[ProA - J17] SLUC Nancy bat Paris-Levallois, 89-64 (34-38)

5NancyBoy4 a écrit:

Supporter Couguars a écrit:

Elan de Chalon....

OH P****N !

J'me boufferai, J'ME BOUFFERAI!!

Tu sais, ça peut arriver à tout le monde...t'inquiète pas!

Sinon, pas de réactions des supporters présents à Gentilly, tous le monde est pris dans la neige

il sont bloqué dans la salle par 2 mètres de neige

on distribue déjà des pailles pour tirer le premier qu'ils vont devoir manger pour survivre

gerard mentor a écrit:

il sont bloqué dans la salle par 2 mètres de neige

on distribue déjà des pailles pour tirer le premier qu'ils vont devoir manger pour survivre

Tu regardes trop Lost

j'arrive... j'arrive avec mon traineau

de retour du match
Quel 3eme quart temps

Incroyable la defense, l'attaque tout passe !
Une équipe qui n'en veut et qui fait plaisir à voir
Je veux juste savoir se qu'ils boivent ds les vestiaires à la mi-tps


Le 4eme on enchaine et c'est la fête
Saidou y rentre à 3mn 22 de la fin et il marque 8 pts ... plus de 2pts/mn
On le laisse 40 mn il marque 80Pts
Les 3pts il les marque du même endroit exactement !


Bon je passe sous silence la première mi-tps .....
On a du mal à lancer la machine !

5NancyBoy4 a écrit:

Supporter Couguars a écrit:

Elan de Chalon....

OH P****N !

J'me boufferai, J'ME BOUFFERAI!!

Suis ridicule et je m'autoban 15 min! Paf! Comme ça!

Sebond a écrit:

gerard mentor a écrit:

il sont bloqué dans la salle par 2 mètres de neige

on distribue déjà des pailles pour tirer le premier qu'ils vont devoir manger pour survivre

Tu regardes trop Lost

c'est plutôt 5NancyBoy4 qui m' inspiré

Je suis rentré. 4000 spectateurs annoncés mais en fait il n'y en avait pas 3000. début HS : mon fils a mis 2h30 pour faire NANCY boufflers- sortie autoroute à HOUDEMONT.Fin du HS.

Pour le match, certaine ressemblance avec celui contre la SIG. Départ poussif et l'explosion en seconde mi-temps. JEFF en dedans en attaque mais a limité le senor VASSALLO. DICKENS toujours plus ou moins en dehors de ses pompes. STEED a limité BALL et a été productif en attaque. STEPHEN a fait du BRUN comme d'habitude. Activité des deux cotés du terrain mais pratiquement pas de shoots pris : défense et passes lasers, vision de jeu.
Pas beaucoup vu JOHN. LESLY et SEYDOU sont rentrés avec la bave aux lèvres. MARKUS a eu un match difficile mais AKIN a gobé 14 rebonds; les moufles auraient du rester au vestiaire pour nos deux pivots.

Arbitrage autoritaire de Chantal JULLIEN et de ses 2 acolytes et comme d'habitude en faveur des nanceiens dès que ceux-ci sont passés devant.

J'oubliais RICARDO c'est à dire le principal acteur de cette victoire encore un double double au compteur.

Merci Dedemax pour tes commentaires...

Steed Tchicamboud fait vraiment une saison sympa,continue comme ça

vince a écrit:

Seydou à mis la misére à Albicy en 8 min,Albicy un jeune meneur de 19 ans qui joue 22min en moyenne alors que Seydou à du mal à en avoir 5.

T'étais au match?

Le PL ne défendait plus du tout à la fin, les stats de Seydou ce soir ne veulent (hélas) rien dire.

Rasheed Wallace a écrit:

vince a écrit:

Seydou à mis la misére à Albicy en 8 min,Albicy un jeune meneur de 19 ans qui joue 22min en moyenne alors que Seydou à du mal à en avoir 5.

T'étais au match?

Le PL ne défendait plus du tout à la fin, les stats de Seydou ce soir ne veulent (hélas) rien dire.

Ceci dit il a mis deux beaux gros shoots super propres... Bon dans un contexte de fin de match ou ça défendait plus, mais c'est deux tirs qui vont lui faire un bien fou au moral.

Ca je suis d'accord, et perso je milite depuis longtemps pour un temps de jeu plus important pour N'Joya.

