[ProA - J2] JDA Dijon bat SLUC Nancy, 99-97, A.P.

Alphonse BROWN a écrit:

J'ai également noté que Dijon était dans le "bonus" au niveau des fautes et je me suis étonné que dans les dernières minutes du temps règlementaire le jeu du SLUC ne soit pas plus axé sur les fautes à faire commettre et ainsi s'assurer des lancers francs.
Je n'ai plus de souvenirs précis, mais je n'ai pas l'impression que bcp de nos attaques se soient soldées par des points dans les dernières minutes ?
Enfin, sur la fin du temps règlementaire et notamment la dernière remise en jeu de DIJON (ligne de fond), nous ne sommes qu'à 3 fautes d'équipe coté SLUC, et je me suis étonné que la 4ème qui était à faire! intervienne si rapidement. Je crois qu'elle est faite sur le joueur qui reçoit la balle lors de la remise de jeu ce qui n'a pas permis de "manger" le chrono (en phase défensive) et qui laissait ainsi encore pas mal de temps pour récupérer un rebond sur lancer franc raté volontairement.
Je n'ai aucune prétention dans mon analyse, mais moi ça m'a paru étonnant alors que je ne suis pas super calé dans le domaine.

C'est pas Mimipoka qui la fait et qui se fait sortir par Weisz dans la foulée ?

pistolpit23 a écrit:

Faire faute avec 3 points d'avance,tous les coachs pro le font,de la nba a la pro b voire en dessous.
C'est normal,ce qui n'est pas normal c'est de ne pas bloquer le shooteur adverse.
Malheuresement,énorme réussite en face 2 fois de suite,mais si on est dans la même situation le prochain match,AW donnera les memes consignes.

En NBA pas trop, cf Popovich au match 6 des dernières finales !

ONDAFACE a écrit:

A-Sir a écrit:

C'est pas croyable ça. J'ai toujours dit que c'était une technique de merde. Alors d'accord, c'est mal exécuté mais merde, c'est quand même plus facile de défendre sur un tir à 3 points à 3 secondes de la fin sur remise en jeu que sur un rebond long aux LF.

je ne sais pas quelle est la meilleure technique. Nous avons maintenant tous le sentiment que la balle est aimantée vers les mains adverses sur le dernier rebond. Alors...

Mais bon le troisième quart temps se termine par un tir de Mendy à 3 points, de loin mais pas si gêné que ça par Pope. Quand Falker marque son deuxième lancer, il reste 2.7 secondes. Si, on avait fait faute à ce moment là, on aurait peut-être pris un point de moins. Le mieux étant encore de gérer plus intelligemment la dernière possession. On a la balle à 10 secondes de la fin pour un +2-3. Bof...  

Comme le dit Harris de la JDA " Nous avons tenté un truc qui ne marche quasiment jamais… et ça a marché."
La plupart du temps cette tactique est bonne et faut continuer à la faire, c'est juste pas croyable que 2 fois de suite le sluc se fasse avoir.
Bon contre Nanterre le rebond est bien bloqué, il ne s'agit même pas d'un rebond long mais ça retombe avec beaucoup de chance dans les mains de la JSF. Contre Dijon ce n'est pas de la mal chance, c'est vraiment un oubli sur le tireur de Lancer. C'est vraiment très, très mal exécuté.

Est-ce que l'on est sûr qu' Harris ne mord pas la ligne des lancers-francs avant que le ballon touche le cercle ?? Simple question .... En effet, il est quand même très difficile, en shootant un lancer, de prendre son propre rebond sans mordre la ligne. Je ne dis pas que c'est le cas mais je crois que personne n'a soulevé cette question. Cela me semble encore plus difficile dans le cas du match d'hier, puisqu'il restait même pas une seconde et qu' Harris n'avait d'autres choix que de se précipiter sur le ballon juste après avoir tiré ....

