[PROA - J12] SLUC Nancy bat JDA Dijon, 74-95 (39-49)

fraga a écrit:

aircraft a écrit:

en tout cas dijon patine sérieusement après son départ canon, sans doute la faute a leur paire US marshall, bradley bien décevante après des perfs canons à l'entame de la saison, belle victoire du SLUC en tout cas face a des dijonnais bien grippés...

C'est moi ou tu ne vis pas dans le même continuum espace-temps que nous autres ?

Il reste 6 minutes à jouer chez moi...

lol c'est tout simplement que ce match pouvait pas nous échapper, il aurait vraiment fallut un sacré retournement d'adresse pour que dijon puisse revenir.

ricardo 43 d'éval!!! je crois qu'il a dépassé le record. Niveau SLUC je crois que c'est julian qui avait pondu un 42 une fois ( ou zianveni je sais pu trop ) mais c'est clair que c'est proche des records il est clairement au dessus du lot encore plus cette année ou il force moins. Belle victoire, les couguards sont bien revenus et ont attaqués 2010 comme ils avaient finit 2009

Le SLUC commence fort !



Après un début de match poussif, Le SLUC est monté en puissance pour dérouler un basket d'école avec beaucoup d'adresse à trois points (52 %) et un Ricardo Greer énorme (43 d'évaluation). Il bat Dijon 95-74.


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Trois jours après avoir décroché le titre de MVP au All Star Game, Steed Tchicamboud a participé au premier succès nancéien de l'année. - Photos PQR/Le Bien Public/Arnaud FINISTRE




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DIJON._ « C'était pour le coach. Sa famille et celle du SLUC étaient en deuil. On lui devait bien ça. » Steed Tchicamboud, porte-parole de l'équipe en conférence de presse, vient de retenir son émotion. Les mots sont forts, sincères, touchent droit au cœur. Le SLUC vient de perforer des Dijonnais en état d'urgence, Ricardo Greer, qui l'avait promis, vient d'éclater ses stats (43 d'évaluation pour 27 pts, 9 rebonds, 6 passes et 6 interceptions) lorsque le meneur nancéien, vedette à Bercy, évoque la disparition de René Monschau, papa de Jean-Luc, parti dans un monde que l'on dit meilleur à 86 ans, dans la nuit du 30 au 31 décembre.
A ses côtés, le coach nancéien, les yeux embués mais rivés sur ses stats, analysera le match, évoquera la performance de ses joueurs, l'adresse à trois points supérieure à la moyenne de son équipe et l'énorme chantier commencé et terminé en quarante minutes de Ricardo Greer. Un Jean-Luc Monschau qui a tenu à préparer ce match avec ses joueurs et qui dira simplement : « Mon père aurait voulu que je sois à mon poste plutôt qu'auprès de ma famille. C'est tout. Mes joueurs m'ont offert cette superbe victoire. C'est touchant... »
Superbe victoire, c'est bien le mot. Succès construit au fil des minutes après un début plutôt laborieux, notamment défensivement, avant que Ricardo Greer ne sonne le rappel des troupes, avant que ces Nancéiens, farouchement motivés, ne haussent leur niveau défensif et se mettent, à l'image de Stephen Brun et Jeff Greer, à aligner les paniers grands standing derrière la ligne des 6,25 m. Jeff, dur en défense (n'est-ce pas Monsieur Marshall), finira avec un 4/6 et Stephen, qui joua juste, avec un 4/7.
Vous ajoutez la patte du MVP du dernier All Star Game de Bercy, Tchicamboud (2/3), et vous aurez vite compris que ce SLUC là était injouable (45-59, 23'; 52-67, 26', 60-78, 33') pour une équipe qui doute, une équipe qui tenta de trouver son salut à l'intérieur avec un Bradford intenable (29 pts), qui donna beaucoup de soucis aux deux intérieurs Akingabala et Slaughter en difficulté en défense.


