[ProA - J30] SLUC Nancy bat Poitiers B86, 68-76 (34-44)

Oui, enfin Kaniel est capable sur deux matchs max :p

Bengaber, Cox et N'Joya peuvent sur l'ensemble des PO

(à noter que les PO peuvent durer 2 matchs... hum...)

Rasheed Wallace a écrit:

Jacques SANTINI a écrit:

Question :

Vous faites quoi à ce moment là avec Dickens ?

A - vous le sortez parce qu'il n'apporte rien
B - vous le gardez dans le 5 pour lui redonner de la confiance

Et pourquoi pas faire ça avec Cox? Tu préfères Dickens à Cox? Tu trouves qu'il est 'achement plus performant?

T'as pas compris le sens de mon "petit sondage" Ah oui, il n'y avait pas de petit smiley!) et puis il faut aussi le remettre dans le contexte.
A ce moment là du match, Dickens il était, comment dire : inutile sur le terrain (j'ai pas dis fin nul ). Donc je me posais la question "comme si j'étais à la place du coach" et voir ce qu'il fallait faire : le sortir (comme Cox avant lui) ou le garder, car ici c'est souvent le débat : les joueurs ne produisent rien, car le coach les sort tout de suite...
Moi je l'aurai sorti je pense pas être le seul) vu ses stats à ce moment.... mais JLM l'a laissé encore près de 5' après ma question. Bon Kaniel n'a pris que 2 rebonds... mais il semble que sa prestation ait été "pathétique", malgré 10 minutes de jeu ! Dès que Stephen est rentré, cela a été différent !

Bref tout cela pour dire, que ce n'est pas du tout évident de coacher en fonction du résultat (bien sûr c'est ce qui prime avant tout, je pense... surtout hier par exemple) ou alors en fonction du "moral" d'untel ou untel...

Cox hier a été carrément cata à sa rentrée... mais Jeff était indispensable !

Ce sont les PO, les essais c'est fini. JLM a son cinq (qui a dit depuis le début ?) et va en user jusqu'à la moelle. Encore plus en PO où à la différence de la saison régulière, les matchs sont très importants et ne laissent pas de place à l'approximation. On connaît la "craintivité" de JLM a changé son coaching en cours de match, c'est pas maintenant (en PO) qu'il va relancer un Bengaber ou redonner confiance à un Cox (ah la la ce lay-up à la dernière seconde à l'Astroballe l'année dernière ).

Bref faudra faire avec !

Theseus a écrit:

Ce sont les PO, les essais c'est fini. JLM a son cinq (qui a dit depuis le début ?) et va en user jusqu'à la moelle. Encore plus en PO où à la différence de la saison régulière, les matchs sont très importants et ne laissent pas de place à l'approximation. On connaît la "craintivité" de JLM a changé son coaching en cours de match, c'est pas maintenant (en PO) qu'il va relancer un Bengaber ou redonner confiance à un Cox (ah la la ce lay-up à la dernière seconde à l'Astroballe l'année dernière ).

Bref faudra faire avec !

moi je dirais qu'il faudra faire SANS...

En même temps, se faire torcher en 2 matchs secs( j'ai pas dis que j'en suis convaincu) peut être un mal pour un bien .En gros, si par miracle on sors le BCM, JLM risque de nous ressortir un truc comme l'an passé (mes joueurs m'ont donné satisfaction, je souhaite repartir avec le plus d'entre eux), s'il y a élimination, là une reflexion sur l'effectif s'imposerait ...

lolo a écrit:

En même temps, se faire torcher en 2 matchs secs( j'ai pas dis que j'en suis convaincu) peut être un mal pour un bien .En gros, si par miracle on sors le BCM, JLM risque de nous ressortir un truc comme l'an passé (mes joueurs m'ont donné satisfaction, je souhaite repartir avec le plus d'entre eux), s'il y a élimination, là une reflexion sur l'effectif s'imposerait ...

Ca c'est la politique du pire...
Il y aura de toute façon pas mal de changement, je pense.

Essayons déjà de sortir Gravelines... et puis rappelez vous, quand Le Mans a été Champion de France (contre nous en 2006)... les Manceaux en pleine crise avaient terminé... 5ème en saison régulière !
Rien n'est vraiment perdu, les P.O c'est une autre Compet, on va voir ce que l'on vaut !

la comparaison pourrait etre pire puisque l'année la le MSB s'était relancé lors de la dernière journée face à un autre "petit" bourg en bresse!!!! et on sait la suite

Ils ont fait leur part

Les Nancéiens se sont imposés à Poitiers. Mais Gravelines ne leur a pas offert le cadeau qu'ils espéraient. Le SLUC, cinquième, affrontera le club nordiste en quart, sans l'avantage du terrain.

