[ProA - J4] SLUC Nancy bat ELAN Chalon, 87-74 (53-42)

Merci Bacou pour la revue de presse

Petit complément issu de l'ER et qui m'a le plus étonné:

Le couguar du match: Steed Tchicamboud
En ce qui me concerne, je l'aurais plutôt donné à Marcus. Parce que Seed et surtout dans cette configuration de match devrait finir meilleur passeur de l'équipe avec 1-2 unités de plus que son poursuivant à ce classement, ce qui n'est pas le cas. Et puis, j'ai eu l'impression que sur les (trop) nombreuses fois ou notre défense se fait mettre hors de position pour finir sur des shoots ouverts, Steed se fait passer un peu souvent à l'origine ce qui provoque le 1er décalage.
Mais, ça n'enlève rien à son bon match juste les raisons pour lesquelles je voyais plutôt Marcus. Je ne suis quand même pas impatient de voir Cholet s'aligner face au Sluc, y a encore du travail.
J'espère juste que la "distinction" ne lui revient pas parce qu'il fini à 22 d'éval contre 21 à Marcus...
Mais bon passons

Et j'aurais bien mis un Couguar d'honneur à Ricardo (7pts 7pds 7rbds) qui ne force rien pendant 32-33min. (c'est sûr, ça n'apparait pas sur les stats) Qu'es ce que c'est agréable. Sans compter et c'est souhaitable qu'il saura sans aucun doute reprendre le leadership sur les match plus consistant ou l'opposition l'imposera.
Dommage les 2-3 pertes de balle dans les dernières minutes.


La note du match: 15/20
Et alors là, vraiment je ne comprends pas. Ou alors je finis vraiment par penser que Mrs Gahier et Simon avaient un diner de prévu en famille et n'ont assisté qu'à la 1ère MT
Sinon, ça annonce de sacré bonne note sur le reste de la saison; les 19 et les 20 vont pleuvoir, ça va être l'école des fans.
Parce 15 sur un match on l'on joue correctement bien pendant 25min mais ou on passe une grande part de la 2ème MT à produire de la bouillie de basket et donc à ne pas tuer le match/à se faire peur Qui plus est face à une équipe déséquilibrée sans un de ses joueurs clés (ca peut évoluer mais pour l'instant l'avenir ne s'annonce pas radieux pour Chalon) qui en était à 0-3.
Pour moi, ça valait un 13, pas mal payé

Ricardo Greer, l'infatigable


C'est le seul joueur de Pro A à avoir joué 160 minutes sur les quatre premiers matchs du championnat. Ricardo ne sort jamais pour souffler. Jean-Luc Monschau s'en explique...


NANCY._ Éclectique Ricardo Greer ? Sans aucun doute ! Il suffit de consulter ses statistiques depuis qu'il est devenu champion de France avec Strasbourg en 2005 et qu'il a jailli dans la lumière de Bercy.
Que ce soit ensuite à Pau (Top 16 de l'Euroligue) ou au SLUC depuis maintenant plus de deux ans, il agite son couteau suisse sur les parquets de France et Navarre.
Samedi soir, sans être en réussite (7 pts), plutôt hésitant en attaque, il a terminé, mine de rien, la rencontre avec sept passes décisives, sept rebonds et un bon 13 à l'évaluation, cette note globale qui prend en compte tous les secteurs du jeu (points, pourcentage, rebonds, passes, balles perdues, fautes, fautes provoquées, contres, lancer francs et interceptions). Au passage, après quatre matches, il occupe d'ailleurs la deuxième place à l'évaluation (21,25 de moyenne), derrière le shooteur de Toulon Derrick Obasohan.
Éclectique, mais aussi infatigable le taureau de la République Dominicaine pour Jean-Luc Monschau, puisque Ricardo est aujourd'hui le seul joueur de Pro A à ne pas avoir quitté, même pour une seconde, les planches du parquet après quatre matchs. 160 minutes non stop pour Ricardo, le boss, Ricardo, le patron qui n'a peut-être jamais été aussi investi de responsabilités que cette année : « Il prend une part importante dans le collectif de l'équipe, dans les décisions prises en direct . En basket, on appelle ça : un leader » explique Jean-Luc Monschau : « Il a également beaucoup d'influence sur nos nouveaux joueurs, sur l'ensemble de l'équipe » ajoute le coach du SLUC qui n'est pas du genre à chambouler son équipe quand ça tourne, quand ça roule...