Sans parler du porté de balle d'école de Campbell.... Mais bon on peut pas trop en demander à Freddy Lepercq qui est une buse de l'arbitrage depuis maintenant 10 ans.

les autres a écrit:

Alphonse BROWN a écrit:

J'ai également noté que Dijon était dans le "bonus" au niveau des fautes et je me suis étonné que dans les dernières minutes du temps règlementaire le jeu du SLUC ne soit pas plus axé sur les fautes à faire commettre et ainsi s'assurer des lancers francs.
Je n'ai plus de souvenirs précis, mais je n'ai pas l'impression que bcp de nos attaques se soient soldées par des points dans les dernières minutes ?
Enfin, sur la fin du temps règlementaire et notamment la dernière remise en jeu de DIJON (ligne de fond), nous ne sommes qu'à 3 fautes d'équipe coté SLUC, et je me suis étonné que la 4ème qui était à faire! intervienne si rapidement. Je crois qu'elle est faite sur le joueur qui reçoit la balle lors de la remise de jeu ce qui n'a pas permis de "manger" le chrono (en phase défensive) et qui laissait ainsi encore pas mal de temps pour récupérer un rebond sur lancer franc raté volontairement.
Je n'ai aucune prétention dans mon analyse, mais moi ça m'a paru étonnant alors que je ne suis pas super calé dans le domaine.

C'est pas Mimipoka qui la fait et qui se fait sortir par Weisz dans la foulée ?

Si, exactement !!!! Et faire cette faute à ce moment du match c'est tout simplement honteux... Le mec a pas réfléchi. Il m'a paru louche au niveau état d'esprit le petit Mipoka.

2 Match et ca casse !!!!! dans 2 semaines ce seront des champions du monde !!!!!!!!!!!!!!!

Korac a écrit:

2 Match et ca casse !!!!! dans 2 semaines ce seront des champions du monde !!!!!!!!!!!!!!!

Si ils sont à 0/4 dans 2 semaines après le déplacement à Pau et la réception du BCM pas certain qu'ils soient champion du monde...  

Normal que ça casse. Deux matchs deux défaites dans exactement les mêmes circonstances. On va pas les encenser quand même!

Et on peut aussi s'inquiéter pour le poste 1... Les pistes 2,3,4 et 5 l'équipe a un bon niveau. Mais par contre poste 1, avec Hannah c'est 4/20 aux tirs sur deux matchs (même di il y a,aussi 18 PD).
Quand il prend des tirs a 8-9m a 10 s de la fin de la possession, ce n'est pas un problème d'adaptation ProA ProB.
Et vous, que pensez de ces deux matchs d'Hannah? Que c'est trop tôt pour juger  

Il semble quand même un peu light. Même son dribble alors qu'il a été vendu comme un bon manieur de ballons. A voir par la suite son adaptation mais il est clair que c'est plus un feu follet qu'un organisateur gestionnaire ça on le savait.

Korac a écrit:

2 Match et ca casse !!!!! dans 2 semaines ce seront des champions du monde !!!!!!!!!!!!!!!

On ne tape pas dans les mains juste pour dire qu'on tape dans les mains et que Nancy est notre équipe... On analyse aussi ce qu'il se passe sur le terrain, non seulement en terme d'investissement, mais aussi du point de vue purement basket.

Ce n'est pas gratuit. Ce n'est pas le forum des Bisounours où tout le monde se rejoint pour se dire que tout va bien et que cette équipe est juste géniale.

Après, parler de poisse pour deux rebonds non contrôlé sur le tireur de LF, c'est juste un peu fort de café.

Pour en revenir à Hannah, c'est un super joueur. Il faut qu'il trouve le juste milieu entre faire jouer les autres et scorer, mais son point faible c'est qu'il n'a pas de réelle rotation sur son poste. Voilà tout. Tout comme Pietrus et Falker, il joue trop. Beaucoup trop.

Superfaktor a écrit:

. Même son dribble alors qu'il a été vendu comme un bon manieur de ballons. A voir par la suite son adaptation mais il est clair que c'est plus un feu follet qu'un organisateur gestionnaire ça on le savait.

Le problème c'est qu'il arrête très facilement son dribble, même quasi systématiquement ce qui empêche deposer un système, qui ralenti le jeu, faire perdre de précieuses secondes  

Et pour les deux rebonds, voilà c'est le basket la trajectoire est bien dessinée par les tireurs, elle retombe pour eux.... c'est comme ça qu'une équipe se forge pour devenir meilleure....  

