[ProA - J25] SLUC Nancy 83 (40) - (43) 70 Strasbourg IG

Aegis a écrit:

Y a des gens qui considèrent qu'y a une vraie rivalité entre le SLUC et la SIG en basket ?

Ou je suis le seul à m'en foutre complétement de ces pseudos-derbies (je veux dire, j'ai rien contre la SIG, pour moi c'est juste un club comme un autre, ni plus ni moins) et à trouver ridicules les articles de l'ER couvrant ces matches ?

ça date pas d'hier cette rivalité (attention rivalité cordiale) entre le SLUC et la SIG, il y a toujours eu une rivalité en Sport entre l'Alsace et la Lorraine.

Moi j'aime bien car comme c'est cordiale ça ajoute juste un peu de piment au jeu. De plus comme on arrête pas de le répéter c'est le vrai test par rapport au regain de forme de notre équipe.

comme dit plus haut, il y a plusieurs niveaux de rivalité : la proximité géographique (150 km), une rivalité sportive entre les 2 villes, plus spécifiquement en basket une rivalité et des destins croisés très proches depuis 15 ans : la montée en Pro A alors que la SIG etait le plus gros concurrent, la rivalité en finale 2005, la rivalité en demi de PO en 2006, la rivalité en 1/8è d'ULEBCup en 2007....

bref 2 equipes très proches et qui tour à tour prennent l'avantage l'une sur l'autre

Namele a écrit:

Ouai c'est vrai, ces derniers temps ça allait plutôt pas mal.
J'ai quand même entendu des paroles du genre "ces cons d'alsacos" etc, en 2006, mais des cons, il y en a partout.
Pour le bretzels, oui il devrait y en avoir quelques unes (j'en ai même trouvé au chocolat et à la vanille, sous forme de biscuit)

J'avais d'ailleurs demandé si la buvette du SLUC ne voulait pas en vendre pour ce match, mais je crois que l'idée ne prendra pas vie cette fois-ci

Bon,maintenant on s'aime bien mais faut pas exagérer non plus . Ou alors des bretzels à la bergamote.

Expatried SlucFan a écrit:

Aegis a écrit:

Y a des gens qui considèrent qu'y a une vraie rivalité entre le SLUC et la SIG en basket ?

Ou je suis le seul à m'en foutre complétement de ces pseudos-derbies (je veux dire, j'ai rien contre la SIG, pour moi c'est juste un club comme un autre, ni plus ni moins) et à trouver ridicules les articles de l'ER couvrant ces matches ?

ça date pas d'hier cette rivalité (attention rivalité cordiale) entre le SLUC et la SIG, il y a toujours eu une rivalité en Sport entre l'Alsace et la Lorraine.

Moi j'aime bien car comme c'est cordiale ça ajoute juste un peu de piment au jeu. De plus comme on arrête pas de le répéter c'est le vrai test par rapport au regain de forme de notre équipe.

oui c'est "moins" un derby que nancy-metz en foot, ya pas de contentieux entre les 2 villes ( nancy et strasbourg ) comme c'est le cas entre nancy et metz ( cf les derniers propos de je ne sais quel député de moselle ) donc ça finit moins en eau de boudin. Au mmoins au basket c'est qu'un derby au sens noble et sportif, voir quel club a la suprématie de la grande région

Pro A - Avant SLUC - Strasbourg, demain (20 h)

Il arrivait de Limoges...


En 1990, Frédéric Sarre pose ses valises devant le palais des sports de Gentilly. La première saison de sa carrière en tant que coach principal sera délicate. Souvenirs...



NANCY._ Août 1990. Frédéric Sarre n'a pas encore 30 ans lorsqu'il pose ses valises devant le palais des sports de Gentilly. Trois mois plus tôt, le Limougeaud de naissance était encore l'assistant de Michel Gomez sur le banc du grand CSP. A cette époque, passer de Limoges au SLUC Nancy, modeste équipe de Nationale 1B (la Pro B d'aujourd'hui), c'est un peu comme échanger une Ferrari contre une 104 Z. Mais pour Frédéric Sarre, à qui le président Jean Eisenbach offre son premier poste de coach principal, c'est une opportunité, le début d'une carrière. Dans la mémoire du coach, les souvenirs ne se sont pas complétement estompés. Ni les bons, ni les moins bons. « C'était ma première expérience en tant que qu'entraîneur principal. Dans ces cas-là, il y a toujours des trucs qu'on ne maîtrise pas, des couacs », se rappelle-t-il. « Je suis arrivé dans un contexte où il y avait des petites divergences au comité directeur. Je ne me suis préoccupé que de ce qui se passait sur le terrain, mais j'ai compris plus tard que l'environnement a aussi des conséquences sur le terrain. »
Sportivement, cette saison ne restera pas comme un modèle de réussite (le SLUC a terminé 14e). Lorsque Frédéric Sarre débarque, l'équipe est déjà construite en grande partie. James Banks a déjà signé, mais le talent du shooteur américain ne suffira pas à compenser les lacunes. « La plus grosse erreur de recrutement concernait sans doute le poste de meneur », se souvient l'entraîneur. « J'avais aussi dans le groupe des joueurs qui n'avaient peut-être pas l'habitude d'un certain niveau d'exigence. Pour ma part, j'ai essayé de mettre en place quelques éléments qui se rapprochaient du fonctionnement d'un club pro commençant à avoir des ambitions. Si j'ai apporté ne serait-ce qu'une toute petite pierre dans la construction du club, tant mieux. Mais ce n'est pas à moi de le dire. »

