[Effectif 2K16-17] Retour de Ebi Ere ?

BASKET - SLUC NANCY : SUTTON A SIGNÉ


Le retour du contrat signé est arrivé dans la nuit. Dominique Sutton pourrait être à l'entraînement ce soir. Il sera qualifié pour jouer lundi contre Le Portel.

Nancy. C’est fait. Le Président Barbé vient de le confirmer ce matin par un SMS à la rédaction .
Le contrat de Dominique Sutton (30 ans, 1,98 m ; 98 kg) est bien revenu signé dans les bureaux du SLUC.

Le joueur qui a participé à son dernier match le 28 octobre dernier contre Giessen avec Ulm, tournait en sept matches de Bundesliga à 7,4 points et 4,8 rebonds en 17 minutes de jeu dans une équipe… invaincue dans la ligue allemande (9 matches à ce jour, 9 victoires). Autre référence importante à signaler dans le CV de Sutton : le titre en D-League (ligue mineure aux États-Unis) en 2015 avec les « Santa Cruz Warriors » et sa dernière saison en Lega italienne à Trente .

Dans le cinq majeur de l’équipe, il a été notamment le demi-finaliste malheureux en Eurocup contre Strasbourg. Avec Trente, Sutton a tourné à 9,1 points, 4,8 rebonds, 10,6 d’évaluation en 24 minutes de temps de jeu sur 22 matches d’Eurocup, compilant notamment en quarts de finale contre Milan 16 et 20 points sur les matches aller et retour avec deux évaluations à 25 et 34. Alain Weisz qui prépare évidemment le match contre Le Portel, espérait même hier soir pouvoir accueillir dès ce mardi en fin de soirée, son nouveau joueur à l’entraînement pour le présenter à ses nouveaux coéquipiers.

Gilles GAIHIER

Vidéo récente avec Ulm
http://www.ratiopharmulm.com/news-archiv/1769-dominique-sutton-verlaesst-ratiopharm-ulm

Franchement convaincu par le profil, athlétiquement c'est un monstre, pas vraiment de rapport avec Pat Durham à part qu'on va peut être revoir un dunk 360 à Gentilly.

Reste à voir comment le temps de jeu sera partagé avec Ere et Trasolini.
C'est une énorme opportunité qui est donnée à Ben en tout cas (longue interview dans la semaine de ce jour), à lui de répondre présent.

content de cette signature


sinon quelqu'un a le mail du rédacteur en chef de ce torchon qu'est devenu l'est répu ?

que je lui dise tout le bien que je pense de son sbire Gahier

se permettre d'écrire sur ce ton là, c'est inadmissible

L'impartialité des journalistes a disparu depuis longtemps il n'y a qu'à voir ce qu'il ce passe en ce moment. Trouver la phrase qui fait le buzz , il y a du monde, en revanche étayer les articles, aller au fond des choses .... là il n'y a plus grand monde.

Il est clair que Mr Gahier ne portait pas Fra dans son cœur, mais être à ce point acharner c'est impressionnant . Dans chaque article de l'Est qu'il a écrit depuis le départ de Fra il y a au moins 1 tacle.

Bon ca paraîtrait gros et on se demande ce qu'il viendrait trouver a Nancy qu'il n'aurait pas a Strasbourg ou au Mans mais après tout Weisz est en fin de contrat....-sifflote-

http://rmcsport.bfmtv.com/basket/pro-a-vincent-collet-va-coacher-la-saison-prochaine-probablement-en-france-1059391.html

Ce n'est qu'une opinion personnelle mais je trouve pitoyable la réaction de certains, groupies ou proches de l'ancien président, ou ni l'un ni l'autre, simplement supporters qui râlent sur les articles de l'Est alors qu'ils étaient les premiers a se plaindre quand il n'y en avait pas.
On peut aimer ou non et le dire et l'écrire mais il y a des limites a ne pas franchir.
Mais je le répète ce n’est que mon avis !

Une groupie est une personne, qui admire un musicien, un chanteur ou un groupe de musique et qui le suit dans ses déplacements. Partisan inconditionnel d'une personne, d'un groupe ou d'un parti, une groupie ne supporte pas les critiques faites sur ses idoles.

