[ProA - J4] Boulazac BD bat SLUC Nancy, 79-87 (38-37), A.P.

Attention, samedi 27 octobre, le coup d'envoi de SLUC - Boulazac sera donné à 17h30... Bizarre cet horaire. En fait, comme il y a un certain ASNL - PSG le soir même, tout s'explique.
Du coup, vais sans doute faire le doublé !!!

Benoit ADAM a écrit:

Attention, samedi 27 octobre, le coup d'envoi de SLUC - Boulazac sera donné à 17h30... Bizarre cet horaire. En fait, comme il y a un certain ASNL - PSG le soir même, tout s'explique.
Du coup, vais sans doute faire le doublé !!!

D'après l'ER papier de ce matin, rien n'est encore fixé.
Le SLUC essaye de déplacer le match à vendredi soir ... pour éviter la concurrence avec le match de l'ASNL.

ah ok. Ce serait pas plus mal en effet.

Benoit ADAM a écrit:

Attention, samedi 27 octobre, le coup d'envoi de SLUC - Boulazac sera donné à 17h30... Bizarre cet horaire. En fait, comme il y a un certain ASNL - PSG le soir même, tout s'explique.
Du coup, vais sans doute faire le doublé !!!

T'as déjà acheté ta place pour l'asnl? si c'est non dépêche toi, car avec leur pack match sochaux + psg y'a déjà plus grand chose de libre

Me suis abonné cette saison à l'ASNL !!!! La bonne année je crois :-) Sinon ce samedi, ce sera bien sûr direction Gentilly.

Je serai le SLUC, je mettrai ce match le dimanche plutôt que le samedi. Cet horaire, pour un samedi, c'est n'importe quoi. Autan faire un huis clos.

Mais le truc, c'est qu'il n'y a peut être plus de train pour Boulazac le dimanche...

Horaire confirme sur le calendrier de la lnb, samedi 17h30...
Pour ce faire les deux matchs faudra pas trainer...je suis pas sur qu'il y aura autant de gens qui se feront les deux...ou alors en scooter... Et sinon Ibra il peut pas dépanner en 2?

http://www.sudouest.fr/2012/10/25/jacques-auzou-de-nouveau-en-garde-a-vue-860668-1980.php

« Je m'y suis aguerri »
Le BBD de Sylvain Lautié se déplace, demain, à Nancy. L'occasion pour l'entraîneur boulazacois de retrouver un club avec lequel il a remporté, en 2002, la Coupe Korac.
Avec Vincent Masingue et sa « French Team », Sylvain Lautié a conquis l'Europe.




Avec Vincent Masingue et sa « French Team », Sylvain Lautié a conquis l'Europe. (arch. « est républicain »)



Qu'ont en commun André Buffière, Michel Gomez et Sylvain Lautié ? Les deux premiers avec Limoges (1), le troisième avec Nancy sont les trois seuls entraîneurs français à compter à leur palmarès une Coupe d'Europe. L'actuel coach du BBD est même le dernier à l'avoir conquise. En 2002, il a remporté avec le club lorrain l'ultime Coupe Korac de l'histoire (2). « Une aventure exceptionnelle », se remémore-t-il.

Dans la vie, Sylvain Lautié n'est pas homme à regarder dans le rétro : « Jamais, ce n'est pas mon truc. » Demain, néanmoins, son passé (glorieux) va le rattraper. Un BBD ragaillardi par sa première victoire de la saison contre Poitiers, samedi au Palio (73-67), se déplace au palais des sports Jean-Weille pour y défier un Stade Lorrain Université Club (Sluc) de Nancy branché sur courant alternatif (un succès à domicile, deux défaites à l'extérieur).


« Ce sera beaucoup d'émotions pour moi de revenir à Nancy, dix ans après avoir gagné la Korac, acquiesce Lautié. C'est beaucoup de souvenirs, de personnes marquantes, et notamment le président Jean-Jacques Eisenbach, mon adjoint Benoist Burguet, et bien sûr les joueurs, car un entraîneur n'existe que par eux. J'ai eu le plaisir de coacher une "French Team". Dans l'équipe, il y avait Joseph Gomis, Maxime Zianveni, Fabien Dubos, Vincent Masingue, Cyril Julian, un grand monsieur et un grand capitaine. C'est grâce à eux et aux autres gars du groupe que j'ai cette carrière et le bonheur, aujourd'hui, de vivre de ma passion. »
D'abord adjoint de Dubuisson