Plus fort, trop fort


Les deux géants lorrains finirent même sur le banc des condamnés avec cinq fautes. Heureusement, le trou était fait. Dijon anesthésié, ne répondait plus en équipe et Ricardo Greer, avec ses épaules de déménageur, avait déjà rempli les valises.
Jusqu'à la mi-temps, le SLUC avait donc plutôt maîtrisé son sujet en donnant l'impression de pouvoir tuer le match notamment après deux lancers francs d'Akingbala, qui venaient de donner seize points d'avance aux Nancéiens (30-46, 18'). Stephen Brun, Jeff Greer et Steed Tchicamboud avaient alors trouvé la cible derrière la ligne à trois points, prenant le relais d'un magistral Ricardo Greer dans le premier quart temps. Les drives, les percussions et les rebonds offensifs du capitaine du SLUC (15 points dans le premier quart temps à 100 %) avaient déjà fait très mal à Dijon pourtant bien mis sur les rails par les shoots extérieurs de Marshall, Mbaye et les lay-up de Bradley (10-4, 5'; 17-10, 7'). Il avait juste manqué aux Nancéiens plus d'application, plus de précision dans les deux dernières minutes du second quart temps. Les balles perdues de Cox, Ricardo Greer et la troisième faute de Slaughter avaient été rapidement exploitées par les shooteurs dijonnais. Krupalija et Bogavac venaient de relancer Dijon et son public. Le SLUC avait encore dix points d'avance à la pause (39-49) mais rien n'était joué. Loin s'en faut. On ne voulait pas croire que Nancy, supporté par une cohorte passionnée et enthousiaste de supporters, avait laissé filer l'occasion d'assommer son adversaire. On n'avait pas tort. Le SLUC était tout simplement plus fort, trop fort.

De l'un de nos envoyés spéciaux Gilles GAIHIER

Est republicain

Le plus jeune des frères Greer est régulièrement en charge des dossiers les plus compliqués. Hier, il a tenu Marshall à sept points. Une des clés du match.


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Même s'il reste souvent dans l'ombre de son frère Ricardo, encore titanesque hier soir, Jeff (au second plan), est un joueur très précieux.


DIJON._ Avec 14 points dont 4 sur 6 à trois points, Jeff Greer a livré un bon match d'attaque, hier soir. Mais sa plus grande fierté et la plus grosse satisfaction de son coach sont sans doute à aller chercher ailleurs que dans cette jolie partition offensive. C'est de notoriété publique, le plus jeune des frères dominicains est aussi un solide défenseur.
Un garde du corps aux jambes de feu, à qui son entraîneur confie régulièrement les dossiers les plus épineux.
En clair, les scoreurs adverses les plus prolifiques.
« C'est aussi pour cette raison que nous avons tant besoin de lui », admet volontiers Jean-Luc Monschau, « et c'est pour cette raison qu'il passe autant de temps sur le parquet. » Y compris lorsque la réussite n'est pas au rendez-vous en attaque.


3 sur 13 aux tirs pour Sean Marshall


Même s'il accuse un peu le coup depuis quelques semaines, Sean Marshall affiche 15 points de moyenne depuis le début de la saison. Joueur complet, le pistolero américain est capable de coups d'éclats retentissants (il tournait à plus de 21 points de moyenne lors des six premières journées). Hier soir, Marshall est resté bloqué à sept petits points (en 39 minutes), assortis d'un très modeste 3 sur 13 aux tirs. Tout simplement sa deuxième plus mauvaise performance de la saison.
Marshall a dévissé et le coupable s'appelle Jeff Greer. Il ne l'a pas lâché d'une semelle, lui laissant tout juste le temps de respirer de temps en temps. « Sean Marshall est un joueur très dynamique, complet, capable de shooter à trois points, de pénétrer ou de poster », explique Jeff Greer, « j'ai d'abord essayé de le priver de ballon au maximum et, ensuite, de contester ses tirs. Je pense qu'en deuxième période, j'ai su prendre la mesure de mon adversaire. » Plutôt, oui. En deuxième mi-temps, Marshall n'a pas inscrit le moindre point (0 sur 6).