Espérons une bonne surprise....Par contre ,il ne sera pas dépaysé aux LFS ,il affiche un coquet
54 °/ ,une paire de rondins aux bouts des mains ....Mais s'il nous la fait en mode Tank ,ca me va ,parceque les shoots derriére l'arc ,ca commence a me saouler .Et je rejoins la majorité du fofo ,(édité)Etno tes insultes ca commence à bien faire... On va être gentil encore une fois mais tu es averti.,en mode pompage le journaleux ,courage MR FRA !!

Benjamin Sene : "J'étais frustré, je suis libéré"
http://www.lasemaine.fr/2016/11/10/benjamin-sene--j-etais-frustre-je-suis-libere

Soulagé après la victoire de prestige face à l'ogre monégasque (76-71), samedi 5 novembre, le meneur de jeu du SLUC se confie sur son début de saison compliqué, sa relation avec son entraîneur Alain Weisz et ses rêves du haut de ses 22 ans. Entretien exclusif.

•LA VICTOIRE FACE À MONACO

Pensiez-vous être capable de battre la Roca Team, invincible leader de Pro A jusqu'ici ?
A part nous les joueurs, pas grand monde n'y croyait ! On n'avait strictement rien à perdre face à ce qui se fait de mieux actuellement en France. C'est un véritable exploit car on n'était pas au mieux avec déjà 5 défaites en 6 journées, dont 3 à la maison (Limoges, Cholet et Gravelines).
Maintenant, il ne faut pas que ce soit un succès sans lendemain. C'est un plus dans notre saison qui doit nous redonner de la confiance. Les deux prochains matchs sont aussi, voire même plus importants à Châlons-Reims (12 novembre à 20h) et face au Portel à Gentilly (21 novembre à 20h). Deux équipes théoriquement dans nos cordes même si tout le monde peut battre tout le monde en Pro A cette saison.
Et à titre individuel ?
Cette victoire fait du bien au moral, j'en avais vraiment besoin. Ma prestation demeure assez solide (8 points et 4 passes décisives, ndlr) même si je sais que je peux faire beaucoup mieux. J'ai défendu à fond sur Jamal Shuler, un client. J'ai toujours une sensation bizarre quand je l'affronte. J'étais espoir quand il portait le maillot du SLUC. C'est quelqu'un que j'apprécie beaucoup, je le considère un peu comme un grand frère. Il m'a souvent donné des conseils à l'époque, il était aussi là quand je me suis cassé le bras et m'a pas mal soutenu durant une période forcément pas simple à vivre. On s'est tiré la bourre pendant 40 minutes, puis on a passé la soirée ensemble sur Nancy.
Quelle était l'atmosphère dans les vestiaires ?
Il y avait tout simplement de la joie. C'était plus festif qu'à l'accoutumée, ça discutait, ça rigolait. On a vraiment savouré tous ensemble même si l'on est encore très loin de ce que l'on voulait réussir en début de saison. C'est un premier pas dans notre renconstruction et une référence de battre le premier sur laquelle il faut s'appuyer.
Quand on fait tomber le premier de la classe, on se dit que la place du SLUC n'est pas tout en bas...
Dans les faits, on y est. Il ne sert à rien de se voiler la face. Après la saison de l'an dernier, il est normal que les gens s'inquiètent. Mais le championnat est vraiment très serré et ne fait que commencer. On est finalement qu'à une victoire de la 8e place, détenue pour l'instant par Hyères-Toulon et qualificative pour la Leaders Cup. Je pense que l'on peut se mêler à la lutte pour les play-offs. Il y a de qualité dans cette équipe, dans toutes les lignes.

