bénéficié d'un calendrier aux petits oignons (avec notamment un déplacement à Chalon et la réception de cette vieille connaissance strasbourgeoise... ), se retrouve aujourd'hui dans une situation enviable. « C'est sûr que je préfère être dans notre situation que dans celle de Strasbourg par exemple pour parler de notre dernier adversaire (NDLR : la SIG a perdu ses quatre premiers matches) » lâche Jean-Luc Monschau, « c'est bien d'engranger des succès avant de rentrer dans le rythme de deux matches par semaine ».

C'est bien connu, la coupe d'Europe, qui débute dès ce soir pour Le Mans et Roanne en Euroligue, est une essoreuse qui pompe les énergies et nivelle les valeurs par rapport à ceux qui ne la disputent pas. Alors, ce qui est pris...



Anthony GUILLE
www.Estrepublicain.fr

JC a écrit:

Bauer et Samnick ménagés

INFIRMERIE. Toujours pas d'entraînement au grand complet pour le SLUC Nancy. Si DJ Harrison, touché aux adducteurs la semaine dernière, a effectué son retour hier tout comme Ricardo Greer, laissé au repos deux jours pour soigner une cheville douloureuse, le club nancéien a dû se passer des services de Mike Bauer et Victor Samnick. Le premier se plaint d'une douleur au tendon d'Achille alors que le second souffre de l'aine depuis quelques jours. Mais ces petits bobos ne remettent pas en cause leur participation au match de samedi.

MBAYE. Touché à la cuisse il y a une dizaine de jours face à Villeurbanne, Abdoulaye Mbaye a repris l'entraînement en début de semaine. Le jeune arrière (pas encore 19 ans) devrait être bon pour le service face au SLUC.

JOKER. Victime d'une élongation aux adducteurs, Ali Bouziane pensait être éloigné des parquets pendant deux semaines, mais la durée de son indisponibilité a finalement été fixée à six semaines. Du coup, le staff bourguignon s'est mis en quête d'un joker médical. La JDA prospecte mais il attendra très certainement la semaine prochaine pour arrêter son choix.



www.Estrepublicain.fr

Merci JC
(Il manque un tableau )

JC....merci

On a ce qu'on mérite »
Les difficultés de Dijon, sa mission sur l'avenir de l'équipe de France... Laurent Sciarra n'a pas sa langue dans sa poche quand il s'agit de parler de la balle orange. Décapant.

NANCY. _ Laurent Sciarra ronge son frein. Blessé à la cuisse gauche au début du mois, le meneur dijonnais espère revenir fin novembre à la fin de la pige médicale de Jason Rowe. En attendant de reprendre l'entraînement individuel la semaine prochaine, l'ancien meneur international porte un regard sans concession sur le début de saison galère de Dijon mais aussi l'équipe de France. Nommé il y a quelques jours dans une commission d'experts chargée de réfléchir à l'avenir de la maison bleue, le Niçois estime qu'il y a du boulot. Entretien vérité.
- Laurent Sciarra, quel regard portez-vous sur le début de saison de la JDA Dijon ?
- Evidemment, ce n'est pas un départ idéal. Mais on a eu une préparation perturbée avec des blessés, pas l'équipe-type dès le début, et on a récupéré des joueurs de qualité mais hors de forme. Et puis, le championnat est bizarrement fait avec des équipes annoncées fortes qui le sont, d'autres moins, et certaines qu'on n'attendait peut-être pas comme Vichy et Cholet et qui embêtent tout le monde...
- Yann Boisson, le manager du club, dit dans ''Basketnews'' que le club traverse une situation de crise financière et sportive. Qu'en pensez-vous ?
- Je ne veux pas parler de l'aspect financier car je ne suis pas dirigeant. Mais sportivement, cela nous pendait au nez depuis un moment.


