[ProA - J17] SLUC Nancy bat Paris-Levallois, 89-64 (34-38)

SPORTS LORRAINE - Basket-ball Pro A : avant SLUC - Paris-Levallois, vendredi (20 h) à Gentilly
Slaughter en mode majeur



Décevant en début de saison, l'intérieur américain a un impact énorme depuis quelques matches. Comme la saison dernière au Havre.


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Marcus Slaughter règne dans la peinture depuis plusieurs matches. Sur les trois derniers, l'intérieur américain tourne même à une évaluation moyenne de 29 ! Stratosphérique en ce moment, l'Américain... - Photo Patrice SAUCOURT



NANCY._ En regardant ses prestations au tout début de la saison, certains se sont certainement posé des questions. C'est qu'en voyant Marcus Slaughter tourner à cinq points et moins de quatre rebonds sur les trois premiers matches de Pro A, il était légitime de se demander où était bien passé le joueur d'impact qui avait été - de loin - numéro un à l'évaluation du championnat, la saison dernière, sous le maillot havrais (21,5) et avait pris une part essentielle dans le maintien du club normand.
A l'évocation de ce début de saison cahin-caha, le joueur écarquille d'abord les yeux, assure en substance qu'il lui était difficile de faire énormément d'étincelles en jouant une quinzaine de minutes par match sur ses premières sorties officielles. Mais quelques instants plus tard, il admet que cette entame l'avait un peu désarçonné. « J'en ai parlé à mon agent, à mon père car j'étais frustré et cela me trottait dans la tête. Ils m'ont dit de continuer à faire ce que j'avais à faire, de bosser dur à l'entraînement et que cela paierait. J'ai fait en sorte de ne pas changer mes habitudes, de continuer à faire les mêmes choses, manger les mêmes choses... »
En se disant que cela finirait bien par rigoler. Et cela n'a pas trop tardé. Au fil des matches, Marcus Slaughter a commencé à retrouver son habit de lumière du Havre. Depuis janvier, il tourne à plus de 21 d'évaluation toutes compétitions confondues et est même stratosphérique depuis trois matches, avec une évaluation moyenne de 29 !

« Je n'ai rien gagné »
Samedi dernier, l'ancien universitaire de San Diego State a ainsi sorti un match de mammouth face à Strasbourg, compilant 18 pts, 19 rebonds et une évaluation de 37. « J'ai fait un peu comme Shawn Marion (NDLR : l'ailier fort des Dallas Mavericks) » s'amuse Marcus Slaughter. « Il court, il marque, il prend des rebonds et c'est un peu ce que j'ai fait. Ricardo (Greer), Steed (Tchicamboud), John (Cox) m'ont donné de bons ballons et j'ai pu marquer des paniers faciles. »
De quoi faire grimper la jauge de confiance et faire taire ceux qui pensaient qu'après avoir brillé dans des équipes jouant le maintien (Gravelines en 2007/2008, Le Havre la saison dernière), l'intérieur aurait du mal à s'imposer dans un club habitué aux premières loges. « Mais je n'avais pas peur de ça », coupe-t-il. « Au contraire, je me disais qu'en signant dans une équipe comme ça, ce serait plus facile car la saison dernière, je concentrais toutes les attentions. Là, c'est plutôt Ricardo qui est dans ce cas. Je suis un peu plus en arrière-plan et c'est plus facile de prendre des rebonds, marquer... »
Mais si cet impact n'est, on s'en doute, pas pour lui déplaire, l'Américain a surtout envie de vivre de grands moments collectifs. « Je n'ai rien gagné », sourit-il. Il aimerait que cela change et, notamment, soulever le trophée de champion, à Bercy. Mais on en est encore loin. Pour l'heure, seul le match face au Paris-Levallois focalise l'attention des Nancéiens. A l'aller, Marcus Slaughter avait rendu une copie bien terne, avec 6 pts et 3 rebonds en 12'. Mais depuis, Marcus a passé la vitesse supérieure.

