[ProA - J20] SLUC Nancy bat EB Pau-L.-Orthez, 72-69 (41-31)

JC a écrit:

Neodurden a écrit:

Et à chaque fois un poste 3

Comment ça les adversaires connaissent notre systéme de jeu par coeur!?

Déjà avant d'être coach à Nancy d'ailleurs.

Mais c'est comme ça pour pas mal de coaches. JDC, c'est le poste 4, par exemple.

Enfin JDC son utilisation du poste 4 c'est 1 mois sur 2, c'est ça d'acheter du maigrelet...
Ce qui est marrant avec Page c'est qu'il fait sa tête de dur sur le terrain genre c'est un bad boy mais dés que tu le frôle il se casse en mille morceaux

Prêt à jouer à Boston

Édit : Fred Moncade (mollet) sera absent côté EBPLO !

JC a écrit:

Édit : Fred Moncade (mollet) sera absent côté EBPLO !

Voilà qui devrait tout changer au rapport de force...

Dommage j'aurais adoré cette doublette athlétique Sciarra -Moncade à Gentilly .Depuis que Darrigand n'est plus en Pro A, on se régalait à voir leurs tomars sur jeu posé

Cela demande confirmation



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Stephen Brun et les Nancéiens auront à cœur de ne pas se prendre les pieds dans le tapis palois pour rester dans le peloton de tête de Pro A. Photo Patrice SAUCOURT
Basket-ball


Après son exploit à Roanne, le SLUC doit enchaîner dans son cocon de Gentilly. Où la recette du succès pourrait bien être la même que la semaine dernière...

Nancy. À quoi bon réussir un exploit retentissant si c’est pour se prendre les pieds dans le tapis le match suivant ? On peut se poser et se reposer la question encore et encore, la réponse saute aux yeux comme une évidence : à rien ou si peu. Huit jours après avoir créé la sensation en allant gagner dans cette Halle-Vacheresse de Roanne où la Chorale ne s’était inclinée que deux fois en trente-et-un matches de championnat, le SLUC Nancy sait que cette perf magistrale ne prendra tout son sens que si elle est suivie d’une victoire ce soir à la maison face à Pau-Lacq-Orthez.

Parce que le SLUC Nancy sera dans son cocon de Gentilly, ce cocon où il est primordial de lâcher un minimum de lest compte tenu du menu qui l’attend à l’extérieur (déplacements à Cholet, Chalon, Hyères-Toulon et Gravelines) pour avoir une chance d’accrocher le Top cinq, et parce que Pau-Lacq-Orthez fait un peu moins peur sur le papier.

Promu en Pro A, l’Elan Béarnais navigue en milieu de tableau et n’est pas un voyageur hors pair puisqu’il reste sur cinq revers de rang sur les routes où il n’a plus gagné depuis le 4 décembre dernier (à Poitiers).

Mais si cette équipe paloise n’a évidemment plus le lustre d’il y a quelques années, quand elle collectionnait les titres, Jean-Luc Monschau a, on s’en doute, quelques éléments à mettre en avant pour aiguiser la méfiance de son équipe... «Les Palois sont difficiles à jouer car ils disposent d’un gros potentiel offensif », analyse le coach nancéien, « c’est une des formations les plus adroites du championnat, avec des joueurs d’expérience qui savent lire le jeu, prendre des tirs à bon escient et surtout les rentrer. C’est ce qui est impressionnant chez eux ».Se souvenir des belles choses

Mais malgré une excellente adresse (voir l’adversaire), on peut aussi imaginer que la retraite sportive de Laurent Sciarra cette semaine et le remaniement qui a suivi dans les rangs béarnais pour rester en conformité avec le règlement de la Ligue (1), pourraient affecter aussi un tantinet le rendement de cette équipe. « Avec la retraite de Sciarra, dont je salue la longue et belle carrière, c’est vrai que cela fera une sacrée menace en moins du côté de Pau-Lacq-Orthez », reprend le coach nancéien, « mais à défaut d’avoir ce formidable passeur qu’est Sciarra, cette équipe focalisera peut-être davantage son jeu sur les scoreurs que sont Gipson, Mendy, Rimac, Bennett ou encore Maravic...».