« Si on ne change pas un ou deux joueurs... »

- Cela veut dire que les soucis remontent à avant le début de saison ?
- Oui, il y avait déjà des signes. Quand on change pratiquement vingt joueurs comme cela a été le cas il y a deux ans, cela coûte rarement zéro euro. Il y a ça qui traîne, le fait aussi qu'il y a des joueurs qui sont sous contrat mais qui sont en arrêt maladie (NDLR : TJ Lux), quelques mauvais choix de casting qu'on paie... Alors, c'est sûr qu'au bout d'un moment, on doit être un peu ric-rac.
- Sur le plan sportif, vous pensez que Dijon se prépare à une saison galère ?
- Si on ne change pas un ou deux joueurs, je pense que oui. Ajoutez un nouveau coach qui arrive avec de nouvelles idées, plus quelques problèmes internes à l'équipe, et voilà, on se retrouve vite à zéro - quatre. Et avec Nancy puis Roanne à jouer, on peut se retrouver à 0-6. Mais il ne faut pas se chercher d'excuse. On a ce qu'on mérite. Maintenant, cela me ferait vraiment mal aux fesses que le coach paie les pots cassés alors qu'on n'a pas fait ce qu'il faut depuis un moment.
- Contre le SLUC, Dijon aura une grosse cote ?
- Cela reste un match de basket. Il faut toujours partir gagnant. Mais Nancy a une équipe de grande qualité, qui joue un basket largement au dessus pour notre championnat.
- L'autre actualité vous concernant, c'est votre nomination dans une commission d'experts chargée de réfléchir à l'avenir de l'équipe de France. Surpris ?
- Oui. mais cela ne m'empêche pas de dormir. Cela fait plaisir et j'irai dire ce que j'ai à dire.


« Le basket français ne va pas bien »

- Quelle analyse vous faites du fiasco de l'équipe de France à l'Euro ?
- Je l'ai déjà dit, quand on se prive de garçons comme Cyril Julian, Mickaël Gelabale, Maxime Zianveni, quand on se prive aussi d'Aymeric Jeanneau qui apparemment n'avait pas grand-chose mais est rentré quand même en France... Cela me fait mal qu'on se passe d'un gars comme Cyril Julian. Je ne dis pas parce que c'est un pote. Il est comme il est, le ''Juju'', mais c'est un sacré joueur. Pareil pour Maxime Zianveni. On est fan ou pas, mais mince, au niveau physique, basket... Cela me fait ch... pour les joueurs qui ne feront pas les Jeux et qui devront passer par des qualifs pour l'Euro.
- C'est un nouveau coup dur pour le basket français...
- Mais le basket français ne va pas bien, et depuis un moment déjà ! Ce n'est pas parce que la fédération fait soi-disant un lobby sur le basket qu'il faut croire que le basket français va bien. On a une Ligue faible, un syndicat des joueurs très peu représenté... On a ce qu'on mérite. On se plaint du fait que le rugby nous a supplantés, que le hand, le volley nous menacent. Mais c'est normal ! On n'a jamais fait ce qu'il fallait.
- Vous pensez qu'il faut changer de coach en équipe de France ?
- ça, je ne vous le dis pas. Il faut venir à la commission. Changer de coach, c'est facile. Peut-être que Claude Bergeaud, il faut l'aider, qu'il écoute, entende ce qu'on lui dit...
- On a le sentiment que, après la médaille d'argent de Sydney, le basket tricolore a raté pas mal de rendez-vous...
- Mais pourquoi ? Parce qu'il y a sans arrêt une guerre entre la Ligue et la Fédération. Des gens ont préféré prêcher pour leur paroisse et défendre leurs intérêts et ceux de leurs clubs que défendre ceux du basket. Chacun a dû bien s'encanailler, s'enrichir. Ces clubs ont dû faire des résultats, mais depuis quelques années, on n'a plus de résultats. Avec l'ouverture des frontières, les quatre Américains, les Bosman, les Cotonou... les joueurs français se plaignent parce qu'il n'y a pas d'argent mais c'est bien fait pour nous, car on n'a pas su relever les manches quand il le fallait.
- C'est un discours assez pessimiste...
- Mais je vais quand même pas être heureux parce qu'on va faire les qualifs à l'Euro, qu'on va faire venir comme en 2004 les joueurs évoluant en Pro A ou dans les championnats étrangers avant de leur dire l'année d'après ''Coco, tu peux partir en vacances, on fait venir les pseudo-stars NBA''. Cela ne va quand même pas m'enchanter ! Je ne vais pas dire que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, alors que ça fait 18 ans que je suis dans le milieu et que cela n'a pas changé d'un iota. On me fait venir à la commission. Je vais dire ce qui me paraît logique. Je ne sais pas si les choses peuvent bouger. Mais au moins, on pourra discuter et essayer de trouver non pas des solutions car il ne faut pas prendre pour ce qu'on n'est pas, mais au moins des adaptations.