« Quand j'en suis parti (en 2004, NDLR), reprend-il, j'ai fait mon carton en cinq minutes, et je ne suis plus jamais revenu. Ou peut-être deux fois à Gentilly (surnom donné à la salle nancéienne, NDLR). Honnêtement, j'ai quitté le club de mon plein gré. Il me restait un an de contrat. Je me suis mis d'accord avec le successeur de Jean-Jacques Eisenbach, Christian Fra. Il faut savoir tourner la page. C'était le bon moment pour moi de m'en aller. »

Quatre ans plus tôt, après une seule saison de Pro A à la tête de Montpellier, Sylvain Lautié débarquait en Lorraine comme assistant d'Hervé Dubuisson. « J'avais plutôt décidé de couper car j'étais usé mentalement par la pression, expose-t-il. Et puis, j'ai finalement replongé tout de suite. Nancy avait un véritable projet, une belle infrastructure. Le club souhaitait créer un centre de formation. C'était un challenge intéressant quel que soit le poste occupé. En France, on est un peu psychorigide avec la définition des postes. Aux États-Unis, un adjoint devient entraîneur, redevient adjoint, il n'y a pas de honte. Moi, mon plaisir, c'est d'entraîner à haut niveau, que ce soit les espoirs, comme adjoint ou coach de la première. »

Le costume de coach de Nancy, Sylvain Lautié l'endossera en mai 2001. Car le 10 du même mois, Dubuisson est victime d'un grave accident de moto. « J'ai fait les trois saisons suivantes, énonce l'actuel entraîneur boulazacois. L'accident d'Hervé a changé mes plans car je devais signer à Cholet. Je n'ai pas eu trop le choix, on devait jouer les play-offs. Puis on m'a demandé de resigner en attendant le retour d'Hervé. S'il était revenu, il aurait repris tout naturellement sa position de coach principal, c'était clair pour moi. »

À Nancy, Sylvain Lautié a « découvert un autre niveau, avec une toute autre pression. Une ville qui respire le basket même s'il y a aussi le foot avec l'ASNL ». De l'épopée en Coupe Korac, le natif de Saint-Cloud, en région parisienne, conserve d'abord à l'esprit « le fabuleux engouement autour du club ».

Ensuite, la finale, en matchs aller-retour, face aux Russes du Lokomotiv Mineralnye Vody Rostov (victoire 98-72 à Nancy, défaite 95-74 à Rostov) : « Ce sont les deux matchs clés. À Nancy, Julian se blesse au bout de cinq minutes, l'arbitrage n'est pas cohérent. D'habitude, quand on est dans le match, on ne perçoit pas le bruit autour. Là, j'ai entendu une énorme bronca. C'était impressionnant. Et puis, il y a le retour. On était comme Rocky Balboa, dans une atmosphère très particulière, avec des militaires dans la salle. On est revenu en France en Tupolev. On pouvait passer le doigt à l'extérieur ! Lorsqu'on est arrivé en bus à Nancy, sur l'une des plus jolies places du monde, la place Stanislas, c'était noir de monde. »

Forcément la saison la plus aboutie de sa carrière ? « Ce n'est pas la plus belle. Les meilleures saisons ne se font pas sur les résultats, mais sur le plaisir. On peut prendre du plaisir en perdant. Le plaisir, c'est d'avoir un groupe, de faire en sorte qu'il travaille bien ensemble. En fait, la plus belle saison, c'est toujours celle qui vient. On ne peut pas revenir continuellement sur le passé si on veut évoluer. »
Le basket comme le Sudoku

Pas la plus belle donc, mais ces quatre années lorraines ont servi à forger le Lautié (44 ans) d'aujourd'hui. « À la fin des quatre années, je me suis dit : "Punaise, j'ai progressé." La pression augmente le seuil de concentration qui te permet de franchir des paliers. Ça a été vraiment ça. Le même sentiment qu'au Sudoku. Tu passes le premier niveau, le deuxième et à partir du troisième, il te faut être concentré. Quand tu arrives au niveau 8, il convient d'être très, très concentré. Tu sais que tu as franchi ces paliers car tu comprends tous les mécanismes du jeu. J'ai franchi à Nancy de gros paliers car j'ai compris réellement le mécanisme du jeu du basket. Je m'y suis aguerri. J'ai développé l'ensemble des cohérences nécessaires pour gérer un groupe de haut niveau. » Depuis quasiment deux ans, le BBD n'a pas à s'en plaindre.

