[Effectif 2K16-17] Retour de Ebi Ere ?

Orléans qui gagne en étant aussi diminué ça reste une surprise,et effectivement pour la fin de saison il me semblait plus abordable que Dijon

Comme l'a dit beugnot..il faut jouer nos matchs sans se preoccuper des equipes devant nous pour l'instant pour ne pas se mettre encore plus de oression..
Cette victoire d'orleans est pas si mauvaise..elle prouve que dijon est au fond du trou..
Cest aux couguars de jouer now..et de mouiller le m z illot pour sauver notre club

Leur mission commando commence ce soir..et voila peut etre une plus grosse surprise que la victoire de orleans..

Concernant la victoire d'Orléans sur Dijon et bien fallait que l'un des 2 perdent et on ne saura qu'à la fin du championnat si c'est une bonne chose ou pas.
Après cela renforce le fait que pour quelques détails dans ce championnat on peut se retrouver 10eme ou relégable tellement c'est homogène.
A nous de gagner nos matchs comme le dit Gregor, sans victoires de notre part peu importe les defaites des autres.

Belle réaction du staff effectivement avec trois arrivées d'expérience (tout ça avec une masse salariale encadrée ou ya fallu rallonger la sauce pour sauver le soldat sluc ?).
Maintenant, ya pu qu'à et il reste encore beaucoup de matches pour relever l'opération maintien.

Elton Brown, nouveau pivot du SLUC : « L’état d’esprit, c’est la clé »
Ravi de retrouver la France et Gregor Beugnot, qui le fit venir en Pro A en 2013, Elton Brown espère que le SLUC réussira son opération maintien. Et l’Américain a bien l’intention d’aider le club à y parvenir…
17/01/2017 à 05:09, actualisé à 07:30 Vu 341 fois

http://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2017/01/17/elton-brown-nouveau-pivot-du-sluc-l-etat-d-esprit-c-est-la-cle

Elton Brown : « Je voulais vraiment revenir en France. » Photo Patrice SAUCOURT

On avait le souvenir d’un joueur barbu, arborant un bandeau blanc sur un parquet… Mais ce lundi après-midi, Elton Brown était rasé de près et ne portait pas de bandeau quand il est arrivé sur le parquet de Gentilly pour sa première séance avec sa nouvelle équipe. Sans club depuis le printemps dernier et la relégation du Havre, le pivot était plutôt en jambes, malgré cette longue période d’inactivité…

Elton Brown, qu’avez-vous fait depuis la fin de saison dernière ?

J’étais aux États-Unis, en Virginie, où je me suis entretenu avec un coach personnel. Mais les exercices et les séances de tir sont une chose, le rythme de la compétition en est une autre. Cette première séance était un bon test. Je pense qu’il me faudra une semaine, une semaine et demie pour être vraiment en forme.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de venir à Nancy ?

La raison principale, c’est le coach. C’est lui qui m’a fait venir en France pour la première fois (en 2013-2014 à Paris-Levallois). Il m’a toujours fait confiance et je suis très content de le retrouver.
« Je veux finir ma carrière en France »

Avant le SLUC, vous aviez eu d’autres contacts ?

J’ai eu des offres en CBA (ligue mineure nord-américaine), au Japon, en Italie… En France aussi, mais il y a des clubs qui pensaient que ça ne collerait pas au niveau salaire, sans même savoir… Moi, je voulais vraiment revenir en France. C’est là que j’aimerais terminer ma carrière. Mais pas à la fin de saison, dans trois ou quatre ans !

Comme Le Havre la saison dernière, le SLUC est bon dernier au classement. Se battre pour le maintien est-il stimulant ?

Quand je suis arrivé au Havre la saison dernière, l’équipe avait perdu ses sept premiers matches. On s’est réveillé un peu tard, mais on a fini la saison en gagnant trois fois (lors des cinq journées) et en battant notamment l’ASVEL, qui allait être championne de France quelques semaines plus tard. Là, le SLUC a déjà gagné trois matches et aurait pu en gagner cinq ou six de plus… Il y a du talent, des joueurs qui assument le leadership…
« Le coach attend beaucoup de moi »

Qu’est-ce que Gregor Beugnot attend de vous ?

Beaucoup ! Il sait que j’ai joué l’Euroleague, l’Eurocup… Il attend que je mette des points, que je prenne des rebonds, mais aussi du leadership et que j’amène une atmosphère familiale, entre guillemets, dans le vestiaire. J’ai décroché plusieurs titres dans les différents clubs où je suis passé. À chaque fois, j’aurais pu dire dès le mois d’octobre qu’on allait être champion, car je sentais qu’on était soudé, qu’il y avait un état d’esprit… C’est la clé. Si vous ne vous entendez pas avec vos coéquipiers, vous ne pouvez pas gagner.