Steed Tchicamboud était en pleine réussite contre Poitiers.

Poitiers. Le président Christian Fra a eu beau passer son temps à surfer sur le site de la ligue avec son téléphone portable pendant la rencontre, rien n'y a fait. Le SLUC attendait une bonne nouvelle en provenance du Nord, elle n'est jamais venue.
Même entre frères, il y a des cadeaux qui coûtent trop chers pour que l'on casse la tirelire. Gravelines a logiquement battu Paris-Levallois et le SLUC a eu beau faire le boulot du côté de Poitiers, c'est sans l'avantage du terrain qu'il affrontera Gravelines en quart-de-finale (match aller au Sportica, mercredi).
Le top 4, Ricardo Greer et ses coéquipiers ne l'ont pas perdu hier soir, mais il y a dix jours, à Gentilly, face à ces mêmes Gravelinois qui semblent donc prendre un malin plaisir à se mettre en travers de la route des Nancéiens cette saison. Charge au SLUC de prouver en quart-de-finale qu'il est capable de grands exploits, comme il l'avait fait en allant s'imposer dans le Nord, lors du match aller.
Ce que Nancy a réussi hier à Poitiers n'entre pas à proprement parler dans la catégorie des grands exploits. C'est cependant une performance de choix à la veille d'entamer les play-offs.
Ce dernier rendez-vous de la saison régulière, le SLUC l'a pris d'entrée par le bon bout. Pour Poitiers, clairement en déficit de densité athlétique, l'association Slaughter-Akingbala dans la peinture fut un premier nœud à démêler. Pas simple.
D'autant que les deux «costauds» ont très vite fait la loi dans la raquette et propulsé en contre-attaque les chevaux de course que sont les frères Greer et Steed Tchicamboud. Mais ce qui permit avant tout au SLUC de s'installer aux commandes, c'est son adresse derrière la ligne des 6,25m.


Le coup de poing de Ricardo


Tchicamboud et le jeune frère dominicain passèrent un bon moment sur le parquet sans connaître l'échec (3/3 pour le premier, 2/2 pour le second après 9 minutes). Le SLUC, qui regagnera le vestiaire avec un joli 8 sur 13 derrière l'arc, n'avait qu'à suivre les flèches posées par ses deux guides (13-27, 9' ; 25-40, 16').
Malheureusement, une ombre devait (trop) rapidement apparaître à l'horizon : les fautes récoltées par Akingbala et Slaughter dès le début de la deuxième période. Après 25 minutes, les voyants clignotaient à l'orange (4 fautes pour Slaughter, 3 pour Akingbala). Le pivot nigérian rejoindra même définitivement le banc à six minutes de la fin. Contrariant.
Mais le SLUC colmata les brèches, avec le coup de main de Dickens, maladroit mais combatif. Et lorsque Gomez, Maynier et Costentin dégainaient pour remettre Poitiers dans la course, c'est Jeff Greer et Tchicamboud qui repassaient pour la deuxième couche (37-49, 23' ; 47-57, 28').
Le matelas du SLUC n'aura jamais été suffisamment épais pour qu'il se repose sur ses deux oreilles (57-61, 32'), mais lorsqu'il fallut taper du poing sur la table pour calmer définitivement les ardeurs du promu, c'est Ricardo Greer qui s'en chargea (58-69, 37'). Aujourd'hui, c'est un autre championnat qui commence...