« Fred est arrivé dans un club immature »


Alors, c'est Christophe Lion qui s'en charge. Jeune pro de 19 ans, le blondinet aux cheveux courts a déjà du caractère. Et les entraînements à rallonge ne sont pas sa tasse de thé : « Dans le palais des sports, il y avait une horloge et je n'arrêtais pas de la regarder pendant les entraînements. Fred Sarre, qui avait les yeux partout, avait remarqué ça. Il m'a dit : tant que tu regarderas l'horloge pendant les entraînements, tu feras des séances supplémentaires le matin. Cette année-là, j'en ai bavé... Fred est arrivé dans un club encore relativement immature, y compris en ce qui concernait les joueurs. Vu de son côté, il n'est peut-être pas arrivé au bon moment. Mais il a mis une claque au club et a préparé le terrain pour ceux qui sont venus derrière lui, notamment Olivier Veyrat (NDLR : avec lequel le SLUC est monté en 94) ». Après avoir essuyé les plâtres à Nancy pendant une saison, Frédéric Sarre est retourné se blottir sous l'aile de Michel Gomez, à Pau cette fois. « J'avais la possibilité de rester. Mais j'ai fait un autre choix... », précise l'entraîneur qui sera ensuite assistant à Pau, Antibes et Limoges, avant de diriger seul Rueil, Pau, Bourg-en-Bresse, Gravelines et Strasbourg. Son expérience nancéienne ne sera peut-être pas celle qu'il racontera en premier à ses petits enfants. Mais il faut croire qu'elle n'a pas été si désagréable. N'est-ce pas Christophe Lion ? « Un jour, longtemps après, Frédéric Sarre m'a demandé : cette saison 90-91, c'était sympa quand même ? J'ai répondu oui. C'était sincère ».

Thomas SIMON


10/04/09


Est republicain

Lamayn Wilson : feu vert pour un essai



NANCY._ Michel Morandais (entorse de la cheville) a repris le chemin de l'entraînement, hier, non sans douleur, mais il sera bon pour le service demain. Tout comme TJ Parker, dont le genou opéré il y a maintenant plus de six mois a désenflé. Cyril Julian (claquage) n'a quant à lui toujours pas repris. Son retour pour le match contre Strasbourg est donc de plus en plus compromis. Enfin, Lamayn Wilson (fracture d'un métacarpe) a consulté le staff médical hier. Ayant reçu le feu vert, il effectuera un essai ce matin afin de savoir s'il est en mesure de figurer sur la feuille de match et de prêter éventuellement main-forte à ses coéquipiers dès demain.

T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

Sarre : «Content d’être là»





L’entraîneur de Strasbourg avance à pas prudents en Pro A. Deux jours avant un déplacement important à Nancy, il refuse de voir plus loin que les play-off.



Frédéric Sarre, votre équipe a-t-elle été perturbée par le sommet de l’OTAN à Strasbourg ?
«Nous avons été virés de chez nous ! Nous avons dû nous expatrier à Soufferlweyersheim, qui a une belle salle, mais pas les installations pour la muscu. Et je ne vous parle même pas des conditions de circulation, plus que compliquées, pour les déplacements en ville. Cet événement a aussi chamboulé notre calendrier pour nous contraindre à une inactivité de dix jours. Si on avait eu des matches à l’extérieur, on aurait pu garder un rythme. C’est ça le problème : vous avez une machine qui tourne pas mal, mais vous ne savez pas dans quel état vous la retrouverez quand vous stoppez l’engin.»