« Le plus fort, c'est Spencer »


Pour Jeff, la sensation d'avoir étouffé son vis-à-vis est aussi agréable que celle qu'il ressent lorsqu'il réussit une série derrière la ligne des trois points. « Il est très fréquent que je sois chargé de défendre sur le meilleur marqueur adverse », poursuit-il, « pour moi, c'est un nouveau challenge à chaque fois. »
Et apparemment, un sujet de conversation avec ses coéquipiers : « Dans le bus, avant de venir à la salle, on se demandait justement sur quel joueur de Pro A il est le plus difficile de défendre. Pour moi, c'est Dee Spencer. Il est rapide et difficile à contrer lorsqu'il shoote... » Spencer, ce sera pour plus tard. En attendant, Jeff Greer a classé un nouveau dossier, celui de Sean Marshall. Du beau boulot ! « En revanche, si vous pouviez éviter de parler du dunk que j'ai raté... » Promis, Jeff...

De l'un de nos envoyés spéciaux Thomas SIMON

Est republicain

René Monschau s'est éteint


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Figure emblématique et cheville ouvrière du club de basket de Mulhouse, René Monschau, le papa de Jean-Luc et Christian, s'est éteint cette semaine à l'âge de 86 ans. Il avait notamment vécu de l'intérieur les plus belles années du club alsacien, où ses deux fistons ont usé leurs shorts et leurs baskets. A Jean-Luc Monschau, à son frère Christian, la rédaction sportive de L'Est Républicain adresse ses sincères condoléances.
RETRANSMISSION. Revoilà le SLUC à la télé ! Sport+ a en effet choisi de diffuser l'opposition entre les deux frères Monschau, Gravelines - SLUC. La rencontre aura bien lieu le samedi 16 janvier, mais à 20h30. Rappelons qu'à l'issue de ce match, la délégation nancéienne restera dans le Nord jusqu'au mardi suivant (le 19 janvier), date à laquelle le SLUC affrontera Le Portel (Pro B) en seizièmes de finale de la Coupe de France.
BUS. Dijon étant l'un des plus courts déplacements de la saison pour le SLUC, il a été soutenu hier soir par une colonie de supporters plus importante que d'habitude. En effet, les fans de l'équipe nancéienne avaient affrété deux bus pour se rendre en Bourgogne. A l'heure de l'entre-deux, ils étaient une petite centaine à s'être massés tout en haut de la tribune.
PREMIÈRE. Le 30 octobre dernier, lors du déplacement au Mans pour le compte de la cinquième journée, Marcus Slaughter s'était retourné un pouce. Depuis cette date, l'intérieur nancéien joue systématiquement avec un strapping sur le doigt, bien que la blessure soit désormais complètement résorbée. Récemment, le joueur a accepté de retirer le bandage à l'entraînement. Pour les soirs de matches, on verra plus tard...
CADEAU. C'est une tradition à Dijon : tous les joueurs nancéiens sont repartis hier avec une bouteille de Bourgogne ainsi qu'un petit cadeau offert part Amora, l'un des célèbres partenaires de la JDA. Sympa !

T. S. (Thomas SIMON)

Est republicain

SPORTS LORRAINE - A chaud
Tchicamboud : « Sur la même dynamique »




Steed Tchicamboud : « Nous poursuivons sur la même dynamique que lors des deux derniers matches. Il faut dire que le coach ne nous a pas lâchés avec ça depuis le retour des vacances. Il y a quelques temps encore, nous défendions bien mais nous ne mettions pas les tirs. Ce soir, tout a fonctionné en même temps. Dans ces cas-là, on fait vite de gros écarts. »
Christian Fra : « Je suis évidemment très heureux du dénouement. J'ai apprécié la solidarité de mon équipe qui, à la demande de son capitaine, a fourni encore plus d'effort afin de rendre hommage au courage de Jean-Luc qui a voulu préparer le match avec ses joueurs. »
Steffon Bradford (Dijon) : « Le jeu ne nous a pas respectés et nous n'avons pas respecté le jeu. Il nous a manqué beaucoup de dureté et nous ne nous sommes pas suffisamment comportés en équipe. »
Randoald Dessarzin (coach de Dijon) : « Il existe un gros paradoxe dans le comportement de mon équipe, entre ce qu'elle produit à l'entraînement et en matches. Devant une équipe qui déroule un basket de qualité, qui possède un vécu, il fallait être beaucoup plus dur défensivement. »
Est republicain