Des scoreurs qu’il faudra donc freiner. La semaine dernière, les Nancéiens avaient parfaitement réussi à freiner ceux de Roanne dans une salle qui n’a pas souvent vu son équipe limitée à 74 pts. Malgré l’absence du « virus » John Linehan, expert ès-défense s’il en est et qui sera une nouvelle fois absent ce soir, le club nancéien avait réussi une démonstration de force, défensivement parlant.

Et partant du principe qu’on ne change pas une recette qui gagne, le SLUC Nancy essaiera ce soir de se souvenir des belles choses montrées à Roanne et d’utiliser les mêmes ingrédients. « Il faut qu’on soit capable de rééditer tout le travail défensif réalisé à Roanne », note encore le coach nancéien, « c’est à ce prix-là qu’on peut espérer enrayer l’attaque de Pau qui est très brillante ». En un mot comme en cent, messieurs, c’est l’heure de la confirmation !

Anthony GUILLE

(1) Suite au départ de Sciarra, le club a fait signer jusqu’à la fin de saison l’Américain Teddy Gipson en tant que joker. Mais comme il avait alors plus de cinq joueurs non-formés localement dans ses rangs, il a mis fin au contrat de Mike Bauer d’un commun accord avec le joueur, et a fait signer un premier contrat pro au jeune Florian Lesca afin de disposer d’un cinquième JFL.

Espoirs, SLUC Nancy (1 er, 37 pts) - Pau-Lacq-Orthez (7 e, 30 pts), cet après-midi (16h30).



Est républicain

L’invité - Willie Deane
« Un poste auquel je suis habitué »



zoom
Willie Deane : « J’aime créer ». Photo Patrice SAUCOURT



- Willie, avec la blessure de John Linehan, vous avez été repositionné au poste de meneur. Comment avez-vous vécu la transition ?

- Bien dans la mesure où j’ai évolué meneur durant la majeure partie de ma carrière. C’est un poste auquel je suis habitué et cela n’a pas été trop difficile de m’adapter.

- Vous vous sentez plus à l’aise au poste de meneur ou à celui d’arrière ?

- Je peux jouer aux deux postes. Après, je pense que je suis plus efficace quand j’ai davantage la balle car ça me permet de créer pour mes coéquipiers. Et j’aime ça. C’est ce que j’ai essayé de faire la semaine dernière (NDLR : à Roanne, il a délivré 7 passes décisives)...« Il y a plusieurs clés sur ce match »

- Cela fait quatre mois que vous êtes arrivé en Lorraine suite à la grave blessure de Ralph Mims. Quel regard portez-vous sur vos premiers mois à Nancy ?

- Ca a été difficile au début. Je n’avais pas fait la préparation avec l’équipe et il a fallu que je prenne mes marques. C’est pour ça que je comprends tout à fait ce que peut ressentir Terrance (Johnson) en ce moment car je suis passé par là. Parfois, vous sacrifiez en quelque sorte votre jeu pour comprendre ce que le coach attend de vous. Et puis, il y a eu cette fracture du nez qui m’a handicapé il y a quelques semaines... Mais bon, tout cela est derrière maintenant. Ce qui compte, c’est essayer de finir la saison le plus fort possible.

- La prochaine étape, c’est ce match face à Pau-Lacq-Orthez. Votre entraîneur met en avant le potentiel offensif de cette équipe. Est-ce à dire que la clé se situe en défense ?

- Il y a plusieurs clés à mon sens. Il faudra qu’on limite l’apport de Mendy qui court beaucoup et aime jouer en contre-attaques, qu’on défende bien en un contre un notamment face à Gipson et Bennett. Les rotations seront aussi importantes.

- Si on vous dit que ce serait vraiment rageant de ne pas confirmer l’exploit réussi la semaine dernière à Roanne...

- On a conscience de ce qu’il faut faire pour essayer de gagner ce match. Il ne faut pas qu’on se mette trop de pression et qu’on essaie juste de jouer comme on peut le faire. Si c’est le cas, on devrait s’imposer...

