[PROA J5] SLUC Nancy bat JDA Dijon 90 (43) à 59 (29)

Zaki a mangé du lion ce soir :cheers:

En tout cas ce soir Dijon est dernier....la semaine dernière c'était Strasbourg....la semaine prochaine Pau....?????

xela slucky a écrit:

En tout cas ce soir Dijon est dernier....la semaine dernière c'était Strasbourg....la semaine prochaine Pau....?????

Y a intéret

romain88 a écrit:

xela slucky a écrit:

En tout cas ce soir Dijon est dernier....la semaine dernière c'était Strasbourg....la semaine prochaine Pau....?????

Y a intéret

vous etes mechants

pascal arnaud a écrit:

romain88 a écrit:

xela slucky a écrit:

En tout cas ce soir Dijon est dernier....la semaine dernière c'était Strasbourg....la semaine prochaine Pau....?????

Y a intéret

vous etes mechants

Oué mais au vu du match d'hier les retrouver à cette place ne serait pas vraiment illogique

James a écrit:

:cheers: :cheers: :cheers:

début de saison parfait, énorme entrée de harrisson et puis bauer énormissime comme tout le monde le répète.

Bon pour l'instant nous n'avons pas encore rencontré de cadors, le premier match uleb devrait nous donner confirmation assez rapidement.

On a quand même rencontré Chalon et Strasbourg qui font partis des grosses cylindrées de ProA, même si leur début de saison n'est pas parfait pour l'instant.

Et comme tout le monde, mention très spéciale à Mike Bauer qui nous a sorti un match de mamouth... (J'adore ce joueur, surtout sa mentalité de gagneur!!!)

la classe

Bravo à tous nos gars!
Je me trouve pour une dizaine de jours aux Antilles sous de grosses pluies tropicales et ce succès je le savoure en sirotant mon ti punch...
Bauer a une très grosse évaluation, super!

Et bien chapeau au SLUC. Certes les couguars rencontraient la lanterne rouge mais ce genre de match contre une équipe qui doit absolument s'imposer, c'est toujours à double tranchant. Nancy a fait son match, un match sérieux... et il fallait le faire ! Toujours facile de dire après coup : ouais ba c'est logique, le 1er contre le dernier, c'était victoire assurée ! Nancy est venu en Bourgogne très concentré et le couteau entre les dents. Continuez à avoir cet état d'esprit.

De retour de DIJON. BAUER a fait un chantier pas possible et le dénommé HARRISSON s'est montré très for(d)t sur le temps de jeu que JLM lui a alloué.

Je viens de vérifier pour MIKE : 34 d'éval en 26 minutes; c'est dingue.

Pas une grosse affluence et les supporters dijonnais étaient complètement éteints en 2ème mi-temps.

Cela fait trop plaisir de voir autant de joueur jouer!!!
On a un vrai banc cette année!!
VIVE LE SLUC!!

Jul54 a écrit:

Cela fait trop plaisir de voir autant de joueur jouer!!!
On a un vrai banc cette année!!
VIVE LE SLUC!!

C'est bien vrai, ami Julien !
Même si Bauer n'a pas pu être félicité comme il se doit par les nombreux supporteurs à cause de son retard à regagner le bus des joueurs, nous avons pu marquer notre attachement aux Couguars pendant 40 minutes, tant au début du match où Dijon se défendait pas mal que sur les 10 dernières minutes où le sérieux sur le terrain faisait concurrence à la décontraction de l'ami Phiphi et après le match, au moment où les joueurs regagnaient leur bus.
Mentions spéciales aux n° 15 & 7 qui nous ont apporté beaucoup de satisfactions ce soir sur le terrain, ainsi qu'à l'animation dans le bus, à l'image de l'organisation de ce déplacement. Encore un grand merci à Christelle & toutes son équipe qui ont encore bien oeuvré !!!
Bon dimanche, sous vos applaudissements

Pro A (5e journée) : SLUC Nancy bat Dijon : 90-59

Reçus cinq sur cinq !


