[TA Euroleague] 11-12 :: Pas de qualification au Top 16

A 23 ans avec un niveau aussi haut pour moi c'est le plus fort joueur qu'on ait eu : il est premier a l'évaluation en euroligue ça cause quand même

@balthazard21, tu parles de deux choses différentes, le niveau du joueur mais aussi l'impact , ce qui n'est pas tout à fait la même chose.

lolo a écrit:

@balthazard21, tu parles de deux choses différentes, le niveau du joueur mais aussi l'impact , ce qui n'est pas tout à fait la même chose.

C'est vrai.
Prenons l'exemple de Morandais. Quand il arrive au SLUC en 2008, bcp se réjouissent, il est vrai qu'il sort de très bonnes saisons en Espagne. On sait qu'il a le niveau pour faire une bonne saison avec Nancy. Après, on va vite déchanter car son impact sur l'équipe

Krupalija effectivement à Bilbao (lequipe.fr)... nous sommes entre plusieurs topics... désolant pour le HTV

Nicolas Batum est le plus fort joueur intrinsèquement à avoir porté les couleurs du SLUC, ça ne fait aucun doute.

il n'y a d'ailleurs pas photo !!

est répu
Basket-ball - Euroleague - Olympiakos Le Pirée - SLUC Nancy, demain (21 h) SLUC : les paniers percés grecs
La crise qui affecte durement le pays n’épargne pas le basket. Pas même les grosses écuries comme l’Olympiakos et le Pana.


Si l’heure est aux économies à l’Olympiakos, Vassilis Spanoulis émarge à 2,4 millions d’euros la saison. Cela représente plus de la moitié du budget prévisionnel du SLUC (4,45 millions d’euros) !

Nancy. Pendant que l’Olympiakos Le Pirée se promenait ce week-end en championnat grec (lire ci-dessous), son éternel rival, le Panathinaïkos Athènes, était au chômage technique. Eh oui, le championnat grec se jouant à treize cette saison, une équipe reste sur le carreau chaque week-end. Samedi, c’était au tour du Pana.

Une situation bancale que la fédération grecque aurait bien aimé éviter. Mais elle n’avait pas le choix. Cet été, le club de Panellinios, que le SLUC avait affronté il y a deux ans en Eurocup, a déposé un budget non équilibré. Résultat ? Il a été rétrogradé en troisième division.

Un coup de canif pour le championnat grec. Mais pas le seul depuis le début de saison. Le coup d’envoi du championnat a été donné en retard car les clubs ont voté la grève pour protester contre le partage des droits télé et des revenus. Les grands clubs comme le Pana et l’Olympiakos ont voté contre, mais sept clubs sur treize ont voté pour.

Le signe que la situation est tendue. Pas forcément surprenant quand on connaît la crise financière majeure qui affecte le pays et menace même toute la zone Euro. Mais si le basket n’a pas été épargné, cela fait déjà plusieurs années que le marasme guette.

On savait que les retards de salaire étaient monnaie courante, comme le rappelle Pape-Philippe Amagou, passé par Kavala en 2008/2009 (lire ci-contre). Mais aujourd’hui, la situation financière du basket grec est devenue une véritable source d’inquiétude.

La saison dernière, le coup d’envoi du championnat avait déjà été donné en retard car l’Association grecque des joueurs professionnels avait voté massivement pour la grève. Grosso modo, l’association reprochait à la Ligue et aux clubs de ne pas tenir leurs engagements concernant les salaires, mais aussi les assurances. Les clubs, eux, agitaient comme un argument massue la fiscalité très lourde qui leur était imposée.

Pour remplir des caisses bien vides, le gouvernement s’est naturellement tourné vers le sport, notamment le basket. Une ponction douloureuse pour les clubs. Et pas seulement pour les petits. Même le Pana et l’Olympiakos, les deux poids lourds financiers du pays, commencent à tirer la langue.

Propriétaires du Pana, les frères Yannakopolos ont annoncé cet été qu’ils souhaitaient vendre leur club alors qu’à l’Olympiakos, les frères Angeloupoulos ont rendu leur tablier. Après des années fastes où toutes les folies semblaient permises, comme faire venir le joueur NBA Josh Childress à l’Olympiakos en 2008 pour un salaire net de… 20 millions de dollars sur trois ans (14,7 millions d’euros), l’heure est aux économies pour les deux clubs grecs en Euroligue, qui ont sensiblement réduit la voilure.

Mais si le Pana a perdu deux gros salaires à l’intersaison (Fotsis, Tepic), si l’Olympiakos s’est séparé de pointures comme Teodosic, Bourousis ou encore Papaloukas, le robinet à euros est tout de même loin d’être tari.

