[ProA - J21] SLUC Nancy bat JSF Nanterre, 81-59 (41-24)

Benoit ADAM a écrit:

Je ne sais pas si ça a été relevé, mais agréablement surpris par l'affluence pour un match qui n'avait rien d'une tête d'affiche et après la déferlante normande !

C'est vrai que c'est étonnant, 5200 spectateurs il me semble. Beaucoup d'invitations peut-être...?

Bonne nouvelle. On pouvait légitimement craindre une grosse baisse de l'affluence suite aux lourdes défaites de ce dernier mois (sans parler de la purge contre l'ASVEL). Invitation ou pas, c'est toujours bien de remplir la salle.

J'avais entendu 5 500 !

C'est 5500, je confirme

LE FAIT DU MATCH

KURZ, LE JOUR APRÈS LA NUIT



Nancy. La semaine dernière, il s’était peut-être demandé ce qui lui arrivait… Fraîchement arrivé d’Espagne quelques jours plus tôt, Rob Kurz avait vécu une première sortie de cauchemar sous le maillot nancéien du côté des Docks Océanes. Concassé, hâché menu, le SLUC avait sombré dans les grandes largeurs au Havre samedi dernier (61-91) et le grand Américain avait pointé du nez comme les autres (4 pts à 1/5 aux shoots, 5 d’évaluation en 20’). Sympa, la première…

Avec une telle entame, difficile de ne pas avoir une pointe d’appréhension à l’heure de vivre sa première à la maison. Et si la mauvaise histoire se répétait ?

Mais du banc où il a commencé le match, Rob Kurz a vite compris que la soirée serait très différente. Quand Jean-Luc Monschau le lança sur le parquet à la 8e minute, le SLUC avait déjà pris le large (16-2). Sur un de ses premiers ballons, l’Américain fit mouche à trois points et prouva que son aptitude à s’écarter du panier pour planter derrière la ligne n’était pas une vue d’esprit. Idéal pour lancer son match.

La suite sera du même acabit. Face à une équipe très vite dépassée, l’Américain a apporté sa pierre à l’édifice et rempli généreusement les différentes cases statistiques : 13 pts à 6/8 aux shoots, 3 rebonds, 3 contres, 3 passes et la deuxième évaluation du match (19) derrière celle de Victor Samnick (22).

« Il trouve sa place »

Après la nuit havraise, le jour nanterrien… « Ma prestation ? ça a été… » commentera l’intéressé en sortant des vestiaires sans vouloir trop s’appesantir sur sa ligne de stats, « ce qui prime, c’est la victoire. Après, j’essaie d’aider l’équipe de quelque manière que ce soit… On était tous très déçus après Le Havre mais quelque part, ce match a été un bon signal d’alarme. On était très motivés et on a bien rebondi ce soir (lire hier soir) en montrant du caractère. On a très bien défendu et en attaque, on s’est bien partagés la balle »…

A quelques mètres de là, Jean-Luc Monschau portait, on s’en doute, un regard satisfait sur la prestation de l’ancien joueur des Golden State Warriors. « C’est un des points positifs de la soirée » relevait le technicien, « il s’intègre et trouve sa place. Au Havre, il a raté des shoots qu’il a mis ce soir (lire hier soir). C’est aussi un bon passeur et il l’a montré notamment sur le ‘’alley-oop’’ avec Victor Samnick. Et puis, il est vif et alerte dans ses déplacements pour un joueur de cette taille ».

Bref, si Rob Kurz avait raté sa première nancéienne, il n’a pas raté sa première à Nancy. S’il pouvait montrer le même visage mardi en coupe face à Strasbourg…

Anthony GUILLE

VESTIAIRES

LA GROGNE DES SUPPORTERS

ESPOIRS. Treizième victoire consécutive pour les espoirs nancéiens (81-71), dont la dernière défaite en championnat date du 26 novembre 2011. Bien que l’adversaire du jour comptait quinze victoires de moins que le SLUC au classement (avant le match d’hier), l’équipe de Pierre Verdière a eu toutes les peines du monde à s’en défaire (27-27, 15e ; 60-55, 30e). Il a fallu attendre un ultime coup d’accélérateur de Kevin Thalien et des cadres (Pinda, Pourchot, Kurtic) pour que les Nancéiens s’offrent enfin un petit matelas de sécurité (75-64, 36e) qu’ils parviendront à conserver jusqu’au bout.