Bon c'est assez simple en somme. pour le prochain match, il faut juste que:

- on joue à partir de la 1ère minute et non pas la 10ème
- on ait une rotation correcte aux postes 1 et 5
- on ne se fasse pas remonter de 8 points dans les 3dernières minutes
- on ne concède pas bêtement 2 lancers francs à +3
- on ne se fasse pas baiser comme des bleus sur le dernier LF volontairement loupé par l'adversaire
- on assure dans les prolongations si toutes les autres conditions ci-dessus ne sont pas respectées

.....et tout ira bien. C'est simple non? 

et
-on a Pope en mode "le retour"

Après avoir vu les deux matchs je dirais que le poste 1/5 nous plombe sérieusement. Hannah n'a pas le niveau c'est clair. Des shoots suspects, Toujours le même dispositif en remonté de balle, il passe la ligne et dribble sur place. Ok il fait des passes mais c'est un meneur donc son job.
Et enfin Booker, c'est tout simplement une catastrophe. Tout le monde avait detruit le pivot que JLM avait recruté, je ne sais plus son nom, si quelqu'un pouvait m'aider, et bien booker c'est encore pire.

En conclusion l'equipe en place avec un autre meneur et un pivot digne de ce nom, on en serait pas là mais bien leader avec 2 victoires.

Ca me revient Benson

TOMY57 a écrit:

En conclusion l'equipe en place avec un autre meneur et un pivot digne de ce nom, on en serait pas là mais bien leader avec 2 victoires.

Et c'est une équipe qui n'aurait pas le même budget surtout... On veut une équipe avec des joueurs de grande classe à tout les postes, je pense que Weisz aimerait aussi si il avait un budget illimité.

Vous êtes bien sévère avec Hannah il peut avoir une très bonne vision du jeu et l'axe 1-5 avec Falker fonctionne plutôt bien lorsqu'il prend le temps de fixer pour servir dans la peinture.

Il faut juste qu'il comprenne que c'est pas lui le clutch de l'équipe et qu'il se concentre sur ses passes plus que sur ses shoots

Neodurden a écrit:

Vous êtes bien sévère avec Hannah il peut avoir une très bonne vision du jeu et l'axe 1-5 avec Falker fonctionne plutôt bien lorsqu'il prend le temps de fixer pour servir dans la peinture.

Il faut juste qu'il comprenne que c'est pas lui le clutch de l'équipe et qu'il se concentre sur ses passes plus que sur ses shoots

En plus Hannah et coleader avec Diabate.....des balles perdues(4,5/match)

TOMY57 a écrit:

Après avoir vu les deux matchs je dirais que le poste 1/5 nous plombe sérieusement. Hannah n'a pas le niveau c'est clair. Des shoots suspects, Toujours le même dispositif en remonté de balle, il passe la ligne et dribble sur place. Ok il fait des passes mais c'est un meneur donc son job.
Et enfin Booker, c'est tout simplement une catastrophe. Tout le monde avait detruit le pivot que JLM avait recruté, je ne sais plus son nom, si quelqu'un pouvait m'aider, et bien booker c'est encore pire.

En conclusion l'equipe en place avec un autre meneur et un pivot digne de ce nom, on en serait pas là mais bien leader avec 2 victoires.

Tout à fait d'accord avec ton analyse!

BASKET-BALL - PRO A - APRÈS DIJON - SLUC (99-97, AP)

LE PRIX DE LA POISSE

Victime de deux coups du sort, le SLUC reste au point mort. Déjà, le temps presse et certaines interrogations demeurent.



Dijon. Que dire de plus aujourd’hui qui n’ait déjà été écrit la semaine dernière ? Au-delà des considérations technico-tactiques, au-delà des performances individuelles au sujet desquelles il y a beaucoup à dire, il est incontestable que le SLUC trimballe une sacrée poisse. Deux fois de suite, son sort a basculé sur des actions improbables. Deux fois de suite, Austin Nichols et ses coéquipiers menaient de trois points à moins de trois secondes de la fin. Et deux fois de suite, ils ont été victimes de l’invraisemblable réussite de leur adversaire.