L’international grec Vassilis Spanoulis émarge ainsi à 2,4 millions d’euros la saison à l’Olympiakos. Un total qui représente plus de la moitié du budget prévisionnel du SLUC (4,45 millions d’euros) ! Si le basket grec est en crise, la vitrine présente toujours bien.

Anthony GUILLE

L’expérience de Pape-Philippe Amagou « Un secret de polichinelle »

Pape-Philippe Amagou : « Quand je jouais à Kavala, j’ai été payé toute la saison avec un ou deux mois de retard. »

Nancy. Pape-Philippe Amagou a joué une saison en Grèce. Après avoir remporté le titre de champion avec le SLUC en 2007/2008, il avait signé à Kavala, qui évolue en première division. Le meneur porte un regard aiguisé sur la situation grecque.

Pape-Philippe Amagou, la crise que traverse le basket grec vous surprend-elle ?

Pas vraiment. Cela fait plusieurs années que les clubs sont sur le fil du rasoir et c’était un secret de polichinelle. Avec la crise que connaît le pays actuellement, ça s’est juste un peu plus répandu.

Vous qui avez porté le maillot de Kavala en 2008/2009, comment ressentiez-vous cette crise ?

Durant toute la saison, on était payé avec un ou deux mois de retard. Alors qu’en France, le salaire est viré le premier de chaque mois, en Grèce, il faut toujours courir après son argent, se battre pour être payé. Vous devez appeler votre agent pour qu’il mette la pression sur les dirigeants. Moi, le petit Français qui débarquait (sic), ça m’avait choqué à l’époque. Mais là-bas, tout le monde est habitué à ça depuis sept ou huit ans.
« Même les grands clubs paient en retard »

Vous-même, vous aviez touché l’intégralité de votre salaire durant votre saison en Grèce ?

Oui. En retard, mais je les avais touchés.

Mais les retards de paiement ne touchent pas nécessairement les gros clubs comme le Pana ou l’Olympiakos…

Si. C’est vraiment quelque chose de généralisé. Quand je jouais à Kavala, l’un de mes coéquipiers avait discuté avec Sarunas Jasikevicius (le meneur lituanien qui jouait au Panathinaïkos). Il lui avait dit qu’il y avait deux mois de retard de paiement. Ceci dit, les grands clubs ont de gros moyens et généralement, il n’y a aucun risque de ne pas toucher son salaire.

Recueilli par A.G.

Bon maintenant faut espérer que les équipes du groupe du SLUC ne recrutent pas de stars NBA

C'est pas Deng qui était en contact avec Bilbao?

Je crois oui mais ils ont pris Krupalja ^^

http://www.hurriyet.com.tr/spor/basketbol/19246952.asp

Turkoglu, Omer Asik, et Kevin Durant pourraient rejoindre le Fener x_x.....

En même temps, Durant à Gentilly le 7 décembre, ça le ferait :')

Durant vs Batum, on remplirait même Picot avec ça

Encore un gros match ce soir !

Source :

http://www.lequipe.fr/Basket/breves2011/20111116_002609_le-nouveau-defi-de-nancy.html

Basket - Euroligue (H)


Le nouveau défi de Nancy

Six jours après sa victoire remarquée sur Vitoria, Nancy est en Grèce pour défier l'Olympiakos (21h00). Le SLUC a les armes pour contrer une équipe moins impressionnante que par le passé. Mais rien n'est assuré.



John Linehan à l'attaque face à l'arrière de Vitoria Pau Ribas. (EQ)

«C'est à la fin du marché que l'on compte les cochons. Une équipe doit s'analyser sur la durée.» A 35 ans bien tassés, Vincent Masingue a assez d'expérience pour savoir tempérer les ardeurs. Ce qu'a vu le pivot de PAris-Levallois, ancien du SLUC Nancy, lors de la victoire des Lorrains (82-64) samedi à Gentilly, ne l'a pas laissé froid. Mais il connait les vertus et surtout les vices du temps qui passe. Nancy réussit un début de saison fastueux, certes. Et cela ne vient pas que des résultats, comme cette victoire rare et appréciée comme telle contre Vitoria jeudi dernier (90-85). Ça s'accompagne d'une manière maîtrisée autour d'un Nicolas Batum souverain.




