SLUC 2K18-19 - ProB - Effectif

C'est peut-être le Sluc qui est en tort, peut être que les représentants de Chery leur ont montré l'accusé de réception de son courrier de refus de la proposition nancéenne envoyée avant le 30 Juin avant de signer son contrat ce qui les as mis en confiance;
mais quand un agent propose début du mois d'Août où marché JFL est normalement sec un joueur JFL de 20 ans intérieur qui sort d'une saison à 15min présenté comme libre, ils le croient sur parole, "c'est clair"?, ils n'ont aucune connaissance du basket et de leurs concurrents et ça ne les intéresse pas pour savoir que le Sluc n'a jamais déclaré être en recherche d'un JFL intérieur à ce moment là et/ou qu'il fait apparaître Chery dans son effectif 2018-19? selon le récit du joueur, ils ne contactent pas le club nancéein pour se renseigner s'il n'a pas fixé d'indemnité de formation ou si le joueur s'en est acquitté? ils n'ont aucun moyen de communication (tel, mail) ou ne connaissent personne qui aurait croisé la route de dirigeants nancéen (Pratt) pour tenter de communiquer avec leurs homologues nancéien pour prendre quelques garanties sur la situation du joueur (d'autant qu'ils l'ont peut être fait pour s'assurer de l'état d'esprit du joueur)?


Bref, ils sont flegmatiques et bien urbains au Paris Basketball, ils savent peut-être qu'ils ont raison et la jouent modeste mais ça atténue pas beaucoup l'impression de ne pas éprouver trop de respect envers la concurrence.


Et toujours en gardant en tête que le premier article de l'ER sur le sujet du 18 Août mentionnait que "De son côté, Philippe Durst affirme que le montant de l’indemnité a bien été communiqué au joueur" alors que le communiqué officiel du 20 Août dit "Ce dernier en a accusé réception et n’a pas dénoncé cette proposition avant le 30 juin 2018" sans mention de montant d'indemnité de formation.
On pourrait alors se demander si on a communiqué un montant d'indemnité avant que la proposition soit dénoncé, es ce la pratique du club? Ou y aurait-il une contradiction dans le récit nancéen?

rotceridle a écrit:

C'est peut-être le Sluc qui est en tort mais quand un agent propose début du mois d'Août où marché JFL est normalement sec un joueur JFL de 20 ans intérieur qui sort d'une saison à 15min présenté comme libre, ils le croient sur parole, "c'est clair"?, ils n'ont aucune connaissance du basket et de leurs concurrents et ça ne les intéresse pas pour savoir que le Sluc n'a jamais déclaré être en recherche d'un JFL intérieur à ce moment là et/ou qu'il fait apparaître Chery dans son effectif 2018-19? ils n'ont aucun moyen de communication (tel, mail) ou ne connaissent personne qui aurait croisé la route de dirigeants nancéen (Pratt) pour tenter de communiquer avec leurs homologues nancéien pour prendre quelques garanties sur la situation du joueur (d'autant qu'ils l'ont peut être fait pour s'assurer de l'état d'esprit du joueur)?


Bref, ils sont flegmatiques et bien urbains au Paris Basketball, ils savent peut-être qu'ils ont raison et la jouent modeste mais ça atténue pas beaucoup l'impression de prendre le Sluc pour des jambons.

Ils ont joué au poker: ça gagne c'est bien; ça perd ce n'est quand même pas uniquement de la faute du joueur et son agent, ils autorisent la Ligue à leur faire une remontrance voire les sanctionner ou bien non pas le droit c'est le Paris Beralball?

je “plussoie” en évoquant Romuald Coustre, celui qui donne son avis dans le Parisien. Celui qui a fait beaucoup parler de lui sur Twitter avec Whatif et ses mockups de maillots cette année. C'était bien vu, ça lui a permis de décrocher le bon job au Paris Basketball de Kahn, Hidalgo, Béral et compagnie : Directeur général opérationnel quand même, pas mal !

Le pire, c'est qu'il a quand même bossé de 2004 à 2013 à Gravelines, donc 5 ans avec Christian Monchau, alors faire la midinette qui a les mains propres, c'est un peu fort de café ! M'étonnerait pas que comme Pratt, il ait proposé ses services au SLUC et se soit fait éconduire !

