J14 Sluc - Orléans 23/12/16 20h00

Prochain match contre Orléans qui va arriver à Nancy avec un coach fragilisé et sans Sommerville blessé, si le match là on le prend pas....

http://www.bebasket.fr/championnat-pro-a/orleans-sans-sommerville-a-nancy-et-sans-doute-pour-un-moment.html

http://www.larep.fr/orleans/sports/basket/2016/12/19/pierre-vincent-toujours-en-sursis-a-orleans-loiret-basket_12215459.html

Antoine Eïto et Kyle McAlarney Blessés également... Dommage pour eux mais dans le fond, c'est pas plus mal, ils ont toujours réussi de très bons matchs face au Sluc, surtout Eïto...!!

SLUC NANCY - ORLÉANS AVEC UN LÉGER ACCENT ESPAGNOL

Demain, Alex Urtasun retrouvera son compatriote Carlos Cabezas, meneur à Orléans. Un petit événement tant les joueurs espagnols se font rares en Pro A. Tentative d’explication.

Mine de rien, le public nancéien assistera à un petit événement ce vendredi à Gentilly… L’Espagnol Alex Urtasun retrouvera en effet son compatriote Carlos Cabezas dans le camp d’en face. Deux joueurs espagnols en même temps sur un parquet de Pro A ? Pas sûr que la scène se soit déjà produite depuis la création de la Ligue en 1987…

Car il faut bien reconnaître que les joueurs ibériques franchissent très peu les Pyrénées pour ferrailler dans la ligue française. Alex Urtasun et Carlos Cabezas sont les deux seuls représentants espagnols à évoluer en France depuis une quinzaine d’années !

Si on met de côté les Américains naturalisés Gary Alexander et Steve Payne, qui évoluaient en Pro A en 2004/2005, il faut en effet remonter à 2002 pour trouver la trace du dernier joueur espagnol de souche à jouer en Pro A (Roger Esteller, qui a évolué à Pau de 2000 à 2002).

Une rareté qui interpelle quand on connaît la qualité du basket espagnol, qui truste les podiums sur la scène internationale. Mais cette rareté se lit aussi dans les autres championnats européens. « Les Espagnols n’ont pas l’habitude de sortir du pays » admet Alex Urtasun, bien placé pour le savoir puisqu’il vit à Nancy sa première expérience en dehors de l’Espagne, « les agents ne proposent pas souvent aux joueurs de découvrir d’autres ligues. C’est une erreur car il y a de très bons joueurs en Espagne qui pourraient goûter à l’Euroligue dans d’autres pays à l’image de Quino Colom à Unics Kazan ».

« En France, cela joue plus direct » 
La Liga ACB étant considérée comme la meilleure ligue européenne avec la VTB League, la grande majorité des joueurs espagnols décident de faire carrière à la maison. D’autant qu‘il n’est pas toujours évident de s’adapter à un autre style de jeu. « En France, le style de jeu est plus direct, davantage basée sur l’individuelle, plus athlétique… » poursuit Alex Urtasun, « en Espagne, c’est un peu plus collectif et on reste un peu plus cantonné dans ce qu’on sait faire. En Espagne, je jouais plus ailier mais en France, je dois un peu plus pénétrer, être agressif. C’est différent et il m’a fallu un peu de temps pour m’adapter ».

Mais avec près de 10 pts de moyenne en 25 minutes, Urtasun semble avoir pris le pouls de cette nouvelle ligue. Même si l’Espagnol aimerait que le SLUC décolle enfin au classement. « On vit une situation difficile » reprend-t-il, « à chaque match, on a cinq ou six minutes où on prend beaucoup de points et dans une ligue aussi homogène, cela coûte cher. Il faudrait qu’on renoue avec la victoire pour retrouver confiance… ».

Ce sera le maître-mot face à une équipe d’Orléans qui fait figure de concurrent direct pour le maintien. Avec deux victoires de retard sur l’avant-dernier, le SLUC est déjà décroché au classement. De là à parler de match de la dernière chance, il n’y a qu’un pas… « C’est un peu tôt pour parler de match de la dernière chance » coupe l’arrière espagnol,, « mais il est certain qu’il est très important et qu’on se doit de gagner chez nous ».

