Monsieur EISENBACH

le SLUC à perdu son pére et nous sommes trés touchés par son départ
le club lui doit.......... temps de choses et encore beaucoup d'autres
le temps passe trop vite et il est surtout trop cours
mes trés sincéres pensées pour toute sa famille
trés sincérement

Choqué, c'est le mot... je suis choqué par cette nouvelle.

Habitué de Gentilly depuis 1987 (je dis souvent que c'est ma résidence secondaire...), j'ai eu à croiser maintes et maintes fois JJE.

Tout à été dit dans ce post sur le personnage, entier, passionné, souverain qui a fait ce club que nous aimons tant et qui a réussi à le mener très haut dans la hiérarchie du basket français.

Gràce à Monsieur Jean-Jacques Eisenbach, le SLUC Nancy est devenu une place forte du basket... Dommage qu'il soit parti si vite sans avoir vu le Sluc Nancy devenir Champion de France !

Je suis triste ce soir. Rendons lui un vibrant hommage ce samedi et soyons assuré qu'il nous entendra.

A mon tour je m'associe à tous ces messages pour présenter mes sincères condoléances à l'entourage de monsieur EISENBACH.
Et pour vous JJE un mot, un seul : MERCI.

Toutes mes condoleances a la famille.

Je me souviens d'un samedi matin a 10h00, JJE etais la pour encourager les poussins et benjamins du SLUC, puis il se rendait a Gentilly l'apres-midi pour voir les espoirs et les pros. Le lendemain, il assistait au match des feminines du SLUC avec la meme passion et ferveur pour le club de son coeur.
Monsieur SLUC, merci pour tout. J'espere que des salles de basket nanceennes porteront votre nom tres bientot.

REP.

«Gentilly devrait porter son nom » (est republicain)

Que ce soit à Nancy, en Lorraine ou dans le basket français, on met en avant l'incroyable passion à fleur de peau qui a animé toute la vie de Jean-Jacques Eisenbach.


André ROSSINOT (maire de Nancy, président de la CUGN) : « Je perds un ami de jeunesse avec qui j'étais au Lycée Poincaré. Mais au delà de nos liens personnels, il symbolisait pour tous les Nancéiens la volonté, l'enthousiasme et la rigueur dans le monde du sport. Elu président du SLUC Basket en 1974, alors que le club traversait une passe particulièrement difficile, il a su pour la plus grande fierté de tous faire retrouver le chemin de l'élite à cette équipe. La rigueur et le talent avec lesquels il a géré le club pendant plus de 30 ans sont exemplaires. Ses confrères présidents de clubs l'ont d'ailleurs honoré et décoré récemment dans le cadre de la Semaine des As à Dijon. C'est aujourd'hui plusieurs générations de joueurs et amoureux du sport qui perdent un homme aux qualités humaines et professionnelles remarquables ».

Christophe LION (ancien joueur du SLUC et actuel coach de l'équipe féminine) : « Il va laisser un énorme vide. Jean-Jacques Eisenbach est l'homme qui m'a fait venir à Nancy, un homme que j'ai énormément apprécié. Pour chambrer, Derrick Lewis disait toujours que j'étais un peu le fils du président. Aujourd'hui, ce sont plein de souvenirs qui ressurgissent. Il ne faut jamais oublier tout ce qu'il a donné au club ».

Vincent MASINGUE (international. Ancien joueur du SLUC) : « Je ressens une grande tristesse. On ne peut qu'avoir du respect pour cet homme qui a consacré sa vie à son club. Il était là de 8h à 20h, il s'est investi de manière colossale. C'était un vrai passionné, un homme qui s'enflammait lorsqu'il regardait un match de benjamins ou de minimes ».

Yvan MAININI (président de la FFBB) : « Je garderai de lui le souvenir d'un homme passionné et profondément investi dans son club. Jusqu'au bout, il aura accompagné son équipe, notamment à la dernière édition de la Semaine des As. L'agrandissement du Palais des Sports et le travail effectué au niveau du centre de formation, sont de grandes réussites qui permettent au SLUC de figurer aujourd'hui parmi les clubs français les plus performants ».