Mon interrogation est la nature du contrat signé initialement entre Chéry et le SLUC :
- les discussions semblent suggérer un CDD d'un an avec promesse d'un nouveau CDD de 2 ans pour un salaire revalorisé, sauf désaccord manifesté avant le 30/6
=› situation incertaine selon les moyens de preuve, on ne pourra pas à mon avis le forcer à signer le nouveau contrat, juste obtenir des dommages-intérêts si on a bien fait les choses.
- ou CDD initial de 3 ans avec renégociation du salaire éventuel au bout d'un an, avec faculté de sortie au 30/6 en cas de désaccord.
=› pas de nouveau contrat à signer, l'ancien reste applicable, on peut avoir une position dure et la ligue ne peut valider le nouveau contrat signé avec le PBA.

Pour préserver notre position juridiquement, j'espère qu'on a bien continué à payer Chéry après le 30/6 (et qu'on continue de le faire), ce qui fragiliserait fortement la position du joueur et de son agent pour se considérer libres.

Les anciens nancéens leur ont vraiment tapés dans l'oeil


Sinon méconnaissable physiquement Christian Monschau

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/nancy-c-est-rentree-sluc-nancy-basket-1528872.html

phil25 a écrit:

Mon interrogation est la nature du contrat signé initialement entre Chéry et le SLUC :
- les discussions semblent suggérer un CDD d'un an avec promesse d'un nouveau CDD de 2 ans pour un salaire revalorisé, sauf désaccord manifesté avant le 30/6
=› situation incertaine selon les moyens de preuve, on ne pourra pas à mon avis le forcer à signer le nouveau contrat, juste obtenir des dommages-intérêts si on a bien fait les choses.
- ou CDD initial de 3 ans avec renégociation du salaire éventuel au bout d'un an, avec faculté de sortie au 30/6 en cas de désaccord.
=› pas de nouveau contrat à signer, l'ancien reste applicable, on peut avoir une position dure et la ligue ne peut valider le nouveau contrat signé avec le PBA.

Pour préserver notre position juridiquement, j'espère qu'on a bien continué à payer Chéry après le 30/6 (et qu'on continue de le faire), ce qui fragiliserait fortement la position du joueur et de son agent pour se considérer libres.

Le premier article de l'EST donne cette précision sur le contrat de CHERY :
"Tout joueur passé par un centre de formation doit trois années de contrat pro à son club formateur. Pour faire court, ce « dû » peut prendre différentes formes. En l’occurrence, Valentin Chery avait un contrat « 1+2 » (un an + deux ans). Avant le 31 mai, le SLUC devait donc lui faire une nouvelle proposition. Ce qu’il a fait en bonne et due forme, selon son président. Le joueur avait ensuite jusqu’au 30 juin pour accepter ou refuser l’offre et, en cas de refus, demander que son club formateur fixe le montant de l’indemnité de formation. Selon Hirant Manakian, l’agent du joueur, « Valentin Chery a exprimé le souhait de quitter Nancy avant le 30 juin. Or, le club n’a jamais répondu à sa demande de fixer le montant de l’indemnité de formation. De ce fait, le joueur a averti le club par courrier que sa proposition était incomplète et qu’il était donc libre de tout mouvement ». De son côté, Philippe Durst affirme que le montant de l’indemnité a bien été communiqué au joueur…"

Le SLUC par la voix de Ph.DURST précise ensuite qu'une proposition de contrat a bien été envoyée à CHERY (AR faisant foi) "le SLUC a bien proposé au joueur un contrat de deux années prenant effet au 1er juillet 2018 et qu’il n’a pas dénoncé cette proposition avant le 30 juin 2018 comme les règlements le stipulent"

Jacques Santini, tout ceci est bien résumé. Ça paraît clair comme de l'eau de roche... sauf que la roche semble posséder bien des aspérités qui nous dépassent ! Y a bien dû avoir une faille qq part pour que Valentin se retrouve à Paris. Ou alors ses dirigeants ne doutent de rien.