Vous devriez débuter, ce samedi à la maison devant Pau-Lacq-Orthez, troisième et auteur d’un carton ce week-end face à Limoges. On connaît moins ardu comme mises en route…

Oui, mais j’ai 33 ans, ça ne m’impressionne pas ! Pau est une très bonne équipe et a fait un très bon match face à Limoges, mais on sait que chaque match est différent. On a notre chance…

en bref

33 ans, né le 15 septembre 1983 à Newport News (USA) ; 2,06 m.

Poste : pivot.
Son parcours

2001/2005 : Virginia State (NCAA). 2005/2006 : Makedonikos (Grèce). puis Florida Flame (NDBL). 2006/2007 : Colorado 14ers (NBDL) puis Capitanes de Arecibo (Porto-Rico). 2007/2008 : Colorado 14ers puis Hapoel Holon (Israël). 2008/2009 : Maccabi Tel Aviv (Israël) puis Bamberg (Allemagne). 2009/2010 : Bamberg. 2010/2011 : Barak Netanya (Israël). 2011/2012 : Trabzonspor (Turquie). 2012/2013 : Etoile Rouge Belgrade (Serbie). 2013/2014 : Paris-Levallois. 2014/2015 : Gravelines puis Indios de Mayaguez (Porto-Rico). 2015/2016 : Le Havre.
Ses stats au Havre

10,6 pts à 55,9 % de réussite, 7 rebonds, 1,4 passes décisives, 11,5 d’évaluation en 24’.

Recueilli par Anthony GUILLE

J'aime bien cet article qui résume bien les dernières années galère de notre SLUC

http://www.basketeurope.com/livenews-fr/388461/sluc-nancy-chronique-dune-chute-annoncee/

Yep, cet article est de bonne qualité et est une bonne rétrospective du club même si il oublie de faire mention de "l'affaire" du ranking pourtant déterminante dans ce qu'est et aurait pu devenir le SLUC.

Un véritable tournant (un coup d'arrêt en l'occurrence) dans l'histoire du club. Pas pour rien que Christian Fra l'ai ressassé jusqu'au bout. Lui avait compris la portée de cette décision.

tout ça, c'est vraiment bien beau
comme un article de Taribo
c'est magnifique l'union sacrée
que Fra et Barbé s'embrassent fort
mais c'est Pau qu'il faut massacrer
et bien d'autres équipes encore

http://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2017/02/02/jonathan-jeanne-le-geant-qui-voulait-grandir

basket-ball - Pro A Jonathan Jeanne, le géant qui voulait grandir
Il a 19 ans, ne pèse pas encore lourd en Pro A, mais sa taille (2,17m) et son envergure (2,32m) font déjà fantasmer les franchises NBA. Jonathan Jeanne sait qu’il fait partie des gros « prospects » européens. Mais avant de rêver à la draft, le Guadeloupéen veut franchir un cap à Nancy…

En 2015, Jonathan Jeanne a participé au All-Star Game du championnat d’Europe U18. Il avait déjà tapé dans l’œil de plusieurs scouts NBA… Photo d’archives


SLUC Nancy - Châlons-Reims
Ce samedi à 20 h

Depuis son arrivée à Nancy en décembre dernier, le rituel est immuable. Une heure avant l’entraînement, Jonathan Jeanne sort des vestiaires et commence sa séance bien avant ses coéquipiers. Au menu ? De la musculation le matin, du travail individuel sur le terrain l’après-midi en compagnie d’un coach personnel mis à disposition par Bouna N’Diaye, fondateur de l’agence Comsport et agent de Rudy Gobert, Nicolas Batum ou encore Evan Fournier…

Si le jeune guadeloupéen (19 ans) bénéficie d’un tel programme, c’est que l’agence Comsport place de très solides espoirs en lui. Car s’il n’a disputé qu’une dizaine de matches en Pro A avec un apport modeste (1,5 pts, 1,5 rebonds et 2,3 d’évaluation en moyenne pour 6 minutes), Jonathan Jeanne est déjà scruté de près par les franchises NBA qui sont persuadées que sa taille (2,17m) et surtout son envergure hors-normes (2,32m contre 2,35m pour Gobert) en feraient une arme de dissuasion massive sur les parquets de la ligue nord-américaine. « Je sais que je suis suivi alors que je n’ai encore rien prouvé » sourit l’intéressé, « mais il faut que je progresse et que je reste concentré sur mon objectif ». Son objectif, c’est évidemment rejoindre la NBA. Peut-être dès juin prochain. Ou l’année suivante. Cela dépendra de la place à laquelle on l’annonce lors de la future draft. Pour l’heure, le géant est annoncé autour de la 30e place, mais il ne se lancera que s’il a de grandes chances d’être sélectionné au premier tour (dans les 30 premiers choix). Pour y parvenir, le pivot savait qu’il lui faudrait quitter Le Mans, où le secteur intérieur était déjà hyper-fourni (Yeguete, Yarou, Pearson, Cornélie).
Cinq repas par jour