(1) Buffière en 1982 et 1983 la Coupe Korac, Gomez en 1988 la Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupes. (2) Fusionnée l'année suivante avec la Coupe Saporta pour devenir la Coupe Uleb

basket · Boulazac Basket Dordogne · Pro A

Interview sympatoche.


Sinon, JLM sera l'invité du prochain Lundi Basket

Quel plaisir de retrouver Coach Lautié à Gentilly. Franchement l'une des personnalité les plus sympathique et attachante qu'il m'ait été donné de rencontré dans l'univers du ballon orange.

Que de souvenirs.... La saison de toutes les émotions. Une équipe à l'identité extraordinaire, une saison où le drame est venu toucher le club avec l'accident du Dub, une saison où Nancy a concrétisé l'impensable (gagner une Coupe d'Europe avec des moyens rikiki), une saison où Nancy aurait bien pu finir très haut dans le classement mais perclus de blessé, s'est échoué dans le ventre mou... Une saison où pour tous les observateurs, Nancy était devenu un tout grand du basket tricolore.

Rarement il nous a été donné de pouvoir vibrer à ce point, dans le malheur, la déception, le bonheur et la joie folle.

j'espère pouvoir me lever, comme des milliers d'autres supporteurs, pour rendre à Sylvain Lautié un peu de l'émotion qu'il m'a donné...



Au delà de cet aspect "sentimental", ce match est un sacré match piégeux. Boulazac vient avec l'insolence du promu qui veut tout bouffer. Le SLUC pas en forme quant à lui, aura un peu le couteau sous la gorge, et dans ce match où seule la victoire sera un résultat acceptable, il faudra EN PLUS rassurer le public sur les capacités de cette équipe.

BASKET-BALL - PRO A SLUC - BOULAZAC, AUJOURD’HUI (17 H 30), À GENTILLY

LE SLUC DOIT RETROUVER SON ADRESSE !

Dans ce championnat plus homogène que jamais, une victoire face au promu semble indispensable pour envisager l’avenir avec sérénité. Pour cela, le SLUC doit retrouver l’adresse qui le fuit depuis le début de la saison.



Nancy. Sylvain Lautié et ses joueurs somnolaient depuis au mois quatre cents kilomètres, blottis dans leur bus, quelque part sur la route entre Boulazac et Nancy (ils ont quitté la Dordogne à six heures du matin, hier), quand, sur le parquet de Gentilly, Jean-Luc Monschau a mis un terme à l’entraînement du SLUC. Cette dernière séance de la semaine n’était que la troisième pour Torrell Martin, le remplaçant de Jamal Shuler, arrivé mardi soir en provenance de Charlotte aux Etats-Unis.

Qualifié pour le match de cet après-midi, l’arrière affichait hier un grand sourire (il va falloir s’y faire) et une réelle motivation à l’idée de disputer son premier match officiel depuis le mois de décembre 2011 (il jouait alors en Allemagne et n’avait pu terminer la saison en raison d’une blessure au genou). En tout cas, le coach nancéien semble avoir apprécié les premiers pas de son nouveau joueur : « C’est de la dynamite ! Il met beaucoup de vitesse dans l’exécution et il met les tirs ».

« GAGNER LE MATCH EN DÉFENSE »
Pour le public nancéien, la première du « showman » Torrell Martin sous le maillot rouge et blanc constitue forcément l’une des principales attractions de cette deuxième sortie du SLUC à domicile. On imagine que le retour de Sylvain Lautié et de son assistant nancéien Nicolas Meistelmann en est une autre. Des petits assaisonnements sympathiques qui confèrent à la venue du promu un intérêt supplémentaire.

Loin de ces considérations, Jean-Luc Monschau et ses joueurs sont surtout préoccupés par une chose : retrouver enfin un peu d’adresse. Sortir de l’ornière dans laquelle ils sont embourbés dans ce domaine depuis le début de la saison (46,3 % à deux points, 17,8 % à trois points et 66 % aux lancers-francs). Car quel que soit l’adversaire et même si cela a suffi pour battre Roanne, on imagine mal le SLUC enchaîner les victoires avec une équipe qui peine à passer les 60 points de moyenne (58,3 jusqu’à présent).