Tout comme pour Bengaber d'ailleurs, dont la fonte du temps de jeu d'un seul coup (alors que son début de saison avait été très convaincant) m'est toujours totalement incompréhensible.
Ah, Monschau et ses "têtes" (de turc, parfois)...

L'addition s'est fait attendre



D'abord besogneux et maladroit, le SLUC a attendu une fois encore la seconde mi-temps pour mettre le tarif. Paris a craqué sous les inspirations nancéiennes retrouvées. La bonne série continue.




NANCY._ Le SLUC a refait le coup de Strasbourg. D'abord laborieux, besogneux, passif, maladroit jusqu'à la mi-temps puis subitement rapide, aérien, farouchement agressif et précis pour faire basculer la rencontre en six minutes sous le panache de son leader Ricardo Greer qui aurait sans doute encore fait exploser tous les compteurs s'il avait joué plus d'une minute dans le quatrième quart-temps (23 pts, 11 rbds, 4 passes, 7 fautes provoquées). Vous avez dit MVP ?
Le score passa de 40-44 (24e) à 63-49 (30e). sous les coups d'accélérateur d'une équipe nancéienne subitement métamorphosée, subitement inarrêtable et qui verrouilla son panier avec un Akingbala enfin revenu à son meilleur niveau (14 rebonds).
Un groupe qui, comme par enchantement, retrouva aussi de l'adresse extérieure (Jeff Greer, Tchicamboud et N'Joya) pour faire exploser une défense parisienne qui lâcha, qui craqua vite, sans doute trop vite : « Le comportement d'Hamilton est scandaleux. Il s'en foutait. On va s'expliquer à Paris. Son attitude est inadmissible », commentera un Jean-Marc Dupraz en colère après que son équipe ait renoncé. Laminés, les Parisiens se mirent en effet à faire des fautes inadmissibles, Ekanga, Prowell et Elliott sortant pour cinq fautes. Le SLUC avait craché son venin. Il termina en apothéose.

Début poussif
Et pourtant, une fois encore, et ça devient chronique, il avait débuté la rencontre sans rythme, sans punch, sans densité athlétique. Et Paris, qui allait tout de même perdre 13 balles en première mi-temps (c'est énorme), fut évidemment tout heureux de rentrer aux vestiaires avec quatre points d'avance (34-38) : « C'est une équipe qui a su nous faire déjouer. Imaginez qu'à la pause, nous avions pris 21 tirs de plus que notre adversaire et nous avions marqué un panier de moins. Mais, on s'est accroché, on a tenu le rebond », fera remarquer Jean-Luc Monschau après le match.
Vassallo n'avait pas encore cartonné (6 pts), le rebond avait été nancéien grâce à Ricardo Greer (6) mais Paris avait plutôt bien défendu. En tout cas, bien mieux que des Nancéiens enfoncés à l'intérieur par... Jean Baptisten, lequel avait trouvé les paniers faciles et provoqué les fautes de Slaughter et Akingbala.
Le SLUC, qui allait tourner en première mi-temps avec un minuscule 31% d'adresse, dont un incroyable 1/13 à trois points et un...12/23 à deux points, avait été trahi par ses shooteurs Dickens, Cox et Jeff Greer qui, ciblé par la défense parisienne et occupé par le sort de Vassallo, avait couru après sa réussite des dernières semaines. Quant aux intérieurs, il avait trop subi la loi de Jean Baptiste et de Hamilton pour appuyer là où ça fait mal. Seule une claquette-dunk d'Akingbala fit sortir Gentilly de sa torpeur (20-26, 12e).
Et malgré les efforts et le talent individuel de Tchicamboud, Nancy à la traîne, avait encore attendu que ne sonne le réveil à la pause pour enfiler le bleu de chauffe et monter en régime avec en tête un Ricardo Greer au four et au moulin.
Comme si cette équipe savait qu'elle avait de la marge. A la sortie, un succès sans bavure (+ 25). Le SLUC peut même prendre la troisième place, ce soir, si Gravelines perd devant l'ASVEL. Que demande le peuple..?