Recueilli par A.G.



Est republicain

L’adversaire

Le budget : 4,4 millions d’euros.

Entraîneur : Didier Dobbels (56 ans).

Palmarès : 9 titres de champion de France (86, 87, 92, 96, 98, 99, 01, 03, 04) ; 3 coupes de France (02, 03, 07), 3 tournois des As (91, 92, 93), 1 semaine des As (03), 1 coupe Korac (84).

Salle : Palais des Sports (7502 places).

Le joueur clé : Teddy Gipson. Artisan de la montée de l’Elan Béarnais la saison dernière, l’Américain avait fait ses valises en été avant d’être rappelé par le club palois fin décembre. Il n’a pas eu à le regretter. En quatre matches joués, l’Américain tourne à 14 pts, 6 passes, et ses deux meilleurs matches (21 d’évaluation contre Le Havre, 24 face à Hyères-Toulon) se sont soldés par des succès de Pau-Lacq-Orthez Et avec l’arrêt de Laurent Sciarra, l’Américain est amené à prendre encore plus d’importance dans le dispositif béarnais. Le danger numéro un ?

Le chiffre : 49,2 %. Comme l’adresse de l’Elan Béarnais aux shoots. Le club palois est de loin le plus adroit de Pro A. Derrière, l’ASVEL et Cholet émargent en effet à 46,8 % de réussite. À noter que le club nancéien est sixième dans ce domaine avec une adresse de 45,8 %.

L’infirmerie : Travon Bryant est blessé au genou depuis fin janvier. Pour le suppléer, le club béarnais a enrôlé le Nigérian Chinemelu Elonu en tant que pigiste médical.

Les cinq derniers matches : VVDDV.



Est republicain

Le site de la FFBB indique bien 16h30 pour le match des espoirs.

BACOU

Ne pas tourner autour du Pau




Brillant vainqueur à Roanne, le SLUC a les cartes en main pour donner suite à cet exploit. L’entraîneur Jean-Luc Monschau incite tout de même à la prudence. Linehan manquera encore à l’appel.

Il est temps d’effacer l’ardoise béarnaise. Cette saison, Pau-Orthez est synonyme, pour l’instant, de double désillusion nancéienne : moins quatorze au match aller de championnat (la plus grosse défaite avec celle de Villeurbanne) et élimination au 1 ^er tour de la Semaine des As.
La revanche se présente bien, pourtant. Les Lorrains ont fait taire la chaude Halle Vacheresse de Roanne, le week-end dernier. Preuve que vaincre sans le maître John Linehan est possible. « Oui mais l’exercice reste périlleux, soutient Jean-Luc Monschau. Il faut que toutes les choses aillent bien, que l’on n’ait pas beaucoup de fautes personnelles par exemple. A Roanne, on a tendu le dos quand Akingbala et Deane en avaient quatre », se trouvant donc proches de l’élimination.
Fouetté dans son orgueil voici deux semaines, la défense meurthe-et-mosellane a aussi sainement réagi dans la Loire. « Collectivement, nous étions vraiment en place, d’autant qu’en face de nous, ce n’était pas un mauvais Roanne. Cet adversaire était même dans son adresse habituelle. Il est rare de vaincre là-bas. »
Le réservoir de confiance à ras bord, le Sluc devra renouveler pareille performance pour espérer punir Pau-Orthez car Linehan manquera encore à l’appel : « Sans notre fer de lance, il faudra faire avec les bouts de fléchette qui nous restent ! » Et plus que jamais, il s’agira de présenter un rideau défensif imperméable afin d’enfermer les Béarnais dans la zone étroite des 70 points encaissés.L’hommage à Laurent Sciarra
« Pau possède une ribambelle de joueurs adroits, un fort potentiel offensif. » Vrai, la formation de Dobbels est la n°1 de pro A aux tirs à deux points. « Elle est également meilleure que nous à trois points », souligne le coach de Gentilly. Ses quatre joueurs majeurs peuvent se montrer efficaces dans tous les compartiments du jeu. Ils ont la panoplie complète des shooteurs. »
Mais ce prétendant aux playoffs manifestera-t-il autant d’ardeur sans son guide Laurent Sciarra, jeune retraité. Pau, en passant par la Lorraine, livrera son premier match sans son étoile ! « Soyons honnêtes, glisse Jean-Luc Monschau, pour obtenir une remarquable adresse, il faut la qualité de passes de Laurent Sciarra. C’est l’occasion de saluer sa belle carrière de joueur. Il a été remarquable à plus d’un titre. C’est certain qu’il va manquer à son équipe. Laurent savait créer les situations de tirs, décaler ses partenaires. »
Une aubaine pour Nancy même si Gipson est un redoutable marqueur-meneur de jeu. Un homme à placer sous haute surveillance sans négliger Bennett, Mendy, Rimac, Joseph. Ce ne sont pas les stars plus connues de l’élite. N’empêche, à l’aller, « nous avons été croqués, physiquement notamment ! Il y a du métier, de l’équilibre. »
Ce serait trop bête de ne pas conforter une place dorée dans le top 4, objectif maintenant avoué du club lorrain. Un résultat final qui lui permettrait d’aborder les quarts de finale en position avantageuse.Alain THIÉBAUT.