Malgré l'absence de Samnick, le SLUC a fait preuve d'une maîtrise absolue pour croquer une formation dijonnaise en crise et décrocher un cinquième succès en cinq matches. Nancy est bien le patron...






De notre envoyé spécial Anthony GUILLE
DIJON. _ Dans un Palais des Sports de Dijon devenu muet, les supporters nancéiens commencèrent à pousser joyeusement la chansonnette. « Allez, allez, allez, Nan-cy ! ». On était pourtant au coeur du troisième quart-temps, pas dans le money-time, mais sur le parquet, cela faisait déjà quelques minutes que l'issue du match ne faisait aucun doute.
Le SLUC affichait une maîtrise monstre, déroulait un basket hyper-solide, et Dijon n'avait pas grand-chose à lui opposer pour essayer de rester dans la course. Mais si on pourra trouver logique qu'une équipe qui caracole en tête du classement s'impose chez une formation qui court après son premier succès, le mérite du SLUC aura été de se le rendre facile, ce match. Et ça, cela n'avait rien d'une évidence.
Cela l'était d'autant moins qu'il a fallu composer sans Victor Samnick. Très incertain avant le match en raison d'une douleur persistante à l'aine, l'ailier fort nancéien était resté en survêtement à l'échauffement confirmant qu'il serait bien forfait. Et on crut bien au vu du début de match dijonnais que son absence pourrait être plutôt fâcheuse pour le SLUC. Emmené par un David Simon très présent (10 pts lors des 10 premières minutes), la JDA avait attaqué le match bille en tête, avec cette fameuse énergie de l'urgence qui fait parfois des miracles. Et quand les Dijonnais prirent cinq points d'avance à la fin du premier quart-temps (22-17), on s'était pris à repasser le film de Strasbourg et à se dire que décidément, il n'y a rien de plus dangereux qu'une équipe... en danger. « Dijon a bien joué globalement au premier quart-temps » reconnaîtra après coup Jean-Luc Monschau, « en mettant quelques paniers par David Simon et en récupérant quelques ballons de raccroc. Il a fallu qu'on monte notre niveau défensif. Cela nous a permis de développer du jeu rapide, et on a réussi à bien servir nos intérieurs ».
Vrai, les Nancéiens avaient sorti leurs grosses griffes, et avaient haussé le ton, en pilonnant intérieur et en abreuvant de bons ballons Cyril Julian et Mike Bauer.


Bauer, quel match !


Julian prouvait encore et encore que lorsqu'il peut travailler dos au panier, et préparer son fameux shoot, il était d'une efficacité redoutable, et Mike Bauer ne laissait pas non plus filer la moindre occasion de remplir son bas de laine. L'Américain réussira un véritable festival avec 26 pts, 12/13 aux shoots, 7 rebonds et 34 d'évaluation ! Avec de tels atouts dans sa manche, le SLUC passait un 11-0 aux Dijonnais pour créer un premier écart (27-27, 15', 27-38, 17'). Le tournant du match ? Possible. En tout cas, dans un deuxième quart-temps où Dijon ne marquera que 7 points, le SLUC prendra un ascendant certain pour atteindre la pause avec déjà 14 unités d'avance (43-29).
Dijon avait déjà pris un coup sur la tête, et le SLUC n'allait pas lui laisser l'occasion de la relever. Supérieurs dans à peu près tous les secteurs du jeu, les Nancéiens voyaient leur avance grimper, grimper au fil des minutes pour culminer à... 35 pts dans le dernier quart-temps (84-49, 35'). Alors que Jean-Luc Monschau faisait tourner son effectif, tout le monde prenait part au festin à l'image notamment de Roger Zaki, auteur mine de rien de ses premiers points de la saison. Nancy déroulait, faisait étalage de son altruisme (22 passes décisives), et en face, Dijon était comme une ombre. Jason Rowe une nouvelle fois transparent (-1 d'évaluation) avait le regard noir, et malgré l'abnégation de Krupalija, Dijon attendait le gong final comme on attend la fin d'un calvaire.
Nancy était trop fort hier pour Dijon. Voilà le SLUC à cinq victoires en cinq matches. Un record. Mais ce SLUC-là est peut-être taillé pour en battre d'autres...
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A chaud