Propos recueillis par Anthony GUILLE
est republicain

Vestiaires
Samnick toujours absent

• INFIRMERIE. Si le SLUC espérait que son infirmerie se vide complètement hier, c'est raté. Ménagé mercredi pour soigner un tendon d'Achille douloureux, Mike Bauer a certes repris l'entrainement sans ressentir de gène, mais Victor Samnick manquait toujours à l'appel. Se plaignant depuis quelques jours d'une douleur à l'aine, l'ailier fort nancéien espérait pouvoir reprendre le collier hier, mais la douleur toujours présente a poussé le staff médical à le laisser encore aux soins. Samnick effectuera un nouvel essai ce matin lors de l'unique séance du jour des Nancéiens. Si celui-ci s'avérait négatif, un gros point d'interrogation planerait sur la participation du joueur au match de demain.
• PAU. La location pour SLUC - Pau-Orthez le vendredi 2 novembre (20h) débute lundi au siège du club. Comme il s'agit d'un match de gala, les tarifs s'échelonneront de 8 à 25 euros ou de 8 à 22 euros pour les personnes bénéficiant d'un tarif réduit (enfants de 4 à 16 ans, lycéens, étudiants, licenciés basket, personnes sans emploi).
• KHIMKI. Premier adversaire du SLUC le 6 novembre en coupe ULEB, Khimki Moscou a comme les Nancéiens remporté ses quatre premiers matches de la saison dans le championnat russe. Ce week-end, les Moscovites ont été s'imposer sur le parquet de Unics Kazan (78-75) où évolue un certain Tariq Kirksay. Auteur d'un gros match (15 pts, 13 rebonds), l'ancien capitaine nancéien se fera certainement un plaisir de tuyauter le SLUC...

est republicain

Merci bacou

Ah et bien voilà un joli match de notre Tariq national... Ca fait plaisir à lire (Merci Bacou pour ces articles).

Quant aux propos de SCiarra.... A titre personnel, et même si on pourra toujours pallabrer sur sa gouaille, je pense qu'on aurait avec lui un vrai défenseur du basket français. Foutez nous un Lolo Sciarra à la tête de la balle orange française que diable...

Merci Bacou.

Comme c'est agréable de lire les propos d'un Sciarra qui pense à peu près ce que l'on pense,vu de ce pays lointain pour nos dirigeants qu'est la ProA, et qu'on entend si rarement de la part de quelqu'un qui a une représentativité quelconque dans les instances du basket français.
Bon après, il faut pas rêver, il a beau avoir de la gouaille, savoir remuer dans les brancards, il va vite se sentir seul, très seul dans ce joli monde sans doute...

sacré lolo, ce qui est super avec un gars comme ça c'est qu'il a pas la langue dans sa poche. Il a toujours de super propos et il est toujours franc!!!

Rasheed Wallace a écrit:

Y'a guère que Linehan qui n'était pas convaincant, tout simplemetn car il n'avait pas le talent nécessaire pour driver une équipe. Amagou j'avais des doutes, plus ou moins dissipés pour l'instant, meme s'il ne sera jamais un bon gestionnaire je pense. Dowdell a un fort potentiel de scoring également, mais je ne trouve pas chez lui non plus le coup d'oeil, la qualité de passe innée qu'on pouvait voir chez un Tapiro ou un Green...

Que John Linehan soit moins brillant que Tapiro, Branko ou Green j'en convient aisément. Si John n'a pas flambé la saison dernière, l'équipe s'est quand même pas mal comportée jusqu'à sa blessure contre Roanne. Ce n'était encore que le début de saison (ou peu après) et on ne peut pas savoir ce que ca aurait donné sur toute une saison.
Mais on sait que les meneurs ont tendance à se bonifier tout au long d'une saison avec JLM. C'était le cas clairement pour Tapiro et Green alors je pense que ca aurait pu donner aussi avec Linehan, qui était offensivement à des années de ces deux-là, mais qui apportait autre chose...
Bref avec les deux jeunes meneurs que tient JLM, on ne peut être qu'optimiste sur l'évolution de Dowdell et Amagou, dont le potentiel est évident. D'ailleurs Amagou, que je n'ai pas encore vu jouer beaucoup à la mène du SLUC, m'a fait penser au Jo Gomis de 2001-2002 à Nancy : rapide, percutant, shooteur et bon sur l'homme en défense.