René LE GOFF (président de la Ligue Nationale de Basket) : « C'est avec grande tristesse que nous avons appris le décès de notre ami Jean-Jacques Eisenbach. Sa passion pour le basket et pour son club, le SLUC Nancy, force l'admiration de tous. Nous n'oublierons jamais le grand dirigeant sportif, le bénévole exemplaire, l'ami fidèle, l'homme de conviction. Au cours de la prochaine journée de championnat tous les clubs de la LNB lui rendront hommage »

Hervé BEDDELEEM (président de l'UCPB, directeur exécutif de Gravelines) : « Malgré la maladie durant ces trois dernières années en tant que Secrétaire Général de l'UCPB dont il était la cheville ouvrière, il a fait preuve d'un énorme courage pour mettre en place la convention collective du basketteur professionnel. J'en profite pour saluer toute la passion qui l'a animé pendant plus de trente ans ».

Alain SERRI (président de la Ligue Lorraine) : « En tant que président de la ligue, je souhaiterais insister sur l'extraordinaire contribution qu'a apporté Jean-Jacques Eisenbach au basket lorrain, car c'est lui qui a forgé le rayonnement du SLUC en Lorraine et en France. Malgré la maladie, il a travaillé jusqu'au bout pour le basket français ».

Pierre SEILLANT (directeur de l'Elan Béarnais) : « C'était un homme droit, rigoureux et très honnête. Il a marqué l'histoire du SLUC de manière indélébile. Avec moi, il a été le plus ancien président de club en Pro A. Cela nous avait rapprochés. Pour lui comme pour moi, le basket aura été le fil conducteur de nos vies, une deuxième famille ».

Michel DUFRAISSE (ancien joueur, ancien dirigeant du SLUC, responsable des équipements sportifs à la CUGN) : « J'étais aller le voir la semaine dernière, j'admirais son courage devant l'épreuve. Je perds un ami de 32 ans. C'était un dirigeant d'une grande compétence, qui a toujours privilégié l'ombre, le travail à la gloire éphémère. Sous ses aspects d'homme bourru, c'était quelqu'un de très humain qui aimait ses joueurs, son club, sa ville. Il a mené le club de la faillite à un titre de champion d'Europe. Je vais demander à André Rossinot que le Palais des Sports porte son nom ».

Cyrille MULLER (ancien président de Golbey-Epinal et président de la DNCCG) : « Avant de parler de basket, je pense surtout à sa famille, à son épouse. Je perds d'abord un ami. Le basket français pleure l'un de ses plus grands dirigeants. Récemment encore, il s'était investi sur le plan national. Il était l'âme de la convention collective. C'est une grande figure du basket qui s'en va ».

André MULON (ancien président, dirigeant du Besançon Basket Comté) : « Je suis très triste. J'ai travaillé longtemps à la Ligue avec Jean-Jacques. Il était si passionné. A chaque Besançon - Nancy ou Nancy - Besançon, on était heureux de se retrouver pour ce derby lié par notre partenaire commun L'Est Républicain. J'ai une pensée pour Christiane, son épouse et ses deux fils ».

Jacques ROUSSELOT (président de l'ASNL) : « Je suis consterné, abattu. C'est une grande perte pour le basket et pour le sport lorrain. Il représentera toujours l'avènement du basket à Nancy. Pour le côtoyer en tant que représentant d'un club professionnel parallèle, il n'a jamais lâché, jamais tiré la couverture à lui. Le basket lui doit beaucoup ».

Mario SANTINI (ancien joueur du SLUC et dirigeant) : « J'ai perdu beaucoup plus qu'un président de club, j'ai perdu un ami. J'étais tellement proche de lui, de son épouse et ses enfants. Derrière son côté un peu bourru, c'était un homme qui avait un coeur gros comme ça. Bien sûr, nous avons eu des prises de bec. Jean-Jacques aimait les rapports de force. Une fois que l'on avait compris cela, on pouvait l'estimer à sa juste valeur. Le SLUC a perdu son président ».

Propos recueillis par G.G. et T.S.

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Une minute de silence en Pro A et Pro B

NANCY. - La Ligue Nationale de Basket a décidé de s'associer à la famille de Jean-Jacques Eisenbach et à celle du basket français en lui rendant un vibrant hommage par une minute de silence qui sera observée avant le coup d'envoi de chaque rencontre des championnats de France Pro A et Pro B ayant lieu ce week-end (17, 18 et 19 mars)

Par ailleurs, Georges Thierry, président du comité de Meurthe-et-Moselle a demandé à ce qu'une minute de silence soit également observée avant chaque rencontre se déroulant ce week-end en Meurthe-et-Moselle.