Urtasun s’attachera à aider son équipe à y parvenir tout comme Cabezas côté orléanais. « J’ai souvent joué contre lui en Espagne » reprend Alex Urtasun, « il connaît mieux mon frère jumeau Txemi (NDLR : également basketteur professionnel en Espagne) car ils ont tous les deux porté les couleurs de Malaga (de 1999 à 2009 pour Cabezas, de 2012 à 2014 pour Txemi Urtasun). Mais j’irai discuter avec lui avant le match ».  Que les deux hommes en profitent. La prochaine fois qu’ils retrouveront un compatriote en Pro A, ce sera… au match retour..

Anthony GUILLE

J14 Pro A vs Nancy - Avant Match par ORLEANS-LOIRET-BASKET

Un peu mort le forum ces derniers jours .

Ouep

Bon, on va les soutenir et espérer une victoire., Histoire de partir en trêve de Noël plus détendu...

Tu vas....nous on s"'abstient...comme bc trop des gugus sur le parquet!!

Un soutien cela se mérite!

le sluc ne mérite pas des spectateurs de la trempe de julker...
merci d'éviter d'utiliser le forum comme un tchat svp.

BASKET - PRO A (14E JOURNÉE) : SLUC – ORLÉANS DEMAIN SOIR 20 H
À GENTILLY, ON CROIT AU PÈRE NOËL…

Miné depuis le début de la saison par des « absences » incompréhensibles à des moments clés de ses matchs, le SLUC est en état d’urgence. Il mérite une mobilisation générale demain soir pour lancer son opération sauvetage.
22/12/2016 à 15:10, actualisé à 15:20 Vu 704 fois

Le SLUC aura besoin ce vendredi du talent offensif de McFadden Photo Cedric JACQUOT
Le SLUC aura besoin ce vendredi du talent offensif de McFadden Photo Cedric JACQUOT

Le Président Marc Barbé et ses… vrais amis y croient encore. Dur comme fer. Animés d’une foi inébranlable et soutenus par leurs partenaires fidèles et leurs merveilleux supporters, ils travaillent nuit et jour dans l’ombre pour donner à Gregor Beugnot et son assistant Miguel Calero, la possibilité d’améliorer leur équipe, eux qui ont retroussé les manches sur le parquet de Gentilly : « je peux vous dire qu’on bosse car en sports, seul le travail finit par payer » insiste Gregor Beugnot. « Et on y croit. Il faut simplement lancer maintenant l’opération sauvetage en renouant avec la victoire. Pour réussir notre mission, il ne faut surtout pas partir de trop loin » confie encore l’entraîneur nancéien, la tête dans le guidon et qui jusqu’à mercredi et une visite nocturne, ne connaissait pas encore la vielle ville, lui qui est pourtant à Nancy depuis le 29 novembre dernier « c’est superbe. Mon épouse a adoré ».

L’état d’urgence a été décrété. Et plus que jamais, on a senti la maison nancéienne (SASP, staff sportif, administratif et médical et Association) aussi soudée pour sauver le soldat SLUC.

Ce, soir, ils seront encore plus de 5000 à pousser derrière une équipe nancéienne qui n’a plus gagné depuis le 5 novembre dernier (contre Monaco) et qui ne peut plus se permettre de laisser filer le moindre point contre des adversaires directs, surtout à domicile.

« Brion Rush est un vrai pro »
A priori, l’équipe sera au complet. Dario Hunt qui souffre d’une entorse chronique de la cheville, était ce jeudi matin à l’entraînement. On y verra pour la première fois les deux dernières recrues nancéiennes Jonathan Jeanne et Brion Rush qui au passage, n’ont pas coûté un seul centime au club. Le premier est sur la longue blessure de Charles-Catherine, le second sur l’indisponibilité d’Ebi Ere.

Sur le coup, bravo au Président Barbé et à son coach Gregor Beugnot : « Brion (Rush) est en bonne forme physique. C’est un joueur qui de toute façon ne prend pas de poids. C’est un vrai professionnel. Il se sent investi pour prendre leadership de cette équipe. Il est très carré. On échange vite et bien avec lui. Il faut juste, lui laisser un peu de temps. Quant à Jonathan (Jeanne), il va nous rendre service. C’est un intérieur qui n’a pas le profil de Florimont ou Hunt. Il peut être très dissuasif dans la raquette et notamment faire changer les trajectoires de tir ,des intérieurs adverses. Il doit évidemment s’endurcir. Il est avec nous pour progresser. Je ne vais pas le lâcher » ajoute Gregor Beugnot qui veut surtout que son équipe corrige ses pannes sèches de courant qui se répètent dans les moments clés du match (deux dernières minutes contre Antibes, deuxième quart-temps au Mans ou troisième quart-temps à Toulon) : « à Toulon, on passe devant dans le troisième quart-temps et subitement on perd les pédales (quatre balles perdues d’affilée). Comme on n’a pas de marge, c’est rédhibitoire ».