Thomas SIMON

SPORTS LORRAINE - Basket-ball Les coulisses
Pas de trophée pour les espoirs

Espoirs. Menés de bout en bout, les espoirs du SLUC ont concédé hier à Poitiers leur treizième défaite de la saison (67-78). Un revers de trop puisque celui-ci privera Clerc et ses coéquipiers du Trophée du futur, qui aura lieu à Poitiers, du 28 au 30 mai prochain. Le club organisateur ne figurant pas dans le top 8, seuls les sept premiers sont qualifiés pour les play-offs du championnat espoirs. Hors Dijon, vainqueur de Villeurbanne hier, ex aequo avec le SLUC à la septième place, devance l'équipe de Pierre Verdière au panieraverage particulier. Voila une saison qui se termine en queue de poisson... A noter que Cholet a profité de la dernière journée pour conquérir le titre.
Les marqueurs nancéiens : Wachowiak 14, K. Pinda, Sylla 12, Thalien 6, Talbot 13, Emanuely 6, Kurtic 2, Dassonville, Clerc 14.
Guichets fermés. Poitiers a disputé quatorze rencontres cette saison dans la petite salle de Saint-Eloi (2.600 places) et toutes se sont déroulées à guichets fermés. Pour la réception de Nancy, 515 places seulement ont été mises en vente (les autres étant réservées aux abonnées, partenaires et collectivités locales). Lors de l'ouverture de la billetterie, elles ont disparu en 1h20 ! A tel point qu'assister au match à Poitiers est devenu un véritable parcours du combattant. A noter que la seule rencontre de championnat disputée aux Arènes (4.300 places) avait elle aussi fait le plein. Problème : les Arènes ont trop peu de disponibilités pour accueillir régulièrement le basket... et il n'y a pas de projet de palais des sports dans les tuyaux.
UCPB. Le président Christian Fra était présent à l'heure du match, hier soir. Parti de Nancy le matin en train, il a cependant effectué un petit crochet par la Capitale pour assister à une réunion de l'UCPB où il a notamment été question de paris sportifs.
Statistiques. Le moins que l'on puisse dire, c'est que Poitiers ne trust pas les podiums en matière de statistiques collectives. Avant la dernière journée, le promu poitevin affichait la 15e attaque de la division (72,9 points de moyenne) mais aussi la plus mauvaise adresse globale (41,9%). En fait, le PB 86 doit avant tout sa qualification pour les play-offs à sa solide défense (7e avec 74 points encaissés en moyenne). Ce qui faisait de Poitiers la seule équipe du top 8 présentant une balance attaque-défense négative, à l'heure de l'entre-deux.

T. S. (Thomas SIMON)

SPORTS LORRAINE - Basket-ball A chaud
« Beaucoup d'adresse extérieure »

Jean-Luc Monschau : « Nous avons fait un bon match, en limitant Poitiers à moins de 70 points et en trouvant beaucoup d'adresse extérieure, ce qui nous avait fait défaut dans le sprint final contre Gravelines. La quatrième place, Gravelines l'a conquise chez nous il y a dix jours. Pour ma part, je préfère terminer cinquième que sixième, par principe et pour une ou deux autres raisons... »
Ricardo Greer : « Beaucoup de belles équipes ont perdu à Poitiers cette saison. Ce soir, Jeff (Greer) et Steed (Tchicamboud) ont fait un grand match, sans oublier les intérieurs qui ont fait du bon boulot sur Badiane et Younger. Maintenant, place à Gravelines... Nous sommes prêts ! »
Pape Badiane : « Nous n'avons pas à rougir de cette défaite. Nous savions que Nancy viendrait pour essayer de décrocher la quatrième place. Ils ont démarré très fort en mettant tous leurs shoots extérieurs. Entre guillemets, c'est presque une bonne défaite ».
Ruddy Nelhomme (coach Poitiers) : « En première période, nous avons été dominés à l'intérieur. Ensuite, cela s'est joué sur des petits détails. Mais face à une équipe du top 6, il faut être plus régulier ».

andiamo a écrit:

Theseus a écrit:

Ce sont les PO, les essais c'est fini. JLM a son cinq (qui a dit depuis le début ?) et va en user jusqu'à la moelle. Encore plus en PO où à la différence de la saison régulière, les matchs sont très importants et ne laissent pas de place à l'approximation. On connaît la "craintivité" de JLM a changé son coaching en cours de match, c'est pas maintenant (en PO) qu'il va relancer un Bengaber ou redonner confiance à un Cox (ah la la ce lay-up à la dernière seconde à l'Astroballe l'année dernière ).

Bref faudra faire avec !

moi je dirais qu'il faudra faire SANS...

Oui SANS le trio Cox-Bengaber-Dickens, mais AVEC jlm

http://www.estrepublicain.fr/fr/sport-lorrain/info/3132558-SPORTS-LORRAINE-Basket-ball-Pro-a-%2838-Voyages-en-classe-affaires

La craintivité, c'est mignon ça.

Voyages en classe affaires



Les cinq défaites à Gentilly ont coûté au SLUC l'avantage du terrain. En revanche, ses neuf succès à l'extérieur lui ont clairement permis de sauver les meubles. Cap sur Gravelines...



Stephen Brun a réussi un joli double-double (points et rebonds) face aux Pictaviens mardi.