« Un job incroyable au deuxième quart-temps »









• Ricardo Greer : « Je n'ai pas été surpris par le début de match de Dijon. Vous savez, des équipes comme ça mettent beaucoup d'agressivité. On est restés positifs, concentrés et on a fait un job incroyable au deuxième quart-temps. Tout le monde a apporté sa pierre à l'édifice ».
• TJ Parker : « Notre premier quart-temps a été un peu frustrant mais on s'est bien ressaisi au deuxième quart-temps. Victor (Samnick) n'était pas là, mais on a souvent joué sans être au complet durant la préparation, et on sait qu'il y a toujours des gars pour sortir du banc et faire le travail. C'est bien d'être à 5/5 avant de commencer la coupe ULEB et le rythme de deux matches par semaine ».
• Pape-Philippe Amagou : « On a fait preuve de sérieux et de maîtrise en respectant les consignes. Le SLUC impressionne ? Oui, mais j'ai entendu dire que le favori, c'était l'ASVEL. Ce n'est pas plus mal. Il faut qu'on continue à travailler ».
• Cyril Julian : « Ce qui a fait la différence, c'est la densité et les rotations sur le terrain. Dijon est très affaibli par le manque de joueurs comme Bouziane et Sciarra. Il leur manquait du punch ».
• Randoald Dessarzin (entraîneur de Dijon) : « Tomber face à Nancy n'est pas un déshonneur. Mais de cette manière, si. On a eu une semaine pour préparer ce match mais on n'a pas su relever le défi adverse. Pourtant, je reste convaincu qu'il ne faudrait pas grand-chose pour que ça reparte. Mais il y a des changements à effectuer. Il faut passer aux actes ».
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Vestiaires

Les regrets des Espoirs









• ESPOIRS. Et Souleyman Diabaté crucifia les Espoirs nancéiens... Il restait deux secondes à jouer, et le jeune meneur dijonnais s'infiltra dans la défense lorraine pour marquer d'un lay-up et offrir la victoire à la JDA (75-73). Mais que le SLUC Espoirs peut avoir des regrets ! En tête durant une bonne partie du match, les jeunes joueurs de Pierre Verdière menaient encore de cinq points à moins de trois minutes du gong (72-67). A cet instant, ils pensaient pouvoir infliger aux jeunes Bourguignons leur première défaite de la saison. Mais un manque de lucidité et un soupçon de malchance (témoin, ce shoot de Rabah qui hésitait avant de ressortir... ) devaient finalement coûter la victoire finale à la jeune garde nancéienne. Dommage, mille fois dommage...
Les marqueurs : Lefèvre (19), El Khir (17), Michel (12), Emmanuelly (9), Rabah (8), Amenyedzy (4), Wachowiak (3), Dussart (1).
• SUPPORTERS. Dijon n'est pas très éloigné de Nancy. Alors comme souvent, il y avait pas mal de supporters nancéiens hier dans les tribunes. Le club des supporters avait affrété un bus, et le club Affaires Stanislas avait également fait le déplacement. En tout, ils étaient plus de 120 à encourager les Nancéiens au Palais des Sports de Dijon. Et cela s'est entendu !
• JUMEAUX. Randoald Dessarzin a vécu une semaine riche en émotions. L'entraîneur suisse de Dijon est devenu l'heureux papa de jumeaux cette semaine. Un peu plus tôt que prévu puisque le terme de la grossesse était prévu fin décembre. Mais aux dernières nouvelles, les deux bambins et la maman se portent bien...
• INVITE. Surprise de taille vendredi à l'entraînement du SLUC, l'ancien joueur NBA Ruben Boumtjé Boumtjé était sur le parquet à enfiler les paniers pendant que les Nancéiens préparaient leur séance. A la recherche d'un club, le premier Camerounais à être drafté en NBA est venu rendre visite à son pote Victor Samnick, avec qui il a joué à Georgetown. Le club nancéien a accepté que l'ancien joueur de Portland, Orlando ou encore Cleveland vienne à Gentilly faire du shooting quelques jours.
• AMICAL. Ce n'est pas la première fois que le SLUC rencontre Dijon en 2007/2008. Cet été, les deux équipes s'étaient affrontées dans le cadre du tournoi de Vittel. Pour l'anecdote, le SLUC avait complètement atomisé la JDA en finale du tournoi (101-60). Une claque que le staff dijonnais a dû se faire un plaisir de rappeler à ses joueurs pour piquer leur orgueil...
• TENSION. Assistant-coach à Dijon, Jean-François Evert n'était pas sur le banc de son équipe hier. Il semblerait que ses relations avec Randoald Dessarzin se soient progressivement tendues ces dernières semaines. L'adjoint n'aurait pas digéré de ne pas avoir été choisi cet été pour entraîner l'équipe, et l'aurait fait savoir. En attendant de trouver une solution à ce problème interne, c'est Philippe Sudre, l'entraîneur des Espoirs, qui occupe ces fonctions d'assistant-coach des pros.
• MAILLOTS. Une fois n'est pas coutume, le SLUC n'évoluait pas en noir comme il le fait à l'extérieur habituellement, mais en blanc. Et pour cause, le noir est aussi la couleur de la tenue des Dijonnais.
• ZIANVENI. Randoald Dessarzin l'avouait cette semaine, Dijon s'était renseigné sur Maxime Zianveni cet été. Mais la piste avait semble-t-il refroidi quand le club bourguignon avait appris qu'en plus du salaire du joueur, il devrait s'acquitter du montant de la clause libératoire de Max.
• LOCATION. La location pour SLUC - Pau-Orthez, vendredi (20h) à Gentilly débute demain au siège du club (palais des Sports Jean-Weille). Elle se déroulera du lundi au mercredi de 9h à 12h et de 14h à 18h ainsi que vendredi de 9h à 12h. Tarifs à partir de 8 euros.
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Nancy, la série continue