Le Père Noël serait-il une ordure pour le SLUC Nancy ? On n’ose pas y croire.

Ce vendredi, veille du réveillon, on lui demande en pleine magie de Noël, de chasser ces fantômes qui hantent les sunlights de Gentilly et pourrissent maintenant depuis Noël 2015, la vie du SLUC Nancy qui reste encore la fierté des Nancéiens et basketteurs lorrains à l’image de ses gamins, leaders incontestés du championnat de France espoirs et de Bastien Vautier qui jouait, ce jeudi, avec la France, la finale des championnats d’Europe U 18 contre la Lituanie.

Le SLUC a de l’avenir. Mais pour conjuguer au futur, il doit maintenant gagner au présent. Et pour ça, il a besoin ce vendredi de tous ceux qui l’aiment…

Gilles GAIHIER

Des encouragements voilà ce dont ils ont besoin

''entorse chronique de la cheville pour Hunt '', ça fait finir par un arrêt longue durée

C'est sûr que c'est difficile d'avoir envie de soutenir une équipe qui ne nous fait pas rêver. Maintenant.... Le basket à Nancy, le SLUC, c'est plus que cette équipe de la saison 2016-2017. Soutenir cette équipe, c'est soutenir la "Maison SLUC". C'est vouloir que le basket de très haut niveau perdure, c'est se donner à tous, nous là derrière nos claviers, l'occasion de vibrer basket, de vivre basket, encore l'année prochaine.

La ProB, on ira peut être, mais la ProB, on y est pas encore. Si on y va, on ne sait pas si on en sortira un jour. Faut bien se le dire... Alors n'allons pas tenter le diable.

Ce soir je serai à Gentilly et je les encouragerai. Je veux croire que cette équipe est capable de se sauver. Je veux croire que la belle aventure du SLUC en ProA ne va pas s'arrêter cette saison.

Let's Go Couguars !

Si on ne bat pas Orléans avec ses 4 joueurs blessés ( Eïto, Sommerville, McAlarney et Mendy) il n'y aura plus rien à espérer...

Allez, pour la première fois depuis 6mois et quelques je retourne voir un match. J'espère ne pas avoir de mauvaises surprises :S

SLUC 38 - 23 OLB à la 17ème'.


Brion Rush cartonne pour ses premières minutes sous nos couleurs, 14pts, 15 d'éval en 11min

44- 31 à la pause.

Pas de relâchement les gars!



McFadden soigne sa dernière sortie, -6 d'éval en 5min


Sinon Florimont, 3minutes, Jeanne, 0min   Ok Trasolini et Hunt ne sont qu'à une faute mais faudra pas s'étonner si ils ont moins de peps en fin de game.

Le score est fabuleux, mais je ne suis toujours pas rassuré, avec une telle adresse, il suffit qu'elle descende en flèche et le score peut se rééquilibrer...

L'ami des forumeurs G.G. parle d'une rupture du tendon d'achille pour G Florimont sur ER.fr

jtexc a écrit:

L'ami des forumeurs G.G. parle d'une rupture du tendon d'achille pour G Florimont sur ER.fr

La vache on est vraiment verni....


Merci pour l'info

Saison terminé pour Gary. Au bruit entendu c'est le tendon d'Achille qui a lâché.

Ca veut donc dire un nouveau contrat à cramer, JFL qui plus est... bien bien bien


Gros coup dur pour Gary la veille des fêtes. Il était le premier à reconnaître que sa première moitié de saison était indigne, bon courage&rétablissement à lui.

Effectivement on a entendu son tendon lâcher... Moche... Bon courage à lui...

jtexc a écrit:

L'ami des forumeurs G.G. parle d'une rupture du tendon d'achille pour G Florimont sur ER.fr

Tu as posté au moment ou j'écrivais mon message. J'aurais préféré me tromper. Bon courage à Gary il va en avoir besoin.
D'ailleurs j'ai pas compris pourquoi il y avait eu remise en jeu pour Orléans.

On a entendu son tendon claquer dans une enceinte fermée avec 4500 personnes dedans?!

La poisse, mais qui n'arrive pas au pire moment, un peu plus de temps pour chercher le remplaçant