Anthony GUILLE



Est republicain

Soirée galette à Gentilly



NANCY._ Après l'effort, le réconfort... Alors que deux séances figuraient à leur programme, hier, les Nancéiens ont joué les prolongations à Gentilly pour déguster la traditionnelle galette des rois du club des supporters. Un moment de partage et de convivialité.
LOCATION. La location pour SLUC - Paris-Levallois, vendredi (20 h) à Gentilly, débute aujourd'hui au Palais des sports Jean-Weille. Elle fonctionne jusqu'à vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h, et sera comme d'habitude ouverte en parallèle dans les réseaux Ticketnet et Francebillet. Prix des places à partir de 8 €.
DOWDELL. Recruté par Malaga il y a quelques jours, Zabian Dowdell a fait ses débuts dans son nouveau club, le week-end dernier en Liga ACB. L'ancien meneur du SLUC, champion de France avec le club nancéien en 2008, n'a joué que 10 minutes pour 2 pts (1/3 aux shoots) et 1 rebond lors du succès face à Manresa (79-74). Une petite mise en route avant de faire ses débuts en Euroligue, ce soir, sur le parquet du CSKA Moscou.
ARBITRES. Voici les arbitres qui officieront lors des prochains matches du SLUC. Vendredi, c'est le trio Julien-Guédin-Dubois qui sera au sifflet, alors que le match à Chalon, le 6 février, sera arbitré par MM. Chambon, Betton et Laplace. Quant au choc face au Mans, le 12 février, il sera arbitré par MM. Mateus, Gasperin et Gréva.

Est republicain

Merci bacou
Si seulement Dickens suivait le même chemin en régularité...

Sebond a écrit:

Merci bacou
Si seulement Dickens suivait le même chemin en régularité...

Dickens a loupé ses deux derniers matchs donc logiquement il devrait cartonner à celui là... Il est à 33% de matchs réussis!

Un petit match sympa demain, je m'inquiéte pas trop de Vassallo car Jeff peut le contenir vu sa forme actuelle, celui qui m'inquiéte plus c'est Hamilton il est monstrueux depuis 2 mois et c'est un pivot trés mobile qui protége bien sa balle. Autrement dit il provoque bcp de fautes et connaissant nos deux pivots et leur tendance à mettre la main où il faut pas, j'ai un peu peur qu'il nous fasse du dégât ce grand Hamilton.

« Je suis un gars confiant »



Inconnu à son arrivée en France, Angel Daniel Vassallo n'a pas mis longtemps à prendre ses marques. Deuxième meilleur marqueur de Pro A, l'international portoricain voit haut.


Angel Daniel Vassallo : « Je veux être le meilleur joueur de la Ligue et amener mon équipe au plus haut niveau. Si j'y arrive, j'obtiendrai la reconnaissance. Mais j'ai toujours raisonné de cette manière, j'ai toujours eu cette mentalité. »




NANCY._ S'il existait un hit-parade des révélations de la saison, il postulerait incontestablement pour la première place. Illustre inconnu à son arrivée en France, quelques semaines après avoir fini son cursus universitaire américain et avoir effectué un court passage dans le club portoricain de Criolos de Caguas, Angel Daniel Vassallo suscitait de la curiosité mâtinée de scepticisme. Mais l'international portoricain a vite levé tous les doutes à son sujet.
Deuxième meilleur marqueur du championnat derrière le Varois Derrick Obasohan, le jeune ailier parisien (23 ans) est un des artisans principaux du bon début de saison du promu, confortablement installé au milieu de tableau. Mais Vassallo a des ambitions plus hautes encore. Interview.
- Angel Daniel Vassallo, Paris-Levallois est au milieu de tableau, vous êtes deuxième meilleur marqueur de Pro A. On imagine que votre début de saison vous satisfait...
- C'est bien, même si on aurait pu faire mieux. On a perdu quelques matches qu'on aurait pu gagner. C'est le basket, il faut juste qu'on essaie de corriger certaines choses pour la deuxième partie de saison. Mais tant que l'équipe continuera à progresser, ça ira...
- Dès votre arrivée en France, vous vous étiez en quelque sorte autoproclamé MVP (meilleur joueur) du championnat en puissance. Cela avait surpris à l'époque, car personne ne vous connaissait. C'est parce que vous avez une grande con- fiance en vous que vous avez tenu de tels propos ?
- Oui, je suis un gars confiant. Je veux être le meilleur joueur de la Ligue et amener mon équipe au plus haut niveau. Si j'y arrive, j'obtiendrai la reconnaissance. Mais j'ai toujours raisonné de cette manière, j'ai toujours eu cette mentalité. C'est ce qui me fait grandir et ce qui me donne encore plus de motivation.