•LE DÉBUT DE LA SAISON

Comment expliquez-vous le retard à l'allumage de l'équipe ?
Je n'ai pas vraiment d'explication car on n'a jamais pris de taule depuis le début de saison. Nous avons souvent perdu dans le money-time à cause de mauvais choix, d'une mauvaise gestion, de balles bêtement perdues, de lancers-francs ratés et puis à force d'un manque de confiance. L'équipe a également été renouvelée dans ses grandes largeurs à l'intersaison puisque je suis le seul survivant de celle de l'an dernier. Il faut que la mayonnaise prenne.
Et personnellement ?
Ce début de saison est loin de mes attentes. Je ne cherche pas la moindre excuse, mais je pense que j'ai des circonstances atténuantes. Alain Weisz m'a présenté un projet en fin de saison dernière dans lequel j'avais une place prépondérante. Je l'ai trouvé intéressant et c'est la raison pour laquelle je suis resté. Je ne voulais pas finir non plus avec Nancy sur une mauvaise note. Sauf qu'il y a un réél décalage entre le projet présenté, théorique et la réalité. J'étais plus une doublure qu'un joueur majeur. J'étais du coup moins serein, j'avais peur de mal faire quand j'entrais sur le parquet et je ne tentais pas grand chose. J'étais dans un cercle vicieux, j'étais frustré que les promesses ne soient pas tenues. On a tout mis à plat avec le coach avant Dijon, il y avait également le président Marc Barbé. Ils m'ont dit qu'ils attendaient beaucoup plus de moi. Je le comprends car je n'étais pas le joueur libéré de l'an passé. Ils m'ont aussi fait comprendre qu'ils n'étaient pas satisfaits du rendement de Grégory Vargas. On va voir ce que ça va donner. Je travaille dans mon coin, j'arrive toujours une heure avant les autres à l'entraînement et je suis sans doute le dernier à en repartir.
Deviez-vous être le meneur titulaire dans le projet initial ?
Peu importante que je sois titulaire ou non si je gardais le même temps de jeu et les mêmes responsabilités. Or, ce n'était pas le cas. Je n'étais quasiment jamais non plus en même temps sur le parquet que Grégory. Je dois reconnaître que j'ai pas mal gambergé ces derniers temps. Je sens que la forme revient petit à petit. J'ai mangé mon pain noir, le meilleur est à venir.
Etes-vous déçu de plus souvent jouer au poste 2 que 1 ?
Honnêtement, non ! Je sais que je peux être à l'aise sur les deux postes. L'adresse, ça va, ça vient. Dans un jour avec, je préfère évoluer au poste 2. Et dans un jour sans, je peux me concentrer sur la création et la passe. En fin de saison dernière, j'avais dit à Alain Weisz que je me sentais mieux dans mes pompes avec des joueurs qui alternent au poste 1 et 2, ça enlève pas mal de pression. Quand l'un est fatigué, l'autre peut prendre le relais. C'est aussi pour ça que notre binôme avec Steed Tchicamboud a bien fonctionné l'an passé.
Alain Weisz n'est-il pas trop dur avec vous, lui qui n'avait pas été tendre avec vous après la défaite face à Gravelines (65-70) ?
Je lis très peu la presse, je suis dans mon cocon. S'il n'était pas exigeant avec moi, ça voudrait dire qu'il s'en moque, que ma progression ne l'intéresse pas. Il compte sur moi, je le sais. Il attend simplement plus car il sait que je peux faire beaucoup mieux. Le premier pas à faire était d'aller lui parler. J'en ai également discuté avec mes parents et mon agent Bouna N'Diaye. Même moi, ça m'a libéré. On repart aujourd'hui presque de zéro.
La démission de Christian Fra a-t-elle eu une incidence sur l'équipe ?
Je ne pense pas car j'étais le seul à le connaître. Quand j'ai appris la nouvelle, j'étais un peu sous le choc. Depuis je suis à Nancy, c'est lui le président. Le SLUC perd un grand monsieur. Il avait un côté protecteur avec moi. Il m'avait envoyé un sms pour me féliciter après ma victoire au concours des meneurs lors du dernier All-Star Game.