Amagou, y'a de quoi être plus sceptique, pour la bonne raison qu'il a eu un cocon idéal pour progresser au Mans (avec un coach hyper-pédagogue comme Collet) et au final il n'a que peu progressé depuis 2004. Mais il semble revivre à Nancy...

Dowdell a clairement un potentiel monstrueux, de part ses qualités offensives et son volume physique. Je pense comme toi qu'il sera bien meilleur lorsque ça comptera (fin de saison, PO), à la manière d'un M. Green.

Rasheed Wallace a écrit:

Amagou, y'a de quoi être plus sceptique, pour la bonne raison qu'il a eu un cocon idéal pour progresser au Mans (avec un coach hyper-pédagogue comme Collet) et au final il n'a que peu progressé depuis 2004. Mais il semble revivre à Nancy...

Dowdell a clairement un potentiel monstrueux, de part ses qualités offensives et son volume physique. Je pense comme toi qu'il sera bien meilleur lorsque ça comptera (fin de saison, PO), à la manière d'un M. Green.

oui mais si amagou n'a pas reussi a franchir un palier c'est aussi lié au coaching de vincent collet qui le trimballait aux 2 postes arrières et a la volonté NBA de bokolo... d'ailleurs ça se sent qu'a nancy il arrivera a franchir un palier

Rasheed Wallace a écrit:

Amagou, y'a de quoi être plus sceptique, pour la bonne raison qu'il a eu un cocon idéal pour progresser au Mans (avec un coach hyper-pédagogue comme Collet) et au final il n'a que peu progressé depuis 2004. Mais il semble revivre à Nancy...

Dowdell a clairement un potentiel monstrueux, de part ses qualités offensives et son volume physique. Je pense comme toi qu'il sera bien meilleur lorsque ça comptera (fin de saison, PO), à la manière d'un M. Green.

Etre dans un cocon, dans le même environnement, n'était pas automatiquement une bonne chose. Le fait de changer d'air, de changer de style de jeu aussi, c'est très important. Et puis valait mieux qu'il quitte Le Mans maintenant, plutôt qu'à 28 ans. En tous cas, le duo Amagou/Dowdell est très complémentaire, et c'est très bien. Ca promet.

Ouais après 5 ans au Mans ça devenait pesant, mais Amagou pour moi n'a que très très peu progressé en tout sur les années qu'il a passées au MSB. Il était aussi fort en 2003, stats à l'appui (allez voir sur sluc-basket.org les résultats de cette saison, il y faisait déjà les memes matches). L'histoire des postes joue un peu mais bon, dans l'absolu Amagou n'a pas progressé comme il aurait dû. Bokolo a lui eu un gros boom dans sa progression, puis il stagne à nouveau depuis 2005-2006, en gros.

Rasheed Wallace a écrit:

Ouais après 5 ans au Mans ça devenait pesant, mais Amagou pour moi n'a que très très peu progressé en tout sur les années qu'il a passées au MSB. Il était aussi fort en 2003, stats à l'appui (allez voir sur sluc-basket.org les résultats de cette saison, il y faisait déjà les memes matches). L'histoire des postes joue un peu mais bon, dans l'absolu Amagou n'a pas progressé comme il aurait dû. Bokolo a lui eu un gros boom dans sa progression, puis il stagne à nouveau depuis 2005-2006, en gros.

Amagou va enfin débuter sa progression sous nos couleurs....vous verrez!

Une révolte à réprimer


Comme Strasbourg la semaine dernière, Dijon est mal en point (s). Mais cette équipe bourguignonne n'en est que plus dangereuse. Gare à la réaction d'orgueil !