"Le SLUC Nancy perd son Président". A la lecture des réactions recueillies dans l’Est Républicain et sur ce forum, j’ai eu besoin de m’associer à l’hommage rendu à cet homme de caractère. Je n'ai jamais eu de très bon rapports avec lui. C'est un fait. Une chose est sûre, malgrès les querelles et les mots, je ne retiendrai que la passion du basket et du SLUC. Cette passion qui est la mienne, cette passion qui était sa vie. Merci.

Nicolas P.

Habitué des samedis soirs basket depuis 91, j'ai vécu tellement de grands moments à Gentilly, version I puis II.
Et tout cela, (je le dois, mais surtout) nous le devons au travail acharné et à la passion de JJE, qui restera à jamais le grand bonhommme du SLUC.
En effet, que de chemin parcouru depuis 74 avec, dans le désordre (et j'en oublie certainement), la montée en Pro A, la finale de la Coupe de France, les nombreux play-offs, le passage à Gentilly II, la victoire en Korac, la victoire à la Semaine des As, la finale du championnat....
Tous ces bons moments et résultats sont le résultat du travail de cet homme, qui a tout donné pour notre club favori. Il a fait du SLUC un haut lieu du basket français, un club ambitieux et respecté.
Il a su passer la main au bon moment, à M. Fra qui s'évertue à poursuivre (avec succès là aussi) dans la direction montrée par le président.

Pour tout cela, merci M. JJE.

Je m'associe à tous les messages de condoléances et de soutien adressés à l'ensemble de sa famille et à son entourage.

PS: n'oublions pas la passion de ce grand homme, vivant chacun des matchs du SLUC à 100% (pros, espoirs ou jeunes)

je me joins a la peine de sa famille et des tous le Sluc dans ce moment difficile le basket francais a perdu un grand president le sluc a surtout perdu son plus grand supporter

palais des sports Eisenbach se serait merité

RESPECTS ! !

un hommage incontournable:Gentilly = Salle JJ EISENBACH ! !

J'approuve à 200% l'idée de renommer gentilly en salle EISENBACH, c'est un hommage qui serait à la hauteur de l'homme qu'il fut.

Pas un mot sur BZ pour l'instant... j'espère que ça va venir, le bonhomme mérite bien ça... pas un mot sur l'équipe non plus...

Jamais facile de parler dans ces moments là...

Merci pour tout JJE

BB

Il y a eu quelque chose sur le site de l'Equipe le jour de sa disparition.

Vu sur le site du Républicain Lorrain

Jean-Jacques Eisenbach le bâtisseur
L'ancien président du SLUC s'est éteint hier à l'âge de 66 ans. Le basket nancéien lui doit tout.

Jean-Jacques Eisenbach voulait mourir au Palais des Sports Jean-Weille. Pour lui, le match s'est achevé hier au petit matin, à l'hôpital, après une longue lutte contre la maladie. JJE avait décidé d'ignorer le mal qui lui a pourtant brûlé, une à une, toutes ses réserves d'énergie. Elle n'aurait pas le dernier mot. Et pourtant, les yeux du patron se sont fermés quelques jours seulement après un ultime succès du SLUC à Reims. "J'ai perdu mon guide, lâche Christian Fra, la gorge serrée. Jean-Jacques sera regretté non seulement à Nancy, mais dans tout le basket français". Le type était un bâtisseur. Du SLUC réfugié sous la bulle de la Foire-Expo, pour ses premières émotions face aux grandes équipes de l'Hexagone comme Villeurbanne, Bagnolet, Denain ou le PUC, Jean-Jacques Eisenbach a fait une étoile européenne, capable non seulement de rivaliser aujourd'hui avec Pau-Orthez et l'ASVEL, mais de mettre la Coupe Korac à son palmarès.

Le Palais des Sports, c'est Eisenbach, avec la complicité d'un élu déterminé, Jean Weille. Le Palais des Sports agrandi (6000 spectateurs), c'est Eisenbach. Le basket prospère, porté à bout de bras par un Cyril Julian vice-champion olympique, c'est Eisenbach. Derrière l'homme au masque de fer et au contact sévère, s'est hissé un grand dirigeant. Un personnage rare.