Gilles GAIHIER




Est republicain

Le SLUC recycle les déchets



Maladroits en première période, les Nancéiens ont évité le pire grâce à leur présence au rebond offensif. Au final, les deuxièmes chances ont pesé lourd...


zoom
Le Nigérian Akin Akingbala s'est avéré très précieux dans la raquette, gobant notamment 14 rebonds. - Photos Patrice SAUCOURT




NANCY._ L'Histoire a parfois la délicatesse de resservir les bons plats... Pour l'anecdote, c'est contre Paris, en octobre 2005, que le SLUC avait établi son record de rebonds offensif (25) sur un match. Une marque que les Nancéiens n'ont pas améliorée, hier, mais ils s'en sont approchés très près. Et surtout, les vingt et un ballons arrachés dans la raquette parisienne ont eu une influence incontestable sur l'issue de la rencontre. Vingt et un rebonds offensifs, cela signifie vingt et une possessions supplémentaires. Au final, le SLUC aura tenté 79 tirs, contre seulement 52 pour son adversaire. Même avec des pourcentages très moyens, Nancy ne pouvait pas perdre.
Des rebonds offensifs qui ont également servi de bouée de sauvetage, lorsque le SLUC avait du mal à maintenir sa tête hors de l'eau.

Concentration et position
« A la mi-temps, ce sont nos quatorze rebonds offensifs qui nous ont permis de rester dans le match », affirmait Jean-Luc Monschau. « Sans ces deuxièmes chances, on aurait pu être nettement plus distancés à la pause », insistait pour sa part Steed Tchicamboud.
La performance du SLUC dans ce domaine n'est pas totalement due au hasard. « Le coach nous en avait beaucoup parlé cette semaine à l'entraînement. Paris-Levallois est souvent en déficit dans ce domaine... » Les Nancéiens se sont donc engouffrés dans la brèche. Ricardo Greer et Akin Akingbala en tête, eux qui ont aspiré quatorze rebonds offensifs à eux deux.Sur le tableau noir, les consignes étaient claires. Encore fallait-il les appliquer sur le parquet... « Nous savions que Paris n'est pas une équipe qui protège très bien son rebond », ajoutait Ricardo Greer, « nous savions donc que nous allions avoir des opportunités et des deuxièmes chances. Mais après, il faut les prendre ces rebonds... Pour cela, il faut être très concentré et savoir se positionner dans la raquette ». Et le capitaine du SLUC sait de quoi il parle, lui qui a inscrit quasiment la moitié de ses vingt-trois points en s'octroyant lui-même une deuxième chance. C'est ce qui s'appelle recycler les déchets...

Thomas SIMON




Est republicain

La météo refroidit le public


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ESPOIRS. C'est cet après-midi, à partir de 16 h 15 au Palais des sports de Gentilly, que les espoirs du SLUC rencontreront leurs homologues de Paris-Levallois.
EUROCUP. Le « last 16 » de l'Eurocup a débuté mardi dernier. Lors de la première journée, les deux anciens adversaires du SLUC se sont imposés sur leur parquet. Panellinios a dominé les Allemands de Bamberg (70-62) et Gran Canaria a battu le Turk Telekom Ankara d'un certain Lamayn Wilson (73-65).
BUS. Petit rappel ! Le club des supporters du SLUC organise un déplacement en bus, afin d'assister à la rencontre Chalon-SLUC, samedi prochain (à 20 h). Le départ est fixé à 14 h 30 à la Cascade. Le club des supporters informe les personnes intéressées qu'il reste une vingtaine de places dans le deuxième bus. Renseignements au 06.47.01.22.65. L'équipe de Jean-Luc Monschau sera d'ailleurs bien soutenue à cette occasion, puisque le Club Affaires Stanislas effectuera lui aussi le déplacement en Bourgogne.
MÉTÉO. On peut le comprendre, les mauvaises conditions de circulation en Meurthe-et-Moselle, hier soir, ont découragé bon nombre de spectateurs qui avaient prévu de se rendre au Palais des sports de Gentilly. Ce qui explique en grande partie que le SLUC ait réalisé hier l'une de ses plus petites affluences de la saison.