La seule question, Le club a t'il bien envoyé sa réponse "proposition" avant le 30 juin? Après que le joueur ait eu une réponse incomplète par rapport à ces doléances, il a 20 ans et n'a rien prouvé...

Oui, j'avais bien noté mais justement il y a 1 confusion, pourquoi parler d'une proposition de contrat s'il y en a un encore en vigueur? On ne signe pas un nouveau contrat à chaque augmentation de salaire.
Dans ce cas, que signifie contrat 1+2?
Une des clés du problème est la durée du contrat signé plus que le contenu d'une proposition adressée mais non acceptée ni refusée avant le 30 juin.

monsieur Durst n'est pas un enfant de coeur et si il donne une suite à ce dossier c'est qu'il est bien ficelé !il faut espérer récupérer la plus grosse indemnité possible , laisser Chéry à Paris et vite trouver son remplacant !!hamounou parait pas mal comme joueur et de plus il est nancéen !!!

si le joueur avait jusqu'au 30 juin pour refuser la proposition, c'est qu'elle a été envoyée avant ! Sinon, ce serait beaucoup plus facile pour l'agent. Pas de proposition. Donc libre.

L'argument de l'agent semble être que Chery a demandé le montant des indemnités de formation, que le SLUC n'a pas répondu en bonne et due forme et que cela invalide la proposition du SLUC.


A phil25, le contrat 1+2 signifie que, ayant priorité sur le joueur par rapport aux autres clubs pendant 3 ans, il s'est engagé ferme seulement sur un an  (pour voir si Chery valait le coup… si l'on peut dire) et qu'ensuite il a fait une proposition de deux ans (ayant craqué pour Chery). Ce n'est pas une augmentation de salaire. C'est un autre contrat.

Shepherd au Paris Basket

Nous ne sommes pas les mieux placés pour parler contrat de joueur de basket professionnel... franchement, il y a des clauses qui parfois sont déroutante je pense

Si on parle de l'humain, je trouve étonnant que Valentin Chery ait manifesté son envie de changer de club AVANT le 30 juin sans que personne n'en parle et que rien ne filtre dans la presse avant le 18 août !
Franchement je n'ai pas le souvenir d'une telle histoire puis que je suis de près le SLUC NANCY (c'est à dire depuis 1987) !

Alors
- ok, il voulait rencontrer DURST pour avoir une augmentation et un meilleur logement (dixit le Président) et peut-être n'a-t-il pas reçu une réponse satisfaisante,
- ok il avait peut-être peur de ne plus jouer avec Christian Monschau (mais alors !!! Enzo, Williams et Bastien sont encore là eux !) et Monschau a signifié à Clerc qu'il ne jouarait pas... mais rien à Chery  à priori,
- ok il y Prat le coach de Paris Avenir qui l'a peut-être embobiné...

Mais pour ce jeune espoir (qui n'est même pas sélectionné en équipe nationale comme Enzo et Bastien et Williams avec le Cameroun), qui a réussi à surprendre son monde la saison passée alors que l'on pensait au départ qu'il ferai banquette, qui a été confirmé cette saison, à qui l'on a visiblement fait une proposition et sur qui on pensait raisonnablement pour cette saison capitale pour le club...
J'ai un peu de mal  à percevoir la réalité de cette affaire. Il doit donc y avoir quelque chose de pas clair de toute façon... pour partir comme cela.
M'étonne que ses potes du Sluc ne soient pas au courant ?

Chery ne s'exprime pas sur le sujet et laisse les dirigeants régler cette affaire... donc ca va être juridique et financier... dommage de commencer une carrière de cette façon !
Moi perso, je ne cautionne pas le rapport de force commandité par l'agent du joueur...

Cela dit, j'ai toujours donné la préférence au CLUB par rapport aux joueurs, les deux ont parfois des ambitions différentes mais nous supporters c'est le CLUB que l'on soutien, saison après saison... les joueurs passent (même les meilleurs ou les plus fidèles) mais le CLUB demeure... je serai donc déçu de savoir que le club n'a pas été réglo.

LuckyLuke a écrit:

Shepherd au Paris Basket

décidément...