« J'en profite au maximum »


Jean-Luc Monschau prend-il des risques en laissant son capitaine sur le parquet de la première à la dernière minute ? S'expose-t-il aux critiques de l'entourage ou à certains joueurs de l'équipe qui jouent moins ? Le coach du SLUC répond sereinement : « Je profite à plein de Ricardo actuellement. Car, son impact sur l'équipe est prépondérant. Même s'il ne marque pas beaucoup de points comme ce soir (samedi), il va prendre le rebond décisif ou réussir la passe qui fait la différence. Mais si Ricardo joue actuellement 40 minutes, c'est aussi et surtout parce que nous jouons seulement un match par semaine. À partir du 24 novembre, les matches vont s'enchaîner entre la Pro A et l'Eurocoupe. Et Ricardo se reposera sur de courtes séquences. Lesly (Bengaber) qui est très précieux depuis deux matches, grignotera inévitablement du temps de jeu sur le poste. Mais je voudrais aussi ajouter que Ricardo Greer est un garçon profondément honnête. Et je sais qu'il fait signe, lorsqu'il a besoin de souffler. N'oubliez pas qu'il possède une grande expérience du championnat ».
Ricardo Greer, l'infatigable, est-il indispensable au SLUC ? Jean-Luc Monschau répète souvent qu'il est incontournable. Qui pourrait d'ailleurs en douter ? Avec la nouvelle aventure européenne, le capitaine du SLUC va devoir se ménager. Même si ce n'est pas le genre de la maison...

Gilles GAIHIER


Est republicain

Le chiffre 38


C'est le nombre de points marqués samedi par le meneur de Poitiers Rasheed Wright contre Hyères-Toulon. Avec un 9/14 à trois points, 5 sur 5 aux lancers, la « perle » du Poitou a longtemps fait croire à la victoire de son équipe incapable de bonifier la balle de match avant de se faire prendre en prolongation par Obasohan et ses camarades.

Points


1. Obasohan (Toulon) 28,5 pts; 2. Spencer (Le Mans) 21,67; 3. Wright (Poitiers) 20,25; 4. Marshall (Dijon) 19,75; 5. Pierce (Toulon) 18,75; 6. Vassallo (Paris) 18,75; 7. Miller (Le Havre) 18,25; 8. Bradley (Dijon) 18; 9. Banks (Orléans) 17,75; 10. Taylor (Le Havre) 17,25
Le carton du jour : Wright 38 points.

Rebonds


1. Sene (Toulon) 12; 2. Issa (Vichy) 11,75; 3. Edwards (Gravelines) 9,25; 4. Fazekas (Dijon) 9; 5. Nsonwu (Roanne) 8,5; 6. Falker (Cholet) 8,25; 7. Terrell (Toulon) 8; Ricardo Greer (Nancy) 7,25; 9. Vassallo (Paris) 7,25; 10. Pierce (Toulon) 6,75
La cueillette du jour : Sene (Toulon) 13 rebonds.

Passes


1. Reid (Vichy) 7,25; 2. Neitzel (Chalon) 7,25; 3. Pierce (Toulon) 6,75; 4. Ricardo Greer (Nancy) 5,75; 5. Sciarra (Orléans) 5,67; 6. Gomez (Poitiers) 5,50; 7. Miller (Le Havre) 5,25; 8. Ball (Paris) 5; 9. Karangwa (Paris) 4,50; 10. Tchicamboud (Nancy) 4,50
Le total du jour : Pierce (Toulon) 9 passes.