Les marqueurs nancéiens :Pourchot 16 (19 rebonds), Pinda 22, Thalien 12 (11 passes), Kurtic 16, Pintiaux 7, Séné 8, Noizet, Garros, Charles-Catherine, Vespuce, Diallo.

JOUEUR DU MOIS. Le verdict est tombé. C’est le Chalonnais Blake Schilb qui a été élu joueur du mois de février par les internautes. Un plébiscite puisque l’Américain a récolté 55 % des suffrages, devançant très largement le Parisien Jawad Williams (32,1 %) et son coéquipier chalonnais Alade Aminu (1 2,4 %).

VERDURE. Stephen Brun n’habite pas à Nanterre. L’ancien nancéien a trouvé un logement dans la ville voisine de Rueil. « Il y a plus de verdure, ça me rappelle un peu plus Nancy » souriait l’ailier fort.

BANDEROLE. Les supporters nancéiens ne sont pas contents et ils le font savoir… Après avoir déployé une banderole « Vous devez une revanche à vos supporters » il y a deux semaines contre Pau-Lacq-Orthez suite à l’humiliation subie une semaine plus tôt devant Chalon à la Semaine des As (-40), les fans avaient installé une nouvelle banderole dans les tribunes hier : « Respectez vos couleurs et vos supporters ». Un moyen d’exprimer leur mécontentement vis-à-vis du manque de moelle affichée par les Nancéiens la semaine dernière au Havre (-30). Afin de protester, les supporters nancéiens ont même fait grève des encouragements, hier, au moment de la présentation des équipes.

SÉLECTIONS. Détail amusant : avec Stephen Brun et Mamoutou Diarra dans ses rangs, Nanterre « revendique » 61 sélections en équipe de France A (15 pour Brun et 46 pour Diarra). De son côté, le SLUC n’en compte aucune…

MOERMAN. Adrien Mœrman a laissé un excellent souvenir du côté de Nanterre, dont il a porté les couleurs, en Pro B, lors de la saison 2007-08, après avoir quitté Roanne. Aux côtés d’un certain Ricky Soliver, l’ailier-fort actuel du SLUC avait notamment terminé quatorzième marqueur de Pro B (meilleur Français) et avait joliment relancé sa carrière.

DEPLACEMENT. Le club des supporters organise un déplacement pour le match à Strasbourg samedi prochain. Réservations jusqu’à demain au 06.47.01.22.65. Le départ se fera du centre de formation du SLUC à 14h.

A.G. et T.S.

Jean-Luc MONSCHAU : « Avons-nous bien défendu ou Nanterre a t-il été maladroit ? C’est l’éternelle question et je me garderai bien ce soir de tirer des conclusions. On a fait et bien fait ce que nous avions à faire. Maintenant, on prend les matchs un par un, en espérant en finir avec tous nos bobos (Samnick, Akingbala, King ont été ménagés cette semaine à l’entraînement) ».

Pape-Philippe AMAGOU : « On a fait une belle entame offensive et surtout défensive. Battre Nanterre, c’est bien mais c’est la moindre des choses. Ce n’est qu’un match. Il faut confirmer et ne pas s’endormir ».

Xavier COROSINE (Nanterre) : « On était prévenu. On s’est fait marcher dessus. On a pris une bonne leçon. Maintenant, il faut se remobiliser ».

Pascal DONNADIEU (coach de Nanterre) : « On n’a pas été capable de résister. Nancy a pris confiance. On a oublié notre jeu collectif pour chercher des solutions individuelles. Il faut réagir d’autant que sur nos derniers matchs, il y a des signes pas très rassurants. Retrouvons d’abord un esprit de conquête face à Cholet après l’intermède de la coupe de France, mais l’objectif reste le championnat ».

À noter que le seul match perdu par le SLUC Nancy alors que son adversaire avait shooté à moins de 45% de réussite est celui face au BCM Gravelines-Dunkerque (44.4%), au Palais des Sports Jean Weille, le 13 janvier dernier (79-81), dans les conditions que tout le monde connaît...

pro a Ça s’en va et ça revient
Spécialiste des montagnes russes, le Sluc a accompli un nouveau rebond face à Nanterre. Son problème reste entier : il faut durer. Cette semaine, double duel avec Strasbourg; demain en coupe, samedi en championnat.