T. S. (Thomas SIMON)

Est republicain

« On s'est accroché »



Steed Tchicamboud : « Notre début de match a encore été laborieux, mais je ne pense pas que ce soit un problème de concentration. Nous étions surtout maladroits. C'est le basket. Si on défend quarante minutes comme nous l'avons fait en deuxième mi-temps, il ne sera pas facile de nous battre... »
Marcus Slaughter : « Nous n'avons pas mis assez d'intensité en première période. A la mi-temps, nous avons compris que pour gagner ce match, il allait falloir défendre. C'est malheureusement une situation qui se produit trop souvent cette saison. »
Jean-Luc Monschau : « Si notre première mi-temps a été difficile, c'est d'abord à cause de la qualité de l'adversaire et notre maladresse. On s'est accroché, on a été présents au rebond offensif et on a retrouvé de l'intensité défensive et de l'adresse après le repos. »
Jean-Marc Dupraz (coach Paris-Levallois) : « Si on baisse un peu les bras, c'est principalement la faute de deux joueurs. Je n'en citerai qu'un : Hamilton. On va régler ça à Paris. Son attitude a été inadmissible, sans d'ailleurs que j'en connaisse la raison. Pour les mecs qui se sont défoncés à côté de lui, ce n'est pas normal. »

Est republicain

SLUC, une bonne affaire



Encore une fois, les Nancéiens ont alterné le meilleur et les passages ternes. Mais au bout du compte, le SLUC a décroché sa cinquième victoire en six matches…




Après trois échecs, on ne prétendra pas que ce SLUC a retrouvé toute son hégémonie à la maison. N’empêche, ces deux succès consécutifs sur Strasbourg et Paris ont mis du beurre dans les épinards. Sans constance technique mais toujours avec persévérance, les Lorrains regagnent le terrain perdu.
Décidément, ces temps-ci, Nancy a bien du mal à démarrer. Il nous offre même un basket en pointillés sans panache avant que la pause n’intervienne… Mais, hier soir, on a atteint les sommets de l’indigence lors d’un premier quart-temps mièvre, débordant de déchets ! Un tir sur sept à trois points seulement, quatre sur onze à l’intérieur, quatre paniers en sept minutes, le SLUC accumulait les statistiques insipides, oubliant qui plus est, de sauter et de jeter un œil sur l’adversaire. 14-23 au bout de dix minutes transparentes, Nancy pouvait remercier… Paris d’avoir gaspillé des possessions à un moment opportun, quand l’écart montait. Les visiteurs de la Capitale, très adroits par ailleurs (75 % de réussite), pouvaient se mordre les doigts d’avoir perdu huit ballons en cet acte dont on souviendra…
Il est vrai que le trio Saughter, Dickens, Akingbala traînait ses centimètres sans se sentir trop concerné. On ne pouvait pas compter sur eux pour injecter du dynamisme dans cette partie sans rythme, décousue, émaillée de bévues techniques. Au crédit des Lorrains, on mettra cette défense parisienne assez encline à la générosité. La multiplication des aides, et certaines impasses osées, anéantissaient les percées, trop systématiques, de Ricardo Greer (4/12 à la mi-temps) et ses potes.
Vitesse, mordant, envie
Il n’était pas difficile de mieux faire dans les minutes suivantes. D’autant que la formation de Jean-Marc Dupraz se laissait aller à une décontraction étonnante. Le coach de Paris, bien confiant, lançait son équipe… B qui, d’ailleurs, bégayait son jeu comme si le rival du SLUC refusait de s’envoler.
A force d’insister, de manifester aussi de la volonté par Ricardo Greer, Brun, Tchicamboud, Nancy profitait des errements de l’opposant. Ce 8-1, en fin de deuxième quart-temps, limitait la casse. Et avec un piteux 31 % d’adresse, on se disait que le SLUC n’était pas si mal loti (34-38). En gommant les gestes exagérés et les raids solitaires, les favoris d’un Gentilly, incomplet pour une fois, pouvaient aisément retrouver son standing de supérieur hiérarchique.
Du reste, les sauveurs attitrés, les frères Greer se chargeaient de métamorphoser ce duel serré en démonstration. Lors de leur passage salutaire aux vestiaires, les hommes de Monschau avaient récupéré de la vitesse, du mordant, de l’envie. Celle de se passer la balle. Tant de courses et de puissance déployée à l’arrière semaient la panique dans les rangs de Vassello, deuxième marqueur du championnat plutôt éteint. Le 26-10 du troisième quart-temps prenait des allures de fessée. Ou de KO. Paris était perdu, écrabouillé, aplati. Le scénario habituel se répétait donc. Nancy avait attendu d’être malmené pour afficher l’étendue de ses vertus.
Sans spécialement briller, les Lorrains affichaient un flatteur 63-49 à l’entrée de l’ultime ligne droite qui se révélait vraiment droite. Paris de plus en plus muet (63 tentatives à 39, 30 ^e), assommé au rebond, jouait les victimes complaisantes. Les arbitres se chargeaient d’entériner l’affaire (trois visiteurs éliminés, deux antisportives), on se demande pourquoi…
Nancy possédait assez de marge pour prendre un départ de tortue… Ce succès, précieux mathématiquement (les rivaux directs se rencontrent ce soir : Gravelines - Le Mans, Orléans - Cholet), fera oublier le chemin chaotique qui a permis de le décrocher.
Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Ricardo Greer est passé par là