Alors, quand Nancy s’est manifesté, Le Mans a accepté de le prêter pour qu’il s’aguerrisse. « Je savais que j’aurais un peu plus de temps de jeu à Nancy » explique le pivot, « ici, je vais pouvoir gagner en expérience, et m’étoffer aussi ».

Physiquement d’abord. Car avec ses 92 kilos, Jonathan Jeanne est un poids plume en rapport avec sa taille (2,17m). « Mais je suis suivi par un nutritionniste depuis la saison dernière » précise-t-il, « je mange cinq fois par jour, le matin, je prends un petit-déjeuner, après l’entraînement du matin, j’avale une collation, puis je mange à 13h30, reprends une collation à 15h30 avant de manger le soir. J’ai déjà pris neuf kilos depuis Le Mans. Je n’ai pas d’objectif de prise de poids, juste prendre le plus possible ».

Sur les parquets également, Jonathan Jeanne aspire à prendre du poids. Dimanche, lors de la déroute du SLUC à Nanterre en Coupe (71-99), le natif des Abymes (comme les frères Piétrus) a même battu son record de points en pro (7). « Ma meilleure prestation entre guillemets » admet le joueur, « mais je sais que je dois encore progresser. Dans quels secteurs ? Le contact pour résister et défendre sur les intérieurs de Pro A, la dissuasion, les rebonds… ». 

Considéré comme un diamant encore brut, Jonathan Jeanne espère franchir un cap au SLUC. « C’est vrai que la situation n’est pas facile actuellementpour le club » glisse-t-il, « mais j’ai envie de m’adapter du mieux possible pour aider l’équipe » Aider l’équipe à réussir son opération maintien. Avant d’embrasser son rêve américain…

Jonathan Jeanne en bref

19 ans, né le 3 juillet 1997 aux Abymes (Guadeloupe) ; 2,17m.

Poste : pivot

Son parcours : 2010-2012 : CREPS de Guadeloupe ; 2012/2015 ; Centre Fédérale (N1) ; 2015-2016 : Le Mans ; depuis décembre 2016 : SLUC Nancy (prêt).

Ses stats avec le SLUC (Pro A) : 5 matches, 1,6 pts à 25 % de réussite, 2,4 rebonds, 1 contre, pour 2,8 d’évaluation en 10 minutes de jeu.

International jeunes, 5e au championnat d’Europe U16 en 2013, 6e au championnat d’Europe U18 en 2015.

Anthony GUILLE
2,17mComme la taille de Jonathan Jeanne.Le Guadeloupéen est un des plus grands joueurs du championnat, mais pas le plus grand. Le Chalonnais Moustapha Fall et le Limougeaud Romain Duport lui rendent un petit centimètre…

http://www.lnb.fr/fr/Pro-A/200007/Stats-equipes/?club=NAN&typeStat=c&from=2016&compet=92&jFrom=92101&jTo=&fmt=m&typeRes=

En regardant les stats individuelles par joueur on se rend compte à quel point Ebi Ere apportait :

En 27 minutes : 13.6 points à 43 %, 40 % à 3 points 82 % aux lancers francs, 3 rebonds, 2.6 passes, 1.2 interceptions 1.6 balles perdues, 12.7 d'évaluation.

Avec une vraie doublure poste 4 jfl en place de Mbaye on aurait pu bencher Trasolini pour certains matchs. Là à moins de décaler Hunt ou Ere en 4, ça laisserait Jeanne 40 minutes sur le poste.
Alors que Urtasun semble prendre toute sa mesure poste 3, je me demande bien qui Beugnot va mettre sur le banc quand Ere reviendra (fin de son arrêt le 16 Février, premier match le 27 Février à domicile contre le Paris-levallois, match télévisé).

http://www.bebasket.fr/championnat-espoirs/video---france-3-plonge-dans-l-intimite-des-espoirs-de-nancy--invaincus-apres-18-journees.html


Ca serait quand même dommage de foutre tout ca en l'air, de perdre P. Verdière que des clubs comme l'ASVEL accueillerait les bras ouverts....