Sans l’ombre d’un doute


Chahuté en un commencement poussif, Nancy s’est ensuite offert la chevauchée prévue. Le SLUC consolide son rang parmi les ténors.



A l’époque des soldes, le SLUC ne nous a pas offert une victoire au rabais. Rien que du sérieux et de l’application jusqu’au-boutiste pour enfoncer davantage un opposant conspué par ses supporters au coup de sifflet final. Un coup qui fait mal à Dijon. Neuvième revers d’affilée, toutes compétitions confondues. Décidément, les ducs de Bourgogne sont devenus caducs. Ils n’ont pu inquiéter (enfin, presque) leur vis-à-vis qu’en début de rencontre…De notre envoyé spécial à Dijon
Capitaine, oh, mon capitaine ! Ricardo Greer déployait tout son potentiel de sauveur invétéré en prenant les affaires en main au moment où son collectif était anesthésié par la réussite bourguignonne (78 %). Ce premier quart temps fut bien celui du Dominicain, voleur de rebonds offensifs et auteur de fulgurances au cœur du rideau dijonnais. Quinze points en dix minutes pour un sans-faute : six sur six aux tirs et trois lancers francs sur trois. Le SLUC avait eu besoin de ce Ricardo majeur pour effacer l’ardoise : 17-10. Car du côté de ce mal classé, il y a quelques talents quand même à l’image de MBaye, Marshall, Krupalja.
Nancy qui avait pris le match par le mauvais bout, en préférant les raids solitaires, en oubliant cet empressement salutaire à se filer le ballon, profita aussi un maximum de sa taille (Akingbala) pour enfin démarrer à la neuvième minute après que l’entraîneur eut rappelé son monde indiscipliné lors d’un temps mort opportun et que Ricardo Greer eut battu le rappel. Les Lorrains, plus à l’aise dans la vitesse et le tourbillon, se trouvaient des positions de tirs sympathiques (Brun) pour calmer l’ardeur d’un rival subitement emprunté quand les Nancéiens se mirent à défendre durement.
De la réserve
Le SLUC passa de moins sept à plus sept, Cox ayant offert un passage consistant alors que Dijon s’abonna à un surplace fatal : cinq unités en sept minutes à cheval sur les deux quart-temps initiaux puis neuf en neuf minutes ! Le 4-16 changeait complètement le décor dans un palais au soutien friable. L’adresse et le rebond s’avéraient la propriété du SLUC de plus en plus à l’aise au fil du temps : +16 à la 18 ^e minute avant que ces diablotins de Greer ne tentent des arabesques spectaculaires mais ratées… Dijon, trois paniers primés en un instant éphémère, punissait la facilité lorraine (39-47). Dix points d’avance à mi-chemin, il y aurait donc encore un suspense dans cette chronique d’une mort annoncée. Celle d’un Dijon malade.
Qu’est-ce qui pouvait freiner le train nancéien ainsi lancé ? Mains chaudes, les hommes de Monschau gardaient l’esprit froid pour travailler sans empressement, refusant l’immédiateté pour mieux assouvir une soif de tirs lointains (Jeff Greer et Brun, 814 aux tirs bonifiés à l’issue du troisième acte). Seules les fautes personnelles empêchaient une sérénité totale (Brun, Slaughter, Akingbala quatre chacun). Mais à douze minutes du terme, Nancy avait approvisionné son compte (+17). Croyant en un nirvana possible, Dijon se mit au contraire à sombrer dans l’individualisme forcené. Et les potes de Ricardo Greer géraient parfaitement leur handicap. Une grosse maîtrise, malgré Bradford, qui permettait au SLUC d’expédier les affaires courantes. Les espoirs Sylla et Clerc participaient même au festin. C’est dire si Nancy a plané dans le ciel dijonnais.
Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Ricardo Greer affole les records