Les Lorrains ont vécu une soirée tranquille en Bourgogne. Ils ont pu, avec délectation, étanché leur soif de vaincre. Une cinquième victoire, en autant de rencontres, qui a du corps.

L'absence de Victor Samnick amenait Jean-Luc Monschau à réviser ses plans. Le temps que le duo Julian-Bauer s'ajuste à l'intérieur, le puissant Simon avait nettoyé la raquette : 10 des 17 premiers points bourguignons. Hé oui, Dijon produisait le meilleur effet avec un jeu tout en nuances, entre paniers sous le cercle ou à mi-distance. Vif et tenace, l'équipe de la Côte d'Or donnait dans le style nancéien. Du reste, le SLUC n'affichait pas un jus extraordinaire ni une densité physique suffisant. On dormait un peu, quoi... Les morts de faim dijonnais (encore aucun succès) faisaient assez facilement fi de Bauer, seul teigneux, pour signer un quart-temps sympathique (22-17 après un 13-4 étonnant). Trop beau pour être vrai ? Sans doute. Alors que la JDA surjouait, le leader invaincu montait tranquillement mais sûrement en régime. Le temps mort de Monschau et l'entrée d'Amagou remettaient Nancy dans le droit chemin. Celui de la défense. En dix minutes, le rival ne devait que marquer sept points... 7-26, la déferlante talentueuse avait tout emporté sur son passage glorieux, détonant, efficace. Surtout, le SLUC trouva la solution au problème Simon.
Bloqué dessous, maladroit sous la pression de loin, Dijon coulait. Le duo Julian-Bauer changeait l'eau en vain (31 unités sur 43 !). En nectar plutôt, au pays du fameux Corton-Charlemagne. Ces deux-là se montraient diaboliques. Le jeu de passes lorrain excellait (13 à 8), la détente prévalait (21 rebonds à 15) et avec un 14/19 aux tirs de très près, le premier de la classe s'offrait un royal 63 % de réussite sachant que Jeff Greer avait mis son grain de sel. Dijon, lâché par Bradford, orphelin de Sciarra, privé de Ndoye (fautes), pleurait toutes les larmes de son grand corps malade. 5-21 en huit minutes, 7-26 dans un acte II de folie, la pause revêtait la forme d'une bouée de sauvetage pour la lanterne rouge (29-43, écart maximal).
A n'en pas douter, Dijon avait pris une méchante claque. La proie fut d'autant plus facile à maîtriser ensuite. Bauer, déchaîné, poursuivait son festival ; Jeff Greer expédiait son 3e missile à 3 points sur 3 tentatives ; Amagou gérait en vieux briscard, étouffant le minuscule Rowe et Nancy maintenait toujours son étau défensif avec hargne et application : 5 points bourguignons en 5 minutes de misère offensive. Bien sûr, l'addition s'alourdissait. Le SLUC naviguait en père peinard au-dessus de la barre des vingt longueurs (34-56, 41-63, 45-67). Les Greer, magnanimes, faisaient briller leurs partenaires. L'immense et jeune Zaki secouaient le cercle comme il n'est pas permis !
Le SLUC, vous l'aurez compris, eut tout un quart-temps pour transformer le parquet dijonnais en cour de récréation. L'opposition navrante et indigente permettait au coach lorrain d'offrir des minutes plaisantes à ses remplaçants (Harrison, Parker) eux aussi supérieurs aux gars de la Côte d'Or... Chaque Nancéien y alla même de son panier. Onze joueurs, onze marqueurs. Quelle promenade !