NANCY. - Une équipe du SLUC invaincue et qui caracole en tête du championnat face à une formation qui court toujours après son premier succès et traîne ses doutes comme un boulet. Cela vous rappelle quelque chose ? Evidemment, il y a pas mal de similitudes entre le Dijon - SLUC de ce soir et le SLUC - Strasbourg de vendredi dernier. Comme la SIG, la JDA Dijon est toujours ''fanny'' après quatre journées de championnat, comme la SIG, elle a payé cash quelques erreurs de casting, comme la SIG, elle a décrété l'état d'urgence pour sortir de l'ornière.
Le SLUC le sait, c'est une bête blessée qu'il va affronter ce soir. Mais une bête blessée n'en est-elle pas que plus dangereuse ? On serait tentés de le penser à voir avec quelle difficulté les Nancéiens s'étaient sortis du guêpier alsacien vendredi dernier (69-63). A Gentilly, le public n'avait pas franchement eu l'impression de voir une équipe de Strasbourg à l'agonie.
Alors, ce soir, le SLUC ne doit pas s'attendre à croiser le fer avec une équipe résignée et sans ressort. Il suffit d'ailleurs d'entendre le coach de Dijon pour s'en convaincre. « On va jouer ce match à fond pour le gagner car on est dans une situation d'urgence » glisse le technicien suisse qu'on dit déjà menacé, « on part à 0-0 et on joue à cinq contre cinq. Si c'était à chaque fois Goliath qui venait à bout de David, cela se saurait, non ? ».
Malgré le plus grand respect qu'il a pour Nancy (« à mon sens, une des trois meilleures équipes du championnat avec l'ASVEL et Roanne »), le technicien suisse saura convaincre ses joueurs que la forteresse lorraine n'est pas imprenable.


Samnick forfait ?


Mais côté nancéien, on n'aura pas manqué tout au long de cette semaine d'entraînement de marteler encore et encore que Dijon a des atouts dans sa manche. « C'est une équipe agressive en attaque, qui obtient pas mal de lancers francs » analyse l'assistant Cédric Heitz, chargé du scouting de l'adversaire, « elle marque aussi pas mal de points sur jeu rapide ». « Dijon a un bon cinq » poursuit Jean-Luc Monschau, « avec Rowe, Bradford, et N'Doye qui forment un trio d'extérieurs de très bon niveau, alors que Simon et Krupalija sont deux intérieurs complémentaires. Maintenant, Dijon n'a pas forcément dix joueurs de même niveau d'autant que cette équipe connaît des blessures... ».
A l'arrière notamment. Bouziane est sur le flanc, Sciarra aussi. Et à Dijon, on n'est pas loin d'être convaincus qu'avec ce leader charismatique, ce rameuteur de troupes qu'est Laurent Sciarra, l'équipe filerait un moins mauvais coton. Pour le suppléer, la JDA a bien tenté un coup de poker en s'attachant les services de Jason Rowe, le MVP 2006. Coup de poker, car il y a quelques semaines, le lutin américain n'avait pas pu honorer son contrat avec Hyères-Toulon en raison d'une grosse hernie discale qui devait l'éloigner des terrains pour une bonne partie de la saison.
Finalement, Rowe est sur pieds. Mais s'il joue, il est loin d'avoir son rendement d'il y a deux ans, lui qui est passé de 21 à 7 pts de moyenne. Reste à espérer que ce diable de Jason Rowe ne se réveille pas face au SLUC. Lui aussi est en appel, lui aussi a besoin de se rassurer, de montrer un autre visage.
Et quelque part, ce n'est jamais très bon de croiser une équipe baignant dans un tel contexte. « Jouer face à des équipes comme ça n'est jamais facile » glisse ainsi l'intérieur US Mike Bauer, « elles se battent, mettent beaucoup d'énergie dans la balance. Mais on s'est préparés en conséquence ».
Dommage toutefois qu'un gros point d'interrogation plane encore sur la participation de Victor Samnick. Souffrant à l'aine depuis quelques jours, l'ailier fort nancéien ne s'est pas entraîné de la semaine, et le nouvel essai qu'il a effectué hier n'a pas été concluant. Cloué sur le banc durant la séance, le numéro treize nancéien est très incertain. Une raison supplémentaire de croire que ce match en Bourgogne ne tombera pas tout cuit dans l'escarcelle nancéienne. On l'a dit, méfiance...