L’homme du match. Ricardo Greer encore et encore. 43 d’évaluation pour une ligne mirifique de statistique : 27 points à 77 % de réussite. 10/13 aux tirs, tous à deux points. Ajoutez un 7/7 aux lancers francs, 7 fautes provoquées, 9 rebonds, 6 passes décisives. Et pour une fois, le capitaine n’a pas perdu beaucoup de ballons (2). Quasi parfait, en 37 minutes.
Le bide. Dijon dont c’est la huitième défaite de suite. Défense catastrophique. La série noire a commencé depuis la disparition tragique du jeune meneur Jonathan Bourhis…
Le chiffre. 16 interceptions de la part de Dijon qui n’en a pas beaucoup profité.
La statistique. 52 % de réussite pour Nancy aux tirs à 3 points : 11/21. On oubliera les 16 balles perdues.
La déclaration. De l’entraineur Jean-Luc Monschau : « C’est du Ricardo (Greer)… Et on fait tout pour créer des situations afin qu’il puisse faire du Ricardo. Il a encore été extraordinaire. Il avait à cœur de faire un bon match, vous savez pourquoi (ce succès a été dédié à Jean-Luc Monschau qui vient juste de perdre son père). »A. T.



Publié le 03/01/2010

Republicain lorrain

Basket. Pro A (11e journée). Les Dijonnais s'inclinent de 21 points
Triste à pleurer




Après une entame prometteuse, la JDA a explosé en plein vol. Nancy n'a plus eu qu'à se baisser pour cueillir la victoire.


Poison. Ricardo Greer a signé une performance peu commune hier avec six interceptions.

Plouf. En deuxième période, la JDA n'a converti qu'une seule de ses neuf tentatives à 3 points.

Tout commence bien pour les Dijonnais, sous l'œil avisé d'une centaine de supporters nancéiens. Les cinq joueurs du cinq majeur marquent tous en moins de cinq minutes et sur un tir à trois points de Marshall, la JDA prend sept longueurs d'avance (17-10, 6e). Elle n'est toutefois pas à l'abri, car elle laisse trop de deuxièmes chances à Nancy, en ne maîtrisant pas le rebond. Et quand Ricardo Greer se réveille, il remet quasiment à lui tout seul Nancy devant (21-26, 10e), avec 11 points en quatre minutes !

La JDA retombe alors dans ses travers et égare trop de balles. Du coup, Nancy en profite et s'envole au score (30-46). Pendant de longues minutes, seul Steffon Bradford marque côté dijonnais. « Ce soir ce n'est pas une bonne soirée pour moi, parce qu'on n'a pas gagné », tonnera-t-il après le match. « On a manqué de dureté et de concentration pour prétendre à autre chose. »

L'affaire prend mauvaise tournure, mais heureusement Damir Krupalija joue les artificiers longue distance avec trois paniers à trois points en deux minutes (39-47 à la 19e). Il faut bien ça car à la pause, l'apport du banc dijonnais est famélique (un point) et Nancy est à 62 % de réussite aux tirs. A la reprise, les Lorrains ajoutent une petite touche de All Star Game, avec un concours de tirs à trois points où Jeff Greer et Brun se régalent (52-67 à la 26e). Randoald Dessarzin, lui, cherche où sont passés ses arrières, portés disparus. Il faut un lancer de Bogavac pour mettre fin à une série de 29 points consécutifs du seul duo Bradford-Krupalija ! Plus aucun Dijonnais n'ose tirer de loin, le public est au bord de la crise de nerfs et on le comprend (58-75, 30e). Même rentrer ses lancers francs semble difficile... Le dernier quart n'est qu'un long chemin de croix, où Nancy se contente de gérer et ouvre même le bout de son banc avec bonheur (74-95).
anthony prost
Le Bien Public

Merci Bacou..