•LE POSTE DE MENEUR
Vous avez côtoyé une pléiade de meneurs de jeu depuis vos débuts avec Nancy. Quel est celui qui vous a le plus apporté ?
Keydren Clark, il y a deux ans. Il me parlait beaucoup sur et en dehors du terrain. Il m'a clairement fait avancer et progresser à tous les niveaux.
Et Marcus Banks ?
Il m'a évidemment marqué. On n’a pas l'habitude de croiser ce genre de meneur de jeu en Europe, il avait un style à l'américaine, très « show time ». Quand il avait la main chaude, il était juste inarrêtable. Et inversement, quand il était moins bien, ses lacunes ressortaient aussitôt. Les meneurs européens sont très différents, ils ont toujours une base. Le coach me parle constamment de Vasílis Spanoúlis de l'Olympiakos. Même s'il perd pas mal de ballons, il tente beaucoup de choses, est toujours régulier en ce qui concerne le scoring et les passes décisives.
Et votre nouveau coéquipier, Grégory Vargas, dans tout ça ?
Il parle beaucoup moins en comparaison des autres meneurs que j'ai pu connaître ici par le passé. Il chambre beaucoup à l'entraînement. Même quand il a tort, il essaie d'avoir raison. On l'a déjà tous remarqué (rires).
Quels sont les meneurs qui vous bluffent actuellement ?
Depuis mes débuts, on me compare toutes proportions gardées à Tony Parker, la référence du poste à mes yeux. Aujourd'hui, il y en a deux qui sont au-dessus de la mêlée. En Europe, il y a Vasílis Spanoúlis car il est capable de passer à côté de son match pendant 35 minutes et de faire gagner son équipe dans le money-time. En NBA, c'est le magicien Russell Westbrook du Thunder d'Oklahoma City. Je n'ai pas de mots pour le décrire tellement il est fort. Je suis d'une manière générale un mordu de basket. Je regarde tout ce que je trouve à la télévision, j'aime beaucoup le jeu des Spurs. La présence de Tony Parker dans l'équipe y est forcément pour quelque chose.

•SES AMBITIONS
A quoi rêve Benjamin Sene à 22 ans ?
Dans un coin de la tête, il y a la NBA. Il ne faut pas brûler les étapes et réussir de bonnes saisons en Europe. Je dois désormais m'affirmer comme l'un des meilleurs meneurs de la Pro A, aussi bien français qu'étrangers. Il n'y a que comme ça que je pourrais attirer des clubs d'Euroligue ou américains.
Et il y a 10 ans ?
Je n'étais même pas en centre de formation, je ne pensais pas finir professionnel. Je jouais au basket pour le plaisir. C'est vraiment durant ma première année au centre de formation que j'ai eu le déclic et que j'ai pris conscience de mes capacités. J'ai commencé à m'entraîner avec les pros durant la deuxième année. La première fois, j'étais comme un fou, je courais partout. C'était un mercredi après-midi, j'avais un maillot qui descendait jusqu'aux genoux et un short jusqu'aux tibias. J'étais très petit à l'époque. J'ai pris conscience du travail à fournir pour y arriver. J'ai alors mis les bouchées doubles pour parvenir à mes fins.  
Dans quels domaines êtes-vous encore perfectible ?
Physiquement, il y a encore du travail. Sur des écrans ou des impacts, je ne tiens pas toujours la comparaison. Niveau basket, c'est dans la prise de décision, je dois anticiper les actions. Je dois aussi progresser dans le leadership même si je suis sur le bon chemin dans ce domaine. Je commence à prendre la parole dans le vestiaire grâce essentiellement à mon tempérament de compétiteur. Je sais que je suis capable de scorer même si ce n'est pas quelque chose qui m'obsède à chaque match.
Vos parents tiennent-ils une place de choix dans votre carrière ?
Ils habitent en Gironde. Ils suivent avec assiduité mes performances et les résultats de l'équipe. Depuis que mon frère et moi sommes dans le basket, mon père s'est pris au jeu. Ma mère a mis plus de temps. Elle est protectrice et très bileuse. Un peu trop d'ailleurs, mais je peux le comprendre. Elle vient dès qu'elle le peut ; elle sera là fin novembre. C'est plus compliqué pour mon père parce qu'il finit tard le vendredi et reprend tôt le lundi matin.
Vous avez également goûté cet été à l'équipe de France...
C'était déjà quelque chose d'inattendu. Quand Flo Piétrus m'a annoncé la nouvelle, j'ai d'abord cru à une blague. L'équipe était au tout début de sa préparation pour les Jeux Olympiques. Vincent Collet n'était pas là, Tony Parker non plus. Même si je ne suis pas resté longtemps, j'ai écarquillé les yeux en grand et j'ai profité à fond du moment. J'ai par exemple pris le petit-déjeuner avec Boris Diaw. Rien que ça, c'était juste extraordinaire. J'ai eu droit au traditionnel bizutage. J'ai dû ramasser tous les ballons envoyés dans le Palais des Sports de Pau à la fin d'un entraînement, ils s'en sont donné à cœur joie, mais c'était gentillet.
Quelle image aimeriez-vous que l'on garde de vous au SLUC ?
Un jeune homme souriant, un joueur qui n'a jamais triché, a toujours mouillé et respecté les couleurs du club. Avant de partir, j'espère gagner un titre : la Leaders Cup, la Coupe de France ou le championnat. Je sais que ça semble très compliqué, mais je reste persuadé que ce n'est pas infaisable. Quand l'on bat Monaco, rien n'est impossible