Evaluation



1. Obasohan (Toulon) 24; 2. Ricardo Greer (Nancy) 21,25; 3. Issa (Vichy) 21; 4. Edwards (Gravelines) 20,75; 5. Sene (Toulon) 19,75; 6. Spencer (Le Mans) 19,67; 7. Vassallo (Paris) 19,25; 8. Wright (Le Mans) 18,67; 9. Fazekas (Dijon) 18,50; 10. Hamilton (Paris) 18,33
L'évaluation du jour : R.Wright (Poitiers) 39.
Est republicain

Repos forcé pour Akingbala





Pourquoi Akingbala n'a joué que sept minutes samedi soir face à Chalon ?
La question a été posée à Jean-Luc Monschau. Si Akin Akingbala est resté sur le banc, c'est d'abord parce que Slaughter était performant et qu'il fallait en profiter pour faire fructifier son capital confiance.
Ensuite parce que le Nigérian souffre du dos depuis plusieurs semaines, qu'il faut donc le ménager.
C'était l'occasion ou jamais. Akin va d'ailleurs être arrêté jusqu'à jeudi soir et ne s'entraînera pas avant le match contre Le Mans vendredi.
L'arbitre a accordé le panier de Neitzel (74-66, 35e) bien avant que le ballon finisse sa course dans le filet nancéien. Pourquoi ?
Rappelez-vous de l'action. On joue la 35e minute, le meneur de jeu de Chalon Drew Neitzel tente un lay-up mais se fait contrer par Kaniel Dickens.
L'arbitre accorde pourtant le panier bien que le ballon ne soit jamais rentré dans le cercle, car le Nancéien a tout simplement touché la planche dans son action, ce qui est interdit.
Un panier suivi d'une interception de Soliver sur la remise en jeu qui faillit tout faire basculer (74-68).Avec 5.240 spectateurs, le SLUC a enregistré la deuxième affluence de la journée juste derrière le choc Orléans-ASVEL (5.500).
Et pourtant un quart d'heure avant le coup d'envoi, Gentilly paraissait à moitié vide ?
Jean-Charles Bregeon, secrétaire général du SLUC, n'en est pas revenu, même si le phénomène semble s'intensifier d'année en année. De plus en plus de spectateurs prennent l'habitude d'arriver au dernier moment aux guichets de Gentilly.
Samedi soir, l'équipe à Jean-Charles Bregeon a vendu presque 1.500 billets aux guichets entre 19 h 45 et 20 h. Reste que le SLUC possède plus que jamais, le meilleur public de France. Vacances scolaires ou pas...
La LNB doit-elle changer ses règlements pour se mettre en accord avec l'Euroligue qui veut que la deuxième place qualificative soit réservée au finaliste ?
Evidemment ! Le comité directeur de la LNB qui se réunit ce matin doit absolument mettre en conformité ses règlements avec ceux de l'Euroligue après que Jordi Bertomeu chairman de « Euroleague Commercial Assets » ait refusé d'accorder une place en Euroligue au premier de la saison régulière 2009-2010 pour la donner au finaliste du championnat.
Ce qui prouve bien que selon le règlement en cours (article 301), c'était bien le SLUC premier du ranking sur les trois dernières années (2006-2009) qui aurait dû être présenté par la LNB pour l'Euroligue 2009-2010.
On n'arrive pas à s'en remettre...

Gilles GAIHIER


26/10/09

On a aimé


•La nouvelle chanson des Couguars, l'hymne à la joie du « kop » de Gentilly. Une première pour les supporters du SLUC. Sympa !
•La communion entre les joueurs nancéiens dans le rond central à la fin du match et le pas de danse d'un certain Marcus Slaughter. Le signe que l'équipe vit bien ensemble. Le président Fra et l'entraîneur Jean-Luc Monschau le confirment.
•L'apport de Bangaber qui joue peu, très peu mais qui depuis deux matchs (à Paris et samedi soir), fait remarquablement son job : 6 minutes de jeu, 6 points (2/2 à trois points et 100 %) contre Chalon.