J'ai p'tet raté un épisode...

N'Joya est-il blessé ??

Belle victoire en tout cas , ça fait plaisir...

Bonne année 2010 à tous ! =)


En tout cas elle commence bien =)

Quelle réussite à 3 pts et aux LF, 3/4 pour Akin

Bactere a écrit:

J'ai p'tet raté un épisode...

N'Joya est-il blessé ??

Belle victoire en tout cas , ça fait plaisir...

Bonne année 2010 à tous ! =)


En tout cas elle commence bien =)

Apparemment il a encore des douleurs à sa clavicule

Merci de l'info =))

en tout cas cette victoire dechaine pas les foules sur le forum contrairement a la prochaine défaite (et oui pas dur de prévoir ça!!!)

Bonjour......et belle année a toutes et tous...émotions ..rires succés et joie.....eh non Aircraft juste des soucis de connexion..belle victoire et un ric ..ah a tous ceux qui voulaient lyncher Tchi, mvp a bercy, je jubile,

retour de kirsay,laissonS paTrir ric ?recrutement d un bon 4et1 et changer de coach,sinon comme pau, limoges,nous etions devenus une place forte du basket national,nous sommes entrain de tout perdre,c est ma solution mais suis qu un amateur

ah bon je cite tes propos d'il y a un mois... quel beau retournement de veste!!! (surtout concernant ric et steed) mais bon ma bonne résolution 2010 est de pas en tenir compte

aircraft a écrit:

retour de kirsay,laissonS paTrir ric ?recrutement d un bon 4et1 et changer de coach,sinon comme pau, limoges,nous etions devenus une place forte du basket national,nous sommes entrain de tout perdre,c est ma solution mais suis qu un amateur

ah bon je cite tes propos d'il y a un mois... quel beau retournement de veste!!! (surtout concernant ric et steed) mais bon ma bonne résolution 2010 est de pas en tenir compte

aircraft a écrit:

retour de kirsay,laissonS paTrir ric ?recrutement d un bon 4et1 et changer de coach,sinon comme pau, limoges,nous etions devenus une place forte du basket national,nous sommes entrain de tout perdre,c est ma solution mais suis qu un amateur

ah bon je cite tes propos d'il y a un mois... quel beau retournement de veste!!! (surtout concernant ric et steed) mais bon ma bonne résolution 2010 est de pas en tenir compte

Oui enfin faut pas non plus effacer d'un seul trait le catastrophique mois de décembre.
Les joueurs ont l'air d'en avoir pris conscience en sortant 2 gros matchs contre roanne et dijon. Maintenant ce ne sont pas non plus des très gros adversaires. Bon certes on peut mettre un bémol pour roanne qui est une place forte du basket, mais qui semble être dans une mauvaise passe, la preuve hier paris a gagné facilement là-bas.
Mais faut pas non plus oublier nos mauvais matchs contre vichy, hyères toulon ou gran canaria.
Pour Cholet, c'est vraiment super dommage, car aujourd'hui 3 victoires nous séparent d'eux, alors que si on avait gagné, y aurait qu'un match d'écart.
Du coup, les 2 premières places occupées par Le mans (de même défaite d'un point là bas) et Cholet vont être difficiles à prendre.

On risque de se mordre les doigts comme l'année dernière, où on rate la première place de peu par rapport à villeurbanne.

Bref, on est certes sur une bonne dynamique, maintenant attendons de voir les 2 prochains matchs contre orléans et gravelines, où là ça va être 2 autres matchs bien plus compliqués à négocier. On en saura davantage dans 2 semaines, wait and see...