Victimes, c’est le mot. Car objectivement, que peut-on reprocher aux Nancéiens ? Rien sur le lancer-franc manqué par Passave-Ducteil et le rebond de Daniels face à Nanterre. Et lundi à Dijon ? En se repassant le film, on pourra peut-être regretter que Paul Harris, attiré par le rebond, ne soit pas allé bloquer son homonyme dijonnais lorsque celui-ci a volontairement manqué son deuxième lancer-franc (rappelons que c’est cette fois le tireur qui a pris son propre rebond). Mais franchement, ce serait pinailler…

En perdant deux matches… qu’il avait gagnés, le SLUC vient de prendre deux énormes coups du sort sur le crâne. Au passage, il faut souhaiter qu’il n’en subisse pas trop longtemps les séquelles morales. À l’issue de la rencontre, Alain Weisz était abasourdi : « Encore une fois, il est logique de commettre la faute à trois secondes de la fin, alors que nous menions de trois points. Être victime deux fois de suite de la même malchance, c’est dur… Mais que faire ? Il faut accepter ce nouveau coup du sort, rester serein et ne pas ajouter la panique à la malchance. »

Effectivement, la situation ne prête pas à l’affolement. Même si la perspective d’un nouveau déplacement (à Pau, mardi prochain), suivi de la réception de Gravelines n’incite pas franchement à un optimisme béa… S’il ne veut pas se lancer dans une nouvelle saison galère, à l’image de celle vécue l’année dernière, le SLUC va devoir vite… rebondir.

Booker, le temps presse
Comme la semaine dernière face à Nanterre, on peut dissocier la forme et le fond. Le fond, c’est justement ce que le SLUC a touché pendant un premier quart-temps complètement raté (8-28), à la suite duquel il a dû lutter à grands coups de rames pour revenir dans le match. « Manifestement, nous n’étions pas prêts à subir l’intensité défensive de Dijon en début de match », regrettait Alain Weisz. « Après, nous nous sommes mis à jouer. Mais nous avons dû fournir beaucoup d’efforts pour revenir. »

Les efforts, cela n’effraie pas Paul Harris, qui a pris à Dijon une belle revanche sur lui-même, après être passé complètement au travers contre Nanterre. « Toute la semaine, mes coéquipiers m’ont encouragé en me disant de ne pas perdre confiance », avouait-il au soir de son premier carton en Pro A (28 points, 4/6 à trois points, 10 rebonds). Nul n’envisage que Paul Harris puisse signer 36 d’évaluation toutes les semaines. Mais on veut croire que par ce coup d’éclat, l’ailier américain a lancé sa saison.

Côté nancéien, tout le monde ne peut malheureusement pas en dire autant. Contrairement à sa première sortie, Clevin Hannah a apporté quelques points (12) et distribué dix passes décisives, lundi. Mais le meneur shooteur a une nouvelle fois affiché ses limites en matière de gestion, dans les moments chauds notamment.

Plus inquiétant est le constat qui s’impose au sujet de Devin Booker. En deux bouts de matches (onze minutes au total), l’intérieur a fait (re) naître de réels doutes sur sa capacité à s’adapter aux lois du milieu. Même s’il n’est « que » le troisième intérieur dans la hiérarchie imaginée par Alain Weisz (derrière Falker et Piétrus), le SLUC ne pourra indéfiniment se contenter d’un aussi faible rendement.

Le pire, c’est qu’avec deux victoires au compteur, l’ancien joueur de Clemson aurait volontiers bénéficié d’un peu de temps pour apprendre. Or, du temps, le SLUC n’en a déjà plus tellement en magasin…

Thomas SIMON

LE MATCH EN QUESTIONS

LES MISES À JOUR DE RANDAL FALKER

Le SLUC est-il revenu dans le match grâce à son adresse à trois points ?
Plus que le pourcentage de réussite derrière l’arc de cercle, c’est le nombre de tirs à trois points réussis qui a permis au SLUC de combler le retard accumulé dans le premier acte. Lors des trois derniers quart-temps, Nichols et ses coéquipiers ont transformé onze de leurs vingt-quatre tentatives (ils n’ont pas marqué à trois points pendant la prolongation). Entre la 12’ et la 30’, le SLUC a infligé un 55-28 à Dijon, marquant 24 de ses 55 points derrière la ligne des trois points…

Randal Falker a-t-il réalisé à Dijon son meilleur match de Pro A d’un point de vue statistique ?
L’aspirateur à rebonds qu’est Randal Falker n’est sans doute pas près de battre son record de prises - 20 ! - établi à Gravelines en 2009. Mais lundi, l’ancien Choletais (131 matches de Pro A) a tout de même dépoussiéré quelques records personnels, dont celui du nombre de minutes jouées (42). Plus important, il a réalisé la meilleure évaluation de sa carrière en France (33) et battu son record de points (23).