Christian Fra, le président du SLUC Nancy, a fait hier quelques pas sur le parquet de Gentilly pour interrompre l'entraînement des joueurs de Jean-Luc Monschau et leur dire : "Le président est décédé." Les géants se sont immédiatement figés dans un silence lourd de tristesse et d'émotion. Samedi, c'est Jean-Jacques qui "donnera le coup d'envoi" de SLUC-Cholet et le Palais des Sports sentira sa poitrine se nouer.

Par deux fois, le dirigeant courage avait, miné par l'épuisement, perdu l'équilibre dans l'escalier de Gentilly. C'était le mois dernier. A Dijon, le président a vécu ses ultimes heures de paix avec son équipe chérie, durant la Semaine des As qui restera, à l'instar de la Coupe Korac et de la finale du championnat de Pro A, l'un des moments prestigieux de la carrière du club nancéien.

Trente années de présidence ont pris fin, sans toutefois s'éteindre, parce que le feu de l'engagement garde sa braise à jamais. L'oeuvre de Jean-Jacques Eisenbach est inscrite dans la pierre et le basket français lui doit aussi ses idées et ses efforts au sein de la Ligue professionnelle, de l'UCPB et de la commission de la convention collective.

Avec Jean-Jacques Eisenbach, un homme d'envergure, passionné de football et d'automobile, a quitté les terrains et au vestiaire, demeurera l'image de quelqu'un qui ne ressemblait qu'à lui. Vraiment.




C. P.

www.republicain-lorrain.fr



Et aussi


Julian, de tout son coeur

L'international et Jean-Jacques Eisenbach entretenaient des relations étroites. La complicité entre le président défunt et Cyril Julian a d'ailleurs toujours fait le bonheur du SLUC. Confessions d'un colosse au coeur tendre.


"J'en ai pleuré". Des larmes qui tombent de 2,05 m pour nous rappeler que le sport est encore une famille. Cyril Julian n'a jamais été autant secoué sur le parquet de l'émotion, lui le Warrior, si fort habituellement pour déloger ses adversaires de la raquette. "C'était peut-être mieux ainsi. Il était très fatigué dans les derniers instants de sa vie et comme l'a joliment dit le maire de Nancy, on espère que là où il est, le président a tous les terrains de basket qu'il souhaite. Jean-Jacques était un très grand monsieur. Je suis vraiment affecté".

Julian et JJE ? Une longue histoire. Une belle histoire. Quand on a vingt ans, on est content de croiser des bras ouverts. 1994, le SLUC accédait au paradis, le champion d'Europe juniors débutait sa carrière: "Deux personnes m'ont pris sous leur aile: Jean Ecuyer, malheureusement disparu aussi, et Jean-Jacques Eisenbach, qui m'a fait confiance. Mon premier contrat chez les pros, je l'ai signé avec lui". Alors, le pivot de l'équipe de France se souvient des relations intenses avec "cet homme au caractère extrêmement fort, puissant, qui aimait les rapports de force, tant il vivait son sport passionnément. Mais il suffisait de gratter le vernis pour découvrir une grande humanité".

Le double-mètre nancéien, comme pour remercier son "père spirituel", a ramené une médaille olympique, une coupe européenne surtout. Et des choses plus intimes, des trophées de la vie de tous les jours: "Un maillot de Valence quand je suis rentré d'Espagne, il était heureux... Quand j'avais besoin d'un conseil, je n'hésitais pas. J'étais plus qu'un joueur pour lui. Nous avions un rapport particulier".



"On poursuivra son oeuvre"


Entre escapades ibériques et béarnaises, le port d'attache Lorrain est resté amarré aux certitudes de Cyril Julian. Lors de ses voyages, il a pu mesurer l'envergure du dirigeant à peine disparu, tant il aura laissé traces et empreintes: "Le genre de président emblématique qui marque par son génie, à l'image de Pierre Seillant, à Pau-Orthez. Il faut être fort pour hisser le club à ce niveau. Quand on sait d'où il a démarré, on ne peut dire que chapeau !"

Parce que ce coup de froid survient en pleine période rose pour le SLUC, flirtant un peu plus avec la consécration à chaque sortie. "Je suis content car il gardera l'image d'un club qui réussit, qui gagne". Grâce, notamment, à son fameux guerrier dont le retour au bercail nancéien a dû bougrement soulager Jean-Jacques Eisenbach: "Je m'investirais en tant que dirigeant. Nous perpétuerons ses valeurs et poursuivrons son oeuvre. Christian Fra a repris le flambeau. Tous les deux ont énormément échangé. On bossera en sa mémoire". Pour vaincre, car le président n'aimait pas perdre!