Jacques SANTINI a écrit:

je serai donc déçu de savoir que le club n'a pas été réglo.

le sens que l'on donne à réglo est important :

1) le SLUC n'est pas obligé de reprendre Chery et il lui a fait une proposition que Chery peut accepter ou non (auquel cas, il peut partir moyennant indemnités de formation). Donc je ne vois pas comment le SLUC peut ne peut être réglo vis-à-vis de Chery ;

2) le SLUC ne respecte le droit dans le 1) et, de ce fait, Chery est libre. Le SLUC n'est pas réglo vis-à-vis de lui… mais je l'exprimerais autrement

Paris ne jouera pas le maintien..n'en déplaise à certains..

ONDAFACE a écrit:

Jacques SANTINI a écrit:

je serai donc déçu de savoir que le club n'a pas été réglo.

le sens que l'on donne à réglo est important :

1) le SLUC n'est pas obligé de reprendre Chery et il lui a fait une proposition que Chery peut accepter ou non (auquel cas, il peut partir moyennant indemnités de formation). Donc je ne vois pas comment le SLUC peut ne peut être réglo vis-à-vis de Chery ;

2) le SLUC ne respecte le droit dans le 1) et, de ce fait, Chery est libre. Le SLUC n'est pas réglo vis-à-vis de lui… mais je l'exprimerais autrement      

Quand je dis "réglo" c'est surtout par rapport à la version de l'affaire communiquée par le SLUC...
Si le SLUC a manqué quelque chose et puis finalement essaie de faire reposer la faute sur autrui... c'est cela que je veut dire.
En fait si le SLUC n'assume pas une erreur ou un manquement quelconque !
Là je serai déçu, car cela voudrait dire que le SLUC a manqué de respect à un jeune joueur, pensant que l'affaire est de toute façon entendue, le gamin étant déjà content de jouer au basket à Nancy, club qui l'a formé gràce à Verdière avec ses copains champion 2017 etc etc...

Est-ce que le club respecte tous ses joueurs, confirmés ou jeunes issus de la formation ?
Est-ce que tout est fait pour respecter ce Cap2021 et la volonté annoncée de former de futurs joueurs majeurs ? Voilà pour moi des questions importantes

Dossier unique  qui nourrit de nombreuses interrogations et spéculations parmi nous, supporters du SLUC, puisqu’on n’a que quelques éléments, et que chacun ne nous dit que ce qu’il veut bien nous dire…

Pour moi, le club de Paris est l’élément clé dans ce dossier car aucun autre club n’aurait eu intérêt à payer la clause libératoire (et comme Paris n’était pas encore structuré avant le 30 juin, aucune chance pour Chery de se la faire payer), ni à prendre le risque d’aller débaucher un joueur à-priori  déjà sous contrat avec un club.
Il est clair que, face aux exigences de la ligue de posséder 4 joueurs français de moins de 23 ans, en partant de zéro et à cette époque tardive par rapport au marché, Monsieur Romuald ni sainte ni touche Coustre (« on nous a proposé un joueur libre »), qui connait bien les ficelles en tant qu’ancien GM et agent de joueur, a dû se montrer créatif face à l’absence de ce dont il avait besoin sur le marché.
C’est ainsi qu’il est allé chiper Gauthier Denis au Havre (le joueur  a dans les faits payé lui-même sa clause pour ne pas mouiller Paris mais tout le monde devine comment tout a commencé et comment il récupérera sa somme) et qu’il a provoqué le bras de fer entre Chery et Nancy (au niveau de la ligue, Chery était-il vraiment considéré comme « sans club » ou comme appartenant à Nancy au moment de sa signature à Paris?Combien de contrats sont validés par la ligue actuellement pour Valentin?)

Il est facile de croire P Durst lorsqu’il dit que Chery lui a demandé une revalorisation récemment, cela devait correspondre au moment où il avait été contacté par Paris et devait évaluer ses options. Le joueur a ensuite dû recevoir de claires instructions de « faire le mort » et de laisser son agent communiquer…

Sans savoir quels sont les textes de la ligue concernant les procédures et les habitudes prises par les clubs(y aurait-il une différence ou tolérance?), on peut penser que tout n’a pas été fait du côté du SLUC en respectant précisément ce qui est écrit noir sur blanc (au niveau de la communication de la clause libératoire plus précisément, semblerait-il), sinon, on parlerait de sanctions et de réparations plutôt que de « conciliation ». D’un autre côté, un vice de forme équivaut-il vraiment à une coupure de contrat directe comme le laisse entendre et veut le considérer l’agent de Chery?