Le nouvel Américain Kurz a réussi ses débuts à Gentilly. Photo Antony PICORE

Strasbourg et Ricardo Greer vont faire escale à Nancy, demain soir, mais n’ont sans doute aucune idée de l’accueil qui leur sera réservé. Les Alsaciens peuvent, au choix, se retrouver au chevet d’un grand convalescent, essuyer les foudres d’un champion de France requinqué par sa victoire face à Nanterre (81-59) ou s’employer dans la belle empoignade promise par ce huitième de finale de Coupe. C’est ouvert.

Une semaine après une punition aussi monumentale qu’inattendue au Havre (91-61), le Sluc a donc fourni la réaction que ses supporters appelaient en grognant. C’est à moitié rassurant car les hommes de Jean-Luc Monschau avaient reproduit le même scénario contre Pau-Orthez, fin février, une semaine après leur défaite de quarante points contre Chalon.

En ce sens, la victoire de samedi soir n’est pas un indicateur fiable de reprise, d’autant que Nancy a nuancé sa performance avec quelques lignes statistiques inquiétantes. Ses 19 balles perdues, ses 7 lancers français convertis sur 18 tentatives (39 % de réussite) et les 14 rebonds offensifs concédés à Nanterre désignent un édifice toujours fragile et valident la faiblesse de l’opposition francilienne. Le refrain est désormais connu : c’est à l’épreuve de la constance que pourra se mesurer la guérison lorraine.
La SIG pour vérifier

A contrario, les partisans du verre à moitié plein sauront aussi relever quelques motifs de satisfaction derrière cette promenade. La première renvoie directement vers Rob Kurz. La dernière recrue américaine du Sluc a réussi son baptême à Gentilly avec ses 13 points en vingt minutes. Nancy a également montré la richesse de son banc dans cette partie vécue douloureusement par le tandem King-Akingbala (4 points seulement).

L’éclipse de ces deux leaders d’attaque a mis en lumière les performances d’Amagou (16 points), Samnick, solide en poste 5 (17 points, 9 rebonds), Grant (9 unités) et Shuler (11). Le temps d’un soir, le Sluc a retrouvé ses spécialités : une intensité défensive, un jeu rapide et une adresse à distance bienvenue. Dans ces conditions, la menace vient de partout. Sans ces conditions, Nancy se met en danger. Partout.

Ses supporters frondeurs et longtemps silencieux samedi soir, attendent aujourd’hui une confirmation qui leur sera servie sur un plateau avec la Coupe de France demain, et un déplacement en Alsace, samedi, pour la suite du championnat. Cette double ration de Strasbourg sera autrement plus éloquente. Car personne ne pourra se retrancher derrière le niveau de l’adversaire pour apprécier la prestation de Nancy.
Christian JOUGLEUX.

Jlm: "on a bien defendu ou ils ont été maladroit telle est la question..." euh, jamais il peut de dire qu'une grosse presssion défensive est gage d'une moins grande réussite adverse. Faire rater les shoots ou les rendre compliqués c'est un peu a ça qu'on juge une défense! Decidemment dans la victoire comme dans la défaite ses déclarations sont stériles!

belle photo !

DE BAS EN HAUTS…

D’une semaine à l’autre et au rythme du calendrier, le SLUC affiche une irrégularité… métronomique. Il serait temps que les Nancéiens se mettent à l’abri des grosses chutes de température.



Deux grosses valises sur le dos, contre Chalon et Le Havre, une vilaine série dans le rétroviseur (six défaites en neuf matches, toutes compétitions confondues), des fans mécontents et qui le font savoir par une grève des encouragements… Ce contexte n’a pas souvent été le pain quotidien du SLUC ces dernières années. Jamais, même. En battant Nanterre samedi, John Linehan et ses coéquipiers ont certainement évité que cette atmosphère pesante ne vire à la crise ouverte. Mais peu nombreux sont ceux qui envisageaient réellement cette issue dramatique.