Republicain lorrain

L'Élan perd aussi Moncade


Sciarra parti, Moncade blessé, Teddy Gipson se retrouve isolé au poste de meneur, avec Rémi Lesca pour le seconder. Un handicap pour les Palois avant une série de matchs corsés.


Teddy Gipson va se retrouver esseulé au poste de meneur de jeu. photo guillaume bonnaud








Il n'aura pas fallu longtemps pour mesurer le coût et les conséquences du retrait de Laurent Sciarra. Trois jours après que le Varois a rendu short et maillot, Frédéric Moncade fait lui aussi défaut, ce qui place l'Élan dans une situation très inconfortable avec le seul Teddy Gipson pour conduire le jeu et l'espoir Rémi Lesca en roue de secours. La différence entre Sciarra et le Malaussannais, c'est qu'on connaît les vraies raisons de sa défection : lésion au mollet droit, à l'entraînement jeudi soir. La durée de son indisponibilité sera connue lundi, après une IRM.
Didier Dobbels, bien que ne l'ayant pas utilisé lors des quatre derniers matchs de Pro A, comptait relancer Frédéric Moncade. C'est manqué. Et le voilà sans autre solution de rechange que d'investir Demetric Bennett dans un rôle qui ne lui convient pas ou de lancer Rémi Lesca, qui n'a joué que 16 minutes avec les pros cette saison, en fin de match, lors des larges victoires contre Hyères-Toulon, Paris et Le Havre et de la lourde défaite à Chalon.


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Le jeune (20 ans) meneur landais a affiché de gros progrès en N2 et il fréquente le groupe pro, en semaine, depuis le début de la saison. Marge de manœuvre rétrécie
« L'entraînement, c'est une chose, les matchs une autre », relevait Didier Dobbels, avant de connaître la blessure de Moncade, lorsqu'on l'interrogeait sur les solutions qui s'offraient à lui pour seconder Gipson. « Il n'est pas prévu que Rémi bascule sur un contrat pro, mais si nous avons la chance d'être loin devant sur un ou deux matchs, j'espère avoir l'occasion de le tester », poursuivait le coach.
Les circonstances ont réduit aujourd'hui fait monter le Landais d'un cran dans la hiérarchie. Et rétréci la marge de manœuvre de Dobbels

Sud ouest

« Ils ont des cartouches »









Nancy, Gravelines, Orléans : la série de trois matchs qui attend l'Elan est corsée. Les Lorrains viennent de s'imposer à Roanne, les Nordistes, vainqueurs des As, sont en grande forme et Orléans avait montré des signes de renouveau avant d'affronter l'Asvel (voir page 46).
L'hypothèse de voir l'Elan signer un 0 sur 3 n'est pas à écarter. Mais son récent succès sur Hyèreslui permet cependant d'aborder cette série avec sérénité. « Les matchs les plus importants, ce sont ceux qui viendront ensuite, contre Poitiers et à Vichy », avance Dobbels, toujours calé sur l'objectif du maintien.