« Il ne faut pas que nous perdions confiance », positive Solo Diabaté, « nous sommes dans le dur au niveau de l’adresse. Mais l’adresse, c’est aléatoire. Les shoots que nous prenons sont bons. Il ne faut pas trop se focaliser sur l’adresse. Les matches, nous devons d’abord les gagner en défense. Défendre fort, développer notre jeu rapide. Et si en plus on met les shoots ouverts, ça ira beaucoup mieux… ».

UN CHAMPIONNAT TRÈS HOMOGÈNE
En attendant que les Nancéiens enlèvent le couvercle qui recouvre les cercles partout où ils passent depuis le début de la saison, cette maladresse que l’on espère temporaire n’a pas échappé à Sylvain Lautié (lire par ailleurs). De la à ce que Boulazac use allégrement de la défense de zone cet après-midi, il n’y a pas des kilomètres… Raison de plus pour que Marcellus Sommerville, Kenny Grant et les autres adeptes du tir longue distance montrent le plus vite possible au promu que le SLUC a fini de manger son pain noir.

On se gardera bien de sonner l’alarme après trois journées de championnat. D’autant que les Nancéiens n’ont pas été gâtés par le calendrier. Mais dans ce championnat sans doute plus homogène que jamais (les premières journées le prouvent), quelque chose nous dit qu’un faux-pas cet après-midi constituerait une tache difficile à récupérer. Il est l’heure de passer en « mode efficacité ».

Thomas SIMON

Espoirs : SLUC (9 e, 2 victoires - 1 défaite) - Boulazac (13 e, 1 victoire - 2 défaites), aujourd’hui (14 h).

Bon, et bien vous me raconterez... Match à 17h30 alors que celui de l'ASNL est sûrement à guichets fermés depuis belle lurette, PSG oblige, quelle belle idée. Pourquoi pas dimanche ?

Bref.

Vais arriver à me faire les 2. Je vais me garer pas loin de Picot vers 16h30 puis 1 pote nous monte à Gentilly. Après le match, il nous redescendra vers le stade.

Bon, pour moi, l'ASNL rien à battre (je pronostique même 0-3 avec deux "zlatan" d'Ibra !!!)

Quand au SLUC, j'y serai bien sûr... dommage, cet horaire qui risque fort de faire un peu sonner le creux..
Quoiqu'avec le temps, il est peut-être préférable de quitter vers 19h30, neige et risque de verglas possible !!!
Pour ceux qui viendraient de loin, c'est peut-être mieux ?

Sinon, le match aura effectivement plusieurs intérêts :
-Revoir Sylvain Lautié (qui a eu l'honneur d'entrainer ma fille en minime quan il était coach au Sluc).
-Découvrir Torell Martin et voir si sa perf égalera son envie de jouer !
-Voir si le SLUC a la capacité dès ce soir de nous rassurer face à un adversaire à priori "prenable".
-Voir si Touré, Pope et Sommerville sont mieux en attaque...

Bref, on attend beaucoup de réponses à nos questions.

Au retour, je vous livrerai mes impressions...

A tout'

merci en tous cas par avance pour vos commentaires à tous sur ce match et vos analyses pour sont qui se sont "expatriés" trop loin pour venir au match

Pas merci à la ligue pour le retard du live lnb.fr pas encore lancé ...

C'est parti ! 2-4 apres 2mn de jeu à 17h37 ca a pas du partir à l'heure

Arfff, domage que King ai déjà pris deux fautes tant il dominait les dabats en ce début de match. 4pts, 3rbds en 4minutes.


L'occasion pour Sylla de se montrer.

Martin déjà sur le parquet !

C'est bien Sylla est rentré dans son match ! En revanche Merriex...

Et il rentre son premier shoot à trois points!

Yeah baby!

Nancy 23 - 18 Boulazac à la fin du premier QT.


Un match a plus de 80 pts ce soir?

Merriex va t-il mettre un panier dans ce match ??

Comme dab , Merriex rentre pas un shoot et en face Eldridge commence a nous faire un show !

Le petit nouveau est nickel pour l'instant 2/2 aux shoots (dont un 3pts) + 2 rebonds off' ----> 7 d'éval' en 7min