Alain THIÉBAUT.
republicain lorrain

DIJON 59NANCY 90



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Palais des sports de Dijon - 5000 spectateurs - quarts temps : 22-17, 7-26, 16-24, 14-23.
DIJON. Tirs : 25/68 (37%) - points : Ndoye 6, Rowe 4, Krupalija 15, Bradford 3, Simon 17 puis Monclar, M'Baye 9, Koma 3, Badiane 2- 3 points : 4/26 (15 % : Bradford 1/6, Krupaklija 2/8, Roxe 0/5) - Lancers : 5/12 (42 % : Simon 3/5) - fautes personnelles : 21 (Simon 5-33e, Ndoye 5-35e) - Fautes provoquées : 19 (Rowe 5, Simon 5) - Contres : 2 - Interceptions : 6 (Mbaye 2) - balles perdues : 13 (Rowe 5) - Passes : 14 (Bradford 5) - Evaluation : 53 (Simon 19). NANCY. Tirs : 36/64 (56 %) - points : Dowdell 7, Julian 14, J. Greer 11, R. Greer 9, Bauer 26 puis Amagou 2, Parker 2, Harrison 10, Zaki 6, Lefèvre 3. 3 points : 6/17 (35 % :Amagou 0/2, J. Greer 3/5, Bauer 1/2) - Lancers francs : 12/24 (50 % : R. Greer 5/10) - Fautes personnelles : 19 (Zaki 4, R. Greer 3) - Fautes provoquées : 21 (R. Greer 5, Julian 5) - Contres : 2 - Rebonds : 42 (Harrison 8, Bauer 7) - Interceptions : 9 (Parker 3) - balles perdues : 9 (J. Greer 3) - Passes : 22 (Amagou 6, R. Greer 5) - Evaluation : 118 (Bauer 34) .

republicain lorrain

Quand Bauer s'éclate !