A partir de là, malgré la fermeté du discours nancéen officiel (coup de bluff?), on imagine que, pour la réunion de conciliation,  la meilleure option pour Nancy est de récupérer une somme d’argent qui lui permettrait de signer un JFL libre de valeur égale ou supérieure à Chéry.
Ils doivent déjà avoir des contacts et options, qui j’espère n’incluent pas le joueur actuellement à l’essai car il n’évolue pas au poste pour lequel il y a un manque (à moins qu’une réorganisation totale n’ait été envisagée)…

C'est fou le nombre de joueurs qui sont nés / ont une copine sur Nancy.
Comment se fait il qu'Houmounou soit passe entre les gouttes du centre de formation du Sluc ?

Jacques SANTINI a écrit:

ONDAFACE a écrit:

Jacques SANTINI a écrit:

je serai donc déçu de savoir que le club n'a pas été réglo.

le sens que l'on donne à réglo est important :

1) le SLUC n'est pas obligé de reprendre Chery et il lui a fait une proposition que Chery peut accepter ou non (auquel cas, il peut partir moyennant indemnités de formation). Donc je ne vois pas comment le SLUC peut ne peut être réglo vis-à-vis de Chery ;

2) le SLUC ne respecte le droit dans le 1) et, de ce fait, Chery est libre. Le SLUC n'est pas réglo vis-à-vis de lui… mais je l'exprimerais autrement      

Quand je dis "réglo" c'est surtout par rapport à la version de l'affaire communiquée par le SLUC...
Si le SLUC a manqué quelque chose et puis finalement essaie de faire reposer la faute sur autrui... c'est cela que je veut dire.
En fait si le SLUC n'assume pas une erreur ou un manquement quelconque !
Là je serai déçu, car cela voudrait dire que le SLUC a manqué de respect à un jeune joueur, pensant que l'affaire est de toute façon entendue, le gamin étant déjà content de jouer au basket à Nancy, club qui l'a formé gràce à Verdière avec ses copains champion 2017  etc etc...

Est-ce que le club respecte tous ses joueurs, confirmés ou jeunes issus de la formation ?
Est-ce que tout est fait pour respecter ce Cap2021 et la volonté annoncée de former de futurs joueurs majeurs ?  Voilà pour moi des questions importantes

ah OK.

si c'est de notre faute, je ne sais pas si le plus grave serait que ce soit délibéré (on veut finasser dans la négo et on se fait avoir) ou involontaire (on a oublié l'heure de fermeture de la poste)... ou le fait de faire porter le chapeau à Chery.

Parce qu’il est de tradition d’accueillir des joueurs à la recherche d’un club pour faire le nombre à l’entraînement et permettre au joueur de faire sa préparation, le SLUC a gentiment ouvert ses portes de Gentilly à Mérédis Houmounou (1,90 m) qui jouait la saison dernière à Bourg et qui est passé par Le Havre où il a été formé, Cholet, Boulazac et Saint-Quentin.

Équipementier
Un nouvel équipementier pour le SLUC Nancy. Il s’agit de la firme italienne Errea qui remplace donc la société Hungaria arrivée au SLUC pour la saison 2016-17, qui est donc restée deux ans et qui n’a pas, c’est le moins qu’on puisse dire, porté chance au club lorrain.


Cotonou
Depuis cette saison, Anthony Goods a un statut Cotonou comme d’ailleurs les trois autres étrangers du SLUC, tous nés aux États-Unis mais qui possèdent la double nationalité. Le SLUC pourra donc au cas où (blessures, changements) faire appel à des joueurs non JFL, non Cotonou ou non Bosman, à savoir des joueurs américains.