5NancyBoy4 a écrit:

Bon ca paraîtrait gros et on se demande ce qu'il viendrait trouver a Nancy qu'il n'aurait pas a Strasbourg ou au Mans mais après tout Weisz est en fin de contrat....-sifflote-

http://rmcsport.bfmtv.com/basket/pro-a-vincent-collet-va-coacher-la-saison-prochaine-probablement-en-france-1059391.html

Strasbourg avant COLLET à fait 14e et 12e. Pas faramineux. Mais il y a eu un projet... Qui sait...Si le SLUC à un projet....
Après, le hic sera financier. COLLET cnest forcément cher...Il faut sans doute des garanties financières derrière... Bref... A PARIS ? Avec Batum ? Plus crédible....

Super interview... Un super jeune ce benjamin... J'aurais adoré qu'il emmené le sluc un peu plus haut. Puisqu'on remet tout à plat...Qui sait... Le sluc va peut être vivre sa révolution.

Par contre c'est assez effrayant qu'un coach en quelques semaines annonce qqch à un joueur et fasse l'inverse sciemment. Heureusement que ben est une bonne pâte.... Y 'a des divorces pour moins que ça...

Soeur les modos 😊,mais j'appelle un chat ,un chat quoi .En tout cas bienvenue Sutton ,et liberettoi Ben .....😉

Désolé ( sorry -soeur )...😂correcteur me joue de chez tours !

Oui super interview qui montre encore une fois que la parole de Weisz n'est pas parole sainte ... comment on peut promettre à quelqu'un (qui joue aussi son avenir) qu'il va être au cœur de la création d'équipe et que finalement on lui met le plus gros salaire du club devant lui .
Quand mon boss me promet un job et qu'il recrute deux semaines après quelqu'un pour ce job. Bah ma lettre de démission n'est pas loin d'être envoyé. Heureusement que Ben est une bonne pâte comme dit au dessus

jtexc a écrit:

Ce n'est qu'une opinion personnelle mais je trouve pitoyable la réaction de certains, groupies ou proches de l'ancien président, ou ni l'un ni l'autre, simplement supporters qui râlent sur les articles de l'Est alors qu'ils étaient les premiers a se plaindre quand il n'y en avait pas.
On peut aimer ou non et le dire et l'écrire mais il y a des limites a ne pas franchir.
Mais je le répète ce n’est que mon avis !

Une groupie est une personne, qui admire un musicien, un chanteur ou un groupe de musique et qui le suit dans ses déplacements. Partisan inconditionnel d'une personne, d'un groupe ou d'un parti, une groupie ne supporte pas les critiques faites sur ses idoles.

mouais la question n'est pas de savoir si on est pro ou anti Fra, ou pro ou anti nouvelle direction

le problème est que les règlements de compte dans CHAQUE article n'ont pas lieu d'être dans un journal qui se dit sérieux !

Fra est parti, pas la peine pour l'Est de remuer la merde à chaque fois, on en parle plus et on passe à autre chose

la seule chose importante c'est le SLUC et je suis convaincu que le ton de ce genre d'articles dessert le SLUC profondément

Impressionne par le physique de sutton. M'attendais pas à Ca. Bonne surprise qui sait.