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L'homme du match. Mike Bauer, l'ancien de Roanne et Pau, a livré une partie titanesque : 34 d'évaluation pour un extra 12/13 aux tirs (92 % de réussite) et un 10/10 à l'intérieur... Ajoutez 3 fautes provoquées, 7 rebonds, 1 passe pour apprécier la performance de Mike Bauer (26 points) qui a aussi profité de la pauvreté d'opposants directs dans la raquette.
Les chiffres. 11 marqueurs pour 11 joueurs, 22 passes décisives, 6 joueurs à plus de 5 rebonds, ce Sluc-là a offert une image magnifique de jeu collectif. On en dira pas autant de Dijon, très décevant avec 37 % de réussite, un 4/26 à 3 points eu autant de ballons perdus que de passes décisives.
La déclaration. « C'était un match marrant... avouait Mike Bauer, j'ai beaucoup marqué mais moi et Cyril (Julian), nous avons profité de la volonté du coach de jouer à l'intérieur et d'un excellent travail d'équipe. »




A. T.
republicain lorrain

BRAVO POUR LA GRANDE SPORTIVITE DONT LES SUPPORTERS PRESENTS HIER SOIR A DIJON ONT FAIT PREUVE, en "supportant" juste après le match la JDA et Dijon, qui en a bien besoin. Je peux vous dire que ce geste a été très remarqué et apprécié par les Dijonnais encore présents, de meme qu'ils n ont pas pu raté votre ferveur pour Nancy tout au long du match ( on entendait que vous...). Bravo donc à vous supporters.
Bravo aussi à l'équipe du SLUC qui s'est montrée très appliquée, rapide, bien au point sur le plan collectif, assez agressive tant en defense qu en attaque, avec quand meme une mention spéciale à votre agent Bauer. Votre effectif a bien tourné (quel changement...!). surtout j'ai trouvé l'equipe très concentrée, déterminée à enfoncer la JDA jusqu au bout, et ça c'est quand meme très important (on sait jamais, ça pourrait servir si jamais il y avait une finale a disputer...)
Pour ma part premier match de la JDA cette année, et quand meme ultra décevant pour Dijon. Un très bon premier quart temps puis... plus rien
Il faut dire que le SLUC a su vite appuyer ou ca faisait mal : les fautes rapides de N DOYE, la mauvaise défense de Simon (certes très utile offensivement mais bon...). Cory Bradford et Rowe étaient vraiment absents apres ce 1er quart. Krupalija donnait lui plutot satisfaction.
Bref c'est pas la joie à Dijon et meme coté supporter (je n y vais que tres occasionnellement cause boulot), j ai trouvé l ambiance vraiment morose (ils feraient bien d y mettre une fanfare ou au moins qq trompettes). Ma foi sur le papier il ya le potentiel alors j espere qu'il y aura des matchs plus ouverts pour nous cette saison et que l on saura remonter au classement.
Bonne saison à Nancy, je tacherai de revenir voir jouer votre équipe. Et dire que c'était la mienne avant...
Un supporter de la JDA, et auparavant du SLUC (en fait toujours du SLUC...)

Un vrai jeu de massacre









Face au leader nancéien, la JDA n'a pas pesé bien lourd. Un quart plein d'espoirs et puis la déferlante lorraine a fondu sur des Dijonnais dépassés (59-90). Ils restent scotchés à la dernière place.