Directoire
Pour remplacer MM. Dupont, Cruciani et Sainpy au Directoire du SLUC, Joël Vigneron est arrivé en fin de saison. Laurent Eisenbach va l’intégrer à la rentrée. Pour le dernier poste encore vacant, le président Durst a simplement souligné qu’il espérait une présence féminine.

Autre article qui présente les nouveaux joueurs :
https://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2018/08/22/quatre-atouts-dans-le-jeu

phil25 a écrit:

Mon interrogation est la nature du contrat signé initialement entre Chéry et le SLUC :
- les discussions semblent suggérer un CDD d'un an avec promesse d'un nouveau CDD de 2 ans pour un salaire revalorisé, sauf désaccord manifesté avant le 30/6
=› situation incertaine selon les moyens de preuve, on ne pourra pas à mon avis le forcer à signer le nouveau contrat, juste obtenir des dommages-intérêts si on a bien fait les choses.
- ou CDD initial de 3 ans avec renégociation du salaire éventuel au bout d'un an, avec faculté de sortie au 30/6 en cas de désaccord.
=› pas de nouveau contrat à signer, l'ancien reste applicable, on peut avoir une position dure et la ligue ne peut valider le nouveau contrat signé avec le PBA.

Pour préserver notre position juridiquement, j'espère qu'on a bien continué à payer Chéry après le 30/6 (et qu'on continue de le faire), ce qui fragiliserait fortement la position du joueur et de son agent pour se considérer libres.

Ce n'était pas un contrat de joueur stagiaire ?

L'effectif prévisionnel du Paris Basketball pour la saison 2018/19 : (source bebasket.fr )

Meneur : Daniel Dillon, 1,93 m, 32 ans (AUS) et Nathan Mepandy, 1,90 m, 20 ans (FRA)
Arrières : Nick Kellogg, 1,91 m, 26 ans (USA) et Théo Bouteille, 1,92 m, 21 ans (FRA)
Ailiers : Jevohn Shepherd, 1,95 m, 32 ans (CAN/JAM) et Gauthier Denis, 1,98 m, 21 ans (FRA)
Ailier-forts : Dustin Sleva, 2,03 m, 23 ans (USA), Valentin Chery, 1,98 m, 20 ans (FRA), Victor Samnick, 2,03 m, 38 ans (FRA/CAM) et Benjamin Obouh-Fegue, 1,97 m, 31 ans (FRA)
Pivots : Gary Forimont, 2,00 m, 31 ans (FRA) et Moustapha Diarra, 2,05m, 31 ans (FRA)

4 joueurs au poste 4 .. Que va faire Chery là bas ?

enerte a écrit:

L'effectif prévisionnel du Paris Basketball pour la saison 2018/19 : (source bebasket.fr )

Meneur : Daniel Dillon, 1,93 m, 32 ans (AUS) et Nathan Mepandy, 1,90 m, 20 ans (FRA)
Arrières : Nick Kellogg, 1,91 m, 26 ans (USA) et Théo Bouteille, 1,92 m, 21 ans (FRA)
Ailiers : Jevohn Shepherd, 1,95 m, 32 ans (CAN/JAM) et Gauthier Denis, 1,98 m, 21 ans (FRA)
Ailier-forts : Dustin Sleva, 2,03 m, 23 ans (USA), Valentin Chery, 1,98 m, 20 ans (FRA), Victor Samnick, 2,03 m, 38 ans (FRA/CAM) et Benjamin Obouh-Fegue, 1,97 m, 31 ans (FRA)
Pivots : Gary Forimont, 2,00 m, 31 ans (FRA) et Moustapha Diarra, 2,05m, 31 ans (FRA)

4 joueurs au poste 4 .. Que va faire Chery là bas ?

C'est exactement ce que je me suis dit en voyant l'effectif de Paris...

4 joueurs au poste 4 sur la papier mais faut voir la concurrence, à part Dustin Sleva c'est pas énorme.
Il doit penser qu'il a les moyens de s'imposer et avoir du temps de jeu avec un coach qui aime former et faire jouer les jeunes, tout en gagnant plus d'argent.
Le pari n'est pas si fou que ça, y'a qu'en fin de saison qu'on pourra juger.

Il va faire le nombre et remplir les quotas basta.