Dusan Ivkovic : «Il faudra qu'on contrôle le rythme du match du début à la fin»

Mais qu'en restera-t-il si le SLUC prend une valise au Pirée ? Le bel édifice ne s'écroulerait pas, bien sûr, mais ce serait un rappel à la réalité. Le SLUC peut-il d'ailleurs prendre une valise au Pirée ? Evidemment ! L'équipe grecque est moins bien classée que Nancy mais elle n'a perdu que d'un point à Cantu (64-63) et de deux à Vitoria (81-79). Elle n'a plus la superbe financière qui était encore la sienne l'an dernier et n'a pas pu retenir Ioannis Bourousis, Theo Papaloukas ou encore Milos Teodosic, partis cet été. Mais la seule présence de Vassilis Spanoulis, MVP du Final 4 de l'Euroligue en 2009, montre que l'Olympiakos reste un gros calibre.

Spanoulis, par sa capacité à imposer sa façon de jouer à l'adversaire, entre attente et accélérations, est une synthèse des dangers qui attendent Nancy. «Nous devrons faire attention à tous les petits détails contre Nancy, qui est une équipe très athlétique et talentueuse. Il faudra qu'on contrôle le rythme du match du début à la fin», prévient l'illustre entraîneur Dusan Ivkovic. Pour stopper Batum, le rude ailier Kostas Papanikolaou devrait par exemple être envoyé au charbon. L'important pour résister à ce qui devrait être un match grec, donc très physique, sera que Nancy ne soit pas grisé par sa propre réussite. Rien ne le laisse présager. Et à entendre Pape-Philippe Amagou dire que le SLUC va «essayer de tenir le choc», il semble que le risque soit évité. - X.C.

est républicain

16.11.11 à 05h10 | Mis à jour il y a environ 2 heures
La pression est en face
Déjà victorieux deux fois, le SLUC se déplace sans complexe chez une équipe de l’Olympiakos déjà dos au mur. Une nouvelle fois, la marche est très haute. Mais qui sait ?

Athènes. A quelques encablures du port du Pirée, dont Melina Mercouri chantait la beauté il y a quelques dizaines d’années, la salle de l’Olympiakos se déploie majestueusement et harmonieusement dans la nuit grecque.

Mais si les Nancéiens ont découvert une enceinte magnifique, hier soir pour le traditionnel entraînement de veille de match, le nom de la salle risque bien de leur sembler trompeur, ce soir. Même si l’enceinte sera visiblement loin d’être pleine, le « Peace and Friendship Stadium » (stade de la paix et de l’amitié) se transformera l’espace de quarante minutes en un chaudron où il ne fera pas bon porter un autre maillot que celui de l’Olympiakos. Au Pirée comme ailleurs en Grèce, le supporter est chaud, il donne souvent de la voix et n’hésite pas, parfois, à se laisser aller à quelques noms d’oiseaux pour l’adversaire.

Le SLUC sait dans quel contexte il jouera ce soir son dernier match de la phase aller d’Euroligue. Un contexte brûlant, d’autant plus brûlant que l’Olympiakos est assez mal embarqué après quatre journées, avec trois défaites au compteur.

Qui aurait pu croire lors du tirage au sort des poules, début juillet, que le SLUC Nancy se déplacerait en Grèce en devançant l’Olympiakos au classement ? « Mais il ne faut pas forcément se fier au classement », prévient Jean-Luc Monschau. « Car l’Olympiakos a joué trois fois à l’extérieur, et il a perdu d’un point à Cantu et de deux à Vitoria. »

Avec un peu plus de réussite, l’Olympiakos aurait donc trois victoires au compteur et aurait fait un pas significatif vers la qualification pour le Top 16.

Oui mais voilà, le club du Pirée est aujourd’hui dos au mur, dans l’obligation de s’imposer ce soir pour ne pas se mettre dans de sales draps.
Les trois clés

Le SLUC Nancy peut donc s’attendre à être bousculé, agressé par cette équipe grecque qui n’est, de toute évidence, pas à sa place tant elle regorge d’atouts. Entre le génial Vassilis Spanoulis (lire ci-contre), le grand Lazaros Papadopoulos (2,10 m), Pero Antic, demi-finaliste du dernier Euro avec la Macédoine, l’international serbe Marko Keselj, l’Olympiakos est clairement taillé pour le Top 16.