Votre victoire mercredi en Coupe contre Cholet (95-89) ne vous a donc pas rassuré ?
«Non, pas vraiment. Si on joue comme ça contre Nancy, ce n’est pas gagné.»
La proximité des deux matches dans le calendrier vous pose-t-elle un problème ?
«Je regrette de ne pas avoir plus de temps pour préparer notre déplacement à Nancy, mais la Coupe nous a au moins permis de refaire un match officiel.»
La Coupe de France est-elle un objectif prioritaire cette saison ?
«Non, c’est un objectif de match par match. Dans ce style de compétition, on passe ou on meurt et notre tableau n’est pas si facile. Maintenant, il faut aller à Clermont, qui vient de battre Gravelines, et je prendrai ce match comme il vient.»
Le déplacement à Nancy est-il un petit virage pour le classement final ?
«Pour eux, il est sans doute très important. Pour nous, l’objectif reste la qualification en play-off et on ne le remettra pas en cause. Nous avons quinze victoires, Vichy et Cholet sont à dix. Pour le moment, rien n’est acquis. Si on gagne, notre position sera simplement confortée, c’est tout. Aujourd’hui, je ne pense pas me retrouver dans une position plus favorable que Nancy car tout peut aller très vite dans ce championnat. Moi, je suis content d’être là. Notre parcours est cohérent cette saison.»
Il est donc prématuré de vous parler d’Euroligue…
«Vous parlez bien de Strasbourg là ? Il ne faut pas se tromper, nous, c’est d’abord les play-off. L’Euroligue, ça se prépare, c’est un projet qui doit être mûrement réfléchi.»
Le néo-Alsacien que vous êtes sent-il le poids du derby ou estimez-vous qu’il s’agit d’une notion survendue ?
«Si les médias survendent le derby, c’est qu’il y a des gens autour pour l’acheter ! C’est vrai que je viens d’arriver à Strasbourg, mais je sens, autour de moi, que c’est un match particulier pour les supporters.»
Qu’avez-vous apporté à la SIG ?
«J’ai essayé de faire en sorte que le basket que nous pratiquons soit sohérent. J’ai veillé à la structure offensive et à la coordination des mouvements, mais j’ai aussi travaillé pour que nous ne soyons pas seulement une équipe d’attaque.»
Quel regard portez-vous sur le SLUC ?
«Nancy a marqué le pas avec l’Euroligue, mais cette équipe a retrouvé sa construction de jeu. Elle s’est repositionnée depuis l’arrivée d’Akingbala et des joueurs un peu absents, comme Jeff Greer, ont remis le museau à la fenêtre. Samnick est en pleine forme et Brun offre un relais intéressant avec ses trois points. Cette équipe s’est recadrée en fait. Samnick l’a dit à Dijon : Nancy est passé en mode play-off. De toute façon, depuis cinq ans, Nancy n’est pas une place facile à jouer.»
Christian JOUGLEUX.
Republicain lorrain

Samnick en rédemption


En l'absence de Cyril Julian, Victor Samnick a haussé le rythme dans l'effectif nancéien. Et le SLUC a retrouvé, depuis trois matches, une dynamique digne de ses saisons précédentes.





Nancy a semblé en mesure de reprendre ses aises sur une saison régulière qui a longtemps constitué son pré carré (*). Puis Nancy a toussé et logiquement glissé.
En dépit de moyens accrus à la faveur de sa qualification pour l'Euroligue et peut-être à cause de l'énergie dépensée sur les plus prestigieux parquets du Vieux Continent, la bande à Monschau ne pointe pas franchement parmi les cadors de la Pro A. Le début de l'année 2009 a même correspondu à une série négative qui la place dans la catégorie fournie des outsiders, derrière Orléans et l'ASVEL.
« Des facteurs personnels qui ont fait que je n'étais pas au mieux »

Dans ce panorama, les déceptions individuelles n'ont pas manqué et Victor Samnick n'a guère emballé. Pilier de la raquette nancéienne pour la 3e saison, la révélation parisienne du millésime 2005-2006 - il avait participé au All Star Game et achevé la saison avec 15 points et 8 rebonds de moyenne au compteur - a même commencé l'année comme une ombre.
Hasard ou coïncidence ? Il a retrouvé des couleurs depuis une quinzaine et le SLUC surfe sur une série de trois victoires avant de retrouver son meilleur ennemi pour le sommet du grand Est, samedi. L'intéressé ne se trouve pas d'excuses. D'ailleurs, il n'en cherche pas. « On est au coeur de la saison, ce n'est pas encore le temps de l'analyse, considère celui qui a terminé meilleure évaluation du récent succès à Dijon (26, avec 21 points au passage). On s'appuie sur les mêmes systèmes avec le même coach que la saison passée. Mais pour l'instant, il n'est pas l'heure de se poser des questions, il faut retrouver un rythme de victoire. »
Nancy a trop pris goût au samedi soir conclu avec la banane au coin des lèvres pour s'adonner à une phase d'introspection sur ce rare mode « défaite ». Par rapport à son comportement individuel, Victor Samnick n'est pas enclin à s'asseoir non plus sur le divan du psy. Tout juste consent-il à admettre : « Il y a eu des facteurs personnels qui ont fait que je n'ai pas été au mieux. Ils sont derrière moi. J'ai retrouvé des sensations, ça va mieux et ce qui est important désormais pour moi, c'est de retrouver du plaisir. »
« La moindre des choses, c'est de tout faire pour l'emporter »