Cela peut aller très vite. Cholet et Le Mans n'ont pas encore eu leur coup de mou. Et c'est inévitable pendant une saison

fooxy a écrit:

aircraft a écrit:

retour de kirsay,laissonS paTrir ric ?recrutement d un bon 4et1 et changer de coach,sinon comme pau, limoges,nous etions devenus une place forte du basket national,nous sommes entrain de tout perdre,c est ma solution mais suis qu un amateur

ah bon je cite tes propos d'il y a un mois... quel beau retournement de veste!!! (surtout concernant ric et steed) mais bon ma bonne résolution 2010 est de pas en tenir compte

Oui enfin faut pas non plus effacer d'un seul trait le catastrophique mois de décembre.
Les joueurs ont l'air d'en avoir pris conscience en sortant 2 gros matchs contre roanne et dijon. Maintenant ce ne sont pas non plus des très gros adversaires. Bon certes on peut mettre un bémol pour roanne qui est une place forte du basket, mais qui semble être dans une mauvaise passe, la preuve hier paris a gagné facilement là-bas.
Mais faut pas non plus oublier nos mauvais matchs contre vichy, hyères toulon ou gran canaria.
Pour Cholet, c'est vraiment super dommage, car aujourd'hui 3 victoires nous séparent d'eux, alors que si on avait gagné, y aurait qu'un match d'écart.
Du coup, les 2 premières places occupées par Le mans (de même défaite d'un point là bas) et Cholet vont être difficiles à prendre.

On risque de se mordre les doigts comme l'année dernière, où on rate la première place de peu par rapport à villeurbanne.

Bref, on est certes sur une bonne dynamique, maintenant attendons de voir les 2 prochains matchs contre orléans et gravelines, où là ça va être 2 autres matchs bien plus compliqués à négocier. On en saura davantage dans 2 semaines, wait and see...

mdr, a chaque fois qu'on gagne c'est contre des nuls!!! j'adore cet argument. Roanne avant la baffe qu'on leur a foutu était troisième, dijon restait certes en crise mais laissait entrevoir le bout du tunnel, raté ils se prennent une belle gamelle chez eux...

Certes le chemin est encore long, on a encore rien gagné mais mon coups de gueule était destiné aux girouettes qui ralent les soirs de défaite et reviennent un mois après comme si de rien n'était en affirmant le contraire de ce qu'ils balançaient plus tot. Soit on a des convictions soit on en a pas mais bon sang en un mois virer comme ça...

maintenant place a deux autres test, gravelines et surtout orleans en net regain de forme

Ne boudons pas notre plaisir...
Le SLUC semble revenu à plus de sérénité après un sérieux coup de mou et 5 défaites consécutives...
Il est vrai que Ricardo revient très fort et Tchicamboud traverse une très belle période...
Du coup, le jeu est plus rapide, plus inspiré. La réussite est là et comme le dit Tchicamboud, quand on défend très fort et que la réussite est là... on creuse de gros écarts... CQFD, on dirait du JLM dans le texte !

Et pourtant tout vient de là. Malgré l'absence de Dickens, le SLUC va beaucoup mieux... Brun a pris aussi de l'ampleur, de la confiance et il rempli parfaitement son rôle depuis quelques matchs, lui qui avait débuté bien timidement.

Comme le dit JC, chaque équipe va connaître son coup de mou... j'ai vu hier Le Mans. Hormis Spencer et Batista à l'intérieur... c'est pas si costaud que cela et Salyers n'a pas mais pas du tout le rendement d'un Ricardo au SLUC ni même l'importance qu'il avait à Roanne !
Cholet pour le moment est 1er mais ils ont beaucoup de réussite, cela compte c'est sûr... de nombreuses victoires par un ou deux points d'écart, comme hier ou contre nous !

Sachons savourer les victoires et préparons cette belle semaine qui se profile : Battre les polonais de Turow est un impératif et enchaîner contre Orléans nous
ferait beaucoup de bien en ProA...

Cela ferait taire, temporairement tout au moins certaines critiques trop rapides ou trop facile !

On vient de battre Roanne qui avait déja été minable à Gravelines et qui s'est encore fait plié par Paris ce Week end,et Dijon qui est en pleine crise avec 7 défaites de rangs,ces 2 victoires me paraissent logique y'a pas de quoi s'enflamer.