SLUC-Cholet, c'est déjà demain. Ça recommence. "Un match dans un contexte spécial, je sais comment je vais l'aborder... On jouera avec tout notre coeur. Les Choletais, également, sont certains de ressentir cette émotion". Sous les autres panneaux de France, cette même minute de silence fera du bruit dans les esprits. JJE, personnage marquant, était un ennemi de l'indifférence.




Alain THIÉBAUT.

www.republicain-lorrain.fr

Ligue Nationale de Basket s’associe à la douleur de sa famille et à celle du basket français en rendant un vibrant hommage à Jean-Jacques Eisenbach, Président du Conseil de surveillance du SLUC Nancy, par une minute de silence qui sera instaurée avant le coup d’envoi de chaque rencontre des Championnats de France PRO A et PRO B du week-end.

La famille du basket a perdu l’un de ses membres les plus fidèles et figure emblématique du basket lorrain en la personne de Jean-Jacques Eisenbach, Président du Conseil de Surveillance du SLUC Nancy.

« C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de notre ami Jean-Jacques Eisenbach. Il était encore avec nous à la Semaine des As faisant preuve d’un courage admirable. Sa passion pour le basket et pour son club, le SLUC Nancy, force l’admiration de tous. Nous n’oublierons jamais le grand dirigeant sportif, le bénévole exemplaire et passionné, l’ami fidèle, l’homme de conviction et d’abnégation et le bâtisseur du basket professionnel » a déclaré Monsieur René Le Goff, Président de la LNB.

Président du SLUC Nancy en mai 1974 à l’époque où le club évolue en Nationale 1, Jean-Jacques Eisenbach a fêté, en juillet 2004, ses 30 ans à la tête du club lorrain avant d’être nommé Président du Conseil de Surveillance du club lors du passage de celui-ci en SASP, en juillet 2004. Il reste le Président du dernier club français à avoir remporté une Coupe d’Europe : la Coupe Korac en 2002.

Il a également toujours montré un investissement important au sein de la LNB : membre du premier bureau du comité des clubs de haut niveau de la Ligue Nationale de Basket en juin 1987, il était pour la saison en cours Président de la Commission Paritaire et Secrétaire Général de l’UCPB, après avoir joué un rôle essentiel dans la signature de la convention collective du basket professionnel en juin 2005 à Marcoussis.

LNB

La salle Jean-Jacques Eisenbach

NANCY. - Le maire de Nancy et président de la CUGN André Rossinot va annoncer ce soir au public nancéien à l'occasion du match SLUC-Cholet que la grande salle du Palais des Sports Jean Weille, celle dans laquelle évolue le SLUC, s'appellera dorénavant la salle Jean-Jacques Eisenbach. La décision a été votée hier soir à l'unanimité par les élus de la communauté urbaine du grand Nancy. La proposition avait été formulée par Michel Dufraisse.

James a écrit:

La salle Jean-Jacques Eisenbach

NANCY. - Le maire de Nancy et président de la CUGN André Rossinot va annoncer ce soir au public nancéien à l'occasion du match SLUC-Cholet que la grande salle du Palais des Sports Jean Weille, celle dans laquelle évolue le SLUC, s'appellera dorénavant la salle Jean-Jacques Eisenbach. La décision a été votée hier soir à l'unanimité par les élus de la communauté urbaine du grand Nancy. La proposition avait été formulée par Michel Dufraisse.

Je vois pas comment il aurait pu en être autrement. Juste retour des choses pour rendre hommage au créateur du club et l'initiateur de la salle.
A ce triste sujet, bravo à Loesh pour son dessin sur le site officiel du SLUC.

Chapeau bas Monsieur Eisenbach, et surtout un grand merci pour tout ce que vous nous avez offert pendant toutes ces années.

Bon bah ce soir tous a la salle Jean Jacques Eisenbach, il faut du monde pour encourager les couguars et les aider a offrir une superbe victoire en hommage a l'homme qui a construit le club et nos reves...

Je voudrais presenter mes sincères condoléances à la famille de monsieur Eisenbach.

Nous perdons notre président de toujours, le basket et le SLUC perd un grand homme.

Son ancienne chaise au coin du terrain restera definitivement vide ...

Régis