On n'a pas aimé



•Voir la Chorale de Roanne être obligée de jouer le tour préliminaire de l'Eurocoupe contre Jérusalem (match retour mardi en Israël avec deux petits points d'avance) alors qu'elle a terminé deuxième du ranking et s'est qualifiée pour deux finales du championnat de France en 2007 et 2008. Bizarrement, Cholet a directement été qualifié. On comprend la colère de Jean-Denys Choulet et du club roannais.
•Le 5/12 de Marcus Slaughter aux lancer-francs. C'est en dessous de la moyenne. Imaginez le carton de l'intérieur du SLUC s'il avait connu plus de réussite.
•Le visage dépité de Seydoux Njoya en conférence de presse, alors qu'il n'a pas joué une seule seconde du match et qu'il n'avait pas grand chose à dire et pour cause... Ce n'était sans doute pas le joueur à envoyer au rendez-vous des journalistes.
Est republicain

Nancy monte en régime



Le SLUC a obtenu samedi sa troisième victoire de rang avec un jeu qui s’améliore et un Slaughter enfin décisif. Le Mans, vendredi, confirmera-t-il l’embellie ?


La machine est lancée mais elle tousse encore. Laborieux au démarrage lors de ses deux premières sorties, le SLUC Nancy a rectifié ce tir mais il pèche désormais dans ses conclusions. A deux reprises, contre Paris puis Chalon samedi soir, les Lorrains ont obtenu jusqu’à seize unités d’avance pour finalement gaspiller ce pécule et craindre pour leur victoire en fin de rencontre. Nancy fonctionne donc par séries actuellement. Mais il gagne et c’est évidemment l’essentiel pour une équipe qui assume encore ses réglages.
Aujourd’hui, Jean-Luc Monschau espère avoir classé un dossier qui freinait la progression de son effectif : les recrues. Leur assimilation se joue sur la durée et Dickens est le premier à s’être manifesté. Contre Paris, sa copie de 24 points et 7 rebonds a conforté le SLUC dans le choix d’attirer un Américain inconnu des bataillons de Pro A. Bengaber en a également profité pour signer deux tirs à distance, à Coubertin puis Gentilly samedi, dans un rôle de joker qu’il devrait conserver cette saison.
Il en restait un : Marcus Slaughter. Pour contrer Chalon mais aussi désinhiber le garçon et doper sa confiance, Monschau a clairement demandé à ses meneurs de jouer sur l’intérieur californien. Vingt-et-un points et neuf rebonds plus tard, la recrue-phare de l’été avait enfin rempli son contrat. S’il est constant, Slaughter devrait s’installer durablement dans le cinq majeur.
Meneur discipliné et élément décisif au cours de cette première victoire à Gentilly (87-74), la troisième de rang en championnat, Steed Tchicamboud appréciait la nouvelle harmonie au sein de l’équipe. « Nous avons toujours de gros potentiels mais on ne va pas faire la même saison que l’année dernière, notait-il. Ricardo (Greer) implique tout le monde et on partage plus la balle. » Coach vaincu mais éternel beau joueur, Greg Beugnot a lui aussi tressé une couronne de laurier à son tombeur du jour : « Nous avons été trop observateurs de la qualité adverse en première mi-temps. Nancy a de telles ressources athlétiques et un tel gabarit qu’on a souffert sur certains postes. »
Il conviendra toutefois de relativiser ce nouveau succès nancéien. Car il a été obtenu contre une équipe qui n’a pas gagné un seul match saison et le SLUC lui-même n’a pas été resplendissant, comme le confirment ses 17 balles perdues et son rendement bien pâle aux lancers-francs (16/26). Jusqu’ici, Nancy n’a d’ailleurs jamais convaincu sur quarante minutes et il n’a battu qu’un concurrent crédible aux play-offs : Paris-Levallois. Sans parler de sa défaite inaugurale contre Poitiers qui fera tache toute la saison dans le bilan lorrain. Or, cette équipe avance, gagne et s’améliore. Il ne lui reste plus qu’une grande victoire contre un cador pour envoyer un message à ses concurrents. De fait, la Pro A guettera son déplacement au Mans avec beaucoup d’intérêt vendredi. C’est un premier test.
Christian JOUGLEUX.



Publié le 26/10/2009

Republicain lorrain

Merci Bacou pour notre lecture quotidienne

Il ne lui reste plus qu’une grande victoire contre un cador pour envoyer un message à ses concurrents. De fait, la Pro A guettera son déplacement au Mans avec beaucoup d’intérêt vendredi. C’est un premier test

Tout à fait! Voilà pour nous un vrai match référence, un vrai défi...