Et, dans cette perspective, l'enfant de Douala compte bien revêtir sa carapace anti-choc et anti-émotions. Un SLUC - SIG, « ce n'est pas un match comme les autres et les supporters sont suffisamment présents pour le rappeler ». « Mais pour que je réussisse mon match, il faut que je fasse abstraction du contexte, explique-t-il. Strasbourg est une équipe respectable. On a pris une fessée au match aller. Et la moindre des choses, c'est de tout faire pour l'emporter au retour. »
A l'est de l'Hexagone, une citadelle émergera assurément dans le sillage du match entre Lorrains et Alsaciens, samedi, au Palais des Sports. Si la troupe à Sarre veut régner sur le bastion, elle sait qu'elle devra se coltiner un Samnick en quête d'une confirmation, celle de sa rédemption.


Fr.N.


(*) Avant de décrocher son premier titre de champion au printemps 2008, face à Roanne, le club lorrain a échoué à trois reprises lors de la finale disputée sur un match à Bercy. Il avait achevé la saison régulière à la 2e place en 2006 et 2008 et à la 1ere en 2007.

Les DNA

Basket-ball SIG : les lièvres de Pâques



Entre son derby de Pro A à Nancy demain (20 h) et son quart de Coupe de France mardi à Clermont, le club strasbourgeois sera engagé sur tous les fronts en ce long week-end pascal.
Strasbourg 3 – Cholet 0. Après avoir vaincu à deux reprises Cholet Basket en Pro A, la SIG a donc réussi la passe de trois avant-hier dans un Rhénus sonnant le creux face à l’équipe des Mauges (95-89). Cette fois, les hommes de Frédéric Sarre ont maté ceux d’Erman Kunter en 8^es de Coupe de France. Sans survoler leur sujet face à un CB pourtant très amoindri (De Colo, Seraphin et Falker absents ou blessés).
Après onze jours de coupure, les Strasbourgeois ont peiné à relancer la machine. Mais ils l’ont amenée là où ils le souhaitaient : en quarts. Avant un périlleux derby demain à Nancy, une victoire tombe toujours à pic. Surtout au sortir d’un échec à Pau, qui avait quelque peu fait tâche dans le décor. « Ça s’est joué sur un faux rythme », doit bien reconnaître le meneur Steeve Essart, « Nous nous sommes fait peur, peut-être parce qu’inconsciemment, nous avons eu tendance à nous croire plus forts. Mais l’équipe a tout de même bien réagi et su aller chercher la qualification. »
« Notre défense n’a pas été aussi bonne qu’elle aurait dû l’être », admet Derrick Obasohan dont les 26 points ont été précieux lorsqu’en face, Robinson faisait feu de tout bois (30 points, 9 rebonds, 34 d’évaluation). « Mais n’oublions pas que diminuée ou non, Cholet reste une bonne équipe, qui n’est pas qualifiée pour rien pour le Final Four de l’Eurochallenge, et que c’était notre premier match après une coupure. Nous nous en sommes servis pour préparer Nancy. »

« A Nancy, ça va être une autre musique »
Le manque de compétition : tel serait donc en partie les raisons d’une fin de rencontre moins sereine qu’elle aurait pu l’être. « J’espère que ce match nous aura permis de retrouver un peu de rythme », glisse le coach, « Car à Gentilly, ça va être une autre musique. Croyez bien que ce n’était pas ma volonté de voir mon équipe prendre de l’avance, laisser l’adversaire revenir et se remettre ainsi sous pression. »
En écho, Steeve Essart appelle à « retrouver les valeurs qui étaient les nôtres avant Pau (Ndlr : la SIG avait enchaîné 5 succès avant son échec chez la lanterne rouge, une série inaugurée à Cholet). » Car le meneur alsacien se voit bien continuer, en ce long week-end pascal, à courir deux lièvres à la fois : « Il ne faut pas se focaliser sur la Coupe, mais elle peut être un objectif. Nous allons mardi à Clermont, une équipe de Pro B bien classée qui a éliminé Gravelines en 8e (95-89 a-p). Si nous jouons à notre niveau, ça doit passer. Nous pouvons nous donner les moyens d’y croire. Un sacre en Coupe en bonus d’une grosse fin de saison en Pro A, ce serait parfait. Quelque part, cette Coupe peut nous aider à garder le rythme avant les play-offs. »
Quand on court deux lièvres à la fois, mieux vaut ne pas en manquer.