L'armada du SLUC Nancy n'a pas failli. L'excès de confiance espéré n'était qu'une lubie. Les hommes de Jean-Luc Monschau ont récité leur basket sans trop souffrir d'une opposition dijonnaise bien vite étouffée. Seize minutes bien exécutées et le navire a pris l'eau de toutes parts. Débordés à l'intérieur, peu aidés par une adresse famélique (37 %), N'Doye et les autres n'ont eu que les miettes du festin. Une vraie gabegie.
« C'est la preuve que nous ne sommes pas une équipe », assénait, courroucé, Randoald Dessarzin. Il enchaînait sur le même mode : « Si à chaque fois qu'il y a un vent contraire, nous explosons, cela ne va pas. J'assume ma part de responsabilités. Mais très clairement, nous avons des joueurs de rôles mais pas d'impact, même si Nancy est une équipe très bien construite où chacun sait ce qu'il a à faire. »
Et comment la JDA coule à pic
Bradford, transparent (3 points à 1/9), et Rowe (4 points, 4 passes mais 5 balles perdues) n'étaient pas les moins visés par les critiques. Il faut dire que leurs prestations n'ont en rien soutenu une équipe dijonnaise qui a encore sombré dès le premier coup de canif lorrain.
De son côté, Jean-Luc Monschau affichait la mine sereine des vainqueurs, sans en rajouter non plus. « Notre deuxième quart-temps est un de nos bons quart-temps de ce début de saison. Nous avons corrigé notre rebond et n'avons perdu qu'une seule balle. Ensuite, notre début de seconde période a été déterminant face à une équipe de la JDA en souffrance psychologique. »
Ses joueurs ont d'abord sagement attendu que le collectif de la JDA se disloque. Si Simon et Krupalija réussissaient une entame de belle facture avec 12 points et 10 rebonds en 10 minutes (17-12 à la 8e), ils lâchaient bientôt du lest. Les Côte-d'Oriens allaient ainsi encaisser un rédhibitoire 21-5 après la 16e minute. Julian et Bauer s'illustraient pour réaliser un deuxième quart de toute beauté. Ils inscrivaient 24 des 26 points de leur équipe, profitant de la soirée portes ouvertes de la JDA dans la raquette (29-43).
Les frères Greer enfoncent le clou
Forts de ce solide matelas de points d'avance, les Lorrains abordaient la deuxième période de manière beaucoup plus sereine. Jeff Greer et Bauer enfonçaient le clou face à une équipe dijonnaise en déroute. N'Doye ne trouvait le chemin du panier qu'au bout d'un troisième quart-temps tout aussi navrant (28e). Anecdotique dans ce match à sens unique (41-62, 29e).
Décidés à ne rien laisser filer, Julian et les autres continuaient à se goinfrer de points, tandis que les joueurs de la JDA, les yeux dans le vide, le cerveau en compote et les jambes en coton n'attendaient qu'une seule chose, le buzzer. Avant cela, ils ont été dans l'obligation de vivre l'humiliation en grandeur nature (49-84, 35e). M'Baye leur permettra toutefois de franchir la barre des cinquante points. Ils n'iront guère plus loin. Pathétique.
Jean-Yves ROUILLÉ
Le Bien Public

Bradford : « Pas d'esprit d'équipe »











Randoald Dessarzin (entr. Dijon) : « Tomber face à Nancy n'est pas un déshonneur, mais de cette manière oui. Nous avons eu une semaine pour préparer ces quarante minutes et nous n'avons pas su relever le défi proposé. Maintenant, je pense qu'il y a des changements à effectuer. Il faut passer aux actes. »
Cory Bradford (Dijon) : « Je suis très déçu. Il n'y a eu aucun esprit d'équipe. Le match a été très difficile. »
Ibrahima Koma (Dijon) : « Nous avons connu des problèmes défensifs. A chaque fois que nous essayons de solutionner un problème, un autre resurgit. »
Jean-Luc Monschau (entr. Nancy) : « Nous avons profité des difficultés que traverse la JDA et notamment avec la blessure de Laurent Sciarra. Nous nous sommes battus pour la victoire, même si celle-ci a été atteinte dans des proportions que nous n'imaginions pas. En seconde période, nous avons su rester constants. »
Ricardo Greer (Nancy) : « Le début de match de Dijon ne m'a pas surpris. Mais nous, on est resté positif et concentré. On a fait du grand job avec tous les joueurs. »
Cyril Julian (Nancy) : « Ce qui a fait la différence, ce sont les rotations et l'intensité sur le terrain. Il manquait du punch à Dijon qui était affaibli par les absences de Sciarra et Bouziane. »
Propos recueillis par Jean-Paul MARCHAND
Le Bien Public

bravo au SLUC, quelle raclée à Dijon où pourtant on a pas souvent fait la loi par le passé
elle me plait bien cette équipe

Petite statistique défensive intéressante : au 2ème QT contre la Sig, on n'encaisse que 6 pts et hier à Dijon (toujours au 2ème QT) on n'encaisse que 7 pts.
C'est quand même un signe assez fort pour une équipe qui a été renouvellée à 80 %.
Bravo à tous les joueurs et continuez comme ça.

Merci.....Bacou

Merci beaucop bacou