Anthony GUILLE
est republicain

L'adversaire

M'Baye de retour









NANCY. - Comme prévu, Abdoulaye M'Baye fera son retour dans la rotation dijonnaise ce soir. Touché à la cuisse il y a une dizaine de jours, le jeune arrière, qui aura 19 ans la semaine prochaine, a repris l'entraînement en début de semaine. Pour le reste, Dijon se passera une nouvelle fois des services de Laurent Sciarra et d'Ali Bouziane.
Le club cherche un pigiste pour suppléer ce dernier comme il l'a fait avec Sciarra en enrôlant Jason Rowe, mais le club ne devrait pas remplacer poste pour poste le meneur-arrière franco-algérien. « On cherche plutôt un intérieur car c'est le secteur où on connaît le plus de problèmes » glisse Randoald Dessarzin, le coach suisse de Dijon, « mais réglementairement, on est obligé de prendre un joueur français. Ca limite le champ de recherches ».
En attendant de trouver son bonheur, Dijon jouera donc sans renfort ce soir. Ce n'est pas le SLUC qui s'en plaindra.
est republicain

Les équipes









- SLUC Nancy : 4. Dowdell ; 5. Amagou ; 6. Lefèvre ; 7. Julian ; 8. J. Greer ; 9. Parker ; 10. Harrison ; 11. Zaki ; 13. Samnick ( ? ) ; 14. R. Greer ; 15. Bauer.
- Dijon : 4. Monclar ; 6. N'Doye ; 7. M'Baye ; 8. Kolb ; 9. Evert ; 10. Rowe ; 11. Krupalija ; 12. Roma ; 13. Bradford ; 14. Simon; 15. Badiane.
• Match ce soir (20h) au Palais des Sports de Dijon ; arbitres : MM. Conderanne, Perier et Gueu ; Espoirs à 17h15.
est republicain

Sciarra : « Il y a urgence »

Blessé depuis début octobre, le capitaine dijonnais s'inquiète des prestations de ses coéquipiers, derniers ! Fidèle à ses habitudes, l'ancien international n'hésite pas à asséner quelques vérités. Laurent Sciarra sur le banc, Nancy est plutôt soulagé...


Dijon est dernier avec quatre défaites en autant de matches. Est-il déjà l'heure de tirer la sonnette d'alarme ? « Oui. On est mal, d'autant plus que nous recevons Nancy avant d'aller à Roanne. Il faut être réaliste, nous pouvons nous retrouver dans deux semaines avec six défaites. Alors, si vous me demandez si je suis inquiet, oui, je le suis. Comme je suis quelqu'un de positif, je veux croire que les choses vont s'améliorer. Mais rapidement, car il y a urgence. » • Comment expliquez-vous ce début catastrophique ? « Les Américains, Boggan et Green, ont effectué une partie de la préparation avant d'être coupés. Puis un autre, Stephens, est arrivé mais n'est resté que quelques jours. Le club a pris Badiane, qui devrait partir prochainement. Là-dessus, M'Baye et Bouziane se sont blessés. Nous avons récupéré Rowe et Krupalija tardivement, ils n'ont pas beaucoup de compétition dans les jambes... J'espère que pour Rowe, cela va vite s'arranger, car il est là jusqu'à mon retour, vers le 20 novembre. »
• Avez-vous l'impression que des joueurs ne jouent pas le jeu ? « Il y a un manque d'implication de certains. On peut éventuellement tricher à l'entraînement, mais pas en match. Le problème, pour quelques-uns, est physique. Quand ça ne va pas dans les jambes, on fait moins d'efforts. Bradford, l'une des recrues, déçoit, sans doute parce qu'on ne le place pas dans les bonnes conditions. Simon, par exemple, doit se faire un peu plus violence pour le collectif. Le problème, c'est qu'il n'y a pas de leader sur le parquet en ce moment. Mais je ne veux pas tirer sur mes coéquipiers. La solution est dans le collectif. Je peux comprendre que certains soient tentés de jouer au sauveur. Cela part forcément d'un bon sentiment. Mais il faut éviter cela. »
• Faut-il responsabiliser davantage les jeunes joueurs comme Koma, Diabaté, Kolb ou Evert ? « Non. Ils peuvent apporter un plus, mais ce ne serait pas leur rendre service que de faire peser sur leurs épaules de trop grandes responsabilités. On pourrait les griller. »
• La position de Randoald Dessarzin, votre entraîneur, est-elle fragilisée ? « Forcément. Mais je peux vous dire que le virer serait une énorme connerie. Il a de grosses qualités et il n'est pas le seul responsable de cette situation. »
• Quel crédit accordez-vous aux rumeurs sur l'influence négative que Jean-François Evert, l'adjoint, aurait sur certains joueurs ? « Les relations entre lui et Dessarzin ne sont pas bonnes, ce n'est pas un secret. Après, Evert fait ce qu'il veut. Si c'est le cas, ce serait triste que des joueurs soient assez idiots pour plonger... »
• Malgré tout, êtes-vous optimiste ? « Oui. Mais dans une telle situation, je prends sur moi, car il y a des choses qui me gonflent. Je suis un Niçois pur sucre, j'ai le sang chaud. Si ça devait continuer, on pourrait m'entendre. »
republicain lorrain