D’ailleurs, si relative soit-elle, cette victoire écrasante face au promu francilien a tout de même quelque chose de rassurant. Il semblerait que le SLUC ait bien une marge sur les équipes de bas de tableau. Une plaisanterie ? Samedi dernier, au Havre, après le naufrage du bateau nancéien dans la Manche, on n’en était pas forcément convaincu. Les joueurs, eux, l’étaient apparemment. Dans un élan de sagesse et de lucidité, la plupart d’entre-eux s’est empressé de relativiser, de tempérer les « rachats » et les « revanches » entendus ici et là après la rencontre. « Le boulot a été fait en défense. Battre Nanterre à domicile était la moindre des choses. Mais il ne faut pas que ce soit un match isolé. Le rachat, ce n’est pas encore fait. C’est juste une victoire », estimait Pape-Philippe Amagou, imité quelques instants plus tard par son entraîneur Jean-Luc Monschau : « on ne va pas tirer de conclusions aujourd’hui. Nous sommes à la recherche d’une continuité. Il y a eu un bel investissement défensif. Nanterre a un bon potentiel offensif et nous les avons maintenus en dessous de soixante points (Ndlr : 5e attaque de Pro A avec 80 points de moyenne avant cette rencontre). Mais dans une victoire, on ne sait jamais vraiment la part qui est due à la qualité de la défense et celle qui est due à la maladresse de l’adversaire… » Un peu des deux, sans doute.

HYÈRES-TOULON, APRÈS PAU ET NANTERRE…
Voila qui ne nous aide pas beaucoup à en savoir plus sur l’état de santé de cette équipe pour laquelle « les causes des difficultés sont toujours sournoisement présentes », selon un coach nancéien qui a une nouvelle fois égrené la liste des bobos qui ont perturbé la semaine d’entraînement…

Contre Nanterre, comme face à l’Elan Béarnais il y a quinze jours, il a suffi d’une entame de match sérieuse et rythmée en défense, d’un peu d’adresse extérieure également, pour balayer la trop faible opposition d’un revers de manche. Prenons le risque (relativement limité) de pronostiquer un scénario semblable dans quinze jours, lorsque Hyères-Toulon se présentera sur le palier de Gentilly. Ce week-end, l’équipe varoise s’est déplacée à Cholet avec seulement quatre joueurs professionnels. Dans quel état sera la troupe d’Alain Weisz dans deux semaines ?

Ce qui importe pour le SLUC, c’est plutôt ce qui va se passer cette semaine, lors du doublé face au voisin strasbourgeois (demain en Coupe de France, puis samedi en championnat). Ce qui compte, à plus long terme, ce sera la capacité de ce groupe nancéien branché sur courant alternatif à entretenir durablement la flamme au moment d’attaquer la dernière ligne droite. Elle sera semée d’embûches (déplacements à Cholet, Gravelines, Roanne et Poitiers, réceptions de Chalon, Orléans). En sera-t-elle capable ? Impossible de répondre aujourd’hui…

Thomas SIMON

POUR LA PREMIÈRE FOIS DEPUIS FIN JANVIER, BERNARD KING N’ÉTAIT PAS DANS LE CINQ DE DÉPART SAMEDI

Pour la première fois depuis fin janvier, Bernard King n’était pas dans le cinq de départ samedi. Y’a-t-il une relation avec la gastro-entérite que le joueur a eue la semaine précédente ?

Très certainement. Affaibli par sa gastro, le joueur n’a repris l’entraînement que mercredi et a eu du mal à s’hydrater ces derniers jours. Jean-Luc Monschau a donc jugé préférable de le laisser sur le banc en début de match avant de le lancer en fin de premier quart-temps. Une entrée en jeu difficile à évaluer précisément puisqu’il a dû quitter le parquet au début du deuxième quart-temps après être lourdement retombé sur le visage et qu’il a dû se contenter de sept minutes de jeu pour une ligne de stats quasi-vierge (aucun shoot pris, une passe). Ce qui est certain, c’est que l’état de santé de l’ancien havrais est surveillé de très près par le staff médical. Le joueur passera en effet des examens complémentaires mercredi, après la demi-finale de coupe face à Strasbourg, pour déterminer s’il s’agit d’un virus ‘’banal’’ ou si une éventuelle inflammation du colon n’a pas suivi cet épisode de gastro-entérite.

Depuis quand le SLUC n’avait pas tenu un adversaire à moins de 60 pts ?

Mine de rien, il faut remonter près de trois ans en arrière pour trouver trace d’un match de championnat où le SLUC Nancy avait encaissé moins de 60 pts. C’était le 21 mars 2009 à Gravelines pour le compte de la 22e journée. Ce soir-là, le club nancéien s’était imposé 62 à 58. L’hermétisme dont a fait preuve Nancy samedi soir tombe d’autant mieux que la défense nancéienne était montrée du doigt ces dernières semaines (86 pts concédés en moyenne sur les dix derniers matches). Reste maintenant à inscrire cette embellie sur la durée et face à des adversaires plus costauds…

Quel est le bilan du SLUC face aux promus depuis le début de l’ère Fra-Monschau ?