Question : comment inquiéter une telle armada ? « Il y a trois clés » note le coach nancéien. « Il faudra qu’on défende juste et de façon rigoureuse sur Spanoulis, qui a trop d’importance, trop d’impact. Qu’on soutienne la comparaison dans le jeu intérieur, où l’Olympiakos a une ribambelle de monstres, à commencer par Papadopoulos. Et puis, il ne faudra pas tomber sur un jour où les shoots tombent comme à Gravelotte pour l’Olympiakos. »

Pas simple de réunir ces trois conditions. Mais depuis le début de l’épreuve, cette équipe nancéienne a montré qu’elle avait du répondant et qu’elle ne prenait pas son statut de Petit Poucet de la poule comme un frein à toute ambition. Victorieux de Bilbao et Vitoria à la maison, le SLUC est aussi passé très près d’un authentique exploit il y a deux semaines à Fenerbahçe (86-90), malgré l’absence d’Akin Akingbala. Un match révélateur qui lui a peut-être fait prendre conscience que dans cette poule, il n’avait pas forcément de complexe à nourrir, même face à des poids lourds de l’Europe du basket. « Qui sait ce qui peut se passer ? », souriait Nicolas Batum, hier en arrivant à l’hôtel. « La pression, elle est sur eux, pas sur nous… »

Une manière de dire que si la marche est très haute, encore une fois, le SLUC Nancy n’a pas l’intention de jeter ses espoirs dans le Port du Pirée.

De notre envoyé spécial Anthony GUILLE

5 e journée de l’euroligue Nancy à bon port ?
En gagnant à l’Olympiakos Le Pirée, le SLUC Nancy prendrait une sérieuse option sur la qualification au 2 e tour de l’Euroligue. Ses dernières prestations incitent à l’optimisme.

Retour en Grèce pour Amagou qui a joué une saison dqns ce pays (2008-2009). Photo Anthony PICORE.

L’Olympiakos, comme l’équipe espagnole de Vitoria, appartient à la catégorie des poids lourds en Europe. Mais les temps ont vite changé. La terrible crise économique passant par là, la réalité des forces du club grec ne correspond plus à l’image de son passé glorieux… Nancy, ce soir, trouvera à qui parler, certes, et son rival n’est pas devenu un tigre de papier mais cet Olympiakos, pour l’instant, n’a pas la taille XXL de ses devancières, quand celles-ci ont atteint le carré d’as de la compétition en 2010 et 2011.

L’époque des seigneurs NBA (Childress) ou hellènes (Bourousis, Papaloukas) est presque révolue. Les trésoreries traditionnellement bancales du basket athénien ayant pris de plein fouet le marasme général du pays. D’ailleurs, la formation de Dusan Ivkovic, coach sur le devant de la scène depuis deux décennies, traîne à la dernière place de ce groupe A d’Euroligue, freiné par trois défaites en quatre rencontres.

L’Olympiakos a explosé à Bilbao, balayé ensuite par les Nancéiens à Gentilly, s’est fourvoyé aussi à Cantu (64-63), perdant à Vitoria (81-79) que le Sluc vient de corriger. Une analyse chiffrée à moduler étant donné le nombre de matchs disputés à l’extérieur (trois sur quatre). La seule réception des Turcs de Fenerbahce a tourné en faveur des Grecs. N’empêche, c’est bien le club d’Athènes qui se trouve dos au mur d’une pression évidente. En cas de revers, l’Olympiakos laisserait s’échapper les Lorrains qui posséderaient alors deux succès supplémentaires. Quasiment un gouffre dans une phase à dix journées.
Journée décisive ?

Un autre adversaire du Sluc jouera à ce jeu dangereux tu gagnes sinon tu pleures : Bilbao, qui n’aura pas la vie simple face au voisin basque Vitoria. Le champion de France en titre pourrait donc sortir grand vainqueur de ce cinquième acte. Son succès, ajouté à celui de Vitoria, le calerait dans le wagon des quatre bienheureux en position de force à mi-parcours.

Il reste cependant un duel à livrer face à Spanoulis, MVP de la finale en 2009 et dont le salaire indécent pompe la moitié du budget. La vedette de l’Olympiakos, c’est lui. Meilleur marqueur et meilleur passeur de l’équipe comme l’est Nicolas Batum à Nancy. Joli duel en perspective !

Spanoulis est entouré de compatriotes valeureux (Keselj, Papadopoulos, Katsivelis, Papanikolaou), des internationaux Antic (Macédoine) et du jeune Gecevivicius (Lituanie). On se demande pourquoi cette addition de fortes personnalités ne sourit pas davantage au collectif grec, dominé dans tous les domaines statistiques par le Sluc… L’heure de vérité pour Nancy ou l’heure de la révolte pour l’équipe portuaire du Pirée ?
Alain THIÉBAUT.

républicain lorrain

Décidément très marrant Monschau quand il veut nous faire croire que l'adresse tombe du ciel ou pas selon qu'on n'ait de la chance le soir de match, ou pas. Y'a certes toujours un facteur chance mais moi je me souviens quand même que contre Vitoria y'a eu un paquet de shoots ouverts laissés à l'adversaire après quelques passes et un bon décalage des familles. On se donne une meilleure chance de gagner si on défend dur et qu'on ne laisse pas le type tout seul derrière l'arc avec 5 secondes pour tirer.