SLUC : logiquement...



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Le premier contre le dernier. Voilà comment se présente ce Dijon - Nancy ! Les Lorrains mènent 4 à 0 en ce début de saison. En nombre de victoires. Les Bourguignons peuvent se targuer du score inverse en nombre de blessés ou de changements d'Américains...
Souvent bête noire des Lorrains, la JDA, cette fois, n'a pas grand-chose à proposer, privé de son maître à jouer Laurent Sciarra qui plus est. Alors, l'équipe de la Côte d'Or sans son métal précieux, vous pouvez vous imaginer la valeur en baisse du groupe. Ou le style qu'essaye d'imposer le nouvel entraîneur Randoald Dessarzin. Un homme à la peine entre un adjoint qui lui tire dans les pattes, paraît-il, et une réputation originale faisant rire certains : ce Suisse, prof d'anglais, coachait Boncourt, cité de 1350 habitants...
Evidemment que l'on attend un "reçu cinq sur cinq" de la part des gars de Monschau ! Supérieurs en tout. Ce duel opposera la 3e formation la plus adroite à la 14e, la 3e au rebond à la 12e. L'entraîneur dijonnais reconnaît que « C'est une équipe impressionnante » mais pas question, pourtant, de céder au désespoir : « Nous allons jouer ce match à fond pour le gagner, car nous sommes dans une situation d'urgence. Je sais que ma position est fragilisée par ce début de championnat, mais je ne baisse pas les bras. »
A Nancy, Victor Samnick se plaint d'une douleur à l'aine. Sa participation est compromise. Serait-ce embêtant d'être privé d'un joueur restant sur deux magnifiques double-double (+ de dix points et dix rebonds) ? Ou son absence arrangerait-elle l'Américain Harrison de retour après blessure ? « C'est toujours difficile de jouer ce type d'équipes, glisse l'intérieur nancéien Mike Bauer. Elles mettent beaucoup d'énergie, se battent. Mais on s'est préparé en conséquence. » Si, en plus, le SLUC est sur ses gardes !




A. T.

Paru le : 27-10-2007
republicain lorrain

thanks bacou

PRO A (5e JOURNÉE) - JDA DIJON-SLUC NANCY
En quête d'un exploit









Toujours à la recherche de sa première victoire, la JDA accueille Nancy, leader invaincu. Si rien n'est impossible, l'affaire ressemble au combat de David contre Goliath.