« Essayer de remporter le titre »
- Quels sont les objectifs que vous vous êtes fixés cette saison ?
- Sur le plan personnel, jouer du mieux que je peux. Collectivement, gagner le maximum de matches pour essayer de remporter le titre de champion. On a une bonne équipe, si on reste soudés, pourquoi pas ?
- Et au-delà, avez-vous pensé à votre avenir, à l'endroit où vous auriez envie de jouer la saison prochaine ?
- Non. Je vis le moment présent. Mes pensées ne vont pas au-delà du match de Nancy.
- Parlons donc de Nancy. Vous vous déplacez dans la peau de l'outsider. C'est quelque chose que vous avez l'air d'apprécier, puisque l'équipe est allée gagner chez de grosses cylindrées comme Roanne, Villeurbanne, et a failli l'emporter à Orléans...
- C'est vrai qu'à partir du moment où l'équipe monte de Pro B, elle a souvent le costume d'outsider. Mais ce n'est pas plus mal. Cela fait un bon challenge et motive davantage. Et puis, à l'aller, on était tout près de s'imposer (NDLR : le SLUC a gagné 77-76). On verra ce qui se passe.
- Avec Ricardo Greer en face, il y aura un sacré match dans le match entre deux candidats au titre de MVP. A l'aller, vous aviez dit ne pas connaître beaucoup le capitaine nancéien, d'au- tant qu'il n'avait pas un gros temps de jeu au championnat des Amériques. Quelques mois plus tard, quel regard portez-vous sur lui ?
- Il fait tout sur un terrain, il marque, prend des rebonds, aide en défense, c'est un leader. Avec lui, Nancy a une autre dimension. Je comprends pourquoi c'est un grand joueur, ici. Il peut être MVP. Ce sera fun de jouer contre lui. J'espère juste que la victoire sera au bout...

Recueilli par Anthony GUILLE

Est republicain

Merci Bacou
Il est en confiance A D Vassallo !!!

Merci!
Clair qu'il a l'air d'avoir faim le Vassallo.
Cap'tain Greer!!!! Sur le pooont!
Une, deuux, une...

Petite question :
Quelqu'un sait si Akin n'a plus de problème de dos SVP?
Donc s'il pourra relayer Marcus.
Merci d'avance.

Pas de match pour moi ce soir : près de Lunéville, ça tombe de plus en plus... C'est bien blanc sur le réseau départemental... Et pour accéder à Gentilly, dur dur à mon avis.
Etait-il vraiment nécessaire de ravancer ce match à vendredi à cause d'un ASNL - Lorient ?

Ni pour nous, on a rebroussé chemin après Bussang 1h30 pour faire 60 KM, bon courage à ceux qui y vont tout de même

Et moi , je viens de Pont-à-Mousson , et il parait que le verglas va se pointer ce soir ; du coup , je suis pas sûr de venir
D'un autre côté , l'A31 devrait etre dégagé , non ?

Attention au faux départ !



Contre Strasbourg, le SLUC s'est fait peur pour avoir oublié de défendre en première mi-temps. Face à Paris, encore plus dangereux, un nouveau faux départ pourrait être fatal.