Hay Ho!

Plus les matchs passent et plus je me dis que Beugnot a su faire progresser (et grave focus pour) Dario Hunt.

A son arrivée (Gregor), il se disait lors d'une de ses premières interview atterré par le manque de fondamentaux de certains joueurs. Les fondamentaux quoi! Ecran, prise de position, suivi de son vis-à-vis et cetera.

Persuadé aussi -ca c'est subjectif- que Dario a été "surpris" par le type de jeu pratiqué/niveau en ProA francaise. J'entends par là les qualités athlétiques et l'explosivité qu'elle demande, au détriment sans doute d'autres secteurs. Un peu l'impression que sa montée en régime correspond au fait qu'il commence à prendre la mesure du championnat, à s'y faire, et qu'en réalité... il est en train de s'y adapter pleinement!


Tout ce que je lui/nous souhaite  

Basket-ball - Sous les paniers du SLUC SLUC : Marc Trasolini, en situation régulière

Dans la tempête que traverse le SLUC, l’ailier-fort italien reste droit. Son parcours est presque un modèle de régularité. Rencontre avec l’un des cadres de l’équipe depuis le début de la saison.

Vu 278 fois
Le 08/02/2017 à 05:09
mis à jour à 23:00


Alors que le SLUC est dans l’ornière depuis le début de la saison, Marc Trasolini se distingue par sa régularité. Photo Pierre MATHIS
Alors que le SLUC est dans l’ornière depuis le début de la saison, Marc Trasolini se distingue par sa régularité. Photo Pierre MATHIS
Photo HD

Né a Vancouver et formé aux États-Unis (Santa Clara University), Marc Trasolini bénéficie de la nationalité italienne par ses grands-parents. Un statut plutôt intéressant lorsqu’il s’agit de venir jouer en Europe. Assez logiquement, sa préférence a d’abord été au championnat italien. « Avec le passeport, ça aide… », sourit-il. Il y a passé trois saisons (à Pesaro, Avellino et Agropoli). Avant de tenter l’aventure de l’autre côté des Alpes. « Pour découvrir un autre championnat, mais aussi une autre culture, une autre nourriture, d’autres personnes », dit-il.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que « l’Italien de Vancouver » n’a pas mis très longtemps pour s’adapter à sa nouvelle vie. Y compris sur le plan du basket. L’immersion dans un jeu sensiblement différent n’a pas été une barrière très difficile à franchir pour l’ailier-fort : « J’ai tout de même dû ajuster un peu mon jeu, mais je pense l’avoir fait assez rapidement. Le championnat de France est clairement plus athlétique que le championnat italien, notamment grâce aux joueurs français. En Italie, le jeu se situe un peu plus en périphérie, il est plus basé sur le shoot extérieur. Ici, on joue plus à l’intérieur. Je n’ai pas vraiment de préférence, mais ce que j’ai trouvé ici me convient. Je ne regrette pas mon choix, l’expérience me plaît ».

Sur le parquet, Marc Trasolini est l’un des très rares joueurs à traverser la zone de turbulences que subit le SLUC sans être réellement victimes de trous d’air. Depuis le début de saison, l’Italien est régulier (12,3 points, 6,7 rebonds et 14,7 d’évaluation moyenne) et il semble difficile de lui reprocher quoi que ce soit.
« Je ne peux pas être complètement satisfait »

Une satisfaction personnelle ? « Oui, j’essaie d’être constant et d’aider l’équipe autant que je le peux. Mais je ne peux pas être complètement satisfait de ma première partie de saison quand l’équipe a perdu autant de matches. C’est forcément frustrant ! », soupire le joueur qui, comme ses coéquipiers, avait enfin retrouvé le sourire, samedi soir, après la victoire face à Châlons-Reims, « nous avions perdu tellement de matchs après les avoir joués à fond… Nous étions meurtris par ces résultats. Je pense que cette victoire va nous permettre d’emmagasiner de la confiance ».

Rescapé de l’équipe d’origine, Marc Trasolini a assisté au bouleversement de l’effectif, au changement de coach. L’équipe actuelle est-elle plus forte que celle qui avait débuté la saison ? « C’est difficile à dire », réfléchit le joueur, « ce que je peux dire, c’est que ce n’est pas évident de trouver une alchimie lorsque vous changer de coach et plusieurs joueurs. Cela dit, maintenant, nous avons des joueurs qui ont de l’expérience. On a fait du bon boulot lors du dernier match et on aurait déjà dû battre Pau… Je crois qu’il y a des raisons d’être optimiste. C’est une nouvelle saison qui commence et nous voulons absolument la finir fort. Sur un plan personnel, si nous parvenons à sauver l’équipe, cela aura été réellement une bonne expérience… ».