Depuis combien de temps Dijon n’avait plus marqué 99 points ?
Il faut croire que le SLUC n’est pas allé à Dijon au bon moment… En effet, l’équipe entraînée par Jean-Louis Borg a plutôt la réputation - justifiée - d’être plus efficace en défense qu’en attaque. D’ailleurs, la JDA n’avait plus inscrit 99 points depuis un match contre Rouen, en septembre 2009 (sans prolongation, à l’époque). De même que Dijon n’avait plus encaissé autant de point (97 contre le SLUC, lundi) depuis un soir de novembre 2010, face à Nantes, en Pro B (98).

T.S.

On a aimé :

La modestie de l’intérieur américain de Dijon, Andre Harris, au moment de commenter l’action sur laquelle il a permis à son équipe d’arracher la prolongation : « On a tenté un truc qui ne marche jamais. Et ça a marché. »

La régularité de Randal Falker et Austin Nichols. Les deux valeurs sûres du SLUC lors des deux premières journées de championnat.

Le contre de Florent Piétrus sur le meneur dijonnais, T.J. Campbell, à quinze secondes de la fin du quatrième quart-temps. Le SLUC menait d’un point et avait la balle en main. Un geste défensif qui aurait dû être synonyme de victoire…

On n'a pas aimé :

Lire le dépit sur les visages des joueurs et du staff nancéiens, au moment de l’égalisation d’Andre Harris. La sensation de revivre le même cauchemar que la semaine précédente était palpable.

Les sept balles perdues par le SLUC dans le premier quart-temps. Un gâchis qui a largement contribué au naufrage des Nancéiens dans les dix premières minutes (8-28).

La faute commise par Austin Nichols sur T.J. Campbell à 2’’3 de la fin de la prolongation (97-97). L’arrière nancéien a été pris de vitesse et est tombé dans le piège tendu par le meneur dijonnais, qui cherchait à se procurer des lancers francs. Le coup de grâce…

Bien sympa les articles mais ceux ci viseraient presqu'à nous faire passer pour de pauvres victimes qui n'ont pas de pot.
Navré mais avec -12 puis -20 après 10 minutes de jeu ainsi qu'une affreuse gestion de fin de match, le SLUC n'en serait pas là et ne peut s'en prendre qu'à lui même.
Ca n'a rien à voir avec le sort çà.

andiamo a écrit:

Bien sympa les articles mais ceux ci viseraient presqu'à nous faire passer pour de pauvres victimes qui n'ont pas de pot.
Navré mais avec -12 puis -20 après 10 minutes de jeu ainsi qu'une affreuse gestion de fin de match, le SLUC n'en serait pas là et ne peut s'en prendre qu'à lui même.
Ca n'a rien à voir avec le sort çà.

Totalement d'accord.

On peut ergoter des heures sur nos erreurs, sur ce rebond miracle, sur ces paniers extraterrestres de Riley et Mendy... Le fond du problème de cette défaite, c'est le -20 d'entrée.

Ca nous coûte des efforts de dingue pour remonter, des efforts qu'on paie en terme de lucidité et de fraîcheur pour ensuite réussir à faire un break, pour gérer la fin de rencontre. DEs efforts qui nous coûtent des rotations.... Evidemment que pour revenir on s'appuie sur les hommes en forme... mais au final, on se prive d'alternatives...

Ce qui me désole le plus, c'est que ce pêché d'orgueil attendu après avoir tenu la dragée haute au champion, on avait ENCORE moins le droit de le faire, alors qu'on allait jouer la JDA, une équipe que l'on connait par coeur sur son intensité défensive...

Sans doute que les mises en garde du staff n'ont pas été prises au sérieux - je refuse de croire que le staff n'ait pas mis en garde les joueurs.

Il faut que cette équipe de clébards se défonce dès la première minute. Notre force, ça doit être cet état d'esprit. on a su remonter 20 points. on a du talent. Mais pour que ce talent serve et nous donne des victoires, il faut avant tout se battre dès le début.

Espérons que cette défaite ait cette vertu de les faire progresser et de graver dans les têtes que toutes les rencontres doivent être abordées comme s'il ne restait que quelques secondes à jouer.