L’homme du match. On lui reprochera de trop insister (18 tirs pris à 39 % d’adresse) mais derrière, il y a quand même 23 points, soit 25 % de l’équipe, un 7 sur 8 aux lancers francs, 7 fautes provoquées, 11 rebonds et 4 passes décisives. Soit 28 d’évaluation.
Le bide. On a le choix entre Cox (9 minutes, 0 point, - 4 d’évaluation), Dickens (1 sur 8 aux tirs, - 4 aussi) et Slaughter (2 paniers sur 8). Côté Paris, on ajoutera la star Vassallo, le deuxième marqueur de pro A a fini à 33 % d’adresse et 13 points…
Les chiffres. Les 14 rebonds d’Akingbala et les 47 prises du SLUC. Enorme.
La statistique. 22 balles perdues pour Paris. Une œuvre collective.
La déclaration. « Quand le match bascule-t-il ? Au moment où deux joueurs majeurs démissionnent dont Hamilton. C’est inadmissible de se comporter de la sorte quand on est professionnel. On va régler les problèmes. Le trou d’air est venu de ça, les autres qui se sont défoncés ont fini par avoir le moral à zéro. S’ils ne veulent plus jouer pour cette équipe, ils peuvent partir… » De Jean-Marc Dupraz, coach de Paris.
A. T.

Republicain lorrain

bacou a écrit:

L'addition s'est fait attendre



D'abord besogneux et maladroit, le SLUC a attendu une fois encore la seconde mi-temps pour mettre le tarif. Paris a craqué sous les inspirations nancéiennes retrouvées. La bonne série continue.




NANCY._ Le SLUC a refait le coup de Strasbourg. D'abord laborieux, besogneux, passif, maladroit jusqu'à la mi-temps puis subitement rapide, aérien, farouchement agressif et précis pour faire basculer la rencontre en six minutes sous le panache de son leader Ricardo Greer qui aurait sans doute encore fait exploser tous les compteurs s'il avait joué plus d'une minute dans le quatrième quart-temps (23 pts, 11 rbds, 4 passes, 7 fautes provoquées). Vous avez dit MVP ?
Le score passa de 40-44 (24e) à 63-49 (30e). sous les coups d'accélérateur d'une équipe nancéienne subitement métamorphosée, subitement inarrêtable et qui verrouilla son panier avec un Akingbala enfin revenu à son meilleur niveau (14 rebonds).
Un groupe qui, comme par enchantement, retrouva aussi de l'adresse extérieure (Jeff Greer, Tchicamboud et N'Joya) pour faire exploser une défense parisienne qui lâcha, qui craqua vite, sans doute trop vite : « Le comportement d'Hamilton est scandaleux. Il s'en foutait. On va s'expliquer à Paris. Son attitude est inadmissible », commentera un Jean-Marc Dupraz en colère après que son équipe ait renoncé. Laminés, les Parisiens se mirent en effet à faire des fautes inadmissibles, Ekanga, Prowell et Elliott sortant pour cinq fautes. Le SLUC avait craché son venin. Il termina en apothéose.