T.S.

Marc trasolini régulier?il a quand meme eu quelques trous d'air cette saison...

Idem, effectivement les stats sont là et constantes, mais j'ai souvent l'impression qu'il est le facteur X de l'équipe dans le mauvais sens du terme parce que pas forcément constant sur la durée d'un match.

Et quand on ne trouve pas un bon J.Jeanne en relais comme Samedi ou pire quand on avait eu la bonne idée de ne pas vraiment lui associer une doublure à son poste, ça nous a coûté cher.

C'est déjà bien et s'il a une bonne rotation honnête pour le relayer quand il en a besoin, ça doit être une valeur sûre pour l'improbable opération remaintada en ProA.

Mais que reviendra Ebi ERE?
Le gars est pas rentré des US il y a 3 semaines???

Neodurden a écrit:

Mais que reviendra Ebi ERE?
Le gars est pas rentré des US il y a 3 semaines???

Il est rentré des USA mais ça ne veut pas dire qu'il est soigné.
Son arrêt va jusqu'au 16 février, ensuite le week end du 18-19 fev c'est la disneyland cup, donc si tout va bien il rejouera le 25 février contre Paris.

Ere


Absent depuis plus de deux mois en raison d’une blessure au mollet, Ebi Ere a participé à l’entraînement collectif, ce jeudi. L’ailier américain devrait être opérationnel pour la réception de Paris-Levallois, le 27 février, ce qui obligera Gregor Beugnot à faire un choix puisqu’il ne peut aligner que quatre des cinq étrangers non-Cotonou de son effectif.

Je sais pas si certain on regardé là final de la leaders cup . Quel niveau de jeu !!
Bost Wright Hodge Nelson , gladyr qui prend feu , Davis vs Uter a l'intérieur ca fait rêver ...

Rush est considéré comme non conservé sur le site de la LNB ? Des infos ? Ou bien l'ont il mis là en attente de nouvelles de la part du club étant donné que son contrat est arrivé à son terme ?

Rush est considéré comme non conservé et Dominique Sutton est toujours dans l'effectif, sûrement une erreur de la part de la LNB.

Wedj a écrit:

Je sais pas si certain on regardé là final de la leaders cup . Quel niveau de jeu !!
Bost Wright Hodge Nelson , gladyr qui prend feu , Davis vs Uter a l'intérieur ca fait rêver ...

Au Sluc Weisz n'à surtout pas eu de vision sur le moyen terme,on a eu des joueurs qui on fait des saisons "moyen plus" et on a pas voulu les garder prétextant qu'on trouverait mieux la saison d'après.
Le soucis c'est que ça n'à pas toujours été le cas.
Quand un joueur fait une première saison moyenne souvent il explose la saison suivante,quand on a un petit budget comme le Sluc faut savoir ne pas faire là fine bouche et ne pas prendre trop de risques.
Nichols puis Duggins fallait garder,Gladyr je l'aurai resigné il avait fait une saison moyenne mais de gros playoffs,Hannah puis Keydren Clark idem vu notre budget je resigne,ne parlons pas de Mipoka et surtout Devin Booker.
A vouloir repartir de zéro chaque saison on a fini par explosé.

vince a écrit:

Wedj a écrit:

Je sais pas si certain on regardé là final de la leaders cup . Quel niveau de jeu !!
Bost Wright Hodge Nelson , gladyr qui prend feu , Davis vs Uter a l'intérieur ca fait rêver ...

Au Sluc Weisz n'à surtout pas eu de vision sur le moyen terme,on a eu des joueurs qui on fait des saisons "moyen plus" et on a pas voulu les garder prétextant qu'on trouverait mieux la saison d'après.
Le soucis c'est que ça n'à pas toujours été le cas.
Quand un joueur fait une première saison moyenne souvent il explose la saison suivante,quand on a un petit budget comme le Sluc faut savoir ne pas faire là fine bouche et ne pas prendre trop de risques.
Nichols puis Duggins fallait garder,Gladyr je l'aurai resigné il avait fait une saison moyenne mais de gros playoffs,Hannah puis Keydren Clark idem vu notre budget je resigne,ne parlons pas de Mipoka et surtout Devin Booker.
A vouloir repartir de zéro chaque saison on a fini par explosé.

Tu as oublié Shuler qui voulait revenir.