DOMINIQUE SUTTON : “JE VEUX AIDER L’EQUIPE … “
http://www.sluc-basket.fr/dominique-sutton/

Tout juste arrivé d’un long voyage entre ULM et Nancy, le néo Nancéien, Dominique SUTTON, nous a accordé quelques mots avant de découvrir sa nouvelle équipe.

Comment te sens-tu physiquement ?

” Je me sens très bien physiquement. Je viens tout juste de Ulm (Allemagne) qui joue l’Eurocup, avec qui je me suis entrainé hier. Mentalement tout va bien. J’arrive donc en forme pour aider ma nouvelle équipe.”

Que s’est il passé lors des ces derniers jours, avant ta signature au SLUC ?

” Mon agent a reçu un appel il y a quelque jours expliquant que le club souhaitait me recruter.
J’ai décidé seulement hier de signer en faveur du SLUC Nancy. C’est un choix vraiment important pour la suite de ma carrière. Je veux aider l’équipe à retrouver la bonne voie et se sortir de la mauvaise situation dans laquelle elle est.
Je vais devoir découvrir mes nouveaux coéquipiers et les systèmes rapidement, afin de préparer la prochaine rencontre qui est déjà importante.”

Pourquoi le SLUC Nancy Basket ?

” J’ai beaucoup entendu parler de la Pro A en général. C’est un championnat athlétique qui peut me convenir, avec beaucoup de changements de rythme. J’ai choisi Nancy car le club est dans une situation dans laquelle je peux aider. Je peux apporter ma confiance à un groupe qui se met peut-être à douter. J’espère en tout cas que je pourrai être un élément important de l’effectif.
J’ai également eu écho que le club était un très professionnel… et c’est très important. Tout ces détails m’ont aidé dans mon choix de rejoindre Nancy. ”

Q.LOZZIA

Domi-nique la ProB!

le physique est adapté à un mode clébard mais, comme souvent, tout dépend de la manière où il sera utilisé...

[quote="ONDAFACE"]le physique est adapté à un mode clébard mais, comme souvent, tout dépend de la manière où il sera utilisé...[/quote

Gageons que le clebard réveille un peu les chatons endormis. S'il a la rage c'est encore mieux!

BASKET-BALL - DOMINIQUE SUTTON EST ARRIVÉ À NANCY HIER SOIR
BASKET-BALL (SLUC) - DOMINIQUE SUTTON : « L’HABITUDE D’ÊTRE UN OUTSIDER »

C’est fait ! Dominique Sutton a paraphé son contrat hier soir et vient garnir les rangs du SLUC. Joueur physique, bon rebondeur, l’Américain est excité à l’idée de démarrer sous ses nouvelles couleurs.
16/11/2016 à 05:10, actualisé à 00:11 Vu 245 fois

Dominique Sutton : « C’est intéressant d’arriver dans une équipe et de l’aider à remonter au classement ». Photo Patrice SAUCOURT
Dominique Sutton : « C’est intéressant d’arriver dans une équipe et de l’aider à remonter au classement ». Photo Patrice SAUCOURT

Cela n’a pas traîné. Après avoir paraphé son contrat tard lundi soir, Dominique Sutton a quitté hier l’Allemagne où sa pige médicale à Ulm s’était achevée. Le temps de faire la route dans la voiture conduite par le fidèle Julien Marbouré, et l’ailier américain était à Gentilly en début de soirée pour faire la connaissance d’Alain Weisz et ses coéquipiers après l’entraînement. Sa première séance collective est prévue ce matin après l’indispensable visite médicale. Et hier, devant les vestiaires nancéiens, Dominique Sutton avait hâte de rentrer dans le vif du sujet avec sa nouvelle équipe…

Dominique Sutton, pourquoi avez-vous décidé de signer au SLUC ?