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Nancy reste un bon souvenir pour les Palois, vainqueurs à l'aller (76-62). « Ce fut notre match référence du début de saison, se souvient le coach. Nous étions parvenus à arrêter leurs joueurs majeurs, Linehan et Akingbala notamment ». Le meneur, blessé, ne sera pas là ce soir. « Son absence change la donne, ils jouent différemment », observe Dobbels. Tremmell Darden, meilleur marqueur de Pro A, est lui toujours fringant, : « C'est un n°3 athlétique comme beaucoup d'équipes aimeraient en avoir, apprécie-t-il. Il a le profil d'un futur MVP. Nancy a bien et vite réagi après sa défaite devant l'Asvel et gagnant à Roanne. Ca prouve que les Lorrains ont des cartouches». Ca tombe mal le soir où l'Elan manque de munitions.

Sud Ouest

Merci bacou

Elan Béarnais: les cousins Lesca en pleine lumière

Par Jean Fauret
Publié le 5 mars 2011 à 04h00
Mis à jour à 10h34

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  Dans le groupe de l'Elan la saison dernière en Pro-B, Florian Lesca (ici à gauche face à Brest), et son cousin Rémi qui émerge au poste de meneur, intègrent de concert le groupe professionnel attendu, ce soir, dans la chaude ambiance lorraine. © Nicolas Sabathier et Jean-Philippe Gionnet.
  
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  Le départ de Sciarra, couplé à la blessure de Moncade, a précipité l'intégration de Rémi et Florian Lesca.
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  Pro-A 20e journée : Nancy (3e) - Elan Béarnais (9e), ce soir 20h à Gentilly
  Le cap des deux semaines sans joueur blessé ne sera finalement pas atteint. C'eut été trop beau ! En fin de séance jeudi soir, c'est au tour de Frédéric Moncade de quitter le groupe, touché au mollet.
  Avant de passer des examens plus approfondis, le meneur qui boitait bas craignait de souffrir d'une bonne déchirure. Un tel diagnostic signifierait au minimum trois semaines sur le flanc. Elles s'ajouteraient aux quatre dernières journées entièrement passées sur le banc par choix du coach. « Sachant que Teddy Gipson revient bien mais n'a pas encore la faculté de tenir seul tout un match, Fred sera forcément mis à contribution », envisageait Didier Dobbels avant d'apprendre le forfait de son second meneur. Sans Moncade pour une ou plusieurs semaines ni Sciarra qui a mis un terme à sa carrière, il ne reste au coach qu'une solution de secours : Rémi Lesca.
  A 20 ans, le Dacquois, leader incontesté de l'équipe de l'Elan qui évolue sur les sommets de la Nationale 2, va être jeté dans le grand bain, sans bouée à la ceinture. « C'est une vraie opportunité pour lui de lancer sa carrière avec les pros », préfère positiver le directeur général Didier Gadou. De « recours possible » comme l'évoquait Dobbels jeudi midi, Rémi, entré en jeu à seulement quatre reprises en Pro-A pour un total de 16 minutes, est devenu un recours obligatoire.
  Les désirs de l'entraîneur qui « était d'attendre deux ou trois journées encore que le classement se décante et que le maintien mathématique se rapproche pour faire des essais et évaluer en match le potentiel de Rémi », sont anticipés. « Car il a beau s'entraîner avec les pros depuis le début de la saison, les entraînements c'est une chose, les matches une autre chose. Les erreurs commises en semaines ne sont sanctionnées, au pire, qu'une d'une bonne engueulade, alors qu'en match...»
  Un Lesca qui peut en cacher un autre puisque Florian, le cousin de 21 ans, a bénéficié du départ anticipé de Sciarra pour signer son premier contrat professionnel. En conséquence, il honorera ce soir sa première sortie annuelle avec l'équipe fanion, après avoir été un élément à part entière de l'aventure en Pro-B (121 minutes au total dont six matches à plus de neuf minutes). « Avec Flo, il n'y aura aucun problème d'intégration, témoigne Dobbels. Il s'entraîne régulièrement avec nous depuis un an et demi. L'aspect le plus délicat à gérer concerne le côté émotif qui peut surgir les jours de match. Mais je connais ses qualités, je sais ce qu'il peut nous apporter. On va pouvoir juger de son potentiel Pro-A sur les quatre mois restants. Flo et Rémi sont tous les deux dans un registre de progression. Qu'ils profitent de la situation au maximum ».
  