Par contre si on tape Gravelines et Orléans la on pourra

@aircraft....au sujet de ric je signe ...mais tu ne trouveras pas un post de ma part....concernant steed....bien au contraire.....et je maintient.....victoires a gravelines et face a orléans....la on pourra reparler......pour l instant avec notre effectif ...nous sommes en retard sur notre tableau de route,je te signale en outre que ce n est pas retourner sa veste de dire que c est mauvais quand cela l est vraiement, mais je dis aussi quand c est bon ,malheureusement cette saison c est arrivé moins souvent,mais l essentiel est d etre a gentilly de les soutenir, on peut quand encore etre d un avis different ici ,,merci

en démonstration à dijon

Le SLUC Nancy s’est bien échauffé



Quand les frères Greer vont, tout va. Mais il serait bon d’enchaîner, cette semaine, face à des adversaires d’une autre consistance que la malheureuse équipe de Dijon.


Jeff et Ricardo Greer, les deux font la paire. Pas toujours, le cadet trahissant parfois l’aîné. Mais là, en Bourgogne, les frangins ont pesé de tout leur poids : 41 points sur 95 (pas loin donc des 50 %), 15 rebonds (sur 31), 61 d’évaluation (sur 116). Le rival dijonnais, qui possède l’une des deux plus mauvaises défenses du championnat, n’a jamais su bloquer le tandem. L’axe fort de Nancy.

Voilà à quoi l’on s’expose quand Ricardo Greer n’est pas réduit au silence. Il dévaste tout sur son passage. « Il a encore été extraordinaire », commentait son entraîneur tout heureux de trouver son sauveur. Parce que ni les meneurs de jeu, ni les intérieurs n’ont atteint les sommets. Tchicamboud et Cox (17 points, 3 passes décisives, 6 balles perdues) ont largement les moyens de mieux faire.

Jean-Luc Monschau, par ailleurs, reconnaissait les souffrances de ses grands sous le cercle. « Ils ont été en difficulté face à Bradford, c’est vrai. » Un Américain, pas si haut, mais qui saute et qui marque : 29 points à 11/14 aux tirs dont 9/10 dans la raquette ! Où étaient AKingbala et Slaughter, six rebonds et dix-sept points seulement pour leurs quatre mains…

Une défaillance sans conséquence quand on se paye un 11/21 dans les tentatives bonifiées et quand Ricardo Greer ramasse toutes les miettes pour les convertir en kyrielle de paniers. Steed Tchicamboud insistait, avec raison, sur la défense : « Il y a quelque temps, nous défendions bien mais on ne rentrait pas les tirs. Là, tout a fonctionné en même temps. »

Semaine importante
D'où la correction infligée à ces Bourguignons qui espéraient sans doute mieux, surtout avec l’apport de trois recrues (Bagavac, Adjwanou, D’Almeida). Mais l’ombre du fameux Fazekas (blessé) a d’autant plus plané que l’autre star, Sean Marshall, s’est troué (7 points, 3/13 aux tirs) !

La JDA a facilité la tâche des Nancéiens qui seraient inspirés de faire le plein à domicile, cette semaine, après avoir soigné la balance des matches à l’extérieur : quatre succès pour trois échecs. En coupe d’Europe, tout d’abord. Ce sera demain contre les Polonais de Zgorzelec. Et samedi, devant Orléans.

Deux rencontres, presque capitales. Les deux influeront notoirement sur les qualifications pour le deuxième tour de la compétition internationale et la Semaine des As où rien n’est acquis à deux journées de la fin du cycle aller. Ricardo Greer qui ne pourra pas indéfiniment parader au zénith, devra être rejoint par le reste de la troupe. Tous les rivaux ne s’appellent pas Dijon.

Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Sans l'aide de nos intérieurs on résussit une large victoire à Dijon.

Certes c'est Dijon qui depuis la tragique mort de J. Bouhris n'y arrive plus. Mais c'est aussi le Sluc avec des pivots HS, on va retrouver un Akin fort au rebond et un Slaughter plus finisseur et si on les a on tape Orléans et Gravelines.