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Poitiers. Pendant que les 2.600 spectateurs de la salle Saint-Eloi rappelaient leurs héros, encore et encore, à grand renfort d'amplis saturés, de show laser et de chorégraphies de pom-pom girls, Jean-Luc Monschau scrutait la feuille de stats, seul dans un couloir. Le coach rassemblait ses pensées et, après avoir récité les raisons d'un neuvième succès à l'extérieur (la bonne défense du SLUC et son adresse à trois points, en substance), la première fut pour Gravelines, futur adversaire des Nancéiens en quarts de finale : « Être devancé par Gravelines n'est pas honteux. Ils ont fait un superbe parcours, une saison brillante et ont battu deux fois Cholet. Cette quatrième place, Gravelines l'a conquise sur notre terrain, il y a dix jours. »
A la même heure, avant-hier soir, sous le toit du Sportica, Christian Monschau était chatouillé par le même sentiment et renvoyait le compliment par presse interposée : « Les deux équipes (Nancy et Gravelines) peuvent être fières de leur parcours... » A la nuance près que Gravelines l'est sans doute un peu plus que le SLUC. D'ailleurs, on aimerait savoir combien le plus jeune des frères mulhousiens aurait parié en début de saison sur la possibilité de terminer devant le SLUC...
Et pourtant, après avoir longtemps occupé le podium en début de saison, l'équipe de Christian Monschau a su donner le coup de reins nécessaire pour s'offrir l'avantage du terrain en quarts de finale. En grande partie grâce à sa nette victoire à Gentilly, il est vrai.


Gravelines censé être plus facile que Roanne


Rappelons néanmoins que Gravelines fut la cinquième équipe de Pro A à venir se servir à Gentilly cette saison (après Poitiers, Cholet, Orléans et Hyères-Toulon) et qu'il faut forcément voir dans ce record de l'ère Monschau l'une des plus évidentes explications à l'absence du SLUC dans le top 4. Ce qui au passage, ne lui était plus arrivé depuis 2004-05... mais n'avait pas empêché Tariq Kirksay et ses potes d'aller en finale.
Pour en terminer avec le chapitre des records, dont les bilans furent souvent copieux ces dernières saisons, le SLUC n'en aura battu qu'un cette saison : celui du nombre de victoires à l'extérieur (9) dans une élite à seize équipes. Pas de quoi sortir tambours et trompettes, même si c'est sans doute à cette faculté à bien voyager que les Nancéiens doivent leur cinquième place. Ceci étant évidemment la manière positive de contempler les choses...
Cette cinquième place, Jean-Luc Monschau semble s'en accommoder. D'abord parce qu'il n'a pas le choix, mais aussi « pour une ou deux raisons... En particulier, parce que je préfère rencontrer une équipe qui va disputer la finale de la Coupe de France trois jours avant ». Peut-être aussi parce que, sur le papier, le quatrième Gravelines est censé être plus accessible que le troisième, Roanne et que, cette saison, Nancy a déjà réussi une fois à s'imposer dans le Nord. Un exploit qu'il va falloir rééditer...



On a aimé

Les nombreux messages d'encouragements adressés par le staff et les joueurs à Kaniel Dickens, maladroit (0/5) mais combatif en défense. Le SLUC aura besoin de lui en play-offs.

L'adresse des Nancéiens derrière la ligne à trois points (12/26, 46%). C'est le quatrième meilleur match du SLUC dans ce domaine cette saison, après les 52% réussis contre Roanne et Dijon (11/21) et les 60% affichés face au Havre (9/15).

L'hommage sympa rendu par les supporters de Poitiers à leur équipe, dès la fin de la rencontre. Il est vrai que le promu a réussi une superbe saison.

On n'a pas aimé



Constater que les espoirs du SLUC, triples champions de France en 2004, 2005 et 2006, ne sont pas parvenus à se qualifier pour le Trophée du Futur, qui rassemblera à Poitiers fin mai, les sept meilleures équipes du championnat ainsi que le club organisateur.

Apprendre qu'il n'y a pas de projet de grande salle dans les tuyaux du côté de Poitiers. Avec la descente de Rouen en Pro B, la salle Saint-Eloi sera la plus petite enceinte de l'élite, l'année prochaine (2.600 places assises).



Les évaluations négatives de John Cox (-3), Kaniel Dickens (-3) et Seidou Njoya (-1), qui gâchent un peu le tableau de cette soirée globalement aboutie.



De notre envoyé spécial Thomas SIMON



Est republicain

"On a aimé

Les nombreux messages d'encouragements adressés par le staff et les joueurs à Kaniel Dickens, maladroit (0/5) mais combatif en défense. Le SLUC aura besoin de lui en play-offs."