  ===> Contrôler Akingbala et Darden
  L'Elan aborde en Lorraine une série de trois matches compliqués (suivront Gravelines au Palais avant d'aller à Orléans). « Quand Nancy développe son jeu, ça peut faire mal », prévient Didier Dobbels, conscient que l'absence du meneur titulaire John Linehan bride un peu le basket lorrain. « Sans Linehan, le ballon circule plus vite, il est lâché plus rapidement. »
  Le duel que vont se livrer le pivot nancéien Akin Akingbala (11,8 points ; 8,5 rebonds ; 1,4 contre) et son homologue Béarnais Chinemelu Elonu (5,3 points ; 4,8 rebonds ; 1,3 contre) devrait peser lourd dans la balance. Pas uniquement parce que les deux Nigérians sont des athlètes physiquement hors normes. « Si 'Junior' parvient à défendre sans faire de fautes rapides, ce ne peut être que positif, prévient Dobbels dont les craintes se situent aussi sur l'aile avec la présence côté Lorrain du dangereux Tremmel Darden (18 points ; 6,6 rebonds ; 2,4 passes). « On ne le voit pas tout le temps, mais au final il est présent dans toutes les colonnes statistiques », note le coach au sujet « de ce candidat sérieux au titre de MVP de la saison.
  C'est l'ailier rêvé de tous les entraîneurs ». Antoine Mendy sera le premier missionné pour ralentir le phénomène qui reste sur évaluation à 29 lors du succès du SLUC à Roanne (74-78).
  
  La République des Pyrénées
  

Akin parti pour retourner la feuille de stats!

à lire la feuille de stat c'est presque du double double en dix minutes, 19 d'eval en 8 minutes

Mais Jlm fais touner.

Pas plus mal.

En tout cas il a tout fait, shoots, contres, interceptions, rebonds

Au fait James j'ai jamais compris comment on pouvait avoir l'éval' en direct des joueurs?

Tu peut me briefer stp.


EN tout cas un qui creuse et pioche c'est R.Davis. En 10 min, 1 sur 7 aux shoots . Mais la Chorale domine. Pour l'instant.

Moussa nous sort aussi un de ses meilleurs matchs.

Badiane et en train de faire la même ke Akin, c'est bon sa

Personne pour me rencarder sur comment connaître un éval' en direct?

5NancyBoy4 a écrit:

Personne pour me rencarder sur comment connaître un éval' en direct?

et bien tu fais les points + les rebons + passes decisives + fautes provoquées + contres - balles perdues - fautes

Un grand merci à toi qwyz, j'voyais ca plus complexe.

j'ai aussi oublié + interception - contres subies (contabilisés en balles perdues je crois)

qwyz a écrit:

5NancyBoy4 a écrit:

Personne pour me rencarder sur comment connaître un éval' en direct?

et bien tu fais les points + les rebons + passes decisives + fautes provoquées + contres - balles perdues - fautes

(Bonjour)


Pour l'évaluation, en fait, il s'agit plutot de :


Points + rebonds + passes décisives + contres + interceptions - balles perdues - shoots loupés - lancers manqués = évaluation du match


Les fautes provoquées ne rentrent pas dans le calcul en France pareil pour les shoots contrés qui reviennent à un shoot loupés.



Moumoute57, un fan des stats qui passait par là.



(Au revoir)

On aura pas un match tranquille encore ce soir

Allez Darden , c'est le moment pour sortir de ta boite !