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NANCY._ Prendre 47 points en une mi-temps à domicile, même si la « gâchette » Roberson a pris feu, même si l'adversaire alsacien était sur un nuage, c'est interdit lorsqu'on affiche de telles ambitions, lorsqu'on campe sur les sommets du basket français. Et Kaniel Dickens, coupable dans les cinq premières minutes du match d'un manque flagrant d'agressivité et d'investissement, a vite compris sa douleur.
On ne badine pas avec les consignes défensives.
Et si le SLUC s'en est finalement sorti blanc comme neige, grâce à une seconde mi-temps exceptionnelle, il ne faudrait pas croire que Jeff Greer va tourner tous les matches à 8/11 à trois points, ou que Marcus Slaughter va prendre encore 19 rebonds sous le nez d'Hamilton ou de Jean Baptiste Adolphe.
Car s'il a suffi de six minutes pour passer un 20-2 contre la SIG entre le troisième et le quatrième quart-temps, il serait étonnant que Paris craque aussi fort, aussi vite : « C'est une équipe complète dans toutes ses lignes et qui joue bien des deux côtés du terrain. Une équipe extrêmement dangereuse, notamment à trois points avec Vassallo, bien sûr, mais aussi avec ses intérieurs qui s'écartent (Prowell, Elliott) et une paire de meneurs complémentaire, avec Jimmal Ball, le talent, l'expérience et Albicy, l'audace », fait remarquer Jean-Luc Monschau, à qui bien sûr le parcours de Paris à l'extérieur n'a pas échappé.

Mettre de l'agressivité
Car mine de rien, les hommes de Dupraz se sont imposés à Dijon, à Poitiers, à l'ASVEL, à Roanne et menaient encore de 9 points à deux minutes de la fin du temps réglementaire à Orléans, avant de chuter en prolongation.
Un parcours qui force le respect et qui va surtout demander aux Nancéiens de ne pas manquer leur départ : « Si on les laisse jouer, on peut vite sortir du match. On se souvient de leur dernier quart- temps contre nous à Coubertin. On s'acheminait vers une victoire facile lorsqu'ils ont pris feu pour venir mourir à un petit point (76-77). A nous d'être agressifs, à nous de provoquer des pertes de balle, d'être concentrés sur notre collectif, en défense comme en attaque », ajoute le coach nancéien, qui a plutôt apprécié la concentration et l'application de ses joueurs, cette semaine à l'entraînement : « Depuis notre premier match en Eurocup, les joueurs passaient tous les jours à la salle. Après notre victoire contre Strasbourg, j'ai pu donner deux jours complets de repos. Les joueurs sont revenus avec plus d'énergie », ajoute Monschau, qui veut surtout conserver seul sa quatrième place, en attendant les Gravelines - Le Mans ou Orléans - Cholet.
Battre Paris ce soir, c'est aussi éliminer ou presque (trois victoires plus le panier-average) un adversaire direct dans la course aux play-offs. Angel Vassallo, deuxième scoreur du championnat avec 18,31 points de moyenne, ne vient-il pas de déclarer dans nos colonnes qu'il n'avait qu'un seul objectif : le titre ?
D'où l'intérêt majeur pour le SLUC, qui va s'aligner au complet, de sortir vite des starts ce soir.

Gilles GAIHIER



Est republicain

« On ne part pas battu d'avance »



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Jean-Marc Dupraz : « Dans ce championnat, il y a pas mal de choses déroutantes cette année. » - Photo Patrice SAUCOURT




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- Jean-Marc Dupraz, êtes-vous surpris de voir votre équipe aussi haut à mi-saison ?
- Surpris, non, mais satisfait et heureux, oui.
- Comment expliquez-vous ces bons résultats alors que le club est promu ?
- On a des joueurs jeunes, notamment les Américains, mais qui ont du talent. L'équipe s'entend bien, il y a une bonne osmose, et on travaille.
- Vous avez aussi fait une très bonne pioche avec Angel Daniel Vassallo, qui est le deuxième marqueur du championnat.
Comment vous êtes-vous intéressé à ce joueur ?
- On cherchait un joueur capable de scorer et d'être assez polyvalent sur les postes d'arrière-ailier. On a vu quelques vidéos et on s'est lancé.
- C'était tout de même un pari puisque le Portoricain n'avait jamais évolué en Europe...
- Un pari, oui et non. Avec l'enveloppe qu'on avait pour recruter, on ne pouvait pas se permettre de prendre des joueurs confirmés en France ou en Europe. On s'est donc tourné vers des joueurs qui sortaient d'université, ou qui n'avaient qu'une seule saison en Europe. C'était plus une obligation qu'un choix, mais au final, on est satisfait du recrutement.