On a une équipe rassurante car ce sont des individualités différentes qui font la différence sur chaque match.

On compte toujours autant sur Ricardo mais il a pris un rôle d'organisateur et comme il voit qu'il y a des joueurs à fort potentiel autour de lui il a la sagesse de les faire jouer au lieu de forcer seul...

On a une équipe rassurante car quand c'est pas Cox, c'est Dickens puis c'est Slaughter ou Tchi qui font leur match... Avec toujours Ricardo en appui mais au moins on ne compte plus QUE sur lui

Espérons que contre Le Mans on est les 5 joueurs qui fassent leur match.

Concernant Cox on a tellement espéré cet été qu'il revienne à son niveau en étant bien positionné que là il fait place à un peu de déception et à part des matchs comme contre Strasbourg où il va prendre feu je le vois pas comme une base solide cette saison, Jeff lui a pour le moment bien pris la place

Sur ce match, je crois que c'est la première fois depuis qu'il joue pour Nancy que je n'ai pas maudit Tchicamboud (ou juste une fois).
Je l'ai trouvé soucieux de jouer pour l'équipe et prenant ses responsabilités au bon moment et avec efficacité... Presque un match de vieux roublard, bravo.
Mais j'espère que la concurrence sera réelle avec N'Joya et que celui-ci aura bien sa chance

Jefferson DARCY a écrit:

Sur ce match, je crois que c'est la première fois depuis qu'il joue pour Nancy que je n'ai pas maudit Tchicamboud (ou juste une fois).

Pas mieux. Il n'a quasiment rien forcé du match, je n'avais jamais vu ça sous le maillot du SLUC. Voilà le genre de match qu'il peut sortir... une fois par an.

Non, je plaisante, il vaudrait mieux pour le SLUC qu'il renouvèle ce genre de matches plus régulièrement.

Eurocup : on va savoir


• EUROCUP. Le SLUC Nancy ne connaît pas encore le plateau de l'Eurocup dans son intégralité, et pour cause, les matches retour du tour préliminaire n'ont pas encore été disputés. Mais si on connaît déjà 24 des 32 équipes qui participeront à cette épreuve, sept des huit derniers tickets seront attribués ce soir et demain lors des matches retour. Le dernier match retour sera joué le 3 novembre entre les Espagnols de Bilbao et les Ukrainiens de Donetsk. Rappelons que le tirage au sort de la phase régulière sera effectué vendredi (13 h) à Barcelone. C'est l'intendant Julien Marbouré qui représentera le SLUC en Espagne.
• CINQ. Deux Nancéiens figurent dans le cinq de la journée pour nos confrères de L'Equipe. Steed Tchicamboud (19 pts, 22 d'évaluation) a été retenu dans le cinq français alors que Marcus Slaughter (21 pts, rebonds, 21 d'évaluation) a sa place dans le cinq étranger.
• DUNKS. Numéro un aux dunks la saison dernière (1,9), Akin Akinbgala sera dur à déloger de la première place cette saison encore. Le pivot nigérian domine déjà ce classement avec 2,25 dunks par match loin devant... son coéquipier Marcus Slaughter (1,75). Avec un tel duo, rien d'étonnant à ce que le SLUC soit très largement en tête dans ce domaine avec 4,75 dunks en moyenne par match. Le deuxième, Paris-Levallois, émarge à 3 tout rond...
• EX. L'un gagne sans briller, l'autre perd en brillant... Week-end contrasté pour les anciens nancéiens Tariq Kirksay et Michel Morandais. Le premier a remporté avec Séville son premier succès de la saison après quatre journées (84-63) mais a rendu une ligne de stats très fade (2 pts à 1/5, 5 rebonds en 26 minutes) alors que le second a sorti un bon match en Italie avec Varèse (18 pts dont 4/9 à 3 pts) mais n'a pas pu éviter la défaite de son équipe devant Biela (78-87).

A. G. (Anthony GUILLE)


Est republicain