Bon voilà un élément de réponse... Le SLUC joue à 6 mais essaie de récupérer ceux qui ne sont pas (plus) trop concernés...
Cox, Dickens, N'Joya et Bengaber doivent maintenant aborder les Play-Off de la meilleure manière possible !

C'est un peu tard...

Je sais que les spécialistes vont me tomber dessus ,mais a 6 joueurs on tiendra pas les play-offs, alors pourquoi ne pas mettre John dans le cinq de depart pour lui temoigner confiance, perso je pense qu il faut le tenter John en confiance serait un atout ,je sais c est tard, mais jamais trop tard!!

hubert-felix thie a écrit:

Je sais que les spécialistes vont me tomber dessus ,mais a 6 joueurs on tiendra pas les play-offs, alors pourquoi ne pas mettre John dans le cinq de depart pour lui temoigner confiance, perso je pense qu il faut le tenter John en confiance serait un atout ,je sais c est tard, mais jamais trop tard!!

Tu as peut-être raison, mais de toute façon, ce n'est pas nous qui décidons, JLM est le seul maître à bord...!

machin00 a écrit:

C'est un peu tard...

Non, je ne le pense pas...
En fait, cette 5ème place qui nous déçoit n'est pas si mal si on regarde le tableau... comme on dirait en Tennis.
Bon d'accord, on n'a pas l'avantage du terrain... mais bon cette saison, le SLUC n'a jamais été si performant à l'extérieur.

Sinon, on rencontre Gravelines qui est solide mais fait moins peur que Roanne.
En cas de victoire on se taperai sûrement Cholet qui pour ma part me fait moins peur que Le Mans, Roanne et Orléans...

C'est très loin d'être simple, mais c'est "jouable".

Jouable, si des joueurs comme Cox et Dickens se bougent un peu en sentant qu'il y a là quelque chose à faire... et terminer en beauté !
Bon je rêve peut-être, mais magré tout, je crois que c'est dans le domaine de l'envisageable... on a vu bien pire !

hubert-felix thie a écrit:

Je sais que les spécialistes vont me tomber dessus ,mais a 6 joueurs on tiendra pas les play-offs, alors pourquoi ne pas mettre John dans le cinq de depart pour lui temoigner confiance, perso je pense qu il faut le tenter John en confiance serait un atout ,je sais c est tard, mais jamais trop tard!!

Mettre Cox titulaire qui est au fond du trou pour les deux (trois) matches les plus importants de l'année, où on a aucun droit à l'erreur... moi je pense que c'est en l'occurrence trop tard. En + Jeff, qui reste sur un gros match, devrait super bien le prendre
J'aurais du mal à comprendre une telle décision.

Imaginons. Tu le lances dans le 5... ça fait beaucoup de pression pour un joueur qui jusqu'à maintenant n'a pas affiché de qualités mentales exceptionnelles. De toute façon, c'est un pari bien trop risqué pour qu'il ne soit tenté par JLM, et qui selon moi n'a pour le coup aucune raison valable d'intervenir.

Peut etre as tu raison...mais le rentrer quand l equipe dejoue c est pas lui rendre service non plus , ca va etre dur a 6, tu peux mettre John a la méne, paris risqué ,enfin quand il est en confiance un sacré scoreur Cox, au point ou nous en sommes , perso j oserai, mais ce n est que mon avis! De toutes les facons si on veut aller au bout faut absolument que tous soient concernés sinon nous n'y arriverons pas....a Bercy!

C'est le genre de chose qui pourrait légèrement redonner confiance au joueur, et créer un semblant d'apport du banc à l'entrée de Jeff Greer. Finalement, c'est comme mettre Marcus Slaughter sur le banc pour débuter le match. Cela apporte un nouvel élan à l'équipe lorsqu'il entre en cours de jeu. John Cox, quand il le veut bien, est un formidable attaquant.

Mais le problème, encore une fois, c'est que défensivement, John Cox est trop mou du genou. En comparaison avec Jeff Greer, le coach a très vite-fait son choix. C'est comme ça. C'est donc compliqué de le titulariser.

Pour Kaniel Dickens par contre, je trouve que ce serait un peu moins risqué de le faire débuter le match. Il est susceptible d'apporter quelque chose de plus que ces derniers temps, aux dires de ses coéquipiers et de son coach après le match de Poitiers, et même de l'intéressé lui-même dans la presse cette semaine. Il a (enfin) compris qu'il devait, comme Stephen Brun finalement, apporter davantage en défense, aux rebonds, et dans la construction des offensives, que dans le "scoring". Ce dernier pourrait bien être notre facteur X.