Dimanche dernier, à l'issue de la défaite à Cholet, Randoald Dessarzin déclarait : « Face à Nancy, on peut faire quelque chose d'extraordinaire s'il y a une prise de conscience de nos problèmes. » Quelque huit jours plus tard, l'entraîneur suisse n'a pas changé d'opinion sur le sujet. Plus que quiconque, il est bien évidemment lucide sur la situation très compliquée de son équipe. Privée d'éléments majeurs (Sciarra, Bouziane), en quête de sa première victoire, à la recherche d'un pivot pour asseoir et rassurer sa raquette... Stop, n'en jetez plus.
Il n'empêche, le technicien veut croire à l'impossible, à cet exploit qui redonnerait le sourire à tout un club qui en a bien besoin, tant les temps sont durs, sur et en dehors du terrain. « Les séries sont faites pour se terminer », confiait-il encore, et d'autres sont faites pour commencer.
Il rajoute sur le sujet : « Je suis conscient qu'on peut le faire. » Si l'on se remémore le dernier match amical entre les deux équipes, on en doute (défaite 101-60), même si ce large accroc peut agir comme un excellent remonteur de mécanique.
Une raquette à surveiller
D'ailleurs, Jean-Luc Monschau ne débarque pas en Bourgogne la fleur au fusil. Il déclare ainsi : « Il est toujours très difficile de jouer contre une équipe en mal de points, car il y a forcément une volonté encore plus grande. Dijon a des arguments pour gagner. Il dispose d'un très bon cinq de départ, même si les blessés font du tort à l'ensemble du groupe. »
Pour réussir là où Clermont, Paris, Chalon et Strasbourg se sont cassé les dents, Randoald Dessarzin compte sur un collectif plein « de constance et de rigueur » et sur la montée en puissance de Jason Rowe. Assez transparent lors de ses deux premiers matches avec Dijon, le meneur américain semble avoir retrouvé des jambes et des couleurs durant la semaine, une bonne nouvelle. Et elle ne sera pas de trop car, dans le domaine, Nancy dispose en Amagou et Dowdell de deux féroces clients.
Des féroces clients, il y en a dans toutes les lignes. A l'évocation des frères Greer, Dessarzin a les yeux qui pétillent. « Ils savent tout faire. La relation entre les deux est exceptionnelle. Si on pouvait les associer à Laurent Sciarra... » Retour à la réalité.
Le chantier est tout aussi imposant dans la raquette. Si Samnick est incertain, Jean-Luc Monschau dispose d'un matériel encore assez imposant avec Julian, Bauer et Zaki. Sans doute est-ce pour cette raison que Malick Badiane réintègre le groupe dijonnais au détriment de Diabaté. Il essaiera de contrarier les intérieurs lorrains en attendant qu'un pivot digne de ce nom arrive enfin. Sur le sujet, l'entraîneur confiait : « On explore des pistes... »
Si prendre son temps pour réfléchir est une bonne chose, cela fait tout de même presque deux mois que la JDA est dans l'attente d'un joueur capable d'être le patron de sa raquette. Depuis la constatation que Boggan et Green ne feraient pas l'affaire (tournoi Yannick-Dubois). Et aujourd'hui, il y a le feu.
Jean-Yves ROUILLÉ

Des euros à trouver ?
Dans un article paru jeudi dans Basket News, Yann Boisson, manager général de la JDA, évoquait un manque à gagner de 200 000 euros. « Là avec quatre défaites, on a déjà engagé des dépenses et il nous reste 200 000 euros à trouver. Est-ce qu'on va y arriver ? » Interrogé sur le sujet, le président du club dijonnais, Michel Renault, n'a pas souhaité faire de commentaires tout en se montrant très surpris de ce montant. Manque de fonds ou non ? Le mystère demeure...

Le bien public

Les effectifs
M'Baye de retour










La bonne nouvelle de la semaine est bien évidemment le retour d'Abdoulaye M'Baye. Victime d'une élongation à la suite du match à Villeurbanne, le jeune arrière dijonnais a repris l'entraînement dimanche dernier et sera opérationnel ce soir. Laurent Sciarra devrait reprendre un entraînement individuel la semaine prochaine, l'IRM passée jeudi n'ayant rien révélé d'inquiétant. Quant à Ali Bouziane, son élongation aux adducteurs évolue de façon très positive.
Du côté lorrain, la plus grosse incertitude concerne Victor Samnick. Souffrant de l'aine, l'intérieur du SLUC ne s'est entraîné ni jeudi, ni hier. Un très gros doute plane sur sa participation au match de ce soir.
Le bien public




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Supporter Couguars a écrit:

Rasheed Wallace a écrit:

Ouais après 5 ans au Mans ça devenait pesant, mais Amagou pour moi n'a que très très peu progressé en tout sur les années qu'il a passées au MSB. Il était aussi fort en 2003, stats à l'appui (allez voir sur sluc-basket.org les résultats de cette saison, il y faisait déjà les memes matches). L'histoire des postes joue un peu mais bon, dans l'absolu Amagou n'a pas progressé comme il aurait dû. Bokolo a lui eu un gros boom dans sa progression, puis il stagne à nouveau depuis 2005-2006, en gros.

Amagou va enfin débuter sa progression sous nos couleurs....vous verrez!

Je ne demande qu'à vous croire, mais pour l'instant il ne m'a guère séduit ou rassuré (mais je sais que sur ce poste de meneur il faut être patient).

Merci Bacou pour les articles!!