Victorieux de ses trois confrontations avec un promu cette saison (deux fois Nanterre, une fois Dijon), le SLUC lâche traditionnellement peu de lest face aux nouveaux arrivants en Pro A. Depuis huit ans et l’arrivée du tandem Fra-Monschau, le club nancéien a remporté 25 de ses 31 confrontations avec des promus et n’a jamais perdu deux fois dans la même saison contre un nouveau pensionnaire de Pro A. Dijon, qui viendra à Gentilly le 16 mai prochain, tentera de faire mentir les stats.

A la lutte pour le podium, le SLUC, Paris-Levallois, Orléans et Le Mans se tiennent en un point. Où se situe le club nancéien dans ses confrontations avec ces rivaux ?

A neuf journées de la fin de la saison régulière, le SLUC Nancy n’a plus qu’une seule confrontation directe au calendrier face à une de ces trois équipes. Le 28 avril, il recevra Orléans contre qui il a perdu de quinze points à l’aller (68-83) pour un match de la 28e journée qui pourrait bien être décisif. Avant cette confrontation, le club nancéien a le bénéfice du panier-average sur ses deux autres rivaux (+12 contre les Parisiens, +16 devant Le Mans). En cas d’égalité finale avec une de ces deux formations, le club nancéien serait donc devant, tout comme il serait devant en cas d’égalité à trois avec Paris-Levallois et Le Mans puisque dans le mini-championnat à trois servant à départager les ex-aequo, Nancy serait en tête au panier-average (+28 contre 0 pour Le Mans, et -28 pour Paris-Levallois). ça pourrait s’avérer déterminant au soir de la 30e journée, le16 mai…

Pourquoi le filet d’un des paniers a-t-il été changé avant la deuxième mi-temps ?

Le public a pu se poser la question car le filet ne semblait aucunement détérioré. Mais c’est en fait le fil en plastique utilisé sur l’arceau qui avait rompu. Un problème relativement fréquent qui nécessite le changement dudit fil. Le temps pour les gardiens de salle d’intervenir et en deux minutes montre en main, le tour était joué.

Anthony GUILLE

On a aimé :

Voir que 5500 spectateurs s’étaient donnés rendez-vous au Palais des Sports. Même si le club avait distribué pas mal d’invitations, attirer autant de monde pour un match face à un promu était loin d’être gagné d’avance.

Le dunk plein de jus de Jamal Shuler après être parti en contre-attaque en deuxième mi-temps et le alley-oop de Rob Kurz pour Victor Samnick. Les deux fois, un régal pour les mirettes.

Que les supporters nancéiens s’époumonent pendant le match. Après avoir fait la grève des encouragements pendant la présentation des équipes afin de protester contre le manque de hargne des joueurs la semaine d’avant au Havre, les fans ont retrouvé de la voix en voyant les Nancéiens réussir une démonstration face aux Nanterriens.

Superfaktor a écrit:

Jlm: "on a bien defendu ou ils ont été maladroit telle est la question..." euh, jamais il peut de dire qu'une grosse presssion défensive est gage d'une moins grande réussite adverse. Faire rater les shoots ou les rendre compliqués c'est un peu a ça qu'on juge une défense! Decidemment dans la victoire comme dans la défaite ses déclarations sont stériles!

Une équipe peut shooter à 30% tout en ayant eu beaucoup de positions ouvertes.
Oui, JLM pense que le basket est un sport d'adresse et de statistiques, c'est ça ton scoop ? Il a au moins le mérite de faire ce genre d'analyse aussi bien dans la victoire que dans la défaite.

J'ai jamais parlé de scoop. C'était juste une constatation. Et quand l'adresse extérieur est en Berne il faut avoir l'intelligence de mettre la balle en dessous. Et ça sous l'ère jlm on a bcp de mal a le faire.

faudrait jouer en suisse

machin00 a écrit:

faudrait jouer en suisse

beibeul a écrit:

machin00 a écrit:

faudrait jouer en suisse

Comme ça les joueurs seraient remontés comme des pendules!