D'ailleurs, celui qui me fait vraiment peur pour ce soir, c'est ce diable de Marko Keselj, d'une adresse absolument démoniaque avec la Serbie depuis deux Eurobasket. Le genre de mec qui peut te planter un bon 6/7 de loin si tu le laisses. Il faudra absolument rester collé à ce joueur, sinon ça fera mal...

L'Oly a quand même beaucoup de facteurs dangereux.... on parle de la crise greque, m'enfin quand je vois cette équipe pourtant annoncée comme limite décimée.... J'hurle à la blague !

A l'intérieur ils ont de quoi nous désosser. A l'extérieur, y'a du talent et de l'expérience à n'en plus finir. Cette équipe rassemble plus d'expérience de ce niveau de compétition, que l'ensemble des joueurs de ProA réunit... Donc bon... Même si tout est rose dans notre Lorraine du basket, faut savoir raison garder.

Ce soir, va falloir un SLUC excellent, un Oly pas top et une grosse, grosse dose de chance.

Mais on a nos chances. Parce qu'on a une défense qui PEUT être redoutable. Il faudra qu'elle le soit, comme notre attaque....

Faut dire aussi qu'en Euroligue (surtout), la moindre aide est sanctionnée par une passe au joueur démarqué. Cela s'est surtout vu en première mi-temps jeudi dernier. Heureusement que Vitoria n'a pas eu une meilleure adresse.

Corpus Christi a écrit:

L'Oly a quand même beaucoup de facteurs dangereux.... on parle de la crise greque, m'enfin quand je vois cette équipe pourtant annoncée comme limite décimée.... J'hurle à la blague !

A l'intérieur ils ont de quoi nous désosser. A l'extérieur, y'a du talent et de l'expérience à n'en plus finir. Cette équipe rassemble plus d'expérience de ce niveau de compétition, que l'ensemble des joueurs de ProA réunit... Donc bon... Même si tout est rose dans notre Lorraine du basket, faut savoir raison garder.

Ce soir, va falloir un SLUC excellent, un Oly pas top et une grosse, grosse dose de chance.

Mais on a nos chances. Parce qu'on a une défense qui PEUT être redoutable. Il faudra qu'elle le soit, comme notre attaque....

L'Oly c'est quand même plus ce que c'était et c'est indéniablement moins fort sur le papier que Vitoria. Spanoulis et Keselj sont des dangers publics, mais tout comme Nicolas Batum. Quant à Papadopoulous, ce n'est plus le joueur régnant de 2004-2007 ou du Dynamo Moscou. Il est plutôt sur la fin de carrière, même si ça reste un bon baobab avec des moves à l'ancienne. Mais Akin est fort également, on le sait. Ca me semble donc plutôt équilibré et y'a plus de complexe à faire.

Si c'était à Gentilly je serais plutôt optimiste pour ce match. Le truc c'est que là, c'est à l'extérieur, donc plus dur et l'arbitrage sera forcément en faveur du club plus huppé, plus expérimenté à ce niveau.

En exclusivité la formule JLM pour l'adresse à 3points :

Le fecteur gravelotte correspond au facteur chance de la réussite.
Le %moyen est le pourcentage moyen de réussite du joueur sur la saison.
L'intensité_défensive_ext correspond au niveau de pression défensive mise sur les shooteurs extérieurs (celle-ci pouvant être nulle).

Adresse à 3pts = %moyen * (1+facteur_gravelotte) * (1 - intensité_défensive_ext)

où 0 <= facteur_gravelotte <= ( %moyen / 1) et 0<= intensité défensive_ext < 1


Du coup, si on défend pas et qu'ils ont un bon facteur gravelotte, on est dans la merde

Ok avec Rachidou sur Keselj un vrai bombardier mais pour le moment il n'est pas utilisé comme shooter d'élite dans l'effectif de l'olympiakos se sera quand même le défi de Victor voir plutôt de Nico de le tenir

Aprés Cantu on va avoir une nouvelle belle démonstration de ferveur populaire dans un stade!

Y'a quand même quelques regrets, y'avait moyen de prendre un match à Cantù ou Fenerbahçe.

Fenerbahce surtout.

Avec Akin ca passait sans doute.

Gros regret.