Début poussif
Et pourtant, une fois encore, et ça devient chronique, il avait débuté la rencontre sans rythme, sans punch, sans densité athlétique. Et Paris, qui allait tout de même perdre 13 balles en première mi-temps (c'est énorme), fut évidemment tout heureux de rentrer aux vestiaires avec quatre points d'avance (34-38) : « C'est une équipe qui a su nous faire déjouer. Imaginez qu'à la pause, nous avions pris 21 tirs de plus que notre adversaire et nous avions marqué un panier de moins. Mais, on s'est accroché, on a tenu le rebond », fera remarquer Jean-Luc Monschau après le match.
Vassallo n'avait pas encore cartonné (6 pts), le rebond avait été nancéien grâce à Ricardo Greer (6) mais Paris avait plutôt bien défendu. En tout cas, bien mieux que des Nancéiens enfoncés à l'intérieur par... Jean Baptisten, lequel avait trouvé les paniers faciles et provoqué les fautes de Slaughter et Akingbala.
Le SLUC, qui allait tourner en première mi-temps avec un minuscule 31% d'adresse, dont un incroyable 1/13 à trois points et un...12/23 à deux points, avait été trahi par ses shooteurs Dickens, Cox et Jeff Greer qui, ciblé par la défense parisienne et occupé par le sort de Vassallo, avait couru après sa réussite des dernières semaines. Quant aux intérieurs, il avait trop subi la loi de Jean Baptiste et de Hamilton pour appuyer là où ça fait mal. Seule une claquette-dunk d'Akingbala fit sortir Gentilly de sa torpeur (20-26, 12e).
Et malgré les efforts et le talent individuel de Tchicamboud, Nancy à la traîne, avait encore attendu que ne sonne le réveil à la pause pour enfiler le bleu de chauffe et monter en régime avec en tête un Ricardo Greer au four et au moulin.
Comme si cette équipe savait qu'elle avait de la marge. A la sortie, un succès sans bavure (+ 25). Le SLUC peut même prendre la troisième place, ce soir, si Gravelines perd devant l'ASVEL. Que demande le peuple..?

Gilles GAIHIER




Est republicain

Merci Bacou , petite rectification, Gravelines reçoit Le MSB et pas l'ASVEL. Pas le même calibre

bacou a écrit:

SLUC, une bonne affaire





s. Les arbitres se chargeaient d’entériner l’affaire (trois visiteurs éliminés, deux antisportives), on se demande pourquoi…

Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Il était au match Monsieur Thiébaut ? parce que les 2 antisportives y a pas à discuter elles y sont, pareil pour les 3 parisiens sortis pour 5 fautes, y a pas de discutions possibles, les gars ont complètement pété les plombs en seconde période en faisant des fautes grossières. J'irai même à l'opposé de monsieur Thiebaut en disant que les arbitres ont été assez sévères avec nos 2 intérieurs Marcus et Akin.....

Rasheed Wallace a écrit:

vince a écrit:

Seydou à mis la misére à Albicy en 8 min,Albicy un jeune meneur de 19 ans qui joue 22min en moyenne alors que Seydou à du mal à en avoir 5.

T'étais au match?

Le PL ne défendait plus du tout à la fin, les stats de Seydou ce soir ne veulent (hélas) rien dire.

On appel ça le "garbage time" mon cher Rasheed,et evidemment que cela n'a aucune valeur de faire ses stats à ce moment précis,mais bon les 8pts faut quand méme les mettre,et j'ai juste fait cette remarque pour faire une comparaison entre la situation du jeune Albicy au PL qui joue 20 min en moyenne dérriére Jimal Ball et celle de Seydou.

A la décharge de Monschau pour Bengaber,faut dire aussi que son rendement est anecdotique.
Pendant la blessure de Jeff il à eu 4 matchs consécutifs avec un temps de jeu conséquent sans forcemment en faire bon usage.

35 min à Rouen/5 d'éval

13 min à L'Asvel/1 d'éval

18 min à Hyéres/0 d'éval

C'est pas folichon quand méme,méme pour un role player défensif.

Bengaber ne jouera pas plus cette saison, il apporte de moins en moins sur le terrain.
Mais a sa décharge, ce ne doit pas être évident de ciré le banc 2 matchs sur 3.
A +20 il le fait rentrer tout juste là ou N'Joya a montré ses qualités.

faut dire que jouer derrière un Ricardo indispensable et un Jeff qui flambe depuis 7-8 matchs , pas facile de trouver du temps de jeu

Bon ben Dickens c'était encore pas ça...

Une 4éme victoire d'affilées, bravo à l'équipe!
Une 5éme victoire la semaine prochaine serait trés trés logique

On a un superbe équipe avec une profondeur incroyable, si il y en a qui se troue il y en a toujours qui déchirent tout. (une belle rime en -ou)