« Des valeurs d'humilité »
- Après plusieurs saisons à tenir des discours ambitieux sans que les résultats suivent, on a le sentiment que Paris-Levallois fait preuve d'une certaine humilité. C'est quelque chose que vous cultivez, aujourd'hui, dans la capitale ?
- Je m'attache à des valeurs d'humilité, de travail, de respect. Ça n'a peut-être pas toujours été le cas à Paris. Mais tant que je serai là, ça sera comme ça.
- En tant que promu, Paris-Levallois arrive à Nancy dans la peau de l'outsider. Pourtant, on constate que depuis le début de saison, votre équipe voyage plutôt bien avec des victoires à Roanne, Villeurbanne, une défaite après prolongation Orléans.
Elle est assez déroutante, finalement, cette équipe parisienne...
- Vous savez, dans ce championnat, il y a pas mal de choses déroutantes, cette année. Assez souvent, il y a des surprises. C'est dû à la densité du championnat. On en a réussi quelques-unes, même si ces succès étaient mérités puisque ces soirs-là, on avait fait de bons matches. Et puis, à côté de ça, on a connu quelques contre-performances. Au final, ça s'équilibre. C'est un peu le lot de tout le monde, cette saison.
- Peut-être qu'il y a tout simplement une motivation particulière à jouer face aux gros...
- C'est peut-être une explication, mais on peut aussi penser qu'il y a un moment de relâchement des grosses cylindrées, quand elles jouent de plus petites équipes. Mais quand on joue un match, qu'il soit à l'extérieur ou à domicile, le discours reste le même, on joue pour la gagne. On ne part pas battu d'avance. Ce sera le cas face à Nancy, comme contre n'importe quelle autre équipe.

Recueilli par Anthony GUILLE

Est republicain

L'adversaire


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Le budget : 3,5 millions d'euros.
Les salles : Palais des Sports Marcel-Cerdan à Levallois et Stade Pierre-de-Coubertin à Paris.
L'entraîneur : Jean-Marc Dupraz.
Le joueur : Angel Daniel Vassallo, international portoricain, deuxième marqueur du championnat (18,4 pts de moyenne) derrière Obasohan. Scoreur invétéré, shooteur à trois points, ce jeune joueur de 23 ans est la grande révélation du championnat. Capable de prendre feu à n'importe quel moment du match, comme dans le dernier quart-temps au match aller, alors qu'il avait été transparent au cours de la première mi-temps.
Le chiffre : 82,4. Comme le nombre moyen de points marqués par Paris à l'extérieur, soit le second total de Pro A derrière Hyères-Toulon (86,7 points).
L'infirmerie : vide.
Les cinq derniers matches : V.V.D.D.V.



Est republicain

Merci bacou !
Quel temps en lorraine aujourd'hui :'( Combiné avec l'effet vendredi soir, j'espère qu'il y aura du monde à gentilly...

Je passe également mon tour pour ce soir. Pharyngite + neige, ce sera pour la prochaine fois.

Bon ben, un premier éclat 9- 2 pour le PLB

Match engagé de la part des parisiens.
Mauvaise addresse aux tirs de Nancy(27%)
Vassalo est bien "tenu" mais ses coéquipiers s'en donnent a coeur-joie.
Fin de premier Qt 23 -14 pour le PLB.

Ca serait bien de laisser les mouffles, et non la défense, aux vestiaires

Encore un premier quart-temps difficile !!! Va falloir réagir et vite ...

Déjà 10 balles perdues pour Paris ... heureusement !

Les 2 équipes ont marqué 8 paniers à 2 pts ...

Mais on en a pris 14 de plus qu'eux ! (8/22 contre 8/9 !)

Un bon match de Ricardo en tout cas!

concours de qui a la plus belle paire de mouffle entre 29% de reussite pour nancy et 11 pertes de balles pour paris

Attention au retour d'Elliott. Lui, j'le sens pas!