Si j’étais resté à Ulm, j’aurais sans doute un peu moins joué d’autant qu’il y a sept Américains dans l’équipe (NDLR : Dominique Sutton était le pigiste médical de Rubit Augustine). A Nancy, je pense que je pourrai jouer un peu plus et prendre du plaisir. J’avais des offres d’autres clubs allemands et en Italie, mais j’ai choisi la meilleure opportunité. Nancy, ce n’est pas très loin et mon agent m’a dit que le club était bien organisé, que la ville était belle. C’est une super situation pour moi.

Vous connaissiez des joueurs de l’équipe nancéienne ?

Je connais Dario Hunt que j’ai affronté la saison dernière en Italie. Les autres, je vais apprendre à les connaître.

Ce sera votre première expérience en France, mais vous avez fait un essai non concluant à Chalon à l’été 2012. Pourquoi cela n’avait pas fonctionné ?

En fait, je sortais d’université et c’était ma première saison pro. Je ne sais pas pourquoi cela n’a pas marché, pourquoi le coach (Gregor Beugnot) ne m’a pas apprécié, ce que je sais, c’est que je n’ai pas eu la possibilité de montrer ce que je savais faire. C’était juste une mauvaise situation. Mais la saison dernière, j’ai eu l’occasion d’affronter des clubs français avec Trento en Eurocup (NDLR : l’Américain avait croisé la route de Nanterre puis Strasbourg en demies). Je me suis dit que la Ligue française avait l’air athlétique.

« J’aime attaquer le cercle »

Pour un joueur athlétique comme vous, c’est un style qui devrait vous correspondre…

Oui, c’est vrai (sourire). Je suis un joueur qui met de l’énergie, qui défend. La défense est un de mes points forts. Et puis, j’aime attaquer le cercle.

Vous évoluiez dans un club qui était invaincu en neuf matches de Bundesliga pour rejoindre une équipe qui est relégable en France. Ce n’est pas compliqué ?

Pas du tout. Comme je vous l’ai dit, j’ai l’habitude d’être un outsider. C’est intéressant d’arriver dans une équipe et de l’aider à remonter au classement. On peut surprendre, essayer de se hisser dans le Top 8. Il n’y a que huit journées de jouées, la saison est encore longue.

Vous allez normalement commencer lundi. Vous savez le nom de votre premier adversaire ?

Honnêtement, j’ai regardé mais je n’ai pas retenu (sourire)… Je sais que notre prochain match à la maison, on va affronter une équipe dont le logo est un requin (Antibes, NDLR). Mais le prochain adversaire, je ne m’en rappelle pas.

Ce sera Le Portel qui est relégable comme le SLUC. Un match déjà important pour commencer…

OK. Je suis excité. Je vais participer à ma première séance collective demain (lire aujourd’hui). Avec quelques jours d’entraînement, je pourrai un peu mieux connaître l’équipe et mes coéquipiers. J’ai hâte !

Dominique Sutton en bref

Né le 20 octobre 1986 ; 1,94m.

Nationalité : américaine.

Postes : intérieur, ailier, arrière.

Son parcours : 2008/2011 : Kansas City University (NCAA) ; 2011/2013 : North Carolina University (NCAA) ; 2012/2013 : Tulsa 66ers (D-League) ; 2013/2014 : Ikaros Chalkidas (Grèce) ; 2014/2015 : Santa Cruz Warriors (D-League) ; 2015/2016 : Trento (Italie) ; 2016/2017 : Ulm (Allemagne).

Ses stats à Ulm : 7.4 points, 4.5 rebonds et 1.2 passes décisives par match en Bundesliga, et 7.8 points et 2.5 rebonds en Eurocup.

Propos recueillis par Anthony GUILLE

Mdr! Il est de plus en plus petit: au début il faisait 1.98 puis 1.96 et maintenant. 1.94!

Finalement il va bouffer le temps de jeu à mcfadden....

Corpus Christi a écrit:

Finalement il va bouffer le temps de jeu à mcfadden....

Mais Mc Fadden va en prendre sur celui de Vargas.
Ce qui est plus gênant c'est qu'il peut en bouffer à Eré ou(et) à Trasolini.

Superfaktor a écrit:

Mdr! Il est de plus en plus petit: au début il faisait 1.98 puis 1.96 et maintenant. 1.94!

c'est clair !

au final on va se retrouver avec un Marques Green qui joue poste 4