S.G



L'Alsace

Bonjour a tous...... Voila aujourd'hui je vais faire un tour sur basket news et qu'est que je vois : ROGER ZAKI va s'inscrire a la draft qui arrive......... ^^........
Concernant le match de demain j'aimerais bien que lamayn wilson vienne nous pretait mmain forte.....
Je pense qu'il y a moyen de l'emporter en restant sur la bonne dynamique sur laquel on surfe...

domrogers a écrit:

Namele a écrit:

J'avais d'ailleurs demandé si la buvette du SLUC ne voulait pas en vendre pour ce match, mais je crois que l'idée ne prendra pas vie cette fois-ci

Bon,maintenant on s'aime bien mais faut pas exagérer non plus . Ou alors des bretzels à la bergamote.

Ce n'était pas une opération de colonnisation, mais je pense que j'aurai eu du mal à embarquer 6027 bretzels dans la voiture

En tout cas, comme vous dites tous, ce sont des matchs que l'on ne voudrait vraiment pas louper ! S'il y a bien une affiche que j'attends dans l'année (surtout quand les deux clubs jouent le haut de tableau), c'est bien celui là !

Et be on a beau dire que ce match est particulier, mais en tout cas il ne déchaine pas les foules sur les forums

Pas grand chose à se mettre sous la dent aujourd 'hui, que ce soit sur Infrarouge ou ici !

Ca ira mieux demain .......

guillom54 a écrit:

Et be on a beau dire que ce match est particulier, mais en tout cas il ne déchaine pas les foules sur les forums

Pas grand chose à se mettre sous la dent aujourd 'hui, que ce soit sur Infrarouge ou ici !

Ca ira mieux demain .......

ça ira mieux demain vers 22h...

Ce sont les limougeauds qui ont mangé pour les strasbourgeois cette semaine. Le stock de testostérone est au plus bas, voilà ce qui explique la blazitude ambiante !

Une victoire ce soir et le SLUC reviendra à 1 petit point seulement de la 2e place. Allez les Couguars, pas de gaffe cette fois-ci !!!

Pas de revue de presse bacou

BACOU est peut-être partie à...ROME.....elle reviendra demain ......!!! après qq jours de vacances bien mérités...! en attendant MERCI pour ce qu'elle fait , c'est sympa ! :cheers:

BER a écrit:

BACOU est peut-être partie à...ROME.....elle reviendra demain ......!!! après qq jours de vacances bien mérités...! en attendant MERCI pour ce qu'elle fait , c'est sympa ! :cheers:

Tu te rends bien compte de ce tu as écrit?
J'espère pour toi que BACOU le prendra bien!

[quote="Benoit ADAM"]Une victoire ce soir et le SLUC reviendra à 1 petit point seulement de la 2e place. Allez les Couguars, pas de gaffe cette fois-ci !!![/quote]

Oui et on pourra encore croire (même si ça sera compliqué) à cette 2ème place. En revanche en cas de défaite le top 4 sera presque inaccessible car Roanne et la SIG prendront une grosse option sur nous (avec panier average pour les deux)...

Eh les gars, vous ne sentez pas la pression monter pour ce soir?

De l'ambiance, de l'ambition....

Allez, 1er quart 20-22, pas si mal vu le début de rencontre catastrophique (0-7)

La stat de la période : 2 soit le nombre de fautes pour Victor, Stephen et Akin.. Attention

La surprise : Roger et Lamayn sur le terrain en même temps dès la 9'..

Quelle adresse à 3 points... de la part des deux équipes...!!!!

Oh ! je ne suis pas le seul à louper ce match !! ^^

Oui, en effet, pas bcp de réussite. esperons qu'on retrouve le chemin des 3 points avant eux.
40-43 : heureusement que la fin du 2ème quart a rattrapé le début et qu'on gobe beaucoup de rebonds.

C'est pas Sluc-Sig....ce soir...c'est Nancy-Brion Rush....

Mieux même.....Greer contre Rush.....